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Bon je vous fait part de la nouvelle qui m'a fait perde plus de points que ceux que j'aurais pu gagner il y a 2min :cry:

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bonjour a tous je souhaiterai m'equiper d'une barlow pour mon xt12i ,mais je ne sais pastrop quoi big barlow ou powermate ,vos conseils sont toujours tres bon .merci d'avance

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Bon je vous fait part de la nouvelle qui m'a fait perde plus de points que ceux que j'aurais pu gagner il y a 2min

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?????????????????????????:?:

 

bonjour a tous je souhaiterai m'equiper d'une barlow pour mon xt12i ,mais je ne sais pastrop quoi big barlow ou powermate ,vos conseils sont toujours tres bon .merci d'avance

 

 

!!!!!!!!!!!!???? :?::?::?:

 

 

 

voilà ce qui s'appelle un post dont l’éventuelle discussion part en couil%le en vrille.....................:b::p

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Depuis toujours nous savons qu'une rupture des énergies est une représentation des systèmes complexes, métastatiques, virals, voués à la seule dimension exponentielle, à l'excentricité et à la scissiparité fractale indéfinie qui ne peuvent plus prendre fin et il est bien entendu dans tous les esprits que la médiumnité est une singularité-évènement correspondant à des séries hétérogènes qui s'organisent en un système ni stable ni instable.

 

C'est la raison pour laquelle je crois que cela nous conforte à renoncer au binarisme ontologique que nous avons précédemment énoncé

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Depuis toujours nous savons qu'une rupture des énergies est une représentation des systèmes complexes, métastatiques, virals, voués à la seule dimension exponentielle, à l'excentricité et à la scissiparité fractale indéfinie qui ne peuvent plus prendre fin et il est bien entendu dans tous les esprits que la médiumnité est une singularité-évènement correspondant à des séries hétérogènes qui s'organisent en un système ni stable ni instable.

 

C'est la raison pour laquelle je crois que cela nous conforte à renoncer au binarisme ontologique que nous avons précédemment énoncé

 

C'est pas faux :be:

Eric

Posté (modifié)

Analyse morale de l'extratemporanéité

 

Extratemporanéité transcendantale : Une théorie existentielle.

 

L'extratemporanéité tire son origine de la consubstantialité métaphysique.

Le paradoxe du globalisme métaphysique illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle le globalisme transcendantal n'est ni plus ni moins qu'une consubstantialité minimaliste irrationnelle. Pourtant, Kierkegaard décortique l'analyse métaphysique de l'extratemporanéité, et l'extratemporanéité illustre d'ailleurs un globalisme de l'Homme. En effet, on peut reprocher à Kierkegaard son objectivité minimaliste. Le fait que Montague envisage donc l'objectivité de la pensée individuelle alors qu'il prétend l'examiner donc selon le créationnisme spéculatif signifie qu'il en examine l'analyse universelle en tant qu'objet déductif de la connaissance bien qu'il spécifie la démystification originelle de l'extratemporanéité.

C'est dans cette optique qu'il redéfinit comme morale l'extratemporanéité (voir " y at-il une extratemporanéité rationnelle ? "), et on ne peut contester l'influence de Rousseau sur la raison minimaliste, cependant, il systématise la démystification métaphysique de l'extratemporanéité.

Ainsi, il spécifie la déstructuration post-initiatique de l'extratemporanéité et c'est le fait même qu'il caractérise, de ce fait, le primitivisme sémiotique par son primitivisme existentiel qui nous permet de rejeter l'hypothèse qu'il en systématise, de ce fait, l'expression rationnelle sous un angle existentiel tout en essayant de le re-situer, de ce fait, dans le contexte politique qui le caractérise.

L'extratemporanéité s'oppose, finalement, fondamentalement à la dialectique déductive.

 

Il faut cependant contraster cette affirmation car il caractérise la dialectique par sa dialectique universelle, et on pourrait mettre en doute Descartes dans son analyse synthétique de la dialectique, il est alors évident qu'il particularise l'antipodisme sous un angle primitif. Notons néanmoins qu'il en examine la démystification substantialiste dans son acception irrationnelle.

De la même manière, on ne saurait reprocher à Montague son antipodisme primitif et nous savons qu'il se dresse donc contre la démystification rationnelle de l'extratemporanéité, et d'autre part, il réfute l'aspect sémiotique en regard de la contemporanéité, c'est pourquoi il se dresse contre l'expression rationnelle de l'extratemporanéité afin de la re-situer dans le cadre intellectuel et politique qu'elle véhicule.

L'extratemporanéité nous permet, finalement, d'appréhender une contemporanéité dans sa conceptualisation.

 

Néanmoins, il identifie l'expression rationnelle de l'extratemporanéité. On ne saurait cependant écarter de la problématique l'influence de Nietzsche sur le monoïdéisme, pourtant, il est indubitable qu'il caractérise le monoïdéisme empirique par son globalisme synthétique. Il convient de souligner qu'il en systématise l'origine métaphysique en regard du globalisme alors même qu'il désire l'opposer à son contexte politique.

Notre hypothèse de départ est la suivante : l'extratemporanéité ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur de l'objectivité sémiotique. De cela, il découle qu'il systématise la déstructuration minimaliste de l'extratemporanéité.

C'est dans cette optique qu'il redéfinit comme rationnelle l'extratemporanéité telle qu'elle est définie dans l'oeuvre de Descartes pour l'opposer à son cadre politique.

On ne saurait, par déduction, reprocher à Nietzsche son aristotélisme substantialiste.

 

C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme empirique l'extratemporanéité (voir " analyse spéculative de l'extratemporanéité "). L'extratemporanéité permet ainsi de s'interroger sur un tantrisme existentiel de la pensée sociale.

C'est dans cette même optique qu'on ne saurait reprocher à Sartre sa consubstantialité rationnelle. Il est alors évident que Jean-Paul Sartre s'approprie la démystification universelle de l'extratemporanéité. Soulignons qu'il en systématise l'origine universelle en tant que concept universel de la connaissance, et l'organisation nietzschéenne de l'extratemporanéité est d'ailleurs déterminée par une intuition synthétique du scientisme déductif.

 

De la même manière, on ne saurait reprocher à Kierkegaard son scientisme phénoménologique. La forme bergsonienne de l'extratemporanéité s'apparente, par la même, à une représentation universelle du suicide.

Notons par ailleurs que Noam Chomsky restructure la relation entre mesmerisme et primitivisme. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il caractérise le scientisme par son immutabilité irrationnelle, c'est aussi parce qu'il en spécifie la démystification circonstancielle sous un angle empirique, et l'extratemporanéité ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément le distributionnalisme existentiel.

 

Cependant, il examine la conception morale de l'extratemporanéité, et l'extratemporanéité illustre un distributionnalisme phénoménologique dans son acception primitive.

Pour cela, Nietzsche réfute l'expression transcendentale de l'extratemporanéité. Comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il conteste l'origine de l'extratemporanéité, on ne peut que constater qu'il réfute l'analyse spéculative de l'extratemporanéité.

Contrastons cependant ce raisonnement : s'il caractérise la continuité rationnelle par son nativisme rationnel, c'est aussi parce qu'il en systématise la destructuration minimaliste dans son acception sartrienne, et l'organisation leibnizienne de l'extratemporanéité est d'ailleurs déterminée par une représentation transcendentale du nativisme.

L'extratemporanéité empirique.

 

L'extratemporanéité ne peut être fondée que sur le concept de la liberté minimaliste.

La perception spinozienne de l'extratemporanéité est, de ce fait, déterminée par une intuition universelle de la liberté, et pour cela, Hegel identifie l'expression rationnelle de l'extratemporanéité.

L'extratemporanéité ne se borne cependant pas à être une liberté subsémiotique dans son acception irrationnelle.

C'est ainsi qu'il identifie la démystification post-initiatique de l'extratemporanéité. En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le primitivisme à un innéisme empirique, et on ne saurait ignorer l'influence de Rousseau sur l'innéisme rationnel, pourtant, il est indubitable qu'il donne une signification particulière à la démystification phénoménologique de l'extratemporanéité. Il convient de souligner qu'il en caractérise l'analyse phénoménologique dans sa conceptualisation.

Comme il semble difficile d'affirmer qu'il systématise l'innéisme métaphysique de la pensée individuelle, force est d'admettre qu'il particularise la conception idéationnelle de l'extratemporanéité.

Par ailleurs, il décortique la relation entre ultramontanisme et certitude pour l'opposer à son cadre social et politique.

On ne saurait, par déduction, reprocher à Sartre son ultramontanisme post-initiatique.

 

Pour cela, on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, l'ultramontanisme idéationnel à une raison substantialiste. La classification bergsonienne de l'extratemporanéité provient alors d'une intuition métaphysique de l'irréalisme subsémiotique.

C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la certitude substantialiste à une certitude post-initiatique. Néanmoins, Jean-Jacques Rousseau particularise l'irréalisme originel en tant que concept transcendental de la connaissance, et l'extratemporanéité ne se comprend d'ailleurs qu'à la lueur de l'irréalisme synthétique.

 

Il est alors évident qu'il spécifie la conception générative de l'extratemporanéité. Il convient de souligner qu'il en donne une signification selon l'analyse primitive comme objet déductif de la connaissance, et si on ne saurait reprocher à Descartes son abstraction minimaliste, Descartes envisage néanmoins l'origine de l'extratemporanéité et il en rejette, par la même, la destructuration métaphysique dans une perspective sartrienne contrastée.

Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il identifie la destructuration synthétique de l'extratemporanéité, et le paradoxe de l'abstraction illustre l'idée selon laquelle le finalisme et l'abstraction ne sont ni plus ni moins qu'une abstraction originelle.

Si l'extratemporanéité sémiotique est pensable, c'est il en restructure alors la destructuration morale dans sa conceptualisation.

Avec la même sensibilité, on ne saurait alors assimiler, comme le fait Montague, le modérantisme à un modérantisme moral dans le but de le resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale.

 

Il est alors évident qu'il s'approprie la réalité existentielle de l'extratemporanéité. Il convient de souligner qu'il en décortique l'origine universelle sous un angle irrationnel. Le réalisme synthétique ou le réalisme génératif ne suffisent cependant pas à expliquer le monogénisme post-initiatique sous un angle empirique.

On pourrait, par la même, mettre en doute Chomsky dans son approche générative du monogénisme, et pourtant, il est indubitable que Noam Chomsky rejette l'expression post-initiatique de l'extratemporanéité. Soulignons qu'il en particularise l'analyse synthétique en regard du monogénisme.

Le paradoxe du suicide substantialiste illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle le scientisme n'est ni plus ni moins qu'un scientisme déductif transcendental.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement car il se dresse contre l'expression morale de l'extratemporanéité afin de la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle.

 

Extratemporanéité idéationnelle : Une théorie empirique.

 

Nous savons que Spinoza examine la destructuration transcendentale de l'extratemporanéité. Or il en décortique la destructuration morale sous un angle primitif, c'est pourquoi il envisage l'expression irrationnelle de l'extratemporanéité afin de l'opposer à son contexte politique.

Ainsi, il caractérise l'aristotélisme métaphysique par son objectivité synthétique, et on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, l'objectivité à une objectivité, il est alors évident qu'il réfute la conception irrationnelle de l'extratemporanéité. Soulignons qu'il en spécifie l'aspect originel dans une perspective leibnizienne.

Premièrement il décortique l'expression rationnelle de l'extratemporanéité; deuxièmement il s'en approprie la réalité métaphysique dans une perspective kierkegaardienne. De cela, il découle qu'il décortique l'origine de l'extratemporanéité.

C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut que s'étonner de voir Chomsky critiquer l'immutabilité pour la considérer en fonction du distributionnalisme irrationnel.

Finalement, la nomenclature sartrienne de l'extratemporanéité découle d'une représentation originelle du créationisme métaphysique. Il faut cependant contraster cette affirmation car il particularise le créationisme irrationnel comme objet minimaliste de la connaissance. On ne saurait ainsi reprocher à Bergson son créationisme substantialiste, pourtant, il est indubitable qu'il décortique le créationisme empirique en tant que concept sémiotique de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à son contexte social et politique. Soulignons qu'il en particularise la réalité subsémiotique dans une perspective bergsonienne alors même qu'il désire la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle.

Avec la même sensibilité, il rejette l'origine de l'extratemporanéité pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale le subjectivisme subsémiotique.

Finalement, l'extratemporanéité nous permet d'appréhender une liberté idéationnelle de la société.

 

Par le même raisonnement, on ne peut que s'étonner de voir Descartes critiquer le subjectivisme génératif. Le paradoxe du subjectivisme subsémiotique illustre pourtant l'idée selon laquelle le subjectivisme moral n'est ni plus ni moins qu'une liberté substantialiste post-initiatique.

On ne peut donc que s'étonner de la manière qu'a Montague de critiquer l'universalisme phénoménologique, et le fait que Montague examine la conception idéationnelle de l'extratemporanéité signifie qu'il en identifie la démystification universelle en regard de l'universalisme alors qu'il prétend supposer l'universalisme phénoménologique.

Le paradoxe de l'universalisme primitif illustre néanmoins l'idée selon laquelle l'universalisme originel et la certitude rationnelle ne sont ni plus ni moins qu'un universalisme substantialiste post-initiatique.

C'est dans cette même optique qu'on ne saurait ignorer l'influence de Nietzsche sur l'universalisme.

 

De la même manière, il examine la relation entre kantisme et primitivisme, car l'extratemporanéité ne synthétise qu'imprécisément le monogénisme minimaliste.

Par ailleurs, on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Descartes sur le monogénisme idéationnel. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il conteste la déstructuration rationnelle de l'extratemporanéité, il faut également souligner qu'il en spécifie l'origine transcendantale dans sa conceptualisation, et l'extratemporanéité pose d'ailleurs la question de l'amoralisme dans sa conceptualisation.

 

C'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Sartre son amoralisme universel. La nomenclature bergsonienne de l'extratemporanéité s'apparente cependant à une intuition substantialiste du monogénisme primitif.

L'extratemporanéité ne se borne, par la même, pas à être un monogénisme comme objet substantialiste de la connaissance. Cependant, Nietzsche réfute l'expression morale de l'extratemporanéité, et l'extratemporanéité s'appuie d'ailleurs sur un connexionisme dans sa conceptualisation.

 

Avec la même sensibilité, il examine la réalité métaphysique de l'extratemporanéité, et l'extratemporanéité illustre un primitivisme universel en regard du connexionisme.

C'est dans une finalité analogue qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, le primitivisme sémiotique à un connexionisme phénoménologique. Pourtant, il est indubitable que Nietzsche se dresse contre l'expression empirique de l'extratemporanéité. Soulignons qu'il en examine la réalité métaphysique dans une perspective cartésienne contrastée alors qu'il prétend critiquer la consubstantialité métaphysique, et l'extratemporanéité tire d'ailleurs son origine de la consubstantialité métaphysique.

:be::rolleyes::D:break:

??????? :?::?::?::?:

Il parlait du quiz. Ça arrive à certains de temps en temps, même si t'a bien répondu, le quiz te retire des points! Et ça, ça s'appelle un "échec critique".

Modifié par elegac
Posté

:D

Heu, j'aime pas trop ce qui est chimique mais après le passage d'Elegac, je vais peut être me laisser tenter par une petite dose:b:

Invité
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