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La Structure De L'univers


Elie l'Artiste

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Posté
(texte cité)

Woops! Il y a quelque chose que tu n' date='as pas saisit comme je le désirais.

Il n'y avait aucun sarcasme, ni pirouettes; je ne faisais que décrire les faits comme tu les présentes.

 

Tu m'excuseras.

[/quote']

Bien sûr que je t' excuse. Cependant :

 

1) Ce ne sont pas les faits comme je les présente, c' est une citation partielle.

2) Tu n' as toujours pas fourni de réponses ... D' où une certaine lassitude ...

Tu m'excuseras.

 

A+

--

Pascal.

  • Réponses 686
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Posté

Je vais relire les 15 dernières pages où tu a placé des messages et je vais relever les questions auxquelles je n,ai pas répondu. C'est le seul moyen qui me reste plusique tu ne les poses pas.

 

D'accord ce sont des citations partielles mais qui n,aident pas au dialogue. Par exemple si je disais: "Mon Dieu que tu es sympa! Ça encourage à dialoguer, mais si j'ajoute: par compte, tu es laid en diable! Je pense que ça nuira à ce qui a été établit auparavant. De toute façon, ce sont des jugements et n'ont pas lieu et place dans une discussion scientifique. J'imagine que nous serons d'accord là-dessus? Non?

 

à +

 

Amicalement

Posté

Voici le résultat:

22 – 15 = 7

Donc je retourne à la page 7 et je relève tes questions :

Page7 = pas de question

Page 8 = pas de question

Page 9 = pas de question, beaucoup de ridiculisation

Page 10

quoi le fait que ta boule lâchée dans un puit de traverse le centre de la Terre à vitesse maximale puis continue à vitesse décroissante vers l' autre orifice pour arriver à vitesse nulle à sa "destination", avant de faire demi-tour , valide ou invalide la notion de gravitation ????

 

A moins que tu ne doutes de ce résultat ?

 

J’ai répondu que j’avais donné une pelle à Universus ce qui éliminait tout ce que tu racontais et précisait le problème.

 

Page 10

Et qui "calcule" puis "creuse" la déformation spatiale en question ? Toi ? Dieu ?

 

J’avais répondu en te demandant sit u te moquais de moi. Peux-tu imaginer une réponse plus adéquate?

 

Page 11

S' il existe une limite à la courbure de l' espace, quelle est-elle ? Qu' est-ce qui empêche la déformation ou la force de se propager ?

Rep : Parce que ce n'est pas une "force" mais une conséquence de la courbure de l'espace; elle ne peut se propager plus loin que la courbure de l'espace.

 

Page 11

Pour quelle raison, puisque dans ta vision tu postules que c' est la géométrie qui détermine tout ?

 

Parce que dans ma vision, c,est la géométrie de l’espace qui détermine tout.

 

Page 12

Quelle est la distance maximale au delà de laquelle l' espace devient plat ?

- Que se passe-t-il à la frontière entre "l' espace plat" et "l' espace pas plat" ? Je serais curieux de le savoir ...

 

J’ai répondu: Le seul??? Incroyable! Personne n'a pensé que les déformations ne s'étendaient pas à tout l'univers après avoir constater que l'ensemble de l'univers est plat.

Et ensuite : Probablement l'équivalent d'un horizon du style de celui d'un trou noir sans que ce soit autour d'un trou noir mais autour d'un déformation de la géométrie de l'espace créée par une masse moindre que celle qui cré un trou noir. Un horizon; tu sais là où commence une courbure de l'univers plat qui se rend jusqu'au trou noir???

 

Page 13

Ah bon ? En quoi est-ce une évidence ?

Quel rapport ?

 

Je n’ai pas répondu

 

Page 16 :

Dans ton discours, Elie, tu parles d' une déformation d' espace. (3 dimensions)

La RG utilise un concept proche (mais pas identique) à celui de "déformation de l' espace-temps) (4 dimensions)

 

Ce n' est pas la même chose.

 

Est-ce plus clair pour toi ?

 

Rep additionnelle:

S’il y a déformation de l’espace-temps 4 dimension, ne crois-tu pas que les trois première dimensions (l’espace) sont déformée?

 

Page 21 :

Bon, les mêmes bonnes vieilles remarques auquelles tu n' as toujours pas répondu s' appliquent, notamment le "léger" problème des ordres de grandeurs (40, quand même. entre l' électromagnetisme et la gravitation).

 

Ce n’est pas une question; seulement un insinuation que les questions existent quelque part (Mais pas dans ces 15 pages). Mais j’avais répondu à celle-ci, en disant que je ne tenais pas compte des forces fondamentales parlant d’une époque reculée où elle ne se manifestaient pas encore.

 

Page 22

A au moins 10^40 près. ça laisse peu de marge pour pouvoir encore y "croire", non ?

 

Rep non nécessaire puisqu’on par;le d’une théorie et qu’il n,est pas question de « croire » à quoi que ce soit mais d’essayer de comprendre.

 

Page 22

JE nous entraine ? Qui a été chercher la "force de gravité" ? Moi peut-être ?

 

Rep: Non c’est moi en disant que tu y croyais. Si ce n'est pas le cas, excuse-moi; mais j’insiste pour savoir : Est-ce que tu crois à la force de gravité?

 

En fin de compte il n’y a pas de questions tellement valables et il n’y en a pas vraiment à laquelle je n'ai pas répondu. Donc, il faudra que tu les redéfinissent si tu veux une réponse. Mais tu as l'habitude d’objecter d'autres théories à celles qui sont discutées. Ça donne l’impression de parler pour parler …D' où une certaine lassitude ...

Tu m'excuseras.

 

Mais je le répète: le spin est un mouvement et le mouvement jusqu'ici donne des explications valables; et je vais sûrement continuer à l'étudier aussitôt que j'en aurai l'occasion. :lol::mdr:

 

 

Amicalement

Posté

OK. On va repartir du début, donc :

Je vais essayer de rester constructif, enterrons la hache de guerre des attaques personnelles pour un moment.

Je vais numéroter les questions:

 

Le texte ci-dessous est la citation d' un de mes messages (octobre de l' année dernière, au début de ce fil).

Il représente ma comprehension de ta prose à l' époque. Je n' ai pas le sentiment que ta position ait évolué depuis (mais je peux me tromper, j' avoue ne pas avoir relu l' intégralité de tes messages entre temps).

 

Je vois plutot dans tout ça un mélange de descriptions et de postulats sans liens entre eux.

 

Je vais tenter de résumer ce que j' ai compris de ce post:

 

Elie extrapole à haute énergie la physique issue de la mécanique quantique des champs et de ses dérivés (qui sont pourtant des théories perturbatives, donc non extrapolables vers l' ultraviolet)

 

D' autre part, il tente de vulgariser les concepts de la relativité générale (la géométrie locale de l' espace-temps dépends de densité d' énergie locale, autrement dit : la densité locale de l' énergie/matière définit la géométrie locale de l' espace-temps, et la géométrie locale de l' espace-temps définit la propagation de l' énergie/matière).

Au passage, il "oublie" une dimension (le temps)

 

Au milieu de tout ça (mais sans connection logique claire, en tout cas je n' en ai pas vu), il postule que la matière serait "de l' expansion négative ponctuelle". C' est un cas particulier de ce que dit la RG ("la ou il y a de la matière , il y a déformation de l' espace").

 

Maintentant, pour les critiques (constructives, j' espère):

 

Elie prends quelques libertés avec la physique quantique, en ne tenant pas compte du fait que moins une particule est massive, plus la probabilité d' apparition du couple particule/anti-particule est élevé, et donc sa description de "l' époque de Planck" ne tient pas debout à mon sens. Par ailleurs, son extrapolation est hallucinante. Pour la visualiser, sur une échelle de distance, c' est assimiler une distance d' un mètre à celle d' une année-lumière (10^16).Sachant que la physique "vérifiée" irait, dans cette analogie, jusqu' à des distances de l' ordre de 100m Personne ne sait RIEN de ce qui se passe à une telle échelle (sauf les frères Bogdanoff, peut-être).

 

Postuler un espace continu alors que la théorie sur laquelle il s' appuie (la relativité générale) prédit des singularités, me semble au minimum nécéssiter de justifier cette position. Vu que la théorie de gravitation quantique n' existe toujours pas, ça ne devrait pas être facile (la RG marche bien à condition que la densité de matière/énergie soit faible).

 

Et je ne vois pas bien quelle est la valeur du postulat "matière=expansion négative", trop simpliste, puisque les propriétés de la matières "non massive" (c.à.d. en négligeant la masse dans l' énergie totale du systeme observé) , qui obéissent à un groupe de symétries SU(3)xSU(2)xU(1) soit les intéractions forte, faible, et électromagnétiques, ont manifestement plus de structure que de l' "expansion négative".

 

Ah, je trouve qu' il manque un chapitre sur l' anti-matière aussi ...

 

Amicalement,

--

Pascal.

Maintenant, reformulons les questions qui se posent:

 

1) Dans la citation ci-dessus, peux-tu m' indiquer quels sont les points sur lesquels je déforme tes propos ?

 

2) Qu' est-ce qui te fait croire que tu peux éliminer la dimension temporelle de la relativité générale et continuer d' avoir un bon accord entre ta théorie de "déformation spatiale" et l' expérience ? Tu ne peux pas t' attribuer les résultats des recherches en cosmologie, puisque ceux-ci se placent dans un cadre théorique précis. Il faut donc uniquement utiliser les mesures, pas l' interprétation des mesures. En particulier, le résultat "l' espace est plat" est vrai pour l' espace au sens de la relativité générale , pas pour l' espace de Newton ou de la théorie des cordes. Qu' en est-il de l' espace à 3 dimensions non euclidien d' Elie ?

 

3)Qu' est-ce qui te fait croire que tu peux extrapoler le comportement observé des particules jusqu' à l' ère de Planck, sur laquelle on ne sait rien ? En particulier, ta chronologie gluons-> quarks -> leptons+hadrons etc s' appuie sur quoi ? Si comme tu le crois, l' interaction forte "n' existe pas" au début, pourquoi y aurait-il des gluons et des quarks (qui sont sensibles à l' intéraction forte) ?

 

4) Sur l' explication "toutes les forces dérivent de l' expansion", quel est alors l' explication des symétries observées SU(3)xSU(2)xU(1) dans les expériences de physique des particules, puisque l' expansion est homogène et isotrope. Qu' est-ce qui génère cette structure ?

 

5) Si la matière est confinée par un champ d' expansion négative (au passage, ça ressemble furieusement à une force d' attraction, cette expansion négative), pour quelle raison est-il infiniment plus puissant que le champ d' expansion positif (celui responsable de l' expansion cosmologique, parfaitement indétectable localement) ? Qu' est-ce qui le restreint à la zone de l' espace dans laquelle se trouve la matière ? Comment s' interprête une collision électron-positron dans ce modèle ? (plus de matière -> plus de déformation spatiale ? )

 

6) comment s' interprête l' anti-matière dans ce cadre ?

 

7) Pour toi un électron et un neutron sont tous deux des déformations spatiales contenant de l' énergie. Pourquoi peut-on faire se déplacer la déformation spatiale de l' électron (avec ce qu' on convient d' appeler un champ électrique), mais pas la déformation spatiale du neutron ?

 

8) Pourquoi la déformation spatiale du neutron et celle de l' électron se déplacent-elles dans la déformation spatiale de la Terre ?

 

Mes questions sont-elles plus claires ainsi ? Merci d' essayer d' y répondre sans revenir à ce que je crois ou pas. C' est sans rapport avec le sujet.

 

A+

--

Pascal.

Posté
Je vais essayer de rester constructif, enterrons la hache de guerre des attaques personnelles pour un moment.

 

Quant à moi, je l'enterrais pour toujours tellement c'est inconstructif. ;)

 

Là, ce message, j'aime beaucoup. Une série de questions précises et objectives. Premièrement, je ne crois pas que tu aies déformé mes propos dans ce message.

 

Le no 1 est déjà répondu plus haut.

 

No 2:

2) Qu' est-ce qui te fait croire que tu peux éliminer la dimension temporelle de la relativité générale et continuer d' avoir un bon accord entre ta théorie de "déformation spatiale" et l' expérience ?

La RG parle de déformation de l'espace-temps qui possède 4 dimensions. Comme je te l'ai déjà mentionné, si 4 dimensions sont déformées, les 3 dimensions représentant l'espace sont alors déformées. Éliminer le temps (4e dimension) n'empêche pas le "fait" que l'espace soit déformé; et comme ce n'est pas le temps qui est la cause de cette déformation des 4 dimensions, la cause des déformations n'est pas "altérée" par le fait que je ne considère pas le facteur temps.

 

Au sujet de "l'espace qui est plat", les expériences nous affirment qu'il est plat. Que ces expériences soient basées sur l'une ou l'autre théorie, l'expérience indique un "fait" et non une interprétation. Dire que le "fait" univers plat devrait plutôt être "univers presque plat" à cause du peu d'imprécision possible durant l'expérience est là, une interprétation du "fait".

 

No 3:

Qu' est-ce qui te fait croire que tu peux extrapoler le comportement observé des particules jusqu' à l' ère de Planck, sur laquelle on ne sait rien ? En particulier, ta chronologie gluons-> quarks -> leptons+hadrons etc s' appuie sur quoi ? Si comme tu le crois, l' interaction forte "n' existe pas" au début, pourquoi y aurait-il des gluons et des quarks (qui sont sensibles à l' intéraction forte) ?

 

Excellente question! Je peux extrapoler sur le comportement observé des particules comme tout le monde scientifique le fait pour déterminer l'expérience à venir. Quant à extrapoler jusqu'à l'ère de planck, c'est aussi ce que font les théoricien; ils extrapolent même jusqu'à l'instant zéro.

Maintenant au sujet de ma "chronologie". Cette idée n'est pas venue "ex nihilo". La science elle-même la suggère avec la nomenclature des 12 briques fondamentales divisée en "trois générations" de particules. Avouons que trois générations suggère une chronologie généalogique. Et si ce n'est pas suffisant comme indication, contatez les taux d'énergie, de densité etc ...et vous y verrez une diminution progressive de ces valeurs selon la génération. Diminution progressive que l'onretrouve en parrallèle dans l'histoire de l'univers. Et pour couronner ce raisonnement, le concept même d'évolution "à partir de rien" indique déjà la grande possibilité du départ de l'évolution à partir d'une unique particule ou d'un unique "état d'énergie" qui se serait "désintégré" vers la multiplicité. Cela concorde également avec la théorie de l'entropie.

 

Pour l'existence des gluons et des quarks, elle est prouvée. Ce qui est très discutable, est plutôt l'attribution d'un force nucléaire forte à la particule nommée gluon qui lui fait "confiner" les quarks. Dans le plasma gluons-quarks, les gluons sont en présence de quarks qui sont libres, Les gluons ne sont donc pas strictement des vecteurs de la force nucléaire forte. D'ailleurs celle-ci est une "interprétation" explicative de la non-séparabilité des quarks dans un proton/neutron; la force n'est pas un "fait"; le "fait" est le confinement des quarks. La force n'en est qu'une explication interprétée selon le fait.

 

No 4:

Sur l' explication "toutes les forces dérivent de l' expansion", quel est alors l' explication des symétries observées SU(3)xSU(2)xU(1) dans les expériences de physique des particules, puisque l' expansion est homogène et isotrope. Qu' est-ce qui génère cette structure ?

Le Modèle Standard est une théorie de jauge fondée sur un groupe de jauge SU(3)xSU(2)xU(1). Le mécanisme de Higgs y joue un autre rôle crucial : il permet aux quarks et leptons d'acquérir des masses. Dans ma "thorie", ce sont les déformations qui leur permettent d'acquérir des masses et même qui les créent. Le boson de Higgs reste encore à mettre en évidence. Malgré son grand succès, le Modèle Standard n'est pas une théorie complète des particules élémentaires et de leurs interactions fondamentales de la Nature. Il comporte plus d'une vingtaine de paramètres qui doivent être mesurés par des expériences, alors que les physiciens préfèrent toujours expliquer les phénomènes pas un nombre restreint de paramètres. En particulier, le Modèle Standard n'explique pas pourquoi la charge du proton est égale à celle de l'électron (en valeur absolue), alors que toutes les expériences effectuées jusqu'à présent le montrent.

Le Modèle Standard ne décrit pas l'interaction gravitationnelle. La mienne en tient compte comme étant une conséquence des déformations. Il est clair qu'une théorie fondamentale doit la prendre en compte. C'est pourquoi les physiciens doivent explorer de nouvelles pistes.

Donc, une nouvelle piste qui élimine la force de gravité et la force nucléaire forte pour parvenir à expliquer les "faits" observés sans interaction magique mais simplement par la formation précoce de déformations spatiales, serait une piste intéressante. Et j'ajoute que si l'entropie augmenta avec le temps, l'explication résidant à l'origine de l'univers ne devrait pas être aussi complexe que les explications proposées jusqu'ici. Et comme l'explication fournie par le modèle standard n'est pas complète, tu es un peu excessif en me demandant à ma "théorie" une explication parfaite. ;)

 

No 5 La réponse à cette question est plutôt longue et tu ne la poserais pas si tu avais lu la description totale de ma proposition. C'est un peu malheureux. Mais si tu le veux, nous pourrions y revenir.

 

No6

comment s' interprête l' anti-matière dans ce cadre ?

Comme dans tous les autres cadres. Que l'on parle de "force de gravité" ou de "déformation spatiale" ne change rien sur ce cas.

 

No 7

7) Pour toi un électron et un neutron sont tous deux des déformations spatiales contenant de l' énergie. Pourquoi peut-on faire se déplacer la déformation spatiale de l' électron (avec ce qu' on convient d' appeler un champ électrique), mais pas la déformation spatiale du neutron ?

 

Le neutron est définitivement formé (pour moi) par une déformation spatiale; par contre, je n'ai pas résolu le problème de l'électron qui ne se retrouve jamais dans la déformation d'un neutron mais se retrouve dans celle d'un proton.Ayant une masse il est formé par une déformation spatiale. Par contre, l'équilibre entre polarité est une condition incontournable pour la stabilité dans notre univers. Cet équilibre résultant en polarité neutre indiquerait pourquoi l'électron ne peut s'attacher à un neutron. Ce serait alors une question d'électromagnétisme. (Mais pas nécessairement une "force" électromagnétique"; c'est encore une question de "concept")

 

no 8

Pourquoi la déformation spatiale du neutron et celle de l' électron se déplacent-elles dans la déformation spatiale de la Terre ?

 

Comme la déformation spatiale de la Lune se déplace aussi dans la déformation spatiale de la Terre, tout simplement parce que tout ce qui existe dans l'univers est détenteur d'un mouvement intrinsèque; rien n'est "immobile" que ce soit hors déformation spatiale ou pas. Et comme tu le soulignes très bien, il est fort probable que c'est effectivement la déformation spatiale qui se déplace entraînant la matière ou l'énergie qu'elle contient. Ce mouvement serait alors relié d'une certaine façon au mouvement fondamental d'expansion. Tu remarqueras que deux faits très simples expliquent à peu près tout de ce que nous observons: 1) Un mouvement intrinsèque à tout ce qui existe et 2) des déformations spatiales responsables à la production de matière par "accrétion" d'énergie.

 

Mes questions sont-elles plus claires ainsi ? Merci d' essayer d' y répondre sans revenir à ce que je crois ou pas. C' est sans rapport avec le sujet.

 

Ce n'est pas seulement plus clair, c'est même d'un intérêt extraordinaire et j'ai rarement eu autant de plaisir à faire face à des questions pertinentes et intelligentes. Tu m'as présenté des "faits" de façon objective et j'ai essayé d'y répondre de la même façon. Malheureusement le nombre de question allonge beaucoup le message-réponse que j'ai tenté de raccourcir au max. Si tu veux reprendre ce "brossage" général par petites parties, ça me fera plaisir d'élaborer un peu plus.

 

Merci encore une fois ArthurDent. ;)

 

Amicalement

Posté

salut à tous :)

 

 

Débat passionnant ;)

 

je vous laisse finir et après j' irai de quelques commentaires

 

pour l' instant , je ne veux pas déranger votre débat :jesors:

 

mais je vous lis ;)

 

 

 

amicalement

Posté

La RG parle de déformation de l'espace-temps qui possède 4 dimensions. Comme je te l'ai déjà mentionné, si 4 dimensions sont déformées, les 3 dimensions représentant l'espace sont alors déformées.

Pas nécéssairement. On peut s' arranger pour projeter un espace courbe à 4 dimensions sur un espace plat à 3 dimensions.

De plus , la RG ne marche pas en 3 dimensions. Supprimer une des dimensions dans le formalisme de la RG suffit à la rendre incohérente.

Éliminer le temps (4e dimension) n'empêche pas le "fait" que l'espace soit déformé; et comme ce n'est pas le temps qui est la cause de cette déformation des 4 dimensions, la cause des déformations n'est pas "altérée" par le fait que je ne considère pas le facteur temps.

L' affirmation précédente est fausse. Dissipons un malentendu : En RG les 4 coordonnées ne sont pas immuablement figées : Par changement de coordonnée ce qui était de l' espace devient du temps. Et l' Espace en RG est un concept précis, qui ne PEUT PAS posséder seulement 3 dimensions. Ce que tu appelles l' espace est donc autre chose, et RIEN ne permet de le mettre en correspondance avec celui de la RG.

Au sujet de "l'espace qui est plat", les expériences nous affirment qu'il est plat. Que ces expériences soient basées sur l'une ou l'autre théorie, l'expérience indique un "fait" et non une interprétation. Dire que le "fait" univers plat devrait plutôt être "univers presque plat" à cause du peu d'imprécision possible durant l'expérience est là, une interprétation du "fait".

Faux également. Quand tu lis dans une publication de vulgarisation "l' espace est plat", ça correspond non pas à un "fait", mais à l' interprétation d' observations (en l' occurence, des objets lumineux dont la magnitude absolue est supposée connue) dans le cadre d' une théorie (le Big Bang inflationnaire) qui repose sur la RG. C' est donc l' espace de la RG qui est plat. Pas l' espace à 12 dimensions de la théorie des cordes , ni celui fractal de JP Luminet, et pas non plus celui d' Elie !

l' "ESPACE" n' est pas un observable. Il n' y a pas un quadrillage gradué s' étendant à l' infini qui permettrait de dire où se trouve le Soleil. Et plein d' expériences montrent que même si ces graduations existaient, 2 observateurs différents ne seraient pas souvent d' accord sur la lecture de ces graduations ...

 

A+

--

Pascal.

Posté

Pour l'existence des gluons et des quarks, elle est prouvée. Ce qui est très discutable, est plutôt l'attribution d'un force nucléaire forte à la particule nommée gluon qui lui fait "confiner" les quarks. Dans le plasma gluons-quarks, les gluons sont en présence de quarks qui sont libres, Les gluons ne sont donc pas strictement des vecteurs de la force nucléaire forte. D'ailleurs celle-ci est une "interprétation" explicative de la non-séparabilité des quarks dans un proton/neutron; la force n'est pas un "fait"; le "fait" est le confinement des quarks. La force n'en est qu'une explication interprétée selon le fait.

 

Les gluons, les quarks et l' intéraction forte (et faible, et electromagnétique) sont des termes décrivant une interprétation d' expériences de collisions.

On observe pas un gluon, un quark, un électron ou un proton. On observe l' échauffement d' un calorimètre, l' apparition d' un courant électrique dans un détecteur, la présence d' une bulle dans une chambre à bulle.

Ces données expérimentales sont ensuite corrélées , on regroupe les éléments fortement corrélés, et tout ça permet de fabriquer ou de valider une théorie.

Les gluons , les quarks et l' interaction nucléaire forte sont 3 élements de cette théorie. Ce ne sont pas des petites boules colorées et une flèche, ce sont des opérateurs , des valeurs propres et des équations.Si on supprime l' intéraction forte, il n' y a aucune raison de garder les quarks ni les gluons.

 

De plus, le fait que les quarks cessent d' être confinés au delà d' une certaine densité d' énergie est une prédiction de la théorie chromodynamique (pour laquelle les gluons sont les vecteurs d' intéraction forte). Il n' y a donc AUCUNE raison de la remettre en question ( rasoir d' Occam). Cette théorie (avec intéraction forte) marche en régime basse énergie, pour lequel les quarks sont confinés. Bien. Elle marche aussi quand les quarks ne sont plus confinés : Encore mieux ! Pourquoi veux-tu aller en chercher une autre si celle-ci fonctionne ? ça n' est pas une approche scientifique. En science, on ne change de théorie pour une autre (généralement plus compliquée, à moins que tu n' ai un contre-exemple) qu' en cas de nécéssité (comme par exemple lorsque la théorie précédente n' est pas suffisante pour rendre compte des observations, ou qu' un "trop grand" nombre de paramètres sont nécéssaires pour expliquer un comportement observé, ou encore que deux comportements semblables sont expliqués par deux théories très différentes)

 

A+

--

Pascal.

Posté
Supprimer une des dimensions dans le formalisme de la RG suffit à la rendre incohérente.

 

Mais ça ne propulse pas l'espace dans l'inexistance. J'essaie de comprendre la formation de l'univers et non de prouver la RG.

 

Pas nécéssairement. On peut s' arranger pour projeter un espace courbe à 4 dimensions sur un espace plat à 3 dimensions.

 

Mais dans ce cas, se retrouve-t-on dans un univers à 7 dimensions???

 

 

Ce que tu appelles l' espace est donc autre chose, et RIEN ne permet de le mettre en correspondance avec celui de la RG.

 

D'accord. Dans ce cas, puisque: "Par changement de coordonnée ce qui était de l' espace devient du temps" il suffit de ne pas changer les coordonnées pour garder l'espace. De toute façon, ce n'est pas la RG qui a créé l'espace et le temps; la RG en est une explication plus ou moins plausible basée sur des données factuelles que l'on observe. On peut se permettre d'interpréter ces données factuelles d'une autre façon sans détruire l'univers. ;)

 

 

 

C' est donc l' espace de la RG qui est plat. Pas l' espace à 12 dimensions de la théorie des cordes , ni celui fractal de JP Luminet, et pas non plus celui d' Elie !

 

Woops! C'est plus fort que toi!!! Mais oui, effectivement celui d'Élie est également "plat". Bon je laisse passer et je te ferai simplement remarquer que l'espace qui m'intéresse n'est pas l'espace de la RG, ni l'espace à 12 dimensions plus ou moins élucubratoires, ni l'espace fractal qui sont, finalement, toutes des interprétations de l'espace observé et étudié. C'est cet espace avant interprétations qui m'intéresse; l'espace dans lequel se trémousse l'univers.

 

Au sujet de l'univers plat, ce qui m'énerve est qu'on se demande si l'univers est fermé, plat ou ouvert. On recherche donc un "fait". Les calculs découlant des observations dirige notre opinion vers le "fait" recherché comme étant un univers "plat" et on se garde une marge de sécurité en disant "presque plat". On ne dit pas ouvert ou fermé, ni presqu'ouvert ou presque fermé, on affirme "presque plat". C'est assez significatif, je crois.

 

l' "ESPACE" n' est pas un observable. Il n' y a pas un quadrillage gradué s' étendant à l' infini qui permettrait de dire où se trouve le Soleil. Et plein d' expériences montrent que même si ces graduations existaient, 2 observateurs différents ne seraient pas souvent d' accord sur la lecture de ces graduations ...

 

Ce qui, tu en conviendras, ne nous permet pas de dire que le Soleil est "nulle part". ;) Par contre l'espace s'étend aussi loin qu'il s'étend, sans être, ni quadrillé, ni particulaire. L'espace s'étend uniformément sans coupures sur toute sa propre "espace disponible" étant justement, le seul espace disponible . Et ça n'a aucun rapport avec la perception de deux observateurs. À moins que tu crois que l'observation cré le "fait". Ce que je ne suis pas près à concéder dans un débat scientifique. Une perception devient une interprétation du "fait" perçu. L'espace est un "fait", ce que nous en pensons est une interprétation représentant avec plus ou moins d'exactitude "ce fait". C'est d'ailleurs pourquoi les "théories" se rapprochent de cette exactitude représentant les "faits", avec l'apport de nouvelles infos.

 

Amicalement

Posté
(texte cité)

No 4:

 

Le Modèle Standard est une théorie de jauge fondée sur un groupe de jauge SU(3)xSU(2)xU(1). Le mécanisme de Higgs y joue un autre rôle crucial : il permet aux quarks et leptons d'acquérir des masses. Dans ma "thorie"' date=' ce sont les déformations qui leur permettent d'acquérir des masses et même qui les créent. Le boson de Higgs reste encore à mettre en évidence[/b']. Malgré son grand succès, le Modèle Standard n'est pas une théorie complète des particules élémentaires et de leurs interactions fondamentales de la Nature. Il comporte plus d'une vingtaine de paramètres qui doivent être mesurés par des expériences, alors que les physiciens préfèrent toujours expliquer les phénomènes pas un nombre restreint de paramètres. En particulier, le Modèle Standard n'explique pas pourquoi la charge du proton est égale à celle de l'électron (en valeur absolue), alors que toutes les expériences effectuées jusqu'à présent le montrent.

Le Modèle Standard ne décrit pas l'interaction gravitationnelle. La mienne en tient compte comme étant une conséquence des déformations. Il est clair qu'une théorie fondamentale doit la prendre en compte. C'est pourquoi les physiciens doivent explorer de nouvelles pistes.

Donc, une nouvelle piste qui élimine la force de gravité et la force nucléaire forte pour parvenir à expliquer les "faits" observés sans interaction magique mais simplement par la formation précoce de déformations spatiales, serait une piste intéressante. Et j'ajoute que si l'entropie augmenta avec le temps, l'explication résidant à l'origine de l'univers ne devrait pas être aussi complexe que les explications proposées jusqu'ici. Et comme l'explication fournie par le modèle standard n'est pas complète, tu es un peu excessif en me demandant à ma "théorie" une explication parfaite. ;)

 

Si ta théorie n' est pas au moins aussi puissante que les théories existantes, il est inutile de continuer. A quoi servirait aujourd' hui de construire une théorie améliorant les épicycles ?

Tu affirme que ta théorie unifie les particules et l' intéraction gravitationnelle. Que je sache, tu ne nous a toujours pas montré pourquoi les lois de Kepler sont justes avec ta théorie, comment calculer la chaleur dégagée par la collision de deux particules de masse donnée et de vitesse connue, ni quelle est la section efficace de désintégration du neutron libre. Tout ça est faisable avec les théories actuelles (même si les calculs sont compliqués).

Les physiciens theoriciens ont comme boulot d' explorer de nouvelles pistes. C' est ce qu' ils font. Si tu va sur http://www.arxiv.org, tu verras qu' il existe une catégorie "general relativity/quantum cosmology"

http://www.arxiv.org/list/gr-qc/0601 : 125 articles rien que pour le mois de Janvier.

Tu ne vas pas aimer ça, mais pour faire mieux que l' état actuel des connaissances, il faut commencer par maitriser pas mal de mathématiques et de physique, non pas parce que les chercheurs font exprès de rendre eur théories compliquées, mais parce que toutes les théories simples sont arrivées à leurs limites.

Quant à croire que le second principe de la thermodynamique suffit à déduire que les lois de la physique sont simple, c' est trop rapide pour moi. Je ne te suivrais pas sur ce terrain.

Posté
(texte cité)

Mais ça ne propulse pas l'espace dans l'inexistance. J'essaie de comprendre la formation de l'univers et non de prouver la RG.

Bien entendu. Mais dans ce cas' date=' de deux choses l' une :

- Soit ta théorie contient la RG, et tu peux utiliser toutes les résultats de celle-ci comme bon te semble

- Soit ce n' est pas le cas, ET TU NE PEUX EN UTILISER AUCUN.

Comme tu nous a de nombreuses fois montré que ce n' était pas le cas, je t' engage à faire attention de ne pas citer de résultats provenant de cette théorie sans avoir préalablement prouvé qu' ils sont également valables dans la tienne.

Mais dans ce cas, se retrouve-t-on dans un univers à 7 dimensions???

Quand on projette 4 dimensions sur 3 , on se retrouve dans un espace à 3 dimensions, pas 7.

D'accord. Dans ce cas, puisque: "Par changement de coordonnée ce qui était de l' espace devient du temps" il suffit de ne pas changer les coordonnées pour garder l'espace. De toute façon, ce n'est pas la RG qui a créé l'espace et le temps; la RG en est une explication plus ou moins plausible basée sur des données factuelles que l'on observe. On peut se permettre d'interpréter ces données factuelles d'une autre façon sans détruire l'univers. ;)

Bien sûr. Mais il faut repartir des données factuelles, pas des résultats de la théorie non plausible.

 

Woops! C'est plus fort que toi!!! Mais oui, effectivement celui d'Élie est également "plat". Bon je laisse passer et je te ferai simplement remarquer que l'espace qui m'intéresse n'est pas l'espace de la RG, ni l'espace à 12 dimensions plus ou moins élucubratoires, ni l'espace fractal qui sont, finalement, toutes des interprétations de l'espace observé et étudié. C'est cet espace avant interprétations qui m'intéresse; l'espace dans lequel se trémousse l'univers.

Encore faudrait-il en donner une définition qui soit conforme avec l' état actuel des connaissances. En particulier, il va falloir que dans ton espace (qui m' a tout l' air d' être absolu, puisqu' il ne dépends pas de l' observateur), les redshifts de valeur > 1 et la durée de vie des particules énergétiques soit expliqués.

Encore une fois, ON N' OBSERVE PAS L' ESPACE. ou alors, il va falloir que tu explique comment.

 

Moi aussi je trouve qu' il serait plus simple que l' espace soit absolu et le temps le même pour tous. Mais malheureusement, il ne semble pas en être ainsi.

 

A+

--

Pascal.

Posté
Si ta théorie n' est pas au moins aussi puissante que les théories existantes, il est inutile de continuer.

 

Mais que ce soit la mienne ou celle d'un autre, si elle explique mieux et plus facilement, elle devient alors plus puissante et nous sommes d'accord.

 

 

Quant à croire que le second principe de la thermodynamique suffit à déduire que les lois de la physique sont simple,

 

Il suffit à indiquer la possibilité que les lois de la physique se sont développées vers la complexité; donc qu'à l'origine elles étaient plus simple. Mais tu as le droit de ne pas considérer valable le second principe de la thermodynamique et de ne l'appliquer que là où ça te plaît. ;) Personnellement, lorsque je fais face à une loi, j'essaie de l'appliquer partout et si ça ne fonctionne pas quelque part, je me pose de sérieuses questions.

 

Soit ce n' est pas le cas, ET TU NE PEUX EN UTILISER AUCUN.

 

Donc il m'est défendu de me servir du concept "déformation de la géométrie de l'espace" dans ma théorie. C'est bien ce que tu veux dire?

 

Quand on projette 4 dimensions sur 3 , on se retrouve dans un espace à 3 dimensions, pas 7.

 

Ah bon! Donc on élimine une dimension. Dans ce cas, tu n'auras aucun problème avec ma théorie n'impliquant que l'espace.

 

Bien sûr. Mais il faut repartir des données factuelles, pas des résultats de la théorie non plausible.

 

Dans ce cas, disons que l'espace possède trois dimensions et que le temps n'est qu'une interprétation du mouvement. C'est le côté "nouveau" de ma "théorie". Une hypothèse de base que l'on ne peut pas changer.

 

Encore faudrait-il en donner une définition qui soit conforme avec l' état actuel des connaissances. En particulier, il va falloir que dans ton espace (qui m' a tout l' air d' être absolu, puisqu' il ne dépends pas de l' observateur),

 

Cette simple phrase signifie que, pour toi, l'espace existe exclusivement parce que l'observateur existe. C'est très possible mais pas scientifique. L'espace existe en dépit de l'observation. Tu n'observes pas le pont de québec actuellement ce qui ne le relégue pas dans "l'inexistence". D'accord, lorsque je serai mort, l'univers que j'imaginais grâce à la perception de mon environnement sera "inexistant"; mais ça ne changera rien à l'univers qui est. Il faut séparer les interprétations des faits. Dans les faits, le chat de Schrodinger dans sa boîte est soit mort ou soit vivant; il ne peut pas être les deux à la fois, même si la boîte est encore fermée. Par contre l'observateur devant la boîte fermée peut interpréter le chat mort ou vivant à son choix.

 

les redshifts de valeur > 1 et la durée de vie des particules énergétiques soit expliqués.

 

Le Redshift est une "interprétation" de l'observateur; ça ne change pas du tout la vitesse et la nature de l'objet.

 

Encore une fois, ON N' OBSERVE PAS L' ESPACE. ou alors, il va falloir que tu explique comment.

 

Mais oui; ON OBSERVE L'ESPACE en observant le mouvement des objets qui s'y déplacent; et on interprète nos observations en essayant de s'approcher le plus près possible de la réalité de cet espace observée et interprétée. Si je vois la vie en rose, j'interprète mon observation de la vie; ça ne signifie pas qu'elle est rose. Si je trouve une femme belle, c'est mon interprétation de la beauté que j'applique à cette femme et ça n'a aucun rapport avec la réalité de la femme observé puisque pour quelqu'un d'autre, elle est peut-être laide. Par contre, si je lui vois deux têtes quatre bras et quatre jambes, c'est probablement parce que j'ai trop bu et que mon interprétation de la femme devant moi est faussée. Ça ne signifie nullement que cette femme n'a pas une seule tête, deux bras et deux jambes.

 

Accordons-nous alors sur un point: la vitesse de la lumière est la même pour tous. D'accord?

Et le temps est le même pour tout ce qui se déplace à la vitesse de la lumière. D'accord?

Et la distance (donc l'espace) est la même pour tout ce qui se déplace à la vitesse de la lumière. D'accord?

 

Ce n'est peut-être pas trois "absolus" mais ce n'est pas loin. ;)

 

Amicalement

Posté
(texte cité)

Mais tu as le droit de ne pas considérer valable le second principe de la thermodynamique et de ne l'appliquer que là où ça te plaît. ;) Personnellement' date=' lorsque je fais face à une loi, j'essaie de l'appliquer partout et si ça ne fonctionne pas quelque part, je me pose de sérieuses questions.

[/quote']

Tu recommences à détourner le sens de ce qu' on te dis. C' est fatigant. Que le second principe soit valable ou pas en cosmologie est un autre sujet, il reste qu' il n' est pas suffisant à lui tout seul pour en déduire que les lois physiques sont simples. Bien entendu tu peux toujours poser le principe "les lois de la physiques sont simples" ...

 

Donc il m'est défendu de me servir du concept "déformation de la géométrie de l'espace" dans ma théorie. C'est bien ce que tu veux dire?

Ah bon! Donc on élimine une dimension. Dans ce cas, tu n'auras aucun problème avec ma théorie n'impliquant que l'espace.

Je n' ai aucun problème avec ta théorie, puisque je suis convaincu qu' elle ne mène à rien car incompatible avec des théories par ailleurs validées par l' expérience. J' essayes juste de t' expliquer pour quelles raisons il en est ainsi. Mais c' est difficile parce que :

1) je ne suis pas un bon vulgarisateur, et j' ai des lacunes comme tout le monde

2) tu refuses d' aller sur le terrain des mathématiques , ce qui complique énormément les raisonnements et les réfutations.

 

Cette simple phrase signifie que, pour toi, l'espace existe exclusivement parce que l'observateur existe.

Pas du tout. Ce que je veux dire, c' est que l' espace n' est pas la notion intuitive qu' on en a au quotidien , c' est une relation entre objets et non un objet en tant que tel. Et cette relation prends des formes différentes selon l' observateur (ce qui ne veux pas dire que qu' elle prends n' importe quelle forme).

 

Dans les faits, le chat de Schrodinger dans sa boîte est soit mort ou soit vivant; il ne peut pas être les deux à la fois, même si la boîte est encore fermée. Par contre l'observateur devant la boîte fermée peut interpréter le chat mort ou vivant à son choix.

Dans le cas du chat , je te l' accorde. Mais ce paragraphe est faux dans le cas des objets pour lesquels la mécanique quantique domine (et pas seulement pour les systèmes constitués de quelques particules).L' expérience d' Aspect et ses nombreuses vérifications l' ont brillament démontré.

Le Redshift est une "interprétation" de l'observateur; ça ne change pas du tout la vitesse et la nature de l'objet.

OK. Le redshift est une interprétation d' une comparaison entre le spectre d' un objet astronomique, comparé au spectre d' éléments chimiques observés sur Terre. Cette interprétation repose sur 2 hypothèses :

1) La structure de la matière des objets astronomiques est similaire à celle des éléments chimiques observables en laboratoire

2) Les lois de l' électromagnétisme sont les mêmes pour les objets astronomiques observés que celles du laboratoire.

Il est clair que si l' une de ces 2 hypothèses est fausse, on ne peut rien dire.

 

Mais oui; ON OBSERVE L'ESPACE en observant le mouvement des objets qui s'y déplacent; et on interprète nos observations en essayant de s'approcher le plus près possible de la réalité de cet espace observée et interprétée.

Donc l' espace est une interprétation. On ne l' observe pas directement. Ce qu' on observe, SELON TOI , c' est le mouvement des objets.

 

Accordons-nous alors sur un point: la vitesse de la lumière est la même pour tous. D'accord?

OK.

Et le temps est le même pour tout ce qui se déplace à la vitesse de la lumière. D'accord?

Précise ce que tu veux dire par là (le temps propre , celui mesuré par une hypothétique horloge liée a l' objet (référentiel dans lequel l' objet ne se déplace pas), ou le temps mesuré par l' observateur pour lequel l' objet se déplace ?

Et la distance (donc l'espace) est la même pour tout ce qui se déplace à la vitesse de la lumière. D'accord?

Même question que ci-dessus;

Ce n'est peut-être pas trois "absolus" mais ce n'est pas loin. ;)

Au contraire, on en est aussi loin que possible ;)

Posté
Tu recommences à détourner le sens de ce qu' on te dis. C' est fatigant. Que le second principe soit valable ou pas en cosmologie est un autre sujet, il reste qu' il n' est pas suffisant à lui tout seul pour en déduire que les lois physiques sont simples

 

Je ne détourne absolument rien, je comprends ta phrase avec ses implications. Si tu ne me crois pas, donne ici le deuxième principe de thermodynamique et applique-le à tout ce qui existe. Tu verras bien. Ça ne sert à rien de vociférer un résultat si on ne tente pas l'expérience.

 

 

 

Je n' ai aucun problème avec ta théorie, puisque je suis convaincu qu' elle ne mène à rien car incompatible avec des théories par ailleurs validées par l' expérience

 

Merci! Quand tu te rendras compte que ma théorie est basée sur les "faits" donnés par les expériences et non sur les interprétations de ces résultats, tu seras plus en mesure de la regarder sérieusement. Pour l'instant tu refuses le statu de résultats d'expériences aux données dont je me sers.

 

2) tu refuses d' aller sur le terrain des mathématiques , ce qui complique énormément les raisonnements et les réfutations.

 

Ne serait-ce pas plutôt le contraire au niveau des complications? Même Feynman a des problème à comprendre les concepts mathématiques , paraît-il. Soit conséquent dans tes affirmations. ;)

 

c' est que l' espace n' est pas la notion intuitive qu' on en a au quotidien , c' est une relation entre objets et non un objet en tant que tel. Et cette relation prends des formes différentes selon l' observateur (ce qui ne veux pas dire que qu' elle prends n' importe quelle forme).

 

Pas surprenant qu'on ait de la difficulté à comprendre! Pourquoi l'espace ne serait-il pas unvolume dans lequel se promènent toutes sortes de "bébelles" à différentes vitesses produisant certains "effets"? Ce serait plus simple à comprendre.

 

Dans le cas du chat , je te l' accorde.

 

La mécanique quantique, malgré son attrait, est une théorie; c,est à dire une proposition d'explication. Et aussi longtemps qu'elle n'apportera pas 100% à tout ce qui est à expliquer, elle est sujet à questionnement tout autant que toute les autres théories.

 

 

OK. Le redshift est une interprétation

 

Merci! Et ce qui est important est: "ça ne change pas du tout la vitesse et la nature de l'objet."

 

 

Ce qu' on observe, SELON TOI , c' est le mouvement des objets.

 

C'est le mouvement des objets qui nous assure que l'espace existe; oui. Mais c'est plus près d'un constat qu'une simple interprétation.

 

 

 

Précise ce que tu veux dire par là

 

Le temps à la vitesse de la lumière. La succession des événements lorsqu'on se déplace à la vitesse de la lumière. La durée d'un événement lorsqu'on se déplace à la vitesse de la lumière.

 

La distance d'un point à un autre lorsqu'on se déplace à la vitesse de la lumière. L'espace entre deux points lorsqu'on se déplace à la vitesse de la lumière.

 

Amicalement

Posté

Revenons à l' anti-matière.

De multiples expériences montrent :

1) que la masse d' une particule et de son anti-particule sont identiques jusqu' à un nombre indécent de décimales

2) que la collision d' une particule et d' une anti-particule transforme l' intégralité de la masse en énergie.

 

Dans l' interprétation d' Elie, la matière et l' anti matière sont constituées de "déformations spatiales" piégeant de l' énergie.

Question :

- Que deviennent les "déformations spatiales" quand les 2 particules s' annihilent ?

- Pour quelle raison un électron et un positron s' annihilent-ils, alors que 2 electrons ne s' annihilent pas

- Comment la charge électrique (ainsi que les autres invariants quantiques (spin, couleur, etc) sont-ils représentables par des déformations spatiales ?

 

A+

--

Pascal.

Posté
Dans l' interprétation d' Elie, la matière et l' anti matière sont constituées de "déformations spatiales" piégeant de l' énergie.

 

Correction: La matière et l'anti-matière ne sont pas "constitués" de déformations spatiales. Ce sont les déformations spatiales qui produisent la matière et l'anti-matière par accrétion d'énergie.

 

Que deviennent les "déformations spatiales" quand les 2 particules s' annihilent ?

 

Elles deviennent plus grandes.

 

Pour quelle raison un électron et un positron s' annihilent-ils, alors que 2 electrons ne s' annihilent pas

Parce que (+1) + (-1) = 0 et que (+1) +(+1) = 2

 

Comment la charge électrique (ainsi que les autres invariants quantiques (spin, couleur, etc) sont-ils représentables par des déformations spatiales ?

 

Les charge électriques appartiennent au spin et n'ont rien à voir avec les déformations spatiales.

 

Amicalement

Posté
(texte cité)

Correction: La matière et l'anti-matière ne sont pas "constitués" de déformations spatiales. Ce sont les déformations spatiales qui produisent la matière et l'anti-matière par accrétion d'énergie.

OK. Je me suis mal exprimé.

 

Elles deviennent plus grandes.

Donc' date=' une déformation plus grande contient moins de matière ? Bizarre.

 

Parce que (+1) + (-1) = 0 et que (+1) +(+1) = 2

D' où viennent les +1 et -1 ? Il y a des déformations spatiales positives et d' autres négatives, bien qu' elles contiennent la même masse ?

Les charge électriques appartiennent au spin et n'ont rien à voir avec les déformations spatiales.

Donc, les particules matérielles ne sont pas décrites par une déformation spatiale ?

Que veux dire "les charges électriques appartiennent au spin ?

Posté
Donc, une déformation plus grande contient moins de matière ? Bizarre.

 

Pas bizarre du tout puisque ce n'est pas la matière qui produit la déformation mais la déformation qui produit la matière. Tu sais? Lorsque tu t'es mal exprimé???

 

La déformation est un strictement un mouvement localisé inverse de l'expansion. Elle permet l'accrétion d'énergie pour la transformer en matière. Si deux déformations contenant de la matière collisionnent, la matière réagira en produisant d'autres particules, ou de l'énergie ou avec l'anti-matière disparaitra. Mais la déformation (expansion inversée) ne disparait pas.

 

 

 

D' où viennent les +1 et -1 ? Il y a des déformations spatiales positives et d' autres négatives, bien qu' elles contiennent la même masse ?

 

C'est toi qui fait collisionner électron et positron; pourquoi parles-tu de déformations positives ou négatives?

 

Donc, les particules matérielles ne sont pas décrites par une déformation spatiale ?

 

La défoirmation spoatiale ne décrit pas, elle produit de la matière. La description de la transformation d'énergie en matière n'a rien à voir avec la déformation sauf au niveau de l'accrétion.

 

Que veux dire "les charges électriques appartiennent au spin ?

 

La source de l'électromagnétisme se trouve probablement au niveau du spin des particules; je cherche toujours. De toutes façon les charges électriques n'ont rien à voir avec les déformations spatiales. Celles-ci sont simplement un mouvement localisé qui provoquent des conséquences au niveau de l'énergie qui entre dans leur champ d'action.

 

Amicalement

Posté

Un photon a un spin de 1 et a une charge nulle, étrange?

 

En plus, l'expansion serait dans les galaxies.

 

Le fond diffus cosmologique est grossièrement uniforme, mais avec quelques inhomogénéités.

 

Considérons les endroits rougeâtres comme des endroits où la quantité de matière est plus importante. Selon la RG, un photon entrant dans une déformation spatio-temporelle verra sa fréquence augmenter, donc son énergie élever. Si le photon n'est pas capturé par la déformation, il en ressortira. Cela diminuera sa fréquence, donc son énergie.

 

"Normalement", le photon devrait gagner autant d'énergie qu'il en perd. Cependant, si on considère que l'expansion a aussi lieu, mais d'une façon plus négligeable, dans les concentrations de matière, un photon gagne de l'énergie et en reperd en en sortant. Entre son entrée et sa sortie, la déformation aura, à cause de l'expansion, perdu de son "intensité". Le photon aura donc perdu moins d'énergie qu'il en aura gagné et sera plus énergétique à sa sortie qu'à son entrée.

 

On peut alors expliquer les différences dans le fond diffus cosmologique par présence de matière.

Posté
(texte cité)

Pas bizarre du tout puisque ce n'est pas la matière qui produit la déformation mais la déformation qui produit la matière. Tu sais? Lorsque tu t'es mal exprimé???

Si' date=' totalement bizarre : Si la déformation produit de la matière, alors une déformation plus grande produit plus de matière. Pourquoi n' est-ce pas le cas pour les collisions e+/e- ?

La déformation est un strictement un mouvement localisé inverse de l'expansion. Elle permet l'accrétion d'énergie pour la transformer en matière. Si deux déformations contenant de la matière collisionnent, la matière réagira en produisant d'autres particules, ou de l'énergie ou avec l'anti-matière disparaitra. Mais la déformation (expansion inversée) ne disparait pas.

Et comme elle ne disparait pas, mais devient plus grande, pourquoi ne crée-t-elle pas de matière ?

 

C'est toi qui fait collisionner électron et positron; pourquoi parles-tu de déformations positives ou négatives?

Dans ce cas, expliques ta "réponse" -1 + 1 = 0 ???? Qu' est-ce qui vaux -1, qu' est-ce qui vaux +1 ? Que représente l' équation -1 + 1 = 0 ?

 

La description de la transformation d'énergie en matière n'a rien à voir avec la déformation sauf au niveau de l'accrétion.

Ah bon ? mais je croyais que les particules étaient décrites comme des déformations spatiales pleines d' énergie ? Faudrait savoir !

 

La source de l'électromagnétisme se trouve probablement au niveau du spin des particules; je cherche toujours.

OK. Tu nous propose une théorie unifiée qui ne décrit pas l' électromagnétisme. D' accord.

 

De toutes façon les charges électriques n'ont rien à voir avec les déformations spatiales. Celles-ci sont simplement un mouvement localisé qui provoquent des conséquences au niveau de l'énergie qui entre dans leur champ d'action.

Je ne comprends pas ces deux phrases. Qu' est-ce qu' un "mouvement localisé" ? Qu' est-ce qu' un "champ d' action" ? Comment le "mouvement localisé" influe-t-il sur l' énergie pour lui donner une charge électrique ?

 

A+

--

Pascal.

Posté
Dans ce cas, expliques ta "réponse" -1 + 1 = 0 ???? Qu' est-ce qui vaux -1, qu' est-ce qui vaux +1 ? Que représente l' équation -1 + 1 = 0 ?

 

Les charges électriques... mais je ne vois pas pourquoi l'annihilation serait dû à un duo de charge globalement nulle, sinon il y aurait désintégration de bien des choses.

Posté
Si, totalement bizarre : Si la déformation produit de la matière, alors une déformation plus grande produit plus de matière. Pourquoi n' est-ce pas le cas pour les collisions e+/e- ?

 

Pourquoi produirait-elle plus de matière? Pour produire de la matière le volume de déformation n'a aucune importance, ce qui importe est la quantité d'énergie disponible. La grosseur d'un chaudron n'a aucun rapport avec la quantité de boeuf bourguignon.

 

Et comme elle ne disparait pas, mais devient plus grande, pourquoi ne crée-t-elle pas de matière ?

 

Parce qu'une déformation n'est pas un magicien. Elle recréera de la matière en reprenant l'accrétion d'énergie qui sera "happée" progressivement dans son champ d'action.

 

Dans ce cas, expliques ta "réponse" -1 + 1 = 0 ????

 

(Electron -1) + (positron +1) = 0 Les deux entités en cause sont deux électrons. Lorsqu'on retrouve un électron -1 qui rencontre un proton +1 il n'y a pas d'anihilation. Il doit bien y avoir une raison pour qu'un événement anihile et l'autre non? ;)

 

Ah bon ? mais je croyais que les particules étaient décrites comme des déformations spatiales pleines d' énergie ? Faudrait savoir !

 

Il ne faut donc pas "croire". Une déformation est un entonnoir qui "rassemble" l'énergie libre passant dans son champ d'action. l'énergie n'est pas la déformation et la déformation n'est pas l'énergie. Le nom "déformation de l'espace" dit bien que ce n'est pas "déformation d'énergie". Maintenant on le sait. ;)

 

OK. Tu nous propose une théorie unifiée qui ne décrit pas l' électromagnétisme.

 

L'électromagnétisme est une propriété de la matière et non de l'espace. Créons la matière et après nous verrons ses propriétés. ;)

 

Qu' est-ce qu' un "mouvement localisé" ? Qu' est-ce qu' un "champ d' action" ?

 

Imagine un volume gros comme un ballon de foot. Ce ballon de foot est en expansion et grossit jusqu'à un volume de ballon de plage. À l'intérieur de ce "volume" (ballon de plage) on retrouve une petite "bulle" du volume d'un oeuf dont le mouvement interne, au lieu d'être expansif, est le mouvement contraire qu'on pourrait qualifié de "contractif". Ce mouvement contraire est localisé (ponctuel) dans le mouvement général d'expansion. Et ce mouvement contraire agit seulement à l'inrérieur de cette petite "bulle" le volume de la "bulle" est le champ d'action du mouvement "contractif".

 

Comment le "mouvement localisé" influe-t-il sur l' énergie pour lui donner une charge électrique ?

 

Comme je le disais, la charge électrique est une propriété de la matière issue de ses constituants. le mouvement localisé n'est pas un constituant de la matière il n'est qu'une condition localisée qui est responsable de la production de cette matière.

 

Amicalement

Posté

Bonjour

 

Juste quelques remarques rapides en passant ...

 

(texte cité)

(Electron -1) + (positron +1) = 0 Les deux entités en cause sont deux électrons. Lorsqu'on retrouve un électron -1 qui rencontre un proton +1 il n'y a pas d'anihilation. Il doit bien y avoir une raison pour qu'un événement anihile et l'autre non? ;)

Conservation du nombre baryonique et de quelques autres nombres quantiques...

 

 

(texte cité)

L'électromagnétisme est une propriété de la matière et non de l'espace. Créons la matière et après nous verrons ses propriétés. ;)

D'après ta théorie, comment les ondes électromagnétiques se propagent-elles donc en dehors de la matière ?

 

 

A+

Posté

salut à tous :)

 

Bonne remarque lamdao :be:

 

Je m abtenais,

 

Si la petite quantité transportée par un photon est dépendante de la longueur d'onde qui lui est associée. ;)

 

Cette énergie est d'autant plus grande que la longueur d'onde est plus courte. ;)

 

de plus , Comme les atomes, les molécules ne peuvent atteindre que certains niveaux d'énergie. ;)

 

Un phénomène bien connu de l'absorption de l'énergie d'un rayonnement par la matière est celui rencontré dans le four à micro-ondes. ;)

 

Les micro-ondes sont absorbées par les molécules d'eau qui composent majoritairement nos aliments. En captant l'énergie du rayonnement, les molécules d'eau s'activent et échauffent nos aliments. ;)

 

Ce phénomène explique pourquoi les objets, comme le verre ou la céramique, très pauvres en eau ne s'échauffent pas beaucoup dans le four à micro-ondes. ;)

 

 

 

amicalement

Posté
D'après ta théorie, comment les ondes électromagnétiques se propagent-elles donc en dehors de la matière ?

 

J'aime beaucoup la question. Elle en exige d'autres au préalable:

1) Qu'est-ce qu'une onde?

2) Comment une onde se propage-t-elle et surtout qu'est-ce qui est indispensable pour la propagation d'une onde?

3) Quelle est la vitesse de la propagation d'une onde électromagnétique?

 

Répondre à cestrois questions devraient nous mettre sur la piste de la réponse à ta question lamdao. ;)

 

Fournis-moi ces réponses et je te garantie que je te fournirai la tienne.

 

Amicalement

Posté

salut à tous :be:

 

Si tu permet elie , je vais répondre à la troisième questions , pour laisser le reste à lamdao ;)

 

Les ondes électromagnétiques se propagent en ligne droite dans un milieu homogène et isolant, y compris le vide. ;)

 

Leur vitesse de propagation dans le vide, appelée célérité vaut : c = 3,0.108 m.s-1

 

La célérité dans l'air est voisine de celle du vide. Dans un câble coaxial , elle vaut » 2,0.108 m.s-1

 

Elles sont caractérisées par leur fréquence f.

 

c = l / T = l . f ( l : longueur d'onde en m ; T : période en s et f : fréquence en Hz )

 

j' espère que ça vas t' aider ;)

 

 

 

amicalement

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