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Posté

Salut à tous,

Petite question sur la qualité optique des miroirs….

A partir de quelle qualité n’arrive-t-on plus à faire la différence, en utilisation visuel seulement.

Posté
Salut à tous,

Petite question sur la qualité optique des miroirs….

A partir de quelle qualité n’arrive-t-on plus à faire la différence, en utilisation visuel seulement.

 

Fais voir une recherche sur critère de Railegh.

Maintenant le problème c'est comment vérifier ça.

Une expertise c'est pas donné et un bulletin de contrôle ne vaut quelquefois pas plus que le bout de papier.

 

En cherchant dans un atlas des doubles proches du pouvoir séparateur de ton instrument tu vois déjà s'il est foutu de les séparer.

 

Si tu tombes sur un tube qui te donne la même chose en intra et extra focale c'est déjà pas mal du tout.

 

Bon ciel

Posté

Bonsoir

 

Si tu tombes sur un tube qui te donne la même chose en intra et extra focale c'est déjà pas mal du tout.

 

Est ce vrai pour le cas des tubes SC ? De souvenir l'image intra et extra focale n'est pas la même (?) Pas certain.

 

 

Une chose basique à vérifier également : aspect des anneaux à fort grossissement sur un étoile ou une étoile artificielle. Voir si le disque est régulier et sans déformation. A condition que la turbu soit faible, sinon dur dur..

 

Christian

Posté

Merci;)

 

Mais si on désire acquérir un miroir auprès d'un fournisseur, après quelle indice cela devient du "snobisme".

Pour autant que l'on puisse faire confiance au bulletin délivré...J'ai lu quelques mauvaises expériences aussi bien avec des fabricants de bonne réputation que les autres.

Posté

Déjà celui que te vend du L/16 PtV ... c'est tout simplement un menteur, ou bien c'est que tu a les moyens d'acheter un miroir étalon (mais tu risque de devoir revendre plusieurs fois ton bolide rouge pour cela).

Un très bon miroir à l'interféro c'est autour de L/8 voire un peu mieux (optique pro pour le milieu scientifique). Autour de L/6 c'est très très bon, à L/4 c'est aussi très bien, et beaucoup se contentent (sans le savoir) d'un L/2. Sachant qu'à L/4 il faut déjà un sacré bon ciel pour lui faire cracher ses tripes, car tu pinaille sur des fractions de lambdas quand le ciel est à 5 ou 10 lambdas de turbulence.

 

Le mieux c'est quand même de parler RMS et pas PtV car un défaut localisé peut ne pas avoir tant d'importance que cela s'il ne représente que 5% de la surface du miroir (ce qui est déjà pas mal). Du coup, en RMS là c'est autre chose et il n'est pas aberrant de tourner autour des 25nm => L/22 à 550nm. Ce sera déjà très bon pour du planétaire. Quand tu passe sous les 20nm c'est la fête et sous les 15nm ... champagne !

 

Marc

  • 2 semaines plus tard...
Posté

Dans les années 70 / 80 on était très content d'avoir un mirroir à L/8 ou même L/6 en pyrex :rolleyes:...

 

Et maintenant c'est pas évident d'avoir ces info pour la production en série "abordable" des SkyWatcher, Orion, Celestron, Meade etc... sans compter même savoir en quoi est fait le mirroir ! Il semble que souvent le verre soit du BK7 et la précision plutôt proche de L/4... Bref pas évident de choisir un tube dans ces conditions :confused:

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