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Effondrement Gravitationnel


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salut à tous :be:

 

rep à lambdao

 

très plausible et bien expliqué bon si j' ai bien compris tes explications je me lance avec cette exemple;

 

si un électron virtuel et son antiparticule surgissent du vide et apparaissent à proximité du rayon de schwartzschild d' un trou noir.

 

il est très possible que l' électron plonge très rapidement dans le trou noir et y disparaisse, mais que son antiparticule réussisse à échapper au piège :?:

 

dans ce cas, l' antiélectron virtuel, qui aurait du disparaitre avec son compagnon,

n' est plus capable de le faire

 

donc il va se promener un certain temps et finir par rencontrer un autre électron virtuel créé dans les meme paramètres,

 

et a ce moment, les particules peuvent s' annihilent et donner naissance à des photons

 

grace a ce processus, les particules virtuelles nées temporainement d' une fluctuation d' énergie, donnent des photons bien réels qui possède une véritable énergie

 

donc, les particules virtuels peuvent entrer dans l' univers réel ,car elles prennent un peu d' énergie gravitationnelle au trou noir, et ce traduit par une légère diminution d' énergie donc de masse,

 

et c' est de ça que vient le mot évaporation

 

 

amicalement

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donc si j' ai bien compris l' évolution d' un trou noir aboutit à coup sur à une singularité 

 

le problème est que dans quel état se trouve la matière dans une singularité

 

Logiquement, selon la direction démontrée par un effondrement, c'est effectivement la seule possibilité d'aboutissement.

 

et qu' est-ce que cela signifie d' un point de vue physique

 

Tout dépend de ce que signifie cette question. ;)

 

j' allais oublier rappelons-nous qu' un trou noir est caractérisé par trois données seulement;

 

sa masse

 

son moment angulaire

 

et sa charge électrique

 

Pour moi, il est surtout carcatérisé par l'effondrement sur ses composants fondamentaux; une sorte d'effondrement ou de "retour" sur l'histoire de son passé. !pomoi!

 

dans sa définition classique, rien ne peut sortir d' un trou noir

 

Et pourtant...il en sort quelque chose.

 

On a introduit cette notion de particules virtuelles pour décrire des états intermédiaires d'interactions entre particules élémentaires.

 

Enfin! Quelqu'un qui commence à percevoir une "évolution" entre les particules élémentaires. C'est rafraichissant! ;)

 

Ensuite, une particule virtuelle peut très bien devenir réelle

 

À la seule condition que cette particule soit de la génération du quark Up. Le quark Top ou les autres des deux premières générations ne deviennent jamais réels.

 

l'interaction électromagnétique entre particules chargées est interprétée ...c'est même celà qui explique l'évaporation des trous noirs

 

Voilà: une explication tirée d'une interprétation spécifique; ce qui signifie qu'une interprétation différente donne une explication différente.

 

La thermodynamique dit que l'entropie de l'univers augmente, mais il s'agit de l'entropie de tout l'univers en tant que système thermodynamique fermé.

 

Il n'y a pas plus "fermé" que l'univers. :laughing: Et l'entropie y augmente, c'est connu. Il ne suffir que de déterminer ce que représente cette entropie; soit que ce soit une évolution vers le chaos ou une évolution vers une définition de plus en plus complète et pointue.

 

Il me semble donc très hasardeux d'affirmer que l'univers évolue globalement vers la complexité.

 

Ce n'est qu'une autre façon de percevoir cette évolution. L'homme d'aujourd'hui est plus complexe que l'amibe primordial; pourtant, il y a beaucoup moins d'humains que de bactéries. L'animal semble bien être, d'une certaine façon, une "spécialisation" de la bactérie. La globalisation de l'univers est formée de ses composants; et certains de ces composants phénomènes locaux semblent bien être une spécialisation de l'énergie primordiale. De là à percevoir que l'univers se définit dans certaines "spécialités" de ses probabilités potentielles est assez facile et démontre une évolution de sa potentialité initiale vers un état "probabiliste" suivit de l'état actuel de ses possibilités. C'est tout simplement un cheminement normal de l'évolution: Potentialité - probabilité - possibilité - réalité.

 

La complexité n'existe que dans l'arrangement des composants qui sert à définir les possibilités; de plus elle n'est présente que durant le cheminement vers sa réalité et, comme tu le spécifie très bien, ne se retrouve que "localement".

 

Une fois que cette réalité est atteint, cette réalité étant unique, tout redevient complètement très simple. C'est exactement le même cheminement que lorsque nous recherchons la réponse à un problème. Au début, une infinité de possibilités se présentent et, peu à peu, certaines s'éliminent pour ne laisser, finalement, qu'une seule réponse exacte.

 

Et ici, on fait face à cette question insignifiante du déterminisme. Il n'y a pas plus de déterminisme dans l'évolution que dans le cheminement pour trouver la réponse à une question. Lorsqu'on cherche une réponse, on essaie toutes les solutions possibles. Et si nous regardons l'évolution de l'univers, c'est exactement ce qu'il fait; il essaie tous les agencements possibles de ses composants et poursuit sa recherche à travers ce qui s'avère viable.

 

dans ce cas, l' antiélectron virtuel, qui aurait du disparaitre avec son compagnon,

n' est plus capable de le faire

 

donc il va se promener un certain temps et finir par rencontrer un autre électron virtuel créé dans les meme paramètres,

 

Et moi qui croyait que tous les "antiparticules" n'étaient pas présents dans notre univers depuis l'anihilation de l'anti matière??? :s

 

Amicalement

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Et moi qui croyait que tous les "antiparticules" n'étaient pas présents dans notre univers depuis l'anihilation de l'anti matière???

 

Mouais, et pourtant, les médecins font des scans de patients avec une technologie d'antim-matière. On est pas dans un livre de Dan Brown là, rassurez-moi :s

 

la température a une influence majeure sur l' évaporation des trous noirs

 

D'accord

 

un coprs chaud n' émet de chaleur que placé dans un millieu plus froid

 

Effectivement, côté relativité ;)

 

donc un trou noir ne peut s' évaporer que lorsque la température du millieu environnant est inférieure

 

Tu veux dire qu'il faut qu'un trou noir soit plus chaud que son environnement pour s'évaporer? Pourtant, ce n'est pas quand je mets de l'eau au congélateur qu'elle devient de la vapeur...

 

et c' est pour cette raison, aucun trou noir ne s' évapore à l' heure actuelle et meme si il est éloigné et isolé dans le vide intergalactique et pour cause, les trous noirs seraient encore baignés par le rayonnement fossile,

à une température de trois kelvins.

 

Mouais, température de 3 kelvins, comme l'ensemble de l'Univers quoi... donc, si je suis ta logique, actuellement, les trous noirs sont plus froid que leur environnement de 3K pour qu'ils ne s'évaporent pas...

 

Il me semble que c'est le contraire, c'est lorsque la température ambiante est supérieure à celle du trou noir que ce dernier s'évapore, d'où le fait qu'étant donné la faible température actuelle, il n'y a aucune évaporation. Si l'évaporation est due à des particules virtuelles, peut-on faire la similitude avec le modèle du Big Bang? Où les particules virtuelles l'étaient quand il faisait chaud?? Non?

 

Amicalement

 

Universus

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salut à tous :be:

 

merçi elie très bon exposée ;)

 

reponse à universus, peut-etre que je me suis mal exprimer je dit simplement que ,un corps chaud n' émet de chaleur que si il est placé dans un millieu plus froid que lui, c' est tout et logique :?:

 

c' est le rayonnement électromagnétique qui permet de définir la température d' un trou noir

 

example; on prend une masse stellaire de quelques masses solaires, on dit qu' elle est d' un dix-millionième de kelvin.

 

et cette température est inversement proportionnelle à la masse du trou noir,

 

donc pour une masse d' un milliard de masses solaires elle est d' environ 10^-16 kelvins

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albert einstein,

 

Je sais, c'est très logique qu'un corps émette de la chaleur lorsqu'il est placé dans un milieu plus froid et ce n'est pas ça que je remets en cause, mais ceci:

 

donc un trou noir ne peut s' évaporer que lorsque la température du millieu environnant est inférieure

 

Là, je te reviens avec mon exemple du verre d'eau et du congélateur. L'eau est à température ambiante de la pièce, soit 20°C, et le congélateur est, lui, à -5°C. Si je mets le verre d'eau, l'eau deviendra de la glace et pas de la vapeur d'eau qui serait logiquement à 100°C...

 

Imaginons le Soleil, le parfait exemple. À sa surface, la température est d'environ 6000 K alors que l'espace près de la Terre (c'est pas si loin que ça du Soleil) d'environ 3 K. Le milieu ambiant du Soleil a une température (T°) inférieur à l'astre. Pourtant, le Soleil ne s'évapore pas.

 

C'est similaire avec un trou noir. Seulement si la température globale de l'Univers montait, les trous noirs s'évaporeraient. De plus, leur évaporation ferait augmenter la T° globale de l'Univers, donc une évaporation plus rapide, donc une T° plus haute...

 

QUOTEet cette température est inversement proportionnelle à la masse du trou noir

 

Il me semble que la T° est inversement proportionnelle à la taille et non pas à la masse, à laquelle elle devrait être proportionnelle...

 

Amicalement

 

Universus

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salut à tous :be:

 

reponse à universus ;

 

oui, c' est exactement ce que j' ai dit et c' est basée sur la théorie de steven hawking sur l' évaporation des trou noirs, et que je crois a moins que tu me prouve le contraire :?:

 

la différence est ton example qui ne colle pas,

 

je m' explique , faudrait que ton verre d' eau sois toujours à la meme température , comme un trou noir :?:

 

amicalement*---------------

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"Pourtant, le Soleil ne s'évapore pas"

 

Dans ce cas, qu'est-ce qui nous arrive du Soleil?

 

Évidemment, il ne faut pas comprendre le terme "évaporation d'un trou noir" comme l'émission de vapeur; mais plutôt comme éjection d'énergie.

 

"Il me semble que la T° est inversement proportionnelle à la taille et non pas à la masse,"

 

Et moi qui croyait que la chaleur était provoquée par le mouvement et la friction des particules; et que l'intensité de cette chaleur dépendait de la densité de la masse formée par ces particules??? :a:

 

Il est à remarquer que le froid ralentit le mouvement des particules; conséquemment, on remarquer également que le volume d'eau qui refroidit jusqu'à devenir de la glace "augmente de volume"; est-ce que c'est cela qui fait que les particules ont moins de "frictions" entre elles et que la chaleur diminue?

 

Amicalement

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D'accord albert einstein, tu as raison, pour qu'un trou noir s'évapore, il faut qu'il soit plus chaud que son milieu ambiant. Je n'avais pas vu ça de bon côté, mais effectivement, si j'imagine de l'eau dans un congélateur, il produira de la chaleur. Dans le contexte du trou noir (et de la formule E=mc²), cette chaleur se traduit par un rayonnement thermique, par une énergie, donc une perte de masse du trou noir. Alors, évaporation n'est peut-être pas le terme le mieux choisi, mais bon...

 

Et moi qui croyait que la chaleur était provoquée par le mouvement et la friction des particules; et que l'intensité de cette chaleur dépendait de la densité de la masse formée par ces particules???

 

Ouais, c'est exactement ce que j'ai dit. La T° est proportionnelle à la densité. La densité est proportionnelle à la masse, mais inversement proportionnelle à au volume, la taille. Alors, la T° est inversement proportionnelle à la taille, dans le sens où --> T°=1/R

 

Amicalement

 

Universus

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salut à tous :be:

cher universus tu a peut-etre raison le mot évaporation n' est pas très juste je vais me reprendre; :confused:

 

voiçi un example; ;) après une fluctuation du vide quantique au voisinage de l' horizon d' un trou noir, et si l ' une de ces particules ainsi créée, avec une énergie négative, tombe derrière l' horizon,

 

la particule restante peut s' éloigner à une grande distance du trou,en emportant une énergie positive.

Ne pouvant plus se recombiner avec son antiparticule, elle va devenir réelle et apparaitre à un observateur distant comme ayant été émise par le trou noir.

 

cette particule a emporter de l' énergie, il faut donc que le trou noir perde la meme quantité d' énergie pour compenser,

 

les paires de particules/antiparticules virtuelles se créent en permanence au voisinage de l' horizon du trou noir, parmis ces paires, certaines ne pourront pas se recombiner, parce que l' une des deux aura été capturée par le trou noir,et celle qui s' échappe emmène de l' énergie avec elle, faisant ainsi rayonner le trou noir

 

ce qui donne donc un rayonnement d' évaporation en provenance du trou noir et que le calcul montre que celui-ci possède le spectre d' un rayonnement thermique, une caractéristique des corps noirs

 

 

on peut envisager deux sénarios pour la naissance un trou noir;

 

(1) une étoile à neutrons qui fait partie d' un système binaire et voit sa masse augmenter jusqu' à la limite d' oppenheimer-volkoff suite à l' arrachement de la matière de son compagnon(phénomène du disque d' accrétion semblable à celui des novae.

 

(2) L' effrondrement d' une hypernova qui conduit à la formation directe d' un trou noir.

 

il y a t-il autre phénomene qui peut donné naissance ou mort d' un trou noir :question:

 

 

amicalement

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salut à tous :mdr:

 

pour en finir avec les fluctuation quantique , le principe de werner heisenberg occupe une place très importante sur le sujet. :?:

 

en effet , le principe d' incertitude stipule la position et la vitesse d' une particule ne peuvent etre simultanément connus. :?:

 

je m' explique; plus on essaye de connaitre précisément la position d' une particule, plus l' incertitude sur ça vitesse est grande et réciproquement. :?:

 

ce principe s' explique ainsi,

 

le produit des incertitudes de la position et de la quantité de mouvement ou impulsion est toujours supérieur

à la constante de planck :?:

 

donc , les fluctuation quantiques du vide sont directement issues de cette relation :?:

 

amicalement

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Salut à toi. (Et à tous, évidemment)

 

Il semble bien certain qu'à 10^-43 sec, la distance exacte est de 10^-33 m, l'énergie est de 10^28 eV, la température est de 10^32 K et la densité est de 10^94 fois celle de l'eau. ET comme une fluctuation ne peut pas être plus petite que la plus petite distance possible, l'incertitude de l'amplification de la fluctuation est quelque peu diminuée. :laughing:

 

Ces données me semblent être considérées comme des "certitudes" dans l'école scientifique. ;) Par contre l'incertitude probabiliste est présente dans tout ce qui est virtuel,c,est évident. Il s'agit simplement de séparer la "virtualité" comme étant un stage évolutif de l'univers. À ce moment-là, l'incertitude d'Heisenberg se limite à cette portion probabiliste du mouvement évolutif. Depuis la formation de la matière réelle, cette incertitude probabiliste s'est déterminée en certitude espace/temps. ;)

 

Amicalement

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(texte cité)

 

Il semble bien certain qu'à 10^-43 sec' date=' la distance exacte est de 10^-33 m, l'énergie est de 10^28 eV, la température est de 10^32 K et la densité est de 10^94 fois celle de l'eau.

[/quote']

 

L' "échelle de Planck" est définie arbitrairement en combinant les constantes fondamentales de la physique telle qu' on la comprend pour obtenir des longueurs, temps , energie, etc ...

 

Par exemple, on définit la longueur de planck comme:

 

LP = (hG/(2*pi*c^3))^1/2 .

 

Comme ce sont des définitions, oui, on peut parler de certitudes. Au meme titre qu' on est certain que dans le systeme MKS, 1 mètre mesure 1m, 1 seconde dure 1 seconde et un Kilogramme possède une masse de 1 Kg.

 

De par sa construction, les unités de Planck représentent un domaine dans lequel les effets des intéractions caractérisées par les constantes fondamentales sont de même ordre de grandeur. On a donc la certitude que les théories qui les décrivent individuellement (et pour lesquelles on fait l' hypothèse que les autres intéractions sont négligeables) ne fonctionnent plus à cette échelle. Mais ça ne veut pas dire qu' elles fonctionnent encore entre le domaine qu' on sait sonder (jusqu' à quelques Tev en énergie) et cette échelle (10^19 Tev en énergie)

 

Par contre l'incertitude probabiliste est présente dans tout ce qui est virtuel,c,est évident. Il s'agit simplement de séparer la "virtualité" comme étant un stage évolutif de l'univers. À ce moment-là, l'incertitude d'Heisenberg se limite à cette portion probabiliste du mouvement évolutif. Depuis la formation de la matière réelle, cette incertitude probabiliste s'est déterminée en certitude espace/temps. ;)

En mécanique quantique des champs, il est impossible de ne serais-ce que définir la notion de trajectoire. En outre, il existe plusieurs centaines d' expériences montrant qu' il ne [/b]peut pas y avoir de trajectoire au niveau subatomique (électrons, photons, etc).

Ces expériences ont lieu ici, sur Terre, de nos jours. Pas il y a 15 milliards d' annés ...

 

Seules les intéractions ont un sens clairement définit. Ce qui se passe entre une intéraction (par exemple l' émission d' un photon par désexcitation d' un atome d' hydrogène) et une autre (par exemple l' émission d' un électron lorsqu' un photon similaire à celui émis rencontre une cellule de la rétine), n' est pas similaire à de qui se passe lorsqu' on lance une bille d' un endroit à un autre. La description qui colle le mieux (et de beaucoup) repose sur les probabilités. L' incertitude probabiliste n' est donc en aucun cas 'un stage évolutif de l' Univers', comme semble le croire Elie. Et la "certitude espace/temps" n' a strictement aucun sens au niveau quantique (pour les photons, notamment).

 

A+

--

Pascal.

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salut à tous :mdr:

 

Par contre il faut mentionner deux sources de confusion. :?:

 

( 1)les champs ne sont pas liées à la DUALITÉ ONDE CORPUSCULE, :?:

 

en effet , les particules élémentaires possèdent déjà cette dualité dans l' acceptation du terme de la mécanique classique,

 

ce que l' on entend par champ est un concept qui permet la création ou l' annihilation de particules en tout point de l' espace. :?:

 

donc , comme tout système quantique, un champ quantique a un hamiltonien et obéi à l' équation de schrodinger :?:

 

(2)la seconde quantification, l' indiscernabilité des particules s' exprime en termes de nombre d' occupation :?:

 

quoique la différence soit minime, la deuxième permet d' exprimer facilement des opérateurs création et annihilation, qui rajoutent ou enlèvent des particules à l' état. :?:

 

ces opérateurs création et annihilation très similaires à ceux définis dans oscillateur harmonique quantique,

qui en mécanique quantique crée ou détruit des quanta d' énergie, :?:

 

ces opérateurs créent et font disparaitre des particules dans un état quantique donné :?:

 

 

amicalement

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L' incertitude probabiliste n' est donc en aucun cas 'un stage évolutif de l' Univers', comme semble le croire Elie. Et la "certitude espace/temps" n' a strictement aucun sens au niveau quantique (pour les photons, notamment)

 

:lol::lol::lol: C'est difficile de discuter avec quelqu'un qui a une vision ne séparant pas par exemple, l'information soutenue par l'ADN et le résultat humain obtenu grâce à cette information.

 

Un homme de 30 ans aujourd'hui, dans cette façon statique de voir est constitué d'angencements moléculaires selon l'information de son ADN; mais on ne semble pas capable de comprendre que l'ovule fécondée originelle de cet homme possédait déjà toutes les information dans son ADN. L'ovule fécondée à évolué pendant neuf mois en tant qu'embryon potentiellement humain; et celui-ci est passé de son univers utérien à notre univers terrien :laughing: L'enfant avait plusieurs probabilités dont l'une était de devenir avocat. Ses études l'on intégré dans une période probabiliste d'avocat. Après plusieurs années d'études il est passé de l'univers étudiant à l'univers juriste; il est devenu avocat. Cet état d'avocat déterminait une autre possibilité: peut-être sera-t-il un jour juge? Mais lorsqu'il sera juge, si on se permet de le considéré exclusivement comme "un ovule fécondé", peut-être aura-t-il quelques objections à cause de tous les stages évolutifs qu'il a traversé depuis cette époque primordiale.

 

Par contre, aucun généticien lucide ne s'adressera au contenant de l'empoule de l'ADN d'un juge en disant: "Bonjour M. le Juge!" ET c'est ce que l'on fait lorsqu'on considère un quark en disant: Bonjour M. Matière!. :confused:

 

Avant que la matière ne fusse, le quantique fut; :rolleyes: ce n'est pas plus compliqué que ça. Et à l'époque du quantique, les "interactions" étaient différentes de celles de l'époque où la matière est apparue.

Il est bien évident que le quantique se retrouve aujourd'hui comme "composant" de la matière et que nous y avons accès avec nos instruments de labo; tout comme nous avons accès à l'ADN d'un juge; mais l'ADN du juge n'est pas le juge , ne porte pas les mêmes jugements et ne s'exprime pas de la même façon.

 

Je n'ai vraiment plus rien à ajouter sur la façon de considérer l'évolutionde l'univers. On accepte l'histoire de l'univers comme un déroulement d'évènements successifs ou on accepte la foi en une création complète et statique de ce qui est comme il est actuellement.

 

Amicalement.

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salut à tous :lol:

 

Initié par le big-bang, L' expansion de l' univers doit aller en ralentissant, la gravitation contrariant l' effet initial de cette explosion, :?:

 

pourtant les dernières mesures semblent indiquer le contraire, elle serait donc en augmentation... :?:

 

pourtant, dans un modèle cosmologique, il est facile d' en rendre compte;

 

il suffit de modifiér la constante cosmologique pour obtenir ce résultat :?:

 

quelle est la signification physique de ce fait, :?:

 

quelle est la cause de cette énergie répulsive :?:

 

 

amicalement

 

 

 

salut à tous :lol:

 

Initié par le big-bang, L' expansion de l' univers doit aller en ralentissant, la gravitation contrariant l' effet initial de cette explosion, :?:

 

pourtant les dernières mesures semblent indiquer le contraire, elle serait donc en augmentation... :?:

 

pourtant, dans un modèle cosmologique, il est facile d' en rendre compte;

 

il suffit de modifiér la constante cosmologique pour obtenir ce résultat :?:

 

quelle est la signification physique de ce fait, :?:

 

quelle est la cause de cette énergie répulsive :?:

 

 

amicalement

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"Soit vous êtes avec moi, soit vous êtes contre moi" ...

Je m' incline devant la profondeur de Ta Parole, Ô Elie ...

 

Drôles de circonvolutions neuronales pour arriver à ce constat! :laughing: Tout ce que je dis est que ma façon de voir est dans le mouvement évolutif et non la compilation statique. On peut adopter cette façon de voir ou pas. C'est le droit de chacun et chacun doit vivre avec sa décision face aux opinions d'autrui. Pour moi, la Foi en qui ou quoi que ce soit n'est pas "rassurante". C'est évidemment loin d'être le cas de tous; enfin je l'espère, si on veut tout considérer sans oublier aucune possibilités. ;) Mais pour ne rien oublier, il faut ne pas considérer sa propre opinion ou celle de quiconque comme "la vérité" indiscutable. Il ne faut pas, non plus, mêler la prise de position face au problème avec l'opinion qui en découle, tout en n'identifiant pas l'auteur d'une opinion avec l'opinion elle-même. En fin de compte, discuter rationellement n'est pas aussi facile que ça en a l'air. :laughing:

 

Initié par le big-bang, L' expansion de l' univers doit aller en ralentissant, la gravitation contrariant l' effet initial de cette explosion

 

Exatement et comme l'expansion de l'univers s'accélère, le Big bang donne l'apparence d'une exploosion mais n'en est pas vraiment une. Le Big bang devient simplement la conséquence d'une "force" d'expansion originelle. Et comme l'attraction ne ralentit pas l'expansion et que'même celle-ci s'accélère, (ce qui prouve que l'attraction n'a aucune répercussion sur cette accélération), il est plus que temps de considérer la possibilité que la matière ne possède aucune caractéristique "d'attirance" quelle qu'elle soit.

 

Une fois que l'acceptation d'une force d'expansion primordiale est acquise, la perception du déroulement des évènements qui ont suivit devient assez facile à concevoir.

 

Amicalement

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salut à tous :lol:

 

merçi elie , très intéressant ;)

 

mais tu sais à propos de l' univers primordial, contrairement aux modèles inflationnaires, dans le cas des défaults topologiques,

 

les fluctuations primordiales générées sont non-gaussiennes, et donc plus difficile de les caractériser. :?:

 

pour faire des caculs de spectre de fluctuation, que se soit pour FRC ou pour le champs de densité, :?:

 

il est nécessaire d' avoir recours à des simulation numériques lourdes, donnant des caculs encore très approximatifs et fragiles. :?:

 

parceque un certain nombres d' effets ne sont pas encore pris en considération. :?:

 

example; il faudrait reproduire l' évolution de l' univers depuis la grande unification jusqu' à maintenant,

soit sur environ une centaine d' ordres de grandeur, ce qui est hors de portée des caculs numériques.

 

ainsi les effets de l' expansion n' ont ils été jusqu' à présent que rajouté (a posteriori) dans les résultats numériques :?:

 

 

amicalement

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salut à tous :mdr:

 

si la fin d' une étoile massive est un phénomène extrèment rapide :?:

 

si la fusion de l' hydrogène dure des millions , voire des milliards d' années,quand l' étoile est sur la séquense principale. :?:

 

tout le carbonne est transformé en 10,000 ans. :?:

 

tout le néon et l' oxygène en 1 an. :?:

 

et la transformation finale du silicium en fer ne dure qu' une journée :?:

 

et il est très important de mentionner , qu' une supernova est un événement très rare; :?:

 

la moyenne général est à 0.6 par siècle pour 10 milliards de luminosités solaires. :?:

 

soit une toute les 800 ans dans la voie lactée. :?:

 

ce qui veut dire que pour observer une centaine de supernova par année, il faut surveiller un volume d' espace d' environ 40 mégaparsecs-cube. :?:

 

 

amicalement

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Je pense que pour débuter l'histoire de l'univers à partir du Big bang, il faut prendre conscience qu'avant qu'il existe un passé, il faut absolument que quelque chose soit le présent. Ce n'est que lorsque le "présent" se met en mouvement que le passé peut apparaître.

 

Le temps devient donc conséquent du mouvement.

 

On peut se servir du même raisonnement pour considérer l'espace: avant qu'il ne puisse exister un endroit appelé: "là-bas", il faut absolument qu'existe un "ici". Et le "là-bas ne peut exister qu'une fois que le "ici" se soit déplacé ailleurs, créant l'espace entre le deux.

 

L'espace devient alors également conséquent du mouvement.

 

Sans mouvement, "ici" c'est partout et exclusivement tout ce qui existe; et le "présent" est le temps immobile, c'est à dire: le non-temps puisqu'il ne s'écoule pas.

 

Sans mouvement, tout n'est qu'une potentialité; lorsque celle-ci se met en mouvement, elle devient "probabilité" ou univers probabiliste pour continuer vers un univers possibiliste et parvenir à sa réalité qui n'était que potentielle. Nous sommes toujours en route vers cette réalité puisque le mouvement évolutif n'a pas encore stoppé.

 

La science ne commence qu'au moment où on décide d'expliquer les différentes étapes de ce mouvement évolutif global.

 

Amicalement

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salut à tous :mdr:

 

merçi elie pour ton explication ;)

 

mais quelle est la plus petite masse que puisse avoir un trou noir, et qui soit compatible avec la mécanique quantique :question:

 

je crois que la réponse est 20 microgrammes, et la relativité général m' indique que sa taille sera de 10-33cm. :?:

 

(la fameuse longueur de planck)

 

mais que fait-on du principe d' incertitude d' heisenbergh(cette masse ne peut etre localisée à mieux que 10-33cm. :?:

 

 

puis pendant l' ère de planck , qui correspond à un temps inférieur à 10-43secondes, :?:

 

 

c' est le néant pour moi

 

 

 

 

amicalement

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mais quelle est la plus petite masse que puisse avoir un trou noir, et qui soit compatible avec la mécanique quantique

 

je crois que la réponse est 20 microgrammes, et la relativité général m' indique que sa taille sera de 10-33cm

 

Je crois que c'est tout à fait exact puisqu'une masse possède trois dimensions et que derrière le mur de Planck, il ne semble y en avoir que deux.

 

puis pendant l' ère de planck , qui correspond à un temps inférieur à 10-43secondes,

 

 

c' est le néant pour moi

 

C'est le néant pour plusieurs à moins de comprendre l'évolution des trois dimensions et qu'avant d'arriver à trois, il faut passer de un à deux, je crois.

 

sauf que le mouvement reste tout de même un élément spatial dans le temps

 

Parce que tu regardes le mouvement à l'intérieur du temps et de l'espace. Si tu refléchis à l'espace en expansion, tu te rends compte qu'avant que le premier mouvement expansionnel se fasse,(de rien à ququch) l'espace lui-même n'existait pas. Et je n'ai sûrement pas besoin d'expliquer que le temps "coule" donc est "mouvement". Conséquemment, avant le premier mouvement, le temps ne peut exister.

 

En fait rien n'existe avant de se "manifester" donc: d'acquérir un mouvement.

 

Amicalement

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