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Effondrement Gravitationnel


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En science, on ne le doit pas; mais en prose littéraire, un petit bâton dans les roues ne dérange pas. Mais pardonne-moi et explique-moi quelle force à engendré le Big bang?

 

ET après, il serait bon de revenir sur une autre de mes proses qu'il est indispensable régler, puisque vous n'interveniez pas à ce moment-là, et que je reprend ici:

 

Et cet univers était énergétique simplement parce que toute l'énergie actuelle était "compressée" dans un volume plus petit. En réalité, je devrais dire: dans une période évolutive de l'univers où la "dimension" était plus dense qu'aujourd'hui. Il faut percevoir que l'expansion provoque une dilution de la densité de l'espace tout autant que celle de l'énergie. L'expansion n'est pas strictement une augmentation de volume; elle est beaucoup plus une dilatation des dimensions. (C'est le contraire de ce qui se produit dans un trou noir) Par contre, si la matière est une "accrétion" d'énergie, il faut absolument que quelque chose produise l'effet contraire de l'expansion (dilatation des dimension); c'est à dire: une "augmentation" de la densité de l'espace et de l'énergie (ou "contraction" des dimensions). Et la seule chose qui puisse y arriver est un mouvement contraire à l'expansion.

 

Pour bien comprendre une dilation des dimension, c'est que la distance représentant un centimètre est doublée et le volume de 1 cm cube est également doublé. C'est ça l'effet réel de l'expansion de l'espace-temps.

 

Qui a-t-il de faux dans tout cette partie de prose? :laughing:;)

 

Amicalement

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Posté

Salut à tous :)

 

Pour te rep. sur ceci elie;

 

quelle force autre que la superforce peut-elle avoir provoquer le Big bang, au début de l'univers, à moins qu'un bâton de dynamite divin n'ait tout fait explosé

 

Je crois que l' on peut dire , c’est la causalité qui régit les évènements conduisant à l’apparition de la matière. ;)

 

La physique est basée sur cette notion de causalité. ;)

 

La dilatation de l’espace engendre une baisse de la température, qui elle-même enclenche les processus physiques de formation des premiers noyaux et l’assemblage des briques élémentaires de la matière. :?:

 

Chaque effet est précédé par sa cause. :?:

 

C’est ainsi qu’une seconde après le big bang, l’espace est rempli de particules diverses comme les électrons, les neutrinos, les protons, les neutrons et beaucoup d’autres … ;)

 

Les protons et les neutrons dominent la matière, et grâce au refroidissement de l’espace (malgré leur énergie, les photons ne peuvent pas maintenir la température face à l’expansion) ils vont pouvoir s’organiser en structures plus complexes. ;)

 

source;http://www.astrofiles.net/modules.php?name=News&file=categories&op=newindex&catid=3

 

 

amicalement

Posté

Entièrement d'accord avec tout ce que tu décris albert; ma question est cependant quelle est la cause de l'expansion à partir du mur de planck en gardant à l'esprit que cette expansion est actuellement accélérée?

Une hypothèse dit que cette accélération n'existe que depuis la date de 6 milliards d'années mais rien ne le prouve.

 

Une chose est cependant certaine, à partir du mur de Planck, soit 10^-43 sec ap le Bb, l'expansion était déjà là sinon rien de notre univers n'existerait. Donc la première chose à s'être manifestée est l'expansion; puisqu'à l'époque du mur de Planck, il n'y avait pas de possibilité d'installer un simple quark ou un simple gluon dans l'univers, la dimension étant trop "exiguë. ;)

 

Amicalement

Posté

Salut à tous :)

 

 

Pour te rep. à ceci elie;

 

ma question est cependant quelle est la cause de l'expansion à partir du mur de planck en gardant à l'esprit que cette expansion est actuellement accélérée?

Une hypothèse dit que cette accélération n'existe que depuis la date de 6 milliards d'années mais rien ne le prouve.

 

Juste après le Big Bang, l'univers est minuscule et uniquement composé d'énergie. ;)

 

Mais on observe déjà de petites fluctuations :

 

ici un peu plus d'énergie, là un peu moins. ;)

 

En une fraction de seconde, l'univers connaît une période de croissance inimaginable, qui multiplie sa taille par 1050 ! ;)

 

Les petites fluctuations grandissent au même rythme et deviennent gigantesques. ;)

 

Puis, l'énergie (E) se transforme en matière massive (m) selon la bonne vieille relation d'Einstein E= mc², où c est la vitesse de la lumière. ;)

 

C' est le seul scénario que je connaisse, les autres modèles , je ne veux même pas en parler ;)

 

 

 

amicalement

Posté

Moi aussi c,est le seul scénario qui soutient mon intérêt. :laughing:

 

Juste après le Big Bang, l'univers est minuscule et uniquement composé d'énergie.

 

Mais on observe déjà de petites fluctuations

 

On observe déjà de petites fluctuations; en fait on prévoyait mais maintenant on les observe dans le plasma quarks gluons et nous somme d'accord.

 

Par contre le concept de l'univers primordial homogène et isotrope n'est pas effacé pour autant; donc à un moment donné, l'univers ne présentait pas ces "petites fluctuations". Ne crois-tu pas?

 

Amicalement

Posté

Petite erreur dans le copier/coller:

 

Salut à tous

 

Peut-tu élaborer sur ce point elie;

 

 

les déformations qui ne sont pas en rotation?

 

 

Je ne suis pas sur que je comprend bien

 

 

Merci d' avance

 

 

amicalement

 

Et c'est déjà fait. ;)

 

Amicalement

Posté
(texte cité)

Pour bien comprendre une dilatation des dimension' date=' c'est que la distance représentant un centimètre est doublée et le volume de 1 cm cube est également doublé. C'est ça l'effet réel de l'expansion de l'espace-temps.

 

Qui a-t-il de faux dans tout cette partie de prose? :laughing:;)

[/quote']

 

 

Qu'y a t-il de faux? Voilà: Si la "distance représentant 1cm est doublée" (aïe aïe aïe la prose!), "le volume de 1cm cube est"... multiplié par huit . Car le volume d'un cube de côté a est a au cube.

 

Hé oui, au premier chiffre de niveau CM2 toute la prose s'effondre gravitiquement... heu... gravement!

 

 

:be:

Posté

:lol::lol::lol: Tu as raison.

 

Un cube ayant 2 cm de côté possède un volume de 8 cm (2x2x2=8); lorsque la distance de 2 cm est doublée, c'est à dire devient 4 cm, le volume passe à 4x4x4= 64 cm cube, donc le volume initiale de 8 cm est multiplié par 8.

 

Par contre, en mathématique, doubler le 1 cm serait: 1x1=1 cm qui ne mène nulle part; tandis qu'en prose doubler le un cm devient deux cm. J'ai l'impression qu'on devra se servir de toutes les possibilités maths et prose. :confused: Il semble que l'un sans l'autre, tout s'effondre. Surtout si on considère l'univers comme une unité; alors là.... :?:

 

Merci gerard sirven de nous faire remarquer cet embuche. :lol:

 

Amicalement

Posté

OK, excuse moi... Tu as raison de te faire plaisir et de réfléchir ainsi. C'est le mot Astrophysique, qui me gêne. Philosophie Naturelle, comme disaient les Anciens, serait mieux. Et là, tu es fort!

 

Amitié,

 

GG

Posté

Bonsoirs tout le monde :)

 

Merci beaucoup elie pour tes reponses ;)

 

Bonnes remarques gérald sirven ;)

 

aurevoir

Posté

Merci à vous deux; mais il y avait une faille de raisonnement à mon "doubler le 1 cm" en écrivant 1x1=1. En fait, je ne le doublais pas en multipliant par un; je ne faisais que confirmer son unité. Pour le doubler il aurait fallu que je le multiplie par deux. On voit tout de suite qu'il est très facile de tomber dans une erreur si on ne se sert pas de la logique dans une réflexion, mais seulement de "l'apparence". ;)

 

Par contre 1 cm cube est bien 1cm x 1cm x 1cm= 1cm cube. Il y a certainement de la phylosophie à trouver derrière ce fait; probablement au niveau de l'unité dans le calcul de probabilité. :laughing:

 

Amicalement

Posté

Voyons ce qu' en pense le plus grand philosophe du 20e Siècle (un parent à toi, Elie ?)

"Le Cycle... le cycle du cosmos dans la vie... c'est une grande roue. Qui est faite de... choses, de moments, de "feelings"... et la vérité, c'est qu'il n'y a pas de vérité; la vérité, c'est qu'il faut trouver sa propre vérité. Ma vérité à moi? Comment veux-tu que je te parle de cette manière? Tu m'aurais parlé il y a cinq ans, ou bien il y a trois ans, ou il y a six mois! Ou hier... ou demain... Tu m'aurais parlé de cette manière, j'aurais pas pu te répondre de cette façon. Et grâce à ma propre vérité (dont je n'ai pas encore la réponse de la vérité), je peux te parler d'une manière plus sophistiquée. Il y a un an, je t'aurais parlé de mes muscles. De combien je mange le matin, combien je suis beau et combien je suis fort, je suis le meilleur... Mais en vérité, il n'y a pas de meilleur! En vérité, il y a chacun soi-même!" JC Vandamme

Posté

salut à tous :)

 

La géométrie de l'univers, d'après la théorie de la relativité générale, est déterminée par la densité de l'univers. Pour la densité critique oméga = 1, l'univers est plat. ;)

 

Pour une densité < 1 l'univers est ouvert et pour une densité > 1 l'univers est fermé. ;)

 

La théorie de l'inflation implique un univers plat avec une densité quasiment égale à la densité critique oméga et une constante cosmologique non nulle. ;)

 

La densité de l'univers est estimée à 0,1 dans les galaxies et 0,5 dans les amas de galaxies et les larges structures (K. Ratnatunga - R. Griffiths 1998). ;)

 

La masse sombre de l'univers est évaluée à 90 % dans les galaxies et 99 % dans les grandes structures et serait constituée soit de matière sombre chaude (de masse 0, comme les neutrinos ?), soit de matière sombre froide (naines blanches, étoiles à neutrons, trous noirs supermassifs, naines brunes, Machos -Massive Compact Halo Objects -, WIMPs -Weakly Interactif Massive Particles, etc...). ;)

 

La hiérarchie des échelles de structures de l'univers va des distances moyennes entre étoiles (1 Pc = 3 10^18 cm), galaxies (1 Mpc = 3 10^24 cm), amas de galaxies (10 Mpc = 3 10^25 cm), superamas de galaxies et vides (100 Mpc = 3 10^26 cm), grandes structures - murs et filaments - (150 Mpc = 5 10^26 cm). ;)

 

Le Grand Attracteur, situé à 65 Mpc (2 10^26 cm) de la terre, dans la direction de la constellation Centaurus, attire une rivière de galaxies qui inclut le Groupe Local, l'amas Virgo, etc..., à la vitesse de 600 Km/sec. ;)

 

Critiques :

 

1) Le modèle inflationnaire implique un univers plat avec une densité de l'univers approximativement égale à la densité critique oméga. Or, si les dernières observations convergent vers un univers plat, sa densité est loin de la densité critique (0,1 pour les galaxies et 0,5 pour les grandes structures). :question:

 

2) Les étoiles ne sont pas distribuées au hasard dans l'univers mais tendent à se regrouper dans des structures de plus en plus vastes, allant des amas globulaires aux grands murs et aux structures plusieurs fois plus vastes. ;)

 

Les grandes structures sont séparées par des vides réguliers, remplissant 90 % de l'espace, de diamètre typique de 25 Mpc (8 10^25 cm) pouvant aller jusqu'à 124 Mpc (4 10^26 cm) (Stephen D. Landy 1999). Rien, dans le modèle du Hot Big Bang, ni dans le modèle inflationnaire, ne peut rendre compte de cette périodicité des grandes structures. :?:

 

3) D'après les observations du HST (Hubble Space Telescope), 10 à 20 % des amas de galaxies les plus éloignées se situent à 7 milliards d'années. :?:

 

Une population de dizaines et même de centaines de galaxies est donc assemblée tôt dans l'histoire de l'univers (K. Ratnatunga - R. Griffiths 1998) et même certaines galaxies, 2 milliards d'années après le Big Bang (Cambridge Cosmology). :?:

 

Cette précocité des grandes structures est en contradiction flagrante avec les prédictions théoriques du modèle du Hot Big Bang :question:

 

4) Pour traverser des vides de 100 Mpc (3 10^26 cm), à la vitesse moyenne de 600 Km/sec, les galaxies mettraient 160 milliards d'années (3 10^26 cm / 6 10^7 cm/sec). ;)

 

Les vides et les galaxies sont donc situés actuellement là où ils furent créés. :?:

 

Ce qui est parfaitement incompatible avec le modèle standard du Hot Big Bang, le modèle inflationnaire et le modèle du fond diffus cosmologique. :?:

 

 

Source;http://www.freazer.com/perso/notbigbang/mtdeuxlemodeleduhotbigbang.htm

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :)

 

 

Pour en savoir plus à propos de ça;

 

Les vides et les galaxies sont donc situés actuellement là où ils furent créés

 

Je t' avoue que je suis perdu-là :?:

 

Peut-tu élaborer :question:

 

 

amicalement vôtre

 

 

aurevoir

Posté

Bonjours tout le monde :)

 

De plus ,

 

Le modèle standard du Hot Big Bang peut être résumé en quelques lignes.

 

Il y a une quinzaine de milliards d'années, l'univers est né d'une violente explosion. L'univers primordial était à une très haute température, supérieure à 10^13 degrés Kelvin.

 

A 1/100 de seconde, l'univers, à très haute densité et très haute température (10 ^11 degrés Kelvin), était constitué d'une soupe indifférenciée de matière et de lumière (photons, électrons et positrons, neutrinos et antineutrinos, protons et neutrons), dominée par les radiations.

 

Puis, la température décrut très rapidement avec l'expansion de l'univers (Weinberg 1980).

 

Au bout de 3 minutes et 45 secondes, la température étant suffisamment basse, purent se constituer les noyaux de deutérium puis d'hélium.

 

Au bout de 700.000 ans, la température étant tombée à plusieurs milliers de degrés Kelvin, purent se former les premiers atomes d'hydrogène et d'éléments légers (deutérium 2H, hélium 3H, hélium 4H, lithium 7 Li).

 

L'expansion se poursuivant, les galaxies et les étoiles apparurent puis les grandes structures de l'univers (amas de galaxies, superamas de galaxies, grands murs, etc...).

 

Les éléments chimiques plus lourds prirent naissance dans les étoiles.

 

La théorie de l'inflation, élaborée pour résoudre un certain nombre de problèmes graves posés par le modèle du Hot Big Bang, en est un prolongement mais en est indépendante.

 

Le modèle standard du Hot Big Bang repose sur un certain nombre de principes, de faits, d'hypothèses, de présupposés et de conséquences, que nous pouvons énumérer et que nous allons analyser:

 

les décalages spectraux des galaxies lointaines et la constante Ho de Hubble;

 

l'expansion de l'univers, la relativité générale et le principe cosmologique;

 

la théorie de l'inflation; le fond diffus cosmologique; la nucléosynthèse primordiale et le ratio baryons/photons au début du Hot Big Bang;

 

l'âge de l'univers; les grandes structures de l'univers; la densité critique et la forme géométrique de l'univers.

 

On peut y ajouter les problèmes de la masse sombre, de la constante cosmologique et de la quintessence. ;)

 

 

Qu' en pensez-vous ;)

 

 

source;http://www.freazer.com/perso/notbigbang/mtunresume.htm

 

 

 

aurevoir

Posté
Cette précocité des grandes structures est en contradiction flagrante avec les prédictions théoriques du modèle du Hot Big Bang

 

Mais concorde parfaitement avec la possibilité de création de déformations à l'époque du plasma quarks-gluons; et alors tout tombe en place. De sorte qu'au lieu de dire que:

 

Les vides et les galaxies sont donc situés actuellement là où ils furent créés.

 

On dirait plutôt que ce sont les parties non-vides qui sont situées là où elle furent créées et que l'expansion à simplement augmenté la dimension (volume) de l'espace qui les sépare, car l'expansion n'a aucune implication dans les parties non-vides (ou à l'intérieur des déformations).

 

Les étoiles ne sont pas distribuées au hasard dans l'univers mais tendent à se regrouper dans des structures de plus en plus vastes, allant des amas globulaires aux grands murs et aux structures plusieurs fois plus vastes.

Structures qui seraient des déformations spatiales imbriquées les une dans les autres ayant des courbures plus ou moins prononçées.

 

Donc dans les parties vides, l'univers serait "plat"; c'est à dire, selon la "théorie": de densité = omega. Ce qui est complètement farfelu, puisque le vide est de densité plus près de 0 que de 1. (Ce qui est confirmé par les observations).

Par contre, dans les déformations spatiales la densité serait: une densité > 1 donnant des endroits localisés où l'univers est fermé, ce qui est exact et également observé. Dans un univers fermé la dimension s'effondre sur elle-même comme dans une déformation. Donc la gravité semble exister dans une déformation. Par contre, cette gravité n'est qu'une conséquence de la déformation. Donc c'est le mouvement qui se dirige vers le centre de gravité qui capte les particules pour augmenter la densité à l'intérieur des déformations. C'est ce qu'indique la déviation d'un photon lorsqu'il dévie dans une déformation et parvient à en sortir à cause de sa vitesse qui lui fait échapper au mouvement voulant le diriger vers le centre de la déformation.

 

Amicalement

Posté
Il y a une quinzaine de milliards d'années, l'univers est né d'une violente explosion.

 

Ce dont je doutes car, encore aujourd'hui, l'expansion accélérée de l'univers signifierait que la violence de l'explosion est en progression. Une nuance doit être apportée à cette notion d'explosion.

 

Je dirais donc plutôt: est issu de la vitesse maximale d'un mouvement atteint avant le mur de Planck puisqu'au mur de Planck on peut dire que la chaleur et la densité sont presque infinies et que la chaleur est produite par la vitesse du mouvement causant la fréquence des frictions dans une densité élevée. La densité et la chaleur se diluant au cour de l'expansion signifie que le mouvement augmente son amplitude dans l'espace-temps en expansion.

 

Ceci nous indiquerait également que la fréquence est le genre de mouvement produit à l'ère de Planck et que la longueur d'onde se développe de ce côté-ci du mur de Planck. Ce sont deux caractéristiques différentes du mouvement.

 

Pour bien comprendre, faites-vous un dessin démontrant la progression de l'expansion de l'univers à partir du mur de Planck et prologez vos lignes jusqu'à l'instant zéro. Ça vous donnera une sorte de X couché. Vous y verrez alors une contraction de l'univers "ère de Planck" à partir de l'instant zéro jusqu'au mur de Planck suivi du début d'une expansion du point "mur de Planck" jusqu'à aujourd'hui. Le point "mur de Planck est la singularité qui fut traversée par ce qui existait à l'ère de Planck pour se développer en notre univers actuel en expansion.

 

Amicalement

Posté

bonsoirs tout le monde :)

 

pour te répondre sur ceci;

 

Mais concorde parfaitement avec la possibilité de création de déformations à l'époque du plasma quarks-gluons; et alors tout tombe en place.

 

Qu' est-ce -qui tomde en place :question:

 

 

 

aurevoir

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

Question d' en rajouter un peu, la courbure de l'espace-temps peut provoquer la déviation d'un photon de sa trajectoire rectiligne. ;)

 

De plus, la démonstration montre deux rayons déviés sortir de l'attraction, parallèles, mais selon un angle de 90 degrés par rapport à leur source. ;)

 

On appelle l'ensemble des phénomènes de déviation gravitationnelle de la lumière effet de lentille . ;)

 

De plus, lorsque la masse interposée (observée) est parfaitement sphérique, c'est le cas des trous noirs de Schwarzschild, les rayons lumineux sont courbés avec le même angle dans toutes les directions, formant un anneau lumineux circulaire autour de la source initiale:

 

un arc d'Einstein :?:

 

Cependant ces phénomènes sont très difficiles à observer du fait de leur rareté, de certains éléments externes tel les nuages cosmiques nuages de poussière.

 

mais aussi du fait que les trous noirs ne sont pas tous totalement sphériques :?:

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :)

 

Bon texte néo :)

 

Max Planck montre en 1900 que pour rendre compte de l'expérience des rayonnements d'un four (qui est une sorte de "corps noir" sans rayonnement extérieur ou presque), il fallait introduire une constante h proportionnelle à la fréquence et qu'il appelle QUANTUM. :?:

 

L'étonnant, en effet, c'est que l'énergie des ondes électromagnétiques ne varie pas de manière continue mais admet seulement des multiples de cette constante h x f (où h = 6,63 x 10-34 Joules par seconde et f représente la fréquence mesurée). B)

 

Il faut comprendre que si la constante de Planck a été introduite seulement pour rendre compte des mesures effectives, ce n'est pourtant pas à cause d'une limitation de l'expérience car si les variations étaient réellement complètement continues et non quantifiées, comme la théorie le prétendait jusqu'alors, cela aurait eu pour impossible conséquence une énergie totale de rayonnement à l'intérieur d'un four qui aurait été infinie puisqu'il y aurait une infinité de rayonnements. :?:

 

Au contraire, à partir des ultra-violets, plus la fréquence était élevée et moins il y avait de rayonnements (c'est ce qu'on a appelé la "catastrophe ultraviolette"). :?:

 

La quantification est une contrainte du réel, de sa finitude, et non une limitation théorique. ;)

 

Cette découverte est la base de la physique quantique, même si elle ne devait commencer vraiment qu'en 1905 avec Einstein qui en généralise la portée, en établissant l'équivalence entre masse et énergie (E=mc2), à partir du fait que la lumière est elle-même quantifiée, constituée de photons, expliquant ainsi notamment l'effet photoélectrique . ;)

 

C'est d'ailleurs en grande partie contre Einstein, mais dans un dialogue intense avec lui, que se construira la physique quantique dont il n'acceptera jamais le caractère probabiliste lié à la discontinuité des quanta (alors même qu'il avait prouvé en 1905 l'existence des atomes à partir d'une interprétation probabiliste des fluctuations d'entropie dans le mouvement brownien). :?:

 

amicalement

Posté

non non non non albert

la catastrophe ultraviolette n'a rien à voir avec le corps noir

 

alors en effet, en formalisme classique, on avait une émission infinie de lumière par le corps noir (une boite fermée thermostatée, rien de plus). Le formalisme quantique, lui, donne le bon spectre d'émission en fonction de la température, et avec une énergie heureusement limitée.

 

la catastrophe ultraviolette, pour rencontrer ça il faut s'attacher à la renormalisation des processus d'interaction... je ne lancerai pas le sujet parce que je ne le comprends pas assez bien pour être rigoureux, mais en gros, rien à voir avec le corps noir. cecui dit, à ce détail de terminlogie près, ton post est bon

(ah au fait, c'est pas vraiment des "nombres entiers de la constant de planck", c'est un chouia plus tendu. Mais l'idée est là : la lumière est transportée par quanta (par "paquets" d'énergie), et de plus ces quanta ne peuvent aps avoir n'importe quelle valeur... il n'y a que des valeurs discrètes possibles. (et on retrouve la constante de planck partout)

 

edit : bon, vite fait je situe la catastrophe ultraviolette : quand on essaie de faire passer une interaction en formalisme de la mécanique quantique des champs, eh bien le calcul de l'énergie d'une particule peut diverger ( cf diagrammes de feynmann). C'est la catastrphe ultraviolette. D'où les procédés de renormalisation (maths très poussées) pour s'en affranchir, qui consistent en gros à re-définir la masse, et quelques trucs comme ça.

Posté
(texte cité)

non non non non albert

la catastrophe ultraviolette n'a rien à voir avec le corps noir

 

Si si si si duschnok, le terme 'catastrophe ultraviolette' est bien la dénomination habituellement acceptée du problème de l' énergie radiative du corps noir (la loi de Raleigh-jeans prédit une énergie radiative totale infinie si on prends en compte tout le spectre).

 

Ce dont tu parle, c' est de la divergence des intégrales de la mécanique quantique quand on prends en compte les intéractions à boucle (impliquant des énergies de plus en plus grande, au fur et à mesure qu' on augmente le nombre de particules virtuelles), parfois appelé divergence ultraviolette, et son artifice calculatoire (ne pas prendre en compte les intéraction à plus de n boucles en perturbation), l' "ultraviolet cutoff".

 

A+

--

Pascal.

Posté

ouhla merde, je crois que t'as raison

 

faut pas s'emballer trop vite... :be:

mais pour la renormalisation, j'ai entendu le même terme "catastrophe UV" en séminaire (j'en ai fait qu'une fois en cours, et c'était pas précisément un cas compliqué....) ... alors bêtement, je me suis dit : ben non, c'est pas employé là vu que c'est employé là...

 

arf

désolé

Posté
(texte cité)

mais pour la renormalisation' date=' j'ai entendu le même terme "catastrophe UV" en séminaire (j'en ai fait qu'une fois en cours, et c'était pas précisément un cas compliqué....) ... alors bêtement, je me suis dit : ben non, c'est pas employé là vu que c'est employé là...

[/quote']

 

Manque d' imagination des physiciens, que veux-tu ... :be:

 

Dans la série "la renormalisation pour les nuls", ce petit texte est pas mal (mais c' est en Anglais ...)

http://math.ucr.edu/home/baez/renormalization.html

 

A+

--

Pascal.

Posté
(texte cité)

Manque d' imagination des physiciens' date=' que veux-tu ... :be:

 

A+

--

Pascal.

[/quote']

 

:be::be::be:

 

merci pour le lien

à ce jour la seule renormalisation que j'ai vraiment vue et faite, c'est dans le cadre de la théorie BCS de supraconductivité, pour réintégrer les échanges de phonons dans une interaction électron-électron (j'aime beaucoup le principe)

 

hop, je vais donc revoir la renormalisation plus en détail

à ploutch

Posté

Salut à tous :)

 

Merci arthurdent ;)

 

Et tu as tellement raison, que je n' ai rien à rajouter sur ce sujet ;)

 

J'aimerais profiter de l'occasion pour rappeler quelques bizarreries à propos du photon, et en signaler aussi de nouvelles, qui font vraiment de lui un être étrange:

 

N'importe quelle particule massive est susceptible de se volatiliser en pure énergie photonique; réciproquement, des photons suffisamment énergiques sont capables d'engendrer des particules massives.

 

Un photon est censé se déplacer dans l'espace à la vitesse constante c d'environ 300.000 km/s, mais sa conception à lui de l'espace est très différente de la nôtre:

 

il est à la fois au début et à la fin de sa trajectoire, il est dans une certaine mesure "délocalisé", il n'y a pas de limites au nombre de photons qui peuvent être entasser simultanément au même endroit . ;)

 

Il est censé être caractérisé par une fréquence. :?:

 

Or cette fréquence dépend en fait de l'observateur ,ce phénomène est plus subtil qu'il n'y paraît. :?:

 

On pourrait se dire en effet qu'un photon possède une fréquence intrinsèque définie par l'énergie reçue lors de son émission . :?:

 

Mais la seule caractéristique qui compte est celle qui se révèle à l'observation. :?:

 

Or, un observateur qui interagit avec un photon n'est pas censé connaître la source, et encore moins les déplacements de ladite source. :?:

 

Et il ne peut le deviner en observant un photon isolé puisque celui-ci se déplace toujours par rapport à lui à la même vitesse c. :?:

 

Autrement dit, le photon ne possède pas de fréquence caractéristique, donc pas d'énergie caractéristique non plus! :?:

 

Tout cela peut sembler compliqué. :?:

 

Mais au-delà des détails techniques, chacun sentira bien le gouffre qui sépare les photons que nos yeux reçoivent et que la physique décrit, des images colorées qui jaillissent dans notre conscience. ;)

 

source;http://co-creation.net/weid/son/son.htm

 

 

amicalement

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