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Effondrement Gravitationnel


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Bonjours tout le monde :)

 

 

Merci albert pour ton texte ;)

 

Et je rajouterais qu' un atome ou une molécule est un système dit conservatif, et il existe des états spéciaux, appellés états stationaires, d'énergie quantifiée, bien précise, conservée, et dont la distribution de probabilité de présence est constante au cours de l'évolution temporelle. ;)

 

Ce sont ces états (ils sont en nombre infini), en particulier l'état de plus basse énergie, appellé état fondamental, qui décrivent la structure des atomes et des molécules. ;)

 

 

Qu' en-dites-vous :question:

 

 

 

aurevoir

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en effet.

c'est un peu hors-sujet, mais ce que tu dis est tout à fait juste, et c'est une des premières conséquences de la mécanique quantique.

En fait, un atome peut être dans des états plus complexes, mais ceux-ci sont des superpositions d'états comme ceux que tu as cités. Si l'atome est "froid" par exemple, et qu'il n'a nulle part où puiser de l'énergie, il va par exemple rester à 100% dans son état fondamental d'énergie. Les atomes excités vont se désexciter et passer d'une énergie à une énergie plus basse en envoyant un photon emportant la différence.

Et hop, à partir de ça, on comprend pourquoi les spectres d'émission ou d'absorption ont des raies bien définies (plus quelques effets - doppler, quenching... qui élargissent les raies)

 

un des premiers miracles de la MQ, après l'explication de l'effet photoélectrique et de l'expérience de Franck-et Hertz

 

bon, mais c'est HS tout ça :a:

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Salut à tous.

 

Très bonnes remarques albert. Effectivement ces considérations sur le photon peuvent donner des infos sur la chronologie de l'évolution de l'univers à partir du mur de Planck.

 

Cette évolution est difficile à comprendre si on se limite simplement à l'observation extérieure, je crois. C'est d'ailleurs de cette façon qu'on perçoit des apparences comme des faits.

 

Tes remarques sont également constructives neo. Quant à la note de duschnock sur l'état fondamental d'énergie et son excitation, elle est d'une importance capitale. Il s'agit de la situer dans l'histoire de l'univers; ce qui n'est pas tout à fait facile. J'ai l'impression. Mais il ne faut surtout pas l'oublier.

 

Amicalement

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bonsoirs tout le monde :)

 

Merci beaucoup elie ;)

 

Excusez-moi ,mais en fouinant le net j' ai trouver ceci, et à l' époque ça avait fait des étincelles quand ont en avait parler :?:

 

Plus je vais vite moins j'accélère;

 

Dans le précédent essai et après avoir postulé que la pesanteur est l'expression de la tension du contenant (espace ) sur son contenu ( masse ), nous reprenons cette masse sphérique qu'est notre planète terre ( sphère ) et n'en retenons comme dans le précédent essai que ses qualités physiques de masse et d'espace en faisant abstraction de tout autre phénomène. ;)

 

Je suis à la surface de cette sphère et je creuse trois puits en direction du centre le terre. ;)

 

Le premier puits est d'une profondeur telle que pour arriver au fond un temps de chute de 10 secondes est nécessaire. :?:

 

1g est égal à 9,81 m/s par seconde,mais pour commodité nous prenons 1g =10ms/s par seconde. :?:

 

Je ne saute pas dedans, car avec une force de 1g ( 10 mètres seconde par seconde ) mon arrivée au fond du puits serait fatale, car j'aurais atteint la vitesse de 100 mètres par seconde. :?:

 

Le résultat de 100 mètres par secondes est faux et sa valeur est inférieure à celle qui est annoncée nous comprendrons pourquoi par la suite. ;)

 

Le second puits lui arrive au centre de la planète. ;)

 

Même raisonnement que pour le premier je ne saute pas car en effet si dans ma chute ma vitesse va en augmentant par le cumul des vitesses, moins je vais accélérer. ;)

 

En effet comme la physique en est remplie, nous nous trouvons déjà face à un paradoxe. :?:

 

Plus je vais vite moins j'accélère. ou moins j'accélère plus je vais vite. :?:

 

Analysons ce phénomène et imaginons par une expérience de pensée et que je saute vraiment. ;)

 

A la surface je suis soumis à une force de 1g ( 10 mètres seconde par seconde,mais mon arrivée au centre elle, est de 0g ( 0 mètres seconde par seconde ). ;)

 

Donc entre ces deux points surface, centre, je passe de 1g à 0g, ce qui fait qu'au fur et à mesure que je descends l'accélération en g décroît. ;)

 

Par contre le cumul des vitesses lui ne fait que croître et s'additionner jusqu'au centre de la terre. ;)

 

On pourrait alors spéculer que plus je descends et plus je traverse de masse qui à son tour me retient par l'attraction de cette même masse traversée. ;)

 

Ou dire que plus de masse traversée, moins il reste de masse attractive pour m'attirer . Ce raisonnement est tout aussi valable que le premier, mais il en est un autre qui peut être exposé et se révéler plus simple et remplacer les deux précédents. ;)

 

Comme dans le précédent essai, c'est l'espace qui lui fait en sorte de m'envoyer au centre de cette masse. ;)

Pour quelle raison ? :question:

 

et comment arriver à expliquer quelque chose d'aussi abstrait. :question:

 

Considérons que l'espace est un milieu extensible mais que hors présence de masse il se révèle plan et détendu et en exemple référons nous à deux cordes de guitare au repos. ;)

 

Prenons une pomme et logeons la entre les deux cordes de cette guitare, et nous voyons que la tension de cet espace représenté par les cordes a tendance à vouloir retrouver sa forme initiale sans tension et en compressant l'objet (masse ) qui l'empêche de le faire. ;)

 

En réalité il en est de même pour les masses dans l'espace, ce dernier tend à retrouver une forme initiale sans masse,ou du moins de compresser le plus possible les masses les plus contraignantes pour sa tension. ;)

 

 

Considérons que je sois maintenant un point x de cette corde de guitare qui tente de retrouver sa place initiale sans tension, de sa tension extrême à la position tension nulle le même phénomène se produit que dans le puits n°2 mis à part la vibration ,car une corde de guitare ne s'arrête pas instantanément en position tension nulle. :?:

 

Mais le puits n° 3 va nous montrer que ce raisonnement va se vérifier. ;)

 

Nous en arrivons au troisième puits et ce dernier traverse environ les trois quarts de la planète. ;)

Sans aucune hésitation je me jette à l'intérieur, ma vitesse de descente est de plus en plus grande avec de moins en moins d'accélération et ce jusqu'au centre de la terre. ;)

 

Arrivé au centre de la terre, l'accélération devient nulle ,mais je continue à être emporté par la vitesse et la force acquise et ce jusqu'à que cette dernière devienne nulle. ;)

 

Je vais faire des aller retour dans ce puits, comme peut vibrer une corde de guitare jusqu'à me trouver et m'arrêter en équilibre au centre de la masse avec une tension quasi nulle si ce n'est celle de ma propre masse. ;)

 

Ça te dis tu quelque chose elie :question:

 

 

J' attend ta réponse avec impatience, et j' amerais bien avoir l' avis de universus et de arthurdent qui avait donner des avis fort intéressant sur le sujet ;)

 

 

 

aurevoir

 

 

 

 

POSTULAT: De la surface d'une masse vers son centre et par la seule force d'attraction ou de tension spatiale un corps se déplace en augmentant sa vitesse en même temps que son accélération décroît. (plus je vais vite moins j'accélère)

 

source;http://essaiphysique.free.fr/espacemasse.html

 

 

Qu' en pensez-vous

 

 

aurevoir

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Mon problème reste et restera toujours la cause de l'accélération. Dans le cas que tu présentes, si je saute dans le troisième trou, ce serait la tension de l'espace qui me pousse au ...dos. De toute façon, il n'y a sûrement rien qui m'attire.

 

Reste à savoir:

Le fait que la tension de l'espace me pousse, laisse entendre que, même si j'accélère, la poussée est constante et uniforme. Ce qui voudrait dire qu'une masse de 3,2 masses solaires reçoit, à sa surface, cette même poussée uniforme de la tension de l'espace. Et à moins que cette tension soit augmentée par le volume de la masse, je ne crois pas qu'elle puisse se faire effondrer toute la masse dans un trou noir. D'ailleurs, lorsqu'un photon est dévié par une déformation, s'il recevait une poussée de tension de l'espace, même sa vitesse ne l'en laisserait pas sortir de l'ergosphère d'un trou noir, puisque la poussée serait plus importante à cet endroit qu'au centre du trou noir, où la tension est nulle. C'est donc dire qu'il n'est question que d'une déformation et de vitesse intrinsèque du photon. Et comme tout ce qui existe est animé d'une vitesse....

 

Donc, pour moi, il n'existe qu'une seule solution qui est que chacune des particules de matière possède sa propre vitesse et que toutes les particules de matière composant ces trois masses solaires, poussent pour se rendre au centre à cause de la déformation d'effondrement de l'espace. C'est le cumul de ces poussées individuelles qui fait que plus elles poussent, plus l'espace s'effondre (ou se déforme). Les particules de matière parviennent alors à faire franchir les limites de Chandrasekhar, au centre de la masse, jusqu'au trou noir.

 

Amicalement

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Salut à tous :)

 

 

Excellent néo :be:

 

Mais , on arrive aux même conclusions que la dernière fois ;)

 

 

Et pour repondre à elie sur ceci;

 

la cause de l'accélération

 

A ce jour le mouvement perpétuel est déclaré impossible, en raison du principe d’équivalence, donc sa réalisation ne peut être possible que par violation de ce principe afin de relativiser le centre de gravité sur la base de l’inverse carré. ;)

 

Le mouvement perpétuel est la transformation physique d’un système réversible pour faire du travail sans consommation d’énergie, fonctionnant en circuit fermé sur la base de l’inverse carré. :?:

 

L’interaction des gravitons permet aux masses positivement mais inversement chargées,de se trouver su bon endroit au bon moment relativisant de ce fait le centre de gravite du système. ;)

 

La quantité de moment cinétique conservée qui en résulte dans un espace temps approprié, peut être selon les besoins augmentée par mécanique quantique. ;)

 

Ainsi l’interaction gravitationnelle ajoutée aux trois autres (interaction faible-forte-électromagnétique) nous ouvre la porte a l’unification des lois de l’univers ;)

 

 

amicalement

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Bonjour à tous.

 

Albert, il y a énormememnt de choses qui ne nous sont pas compréhensibles pour l'instant.

 

Par exemple, il est impossible de savoir où se trouve exactement la Terre dans l'univers, considéré dans son entier. Nous pouvons la situer dans le temps mais il est impossible de la situer dans l'espace infini. Et si cet espace est fini, nous ne pouvons pas encore déterminer les référentiels de ses limites. Une seule chose que nous savons, c'est qu'elle n'est pas partout et qu'elle est entourée de certains référentiels observables. Ce phénomène de ne pouvoir nous situer dans l'univers se rattache aux caractéristiques de l'univers considéré dans son ensemble. L'univers possède d'autres caractéristiques étonnantes.

 

D'accord, tu dis qu'il n'y a pas de mouvement perpétuel; ce qui serait un travail sans perte d'énergie. C'est définitivement vrai lorsqu'on considère une fraction de l'univers, puisqu'on perçoit une dépense d'énergie. Par contre, lorsqu'on considère l'ensemble de l'univers, on sait que "rien ne se perd, rien ne se cré" et que l'énergie actuelle de l'univers n'a pas augmenté ni diminué depuis ses tout débuts. D'un autre côté, tout ce qui existe dans l'univers est en mouvement. Donc le mouvement, au niveau de l'univers, ne produit pas une dépense d'énergie mais une redistribution de l'énergie présente en lui.

 

Et, en plus, le premier mouvement que nous puissions imaginer est le mouvement d'expansion de l'univers. Si ce mouvement d'expanssion n'avait pas existé au mur de Planck et qu'il n'y avait existé qu'une superforce composée des quatre forces imaginée telles: la force de gravité qui "attire", la force nucléaire forte qui "retient", la force nucléaire faible qui "retient et la force électromagnétique qui encore une fois, retient, il serait surprenant que cette superforce produise un effet qui "repousse" comme le fait l'expansion. D'ailleurs, elle aurait repoussé de quoi ou sur quoi, à l'istant zéro du Big bang?

 

Pour augmenter le problème, il ne suffit que de considérer le mouvement des neutrinos et de se demander: mais qu'est-ce qui peut bien propulser les neutrinos, et où est la perte d'énergie causée par le mouvement du neutrino? Et même la perte d'énergie d'un photon qui voyage à la vitesse de la lumière, tant qu'à y être? Je ne parle pas des neutrinos produits par le Soleil, je parle de ceux qui furent produits à l'origine de l'univers.

 

L'expansion de l'univers est un mouvement qui ne semble pas produire une dépense d'énergie. Et même dans la notion d'explosion initiale, il devrait avoir une perte d'énergie; mais nous n'en constatons pas dans l'ensemble de l'univers. D'ailleurs, cette explosion est loin d'en être une, puisqu'elle est simplement le début d'une manifestation d'un mouvement qui se dirige dans tous les sens en vitesse d'accélération.

 

Lorsque l'on considère l'ensemble de l'univers, nous devons nuancer nos notions.

 

Amicalement

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Salut à tous :)

 

Merci beaucoup elie pour ton opignon, qui est tout -à-fait raisonnable ;)

 

Mais, la portée du rayon de gravitation des masses, postulé par le modèle temporaliste, est donnée par la formule r = m½ ;)

 

Donc, les concentrations de matière connues, de la planète terre aux plus grandes structures de l'univers, le rayon de gravitation théorique, à portée finie, et le confronter aux dimensions observées de ces différentes masses (dans le système cgs). ;)

 

Lorsque les masses ne sont pas connues avec précision, nous avons estimé la masse totale d'une structure égale à environ 100 fois la masse visible (conformément aux estimations de 99 % de masse sombre). :?:

 

1) La terre : masse 6 10.27 g - rayon de gravitation 7,7 10.13 cm - distance du satellite lunaire 3,5 10.10 cm - magnétosphère environ 8.10.9 cm ( Philippe Escoubet 2001) ;)

 

2) Le soleil : masse 2.10.33 g - rayon de gravitation 4,5 10.16 cm - limite du système solaire et de l'espace interstellaire 1,4 à 1,8 10.15 cm (Nasa 1993), héliopause 4,5 10.15 cm, Nuage d'Ort influencé par les étoiles de la Voie Lactée 3 10.18 cm (Rosanna L. Hamilton 1999) ;)

 

3) Les amas globulaires :

 

Masse moyenne de 10.000 étoiles soit 2.10.33 g x 10.000 = 2.10.37 g - masse totale estimée 2.10.39 g - rayon de gravitation 4,5 10.19 cm - rayon moyen plusieurs dizaines d'A.L. soit 3 à 5 10.19 cm (Hartmut Frommert - Christine Kronberg - 2001) ;)

 

Masse moyenne 1 million d'étoiles soit 2.10.33 g x 10.6 = 2.10.39 g - masse totale estimée 2.10.41 g - rayon de gravitation 4,5 10.20 cm - rayon moyen 200 A.L. soit 2.10.20 cm (Hartmut Frommert - Christine Kronberg - 2001) ;)

 

M92 - masse estimée environ 330.000 soleils soit 2.10.33 g x 330.000 = 6,6 10.38 g - - rayon de gravitation 2,6 10.19 cm - rayon 30 à 42 A.L. soit 2,8 à 4 10.19 cm (Hartmut Frommert - Christine Kronberg - 2001) ;)

 

4) La Voie Lactée : 200 milliards d'étoiles soit 2.10.11 x 2.10.33 g = 4.10.44 g, masse estimée 10.12 x 2.10.33 g = 2.10.45 g - rayon de gravitation 4.5 10.22 cm - rayon 50.000 A.L. soit 5 10.22 cm - galaxie naine satellite SagDEG à 5 10.22 cm (Hartmut Frommert - Christine Kronberg - 1999) ;)

 

5) Les amas de galaxies : Amas typique 10.15 masses du soleil soit 2 10.33 g x 10.15 = 2 10.48 g - rayon de gravitation 1,4 10.24 cm - rayon Abell typique 1,5 Mpc soit 5 10.24 cm -(amas Coma) (Cambridge Cosmology) ;)

 

6) Les superamas de galaxies : 10 à 32 amas par superamas - Notre superamas centré sur Virgo masse 10.16 masses du soleil soit 2 10.33 g x 10.16 = 2 10.49 g - le ratio masse/luminosité étant de 570 indique la présence d'une importante masse sombre - rayon de gravitation probable 4,5 10.24 cm / 10.25 cm (environ 1,5 à 3 Mpc) - rayon 2 10.25 cm (Cambridge Cosmology) ;)

 

7) Le Grand Attracteur : super-superamas dont le centre est le superamas ACO 3627 (ou amas Norma) masse 5 10.16 masses du soleil soit 2.10.33 g x 5 10.16 = 10.50 g rayon de gravitation 10.25 cm - distance de la terre 60 Mpc soit 1,8 10.26 cm. Les données sont incertaines, en raison du fait que le Grand Attracteur est largement caché par les poussières du disque de la Voie Lactée ( Kraan-Korteweg 1998 - 2000) ;)

 

8) Les vides : diamètres typiques 25 Mpc soit 8 10.25 cm pouvant aller jusqu'à 124 Mpc soit 4 10.26 cm . Leurs dimensions vont au-delà du rayon de gravitation des superamas de galaxies de l'ordre de 5 10.24 / 2 10.25 cm ;)

 

9) Les Grandes Structures : Les galaxies sont distribuées dans de gigantesques formations, des filaments et des Grands Murs allant de 750 millions à 4 milliards d'A.L. soit 7,5 10.26 cm à 4 10.27 cm avec d'éventuels amas denses de galaxies et des vides immenses ;)

 

10) Rayons moyens de gravitation et distances moyennes :

 

Les étoiles dans les galaxies: rayon de gravitation 4 10.16 cm - distance moyenne 1 pc soit 3 10.18 cm ;)

 

Les galaxies dans les groupes et amas: rayon de gravitation 4 10.22 cm - distance moyenne 1 Mpc soit 3 10.24 cm ;)

 

Les amas de galaxies dans les superamas: rayon de gravitation 1,4 10.24 cm - distance moyenne de 1 à 10 Mpc soit 3 10.24 cm à 3 10.25 cm ;)

 

Les superamas de galaxies : rayon de gravitation 5 10.24 cm à 10.25 cm - distance moyenne 100 Mpc soit 3 10.26 cm ;)

 

Les vides ont des dimensions moyennes supérieures à 10.26 cm ;)

 

Conclusions :

 

Si on résume les résultats précédents, on constate que, conformément aux exigences du modèle temporaliste, les dimensions des concentrations de matière, de la terre aux plus grandes structures, sont, en ordre de grandeur, égales ou inférieures aux rayons de gravitation. :?:

 

Seul le Grand Attracteur fait exception, à un ordre de grandeur près. Il est vraisemblable que sa masse ou sa distance, ou les deux, sont à réviser. ;)

 

Ceci est d'autant plus probable que le Grand Attracteur est caché par les poussières du disque de la Voie Lactée, ce qui altère la précision des mesures. ;)

 

La dimension des vides, de l'ordre de 10.26 cm et plus, s'explique également par le rayon de gravitation inférieur des superamas de galaxies de l'ordre de 10.25 cm.

 

Les théories classiques de la gravitation chez lesquelles la portée des forces est illimitée, de même que le Hot Big Bang, ne peuvent rendre compte ni des résultats précédents ni de leur précision. ;)

 

L'univers est structuré avec une périodicité de distribution dans les trois dimensions par des superamas à 120 Mpc ( 4 10.26 cm) séparés par des vides presque identiques de 120 Mpc (4 10.26 cm), comme dans un échiquier. ;)

 

Ces structures, incompréhensibles dans les modèles précédents, découlent naturellement de la portée finie des rayons de gravitation propre au modèle de gravitation temporaliste.

 

La formation de ces larges vides pose d' ailleurs un problème grave au modèle du Hot Big Bang. :?:

 

Pour traverser un vide de l'ordre de 4 10.26 cm, à la vitesse moyenne pour une galaxie de 600 Km/sec, il lui faudrait environ 200 milliards d'années, ce qui signifie que la situation actuelle des galaxies et des vides reflète leur situation à l'époque du Hot Big Bang! :?:

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

 

Source;http://site.voila.fr/nobigbang/mtdixmassesetrayondegravitation.htm

 

 

 

Amicalement

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le rayon de gravitation théorique, à portée finie, ....

 

Cette partie de phrase, si en français, signifie que la gravitation n'est pas à portée infinie. Ce avec quoi je suis d'accord.

 

Par contre ajouter une masse sombre à la masse visible pour remplir la portée du rayon de gravitation est de considérer une déformation spatiale comme une masse de matière quand ce n'est qu'un volume défini d'espace déformé. De plus, ce 99% de masse sombre est basé sur l'attirance de la matière à l'infini versus l'expansion de l'ensemble de l'univers et non sur les déformations spatiales localisées. Il va falloir placer les différentes notions là où elles se manifestent et selon leur limite individuelle.

 

Les Grandes Structures : Les galaxies sont distribuées dans de gigantesques formations, des filaments et des Grands Murs allant de 750 millions à 4 milliards d'A.L.

 

Et c'est entre ces murs et ces filaments qu'il n'y a pas de déformations spatiales. Autrement dit c'est là que les dimensions de l'espace n'ont pas de courbure d'affaissement.

 

Qu' en pensez-vous

 

Je pense que l'auteur de ce lien a bien réfléchit aux vrais problèmes de l'ensemble de l'univers. Il ne lui reste qu'à trouver comment et à quelle époque les déformations de la géométrie de l'espace sont apparues. Il a déjà la presque conviction que la masse n'est pas une cause de déformation de l'espace; il ne lui reste qu'à vérifier si la mase n'en serait pas plutôt l'effet.

 

Les théories classiques de la gravitation chez lesquelles la portée des forces est illimitée, de même que le Hot Big Bang, ne peuvent rendre compte ni des résultats précédents ni de leur précision.

 

Ici, il a raison au sujet des forces illimitées; et il a fort probablement raison au sujet du Big bang hot à l'instant zéro. Par contre, il est indéniable qu'au mur de Planck la chaleur était, dirons-nous...infinie. Donc, cette chaleur aurait augmenté durant l'ère de planck. Ce qui est très plausible si on parle d'augmentation d'une intensité de mouvement, probablement oscillatoire, comme cause de cette augmentation de chaleur. La vitesse d'oscillation (fréquence) peut très bien être le seul mouvement possible à l'ère de Planck et posséder sa limite tout comme la vitesse de déplacement (ondulation) possède la limite de la vitesse de la lumière.

L'apparition d'ondulations peut très bien avoir son départ au mur de Planck, qui serait l'instant de la transformation d'oscillation (vibration) en ondulation. Un peu comme ce qui se présente pour le temps défini sur une horloge. À partir de minuit (instant zéro), nous ne sommes qu'en présence que de secondes qui sont seules à exister. Arrive la première minute, nous sommes maintenant en présence de minutes et de secondes qui sont seules à exister jusqu'à l'arrivée de la première heure où et tout de suite après la première heure, nous sommes en présence d'heures, de minutes et de secondes qui maintenant existent. Chacune de ces trois définitions du temps apparaissent successivement dans le déroulement temporel et se présentent comme une élongation progressive d'une vibration d'énergie à intensité définie et stable se manifestant dans un espace en expansion. Autrement dit, la vitsse du temps est constante, mais sa définition change parce que le temps prend de l'expansion. Ce serait sous cet angle que le temps est une dimension.

 

Cette structure de la définition du temps serait la même que la structure de la définition de l'univers; au début apparaissent les particules fondamentales ayant la vitesse de la lumière et sans masse (les secondes) ; ensuite les particules moins rapides avec masse qui sont virtuelles (les minutes) et suivent les particules encore moins rapides et plus massives qui sont des particules de matière (les heures). Les minutes sont moins rapides que les secondes et les heures moins que les minutes. ;)

 

Amicalement

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Salut à tous :)

 

Bon , pour te répondre elie , je dirais que la modification de la pression du champ subquantique dûe à la matière est à l’origine de la force de gravitation. ;)

 

la présence d’une masse introduit un gradient de pression dans le champ et que la force de gravitation est une fonction de ce gradient. ;)

 

Il n’y a pas de différence fondamentale entre la théorie de la relativité et ce que nous exprimons. :?:

 

Il suffit de remplacer le terme « espace-temps » par le terme « champ subquantique » et de remplacer le rayon de courbure de l’espace temps par l’inverse du gradient de la pression du champ. ;)

 

la matière repousse les particules constitutives du champ subquantique par l’intermédiaire des électrons, ceux-ci ayant une charge négative, comme les particules du champ. ;)

 

Ces particules du champ sont repoussées, mais aussi mises en vibration. L’amplitude de cette vibration est d’autant plus importante que les particules sont proches de la matière. :?:

 

La densité du champ subquantique, c’est à dire le nombre de particules par unité de volume, est d’autant plus faible que l’on se trouve à proximité de la matière. :?:

 

Par comparaison, la densité de l’air est d’autant plus faible que cet air est chaud, c’est à dire que ses molécules s’agitent. :?:

 

L’agitation des particules du champ étant plus importante à proximité de la matière, sa densité y est donc plus faible. ;)

 

 

En Passant elie, christobal huet(Un suisse ou belge) a la meilleur moyenne d' efficassité présentement dans la ligue national de hockey ;)

 

 

Connais-tu L’EFFET BIEFELD-BROWN :question:

 

http://perso.wanadoo.fr/dorane/effet_brown.htm

 

 

Assez intéressant tu devrais y jeter un coup d' oeil ;)

 

 

 

amicalement

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Bon , pour te répondre elie , je dirais que la modification de la pression du champ subquantique dûe à la matière est à l’origine de la force de gravitation.

 

Entièrement d,accord albert et j'enchaînerais avec le scénario où le giclement de neutrinos à travers la singularité initiale est tellement important qu'il augmente la densité de l'univers jusqu'à son maximum. Ce serait alors les collisions et "frôlement" des neutrinos qui produiraient les particules subséquentes. Ce qui laisserait les quarks, qui viendront plus tard, créer les embryons de déformations spatiales. Ce scénario a l'avantage de débuter par une seule particule fantômatique qui évolue en particules de plus en plus définie et massives.

 

Et ce, de façon à se servir constamment de lois physiques ordinaires sans faire intervenir des vecteurs de forces magiques. Ce qui me semble obligatoire. ;)

 

 

 

la présence d’une masse introduit un gradient de pression dans le champ...

 

Entièrement d'accord; par contre, dans le scénario plus haut, la pression en question est produite au départ par la densité des neutrinos dans l'univers de l'époque. C'est là cette densité et pression subquantique dont tu parles; elle est présente avant même l'existence de masse. ;)

 

 

 

La densité du champ subquantique, c’est à dire le nombre de particules par unité de volume, est d’autant plus faible que l’on se trouve à proximité de la matière.

 

Ce qui appuie le scénario ici, puisque l'énergie d'un électron est équivalente à celle de 10,000 neutrinos. L'électron pourrait être le résultat d'une accrétion par collision de 10,000 fois un neutrino. Sans parler des particules hadroniques. La production de ces particules menant vers la matière, diminuerait énormément la densité du champ subquantique au fur et à mesure qu'on se rapproche de l'état matière dans l'univers.

 

 

 

En Passant elie, christobal huet(Un suisse ou belge) a la meilleur moyenne d' efficassité présentement dans la ligue national de hockey

 

C'est très mérité! Et lorsque des imbéciles ne veulent pas lui donner le titre de gardien numéro UNO chez le canadien de Mtl, ça me fout en rogne. :grr

 

Non connait pas; mais je vérifie actuellement l'effet Casimir qui s'explique aussi bien par les déformations de l'espace autour des plaques. Je verrai ce lien, merci albert.

 

Amicalement

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Salut à tous :)

 

 

Pour te répondre elie sur ce résumer;

 

Entièrement d,accord albert et j'enchaînerais avec le scénario où le giclement de neutrinos à travers la singularité initiale est tellement important qu'il augmente la densité de l'univers jusqu'à son maximum. Ce serait alors les collisions et "frôlement" des neutrinos qui produiraient les particules subséquentes. Ce qui laisserait les quarks, qui viendront plus tard, créer les embryons de déformations spatiales. Ce scénario a l'avantage de débuter par une seule particule fantômatique qui évolue en particules de plus en plus définie et massives.

 

Je suis entièrement d' accord avec toi ;)

 

De plus,

 

Einstein affirma en effet que l’espace était vide pour asseoir sa théorie, alors qu’elle eut aussi été valable s'il l’avait appliquée à un milieu dont nous révélerons plus loin les caractéristiques. ;)

 

Au lieu de dire que la matière courbait l’espace temps, il lui suffisait de dire que la matière modifiait la pression du milieu et que les lignes isobares de celui-ci, habituellement rectilignes, se courbaient par la présence de la matière. ;)

 

l'origine de la force de gravitation, est qu'il y a identité entre le rayon de courbure de l'espace temps et l'inverse du gradient de la pression du champ et qu'il n'y a pas d'opposition entre l'existence d'un tel champ et les théories de la relativité. ;)

 

Einstein admit d’ailleurs qu'il y avait une erreur fondamentale dans sa Relativité :

 

il s'agissait pour lui d'une erreur qui, une fois corrigée, expliquerait comment la lumière, une forme ondulatoire évidente, pouvait se propager à travers un espace apparemment non-inertiel. ;)

 

Mais jamais il ne soupçonna qu’il puisse exister un champ subquantique, que les récentes expériences de physique permettent aujourd’hui d’appréhender. ;)

 

l'espace gravitationnel, étant soumis à une accélération pondérale le faisant tomber, cela prouvait indubitablement la présence d'une énergie spatiale. :?:

 

Or, l'énergie sous toutes ses formes étant considérée comme pesante, il était possible d'en déterminer la masse et éventuellement la pression locale ou tension. :?:

 

Ces données permettaient de définir l'espace comme possédant des caractéristiques analogues à celles d'une atmosphère gazeuse quoique assez différentes du fait de l'extrême tenuité de ses constituants hypothétiques, doués de masse, et de leur extrême vélocité. :?:

 

Le calcul des caractéristiques de ces éléments a été fait en partant de diverses données théoriques, et la surprise a été grande d'arriver à des résultats très sensiblement identiques. ;)

 

De Broglie, Bohm et Vigier ont donné, en partant de l'énergie résiduelle au zéro Kelvin, la valeur de 10 puissance 27 Joules au centimètre cube! ;)

 

Qu' en pense-tu :question:

 

source;http://perso.wanadoo.fr/dorane/generalites.htm

 

amicalement

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Or, l'énergie sous toutes ses formes étant considérée comme pesante, il était possible d'en déterminer la masse et éventuellement la pression locale ou tension

 

Sauf pour le neutrino jusqu'à maintenant.

 

 

De Broglie, Bohm et Vigier ont donné, en partant de l'énergie résiduelle au zéro Kelvin, la valeur de 10 puissance 27 Joules au centimètre cube!

 

Je pense que le zéro Kelvin est l'absence complète de mouvement donc de chaleur. Et s'il n'y a pas mouvement, il ne peut y avoir énergie sauf potentialité d'énergie. Le zéro Kelvin serait alors l'état premier probabiliste; là ou les probabilités ne sont encore qu'une potentialité. Ce qui nous oblige à placer le zéro Kelvin à l'insatnt zéro. C'est absolument logique mais heureusement que nous parlons de zéro Kelvin, sinon ce serait de la métaphysique. :laughing:

 

Par contre, ça confirme un excellent point de départ pour l'évolution de l'univers. Et ça nous permet de comprendre cette évolution lorsqu'on la dessine avec des lignes partant d'un seul point représentant le mur de Planck. Nous sommes alors obligés de prolonger ces lignes pour représenter l'ère de planck jusqu'à l'instant zéro ou se dresse un mur. Ceux qui le veulent peuvent toujours considérer la ligne verticale représentant le mur comme une corde qui leur permettra de parler de la théorie des cordes en faisant vibrer cette ligne. !pomoi!:lol:

 

Amicalement

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Salut à tous :)

 

 

HYPOTHESES SUR L’EXISTENCE ET LES CARACTERISTIQUES D’UN CHAMP SUBQUANTIQUE;

 

Un certain nombre d’énigmes tendent à soulever à nouveau l’existence d’un substratum qui baignerait l’univers au-dessous du niveau des quantas.

 

Ce paragraphe rapporte quelques unes de ces énigmes et propose plusieurs hypothèses qui permettraient d’expliquer l’existence d’un champ subquantique, tout en étant conforme aux résultats de l’expérience de Michelson et Morley qui fut, au début de ce siècle, à l’origine de l’hypothèse d’un espace vide.

 

Ces hypothèses permettent d’expliquer le phénomène physique appelé « effet Biefeld-Brown » qui dit qu’un condensateur chargé et déchargé de façon alternative est soumis à une force dirigée vers son pôle positif.

 

Il est proposé une expérience destinée à prouver que cette force se produit aussi bien dans le vide que dans l’air et apporter ainsi la preuve de l’existence d’une interaction entre un champ électrique et ce champ subquantique.

 

LES ENIGMES

 

Les physiciens contemporains considèrent les particules élémentaires comme des paquets d’énergie-matière inclus dans des champs de force. Ces paquets sont des « quantas » et l’expérience montre qu’ils se comportent de façon bien curieuse.

 

Cet étrange comportement des quantas a donné naissance à plusieurs débats sur la nature ultime de la réalité, dont le plus connu est certainement celui qui opposa, de 1927 à 1933, Albert Einstein et Niels Bohr.

 

L’un des comportements étranges décelés par l’expérience résulte de celle, désormais très connue, de la double fente, telle que décrite dans « la révolution quantique et ses conséquences sur notre vision du monde » (J.Staune 1990). Dans cette expérience, un photon semble passer en même temps à travers deux fentes et plusieurs photons, émis comme des particules individuelles, interfèrent entre eux comme des ondes. D’autres expériences, comme celle des faisceaux séparés (Wheeler 1984), prouvent que cette interférence n’est pas affectée par les contraintes de temps et d’espace.

 

L’expérience d’Einstein-Podolski-Rosen (EPR), proposée en 1935, vérifiée dans les années 1980, prouve que deux particules, bien que séparées dans l’espace, sont instantanément en corrélation (E. Laszlo 1992).

 

Cet étrange phénomène, prédit dès les années 1960 par le physicien John Bell, est parfaitement décrit dans un article paru dans le new-scientist du 24 novembre 1990 (J. Gribbin).

 

Dans les années 1912/1913 les expériences de Harress, Sagnac et Pogany (S. Mavridès 1988) démontrèrent que deux faisceaux émis, l’un dans le même sens de rotation d’un disque en mouvement et l’autre en sens inverse, ne mettent pas le même temps pour effectuer le même parcours. Celui qui chemine dans le sens de rotation met moins de temps, comme si l’éther était entraîné par le disque en mouvement, alors qu’il ne l’est pas par le mouvement de la terre autour du soleil, conformément aux résultats de l’expérience de Michelson et Morley (S. Mavridès ).

 

Il n’est guère possible d’écarter ces énigmes et principalement les plus récentes, car elles se produisent dans des conditions reproductibles et ont été faites au cours d’expériences rigoureusement contrôlées.

 

Si, comme dans l’expérience EPR, deux événements se produisent en des points différents de l’espace et si l’un des événements affecte l’autre, nous devons expliquer comment l’effet se propage. L’explication fournie par le bon sens est que les deux événements sont interconnectés. Oui, mais par l’intermédiaire de quel substratum ? Cette notion fait resurgir des problèmes que l’on croyait résolus une fois pour toutes quand, au début de ce siècle, les expériences de Michelson et Morley apportèrent la preuve, selon les physiciens de l’époque, que l’éther n’existait pas et qu’Einstein émit son principe d’équivalence pour expliquer les résultats des expériences de Harress, Sagnac et Pogony (S. Mavridès).

 

HYPOTHESES SUR LE CHAMP SUBQUANTIQUE

 

Avant d’émettre nos hypothèses nous ferons à nouveau remarquer que les résultats de l’expérience de Michelson et Morley n’ont pas prouvé que l’éther n’existait pas. Ils ont seulement prouvé que cet éther, s’il existe, n’est pas entraîné au niveau du sol par le mouvement de la terre autour du soleil.

 

Nous sommes donc parfaitement en droit de nous poser la question de l’existence d’un substratum ou champ subquantique qui accepterait les résultats de cette expérience et expliquerait les énigmes précédemment rappelées.

 

Les hypothèses qui permettraient d’expliquer ces résultats apparemment contradictoires sont énoncées ci-après :

 

1) Le champ subquantique est constitué de particules excessivement ténues appelées, pour plus de commodité, particules G.

 

2) Ces particules G disposent d’une charge électrique négative. Elles ont ainsi la propriété d’être repoussées par une charge négative et d’être attirées par une charge positive.

 

Selon ces hypothèses, les électrons constitutifs de la matière repousseront les particules G d’un côté vers le coeur de l’atome ( formant le nuage pionique) et de l’autre côté vers l’espace. Les particules G constitutives du champ subquantique seront mises en agitation par le mouvement des électrons de tout corps matériel, laquelle agitation se répercutera de proche en proche sur l’ensemble des particules G qui interagiront entre elles du fait de leur charge. Cette agitation provoquera une diminution de la densité du champ, au même titre que l’air devient de moins en moins dense au fur et à mesure que sa température s’élève et que ses molécules s’agitent.

 

Alors qu’en l’absence de corps matériel, la pression sera constante, la présence d’une masse provoquera une modification locale de cette pression. La rotation d’une masse ou d’un corps céleste entraînera les particules du champ dans sa rotation.

 

Nous pouvons ainsi émettre l’hypothèse suivante qui pourrait expliquer que la vitesse des particules du champ est la même que celle de la terre autour du soleil : ces particules seraient entraînées par la rotation du soleil et elles-mêmes entraîneraient les planètes dans leur mouvement autour du soleil. Ainsi donc il n’y aurait aucun mouvement relatif des particules du champ et des planètes.

 

Cette hypothèse peut être accréditée par le fait que la vitesse de chaque planète autour du soleil, comme d’ailleurs celle de chaque satellite autour de sa propre planète, est inversement proportionnelle à la racine carrée de sa distance à l’astre central. Comment expliquer cette loi, si notre hypothèse n’est pas exacte?

 

Une question viendra à l’esprit de tout physicien : l’existence d’un champ subquantique est-il en contradiction avec les théories de la relativité ? Nous ne le pensons pas. Nous croyons même qu’il existe une certaine relation entre les courbures de l’espace-temps et le gradient de la pression du champ, et que de nombreuses relations exprimées par la relativité, comme celle de la masse et de la vitesse, peuvent s’expliquer par la présence de ces particules.

 

Afin d’étayer nos hypothèses et offrir un champ d’expérimentation et de preuves, nous avons étudié un certain nombre de phénomènes physiques qui pourraient être expliqués à partir des hypothèses émises.

 

L’EFFET BIEFELD-BROWN

 

« Un condensateur chargé et déchargé de façon alternative subit une force en direction de son pôle positif ».

 

Cette découverte fut homologuée en 1923, lorsque l’inventeur Towsend Brown rencontra le professeur Biefeld, ancien condisciple d’Einstein en Suisse. En collaboration, ils expérimentèrent le phénomène et établirent un nouveau principe physique : l’effet « Biefeld-Brown » que nous venons d’énoncer.

 

Brown déposa aux Etats-Unis un certain nombre de brevets utilisant ce phénomène, dont, entre autres :

 

- Electrokinetic Transducter (23/1/62).

 

- Electrokinetic Apparatus (1/6/65).

 

Mais jamais Brown ou Biefeld n’expliquèrent le phénomène qu’ils constatèrent. Ils suggérèrent simplement une interaction entre un champ électrique et un champ gravitationnel.

 

Nous démontrons dans l'un des chapitres suivants que ce phénomène peut être expliqué par le fait que les particules G sont aspirées à l’avant de l’électrode positive, puis refoulées latéralement, provoquant par réaction une force dirigée vers l’électrode positive.

 

EXPERIMENTATION

 

L’effet Biefeld-Brown constaté dans le milieu atmosphérique pourrait s’expliquer par un phénomène d’ionisation et de mise en mouvement de l’air ambiant, dû aux charges électriques de haut voltage.

 

Aussi, afin de prouver qu’il s’agit bien de l’interaction d’un champ électrique et d’un champ subquantique, est-il nécessaire de contrôler que la force, constatée dans l’air, se produit aussi dans le vide.

 

A cet effet, nous proposons les détails d’ expériences faciles à réaliser par tout laboratoire de physique qui dispose d’une pompe à vide et d’un générateur haute tension. Dans la première expérience on installe un condensateur constitué de deux plats en aluminium de diamètres inégaux, accrochés à un câble et équilibrés par un contrepoids, à l’intérieur d’une chambre à vide en plexiglas. L’ensemble peut se mouvoir de bas en haut par l’intermédiaire de deux poulies. On détermine la tension nécessaire pour provoquer le déplacement dans l’air du condensateur. On réalise ensuite le vide et on observe le déplacement obtenu pour l’application de la même tension.

 

 

Excusez-moi pour la longueur , mais nécessaire :confused:

 

 

Source;http://perso.wanadoo.fr/dorane/hychsub.htm

 

 

amicalement

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Extrêmement intéressant albert!

 

As-tu remarqué quelques coïncidences?

 

Par exemple:

deux faisceaux émis, l’un dans le même sens de rotation d’un disque en mouvement et l’autre en sens inverse, ne mettent pas le même temps pour effectuer le même parcours. Celui qui chemine dans le sens de rotation met moins de temps, comme si l’éther était entraîné par le disque en mouvement, ...

 

Ça me fait penser tout de suite au neutrino qui possède soit une hélicite droite ou gauche. C'est à dire qu'il adopte un spin du même sens ou non que le sens de sa direction. C'est très intéressant parce que si le neutrino était cette particule G, le fait que l'un se déplace dans le sens de son spin, donnerait une vitesse de déplacement égale à la vitesse de la lumière, qui on le sait résulte en temps figé et en distance nulle. Par contre, l'autre genre de neutrino qui spin dans le sens contraire de son déplacement se déplacerait plus lentement que le premier neutrino, c'est à dire moins rapidement que la vitesse de la lumière. Résultat, l'espace et le temps apparaissent, n'étant plus figé ou nulle. C'est ce qui me manquait dans ma recherche, pour expliquer que l'espace est le tissu immatériel de l'univers et qu'il est créé par le mouvement des neutrinos. Merci! ;)

 

Je remarque que cette particule G est très "ténue" donc, que le neutrino peut très bien en prendre l'emploie. :laughing:

 

Amicalement

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Salut à tous :)

 

 

Tout à fait elie, je suis d' accord avec toi ;)

 

Le modèle subquantique de l'électron célibataire au repos lie la possibilite de celui-ci avec la présence sur le niveau subquantique de l'ensemble bien déterminé des subcourants stationnaires chargés, qui aussi n'émettent pas en se deplaçant de la manière accélérée (hyperbolique) dans le champ d'électron. :?:

 

Ce sont ces subcourants chargés qui sont les sources véritable du champ unique, entrant dans les parties droites des ML-équations. :?:

 

La reconstruction des subcourants en qualité des sources du champ unique et ses propriétés mathématiques bien que physiques s'appuie, principalement,

 

sur les symétries des ML-équations. ;)

 

Il est postulé que les sources subquantiques du champ unique chargées et distribuées en continu dans l'espace, remplissent tout l'espace physique :?::?::?:

 

(sauf des très petites régions de l'«inaccessi­blité» dans les parties centrales d'électron et de proton…), ;)

 

L'espace qui dans l'électro­dynamique classique ne supposa pas aucunes sources chargées du champ hors de la charge «propre» d'électron, mais dans l'Electro­dynamique Quan­tique était rempli par des courants vides des électrons et des positrons virtuels avec la cinématique correspondante. ;)

 

DE plus ,

 

Les subcourants de deux signes de charge, courants de l'infini, léchent le champ d'électron solitaire au repos, se dispersent sur lui le long de l'ensemble de stationnaires trajectoires hyperboliques, bien que la configuration spatiale de son propre ensemble des fils subquantiques hyperboliques de courant reste inaltérable et identique. :?:

 

La dispersion d'éther subquantique sur la champ d'électron est dirigée par la loi subquantique du mouvement de subcharges dans le champ. ;)

 

Le champ d'électron, ayant l'interaction avec l'éther subquantique de l'infini, engendre son propre ensemble des subcourants (des fils hyperboliques de courant) dans tout l'espace.

 

Chaque élément du propre ensemble des subcourants d'électron, tout à fait conformément aux ML-équations, indépendamment des autres subcourants et leurs éléments, – engendre son champ partiel. ;)

 

La somme (l'intégrale) de tous ces champs partiels, générés par tous ces éléments du propre ensemble des subcourants d'électron, – est le champ stationnaire d'électron. ;)

 

Le propre ensemble de subcourants d'électron engendre son champ. ;)

 

L'électron est une e-paire de deux substances subquantiques qui interagissent et générent l'un l'autre: – le champ et le propre assortiment de subcourants dans tout l'espace. ;)

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

amicalement

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Bonjours tout le monde :)

 

 

Merci albert pour ton texte :be:

 

Voilà ce que j' en pense,

 

En réalité, le principe réside dans l'énergie et l'énergie n'est rien d'autre que principe; l'énergie réside dans le vide et le vide n'est rien d'autre qu'énergie. Wang Fuzhi (1619-1692)

 

La physique quantique décrit toute substance (matière, rayonnement ou interactions) sous forme d’un champ quantique. Les propriétés d’un tel objet le distinguent des objets (particules ou ondes) que manipule la physique classique. D'abord, un champ quantique s’étend obligatoirement dans tout l'espace. Cela n'a pas de sens de parler du champ ici ou là seulement : il occupe, fondamentalement, la totalité de l'espace et ne peut être conçu autrement que comme tel. Par ailleurs, un champ est défini par son « état ». Il peut y avoir par exemple des états à plus ou moins grande énergie, des états comportant plus ou moins de particules, des états plus ou moins bien localisés dans l'espace, etc.

 

Nouveauté fondamentale de la théorie quantique des champs : dans un état donné du champ, même parfaitement déterminé, le nombre de particules n'est pas toujours défini. C'est (entre autres) ce qui interdit d'employer systématiquement une description purement corpusculaire de la matière. Cela traduit le fait que la notion de particule est classique et non quantique. Parmi tous les états concevables d’un champ, il en existe un (quelquefois plusieurs) dont l'énergie est minimale. On l’appelle « état fondamental », ou aussi « vide quantique », même si le terme est particulièrement mal adapté : cet état « vide » est en effet bien différent d’une totale absence. Son énergie est minimale, mais pas nécessairement nulle.

 

Par ailleurs, selon la physique quantique, tout ce que l'on peut observer fluctue, selon les relations d’incertitude de Heisenberg. Il faut se méfier d'une interprétation qui consisterait à dire que la réalité des choses fluctue : c'est ce que l'on peut mesurer (et que l’on cherche à interpréter en termes classiques) qui semble fluctuer. Le vide n'échappe pas à cette règle et fluctue lui aussi. On l'exprime parfois sous forme imagée en disant que, pendant une brève durée Δt il est possible « d'emprunter » une quantité d'énergie ΔE pour créer des particules. Plus l'emprunt est long, plus l'énergie empruntée doit être faible : Δt et ΔE sont reliés par une « relation d'incertitude ». Des particules peuvent jaillir du néant, jouir d'une existence éphémère avant de retomber dans l'oubli.

 

Ainsi, le vide reste le siège de cette activité incessante, un abri pour cette multitude de particules au séjour temporaire. Toutefois, ces particules ne peuvent être détectées. Voyageant du vide au vide, elles sont qualifiées de « virtuelles ». Ainsi, le vide n'est pas inerte et sans propriétés, mais un ferment bouillonnant de particules virtuelles, vibrant d'énergie palpitante et de vitalité.

 

Au vide s'opposent les états « excités ». Et ce sont les excitations par rapport au fondamental que nous interprétons en termes de présence de particules, par exemple des électrons, selon la conception ordinaire. Mais l'arrière-plan d'activité frénétique est toujours présent : un électron se déplace en fait dans une mer de particules virtuelles enchevêtrées, de toutes les espèces : autres électrons, photons, quarks, leptons, etc. La présence de l'électron trouble l'activité du vide, et cette distorsion agit en retour sur l'électron lui-même. Tout ceci complique énormément la description quantique qui doit prendre en compte tous ces phénomènes. Or, la diversité infinie de ces interactions fantômes implique des quantités infinies d'énergie. L’exemple le plus simple est celui de deux particules, deux électrons par exemple, échangeant un photon. Entre son émission et sa réception, ce dernier interagit en chemin avec d'autres particules avant d'atteindre l'autre électron. Cela peut se traduire par la transformation du photon en une paire électron - positron ; les membres de cette nouvelle paire peuvent échanger à leur tour un autre photon virtuel ; puis s'annihiler en engendrant un nouveau photon, qui est cette fois absorbé par l'électron récepteur.

 

 

 

 

Diagramme de Feynman

 

Lorsque deux particules (ici deux électrons venant du bas) interagissent, elles peuvent le faire « simplement », en échangeant un seul photon (schéma du haut). Mais ce photon peut lui-même se matérialiser puis de dématérialiser en chemin. Sur le schéma du bas, par exemple, il crée une paire électron-positron qui recrée ensuite le photon. Si l’on tient compte de cette aventure, la description de l’interaction des deux électrons de départ n’est plus la même. Cela n’est en fait que la « première correction ». En effet, il peut arriver au photon des histoires beaucoup plus compliquée qui représentent des corrections d’ordre 2,3,4… La physique quantique exige de tenir compte de l’infinité de ces corrections pour le moindre calcul. Cette difficulté considérable a conduit à incorporer à la physique quantique l’idée de renormalisation.

 

Ceci n’est qu’un exemple, et la diversité des possibilités est infinie. Les échanges toujours plus emmêlés entre différents types de particules virtuelles tissent une sorte de réseau ; des particules fantômes entrent et sortent, apparaissent et disparaissent dans un enchevêtrement vibrant d'énergie. L'infinie complexité de cette situation semble défier la compréhension et le calcul. Les problèmes surgissent par exemple lorsque l'on cherche à calculer l'énergie d'un électron. Le calcul direct aboutit à une valeur infinie : dans cette mer agitée par l'activité du vide, l'électron est enveloppé d'un voile frémissant d'énergie mal localisée, et qu'il faut bien prendre en compte. Or, le calcul montre que les contributions des interactions se déroulant dans ce manteau de particules virtuelles augmentent sans limite près de l'électron. Problème grave, puisque cela voudrait dire que la seule estimation que l'on puisse faire de l'énergie d'un électron est infinie. Voudrait-on admettre ceci, que l'on en serait immédiatement dissuadé par le fait suivant : selon la relativité, l'énergie c'est de la masse ; l'électron aurait alors, contrairement à l'expérience, une masse infinie…

 

Il faut donc trouver un détour. Par exemple, on peut comparer l’état du champ avec un électron, soit F1, avec l’état vide, soit F0. L'énergie de l'électron est estimée comme différence entre l’énergie (infinie) de F1 et celle (infinie également) de F0. Il est à noter qu'un problème du même genre se rencontre aussi en physique non quantique : l'électron, considéré comme une particule ponctuelle, prend dans le propre champ qu'il crée lui-même une énergie elle aussi infinie. Si l'on renonce à le considérer comme ponctuel, on est alors ramené à la physique quantique, avec les problèmes que l'on vient de décrire.

 

 

Source;http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier574-8.php

 

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

aurevoir

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Salut à tous :)

 

Bon ou mauvais , je ne sais pas encore , je n' ai pas tout lu en détail, mais ceci m' a fait arrêter;

 

Voudrait-on admettre ceci, que l'on en serait immédiatement dissuadé par le fait suivant : selon la relativité, l'énergie c'est de la masse ; l'électron aurait alors, contrairement à l'expérience, une masse infinie…

 

J' aimerais bien que tu m' explique cette partie ;)

 

De plus , en physique quantique l’électron n’est pas assimilable à une particule de matière. !pomoi!

 

On ne peut calculer de façon précise sa position mais seulement une probabilité de présence dans une région de l’espace. ;)

 

Parcontre,

 

Les électrons sont les plus petites particules principales constituant la matière ;)

 

Les deux autres sont le neutron et le proton, de loin beaucoup plus grosses (taille x 1836) ;)

 

Un atome comporte autant d'électrons (négatifs) que de protons (positifs) de sorte que la charge électrique de l'atone est neutre ;)

 

Les électrons sont plutôt des nuages qui enveloppent le noyau et non pas des planètes qui gravitent autour du noyau ;)

 

Les électrons sont répartis en couches successives, ou niveaux d'énergie ;)

 

 

Qu' en pense-tu :question:

 

 

amicalement

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(texte cité)

Salut à tous :)

Tout à fait elie' date=' je suis d' accord avec toi ;)

 

Le modèle subquantique de l'électron célibataire au repos lie la possibilite de celui-ci avec la présence sur le niveau subquantique de l'ensemble bien déterminé des subcourants stationnaires chargés, qui aussi n'émettent pas en se deplaçant de la manière accélérée (hyperbolique) dans le champ d'électron. :?:

 

Ce sont ces subcourants chargés qui sont les sources véritable du champ unique, entrant dans les parties droites des ML-équations. :?:

 

La reconstruction des subcourants en qualité des sources du champ unique et ses propriétés mathématiques bien que physiques s'appuie, principalement,

 

sur les symétries des ML-équations. ;)

 

Il est postulé que les sources subquantiques du champ unique chargées et distribuées en continu dans l'espace, remplissent tout l'espace physique :?::?::?:

 

(sauf des très petites régions de l'«inaccessi­blité» dans les parties centrales d'électron et de proton…), ;)

 

L'espace qui dans l'électro­dynamique classique ne supposa pas aucunes sources chargées du champ hors de la charge «propre» d'électron, mais dans l'Electro­dynamique Quan­tique était rempli par des courants vides des électrons et des positrons virtuels avec la cinématique correspondante. ;)

 

DE plus ,

 

Les subcourants de deux signes de charge, courants de l'infini, léchent le champ d'électron solitaire au repos, se dispersent sur lui le long de l'ensemble de stationnaires trajectoires hyperboliques, bien que la configuration spatiale de son propre ensemble des fils subquantiques hyperboliques de courant reste inaltérable et identique. :?:

 

La dispersion d'éther subquantique sur la champ d'électron est dirigée par la loi subquantique du mouvement de subcharges dans le champ. ;)

 

Le champ d'électron, ayant l'interaction avec l'éther subquantique de l'infini, engendre son propre ensemble des subcourants (des fils hyperboliques de courant) dans tout l'espace.

 

Chaque élément du propre ensemble des subcourants d'électron, tout à fait conformément aux ML-équations, indépendamment des autres subcourants et leurs éléments, – engendre son champ partiel. ;)

 

La somme (l'intégrale) de tous ces champs partiels, générés par tous ces éléments du propre ensemble des subcourants d'électron, – est le champ stationnaire d'électron. ;)

 

Le propre ensemble de subcourants d'électron engendre son champ. ;)

 

L'électron est une e-paire de deux substances subquantiques qui interagissent et générent l'un l'autre: – le champ et le propre assortiment de subcourants dans tout l'espace. ;)

Qu' en pensez-vous :question:

amicalement

[/quote']

 

 

euh.... je suis en Master recherche et je me spécialise mécanique quantique, et je comprends pas un mot de ce bidule.

Sans vouloir paraitre critique, ça sert à rien de copier-coller des textes parlant de trucs scientifiques très poussés, sinon à mal interpréter et dire des trucs faux.

la simple présence des smileys :?: montre bien que, comme pour tout le monde ici, ce que tu cites n'a aucun sens pour toi.

Honnetement, tu peux parler des conséquences pratiques d'une théorie sans trop la connaitre, mais pour l'expliquer, là il faut l'avoir vraiment étudiée, sinon on n'aboutit qu'à des faux sens (les mots en physique ont en général un sens très différent du sens du langage commun).

 

alors soyons raisonnables, revenons à des trucs dont on peut parler sans trop d'erreur.

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Bonjours tout le monde :)

 

Pour répondre au messages de duschnok qui est de nature provocant ;

 

je suis en Master recherche et je me spécialise mécanique quantique, et je comprends pas un mot de ce bidule.

Sans vouloir paraitre critique, ça sert à rien de copier-coller des textes parlant de trucs scientifiques très poussés, sinon à mal interpréter et dire des trucs faux.

 

Bienvenue dans mon monde duschnok ;) je ne comprend rien moi aussi , :b:

 

mais ça veut pas dire que les autres ne comprennnent pas :?:

 

Donc, continue d' aller à l' école , si tu veux comprendre et cesse de dire des platitudes d' écoliers :lol:

 

 

Bonne journée , ou plûtot bonne classes ;)

 

 

aurevoir

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Ouais.

 

On semble à court d'objections scientifiques. :?:

 

Pourtant le sujet était riche et intéressant. Quant aux données inexactes, il est mieux de les débouter avec d'autres données correctrices que de simplement les dénigrer, je crois. Cette dernière façon n'est pas vraiment scientifique. ;)

 

Amicalement

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Salut à tous :)

 

Toujours les même agitateurs :D:mdr:

 

quand j' écrit maintenant, je me sens comme à la téléréalité, je me sens observé :D

 

Pour te répondre elie sur cette phrase;

 

 

 

 

Cette dernière façon n'est pas vraiment scientifique.

 

La critique , toujours facile , toujours plus dure de répondre de quoi d' intélligent ;)

 

Pour te répondre néo,

 

Selon la physique quantique, il n'existe pas de différence essentielle entre le photon et l'électron. ;)

 

L'émission des photons dans les atomes résulte des transitions des niveaux d'énergie des photo-électrons. ;)

 

 

amicalement

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