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Effondrement Gravitationnel


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(texte cité)

Et si jamais le boson de higgs n' existait pas' date=' :question:

[/quote']

Il faudra imaginer un autre mécanisme de brisure de symétrie. Ou admettre qu' on ne peut pas aller plus loin avec ce cadre théorique (QFT et ses dérivées) et changer de formalisme.

 

Qu' est-ce qu' on fait pour le remplacer, parceque sans le boson de higg , la théorie électrofaible ne fonctionne plus :question:

Si, elle fonctionne, mais dans un domaine plus restreint : Au lieu d' avoir un beau mécanisme (le Higgs) et quelques paramètres (constantes de couplage, masse du Higgs, etc) il faudra se contenter de mesurer les masses des différentes particules élémentaires sans pouvoir les expliquer.

Pour le reste, la théorie electrofaible fonctionne bien ...

 

A+

--

Pascal.

Posté

bonjours tout monde :)

 

C ' est justement là le problème, quand il y a brisure de symétries;

 

Pour comprendre ce mécanisme, on peut faire l' expérience suivante :

 

Prennons un récipient en forme de fond de bouteille de vin; il possède une symétrie autour de son axe central, à laquelle un observateur placé au point central O est sensible. ;)

 

Plaçons une bille en O. ^^

 

Comme il s'agit d'une position d'équilibre instable, une infime perturbation conduit la bille en un point P du cercle C au fond de la bouteille, hors de l'axe de symétrie. Ce point P est choisi "spontanément", et si on renouvelle l'expérience, la bille ira en un autre point Q de C. ;)

 

Vu depuis tout point de C, le récipient n'a plus de symétrie apparente; celle-ci devient cachée. La position de repos de la bille correspond à l'état fondamental (c'est-à-dire à l'état de plus basse énergie) d'un système en physique de la matière condensée et au vide en physique des particules. ;)

 

C'est un tel mécanisme qui explique, l'apparition d'une direction privilégiée dans un matériau ferromagnétique (celles des lignes joignant les 2 pôles d'un aimant droit) lorsque la température descend en dessous d'un certain seuil. ;)

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :)

 

Très bonne explication néo, mais ton texte ne règles pas le problème de brisure de symétrie, il ne fait que l' expliquer !pomoi!

 

Moi, se que je recherche, c' est avec quoi ,qu' on règle le problème :question:

 

amicalement

Posté

bonsoirs tout monde :)

 

Si tu veux regler le problème de brisure de symétrie sans le boson de higgs,

il ne te reste plus qu'à te mettre au boulot , car tu as une théorie à écrire :b:

 

 

aurevoir ;)

Posté

bonsoir tout monde :)

 

ON commence avec les 3 forces fondamentales et la déformation de l, espace temps ;)

 

je vous laisse l' honneur de commencer :be:

 

aurevoir

Posté

Non; on commence avec le plasma quark-gluon là où la force nucléaire forte n'est pas encore active; donc époque qui précède la séparation des forces fondamentales.

 

D'ailleurs comme le dit Linde lui-même:

"Il n'est plus nécessaire de tenir compte d'effets gravitationnels quantiques, de transition de phase, de surfusion ou même d'assumer l'idée standard acquis que l'univers était originellement chaud.

 

Et je vous laise commençer. ;)

 

Amicalement

Posté

bonjours tout monde :)

 

Donc, je commence au mur de plank;

 

10-43 seconde : le mur de Planck.

 

l’univers a déjà une taille 10-33cm !pomoi!

 

C’est également pour nous la plus petite unité d’espace, la plus petite distance possible entre deux points dans l’univers, une distance indivisible. ;)

 

A titre de comparaison, un seul atome d’hydrogène, qui est l’atome le plus répandu dans l’univers, est 10 millions de milliards de fois plus grand que cette distance de Planck ;) !

 

A cette époque, l’univers a déjà une température … sans commune mesure avec tout ce que notre pouvoir de raison pourra jamais imaginer : 1032 degrés Kelvin (0°K = -273.15°C). ;)

 

Son énergie, égale à toute celle qui règne encore aujourd’hui dans tout l’univers, est de 1028eV. Toute la matière (la future matière) de l’univers étant concentrée dans cette sphère si quantiquement minuscule, la densité de planck est elle aussi affolante : 1094 fois celle de l’eau. ;)

 

 

maintenant annalysons tou ça ;)

 

 

aurevoir

Posté
Commence avec ce que nous savons du début au lieu de commencer avec ce que tu as apprit de 1675.

 

J'ai peur que le retour au modèle d'Aristote soit une quelconque évolution :( Moins, je préfère 1905 comme début.

 

"Il n'est plus nécessaire de tenir compte d'effets gravitationnels quantiques, de transition de phase, de surfusion ou même d'assumer l'idée standard acquis que l'univers était originellement chaud."

 

Ça me fait penser à un documentaire traitant sur la véracité qu'Armstrong ait marché sur la Lune en 1969. Interview avec des dirigeants à la Maison-Blanche, metteur en scène, caméramen....... très fort comme documentaire.

 

À la toute fin, on se rend compte qu'on nous a manipuler pendant plus d'une heure, que les personnes de la Maison-Blanche répondaient du Water Gate.

 

Tout ça pour dire qu'une citation ne veut rien dire, qu'il faut connaître le contexte dans lequel elle est écrite (et pas celui qu'on veut lui donner) et se rendre compte que Linde propose des modèles pas des plus standards.

Posté

bonjours à tous :)

 

je vien de trouver ma réponse;

 

Premier barreau sur l'échelle de la vie de l'univers : temps t = 10-43s.

 

Cette minuscule fraction de seconde, appelée "temps de Planck" est un mur contre lequel se cognent les lois de la physique qui ne peuvent décrire l'état de l'univers avant. ;)

 

Quant à ce qui précède le "temps zéro", c'est l'énigme, même si les chercheurs évoquent avec de plus en plus d'assurance l'existence d'un micro-univers, incomparablement chaud et dense. Pour beaucoup, comme le temps a pris naissance avec le Big Bang ;)

 

A l'instant 10-43s, dit " temps de Planck ", le Big Bang, une formidable explosion, marque la formation de l'univers et le début de son expansion.

 

Entre 10-35 et 10-32s, sa taille passe ainsi d'un milliard de milliard de fois plus petite qu'un atome d'hydrogène à celle d'une belle orange.

 

Quelques instants après, l'univers continue son expansion, et son refroidissement (dû à la dilatation) amène sa température à 1013 °K. On assiste alors à la formation des quarks qui, par la suite, se combineront 3 par 3 pour former des nucléons (ou hadrons) : les protons et les neutrons. C'est l'ère hadronique, elle durera environ 10-4s. ;)

 

Lorsque la température, qui continue de diminuer, atteint 109 °K, il y a formation des électrons, qui sont des leptons, et des photons. Les photons, fortement couplés aux électrons ne peuvent se propager librement et l'univers est donc opaque. C'est l'ère leptonique, elle durera environ 10s. ;)

 

Un million d'années après, s'est écoulé l'ère radiative ;

 

la température est à peu près de 1000 °K et les "dimensions de l'univers" sont environ mille fois plus petites qu'aujourd'hui. Deux événements quasi simultanés se produisent :

 

l'univers passe du règne de la radiation à celui de la poussière ; les électrons et les protons se combinent en atomes d'hydrogène, par conséquent les photons se séparent des électrons donc de la matière : l'univers devient transparent. C'est le début de l'ère stellaire. ;)

 

S'ensuit une longue période semble-t-il sans grand intérêt. Puis, sous l’action de la gravitation, doivent se former les galaxies. ;)

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :)

 

Très bien neo, bon texte ;)

 

Mais , tu parle peu de ce qui a provoquer l' inflation !pomoi!

 

C'est façile de dire que le temps de Planck est une fraction de temps très courte, après le Big Bang (environ 10-43s) en deçà de laquelle les effets quantiques de la gravité doivent être pris en compte, et où les lois de la physique ne s'appliquent plus. ;)

 

D'ailleurs, personne ne le sais :?:

 

Donc, au temps 10^-43 seconde, la gravitation, qui était jusque là unifiée aux trois autres interactions, se dissocie.

 

L'Univers est dans un état de vide quantique. :?:

 

La matière ordinaire n'existe pas, mais il y a une formidable agitation due à la succession de créations et de disparitions de particules et d'antiparticules virtuelles. ;)

 

Si ce n'était pas de cette extraordinaire agitation, rien de particulier ne se passe jusqu'au temps 10^-35 seconde, lorsque sonne l'heure de la dissociation des interactions forte et électrofaible. ;)

 

Et c'est seulement à ce moment que va commencer une phase cruciale, l'ère inflationnaire, pendant laquelle la taille de l'Univers va être multipliée par un facteur gigantesque. ;)

 

 

amicalement

Posté

salut à tous :lol:

 

Mais certainement néo;

 

Le spectacle se produit lorsque l'Univers est âgé de 10^-35 seconde est similaire. ;)

 

C'est à cette époque que les forces forte et électrofaible, jusque là unifiées, se dissocient. On passe d'une situation symétrique, où les deux forces étaient équivalentes, à une situation asymétrique, où elles sont distinctes. :?:

 

L'Univers subit donc, comme l'eau qui se solidifie, une transition de phase. ;)

 

Celle-ci devrait en principe s'opérer immédiatement, mais ce n'est pas ce qui se passe. L'Univers va d'abord passer par un stade de surfusion. Il va rester pendant une brève période dans une phase symétrique instable, appelée le faux vide, plutôt que d'adopter tout de suite la phase asymétrique stable, le véritable vide. ;)

 

Le faux vide, un état équivalent à l'eau surfondue, se caractérise essentiellement par une très grande densité d'énergie. ;)

 

Même si l'Univers est complètement vide, il possède alors en tout point une très grande quantité d'énergie, ce qui va avoir un effet crucial sur son évolution. ;)

 

En effet, d'après la relativité générale, cette énergie omniprésente va se traduire par une force de répulsion extrêmement puissante entre tous les points de l'Univers. En conséquence, celui-ci subit une expansion fantastiquement rapide et brutale, à laquelle on a donné le nom d'inflation. ;)

 

L'inflation dure jusqu'à ce que l'Univers subisse finalement sa transition de phase. Il atteint alors un état stable, tout en libérant une formidable quantité d'énergie. :?:

 

Cela se produit à une époque qui n'est pas encore bien définie, disons vers 10^-30 seconde. Pendant l'ère inflationnaire, la taille de l'Univers a été multipliée par un facteur 10^50, ce qui est énorme comparé au rythme actuel de l'expansion. ;)

 

Ainsi, depuis l'apparition des atomes, vers l'âge de 300 000 ans, la taille de l'Univers n'a été multipliée que par un facteur 1000, et cela en 15 milliards d'années. ;)

 

 

 

amicalement

Posté

salut à tous :)

 

De plus , j' ai oublier de spécifierque c' est en refroidissant, il a pu passer par une transition de phase qui s'est manifestée par des bulles de "faux vide" dues à un champ de Higgs et dotées d'une pression négative énorme engendrant, d'après les équations de la relativité générale, une gravité "répulsive" :

 

l'espace-temps aurait ainsi grossi exponentionnellement d'un facteur gigantesque pendant un temps inimaginablement court. ;)

 

L'Univers a ensuite entamé sa phase d'expansion actuelle. 300 000 ans après le Big Bang, les photons ont pu circuler librement sans être continuellement absorbés par les particules :

 

le refroidissement découple photons et matière. Le rayonnement résultant est celui, découvert par Penzias et Wilson et aujourd'hui refroidi à -270 degrés Celcius, que les sondes COBE et WMAP WMAP ont pu détailler. ;)

 

 

amicalement

Posté

Très content que vous parliez de la théorie en vogue. Voyons maintenant le premier fait:

Le spectacle se produit lorsque l'Univers est âgé de 10^-35 seconde est similaire.

 

C'est à cette époque que les forces forte et électrofaible, jusque là unifiées, se dissocient.

Donc, si nous revenons à notre plasma quarks-gluons, nous comprenons que les quarks y étant "libres", ce plasma quarks-gluons précède l'instant ou la force nucléaire forte se "dissocie" de la "superforce".

 

Considérons ce qui se déroule dans ce plasma quarks-gluons.

 

1) Des particules (quarks) apparaissent dans le plasma. Ces particules possèdent nécessairement un "volume" et un grand nombre de "volumes" apparaissant tout à coup dans un volume de ququch qui se comporte comme un liquide, oblige ce ququch à prendre de l'expansion instantanéement (inflation).

2) Lorsque les particules (quarks) disparaissent du plasma qui se comporte comme un liquide, le "liquide" autour de chacun des "trous" formé par la disparition de chacun des quarks, se précipite dans chacun des vides. Ces petits volumes possèdent maintenant un mouvement en sens contraire de l'ensemble du plasma qui, lui, prend de l'expansion.

3) Dans chacun des petits volumes créés, le sens du mouvement se dirige vers le centre du petit volume. Tandis que l'ensemble du plasma possède une direction de son mouvement qui se dirige "dans tous les sens"

4) Aussitôt que des particules d'énergie, se dirigeant "dans tous les sens" rencontrent un petit volume dont le sens se dirige vers son centre, cette énergie change de direction et se dirige vers le centre du petit volume.

5) Cet ajout continuel d'énergie "vers le centre du petit volume" créera une "accrétion d'énergie" continuelle qui viendra à produire de la matière. Il participera également à la dilution de l'énergie dans l'univers, en concentrant une quantité d'énergie; ajoutant ainsi à la dilution créée par l'expansion.

 

Et nous n'avons pas besoins de 4 forces pour y arriver; simplement des changements de sens de mouvements ponctuels dans un univers en expansion. On retrouvera ces anisotropies ponctuelles sur la photo prise par COBE datant de 300,000 ans ap le Big bang.

 

Remarquez que ces ponctualités ayant un sens contraire à l'expansion sont, en réalité, des déformations de la géométrie de l'espace qui obligent l'énergie, et plus tard la matière, à se diriger vers le centre de la déformation.

 

Il ne reste qu'à prendre conscience d'un mouvement intrinsèque (ou inertiel, si vous le voulez)aux particules d'énergie et ensuite aux particules de matières produites, pour comprendre que dans une accrétion de particules matérielles, chacune des particules pousse les particules devant elle qui l'empêche de se rendre au centre de la déformation.

Lorsque la quantité (masse) de particules qui poussent vers le centre est suffisantes, la somme de la poussée de chacune des particules provoque un effondrement de la matière sur elle-même créant des naines blanches, étoiles à neutrons et trous noirs dépendamment si la poussée est suffisante ou non pour traverser les limites de Chandrasekhar.

 

Donc, la matière n'est pas "attirée" vers le centre de la masse mais plutôt "compressée" vers le centre de la masse.

 

Amicalement

Posté

...et la pression au centre de la Terre est énorme tout en ayant une "gravité" nulle puisque la pression est uniforme tout autour du centre de la Terre. C'est également cette pression qui fait que plus on s'approche du centre plus la chaleur augmente.

 

La croûte terrestre est composée d'une fine couche de roche solide, généralement de 8 kilomètres d'épaisseur sous les océans, mais en moyenne de 45 kilomètres d'épaisseur sous les continents.

 

Le manteau est constitué de roche solide, principalement des silicates de magnésium et de fer. Le manteau supérieur fait partie de la lithosphère de roche rigide, dure et froide qui inclut la croûte.

La température et la pression augmentent avec la profondeur.

L'asthénosphère atteint une profondeur d'environ 350 kilomètres avant que l'augmentation de la pression ne renforce la résistance des roches. Cette région, qui descend jusqu'à la limite entre le noyau et le manteau, à environ 2 880 kilomètres de profondeur, s'appelle la mésosphère.

 

Le noyau de la Terre est majoritairement composé de fer métallique, avec de moindres quantités de nickel et d'autres éléments. A l'extérieur du noyau, la température et la pression s'équilibrent de telle façon que le fer en fusion est présent sous forme liquide.

La présence de fer liquide dans le noyau est notamment révélée par l'existence d'un fort champ magnétique autour de la Terre. La pression à l'intérieur du noyau (à environ 5 000 kilomètres de profondeur) est si forte que le fer devient solide.

 

Si on connaît bien la composition du noyau terrestre, par contre, on ne sait presque rien de la zone de contact située à 2 900 Km sous nos pieds (CMB core mantle bondary), entre ce noyau liquide et le manteau rocheux (solide).

 

 

 

http://www.dinosoria.com/centre_terre.htm

 

Je vous ferai remarquer que si la matière "attirait" , la pression et la chaleur diminuerait avec la profondeur. ;) Comme le croit Universus qui plus il descend dans le trou, plus la masse derrière lui équilibre "l'attrait" de la masse devant lui, jusqu'à devenir nulle lorsqu'il atteint le centre de la Terre. !pomoi!

 

Amicalement

Posté
(texte cité)

Je vous ferai remarquer que si la matière "attirait" ' date=' [b']la pression et la chaleur diminuerait avec la profondeur.[/b] ;)

Ben voyons :rolleyes:

 

Comme le croit Universus qui plus il descend dans le trou, plus la masse derrière lui équilibre "l'attrait" de la masse devant lui, jusqu'à devenir nulle lorsqu'il atteint le centre de la Terre. !pomoi!

 

Universus, ainsi que tous les individus ayant un minimum de connaissances de la physique;

Pas la physique quantique, ni la théorie des cordes, ni même la relativité, hein. Juste la bonne vieille physique de Newton, qui marche terriblement bien pour 99,99% des problèmes. Et qui n' est même pas "compliquée" ...

 

Bien sûr, il existe une frange de la population qui ne "croit" pas aux théories scientifiques. Pour certains , la Terre est plate, pour d' autre, elle est au centre de l' Univers, ou est apparue il y a 6000 ans ... On en trouve aussi qui croient que le champ de gravitation d' un objet non sphérique possède une symétrie sphérique, et qu' il est non nul au centre d' un objet sphérique homogène.

Et souvent, ceux-ci tournent en ridicule la démarche scientifique sous prétexte que les théories qui en sont issues sont "illogiques" ou "trop compliquées". C' est plus simple pour eux que de s' avouer qu' en fait, ils ne les ont tout simplement pas comprises ...

 

 

A+

--

Pascal.

Posté

Donc, selon toi aussi, plus nous descendons dans la profondeur de la Terre plus la pression diminue à cause de la "force de gravité" qui se fait sentir en avant et en arrière de soi, s'annulant peu à peu jusqu'à devenir nulle au centre de la Terre??? :?:

 

Est-ce que ça t'arrive de réfléchir à ce qui est écrit et à ce que tu lis?

 

Ça semble très simple pôur toi de dire que les autres ne comprennent pas et lorsque tu ne peux plus défendre ton point, tu dis simplement que les autres ne possèdent pas la connaissance nécessaire pour comprendre. Laisse tomber ces arguments factices et définis ce qui ne "fonctionne pas " dans la proposition que j'ai fait plus haut. ;)

 

Amicalement

Posté
(texte cité)

Donc' date=' selon toi aussi, plus nous descendons dans la profondeur de la Terre plus la pression diminue à cause de la "force de gravité" qui se fait sentir en avant et en arrière de soi, s'annulant peu à peu jusqu'à devenir nulle au centre de la Terre??? :?:

[/quote']

Non.

 

Est-ce que ça t'arrive de réfléchir à ce qui est écrit et à ce que tu lis?

Oui. Et toi ?

 

Ça semble très simple pôur toi de dire que les autres ne comprennent pas et lorsque tu ne peux plus défendre ton point, tu dis simplement que les autres ne possèdent pas la connaissance nécessaire pour comprendre. Laisse tomber ces arguments factices et définis ce qui ne "fonctionne pas " dans la proposition que j'ai fait plus haut. ;)

Je ne suis pas sûr d' être un bon pédagogue. En ce qui concerne la proposition selon laquelle, si la gravité était nulle au centre, la pression serait nulle aussi, je ne vois pas quel raisonnement "logique" te permet d' affirmer ça, mais il est faux. Et comme tu ne le précise pas , je ne vois pas comment je pourrais le réfuter.

 

Pour trouver la pression au centre, il faut écrire que le corps massif est en équilibre, les forces de pressions et les forces gravitationnelles s' équilibrant globalement.

Au centre de la sphère, le champ gravitationnel est nul donc la résultante des forces de pression est nulle aussi. Ce qui implique une pression radiale dirigée vers le centre de la sphère, pas une pression nulle !

 

Pour calculer la valeur de cette pression radiale au centre, il faut faire le bilan des forces sur une rayon de la sphère. Dans le cas de la Terre, la pression de surface est égale à la pression atmosphérique (disons pour simplifier nulle. A une distance r du centre, pour que le corps soit en équilibre, il faut que la force de pression p.dS sur un élément de surface dS tangent à la sphère équilibre le poids de la matière situé de r (distance considérée) à R (rayon de la Terre).

pdS = P

Pour simplifier on peut écrire le terme gravitationnel comme une pression, en divisant le poids par l' élément de surface.

Pour un élément de volume dr^3, de densité rho(supposée constante, pour simplifier) le poids dP de celui-ci à une distance r donnée s' exprime (en utilisant Newton) :

dP = rho*dr^3*G*rho*4/3*pi*r^3/r^2 = 4/3*pi*rho^2*G*r*dr^3

La pression équivalente, pour l' élément de surface dS = dr^2 , s' écrit :

dpg = 4/3*pi*rho^2*r*G*dr

d' où :

Pression au centre = intégrale (r=0 -> R) (dpg) = (4/3*pi*rho^2*G*R^2)/2

 

Voilà. Elle est imparfaite, la théorie de Newton, mais elle permet de faire des trucs. Enfin, si je me suis pas gouré !shifty!

 

A+

--

Pascal.

Posté
Non.

 

Donc, tu dis ici qu'Universus a tord??? :?: J'aimerais une confirmation.

 

En ce qui concerne la proposition selon laquelle, si la gravité était nulle au centre, la pression serait nulle aussi,

Ai-je dis que la pression était nulle? Je croyais avoir dit:

la pression au centre de la Terre est énorme tout en ayant une "gravité" nulle

 

On voit pourquoi tu ne comprends pas. :rolleyes:

 

les forces de pressions et les forces gravitationnelles s' équilibrant globalement.

 

Tu dis n'importe quoi sans réfléchir! La pression est tellement énorme que le fer est liquide à cause de la chaleur. La gravité y est nulle selon la théorie; selon moi, la force de gravité n'existe pas. Il n'y a que la poussée accumulée de toutes les particules matérielles qui produit la pression en question.

 

Tu ne t'es probablement pas gouré dans les calculs; seulement dans le concept qui t'oblige à défendre ta foutue force de gravité. :rolleyes:

 

Amicalement

Posté

Et toi tu n' as une fois de plus rien compris. Mais c' est pas grave. Je sais bien que je suis mauvais pédagogue.

Je reprends le passage sur lequel je suis en désaccord avec toi (et en accord avec Universus) , détaillé ensuite par le calcul (sans doute faux, il était tard.Mais le raisonnement lui, j' en suis sûr).

 

Tu prétends, je cite :

Je vous ferai remarquer que si la matière "attirait" , la pression et la chaleur diminuerait avec la profondeur. icon_wink.gif

Et je démontre que c' est faux.

 

En ce qui concerne la proposition selon laquelle, si la gravité était nulle au centre, la pression serait nulle aussi, je ne vois pas quel raisonnement "logique" te permet d' affirmer ça, mais il est faux. Et comme tu ne le précise pas , je ne vois pas comment je pourrais le réfuter.

 

Pour trouver la pression au centre, il faut écrire que le corps massif est en équilibre, les forces de pressions et les forces gravitationnelles s' équilibrant globalement.

Au centre de la sphère, le champ gravitationnel est nul donc la résultante des forces de pression est nulle aussi. Ce qui implique une pression radiale dirigée vers le centre de la sphère, pas une pression nulle !

 

Maintenant, j' ai pu me tromper. J' attends que tu me démontre le contraire, autrement qu' avec des arguments du style

Tu dis n'importe quoi sans réfléchir!

:lol:

 

A+

--

Pascal.

Posté

bonjours tout monde :)

 

Très bon texte elie, mais il y a certain point que je n' est pas compris :?:

 

Lorsque les particules (quarks) disparaissent du plasma qui se comporte comme un liquide, le "liquide" autour de chacun des "trous" formé par la disparition de chacun des quarks, se précipite dans chacun des vides. Ces petits volumes possèdent maintenant un mouvement en sens contraire de l'ensemble du plasma qui, lui, prend de l'expansion.

 

Peut-tu détailler cette partie de ton texte :?:

 

 

aurevoir

Posté
La pression est tellement énorme que le fer est liquide à cause de la chaleur.

 

Il est intéressant de savoir que dans les réacteurs nucléaires, on pressurise l'eau pour pas qu'elle ne se transforme en vapeur à des températures de l'ordre des 500°C :rolleyes:

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