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L' inflation, énergie du vide, antigravitation,


albert einstein

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bonsoirs tout le monde :be:

 

expliquer toute les raisons, c' est toi qui ne crois pas a l' inflation, moi j' y crois ,

 

alors ça me donne rien d' expliquer quelqur chose que tu ne crois pas ;)

 

 

aurevoir

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bonjours tout le monde :be:

 

Mais il ne faudrait pas oublier que ;

 

Il convient de préciser que cette inflation phénoménale ne transgresse pas la loi de la relativité, qui dit que rien ne peut se déplacer plus vite que la lumière. En effet, dans le cas présent c’est l’espace lui-même en inflation qui se dilate et non un corps qui se déplace d’un point à un autre. La distance entre deux particules augmente à un rythme effréné, mais du fait de la dilatation de l’espace lui-même, pas de la vitesse de déplacement des particules. Si dans ce même espace une particule devait se déplacer, elle ne saurait aller plus vite que la vitesse de la lumière.

 

source;http://www.astrofiles.net/article31.html

 

et après l' inflation, c' est 10-32 seconde : la naissance des quarks

 

L’énergie du champ scalaire étant devenue insuffisante pour maintenir l’inflation de l’espace, l’univers termine sa période d’inflation pour entrer en période d’expansion, période qui est toujours la notre. Il a maintenant la taille d’une orange et sa température est descendue à 1025°K.

 

A cet instant apparaissent les premières briques élémentaires de la matière, les quarks. Avec les quarks, naissent en même temps les anti-quarks. L’antimatière étant en fait de la matière ayant une charge opposée, le tout s’annihilant à chaque rencontre en créant un photon (particule de lumière).

 

Dans ce combat à mort, les quarks baignent donc dans un bain de lumière, les photons se mettant eux même à se matérialiser en paires de particules-antiparticules.

 

L’univers est alors une soupe de quarks et d’antiquarks en perpétuelle matérialisation / annihilation. Mais ce processus ne se déroule bien évidemment pas de façon parfaitement symétrique, puisque sinon la matière que nous connaissons et dont nous sommes tous fait n’existerait pas et l’univers ne serait que lumière… ;)

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :?:

 

Je rajoute ceçi sur l' inflation;

 

Cette nouvelle théorie de l'inflation apporta sont lot de surprise : elle engendrait des inhomogénéités à très petites échelles qui ont été énormément étirées et amplifiées, favorisant ainsi le rassemblement de la matière en certains endroits de l'espace, ce qui a permit la création des " grumeaux " desquels sont nés les galaxies et les grandes structures de l'univers.

 

C'est aussi à c'est grumeaux que nous devons d'être là.

Mieux encore, ces hétérogénéités avaient exactement la distribution conduisant à une répartition de galaxies et des amas de galaxies semblable à celle que l'on observe maintenant.

 

Ces grumeaux sont perceptibles dans le rayonnement de fond cosmologique ou " rayonnement fossile ", émis 300 000 ans après le big bang lorsque l'univers était devenu transparent, ils ont été observés, en 1992, par le satellite COBE (COsmic Background Explorer)… Aussi séduisante soit elle, l'inflation ne règle que partiellement ses propres difficultés.

 

Enfin, l'inflation n'arrive toujours pas à résoudre la problème des infinis surgissant lors du big bang. Sur ce point la théorie des cordes réussit mieux … ;)

 

source;Alan Guth

 

 

amicalement

Posté

Moi ce que je trouve passionnant c'est de savoir que lorsqu'un gluon fusionne avec un photon, le résultat est une paire quark/antiquark et lorsqu'un quark collisionne avec un antiquark, le résultat est l'émission d'un photon et l'anihilation du quark et de l'antiquark. ;)

 

Amicalement

Posté

salut à tous :be:

 

 

Dis-moi elie , ce que tu en dis ce ça;

 

L'accélérateur le plus puissant au monde, le Tevatron du centre de recherche FermiLab près de Chicago (État-Unis) est le seul à pouvoir produire le plus lourd des quarks : le quark top, aussi lourd qu'un atome d'or ! Il surgit accompagné de son antiparticule l'antiquark top lors de très violentes collisions entre protons et antiprotons.

 

Comme tous les quarks, les tops ne sont pas observables individuellement. Cependant, étant instables, ils se désintègrent en d'autres particules qui laissent une signature caractéristique dans les détecteurs. Ce même accélérateur a permis de confirmer la découverte d'une intrigante particule observée récemment au centre de recherche KEK (Japon).

 

La particule dénommée X(3872) serait composée de 4 quarks, contrairement aux hadrons observés jusqu'ici, tous composés soit de 3 quarks (formant la famille des baryons dont font partie les protons et les neutrons), soit de 2 quarks, plus exactement d'un quark et d'un antiquark : les mésons.

 

Les chercheurs étudiaient les désintégrations de mésons B (des mésons « à base » de quark B) produits lors de collisions entre des électrons et des antiélectrons accélérés par l'accélérateur KEKB. Ils espéraient ainsi mettre en évidence des états excités de mésons charmonium (constitués d'un quark c et d'un antiquark c) prévus par la théorie mais pas encore observés.

 

Ces états excités correspondent à des particules instables qui se désintègrent en particules plus stables. Dans ce cas, un rayonnement gamma (photons) est émis. Dans le passé, beaucoup de particules correspondant à des états excités du charmonium avaient été détectées de cette façon et leur étude avait permis de mieux comprendre l'interaction forte qui s'exerce entre les quarks.

 

Mais cette fois-ci, la nouvelle particule défie les modèles théoriques : elle est plus lourde que prévu (environ 3 872 mégaélectrons-volts) et sa désintégration ne laisse aucune trace de rayonnement gamma. La mystérieuse particule va-t-elle révolutionner la théorie ?

 

Peut-être pas.

 

Il pourrait s’agir d’un nouveau genre de méson exotique. Peut-être est-ce un charmonium hybride composé d'un quark c, d'un antiquark c et d'un gluon dit de « valence ». Ce gluon a une existence réelle contrairement aux gluons qui lient les quarks entre eux.

 

Il se pourrait aussi que la mystérieuse particule soit une sorte de « molécule » constituée d'un méson D et d'un antiméson D liés ensembles comme le seraient deux nucléons. En effet, la masse de la particule est quasiment égale à la masse de deux mésons D (composés d'un quark c et d'un antiquark u, d ou s). Dans ce cas, la nouvelle particule serait composée de quatre quarks (2 quarks et de 2 antiquarks).

 

Cette découverte s'ajoute à celle d'un hadron de 5 quarks annoncée l'année dernière. Ce penta-quark composé de deux quarks u, de deux quarks d et d'un antiquark s, serait le plus lourd d'une fratrie de particules à cinq quarks prédite en 1977 par Dimitri Diakonov.

 

Mais là encore, il pourrait s'agir d'une « molécule » composée d'un neutron lié à un méson K (constitué d'un quark u et d'un antiquark s). D'autres expériences seront nécessaires pour étudier de plus près les propriétés de ces particules exotiques et décrypter la nouvelle alchimie des quarks

 

 

le reste est ici;

 

dans les mystèrieuse particules

 

http://www.palais-decouverte.fr/actu/physique/index.htm

 

 

amicalement

Posté

bonjours tout le monde :be:

 

Quelle bon texte albert ;)

 

de plus cette nouvelle particule est très intéressante ;)

 

 

aurevoir

Posté

Ce que j'en pense albert?

 

Puisque je suis convaincu que l'univers tente tout ce qui est possible de tenter pour produire quelque chose de "viable", nous ne sommes pas au bout de toutes les découvertes à faire avec les particules plus ou moins virtuelles.

 

Ce qui me semble important est le résultat des "agencements" de ces particules et de leur désintégration. Dans ton message plus haut, l'importante nouveauté est la désintégration qui ne laisse aucune trace de rayonnement gamma. Ceci pourrait fournir d'importantes données pour comprendre l'évolution de la matière.

 

Amicalement

Posté

bonsoirs tout le monde :be:

 

Exactement elie , mais ce que je ne comprend pas est pourquoi il se désintingre sans laisser de traces :question:

 

surtout dans le gamma :?:

 

 

aurevoir

Posté

bonjours tout le monde :be:

 

 

Merçi albert ;)

 

Dans un récent article paru dans le Physical Review Letters du 8 octobre dernier;

 

un proton en accélération constante dans le vide devrait se désintégrer spontanément… ou entrer en collision avec une particule, cela dépend du point de vue ! Paradoxal ?

 

Pas vraiment... Depuis les années 1960, les théoriciens prévoient qu'un proton, stable en temps normal, devrait se désintégrer en neutron, positon et neutrino (radioactivité bêta plus), s'il est constamment accéléré, c'est-à- dire s'il reçoit en permanence de l'énergie de la source accélératrice.

 

Mais cela semble paradoxal, car si on imagine un observateur assis sur le proton, ce dernier lui paraîtrait immobile et ne devrait donc pas se désintégrer.

 

Cependant, conformément à un effet prévu par la physique moderne, et connu sous le nom d’ « effet Fulling-Davis-Unruh » (FDU effect), un observateur en accélération dans le « vide » serait en fait immergé dans un bain formé de toutes sortes de particules peuplant le vide quantique.

 

George Matsas et Daniel Vanzella de l'université de São Paulo (Brésil) ont calculé la probabilité de collision d'un proton uniformément accéléré avec l'une de ces particules, collision qui conduirait à sa désintégration, et ont montré que les points de vue des deux observateurs étaient compatibles.

 

Nous ne pouvons que nous en réjouir… L'intérêt de tout cela est évident : dans le vide, assis sur un proton, un observateur qui verrait le proton se désintégrer, saurait qu'il est en accélération ! Il pourrait alors, s'il le souhaite, se demander par rapport à quoi il accélère… ;)

 

 

aurevoir

Posté

bonjours tout le monde :be:

 

 

Tu a raison elie , quelle est cette source :question:

 

de plus;

car si on imagine un observateur assis sur le proton, ce dernier lui paraîtrait immobile et ne devrait donc pas se désintégrer.

 

Pourquoi :question:

 

 

amicalement

Posté

À cause de cette notion de référentiel qui n'a rien à voir avec la réalité mais tout à voir avec la perception de cette réalité. :confused:

 

D'ailleurs, un proton en accélération constante dans le vide n'a qu'une seule possibilité, c'est d'être entraîné par l'expansion accélérée; ce qui nous ramène au fait que l'expansion de l'espace entraîne tout son contenu. Ce qui nous indique également que la vitesse de chacun des objets contenu est originaire de cette expansion même si elle est déviée lorsque l'objet pénètre une déformation spatiale en gardant sa vitesse acquise avant d'être dévié.

L'accrétion d'énergie à l'intérieur d'une déformation semble ralentir et même stopper l'entraînement que subit cette déformation de la part de l'expansion. De sorte que seul l'espace entre les déformations subit l'expansion. C'est une autre constatation de l'inversion du mouvement expansionniste. Donc, un proton (matière) déformant l'espace qui le contient, ne peut pas être en accélération constante; ce n'est que l'espace extérieur à sa déformation qui est en expansion accélérée.

 

Amicalement

Posté
(texte cité)

 

D'ailleurs' date=' un proton en accélération constante dans le vide [b']n'a qu'une seule possibilité[/b], c'est d'être entraîné par l'expansion accélérée;

Faut s' entendre sur la définition de "vide". Pour moi un proton dans le "vide" ne peut pas être en accélération constante (par rapport à QUOI pourrrait-il donc être accéléré ?)

 

Un proton dans le vide de matière peut etre en accélération constante. C' est comme ça que marchent les accélérateurs de particules : On accélère des particules chargées à l' aide de champs électromagnétiques. Mais dans ce cas l' espace n' est pas vide : il y règne un champs électromagnétique bien particulier.

 

A+

--

Pascal.

Posté

salut à tous :be:

 

Très intèressant messieurs ;)

 

Laisser-moi rajouté ceçi, lorsqu’un électron et son anti-particule, le positron, se détruisent, leur masse disparaît en ce sens qu’elle se transforme en deux particules de lumière (photons) qui s’envolent dans des directions opposées. :?:

 

Cependant, l’énergie totale de ces dernières est la même que celle de la particule dont elles ont émergé. :?:

 

La masse-énergie, la vitesse linéaire et la charge électrique ont toutes été conservées. Ce phénomène n’a rien à voir avec une disparition au sens d’une annihilation. :?:

 

De façon dialectique, l’électron et le positron sont à la fois niés et préservés. :?:

 

La matière et l’énergie (qui sont simplement deux manières de désigner la même chose) ne peuvent être ni crées, ni détruites, mais seulement transformées. ;)

 

 

amicalement

Posté

bonjours tout le monde :be:

 

Merçi albert ;)

 

parcontre pouvez-vous expliquer ce tour de magie,

 

L’électron se comporte à la fois comme une particule et comme une onde. Il est à deux (et même plus de deux) endroits à la fois, et dans différents états de mouvements à la fois !

 

C' est vraiment la partie que je ne comprend pas :?:

 

comment est-t-il possible , qu' un électron soit à deux place en même temps :question:

 

 

aurevoir

Posté
Un proton dans le vide de matière peut etre en accélération constante.

 

Un volume "vide de matière" serait le contraire d'un bloc de ciment naturellement!. ;)

 

L’électron se comporte à la fois comme une particule et comme une onde

 

Une onde n'a pas d'existence propre au sens où nous l'entendons habituellement; c'est à dire, elle possède un champ d'action mais n'a pas de "volume" propre. Une particules possède, par contre, un volume.

 

Il est possible que ce qui fut issu de la singularité initiale (10^-43 sec) fussent des ondes sans volume qui, de ce côté-ci de la singularité développèrent une caractéristique "particulaire" parce que cela est la caractéristique la plus important de notre univers: il possède trois dimensions. Notre univers est principalement un "volume".

 

Ceci indiquerait que ce qui est derrière le mur de Planck est strictement "ondulatoire". Mais tout ceci n'est que pure spéculation évidemment.

 

Amicalement

Posté

bonjours tout le monde :be:

 

 

Merçi elie pour ton point de vue ;)

 

Mais je suis encore plus mélangée :b::s

 

bin , c' est pas grave , je vais trouvé de l' information et revenir fort sur cette question ;)

 

 

aurevoir

Posté

Mélangé pourquoi?

 

Pense à une onde sur un lac; elle n'a pas d'existence propre ce n'est qu'une ligne sans volume formée à la limite de l'eau par le mouvement de cette eau. Par contre, une goutte d'eau possède un volume.

 

Amicalement

Posté

bonjours tout le monde ;)

 

 

merçi elie beaucoup ;)

 

je comprend , ce que tu veux me dire ;)

 

 

mais , une autre questions de débutant;

 

Est-ce-que-le photon déforme l' espace-temps :question:

 

moi, je ne crois pas puisqu' il n' a pas de masse :?: mais alors pourquoi provoque t-il des ondes comme une ligne sans volume formée à la limite de l'eau par le mouvement de cette eau. :question:

 

Qu' en-pense-tu :question:

 

 

aurevoir

Posté
Qu' en-pense-tu

Je pense que le photon n'a pas de masse et qu'il ne déforme pas l'espace-temps; je pense que le photon est une onde énergétique possédant un champ d'action limité et que c'est l'oscillation limitée à ce champ d'action qui lui donne cette caractéristique "particulaire"; le champ d'action tient lieu de "volume". Et c'est ce champ d'action ou ce "volume" qui se déplace à la vitesse de la lumière.

 

Donc, un photon est une onde qui a l'apparence d'une particule; mais ce que je pense n'a pas "force de loi". :lol:

 

Amicalement.

Posté

bonjours tout le monde :be:

 

 

Merçi beaucoup elie pour ton temps et tes explications ;)

 

Donc en résumer ,

 

Voiçi l' origine causale des principales lois de la physique;

 

 

 

"conservation de la matière et de l'énergie ",

 

"électro-magnétisme",

 

"gravitation",

 

" autres interactions" constatées ou supposées mais inexpliquées, :?:

 

"onde associée", "effet de lumière"

 

"action à distance et communication hors du temps", :?:

 

"stabilité de la matière " impossible avec le modèle actuel, :?:

 

" physique des fluides" "radioactivité",etc....

 

Voilà avec quoi on doit se débrouiller ;)

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :be:

 

Bonne description de l' onde magnétique messieurs ;)

 

voiçi ma définition, que j' y vois:

 

Perturbation qui se propage soit à la surface de l’eau, dans l’air ou une perturbation du champ électromagnétique qui nous entoure. ;)

 

Cette perturbation se déplace sans se déformer et sans emporter de matière. :?:

 

Les ondes apportent des informations à distance. :?:

 

Vitesse de propagation d’une onde éléctro-magnétique = 300 000 Km/s ;)

 

De plus, la lumière est, pour rappel, l'ensemble des ondes électromagnétiques visibles, c'est-à-dire susceptibles d'être perçues directement par un oeil humain. ;)

 

Et enfin , la lumière est une onde électromagnétique (onde transversale composée d'une onde de champ électrique et d'une onde de champ magnétique).

 

Sa propagation est perturbée, aussi bien par la présence d'obstacles matériels (entrainant des réflexions, des diffractions, des interférences, des réfractions) que par celle de champs électriques ou magnétiques. ;)

 

La vitesse de la lumière est de : 300 000 km/s

 

En 1 seconde, la lumière parcourt le rayon de la Terre plus de 7 fois. :?:

 

Elle effectue le trajet Terre-Soleil en 8 minutes. :?:

 

En interaction avec la matière, la lumière peut être:

 

absorbée: corps noir

réfléchie: miroir

déviée: verre

émise par la matière: filament d'une ampoule

 

Qu' en pense-tu :question:

 

 

amicalement

Posté

bonsoirs tout le monde :be:

 

 

Laisser-moi vous en donner une description ,

 

Dans ce monde de l'atome, la lumière n'arrive donc que par des quanta successifs et discrets, qu'on a imaginés comme des paquets d'énergie élémentaire qui viennent percuter l'atome. Celui-ci les absorbe et se met alors à vibrer davantage : sa fréquence augmente comme une note de musique augmente d'un ton.

 

L'électron fait alors un saut de puce quantique vers un état plus excité, et son brouillard électronique change d'état et de configuration. Cette transition est discontinue et discrète car elle quantifiée, comme on l'a vu, et on ne peut descendre en deçà d'un quantum.

 

Lorsque l'atome revient à son état initial, il va réemettre ce ou ces photons. On a une illustration empirique de cette loi physique, à notre échelle, avec les corps que l'on chauffe. A partir d'une certaine température, le corps chaud va émettre lui même du rayonnement, d'abord dans l'infrarouge, puis dans le visible, tel un tisonnier chauffé à blanc. Tout est une question d'énergie, de la plus infime (le quantum d'énergie) à la plus violente (le flash dévastateur et aveuglant d'une explosion thermonucléaire).

 

Le photon acquière au passage une nouvelle propriété, celle d'être le vecteur des forces atomiques, et plus précisément des forces électroniques.

 

Reste un paradoxe de taille à son sujet qui jette un trouble profond dans notre esprit. Le problème qui subsiste est qu'aucun corps matériel ne peut être accéléré à la vitesse de la lumière, et qui plus est l'atteindre, sans augmenter sa masse de façon infinie, de sorte qu'il faudrait lui communiquer une énergie infinie pour y arriver, ce qui ne peut se concevoir.

 

La vitesse de la lumière est une limite physique infranchissable, qu'aucun corps matériel ne peut atteindre, sauf la lumière elle-même, comme l'a montré Einstein dans sa théorie de la relativité généralisée.

 

Si donc nous considérons le photon lumineux comme un grain de matière, alors il doit avoir une masse comme tout autre grain de matière qui se respecte, mais s'il a une masse, alors il ne peut voyager à la vitesse de la lumière !

 

Il semble donc tout à fait impossible et contradictoire de lier conjointement ces deux états, corpusculaire et ondulatoire, qui s'excluent mutuellement. De là vient notre trouble et toute notre difficulté à appréhender la mécanique quantique, contraire à la logique la plus élémentaire.

 

Nous sommes là au coeur de la complexité de la matière, confronté à l'indécidabilité fondamentale qui est la sienne, à ce tiers généralement exclu de notre logique habituelle, qu'il faut réintroduire ici avec force. La matière est fondamentalement libre, imprévisible et paradoxale dans ses tréfonds les plus secrets.

 

Pour sortir de ce paradoxe quantique, nous devons donc admettre que la masse du photon est nulle au repos et dans le vide, ce qui lui permet de voyager à la vitesse de la lumière porté par l'onde, et qu'il ne prend corps, masse et valeur qu'à son impact avec la matière.

 

Il faut donc considérer le photon comme une quantité discrète et indivisible d'énergie qui ne prend réellement et matériellement son existence que dans son interaction avec la matière.

 

 

source; http://www.cvconseils.com/laser.html

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :be:

 

 

bravo néo superbement bien expliquée ;)

 

Pour rep. à elie, tu n' était pas le seul à croire ça :D

 

Bon maintenant , si dans un noyau il y a cinq protons, tant qu'il y aura moins de 5 électrons dans le nuage électronique, il y aura plus de charges plus que de charges moins dans tout l'atome. :?:

 

Donc l'atome sera chargé +, donc il attirera les électrons. Jusqu'à ce qu'il y ait autant d'électrons que de protons dans l'atome. :?:

 

Le type d'un atome sera donc déterminé par le nombre de protons présents dans son noyau : c'est ce qui décidera du nombre d'électrons que l'atome aura, donc de la façon dont l'atome va agir sur les autres atomes.

 

Et c'est à cette façon d'agir que l'on détermine le type de l'atome, ou élément. Le nombre de protons dans le noyau est appellé numéro atomique. Un seul proton dans le noyau, c'est l'hydrogène, deux c'est l'hélium, huit c'est l'oxygène, etc... :?:

 

Le poids du noyau est quasiment celui de tout l'atome, puisqu'un proton ou un neutron est mille fois plus lourd qu'un électron. Donc plus le numéro atomique d'un atome est élevé, plus il est lourd. L'hydrogène est l'élément le plus léger, car il ne contient qu'un proton dans son noyau. <_<

 

Il existe donc un grand nombre d'éléments dans la nature. :oo:

 

 

Mais on ne rencontre dans l'univers qu'un nombre fini d'éléments. On ne trouve pas vraiment d'éléments avec plus de 100 protons dans le noyau, par exemple. :?:

 

amicalement

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