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L' inflation, énergie du vide, antigravitation,


albert einstein

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Salut à tous :be:

 

Bon merci pour ton texte néo ;)

 

Bon, maintenant j' aimerais bien qu' on m' explique que si il existe trois types de neutrinos :

 

les neutrinos de l'électron,

 

les neutrinos du muon et les neutrinos du tau. Mais pour changer d'état, les neutrinos doivent être capables d'osciller, propriété qui nécessite d'avoir une masse. :oo:

 

Pourquoi les neutrinos changent-ils d' états :question:

 

Donc,

 

Les neutrinos peuvent donc jouer un rôle essentiel dans le problème de la masse cachée de l'Univers. ;)

 

Les neutrinos, dépourvus de charge électrique, n'interagissent avec la matière que par interaction faible. ;)

 

Ainsi, un neutrino d'un GeV (1 milliard d'électron-Volts) n'a environ qu'une chance sur 10 millions d'interagir en traversant la Terre. :?:

 

La probabilité d'interaction des neutrinos avec la matière croît avec l'énergie et les neutrinos produits lors du big- bang ont maintenant une énergie de l'ordre de 10-4 eV ;

 

dans un univers fictif, homogène, de densité égale à la densité moyenne attribuée à l'Univers actuel (environ 10-7 proton par cm3), cette particule voyagerait 1032... années-lumière :?:

 

On comprend ainsi que les neutrinos produits lors du big-bang demeurent encore pour longtemps indécelables. ;)

 

 

amicalement

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Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

 

Lorsque les neutrinos de haute énergie traversent la croûte terrestre, ils produisent une autre particule, des muons. ;)

 

Lorsque le muon remonte et qu’il traverse l’eau, il émet un rayonnement, appelé lumière Tcherenkov, que les photodétecteurs d’Antares peuvent repérer. ;)

 

L’analyse des caractéristiques du muon permet de déduire celles du neutrino qui l’a produit. ;)

 

D' ailleurs les rayons cosmiques sont des particules de haute énergie circulant dans l’espace. ;)

 

Ils bombardent l’atmosphère terrestre en permanence dans toutes les directions, et leur énergie est largement supérieure à celle atteinte dans les accélérateurs de particules construits sur Terre. ;)

 

Depuis leur découverte par Victor Hess en 1912, et malgré un siècle d’étude intensive, leur origine reste mal connue. La découverte que l’onde de choc liée à l’explosion d’une supernova est un site d’accélération de particules a été l’un des résultats majeurs de l’expérience H.E.S.S. (Nature 432-nov. 2004, p75). ;)

 

source;http://www.cea.fr/fr/actualites/articles.asp?id=720

 

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

La loi du mouvement cherchée est définie assez strictement notamment par la condition de l'engendrement de l'électron! Si l'électron existe, il existe aussi le proton, l'atome et tout existant! Existe, étant, cela veut dire, la décision du système commun des ML-équations et des équations subquantique du mouvement des sources. ;)

 

Toutes les particules et les champs sont seulement les manifestations visibles de la coopération entre le champ et ses sources ;)

 

La Théorie des Quanta est venue comme la réponse à la question: – Comment l'atome est-il possible? :question:

 

La Théorie Subquantique du Champ (SubQFT) est venue comme la réponse à la question: – Comment l'électron est-il possible? :question:

 

Selon le modèle demi-classique initial de Niels Bohr, – l'atome d'hydrogène devenait possilble dans la théorie si'il avait l'ensemble des orbites stationnaires électroniques assez déterminé (par les postulats de Bohr), les orbites pour lesquelles la justice des ML-équations fut partiellement abrogée et l'absence totale de rayonnement pour ces états stationnaires d'atome fut postulée.

 

Pour ce temps-là les ML-équations à l'intérieur d'électron avaient été déjà «temporairement» abrogées. ;)

 

Source;http://www.ltn.lv/~elefzaze/?l=fr&c=main

 

 

amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

 

Merci albert pour ton texte :be: mais je n' y comprend pas grand chose :lol:

 

Et pour te répondre sur ceci;

 

 

 

Toutes les particules et les champs sont seulement les manifestations visibles de la coopération entre le champ et ses sources

 

En est-tu bien sûr :question:

 

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

 

Merci néo :be:

 

Donc,

 

En 1913, le physicien danois Niels Bohr (1885 - 1962) réussit à expliquer le spectre d'émission de l'atome d'hydrogène en approfondissant le modèle de l'atome de Rutherford. ;)

 

Dans ce modèle, l'électron chargé négativement gravite autour du noyau chargé positivement à cause de l'attraction électrique de Coulomb. ;)

 

On peut pourtant concevoir l'électron non seulement comme particule mais également en tant qu'onde associée (onde de De-Broglie). ;)

 

Pour que cette onde associée à une particule en mouvement existe, il faut que le rayon de l'orbite de l'électron soit un multiple entier de la longueur d'onde. Ceci implique que le rayon de la trajectoire et l'énergie ne peuvent prendre que quelques valeurs précises. ;)

 

Je crois que on peut dire qu'un électron qui gravite autour du noyau d'un atome, est soumis à une accélération centripète, il devrait en tant que charge en mouvement, émettre continuellement des ondes électromagnétiques et à cause de cela s'écrasait sur le noyau en peu de temps. ;)

 

Au contraire, dans la conception du modèle de Bohr, un électron ne cède pas d'énergie du moment que cette énergie correspond à une des valeurs évoquées plus haut. ;)

 

Un électron qui ne se trouve pas dans son état le plus bas (n = 1) retourne spontanément sur un niveau d'énergie inférieur en libérant la différence d'énergie sous forme de photon (particule lumineuse). ;)

 

En mesurant la longueur d'onde des ondes électromagnétiques correspondants, on obtient exactement les mêmes valeurs que celles obtenues lors des mesures du spectre de l'atome d'hydrogène. ;)

 

 

 

source;http://www.walter-fendt.de/ph11f/bohrh_f.htm

 

 

 

amicalement

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

A l'intérieur du noyau se trouvent des neutrons et des protons. D'après la loi de Coulomb les protons se repoussent et devraient faire éclater le noyau.. :be:

 

Si le noyau est stable, c'est qu'entre les nucléons qui le constituent s'exerce un nouveau type de force attractive : l'interaction forte. :be:

 

L'interaction forte est aussi responsable des réactions nucléaires (réacteurs, bombes, étoiles comme le Soleil). ;)

 

Cette interaction forte est de 100 à 1000 fois plus forte que la force électrique mais son rayon d'action est très petit, de l'ordre de 10 - 15 m (dimension du noyau). ;)

 

C'est la plus intense des interactions connues. ;)

 

 

Qu' en pense-tu :question:

 

 

amicalement

Posté
A l'intérieur du noyau se trouvent des neutrons et des protons. D'après la loi de Coulomb les protons se repoussent et devraient faire éclater le noyau..

 

Exactement; et comme il est impossible d'avoir un noyau avec seulement des protons, je crois que la raison en est que les protons, sans neutrons, se repoussent effectivement. Donc, si un noyau reste uni c'est beaucoup plus grâce à la présence des neutrons qu'à l'existence d'une supposée interaction nucléaire forte.

 

Aussi longtemps que le mystère du confinement ne sera pas expliqué clairement l'interaction forte n'est qu'une supposition basée sur une fonction magique du gluon dans la théorie de la CDQ.

 

La nullité de sa masse permet théoriquement des interactions fortes à une distance infinie mais le phénomène du confinement des quarks dans les hadrons rend les effets de l'interaction forte confinés à l'intérieur des noyaux atomiques.

 

Cette interaction devrait s'étendre à l'infini et ne le fait pas à cause d'un "phénomène" inconnu et inexpliqué; de plus, ce phénomène du confinement n'est pas actif dans le plasma quarks gluons. S'il était exact que cette époque du plasma quarks gluons précède l'apparition de l'interaction forte, à cause de la densité, chaleur etc..., nous serions en présence de la superforce qui est composée exclusivement d'interactions qui, toutes, servent à retenir ou rapprocher les particules; et dans le plasma quarks gluons rien n'est retenu ni rapproché. Cette explication basée sur l'interaction forte ne tient pas.

 

Si nous reprenons l'explication plus haut, nous avons le "phénomène" du confinement des quarks dans les hadrons expliqué par une interaction qui confine à l'intérieur des noyaux et non à l'intérieur des hadrons. C'est de tricher et donner une explication illogique et superficielle.

 

Amicalement

Posté

Salut à tous :be:

 

Merci beaucoup elie pour ton texte, il est très bon :be:

 

Donc, lors d'une collision entre particules élémentaires, celles-ci ne vont pas éclater comme on l'observe pour des objets macroscopiques. Comme elles est élémentaires, elles ne se brisent pas. ;)

 

C'est plutôt l'énergie du choc qui finit par se transformer en de nouvelles particules, en vertu de l'équivalence masse-énergie. ;)

 

Certaines particules créées sont les constituants ordinaires de la matière (protons, neutrons, électrons, photons, neutrinos), d'autres n'apparaissent que pour un très court instant. ;)

 

Ces dernières sont dites instables et se désintègrent donc en d'autres particules plus légères qui, elle-mêmes, peuvent être à nouveau instables et se désintégrer, etc, jusqu'à l'obtention de particules stables. Ainsi, lors de la collision, l'énergie est transformée en matière. ;)

 

Si la vitesse d'un objet est petite par rapport à celle de la lumière (la vitesse d'une voiture, par exemple), son énergie cinétique est donnée par la formule classique E=mv2/2 . ;)

 

Pour un électron possédant une énergie de 100 GeV, la vitesse est alors donnée par v = (2E / m)1/2 soit 187 683 374 km/s, ce qui correspondrait à 625 fois la vitesse c de la lumière dans le vide !

 

Or, la relativité d'Albert EINSTEIN nous dit qu'il est impossible d'aller plus vite que la vitesse de la lumière. ;)

 

Où se trouve l'erreur :question:

 

Tout simplement dans la formule classique de l'énergie qui n'est plus valide. ;)

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

 

amicalement

Posté
Donc, lors d'une collision entre particules élémentaires, celles-ci ne vont pas éclater comme on l'observe pour des objets macroscopiques. Comme elles est élémentaires, elles ne se brisent pas.

 

Et elles ne se brisent pas parce qu'une particule élémentaire n'est pas matérielle; elle est énergétique.

 

Un électron est un nuage d'énergie. Un photon est un volume (paquet) d'énergie. Un gluon est un champ d'action d'énergie de 10^-15 m. Aucune des ces "particules" n'ont un masse; elles ne sont donc pas matière. Selon moi, ce sont elles qui sont fondamentales. Les autres qui suivent: quarks, taus, muons, bosons Zo W+ et W- sont des particules formées des trois premières et acquièrent une masse.

 

Donc, lorsqu'il y a collision entre les premières particules, cela produit une "accrétion" d'énergie formant les particules suivantes. L'accrétion se poursuit aussi longtemps qu'une certaine stabilité avec l'univers environnant n'est pas atteinte. L'intensité énergétique du tau s'équilibre avec l'intensité énergétique de l'univers de son époque, de même pour le muon un peu plus tard etc. La recherche d'équilibre (entropie) se poursuit au même ratio que l'expansion de l'univers au cour de son histoire. Jusqu'à ce que l'intensité des quarks Up et Down, de l'électron et du photon se stabilise dans l'intensité énergétique de notre univers actuel et forment la vraie matière que nous connaissons. La stabilisation de la matière formée de quarks Up et Down ne fut possible qu'à cause des déformations de la géométrie de l'espace qui gardèrent stable et constante l'intensité d'énergie en certaines parties (dans certains volumes) de l'univers en expansion. Il est fort probable que plus nous nous approcherions du centre d'une déformation spatiale, plus nous trouverions des muons accompagnés de neutrinos muoniques, de quarks strange et charm; en nous rapprochant plus nous trouverions des taus, neutrinos tauiques et des quarks Top et bottom. Une déformations de la géométrie de l'espace consiste en un retour vers le passé de l'univers. Ce retour s'étend aussi loin dans le passé que la déformation est accentuée. Dans un trou noir, les quarks sont retournés dans l'état de l'ère de Planck; état de fréquences sans longueur d'onde; tandis que de ce côté-ci de l'horizon d'un trou noir, l'intensité énergétique de l'univers est plutôt stable ce qui permet l'existence stabilisée des protons neutrons électrons neutrinos électroniques.

 

Quant à la vitesse de la lumière, elle est une limite dans notre univers tridimensionnel tout comme la limite de chaleur et de densité atteinte à la fin de l'ère de Planck, au mur de Planck. Lorsque cette limite fut dépassée, ce qui existait à l'ère de Planck fut propulsé dans notre univers actuel ou les fréquences acquérirent une longueur d'onde. Lorsqu'une particule atteint la vitesse de la lumière, elle est probalement projetée dans un "ailleurs" différent de notre univers. Selon les données caractéristiques de la vitesse de la lumière, cet "ailleurs" serait caractérisé par "un temps figé" où les distances sont nulles.

 

Amicalement

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

 

Merci beaucoup elie pour ton texte :be:

 

Mais l’électron est associé l’anti-électron, appelé positron. L’antiparticule possède des caractéristiques opposées à la particule associée :

 

l’électron transporte une charge électrique négative, le positron est doté de la même charge mais positive. ;)

 

Cette prédiction, purement théorique, fut rapidement confirmée en 1932 quand l’Américain Carl Anderson découvrit, dans une chambre à brouillard, des positrons dont la trajectoire, dans un champ magnétique, avait une courbure opposée à celle des électrons. ;)

 

Toutes les particules élémentaires ont une antiparticule. ;)

 

On appelle donc « particule de Dirac » une particule de matière qui est différente de son antiparticule. C’est par exemple le cas de toutes les particules chargées. Ce n’est pas forcément le cas des particules de charge nulle telles que les neutrinos :

 

il est a priori possible que les particules neutres soient leur propre antiparticule. ;)

 

C’est cette dernière hypothèse qu’a proposée Ettore Majorana, vers 1932-33, quand il élabore la « théorie symétrique de l’électron et du positron », pour laquelle il est célèbre. ;)

 

 

Les neutrinos suivent-ils la théorie du scientifique italien (neutrinos et anti-neutrinos sont une même particule) ou celle du britannique (elles sont différentes) ? Une réponse en faveur du premier fournirait une précieuse indication sur la masse du neutrino et expliquerait pourquoi celle-ci est si petite comparée aux autres particules. ;)

 

Plus globalement, elle contribuerait de façon cruciale à une meilleure compréhension de la matière. ;)

 

Cette question est actuellement l’objet de recherches expérimentales. Pour tenter de trancher, les physiciens ont dû bâtir un détecteur baptisé NEMO (« Neutrino Ettore Majorana Observatory », Observatoire du Neutrino d’Ettore Majorana), situé dans le tunnel de Fréjus (Var). ;)

 

Ce détecteur cherche à observer un nouveau type de désintégration de la matière appelé « double désintégration bêta sans émission de neutrino». Si on réussissait à détecter ce ce rayonnement , alors le neutrino serait une particule identique à son anti-particule, comme le soutenait Ettore Majorana ;)

 

 

Source; http://www.savoirs.essonne.fr/dossiers/la-...no-de-majorana/

 

 

aurevoir

Posté

Bonsoirs tout le monde ;)

 

De plus ,

 

Grâce à la reconstruction de la trajectoire et à la mesure des temps d’arrivée des particules, le détecteur doit être capable de reconnaître un événement correspondant à une double désintégration bêta et de le distinguer du bruit de fond. ;)

 

Nemo enregistre environ sept événements par seconde, soit 200 millions d’événements par an. Mais la double désintégration bêta sans émission de neutrino est d'une extrême rareté. ;)

 

Le défi est donc de trouver deux ou trois signaux de ce type parmi les 200 millions d'évènements que Nemo enregistre chaque année. La tâche est rude. Mais c'est la seule façon de savoir si neutrino et anti-neutrino ne font qu'un ;)

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

 

Donc, la notion de symétrie a une importance fondamentale dans les modèles théoriques en physique, notamment la violation de la parité P qui, à une particule associe son image dans un miroir, et la violation de la conjugaison de charge C qui à une particule associe son anti-particule de charge électrique opposée. ;)

 

On a observé la violation de CP, conjugaison des deux symétries précédentes, depuis plus de trente ans :

 

les résultats ont montré une infime différence de comportement entre une particule et son anti-particule. Cette différence, inexpliquée jusqu’à présent, a une importance considérable :

 

elle permettrait d’expliquer pourquoi nous vivons dans un monde de matière alors qu’originellement l’Univers était composé de façon égale de matière et d’antimatière. ;)

 

Les chercheurs de l’expérience BaBar au Stanford Linear Accelerator Center (SLAC, Californie) travaillent sur cette thématique de recherche dans le cadre du système des mésons beaux, contenant des quarks b. ;)

 

Détecteur de l’expérience BaBar au Stanford Linear Accelerator Center (Californie). ©IN2P3Le CC-IN2P3 est un site miroir de SLAC :

 

toutes les données collectées par le détecteur sont stockées à Lyon et mises à disposition des physiciens pour effectuer leurs analyses. ;)

 

Au CERN, les expériences NA48 et la future expérience LHCb auprès du collisionneur LHC concernent ce type de problématique. ;)

 

Concernant l’expérience LHCb, le CC-IN2P3 sera à l’horizon 2008 l’un des principaux cinq centres de calcul en Europe à assurer le traitement et l’analyse des données produites par ce détecteur. ;)

 

 

Source;http://cc.in2p3.fr/rubrique166.html

 

 

 

amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

Peut-tu élaborer sur ce point;

 

elle permettrait d’expliquer pourquoi nous vivons dans un monde de matière alors qu’originellement l’Univers était composé de façon égale de matière et d’antimatière

 

 

Merci beaucoup d' avance ;)

 

 

aurevoir

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

L’antimatière

 

L’antimatière est constituée d’antiparticules :

 

antiquarks, anti-électrons, antineutrinos. ;)

 

Nous avons vu précédemment que toutes les particules sont caractérisées par des propriétés quantifiées par des nombres quantiques :

 

Par exemple la charge électrique Q et le nombre de spin J, mais aussi d’autres grandeurs aux noms aussi ésotériques que le nombre baryonique B, le nombre leptonique L, l’isospin T, l’étrangeté S, l’hypercharge Y ou le charme C :!:

 

Une antiparticule est donc une particule de nombres quantiques opposés. ;)

 

C’est en 1927 que Paul Dirac imagina (comme solutions mathématiques à une équation qui porte son nom) l’existence d’antiparticules. ;)

 

En 1932, l’américain Carl Anderson détecta quelques anti-électrons (baptisés positrons car de charge Q positive) parmi les particules produites par l’impact du rayonnement cosmique sur l’atmosphère. ;)

 

On appelle rayonnement cosmique un flux de particules (électrons, protons, ions) très rapides et donc très énergétiques qui provient de l’espace profond. ;)

 

Ces flux ont pour origine de très lointaines supernovae. Une supernova est une étoile massive qui termine sa vie en une gigantesque explosion qui émet en quelques semaines une lumière aussi puissante qu’une galaxie contenant plusieurs milliards d’étoiles. ;)

 

Une telle explosion crée une onde de choc dans le milieu interstellaire (rempli de gaz et de champ magnétique), et joue donc le rôle d’accélérateur naturel de particules chargées électriquement. ;)

 

L’analyse de ce rayonnement cosmique en altitude a été longtemps pour les physiciens le seul moyen pour étudier et découvrir de nouvelles particules. Il fallut attendre les années 1950 pour reproduire ce type de rayonnement très énergétique dans les accélérateurs. ;)

 

En conclusion;

 

Il nous manque encore une famille fondamentale de particules :

 

les bosons dont fait partie le photon, grain quantique de lumière. ;)

 

Les bosons sont des particules très spéciales qui ne respectent pas le principe d’exclusion de Pauli. ;)

 

Les bosons peuvent se superposer dans le même état quantique contrairement aux fermions qui sont individualisés dans l’espace.

 

 

Ces bosons sont de plus les particules médiatrices des 4 forces fondamentales de l’univers : les interactions sans lesquelles nos particules de matière ne pourraient pas se liées entre elles. ;)

 

Une fois définies ces 4 interactions fondamentales, nous aurons enfin tous les éléments qui constituent la théorie actuelle du Modèle Standard :

 

cette théorie qui explique tous les phénomènes observables à l’échelle des particules... ;)

 

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

 

source;http://www.vulgum.org/article.php3?id_article=216

 

 

 

amicalement

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

Je ne comprend pas bien les fondements de cette question;

 

Une antiparticule est donc une particule de nombres quantiques opposés

 

 

Peut-tu m' expliquer plus appronfondit :question:

 

 

Merci d' avance ;)

 

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

 

Pendant longtemps, on imaginait une unité entre la mécanique céleste et la mécanique atomique. Il y a pour cela, en effet, bien des raisons. ;)

 

Cependant, alors que le cosmos peut être observé quotidiennement, et les positions des planètes prévues à l'avance à tout instant par la connaissance de leurs mouvements dans le temps, les tehniques tentant d'observer les particules se sont heurtées à cette impossibilité :

 

on ne peut déceler des particules qu'en les interceptant, en recueillant leurs traces, éventuellement en les détruisant. ;)

 

Seule la position instantanée peut donc être connue, et dans cet instant, il est évidemment exclu d'observer une VITESSE, un mouvement continu. ;)

 

Qu'on le veuille ou non, ces techniques d'observation sont pour beaucoup dans la séparation théorique radicale qui s'est opérée entre la mécanique universelle macrocosmique (restée newtonienne puisque le mouvement physique y a un sens) et la Physique de l'atome. ;)

 

L'atome est devenu une entité statistique, les électrons n'ayant une position que selon certaines probabilités. Ces positions peuvent être vérifiées par interception, mais alors rien ne peut être connu ni sur la position antérieure, ni la position qui aurait été celle de l'électron s'il n'avait pas été intercepté. ;)

 

Ce qui a fait dire que les "objets quantiques" n'ont de réalité que lorsqu'on les observe, à la différence des objets macrocosmiques. ;)

 

Il est dommage qu'on ne se soit pas posé la question de savoir si, en fait, le macrocosme céleste ne se comporterait pas exactement de la même façon si on ne pouvait observer les astres qu'en interrompant leur trajectoire. ;)

 

En fait, on aboutirait à la même théorie statistique, ce qui permet de penser qu'en fait, il n'y a pas forcément de différence de nature entre galaxies et atomes. On n'aurait jamais imaginé une théorie statistique de ces derniers si on pouvait, à l'instar des étoiles, les observer en permanence dans leurs mouvements. ;)

 

Cela dit, la réalité des particules subordonnée à leur observation aurait pu mettre en cause la notion de matière d'une façon beaucoup plus féconde. Imaginons que nous ne disposions pas du sens de la vue, les objets qui nous entourent n'auraient de réalité vécue que lorsque nous nous y heurterions. ;)

 

Les physiciens sont seulement en train d'essayer de faire appel à plusieurs organes des sens techniques pour comprendre l'atome, et les théories ne sont que le reflet de la limitation du nombre et de la qualité de ces sens. ;)

 

source;http://perso.wanadoo.fr/science.htm

 

 

 

amicalement

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

 

Peut-tu élaborer sur ceci;

 

on ne peut déceler des particules qu'en les interceptant, en recueillant leurs traces, éventuellement en les détruisant.

 

Comment fait-on pour les détruire :question:

 

 

Merci d' avance ;)

 

 

 

amicalement

Posté

Ah oui, j' allais oublier;

 

 

Pourquoi

les "objets quantiques" n'ont de réalité que lorsqu'on les observe, à la différence des objets macrocosmiques.

 

 

Merci d' avance ;)

 

 

aurevoir

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

 

Bon, merci albert :be:

 

J' ai du lire un bon bout avant de tomber sur le bon article :be:

 

Donc, de façon générale, l'opérateur C consiste à inverser l'ensemble des charges électriques, baryoniques, leptoniques et l'étrangeté des particules sans changer ni leur position, ni leur vitesse. ;)

 

Cependant, toutes les lois physiques ne sont pas invariantes sous C. La seule exception à ce jour est l'interaction faible:. ;)

 

La conjugaison de l'hélicité (-1) d'un neutrino (sens de rotation trigonométrique) par C devrait donner un antineutrino fictif d'hélicité(+1);mais ce dernier n'a jamais été observé dans la nature. C'est donc un exemple de dissymétrie ou «brisure de symétrie». ;)

 

 

 

Qu' en pense-tu :question:

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

 

Pour te répondre néo sur cette question;

 

Comment fait-on pour les détruire

 

 

Quand de la matière rencontre de l’antimatière, elles se détruisent en produisant une très grande quantité d’énergie (1 gramme de matière qui rencontre 1 gramme d’antimatière produit autant d’énergie que la fission de quelques kilogrammes de plutonium). ;)

 

C’est l’annihilation. ;)

 

L’annihilation entre particules et antiparticules est le seul phénomène où toute une masse est transformée totalement en énergie, selon la célèbre formule d’Einstein :

 

E = mc², où E est l'énergie, m la masse et c la vitesse de la lumière. ;)

 

Donc "la matière n'est qu'une forme d'énergie". ;)

 

Ainsi, bien que l’antimatière soit stable, il nous est difficile de la conserver car elle disparaît par annihilation dès qu’elle rencontre de la matière. ;)

 

Cette énergie peut alors donner naissance à des particules neutres messagères d'interactions, comme les photons, les bosons ou les gluons (cf. interactions). D’ailleurs, par une réaction symétrique, un photon peut donner naissance à un couple de particule/antiparticule :

 

c’est le phénomène de matérialisation. ;)

 

 

amicalement

Posté
D’ailleurs, par une réaction symétrique, un photon peut donner naissance à un couple de particule/antiparticule :

 

c’est le phénomène de matérialisation.

 

Et nous sommes face à un méson qui est composé de matière et d'antimatière. Comment se fait-il qu'ils ne s'annihile pas?

 

Amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

 

Pour te répondre elie ;

 

l'existence d'un méson composé d'un quark et d'un antiquark qui ne s'anihilent pas.

 

Je ne comprend pas bien ce que tu veux dire elie :question:

 

Parcontre je sais que le méson est une particule composée d'un quark et d'un antiquark de spin nul ou entier. ;)

 

Comment varie la constante de couplage de l'interaction forte par rapport à l'énergie :question:

 

Ce que je sais est que le sens de la variation de la constante de couplage de l'interaction forte est opposé à celui de l'électromagnétisme. :?:

 

Pour les basses énergies, l'intensité est très importante et devient pratiquement infinie autour de 200 GeV, ce qui explique que les quarks soient fortement liés dans les hadrons et qu'il soit impossible de les en séparer. ;)

 

En revanche, à haute énergie, l'intensité diminue fortement et les quarks se comportent comme des particules libres. ;)

 

 

aurevoir

Posté

Je ne vois pas ce que tu ne comprends pas:

nous avons une particule composée de deux items qui sont matière et antimatière; comment se fait-il que cette particule existe et ne s'anihile pas? Comment le méson peut-il exister?

 

Amicalement

Posté

Salut à tous :be:

 

La théorie de grande unification prédit qu'un proton sur 1032 doit se désintégrer chaque année. ;)

 

les physiciens ont donc construit des piscines d'eau pure contenant environ 1033 protons pour observer ce phénomène. ;)

 

Lors de sa désintégration, un proton devrait se transformer en un méson (donnant lui-même 2 photons g) et un positron e+. ;)

 

Ce dernier, plus rapide que la lumière bleue (effet Cerenkov) détecté sur les parois de la piscine. Mais aucune désintégration n'a pu être clairement identifiée, ce qui remet en cause la validité de cette théorie. ;)

 

 

Qu' en dit-tu :question:

 

 

amicalement

Posté

Je ne sais pas.

 

Si un méson se désintégrait en 2 photons g, ça voudrait dire que lors de l'apparition des mésons, les résultats auraient été seulement des photons; ce qui me surprendrait beaucoup face à ce qui existe aujourd'hui.

 

Amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

Intéressant tout ça ;)

 

Mais, les baryons (neutron et proton) sont en fait constitués de quarks qui s'assemblent par trois (une paire quark/ anti-quark compose un méson) mais ne sont jamais observables seuls (on ne peut connaître l’état élémentaire de la matière, peut-être même existe-t-il autre chose derrière les quarks). ;)

 

Ils répondent à l'interaction forte, faible et à l'électromagnétisme. ;)

 

De plus, les leptons chargés (électron, méson mu et méson tau) ou neutres (3 types de neutrinos). ;)

 

Les leptons sont observables seuls (électron, neutrino). L'électron participe à la force faible et à l'électromagnétisme. Les neutrinos ne participent qu'à la force faible (ils sont neutres). ;)

 

 

 

La matière est constituée de : 6 quarks (u,d) (c,s) (t,B), 6 leptons : électron , neutrino électronique

 

muon , neutrino muonique, tauon , neutrino tauique

 

La matière ordinaire est en fait de nature quaternaire, constituée de la première des trois familles de quarks (quark up et quark down), de l'électron et du neutrino électronique (bien que ce dernier interagisse peu avec la matière, ;)

 

mais joue un rôle important dans la radioactivité bêta qui permet la transformation réciproque des neutrons en protons, processus qui a permis la synthèse des éléments et de noyaux plus lourds à partir d'hydrogène). ;)

 

Les deux autres familles sont cependant indispensables pour que notre monde puisse exister. Il faudra attendre les nouvelles générations d'accélérateurs, vers 2007, pour percer davantage les mystères de la matière. ;)

 

 

 

source;http://www.europepolycentrique.org/physiquequantique.html

 

 

 

aurevoir

Posté

 

neo; ce sont les quarks qui ne sont jamais observables seuls et non les mésons. Donc, la question demeure comment un méson peut-il exister sans que l'antiquark et le quark s'anihilent?

 

Amicalement

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