Aller au contenu

L' inflation, énergie du vide, antigravitation,


albert einstein

Messages recommandés

Posté
Et c' est sur ce dernier point qu' il faut faire attention

 

Exactement albert; et j'ajoute que si 1/2 spins et spins entiers fonctionnent dans la mécanique rekativiste, lorsqu'on les transposent dans la mécanique usuelle, il fonctionnent tout aussi bien et expliquent en plus la façon que ces particules se collent ensemble ou se repoussent l'une de l'autre. ;)

 

Bienvenu néo; ces explications découlent d'une longue expérience. :laughing:

 

A quel moment de leur formation les étoiles décident-elles d'avoir telle ou telle masse

 

Elles n'ont heureusement pas besoin de décider; tout dépend de l'étendue et de la quantité de matière formant la nébuleuse initiale, j'ai l'impression. Car il existe des nébuleuses plus importantes que d'autres avant même le début de leur effondrement en masse solide.

 

Amicalement

  • Réponses 1.1k
  • Créé
  • Dernière réponse
Posté

salut à tous :be:

 

Merci elie de tes clarifications ;)

 

Mais , pour te répondre sur cette question fondamentale;

 

A quel moment de leur formation les étoiles décident-elles d'avoir telle ou telle masse

 

 

Je dirais qu' au coeur des nuages moléculaires de notre galaxie et il faudrait étudier en leur sein les protoétoiles et leurs condensations pré-stellaires , ce qui veut dire qu' il faut observer des étoiles encore en phase de création. ;)

 

Néo, avec ta réponse, tu n' avais pas compris la question du tout :D

 

Et pour répondre à cette citation;

 

tout dépend de l'étendue et de la quantité de matière formant la nébuleuse initiale, j'ai l'impression. Car il existe des nébuleuses plus importantes que d'autres avant même le début de leur effondrement en masse solide.

 

 

Je dirais que la distribution radiale de densité dans les enveloppes circumstellaires des protoétoiles dépend de la nature de leur environnement. :?:

 

Tout particulièrement, si la structure en densité des enveloppes protostellaires isolées est bien décrite par le modèle d'effondrement gravitationnel spontané proposé par F. Shu et al. en 1987. ;)

 

La structure circumstellaire des protoétoiles se formant dans des amas comme Ophiuchi s'en écarte notablement, ce qui suggère un effondrement plus dynamique, induit par des perturbations extérieures telles que celles produites par des étoiles jeunes voisines. ;)

 

Ceci montre pour la première fois que l'environnement des étoiles en formation peut partiellement contrôler le processus même de cette formation. :?::?:

 

 

Qu' en dit-tu :question:

 

amicalement

Posté
Je dirais qu' au coeur des nuages moléculaires de notre galaxie et il faudrait étudier en leur sein les protoétoiles et leurs condensations pré-stellaires , ce qui veut dire qu' il faut observer des étoiles encore en phase de création

 

Exactement! Les étoiles continuent de se former aujourd'hui. Elles sont, elles aussi, de la troisième génération.

 

Ceci montre pour la première fois que l'environnement des étoiles en formation peut partiellement contrôler le processus même de cette formation.

 

Je dis que nous constatons que des déformations de la géométrie de l'espace, celles de nos planètes, existent à l'intérieur même de la déformation majeure du système solaire. C'est une structure normale dans l'univers. Il y a donc des déformations à l'intérieur même de celles des galaxies qui produisent des étoiles, c'est à dire, d'autres systèmes "solaires"; on devrait dire "stellaires" mais ça porterait à confusion.

 

Je dirais que la distribution radiale de densité dans les enveloppes circumstellaires des protoétoiles dépend de la nature de leur environnement.

 

Et cette nature de leur environnement est la structure et la courbure de leur déformation spatiale respective. Leur structure existe depuis le plasma quarks-gluons et l'intensité de leur courbure s'est développée au fur et à mesure de leur "captation" (capture) d'énergie puis de matière.

 

La structure circumstellaire des protoétoiles se formant dans des amas comme Ophiuchi s'en écarte notablement, ce qui suggère un effondrement plus dynamique,

 

Donc, la courbure de cette déformation est plus prononçée.

 

Ceci montre pour la première fois que l'environnement des étoiles en formation peut partiellement contrôler le processus même de cette formation.

 

Tout à fait exact puisque l'environnement des étoiles en formation est la déformation géométrique de l'espace-temps qui les contient chacune.

 

Amicalement

Posté

Même pour la possibilité de la création des embryons de déformations de la géométrie de l'espace à l'époque du plasma quarks-gluon???

 

Tu me surpends un peu albert; :) mais pas tellement, vu ton ouverture aux questionnements plutôt qu'aux affirmations. ;)

 

Amicalement

Posté

Bonsoirs tout le monde :D

 

Bon, pour repondre à ceci;

 

Même pour la possibilité de la création des embryons de déformations de la géométrie de l'espace à l'époque du plasma quarks-gluon???

 

Faut croire qu' à cette époque , il n' y avait pas grand chose d' autre pour faire la job :D

 

J' aimerais bien savoir c' est quoi les barres dans les galaxies :question:

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

 

Pour rep. à ceci;

 

Quelles barres dans les galaxies

 

Je ne suis pas sûr , néo exposent tellement bien ses questions :D

 

je crois que ça rapport avec un mécanisme nouveau:

 

la formation par résonance entre le disque et (la barre) de bulbes en forme caractéristique de boîte ou de cacahuète :?:

 

de plus , je crois ( je ne suis pas sûr)que c' est avec des simulations (qui à l'époque ne contenaient pas encore de gaz, mais seulement des étoiles) ont mis en évidence plusieurs phénomènes physiques, qui se sont révélés par la suite fondamentaux pour l'évolution:

 

la force de l'instabilité dynamique en forme de barre, en fonction du rapport bulbe-sur-disque, le ralentissement de la vitesse de rotation de la barre lors de sa montée en puissance, et la formation des cacahuètes . ;)

 

Ces phénomènes permettent d'expliquer la stabilisation des barres lorsqu'elles remontent la séquence de Hubble , le transfert de moment angulaire vers l'extérieur, et la concentration de la masse de la galaxie, grâce aux couples gravitationnels de la barre, et la formation progressive des bulbes à partir des disques. ;)

 

 

Mais comme je dis, je ne suis pas sur de ces affirmations :?:

 

 

 

 

amicalement

Posté

J'ai cru que neo parlait de la ligne formée par la rotation d'une galaxie. Cette ligne que l'on voit dans le plan de rotation produit par la matière orbitant autour du centre de la galaxie. Je ne sais vraiment pas donc j'attends la description de ces barres par néo. ;)

 

Mais je garde ta description très intéressante en mémoire albert. ;)

 

Amicalement

Posté

bonsoirs tout le monde :be:

 

 

J' aimerais bien te le dire elie, mais je ne sais pas du tout :?: ,

 

c' est pourquoi que je serais très intéresser à savoir c' est quoi ;)

 

Merci albert pour ta réponse , mais je ne crois pas que ça soit un nouveau mécanisme :?:

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :be:

 

Bon d' accord néo , ça doit être des galaxies spirales qui contiennent une barre centrale en rotation que tu parle. ;)

 

Il a été proposé à plusieurs reprises que cette barre devrait être freinée par frottement avec la matière noire, et que donc on devrait voir peu de barres en rotation rapide .

 

Alors, pourquoi qu' il se passent le contraire :question:

 

Un grand nombre de barres ont été observées en rotation rapide, et plusieurs études en ont déduit des limites sur la densité centrale dans les galaxies. :?:

 

Donc en résumer , les spirales barrées, qui ont des barres de la poussière, gaz, et tiennent le premier rôle le fonctionnement à travers le centre de la galaxie comme les rais d'une roue.

 

Tout ça pour dire que c' est probablement elie qui avait raison ;)

 

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

amicalement

Posté

Mais nous faisons face, encore une fois à un problème d'interprétation dont je ne connais pas les causes.

 

Il semble bien que les barres en question soient causées par l'accrétion de gaz qui sont évidemment de la matière.

 

Il semble ensuite que l'accumulation de matière vers le centre de la galaxie provoque la disparition de ces barres gazeuses.

 

De là à conclure que ces barres sont des gaz qui , après s'être agglomérés à une certaine distance du centre galactique, sont entraînés vers le centre de la galaxie, formant une barre visible, et que lorsque les gaz sont complètement rendus au centre de la galaxie, les barres ont disparu, me semble très simple à

conclure. Cependant, il y a certainement des objections valables pour que cette explication ne soit pas adoptée. Je ne les connais malheureusement pas et je n'en trouve pas la description.

 

Amicalement

Posté

La question est finalement de comprendre pourquoi les 2/3 des galaxies spirales sont-elles barrées lorsque l'univers est âgé de 13,7 milliards d'années et que les barres disparaissent quelques milliards d'années après leur formation.

 

Encore une fois, ça semble être la déformation spatiale qui explique ces événements.

 

Les barres, que l’on observe dans deux tiers des galaxies spirales seraient le traceur de cette évolution. Leur présence montre que loin d’être isolées, les galaxies sont des systèmes en formation qui continuent de se nourrir du gaz présent dans le milieu inter-galactique.

 

http://www.obspm.fr/~unicom/magazine/artic...3?id_article=11

 

La déformation spatiale de la galaxie capturerait le gaz qui la traverse venant du milieu inter-galactique, formerait un halo gazeux dans la galaxie et lorsque la frictions des gaz sur quelque chose(?) probablement les déformations individuelles des étoiles, les ralentiraient, ces gaz tomberaient vers le centre de la galaxie.

 

Mais mon interprétation est plutôt faible puisque les barres sont visibles lorsque nous voyons les galaxies en plan; c'est à dire, perpendiculairement à l'accumulation plane de la matière galactique produite par sa rotation.

 

Ajoutons que, dû à cet angle de vision en plan (du dessus), si le centre galactique est un trou noir, les barres se retrouveraient dans la partie spatiale au-dessus ou en-dessous de ce trou, là où nous percevons un jet de l'évaporation du trou noir lorsqu'on le regarde de profil.

 

Donc, ma question devient: Est-ce que ces barres sont la représentation des jets venant du trou noir central? Si oui, la masse plus importante de matière que nous constatons après la disparition des barres serait conséquente du fait que lorsque le trou noir absorbe de la matière venant de la "ceinture" de la galaxie, il éjecte de l'évaporation à travers son "chapeau" et ses "pieds". Donc, la masse augmente et lorsque le trou noir cesse d'absorber de la matière, l'éjection perpendiculaire à l'absorbtion cesse et les barres disparaissent.

 

Les barres que nous voyons seraient ces "gaz" qui , giclant du centre du trou noir se répandent graduellement dans le volume galactique. Par contre, on a déjà vu que ce qui est éjecté par un trou noir est du rayonnement électromagnétique (rayon X). Alors, difficile de conclure. Mais la formation d'une étoile à neutron me laisse croire que ces jets sont simplement des jets d'électrons. Par contre quel lien y a-t-il entre l'électron et le photon? :?: Je suis encore coinçé. :malade:

 

Amicalement

Posté

Bonsoirs tout le monde ;)

 

Merci pour ton excellent lien elie ;)

 

Et ton texte est excellent également ;)

 

 

Maintenant je comprend mieux la fonction des barres dans les galaxies spirales ;)

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :be:

 

Notre Galaxie et sa voisine Andromède sont des galaxies spirales : ;)

 

Elles sont constituées d'un bulbe au centre et d'un disque doté de bras en forme de spirale où les étoiles les plus jeunes se concentrent , bon, o.k. je sais que vous savez :D

 

Mais ,c'est en étudiant le mouvement de rotation de ces disques que les astrophysiciens découvrirent dans les années 1930 que les galaxies spirales contiennent beaucoup plus de matière que ce que l'on peut observer à partir de la lumière qu'elles émettent : :?:

 

Aujourd'hui nous savons que 80% de la masse est composée de cette matière invisible, appelée « matière noire », et dont la nature même reste encore très mystérieuse. :?:

 

 

 

Ces galaxies spirales représentent environ deux tiers des galaxies actuelles : :?:

 

C'est dire si la compréhension de leur origine est aujourd'hui une des questions centrales de l'astronomie. ;)

 

En conclusion;

 

Concernant l'énigmatique matière noire, ces astronomes ont découvert que dans les galaxies ayant atteint un état d'équilibre (les seules pour lesquels il est possible de mesurer leur masse), la fraction de matière noire semble identique à celle observée dans les galaxies actuelles. :?:

 

Ce résultat renforce le lien entre les matières ordinaire et noire et entretient le mystère sur cette masse « sombre », sans laquelle les galaxies spirales ne pourraient tout simplement pas exister ! :?:

 

Voilà maintenant la matière noire encore dans les halos des galaxies :question:

 

la journée qu' on va pouvoir détecter la matière noire, ça va changer la physique à tout jamais ;)

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

 

amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

Excellent texte albert ;)

 

Mais pour te répondre sur celà;

 

Ce résultat renforce le lien entre les matières ordinaire et noire et entretient le mystère sur cette masse « sombre », sans laquelle les galaxies spirales ne pourraient tout simplement pas exister !

 

Pourquoi les galaxies ne pourrait pas exister sans matières sombres :question:

 

 

 

aurevoir

Posté
Maintenant je comprend mieux la fonction des barres dans les galaxies spirales

 

Attention neo; ce n'est qu'une hypothèse; une interprétation possible et non ce qui se produit vraiment. Ce n,est qu'une probabilité. ;)

 

Mais ,c'est en étudiant le mouvement de rotation de ces disques que les astrophysiciens découvrirent dans les années 1930 que les galaxies spirales contiennent beaucoup plus de matière que ce que l'on peut observer à partir de la lumière qu'elles émettent :

 

Attention ici également; les astrophysicien n'ont pas "découvert"; ils ont été obligé de "déduire" à cause des données de bases dont ils se servaient. Ils n'ont pas vu de matière invisible. ;) Si les données de base changent, les déductions devront changer. :laughing:

 

 

 

Aujourd'hui nous savons que 80% de la masse est composée de cette matière invisible, appelée « matière noire »,

 

Encore une fois, nuance oblige! Aujourd'hui, nous déduisons 80% de matière noire; mais nous "savons" qu'il ne peut en exister que 10%; donc nous sommes obligé de "déduire" une quantité complémentaire de matière noire non baryonique. Les déductions que nous faisons en adoptant la base de 80% deviennent donc des hypothèses extrêmement "conditionnelles".

 

 

Voilà maintenant la matière noire encore dans les halos des galaxies

 

la journée qu' on va pouvoir détecter la matière noire, ça va changer la physique à tout jamais

 

Et la journée que l'on comprendra que la matière non baryonique ayant une masse n'existe pas, ou encore, que la déformation de la géométrie de l'espace est présente avant même la création de masse,(comme on commence à s'en rendre compte en étudiant les galaxies) la physique va changer instantanément. :laughing:;)

 

Pourquoi les galaxies ne pourrait pas exister sans matières sombres

 

Elle le peuvent, neo; mais pas dans un univers où la masse produit une déformation qui s'étend à l'univers entier. Et surtout pas dans un univers qui possède une force "active" qui attire. ;)

 

Amicalement

Posté

salut à tous ;)

 

C' est bon elie ;)

 

Et pour rep. sur ceci;

 

 

 

mais pas dans un univers où la masse produit une déformation qui s'étend à l'univers entier. Et surtout pas dans un univers qui possède une force "active" qui attire.

 

Faudrait sortir la Théorie parfaite , malheureusement on cherche encore les ingrédients qui vonts dedans ;)

 

amicalement

Posté

Tu peux toujours essayer en adoptant une seule hypothèse très probable, qui est l'inversion localisée du mouvement dans le plasma quarks gluons. Ça évite d'adopter le tas d'autres hypothèses obligatoires qui seront nécessaires si tu ne le fais pas. Personnellement, je préfère l'adoption d'une seule hypothèse explicative que l'adoption d'une dizaine d'hypothèses subséquentes qui, de toutes façons, ne finalisent pas l'explication. :lol:

 

Amicalement

Posté

Laquelle???

 

Celle qui forme des déformations de la géométrie de l'espace au même moment qu'apparaissent les quarks virtuels. Comme ça, tu n'as plus besoin de force de gravité, ni de forces nucléaires et l'électromagnétisme se rattache aux spins des quarks, électrons, neutrinos et photons. De plus, tu peux créer de l'antimatière également, sans problèmes.

 

Pour bien le voir, il faut faire des dessins en se servant de petites boules comme Borg pour l'atome. Ces petites boules possèdent un spin 1/2 ou entier. Les 1/2 spins peuvent servir positivement ou négativement; les spins entiers sont soit négatifs, soit positifs.

 

Une fois tout réglé, C'est à dire que tu es parvenu à faire des protons et des neutrons par accrétion au moyen des déformation spatiale, il faut prendre conscience que ces petites boules sont en fait des quantas d'énergie.

 

Cette mise en scène règle la plupart des problèmes entre la mécanique classique et la mécanique quantique.

 

Amicalement

Posté

salut à tous :be:

 

Pour te rep. sur ceci;

 

des problèmes entre la mécanique classique et la mécanique quantique.

 

IL faut pas oublier qu' il y a six caractéristiques fondamentales de la physique quantique. :?:

 

Certaines sont très déroutantes et sans équivalents dans la vie courante. :?:

 

1. La dualité onde-corpuscule :

 

Une particule subatomique peut se comporter à la fois comme une onde et un corpuscule. En fait c'est une entité beaucoup plus abstraite qui, selon les situations, donne l'impression de se comporter soit comme une onde, soit comme un corpuscule. :?:

 

2. L 'indéterminisme :

 

Contrairement à la physique classique, la mécanique quantique n'est pas déterministe, c'est-à-dire que les mêmes causes ne produisent pas nécessairement les mêmes effets. Dans des conditions initiales identiques, le choix entre les différents effets se fait au hasard. :?:

 

3. Le principe d'incertitude de Heisenberg :

 

On ne peut pas connaître précisément à la fois la position et la vitesse d'une particule. En fait, ce principe va beaucoup plus loin :

 

En général, une particule ne possède pas de position et de vitesse bien définies. :?:

 

N'étant pas l'équivalent d'une minuscule bille, une particule ne se déplace pas en suivant une trajectoire ordinaire et elle n'a donc pas simultanément de positions et de vitesse précises. :?:

 

Tirées de la vie courante, les concepts de position et de vitesse sont des notions classiques qui perdent leur sens dans le monde quantique. :?:

 

4. Le principe de superposition:

 

Une particule peut être à deux endroits en même temps. On dit que la particule est dans un état superposé: à la fois ici et là-bas. Cette caractéristique est celle qui conduit aux effets quantiques les plus déroutants: l'interférence des particules de matière et la non-localité. :?:

 

5. La non-localité ou intrication :

 

Dans certaines situations, l'observation d'une particule à un endroit peut influencer instantanément l'état d'une autre particule à un autre endroit, aussi lointain qu'on le veut du premier. :?:

 

Par conséquent, «quelque chose» peut circuler plus rapidement que la vitesse de la lumière. Ce «quelque chose» est cependant non matériel et non énergétique. :?:

 

Cette influence instantanée est à la base de ce qu'on appelle la «téléportation quantique». :?:

 

6. Le problème de la mesure :

 

Dans la physique classique, l'observateur est «neutre» :

 

lorsqu'il mesure les paramètres d'un système, on considère qu'il ne change pas le comportement de ce système. ;)

 

Dans le monde quantique, ce n'est pas le cas : une particule se comporte de manière fondamentalement différente selon qu'elle évolue librement ou qu'elle interagit avec un appareil de mesure. ;)

 

Durant une expérience d'interférence, par exemple, avant qu'on tente de la mesurer, une particule se trouve dans un état de superposition et elle peut alors passer par deux chemins complètement distincts en même temps. ;)

 

Par contre, dès qu'on effectue une mesure la fonction d'onde «s'effondre» en seul point : un pixel s'illumine sur l'écran cathodique et la particule devient localisée. ;)

 

C'est à ce moment que le facteur hasard entre en jeu puisque le choix du lieu de l'effondrement de la fonction d'onde se fait aléatoirement et on ne peut pas prédire où la fonction d'onde va s'effondrer. ;)

 

Qu' en pense-tu :question:

 

 

Source;Mikael Pratx 2003-2004

 

 

amicalement

Posté

:mdr:

 

Avec les ennuis qu'il y a eu à concevoir les spins des particules... :p C'est vraiment comique que de simples dessins règlent toute la physique :lol:

 

Photon:

 

- Spin : 1

- Charge électrique : 0

 

Électron:

 

- Spin : 1/2

- Charge électrique : -1

 

Graviton:

 

- Spin : 2

- Charge électrique : je ne suis pas au courant (le jeu de mot), mais je pense que c'est 0

 

Rapidement, je vois que trouver un lien entre ces éléments n'est pas simple.

Posté
Une particule subatomique peut se comporter à la fois comme une onde et un corpuscule. En fait c'est une entité beaucoup plus abstraite qui, selon les situations, donne l'impression de se comporter soit comme une onde, soit comme un corpuscule

 

Il ne faut pas oublier qu'un quanta d'énergie est un corpuscule qui oscille comme une onde. Et je suis d'accord avec toi, c'est une entité très abstraite; presqu'une simple idée. ;)

 

Contrairement à la physique classique, la mécanique quantique n'est pas déterministe, c'est-à-dire que les mêmes causes ne produisent pas nécessairement les mêmes effets. Dans des conditions initiales identiques, le choix entre les différents effets se fait au hasard.

 

Par contre, un état subissant une contrainte (cause) peut avoir plusieurs résultats. Et comme je crois que l'évolution tente d'atteindre la stabilité parfaite, il n'y a pas de hasard et la contrainte résulte en tous les résultats possibles et seul le résulat viable "survivra". Une fois le résulat établit, lorsqu'on regarde l'effet antérieur de la contrainte, on a alors une impression d'indéterminisme. ;)

 

N'étant pas l'équivalent d'une minuscule bille, une particule ne se déplace pas en suivant une trajectoire ordinaire et elle n'a donc pas simultanément de positions et de vitesse précises.

 

Tirées de la vie courante, les concepts de position et de vitesse sont des notions classiques qui perdent leur sens dans le monde quantique.

 

 

Curieusement le problème disparaît au niveau de l'atome. Ses constituants protons, neutrons et électrons sont imprécis mais le noyau est déterminé avec précision ainsi que l'atome lui-même. Le principe d'incertitude ne se rattache donc qu'au constituants des atomes et se retrouve conjoint à l'indéterminisme plus haut.

 

Une particule peut être à deux endroits en même temps.

 

Nous avons déjà vu que la superposition est facile pour les particules qui voyagent à la vitesse de la lumière; donc, les photons, les gluons, les neutrinos et les électrons. Il ne reste que les quarks qui retiennent toutes les autres. ;)

 

Par conséquent, «quelque chose» peut circuler plus rapidement que la vitesse de la lumière.

 

Pas nécessairement puisque déjà, à la vitesse de la lumière, il est ...partout; les distances n'existent plus.

 

 

Dans la physique classique, l'observateur est «neutre» :

 

lorsqu'il mesure les paramètres d'un système, on considère qu'il ne change pas le comportement de ce système.

 

Dans le monde quantique, ce n'est pas le cas : une particule se comporte de manière fondamentalement différente selon qu'elle évolue librement ou qu'elle interagit avec un appareil de mesure.

 

Curieusement, dans le monde quantique la particule interagit avec l'observateur et on dit que dans le monde classique ce n'est pas le cas. Pourtant le résultat de l'observation y est toujours une interprétation et les deux mondes ne sont pas aussi éloignés l'un de l'autre qu'ils le semblent. Une particule quantique peut passer par plusieurs chemins différents et une interprétation classique peut faire la même chose. Ceci rapproche dangereusement le quantique virtuel du monde des possibilités imaginaires dont on tire une réalité.

 

Par contre, dès qu'on effectue une mesure la fonction d'onde «s'effondre» en seul point : un pixel s'illumine sur l'écran cathodique et la particule devient localisée.

 

On est alors face à un "choix" parmi les possibilités précédentes.

 

C'est à ce moment que le facteur hasard entre en jeu puisque le choix du lieu de l'effondrement de la fonction d'onde se fait aléatoirement et on ne peut pas prédire où la fonction d'onde va s'effondrer.

 

Ça ne peut pas ¸etre du hasard que l'on retrouve dans le quantique; ça ne peut être que l'apparence de hasard. Disons que je veux me rendre à Rome et que je suis face à un carrefour qui me donne cinq posiibilités. Si je suis une particule quantique qui voyage à la vitesse de la lumière, je peux essayer les cinq routes simultanément et trouver la seule route qui se rend à Rome. Avant de les essayer, on a l'impression d'être devant le hasard; mais le fait de pouvoirs essayer les routes simultanément élimine ce hasard. Le but est toujours atteint quelles que soient les possibilités. Et ce but est la stabilisation d'une particule.

 

Lorsqu'on étudie l'évolution du quantique en son ensemble, il n'y a ni hasard, ni déterminisme puisque toutes les possibilités sont essayées. La finalisation de cette évolution est la production d'une particule stables appelées le proton et d'une autre moins stable appelée le neutron. On sait que la stabilisation du neutron se fait par éjection d'un électron et qu'il devient alors proton plus stable que le neutron qu'il était auparavant. Comme je le disais plus haut, l'évolution du quantique est marqué par le nombre de possibilités à chacun des stages évolutifs; ce n'est pas du hasard, ce sont des tentatives fructueuses ou pas. Toutes les possibilités sont tentées. On retrouve ce même non-hasard lors de la nucléosynthèse. Tout est tenté mais tout ne réussit pas.

 

Avec les ennuis qu'il y a eu à concevoir les spins des particules... C'est vraiment comique que de simples dessins règlent toute la physique

 

Pas tellement d'ennuis mais beaucoup de travail et rappelle-toi qu'un dessin vaut mille mots. Mais Bof! Il y en a qui, parfois, veulent bien se donner la peine de chercher au lieu d'apprendre par coeur et simplement répéter, souvent de façon erronnée. ;) Par contre, si tu m'indiques que si mes dessins fonctionnent tous les problèmes de la physique sont réglés, alors là...les bras m'en tombent.

 

Rapidement, je vois que trouver un lien entre ces éléments n'est pas simple.

 

Tu as raison, ce n'est pas simple de la façon dont tu t'y prends. De toute façon, ça ne se comprend pas rapidement. Élimine le graviton dont l'existence n'est qu'une hypothèse irrationnelle et tout deviendra plus simple. Ne va surtout pas embêter ta recherche avec le boson de Higg qui n'est pas prouvé lui non plus et oublies les "forces" fondamentales. Elle ne sont toutes que des "conséquences". Il ne te restera qu'à accentuer les courbures déterminée lors de l'époque du plasma quarks gluons et à partir de là tout ira bien. ;)

 

Amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

 

Vraiment des bons textes qui pleuvent par les temps qui court ;)

 

Bon, pour rep. à ceci;

 

l'effondrement de la fonction d'onde se fait aléatoirement et on ne peut pas prédire où la fonction d'onde va s'effondrer.

 

Que voulez-vous dire exactement :question:

 

ET ici aussi;

 

Avec les ennuis qu'il y a eu à concevoir les spins des particules

 

De quels ennuis parler vous :question:

 

 

aurevoir

Posté

Très bon lien albert et la phrase suivante me donne une idée:

 

Lorsque l'onde se propage dans le vide, on retrouve aisément (cf paragraphe 1.1. qui suit), à partir des équations de Maxwell, la relation : ω/k = c où c = 299.792.458 m/s est la vitesse de la lumière dans le vide. Lorsque l'onde se propage dans un milieu matériel, cependant, cette relation n'est plus valable. L'onde est diffusée par les atomes qu'elle rencontre et sa propagation est ralentie.

 

Si j'ai bien comprit, lorsqu'une onde se retrouve là où il n'y a que de l'espace en expansion, (se propage dans le vide) on retrouve la "relation" w/k = c;

 

mais lorsque l'onde se propage dans un "milieu" (autre chose que simplement de l'espace), la relation w/k = c n'est plus valable parce que l'onde est ralentie.

 

Ma question n'est pas de savoir comment pouvoir calculer la nouvelle vitesse, mais surtout, pourquoi l'onde est-elle ralentie?

 

Une chose que je remarque, c'est que: quel que soit le milieu, que ce soit de la matière ou non, ce milieu est toujours de l'espace. Une boule de quille est une volume spatial tout autant qu'une bulle de gaz. La seule différence fondamentale entre un espace "vide" en expansion et l'espace "plein" d'une boule de quille est que le sens du mouvement est inversé et avec une courbure dans l'espace de la boule et qu'il est en expansion dans le volume "vide". L'inversion du mouvement et sa courbure spatiale serait ce qui ralentit l'onde. Ceci nous indique également que l'onde en question se propage sur le tissu fondamental de l'univers qui serait, à ce moment-là, l'espace lui-même.

 

Je garde cette idée en mémoire pour la travailler avec la fonction onde particule des composants de la matière. Je vais essayer de trouver comment des ondes se comportent dans le volume d'un liquide; comme sous les vagues de la mer par exemple; peut-être que.... ;)

 

Amicalement

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.