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Salut ! :)

 

a chaque fois que j'observe, je distingue lorsque je defocalise , des vagues d'air, plutot rapide. d'autant plus rapide que je grossis.

disont qu'a 1D soit 250X , avec un cercle de lumiere sur etoile de 60% du champs oculaire, c'est franchement rapide.

 

je suis en ile de france, et j'observe pres dans un paté de maison. pensez vous que cela affecte la netteté des mes images planetaires ?

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Salut ! :)

 

a chaque fois que j'observe, je distingue lorsque je defocalise , des vagues d'air, plutot rapide. d'autant plus rapide que je grossis.

disont qu'a 1D soit 250X , avec un cercle de lumiere sur etoile de 60% du champs oculaire, c'est franchement rapide.

 

je suis en ile de france, et j'observe pres dans un paté de maison. pensez vous que cela affecte la netteté des mes images planetaires ?

 

ça n'aide probablement pas, ça fait partie des facteurs "locaux", comme la mise en température de l'instrument. Mais ça n'explique pas tout, loin s'en faut: la turbulence frappe bien plus haut que nos têtes et avoir une nuit où la turbulence ne se remarque pas aux grossissements que tu cites est quasiment impossible, au mieux cela arrive-t-il par moments une ou 2 fois par an.

 

Donc pour lutter au mieux contre la turbulence, une fois que les facteurs locaux ont été optimisés...ben il n'y a pas grand chose à faire. C'est l'ennemi public No 1 de l'amateur de planétaire

Posté
ça n'aide probablement pas, ça fait partie des facteurs "locaux", comme la mise en température de l'instrument. Mais ça n'explique pas tout, loin s'en faut: la turbulence frappe bien plus haut que nos têtes et avoir une nuit où la turbulence ne se remarque pas aux grossissements que tu cites est quasiment impossible, au mieux cela arrive-t-il par moments une ou 2 fois par an.

 

Donc pour lutter au mieux contre la turbulence, une fois que les facteurs locaux ont été optimisés...ben il n'y a pas grand chose à faire. C'est l'ennemi public No 1 de l'amateur de planétaire

 

merci de ta reponse conçise. et donc , je continue ma petite enquete, avec a la clef, un renvoie de disque de verre :be:

Posté

Bonjour, mais quel est ton télescope exactement, car il y a deux turbulences distinctes.

La turbulence instrumental qui est généré principalement par le fait que le miroir est plus chaud que l'air ambiant, normalement elle fini par disparaitre, ça peut aller de 1/2 heures à plusieurs heures suivant la taille du miroir et de la différence de température entre la pièce ou est stocké le télescope et l'extérieur. Il suffit d'être patient et cette turbulence ne pose pas de souci.

La turbulence atmosphérique, elle c'est la loterie, suivant les cas extrême tu ne peut dépasser 75x en grossissement comme tu atteint les 500x les doigts dans le nez, bon en règle général on atteint facilement les 200-300x assez couramment, après pour aller au delà il faut le bon soir (ça peut être qu'une nuit dans l'année).

Yves.

Posté

bien voir qu'on peut ainsi "voir" 2 niveau de turbulence :

- la turbu interne, avec des vagues relativement lentes et bien toubillonnates qui "lèchent" le miroir",

- le turbu atmosphèrique généralement à haute altitude, sous forme de flux très rapides

cela en fonction de la défocalisation de la MAP

 

si l'on ne peut agir sur l'un, on est tout à fait résponsable de l'autre. Et sur celui où l'on ne peut agir, il est bon de bien analyser la météo pour profiter des bonnes occasions, pas si rares que cela.

Posté

Bonsoir,

 

Pour la turbulence atmosphérique, faudrait attendre que Skywatcher mette sur le marché de petites optiques amateurs adaptatives ... mais c'est pas pour demain :be:

 

Pour la turbulence issue de l'instrument, il arrive parfois que la vitesse de mise en température de l'optique soit plus lente que les variation de température extérieure: l'instrument "court" toujours après sans pouvoir s'acclimater et à l'aube, la mise en température n'est toujours pas atteinte: y a de nuits comme ça :confused:

 

Se limiter sur les agrandissements aide un peit peu à s'en sortir en visuel.

Posté

je n'ai jamais utiliser le ventilo qui est au cul du mirroir, faudrais que j'essaye un de ces 4!

peut etre qu'il n'a jamais été en equilibre thermique.

Posté

Bonjour, comme je possède un télescope de la famille des Cassegrain (miroir percée en son centre avec un baffle), la turbulence instrumental du au miroir est facile à voir, je pointe une étoile assez haute je défocalise légèrement, si le cercle obtenue et coupé par une goute allongé (veine de chaleur le long du baffle) mon tube n'est pas en température, quand elle à disparue (cercle complet) c'est tous bon.

La turbulence atmosphérique, elle se traduit (toujours sur une étoile légèrement défocalisé) par un bouillonnement, si c'est fort alors les hauts grossissements sont inaccessibles se soir là.

 

Par contre sur un Newton, comme il y a pas de baffle centrale je sais pas comment on peut détecter la perturbation instrumental (jamais eu de Newton), par rapport à la perturbation atmosphérique :refl:.

Yves.

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