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Les pipelettes du sujet

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Posté
Oui, tant qu'on définit une vitesse limite on définit une mécanique relativiste.

 

merci pour cette précision.....

 

les theories cosmologiques fleurissent en ce moment

en sus de la M-théorie de SH il y en a plein d'autres..

 

:)

 

 

JC

Posté

bonsoir

alors oui il est tout a fait possible de voyager dans le passer au même titre que vers le future, la causalité n'est qu'une théorie qui empêche le voyage dans le passé mais j'ai découvert une autre théorie qui nous permettrait allée dans le passé en utilisant des trou de ver. je vous mettrais le liens ce soir , car la je dois le retrouver dans mes archives sur mon autre PC et je pars au boulot. bon ce n'est qu'une theorie, mais ne sont elle spas la pour ce contredire les unes aux autres? et d'apres l'auteur on sais creer des micro trou de ver deja reste plus qu'a les agrandirs

Posté
bonsoir

alors oui il est tout a fait possible de voyager dans le passer au même titre que vers le future, la causalité n'est qu'une théorie qui empêche le voyage dans le passé mais j'ai découvert une autre théorie qui nous permettrait allée dans le passé en utilisant des trou de ver. je vous mettrais le liens ce soir , car la je dois le retrouver dans mes archives sur mon autre PC et je pars au boulot. bon ce n'est qu'une theorie, mais ne sont elle spas la pour ce contredire les unes aux autres? et d'apres l'auteur on sais creer des micro trou de ver deja reste plus qu'a les agrandirs

 

et à les stabiliser avec une matiere ou une energie " X";)

 

 

et pour eviter le violer les paradoxes ouvrir sur des mondes parallelles;)

 

vaste entreprise....mais on imaginer(et rever)

 

JC Hiboux( de nuit) qui apres a voir "tâté beaucoup la souris de nuit" va dans son arbre dormir:be::D

Posté (modifié)
Dans ce graphe, pourquoi les flashs vont vers le bas à gauche et pas vers le haut à droite ??
Il manque en effet la représentation de la droite de lumière qui progresse vers les distances négatives.

Il est plus facile de se faire une idée au moyen des graphiques de Loedel en axes mobiles (qui tournent avec la vitesse de la lumière).

(voir ici par exemple le graphe commenté).

Une telle représentation permet d'aboutir au constat que, pour une vitesse « supérieure » à c, les axes de temps et d'espace sont permutés ; la vitesse de la lumière devient une limite inférieure de ce monde étrange.

Dans notre monde, on peut rester sur place, tandis que le temps s'écoule inexorablement.

Dans celui-là, on peut rester figé dans le temps, tandis que l'espace défile inexorablement.

Pas facile à se représenter...

diagr_lorentzbis2.jpg.4403645046bcd94bfc89c0f8b1dd1b1e.jpg

Modifié par noreply
Posté (modifié)
Dans ce graphe, pourquoi les flashs vont vers le bas à gauche et pas vers le haut à droite ??

Excellente remarque... j'avoue que je n'ai pas présentement la réponse et qu'il y a une erreur. Excuses

Il est de fait que les diagrammes de Loerdel sont compliqués.

Modifié par Jean-ClaudeP
Posté (modifié)

Avec des jumeaux c'est juste une expérience de pensée !

 

Une particule instable rapide qui se désintègre plus tard que normal dans le référentiel du laboratoire est je pense un voyageur de Langevin.

Modifié par jarnicoton
Posté (modifié)
L'histoire du voyageur de Langevin (les deux jumeaux) correspond-t-elle à une réalité scientifique ou bien est-ce juste une expérience de pensée ?

En complément à jarnicoton, je dirais que c'est évidemment une expérience de pensée, mais qu'elle correspond à une réalité scientifique.

Une application similaire à celle des muons cosmiques et qui nous concerne d'assez près est le GPS. Sans les corrections relativistes, l'erreur de positon résultant du glissement du temps relativiste atteindrait plusieurs centaines de mètres par jour (c * 50 à 100 ns). La composante essentielle de cette correction est due à la relativité générale, la composante de la relativité restreinte n'en représentant que +/- 15 %.

Il est à noter que, dans le cas GPS, l'effet sur le temps peut être vu comme le résultat du glissement relativiste de fréquence, c'est-à-dire un effet Doppler accentué pour ce qui concerne le mouvement (R.R.) ajouté au décalage spectral gravitationnel d'un émetteur plongé dans un champ constant (R.G.). le raisonnement est le même (sans qu'il soit question de fréquences) pour le muon.

 

A priori et en toute rigueur, l'expérience de Langevin nécessite un changement de référentiel (demi-tour) qui n'est pas immédiatement identifiable dans ces applications et qui y est pourtant essentiel : dans le cadre de la R.R., c'est celui qui change de référentiel qui vieillit le plus lentement, et non pas l'autre (c'est ainsi qu'on lève le paradoxe de Langevin (*)), un peu comme si l'énergie phénoménale qu'on doit apporter au véhicule du voyageur pour son demi-tour était convertie en gain de temps définitif (alors que le décalage de fréquence n'est qu'un effet observationnel).

 

Le cas du GPS est très intéressant car, du fait de la rotation permanente du satellite autour de la Terre, on peut observer constamment ce décalage d'un étalon de temps qui était pourtant synchrone avec ses homologues non embarqués et qui, du fait des effet précités, ne l'est plus. On peut observer "en direct" le vieillissement ralenti et réel de l'horloge embarquée.

 

(*) Deux observateurs qui se croisent à vitesse relativiste observent des décalages de fréquences symétriques (pour ce qui concerne la composante R.R., le satellite GPS voit aussi l'horloge de la Terre fonctionner plus lentement que la sienne) ; en principe, chacun des jumeaux s'attend à voir l'autre plus jeune que lui à la fin de l'expérience ; ce qui est paradoxal et impossible. En fait, seul celui qui "part" et "revient" sera le plus jeune, du fait des changements de référentiel (accélérations) qu'il subit. Le raisonnement n'est pas le même en R.G. car un changement de potentiel gravitationnel a toujours un sens identifiable.

Modifié par noreply
Posté
En complément à jarnicoton, je dirais que c'est évidemment une expérience de pensée, mais qu'elle correspond à une réalité scientifique.

Une application similaire à celle des muons cosmiques et qui nous concerne d'assez près est le GPS. Sans les corrections relativistes, l'erreur de positon résultant du glissement du temps relativiste atteindrait plusieurs centaines de mètres par jour (c * 50 à 100 ns). La composante essentielle de cette correction est due à la relativité générale, la composante de la relativité restreinte n'en représentant que +/- 15 %.

Il est à noter que, dans le cas GPS, l'effet sur le temps peut être vu comme le résultat du glissement relativiste de fréquence, c'est-à-dire un effet Doppler accentué pour ce qui concerne le mouvement (R.R.) ajouté au décalage spectral gravitationnel d'un émetteur plongé dans un champ constant (R.G.). le raisonnement est le même (sans qu'il soit question de fréquences) pour le muon.

 

A priori et en toute rigueur, l'expérience de Langevin nécessite un changement de référentiel (demi-tour) qui n'est pas immédiatement identifiable dans ces applications et qui y est pourtant essentiel : dans le cadre de la R.R., c'est celui qui change de référentiel qui vieillit le plus lentement, et non pas l'autre (c'est ainsi qu'on lève le paradoxe de Langevin (*)), un peu comme si l'énergie phénoménale qu'on doit apporter au véhicule du voyageur pour son demi-tour était convertie en gain de temps définitif (alors que le décalage de fréquence n'est qu'un effet observationnel).

 

Le cas du GPS est très intéressant car, du fait de la rotation permanente du satellite autour de la Terre, on peut observer constamment ce décalage d'un étalon de temps qui était pourtant synchrone avec ses homologues non embarqués et qui, du fait des effet précités, ne l'est plus. On peut observer "en direct" le vieillissement ralenti et réel de l'horloge embarquée.

 

(*) Deux observateurs qui se croisent à vitesse relativiste observent des décalages de fréquences symétriques (pour ce qui concerne la composante R.R., le satellite GPS voit aussi l'horloge de la Terre fonctionner plus lentement que la sienne) ; en principe, chacun des jumeaux s'attend à voir l'autre plus jeune que lui à la fin de l'expérience ; ce qui est paradoxal et impossible. En fait, seul celui qui "part" et "revient" sera le plus jeune, du fait des changements de référentiel (accélérations) qu'il subit. Le raisonnement n'est pas le même en R.G. car un changement de potentiel gravitationnel a toujours un sens identifiable.

 

Et j'ajoute que ces effets relativistes sur les GPS ont été pris en compte dans les mesures de l'expérience OPERA qui a déduit une vitesse supraluminique pour les neutrinos. En effet, la mesure de la distance CERN-Gran Sasso est effectuée en partie par GPS. La synchro des horloges pour la mesure du temps passe aussi par un relais satellite.

C'est peut-être à ce niveau là que s'est glissée une erreur dans le calcul... :rolleyes: (je suis partial, je crois à l'erreur expérimentale... jusqu'à preuve du contraire).

Posté

Merci pour les explications sur les jumeaux ;)

 

Et j'ajoute que ces effets relativistes sur les GPS ont été pris en compte dans les mesures de l'expérience OPERA qui a déduit une vitesse supraluminique pour les neutrinos. En effet, la mesure de la distance CERN-Gran Sasso est effectuée en partie par GPS. La synchro des horloges pour la mesure du temps passe aussi par un relais satellite.

C'est peut-être à ce niveau là que s'est glissée une erreur dans le calcul... :rolleyes: (je suis partial, je crois à l'erreur expérimentale... jusqu'à preuve du contraire).

Si je comprends bien on a une expérience qui remet en cause la RR mais qui utilise aussi la RR pour sa validation ! Donc un genre de biais quoi :D
Posté (modifié)

Dans l'esprit relativiste, je me suis habitué à considérer c comme un paramètre physique reliant l'espace au temps.

Cette relation devient de la sorte la limite de la causalité.

Dans cette optique, la lumière n'a plus vraiment besoin d'être caractérisée par une vitesse ; la lumière n'a plus besoin d'être quelque chose. Elle est simplement la caractérisation (et non pas exactement le vecteur) des interactions (des relations), par voie électromagnétique, entre les objets massifs.

Voilà une présentation des choses qui me semble sympathique par sa concision et son dépouillement.

Dès lors que le neutrino aurait une vitesse supérieure à c, ce paradigme s'effondrerait ; ce qui me laisserait fort marri... (*)

 

(*) A moins, bien sûr, que cette particule n'appartienne au monde étrange dont je parlais au post 35.

Mais comme je ne suis pas sûr de très bien savoir moi-même de quoi je parle, là, je m'en tiens là...

(Je ne vois notamment pas très bien comment ces mondes pourraient communiquer).

Modifié par noreply
Posté

Énergie sous forme de rayonnement EM pur : v = c

 

Énergie sous forme de matière : v < c Si l'énergie sous forme de matière pouvait atteindre c, alors il faudrait qu'elle soit sous forme d'énergie EM pure.

 

Et si c'était l'énergie la base ? Et non la matière ?

Posté (modifié)

Si de l'énergie sous forme de masse pouvait atteindre c, cela voudrait dire qu'elle serait sous forme d'énergie EM pure, et comme ce n'est pas le cas, alors elle ne peut que rester en-deçà de c ! D'où la limite de c pour la matière.

 

J'aime bien cette piste et j'ai l'intention de creuser l'idée comme quoi notre vision matérielle du monde est un errement anthropique et que de baser les choses sur l'énergie plutôt que la masse peut peut-être aider à voir l'Univers autrement.

 

Par exemple, quand on accélère un objet, ben c'est de l'énergie en fait que l'on accélère... E = 1/2*mv² = 1/2*ev²/c² = ev²/2c² (et encore je reste en méca classique :D).

Modifié par iksarfighter
Posté
Il manque en effet la représentation de la droite de lumière qui progresse vers les distances négatives.

Il est plus facile de se faire une idée au moyen des graphiques de Loedel en axes mobiles (qui tournent avec la vitesse de la lumière).

(voir ici par exemple le graphe commenté).

Une telle représentation permet d'aboutir au constat que, pour une vitesse « supérieure » à c, les axes de temps et d'espace sont permutés ; la vitesse de la lumière devient une limite inférieure de ce monde étrange.

Dans notre monde, on peut rester sur place, tandis que le temps s'écoule inexorablement.

Dans celui-là, on peut rester figé dans le temps, tandis que l'espace défile inexorablement.

Pas facile à se représenter...

 

Hello

 

et si on parlait du vide...

 

imaginez le plus petit volume de vide possible; un cube de Planck en quelque sorte...

la température y serait de zéro absolu; sans matière la masse serait nulle

le temps y serait donc figé...:rolleyes:

 

et si (grace à l'énergie des fluctuations quantiques du vide) ce volume de vide grandissait inexorablement...

 

on aurait un univers en expansion accéléré :be:

 

allez le ciel s"est dégagé; je repasse aux étoiles :be:

 

bonnes étoiles

 

Moondaka

Posté (modifié)
j'avoue que je n'ai pas présentement la réponse et qu'il y a une erreur. Excuses

Il est de fait que les diagrammes de Loedel sont compliqués. [/Quote]L'évidence que j'ai omis de rappeler au post 35, c'est que, pour v > c, les solutions des équations relativistes sont imaginaires.

Si on accepte cette curiosité, on voit que, pour une particule sans étendue, le temps de l'un des référentiels correspond alors davantage à l'image de l'espace de l'autre qu'à celle de son temps.

En faisant x' = 0 (puisque la particule n'a pas d'étendue dans son propre référentiel), on tire de la première équation relativiste

x' = gamma (x-vt) :

x = v.t (ce qui est une évidence)

que l'on reporte dans la deuxième équation

t' = gamma (t - vx/c²),

Ce dont il sort :

pour v<c : t'² = t² – x²/c² (1)

pour v>c : t'² = i² . (x²/c² – t²) (2)

 

- dans le domaine subluminique (cas 1), on peut construire un triangle rectangle dont t est l'hypoténuse ; t' ainsi que x/c sont les côtés de l'angle droit ; on voit que t' ressemble d'abord fort à t quand x/c << t, c'est-à-dire quand x/t = v << c ; x/c « se couche » de plus en plus sur t et t' devient de plus en plus petit au fur et à mesure que v augmente (voir note 1)

- dans le domaine supra-luminique (cas 2), on construit cette fois un triangle rectangle dont x/c est l'hypoténuse ; t et i.t' sont les côtés de l'angle droit ; quand x/c est légèrement supérieur à t -donc quand v légèrement supérieur à c-, t est à peu près « couché » sur x/c, i.t' étant proche de zéro ; mais si la vitesse augmente, i.t' tend de plus en plus à « ressembler » à x/c, t prenant dans la construction une importance de plus en plus insignifiante (voir note 1). On voit qu'il y a dans ce cas une permutation de rôles entre l'espace et le temps (...mais dans le domaine imaginaire!).

imaginez le plus petit volume de vide possible; un cube de Planck en quelque sorte...

la température y serait de zéro absolu; sans matière la masse serait nulle

le temps y serait donc figé... [/Quote]Je ne vois pas bien le rapport entre la température, la masse et le temps.

le temps y serait donc figé...

et si (grace à l'énergie des fluctuations quantiques du vide) ce volume de vide grandissait inexorablement...

on aurait un univers en expansion accéléré [/Quote]Si le temps est figé, il ne se passe plus rien ; donc pas d'expansion.

J'aime bien cette piste[/Quote]Attention quand même aux nids de poules...

 

Note 1 : on peut tenir un raisonnement symétrique avec x/c, x'/c et t et, en particulier, examiner le cas d'une "particule" dont la trace spatio-temporelle dans son monde de coordonnées imaginaires (x', t') s'identifierait à l'axe x' (donc avec t' = 0) et non plus à l'axe t', comme ci-dessus, selon la conception qui nous apparaît comme la plus logique.

Modifié par noreply
Correction i.t'
Posté
L'évidence que j'ai omis de rappeler au post 35, c'est que, pour v > c, les solutions des équations relativistes sont imaginaires.

Si on accepte cette curiosité, on voit que le temps de l'un des référentiels correspond alors davantage à l'image de l'espace de l'autre qu'à celle de son temps :

pour v<c, on a : t'² = t² – x²/c²

pour v>c, on a : t'² = i² . (x²/c² – t²)

Pour une particule sans étendue,

- dans le domaine subluminique, on peut construire un triangle rectangle dont t est l'hypoténuse ; t' ainsi que x/c sont les côtés de l'angle droit ; on voit que t' ressemble d'abord fort à t quand x/c << t, c'est-à-dire quand x/t = v << c ; x/c « se couche » de plus en plus sur t et t' devient de plus en plus petit au fur et à mesure que v augmente (voir note)

- dans le domaine supra-luminique, on construit cette fois un triangle rectangle dont x/c est l'hypoténuse ; t et t' sont les côtés de l'angle droit ; quand x/c est légèrement supérieur à t -donc quand v légèrement supérieur à c-, t est à peu près « couché » sur x/c, t' étant proche de zéro ; mais si la vitesse augmente, t' tend de plus en plus à « ressembler » à x/c, t prenant dans la construction une importance de plus en plus insignifiante (voir note). On voit qu'il y a dans ce cas une permutation de rôles entre l'espace et le temps (...mais dans le domaine imaginaire!).

Je ne vois pas bien le rapport entre la température, la masse et le temps.

Si le temps est figé, il ne se passe plus rien ; donc pas d'expansion.

Attention quand même aux nids de poules...

 

Note : on peut tenir un raisonnement symétrique avec x/c, x'/c et t.

 

Hello

 

rapport entre masse temperature et temps=>

un objet possédant une masse ne peux pas atteindre le zéro absolu; il ne peux que s'en approcher

seul un volume absolument vide de baryons pourrait en théorie atteindre le zéro absolu (enthropie nulle)

après si on a affaire à un volume de vide sans température sans masse et sans enthropie il ne s'y passe rien ; c"est comme si le temps s'était arrété

 

temps figé = pas d'expansion=>

oui c'est vrai si on parle de baryons (le contenu) mais si on parle de l'espace temps (le contenant) ça me parait envisageable ;

le temps étant figé si on communique a ce volume de l'enthropie (exemple une particule de poussière rencontrant un espace vide) une des possibilités est un aggrandissement de l'espace (une autre serait une baisse de la température de la particule- vision plus conventionnelle :rolleyes:)

 

affaire à suivre...

 

bonnes étoiles

 

Moondaka

Posté
après si on a affaire à un volume de vide sans température sans masse et sans enthropie il ne s'y passe rien ; c"est comme si le temps s'était arrété [/Quote]A priori, il ne semble pas que la locution « volume de vide » puisse avoir une signification (voir mon commentaire suivant).
temps figé = pas d'expansion=>

oui c'est vrai si on parle de baryons (le contenu) mais si on parle de l'espace temps (le contenant) ça me parait envisageable [/Quote]Selon la relativité générale, l'espace-temps n'est rien de plus qu'un paramètre (à 4 dimensions). Rien ne semble indiquer qu'on puisse le considérer comme un « contenant ».

Posté
Énergie sous forme de rayonnement EM pur : v = c

 

Énergie sous forme de matière : v < c Si l'énergie sous forme de matière pouvait atteindre c, alors il faudrait qu'elle soit sous forme d'énergie EM pure.

 

Et si c'était l'énergie la base ? Et non la matière ?

 

Hello

 

si on accepte le modèle standard; la singularité initiale aurait engendré la matière

on peux y voir l'énergie comme base :)

après si on observe une étoile c'est plutot le contraire; c'est la masse qui se transforme en énergie

peut etre que ce n'est qu'un faux problème puisque masse et energie sont équivalentes; c'est une juste une façon de voir les choses

 

par contre je suis d'accord pour remettre en cause cette tendance générale à l'anthropocentrisme qui depuis fort longtemps sévit en astronomie (le soleil tourne autour de la Terre; la Terre est au centre de l'univers; il n y a que notre étoile qui possede un systeme planétaire; la vie est exeptionnelle :p etc.

 

bonnes étoiles

 

Moondaka

Posté
A priori, il ne semble pas que la locution « volume de vide » puisse avoir une signification (voir mon commentaire suivant).

Selon la relativité générale, l'espace-temps n'est rien de plus qu'un paramètre (à 4 dimensions). Rien ne semble indiquer qu'on puisse le considérer comme un « contenant ».

 

re bonjour

 

bien vu :)

c'est justement ce que j'aimerais prouver

à savoir que l'espace temps est constitué de briques élémentaires d'espace temps que j'appelle volume de planck

(par analogie avec la plus petite longueur possible la longueur de Planck)

bien sur celà reste à prouver :be:

 

bonnes étoiles

 

Moondaka

Posté

Finalement on peut comprendre et admettre que le photon ait une masse nulle puisqu'il représente la forme pure de l'énergie qui s'oppose à la matière-énergie qui elle est par définition massique.

 

Ce serait aussi l'énergie qui serait à la base de l'action, de la causalité, et de l'information. Qui définissent notamment le temps. Tout cela asservi à la limite c de propagation des ondes EM.

Posté
Finalement on peut comprendre et admettre que le photon ait une masse nulle puisqu'il représente la forme pure de l'énergie qui s'oppose à la matière-énergie qui elle est par définition massique.

 

Ce serait aussi l'énergie qui serait à la base de l'action, de la causalité, et de l'information. Qui définissent notamment le temps. Tout cela asservi à la limite c de propagation des ondes EM.

 

re bonjour

 

part 1=> le photon ne s'oppose pas; c'est juste le cas extrème (masse nulle vitesse max)

entre les 2 on trouve toutes les autres particules massives; plus lourdes et moins rapides

et de l'autre coté; qu'est ce qui serait très massif avec une vitesse nulle et ne rayonnerait pas du tout?

 

part2=> l'énergie à la base de l'action? ah oui sans bières pas de sortie astro :be::be::be:

 

Moon - en mode perte du Daka :be:

Posté
L'évidence que j'ai omis de rappeler au post 35, (...) On voit qu'il y a dans ce cas une permutation de rôles entre l'espace et le temps mais dans le domaine imaginaire!).

Merci pour ces explications

Posté

J'ai inversé mon raisonnement de toute à l'heure et je me suis aperçu que l'on pouvait transmettre de la matière à la vitesse de la lumière... Comment ?

Maintenant je vais dormir, bonne nuit ;)

Posté
J'ai inversé mon raisonnement de toute à l'heure et je me suis aperçu que l'on pouvait transmettre de la matière à la vitesse de la lumière... Comment ?

Maintenant je vais dormir, bonne nuit ;)

"Transmettre", c'est une manière de dire les choses...

Quand des photons incidents (qui ont été émis par de la matière) donnent naissance (à distance) à des particules, je ne trouve pas que l'on puisse vraiment dire qu'il y a eu "transmission de matière".

Mais c'est du domaine du vocabulaire.

Posté (modifié)

Oui c'est ça, on focalise un faisceau de photons issus de réactions d'annihilation vers un point où l'on induit des réactions de matérialisation (en supposant que l'on sache le faire!) et l'on obtient une transmission de matière à la vitesse de la lumière...

 

D'ailleurs en imaginant que les annihilations/matérialisations soient parfaitement maîtrisées, quel serait le coût énergétique de ce type de déplacement de matière ?

Modifié par iksarfighter
Posté

bonjour,

pour en revenir à notre vitesse, j'ai lu que la vitesse d’expansion de l'univers augmente de nouveau, et plus surprenant encore, qu'au début de l'univers, son expansion était supérieur à la vitesse de la lumière, comment est possible? car la on parle de notre univers et pas d'un atome isolé

Posté

L'expansion n'est pas une vitesse.

 

Parler de vitesse de l'expansion de l'univers n'a aucune sens ; ce qui a un sens est de parler de la vitesse de récession des galaxies (par exemple) qui, effectivement, peut dépasser la vitesse de la lumière. Ce n'est pas paradoxal car ce n'est pas une vitesse mécanique, c'est plutôt une vitesse virtuelle, le mot "vitesse" étant utilisé comme presque un abus de langage.

 

(Pour l'expansion, il faut parler de taux. Un taux d'expansion n'est pas une vitesse. C'est comme le taux d'augmentation du litre d'essence : on ne peut pas dire que le prix de l'essence augmente plus vite que la vitesse de la lulmière (même si on en a l'impression... :)).)

  • 2 semaines plus tard...
Posté

Vous connaissez cette superbe simulation d'un voyage accéléré jusqu'à la vitesse de la lumière ? Ca date de 2008, je viens de la découvrir. Etonnant!

 

Le gars qui a fait ça est astrophysicien à l'Institut d'Astrophysique de Paris, Alain Riazuelo.

 

"87dtKdRz724" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash
Posté

J'ai deux questions relatives à cette vidéo.

Apparemment on s'éloigne du fond étoilé.

Pourquoi l'intensité lumineuse des étoiles augmente -elle ?

Pourquoi ne constate-t-on pas un rougissement de la lumière (redshift) ?

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