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la gravitation véritable force ou simplement


henri66

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(texte cité)

salut à tous :)

A)Bon' date=' je ne sais pas exactement à quelle théorie que tu te réfère luciole, mais peut-tu m' expliquer plus en détail ceci;

[b']B)[/b]Ce que je ne comprend pas (tous les centres de l' univers) :question:

C)Pour moi et pour ce qui est de ce que l’on appelle temps, non!

Tu as une drôle de vision des choses luciole ;)

D)Et je crois que ça ne sert à rien , de te parler de déformation spatiale de l' espace-temps , ou de la loi de çi et la théorie de ça ;)

E)Ce qui t' intéresse vraiment est ce genre de théorie (gravitons de spin zéro), qui entraîne un bouleversement considérable de la physique en général, de l'astrophysique et de la cosmologie en particulier.

Le genre de théorie qui montre qu'elle fait dépendre du temps les constantes de décroissance radioactive considérées implicitement comme des constantes universelles par la physique actuelle . ;)

F)Que pense -tu de la théorie des supers cordes :question: ton avis pourrais-être très intéressant ;)

amicalement

 

Salut albert einstein

 

Merci de ton intervention

 

A) Pour ce qui est de la théorie à laquelle je me réfère.

 

J’en ai déjà donné quelques explications, très succinctement, dans ce forum

 

Je sais très bien que mes explications vont en faire grincer des dents plus d’un.

 

Qu’ils se rassurent, je ne prétends nullement avoir raison, je cherche.

 

Par contre, après comparaisons avec tout ce que je peux lire je pense être sur une voie qui peut mener à la réalité.

 

C’est une théorie que j’essaie d’approfondir depuis 5 ans 1/2 (juillet 2000) à mes moments perdus, qui sont plus que rares et en recherchant surtout ses points faibles, d’où ma présence sur ce forum pour une contradiction..

 

Mais je l’élabore inconsciemment et consciemment depuis bien plus longtemps, peut-être depuis 1950 voire depuis ma naissance.

 

Il semble que, comme Obelix, je sois tombé dedans et que j’en sois resté imprégné suite à deux événements qui ont frappé mon esprit alors que j’étais encore tout jeune. (3 ans 8 mois et 9 ans) mais surtout grâce aux explications qui m’en ont été donné par mon père, sur le fait et aux commentaires qui les ont accompagnés.

 

C’était en 1933 et 1939

 

A cette époque cela m’a tellement frappé que mon esprit a toujours été en éveil sur les sujets de cosmologie, de nature, d’UNIVERS

 

Bien sur, à cet age, je n’associais absolument pas ces noms à ces événements.

 

En l’an 2000, par contre tout, ce que j’avais emmagasiné depuis, s’est révélé en moi dans un rêve, qui a perduré de long mois, et que j’ai pu consigner pratiquement immédiatement chaque fois.

 

Je vous rassure : à mon avis, ces rêves n’avaient pour moi, rien de prophétiques.

 

Ils m’ont semblés n’être que le résultat d’interactions entre toutes les informations que j’avais pu emmagasiner durant tout ce temps et de l’attention que je pouvais y prêter à ces moments là.

 

En effet, ces rêves ont commencés durant des vacances particulièrement cool dans un site remarquable, «RISOUL 1850» dans les alpes de Hautes Provence, lieu exceptionnel où j’ai eu tout le loisirs de pouvoir contempler les milliards d’étoiles qui scintillaient dans le ciel, magnifiquement pur, du Queyras.

 

L’analyse que j’ai faite de ce que j’ai consigné m’a paru répondre à quantités de questions que je me posais depuis longtemps sur l’UNIVERS et sur les théories à l’honneur actuellement (Théorie du Big Bang en particulier)

 

Pour condenser cette théorie voici quelques unes de ses particularités que j’ai déjà données en partie dans d’autres posts :

 

1)L’UNIVERS (Le tout) y est tout énergie.

 

2) Ondes, Matière, espace (éther), origine, force y sont tous des concepts dans le prolongement direct de l’énergie qui se présente à nous sous différents aspects.

 

3)Le temps n’y a aucune réalité malgré les apparences, je le remplace par «l’Origine» qui y est le concept ou toutes les interactions se déroulent, chacune d’elles n’ayant aucune durée.

 

Tout le reste n’y est qu’interactions, y compris le souvenir qui donne la sensation de passé ou l’à venir qui donne celle de futur.

 

Concept de temps que l’homme a inventé pour expliquer cette sensation de quelque chose qui passe et par nécessité d’organisation du travail.

 

4) La force de gravitation agit en poussée et non en attraction.

 

5) L’UNIVERS (Le tout) n’est pas en expansion, il est stationnaire.

Seul l’univers matière (La matière) est en expansion (En création).

 

6) La température de l’énergie primordiale (Qui perdure) est du «zéro absolu» et la température de l’univers matière va en croissant à chaque création d’éléments constitutifs.

 

7) L’énergie primordiale est d’un «noir absolu» (Le noir du ciel) et les ondes qui forment l’univers matière vont en croissant suivant le même principe que la température de l’univers matière.

 

8) La Structure de l’UNIVERS (De l’énergie primordiale) est géométrique elle s’apparente à la conjecture de Kepler.

 

Que te dire de plus sinon, bien sur, que cette théorie ne répond en rien à toutes celles mises en avant et sur les contradictions et les incertitudes desquelles je me suis basé pour la compléter.

 

B) Pour ce qui est de : (Tous les centres de l’UNIVERS)D’abord souviens toi bien de ce que je précisais en ce qui concerne le mot UNIVERS (En majuscule grasse), il caractérise «Le tout» à l’opposé de l’univers matière [/b](En minuscule grasse) qui ne comprend que les éléments que nous appelons la matière.

 

Donc l’UNIVERS c’est le tout, un tout qui n’a pas de limite et donc, dont le centre peut être considéré se trouver en tous ses points, partout, ce sont ces centres que je dis être : Tous les centres de l’UNIVERS

 

Mais attention c’est centres ne sont pas disposés n’importe comment.

 

Ils sont la structure géométrique de l’UNIVERS.

 

A mon avis, leur arrangement répond à la conjecture de Kepler à savoir, schématiquement, qu’ils occupent un minimum de place, qu’ils laissent un minimum de vide entre eux.

 

Si tu analyse cette structure comme je l’ai fait, tu y découvrira une foule d’informations intéressantes sur ce qu’à pu être la naissance de l’univers matière et la façon dont il peut évoluer de façon fractale..

 

C) Quant à la phrase « Pour moi et pour ce qui est de ce que l’on appelle temps, non »

 

Je ne faisais que répondre à la remarque d’universus

«Dire auparavant ou avant au lieu de passé... ce sont des synonymes».

 

Effectivement, dans le dictionnaire ces mots sont synonymes.

 

Par contre, dans mon explication, je considère le «avant» (Par exemples le 2) dans une suite d’interaction 1.2.3.4 comme une nécessité d’être pour que l’interaction suivante (La 3) ait lieue, alors que dans le temps, le passé est le résultat d’une action faite dans le présent et se situe donc après le présent.

 

Et, comme je l’ai déjà dit : Il ne peut pas y avoir de passé sans présent pour donner l’après et non l’avant.

 

Le passé n’est qu’un souvenir il ne prépare rien alors que l’avant prépare l’après

 

Je me suis donc mal exprimé j’aurai du dire «Pour moi et pour ce qui est des interactions, non»

 

D) Quant à « Et je crois que ça ne sert à rien, de te parler de déformation spatiale de l' espace-temps , ou de la loi de çi et la théorie de ça »

Effectivement puisque sans temps il ne peut pas y avoir d’espace temps

 

Par contre je m’intéresse aux autres théories puisque je me base sur elles pour étayer la mienne en me basant sur leurs flous, ou leurs contradictions.

 

E) Je ne pense pas pouvoir entraîner un bouleversement avec ma théorie.

 

Je ne fais qu’essayer de revenir en arrière pour prendre une autre voie à un aiguillage qui aurait pu faire dévier la science à un certain moment vers une voie de garage comme cela me semble être le cas pour le Big bang.

 

C’est le cas de la négation totale de l’éther qui a été faite sans avoir cherché à lui donner une autre signification.

 

Personnellement comme tu peux le lire plus haut, je donne une autre signification à l’éther je le considère comme étant un prolongement de l’énergie tel que, pour moi, le sont: les Ondes, la Matière, l’espace, l’origine, la force.

 

En fait, avec son tissu «Espace temps» la relativité me semble reprendre l’idée de support tel qu’était considéré l’éther au moment ou il a été décidé qu’il n’existait pas.

 

F) Pour ce qui est de la théorie des super cordes, j’avoue ne pas m’y être trop intéressé, non pas qu’elle ne soit pas intéressante mais parce que j’ai toujours pensé qu’elle compliquait encore plus la compréhension de l’UNIVERS

 

Très sommairement ses principaux points:

 

Les défenseurs et découvreurs de cette théorie souhaitent qu’elle devienne «La théorie du tout»

 

Pour cela ils remplacent les particules ponctuelles par des super cordes lesquels, seuls, peuvent vibrer

 

Il considère comme identiques les particules matérielles (Fermions, électrons) et les particules « vecteur de force (les bosons et les photons)

 

Pour moi je ne vois pas pourquoi remplacer les particules ponctuelles par des cordes sous prétexte qu’elles peuvent vibrer alors que les particules ponctuelles ne le peuvent pas et qu’en plus elles peuvent se fusionner

 

A cela je répondrais que ma théorie pourrait être aussi la théorie du tout:

 

1) Les particules ponctuelles (électrons), si on les considère comme des ondes stationnaires (Ondes la Frenière) vibrent aussi et se fusionnent pour donner d’autres éléments également sous forme d’ondes stationnaires mais de plus grande longueur d’onde comme je le précise.

 

2) Toutes les particules ne sont qu’une seule et même particule, une seule et même onde mais vue de façons différentes

 

3) Toutes les forces qui nous sont présentées comme s’étant séparées au moment du Big Bang ne sont, pour moi, qu’une seule et même force mais avec des valeurs différentes, résultat de la fusion des éléments formées au fur et à mesure des interactions entre ses éléments.

 

En fait, dans ma théorie, l’unification est de fait puisque tout est énergie, tout est ondes

 

D’autre part, comme ma théorie, la théorie des Super cordes semble ne pas être prouvée scientifiquement.

 

Amicalement

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SALUT À TOUS :)

 

Merci luciole pour ton texte :)

 

Intéressant :!:

 

Pour te répondre sur cette phrase;

 

A cela je répondrais que ma théorie pourrait être aussi la théorie du tout

 

Et c, est pour celà que je t' ai demander si tu la connaissais ;)

 

Effectivement , je trouve des similitudes entre les deux ;)

 

Bonne continuité ;)

 

amicalement

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ah la la....

je vais sembler rabat-joie, mais ici c'est plus de la philosophie que de la science

la différence, c'est que la science doit d'une part sauver au mieux les phénomènes, donc pouvoir donner des résultats quantitatifs ou qualitatifs, et finalement, on doit pouvoir tester expérimentalement une théorie, sinon elle n'a pas lieu d'être, ce n'est que verbiage.

 

LES (ben oui, c'est pas encore au point, ça évolue, c'est ça le science) théories des cordes sont des formalismes mathématiques précis, qui donnent donc lieu à des prévisions. Elles ont été crées entre autres car on a du mal à concilier relativité générale et mécanique quantique. Mais du moins, au stade où elles en sont, elles on beau avoir pas mal de problèmes elles continuent de sauver les phénomènes, et qui plus est, elles ont des conséquences que l'on pourrait expérimenter en acélérateur dans les 50 ans.

 

La théorie des universons est une fadaise (désolé de ce gros mot) car elle est en fait un copier-coller d'une théorie très vieille et montrée fausse : le principe du flux de particules isotrope fait qu'en effet deux planètes vont s'écranter l'une l'autre, et donc être "poussées" l'une par l'autre par la pression de ce flux d'universons. MAIS DES TROIS CORPS CA MARCHE PLUS !!!!!!!! ce bonhomme a réussi à rendre populaire une thérie vieille de plus d'un siècle et démontrée fausse... ça me débecte.

Bien sûr, il a réussi à la remettre au gout du jour, en mettant de ci de là les mots "quantique" et "relativiste". Mais dans son texte on voit qu'il ne maitrise même pas le calcul d'une collision relativiste à deux particules !

 

bon, c'était mon petit coup de gueule :

il y en a marre de voir des thèses philosophiques vouloir se faire passer pour des thèses scientifiques. Car la science moderne, c'est pas juste des mots, il faut pouvoir prévoir quelque chose avec. Ca implique malheureusement le passage par un formalisme mathématique lourd, qui rend la conversation avec le néophyte assez dure et sujette à bourdes à causes des doubles sens des mots du vocabumaire scientifique. Et c'est pour ça qu'il est très dur d'être bon vulgarisateur.

Je trouve ça vraiment très énervant que des gars profitent de cette difficulté pour faire passer des thèses fantaisistes (je parle de gouveneaux, Poher ...)

 

désolé si je m'emballe, mais ça fait du bien

 

edit : je précise : il est bien de se poser des questions sur le pourquoi des choses. Mais il ne faut pas vouloir remplacer de sthéories physiques qui donnent des chiffres et comportement justes par des théories vagues et sans véritable issue. Philo is good, philo is nécessaire, but philo is not science

 

hop : "tout est unifié, puisque tout est onde" . Des expériences précises que la nature des particules n'est ni onde, ni particule : elle a des propriétés "entre les deux". Onde car interférence, particule car quand on détecte un photon, on ne le détecte qu'en un endroit...

et même si toutes les interactions sont décrites par des "ondes-particules" (le physicien dit souvent particule, mais connait les limitations quantiques du terme), ce n'est pas là que réside l'unification

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(texte cité)

ah la la....

je vais sembler rabat-joie' date=' mais ici c'est plus de la philosophie que de la science

la différence, c'est que la science doit d'une part sauver au mieux les phénomènes, donc pouvoir donner des résultats quantitatifs ou qualitatifs, et finalement, on doit pouvoir tester expérimentalement une théorie, sinon elle n'a pas lieu d'être, ce n'est que verbiage.

LES (ben oui, c'est pas encore au point, ça évolue, c'est ça le science) théories des cordes sont des formalismes mathématiques précis, qui donnent donc lieu à des prévisions. Elles ont été crées entre autres car on a du mal à concilier relativité générale et mécanique quantique. Mais du moins, au stade où elles en sont, elles on beau avoir pas mal de problèmes elles continuent de sauver les phénomènes, et qui plus est, elles ont des conséquences que l'on pourrait expérimenter en acélérateur dans les 50 ans.

La théorie des universons est une fadaise (désolé de ce gros mot) car elle est en fait un copier-coller d'une

bon, c'était mon petit coup de gueule :

il y en a marre de voir des thèses philosophiques vouloir se faire passer pour des thèses scientifiques. Ca implique malheureusement le passage par un formalisme mathématique lourd, qui rend la conversation avec le néophyte assez dure et sujette à bourdes à causes des doubles sens des mots du vocabumaire scientifique.

edit : je précise : il est bien de se poser des questions sur le pourquoi des choses. Mais il ne faut pas vouloir remplacer de théories physiques qui donnent des chiffres et comportement justes par des théories vagues et sans véritable issue.

hop : "tout est unifié, puisque tout est onde" . Des expériences précises que la nature des particules n'est ni onde, ni particule : elle a des propriétés "entre les deux". Onde car interférence, particule car quand on détecte un photon, on ne le détecte qu'en un endroit...

[/quote']

 

 

Salut duschnock et les autres et merci, tout de même de tes commentaires.

 

A mon avis il n’y a vraiment pas de quoi s’énerver

 

Est-ce possible dirait Monsieur Jourdan « …………..Par ma foi! il y a plus de…. «Soixante quinze ans»… que je fais de la philosophie sans que j'en susse rien, et je te suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela……………….

 

Non ! Ni scientifique ni philosophe, tout au moins je ne le crois pas, la philosophie n’a jamais été mon fort au lycée.

 

Par contre, effectivement ma théorie n’a rien de scientifique non plus et j’ai toujours affirmé qu’il ne fallait pas rejeter les théories à l’honneur telle que le Big Bang, qui a fait, qui fait et fera encore longtemps avancer la science, même si elle n’est pas parfaite.

 

D’autre part, je ne pense pas qu’il soit interdit d’émettre d’autres hypothèses à la vue des flous, des nombreux flous, de cette théorie ou des nombreux faits jamais prouvés scientifiquement.

 

Pourquoi la théorie que je privilégie ne pourrait-elle pas donner, éventuellement, des résultats quantitatifs ou qualitatifs ou être testée expérimentalement?

 

Aussi je cherche

 

Bien sure, ce n’est qu’une hypothèse et je suis convaincu que tous les scientifiques sont amenés à faire de telles hypothèses avant d’étudier scientifiquement les faits qui se présentent à eux.

 

Par contre, et je ne suis pas le seul à le dire, que les expériences faites scientifiquement dénaturent très souvent les faits étudiés et donnent des résultats faussés.

 

Je pense, par exemple, que les faits observés lors des collisions de particules dans les grands anneaux ne traduisent pas une réalité mais cache cette réalité derrière des apparences de…..qui pourraient être des……..

 

D’autre part, je n’ai jamais parlé d’universons, je n’ai fait que répondre à une remarque pertinente d’universus.

 

Dans ma théorie il n’est pas question d’universons mais d’électrons sous forme d’ondes stationnaires (Onde de LaFrenière http://www.glafreniere.com/matiere.htm) qui se repoussent et fusionnent en même temps en certains points de déséquilibre.

 

Comment se forment ces points de déséquilibre?:

 

Imagines un mouvement de foule compact (Une immense foule à la taille de l'UNIVERS) ou les participants se poussant les uns les autres créent des points de déséquilibre là où certains se retrouvent écrasés les uns contre les autres par la poussée de tous les autres..

 

Dans le cas de ma théorie et aux points de déséquilibre, certains électrons reçoivent une poussé telle, de tout cotés ,qu’ils se fusionnent avec leurs voisins immédiats et donnent naissance à une onde de plus grande longueur d’onde, de plus grande portée, de moindre énergie)

 

Quant au formalisme mathématique lourd je pense justement qu’il est vraiment trop lourd et que dans un certain sens les mathématiciens ont tendance à se gargariser de formules mathématiques trop souvent incompréhensibles même et parfois par leurs confrères.

 

C’est exactement la même réflexion que je ferais aux philosophes qui se gargarisent de mots incompréhensibles s’apparentant plus à des formules juridiques

 

Quant à «Tout est unifié, puisque tout est ondes», j’aurais sans doute dû, effectivement, formuler cela différemment.

 

Pour moi, il n’y a pas de différences entre ondes et particules, tout est onde, tout est énergie.

 

L’apparence de particule est liée au fait que ces particules sont, en réalité des électrons (Ondes stationnaires de Lafrenière)

 

Dans ce cadre là et aux interactions qu’ils ont entre eux, toutes les forces en jeu:

 

• Électronucléaires,

• Électrofaibles,

• Faibles,

• Fortes

• Électromagnétiques.

. Gravitationnelles

 

ne sont qu’une seule et même force issue de l’énergie primordiale

 

J’ai déjà développé très souvent ce principe dans d’autres posts.

 

Elles ne se séparent pas comme le prévoit la théorie à l’honneur.

 

Elles sont toutes, une seule et même «Force de cohésion» au niveau des éléments ou elles s’appliquent.

 

Par contre, à ces niveaux, elles ont des valeurs différentes en rapport avec les valeurs de l’onde qui caractérise chacun de ces éléments.

 

C’est au niveau de ces forces que se situe l’unification.

 

Y a-t-il une preuve scientifique que ces forces sont différentes en dehors de leurs valeurs et de leurs effets apparents,

 

Jusqu’à ce jour personne n’a pu me donner des preuves de la séparation de ces forces

 

J’attends, depuis plusieurs mois, d’éventuels renseignements ou explications à ce sujet pour me convaincre du contraire.

 

Amicalement.

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Luciole, je tiens à dire que je suis parfaitement d'accord avec la raison de ta démarche. Chercher est le seul moyen de trouver; et réfléchir est le seul moyen de découvrir où chercher. ;)

 

Nous ne sommes pas arrivé au même concept mais ils sont assez près l'un de l'autre. Tu te sers d'une densité d'électrons et je me sers d'une densité de neutrinos au départ. L'autre nuance est que tu acceptes une "force" et que je n'en accepte aucune parce qu'elles ne sont pas nécessaires dans mon scénario et qu'elles sont surtout nuisible à l'apparition de l'univers. Éceuil qui n'existe pas pour toi puisque ton hypothèse de base est que l'univers a toujours existé.

 

Pour moi, l'énergie a toujours existé également sauf qu'elle a un début à sa manifestation qui est le Big bang.

 

J'ai bien apprécié la clarté de ton dernier message et, cette fois-çi malgré sa longueur. ;)

 

Bonne journée à toi et à tous.

 

Amicalement

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  • 2 semaines plus tard...

que pensez-vous de cette nouvelle théorie comme quoi la gravité n'existerait pas ,tout ne serait qu'électromagnétisme et la vitesse de la lumière serait relative!

 

d'après science et vie avril 2006.

 

 

@+

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(texte cité)

que pensez-vous de cette nouvelle théorie comme quoi la gravité n'existerait pas ' date='tout ne serait qu'électromagnétisme et la vitesse de la lumière serait relative!

 

d'après science et vie avril 2006.

@+

[/quote']

 

Salut henri66

 

A mon avis ces deux concepts : "Force électromagnétique" et "Force gravitationnelle" ne sont qu’une seule et même interaction.

 

Les électrons qui, pour moi, sont les plus petites parties du tout (De l’énergie, de l’UNIVERS, de l’Espace), se présentent sous forme d’ondes stationnaires de portée minimum, d’énergie maximum.

 

Ils occupent l’espace, tel que le prévoit la conjecture de Kepler, c'est-à-dire sans laisser aucun espace entre eux.

 

Ils se présentent comme une immense foule à la dimension de l’UNIVERS ou chacun des individus représente un électron qui vibre contre ses voisins immédiats qui font de même.

 

 

Cette vibration émise par chacun des électrons c’est ce que l’on peut appeler la «Force électromagnétique» (Celle de l’onde)

 

La réaction de l’ensemble des électrons qui entourent l’un quelconque d’entre eux s’additionne suivant 6 axes à la réaction de tous les autres et donne une force colossale que je nomme «Force gravitationnelle».

 

Au moindre déséquilibre, obligé, en un point de l’UNIVERS, sous les forces en jeu, il y a interaction entre ces différents électrons qui fusionnent entre eux pour donner les premier éléments.

 

La "force électromagnétique" ne varie pas (Nous la retrouvons dans chaque électron telle qu’elle était à l’origine)

 

Par contre la "force gravitationnelle", elle, varie, et nous la retrouvons avec une valeur différente à chaque niveau de formation des éléments fondamentaux : Proton, Neutrons, Atomes, Astres, Galaxies….etc.

 

Dans ces cas on la nomme force de cohésion de ces éléments où on la retrouve avec de moins en moins d’énergie et de longueur d’onde de plus en plus longue.

 

Pour ce qui est de l’expansion je te livre ce que j’ai exposé à de nombreuses reprises et d’après la théorie que je défends :

 

1) L’UNIVERS (Le tout) n’est pas en expansion il «est», , sans limite.

 

2) L’énergie, elle, est en contraction, sur elle-même, pour former les éléments fondamentaux de matière (Proton, Neutrons, Atomes, Astres, Galaxies…..).

 

3) Seule la matière semble en expansion du fait de sa contraction en certains points ce qui a pour effet de libérer des espaces de plus en plus larges entre ces différents points de contraction.

 

Amicalement

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  • 3 semaines plus tard...
L’énergie, elle, est en contraction, sur elle-même, pour former les éléments fondamentaux de matière

 

D'accord, nous appelons cela : accrétion d'énergie.

 

Seule la matière semble en expansion du fait de sa contraction en certains points ce qui a pour effet de libérer des espaces de plus en plus larges entre ces différents points de contraction.

 

Je suis d'accord que ce processus augmente les distances entre les agglomérations de matière; mais la base du raisonnement est erronné puisque si la matière est en expansion, elle ne peut pas se contracter. Donc la matière n'est pas en expansion, elle est peut-être en contraction, ce qui augmenterait la distance de l'espace qui se trouve sans matière. La logique ici est exacte; par contre, elle se heurte à celle des trous noirs. Parce que, éventuellement la matière en contraction devrait se transformer en trou noir ce qui aura comme résultat la fin de l'univers qui, selon toi n'a pas de fin ni de début. Gros problème! ;)

 

Amicalement

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(texte cité)

D'accord' date=' nous appelons cela : accrétion d'énergie.

Je suis d'accord que ce processus augmente les distances entre les agglomérations de matière; mais la base du raisonnement est erronné puisque si la matière est en expansion, elle ne peut pas se contracter. Donc la matière n'est pas en expansion, elle est peut-être en contraction, ce qui augmenterait la distance de l'espace qui se trouve sans matière. La logique ici est exacte; par contre, elle se heurte à celle des trous noirs. Parce que, éventuellement la matière en contraction devrait se transformer en trou noir ce qui aura comme résultat la fin de l'univers qui, selon toi n'a pas de fin ni de début. Gros problème! ;)

Amicalement

[/quote']

 

Salut élie l’artiste

 

Excuses moi mais, en me relisant maintenant, je me rend compte que je n’ai pas employé le bon terme en parlant de contraction de l’énergie j’aurais du m’expliquer autrement.

 

En effet il s’agit plutôt d’interférence.

 

Aussi je te donne quelques explications supplémentaires, plutôt idéalisées bien sûrs, et qui vont peut-être te paraître un peu longue mais que j’estime nécessaire.

 

Excuse moi mais il m’est difficile en effet de t’expliquer cela en quelques mots alors que, dans la réalité, il y en a plusieurs pages accompagnées de croquis.

 

Imagine, par exemple, l’énergie primordiale composée de parties.

 

Ces parties sont des électrons qui se présentent sous formes d’ondes stationnaires sphériques, tous de longueurs d’onde minimum et donc de fréquence maximum (D’énergie maximum)

 

Tous ces électrons sont, comme je l’explique, au corps à corps, tel que la conjecture de Kepler le prévoit (À savoir qu’ils laissent le minimum d’espace vide entre eux).

 

Ils rayonnent tous, autour d’eux, avec une énergie considérable.

 

Il en résulte un phénomène tel que l’on peut le rencontrer lorsqu’une immense foule rassemblée veut forcer un passage et que certain dans cette foule, plus faible, sont écrasés.

 

Au détail près que dans le cas de la foule il n’y a pas rayonnement comme dans le cas des électrons, mais poussée qui se fait dans un seul sens.

 

Par contre dans les deux cas il y a action et réaction.

 

Dans les deux cas des déséquilibres inévitables se produisent en différents points les plus faibles pour ce qui concerne la foule et au hasard pour ce qui concerne l’UNIVERS.

 

En effet, pour ce qui concerne l’UNIVERS et en particulier lors du premier rayonnement, chaque électron rayonne avec la même longueur d’onde et la même énergie en contact dans la direction des six autres électrons identiques qui l’entourent et se trouvent dans la même situation.

 

Tu peux faire un montage en prenant sept boules identiques et en entourant une avec les six autres qui y trouvent parfaitement leur place.

 

Tu peux aussi continuer en ajoutant d’autres boules au-delà, et tu constatera que chaque boule et le point de rencontre de trois lignes par lesquelles s’exercent les forces sur celle ci.

 

Personnellement je prends des boules de cotillons en papier, boules faciles à manier et à coller.

 

Bien sûr tu as une représentation en plan, mais rien ne t’empêche de continuer le montage en plaçant d’autres boules dans l’interstice laissé par les boules de la première couche au dessus ou au dessous.

 

Tu constateras que chaque boule est le point de rencontre de six lignes reparties autour d’elle dans l’espace.

 

Pour en revenir à l’UNIVERS et au cours des déséquilibres, certains électrons interférent par deux, trois, quatre voire plus.

 

Ces interférences donnent des éléments de plus grande longueur d’onde (Plus grande portée) de moindre fréquence (Moindre énergie) mais toujours composés des 2, 3, ou 4 électrons de dimensions précédentes, qui n’ont pas disparus et font partie intégrante de ces nouveaux éléments qui seront appelés : protons, neutrons, atomes, astres, galaxies……etc

 

Ainsi, au fils des interactions, des interférences, ces nouveaux éléments formés par des éléments de plus petite longueur d'onde et de plus grande énergie restent toujours en contact les uns avec les autres par la dernière onde formée.

 

Par contre les espaces laissés entre eux s’agrandissent, leurs diamètres ayant augmentés, ce qui donne une impression d’expansion de l’UNIVERS alors que ce n’est que l’univers matière qui est en formation, en expansion.

 

Ce processus se reproduit et donnent des éléments de plus en plus gros, de plus grande longueur d’onde, de moindre fréquence de moindre énergie.

 

Là, je donne, bien sûr, un processus idéal qui peut être différent en certains points de l’UNIVERS suivant les déséquilibres en jeu et compte tenu de l’entropie qui s’accentue et crée d’autres déséquilibres.

 

En fait la matière est composée d’ondes de plus ou moins grande longueur et de plus ou moins grande énergie les plus petites longueurs d’onde donnant cette impression de consistance parce qu’elle traverse le reste de la matière.

 

Si tu observes à l’œil nu une Galaxie tu as l’impression que c’est un bloc uniforme alors qu’elle est composée de milliard d’étoiles, de milliard de milliard… d’atomes…de milliard de milliard de milliard de particules élémentaires et d’un semblant de vide considérable.

 

Il en est de même à notre niveau: lorsque tu observes la matière, elle te semble un seul bloc et pourtant elle est composée de milliard de molécules, de milliard d’atomes, de milliard de milliard de particules élémentaires et d’un semblant de vide considérable.

 

Ces semblant de vides considérables ne sont pas vide du tout il recèle tous les rayonnements invisibles ou visibles émanant de tous les éléments successivement formés qui composent l’UNIVERS.

 

Il n’y a donc pas de possibilité de trous noirs car à un certain niveau de la formation de chaque élément le processus s’interromp pour entamer le développement d’autres éléments plus grands rassemblant tous les éléments précédents sans en transformer leurs caractéristiques.

 

Une particule élémentaire reste un particule élémentaire, un proton reste un proton, un atome reste un atome……etc quelque soit les niveau de l’élément qui les contient.

 

En effet si la force de cohésion d’un élément est assurée par l’interaction gravitationnelle qui varie suivant le niveau de l’élément elle l’est en réaction à la force du rayonnement des éléments qui le composent ce qui maintiens l’équilibre de cet élément.

 

Bien que, parfois des déséquilibres changent le cours des choses et peuvent faire exploser cet élément ou le faire se contracter au plus au point en ce que l’on nomme trou noir.

 

Ce processus, a mon avis, ne représente que quelques exceptions dans l’immensité sans limite de l’UNIVERS.

 

Ainsi l’UNIVERS n’en arrivera à aucune de ces fins possibles.

 

Par contre il pourra en arriver à un univers matière stationnaire maintenu en équilibre entre une force de cohésion et un rayonnement pratiquement inexistante mais de portée illimitée, représentant un ou quelques îlots perdus dans un océan de vide apparent.

 

Amicalement

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  • 4 semaines plus tard...

Primordial composé de plusieurs "parties" et un grand nombre de particules "élémentaires" sont pour mon neurone quelque chose d'assez "étrange" qui m'empèchent de réfléchir senséement.

 

D'un autre côté, une matière formée par "accrétion" de ququch me semble dans l'impossibilité de prendre de l'expansion; accrétion demandant un mnouvement de contraction. Alors, ...je ne sais pas???

 

Amicalement

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Primordial composé de plusieurs "parties" et un grand nombre de particules "élémentaires" sont pour mon neurone quelque chose d'assez "étrange" qui m'empèchent de réfléchir sensément.

D'un autre côté' date=' une matière formée par "accrétion" de quelque chose me semble dans l'impossibilité de prendre de l'expansion; accrétion demandant un mouvement de contraction. Alors, ...je ne sais pas???

Amicalement[/quote']

 

Salut élie l’artiste

 

J’ai déjà expliqué ce principe quelque part dans ce forum en prenant comme exemple une immense plage de sable fin représentant l’UNIVERS et chaque grain de sable représentant les centres de l’UNIVERS.

 

En effet ces parties, qui semblent te choquer, sont les différents centres possibles de l’ UNIVERS.

 

UNIVERS que j’imagine et suppose être sans limite.

 

Ces centres sont autant d’électrons (Onde stationnaires de Lafreniere )sans dimension, d’énergie maximum (Energie maximum due au contact de ces centres entre eux, rayonnant au corps à corps et dont les interactions s’additionnent pour donner l’énergie incommensurable de l’UNIVERS), et de longueur d’onde minimum.

 

La réaction au niveau de chaque électron je la nomme interaction gravitationnelle ou force de cohésion c’est la répulsion des électrons qui se repoussent entre eux et en viennent, à un moment de déséquilibre, à fusionner par 2, 3, 4…. pour donner des éléments différents, de plus grande longueur d’onde, de moindre énergie mais toujours en contact par rayonnement les uns avec les autres et conservant en eux les éléments précédemment composés.

 

En fait il n’y a pas d’accrétion il y a fusions et modifications, à chaque niveau, des valeurs dites «constantes» mais qui ne le sont qu’au niveau de chaque élément.

 

Un atome ne comporte t-il pas en lui : particules élémentaires, protons neutrons…..etc ?

 

Un astre ne comporte t il pas en lui : particules élémentaires, protons, neutrons, atomes…..etc ?

 

Une galaxie ne comporte t elle pas en elle tous les éléments tels que les particules élémentaires, les protons neutrons, atomes, astres..etc ?

 

Quant à l’expansion ce n’est pas celle de l’UNIVERS , lequel, «d’origine» est sans limite, c’est celle de l’univers matière , de la matière, qui se forme à partir de l’énergie puis des éléments créés par cette même énergie .

 

Ce processus se reproduit à différents niveaux pour former les différents éléments de l’UNIVERS, des particules élémentaires,aux hyper amas de galaxies en passant par les protons, neutrons, atomes, molécules, astres, galaxies…etc mais avec chaque fois une interaction gravitationnelle qui diminue d’énergie et augmente de longueur d’onde à chaque formation d’éléments, à chaque déséquilibre conséquent.

 

Difficile de donner en quelques mots une explication qui ne peut se comprendre que dans un tout comme l'UNIVERS qui est un tout!

 

Merci de ton intervention qui m'oblige à essayer de m'expliquer avec plus de concision, y suis je parvenu?

 

Amicalement.

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Peut-être, peut-être pas. :(

 

Les protons et neutrons ne sont pas des particules élémentaires. Autre problème plusieurs centres de l'univers m'est difficilement imaginable; par contre un point "première dimension" dont la métrique prend de l'expansion résulte en un univers où partout on se trouve au centre puisque tout tout cet univers est toujours le point initial expansionné.

 

D'un autre côté, les observations confirment que la matière est distribuée de façon filiforme dans l'univers; donc, il n'y a pas de particules élémentaires partout; elles sont "localisées et regroupées dans un "pattern" filiforme. Le problème est la nature du "vide" entre ces "fils"; et cette nature ne semble pas être "particulaire". :(

 

Amicalement

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Peut-être' date=' peut-être pas. :(

Les protons et neutrons ne sont pas des particules élémentaires. Autre problème plusieurs centres de l'univers m'est difficilement imaginable; par contre un point "première dimension" dont la métrique prend de l'expansion résulte en un univers où partout on se trouve au centre puisque tout tout cet univers est toujours le point initial expansionné.

D'un autre côté, les observations confirment que la matière est distribuée de façon filiforme dans l'univers; donc, il n'y a pas de particules élémentaires partout; elles sont "localisées et regroupées dans un "pattern" filiforme. Le problème est la nature du "vide" entre ces "fils"; et cette nature ne semble pas être "particulaire". :(

Amicalement[/quote']

 

Salut Elie l’artiste

 

Bien sur ! Je sais bien que protons et neutrons ne sont pas des particules élémentaires mais ils en sont composés.

 

De même les atomes sont composés des ces protons et neutrons donc également des particules élémentaires qui les composent.

 

Et puis encore : les molécules sont composés d’atomes, eux mêmes composés de protons et neutrons, eux même encore, composés de particules élémentaires.

 

Et ainsi de suite jusqu’aux plus grandes structures existantes : hyper amas d’amas d’amas…….. qui sont composés de toutes les structures qui les ont précédées dont : les……….. les astres, les molécules les atomes, les protons et neutrons les particules élémentaires.

 

Je ne vois pas ou est le problème des centres dans un UNIVERS sans limite (Pour ne pas dire infini).

 

Chaque point de cet UNIVERS peut en être le centre.

 

Quant à « …par contre un point "première dimension" dont la métrique prend de l'expansion résulte en un univers où partout on se trouve au centre puisque tout cet univers est toujours le point initial expansionné ». je ne vois pas ce que tu entend par là.

 

Pour ce qui est de la matière distribuée de façon filiforme cela colle très bien avec mon approche de la répartition de la matière dans l’UNIVERS.

 

A mon avis, il ne faut pas oublier que, suivant ma théorie, l’UNIVERS n’était, d’origine, qu’énergie sous forme d’électrons (Ondes stationnaire de Lafrenière) ou particules élémentaires telles que je les conçois.

 

Cela étant, cela reste et sert de support à tout ce qui suit.

 

Et tout ce qui suit s’appuyant sur tout ce qui précède et qui demeure tel.

 

Chaque interaction peut être représentée par un calque, tous les calques fusionnés donnent l’aspect du moment mais chacun des calques reste tel qu’initialement.

 

Dans un gâteau: la farine, le lait, le sucre ou autre élément, le tout mélangé (fusionné) restent chacun ce qu’ils sont mais sous l’apparence du gâteau.

 

L’image de l’UNIVERS à l’origine est cachée au fin fond de l’UNIVERS d’aujourd’hui.

 

D’autre part, tu dis que le vide n’est pas particulaire !

 

Pour moi cela n’est pas si sûr dans la mesure où ces particules sont les électrons de l’UNIVERS primordial, électrons invisibles à nos yeux et à nos tests auxquels ils sont insensibles de part leur énergie colossale et leur infinie petitesse.

 

Ils font partie du gâteau, qu’est l’UNIVERS ou du bloc de bois ou de pierre du sculpteur.

 

Voir ma nouvelle signature et mon avatar qui le précisent :

 

Amicalement

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D'accord; si tout ça est invisible et indécelable dans les expériences' date=' que dire de plus?

Amicalement[/quote']

 

Salut élie l’artiste

 

Excuses moi de revenir sur ton commentaire qui m’apparaît plutôt comme de l’insatisfaction.

 

En me relisant je me rends compte que je réponds mal à ta question ou plutôt que je n’y réponds pas complètement.

 

Il me semble te donner l’impression de me défiler en avançant une réponse qui coupe court à toute discussion.

 

J’aurais peut-être dû ajouter, mais tu aurai pu le lire dans plusieurs autres de mes posts, que ces électrons (Ondes stationnaires) qui composent l’UNIVERS primordial ont une longueur d’onde, donc une portée nulle d'un noir intense.

 

Il ne peuvent donc pas parvenir à nos sens quelques soient les moyens que nous employons pour les observer si ce n'est par le noir intense de l'espace dans lequel nous sommes qui se traduit par le noir du ciel (Le vide apparent).

 

Après, dés la première interaction entre eux, ils deviennent éléments de matière, éléments de matière, dont les longueur d'onde évoluent, à chaque niveau des nouveaux éléments formés, en suivant l'echelle du spectre électromagnétique.

 

Ces éléments de matière peuvent, effectivement, se retrouver dans ce que tu appelle: un "pattern" filiforme et comporter en eux ces electrons.

 

Ils sont les parties de l’énergie qui est en place d’origine

 

Cette énergie est aussi, dans sa continuité : l’UNIVERS (Le tout), l’origine (Le seul concept de temps qui existe), l’éther (Lesupport de tout), l’Onde (Qui la transporte), la Matière qui la concrétise), l’espace (Etendue sans limite), la force qui permet l’interaction.

 

Tous ces noms : UNIVERS, origine, éther, onde, matière, espace, force, interaction sont synonymes d’ « énergie »

 

Ils sont l’énergie, transformée sous des apparences différentes.

 

Amicalement

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...ont une longueur d’onde, donc une portée nulle ...

 

Je ne parviens pas à visualiser une longueur d'onde ayant une portée nulle...à moins que cette longueur soit nulle et dans ce cas, il ne reste que la fréquence; je pense...

 

Amicalement

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Ok, comme tu voudras.

 

E^2 = p^2 m^2 + m^2 c^4

 

où, dans le cas d'une onde, p = hf/v

 

où p est la quantité de mouvement, h la constante de Planck, f la fréquence de l'onde et v sa célérité. Dans le cas d'une onde électromagnétique, v = c.

 

Maintenant, on peut voir que : λ = v/f

λ est la longueur d'onde. Alors :

p = h/λ

Si la longueur d'onde tend vers 0, p tend vers l'infini et par conséquent l'énergie E aussi.

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Explique moi ça et essaie d'y insérer la fréquence.

Amicalement

 

Salut élie l’artiste et universus

 

Merci de vos post

 

Oui' date=' bien sûr ! Je l’ai déjà expliqué dans d’autres posts, l’énergie de l’onde stationnaire d’une particule élémentaire (électron) et maximun soit [b']infinie[/b].

 

Elle n’est telle, que dans la mesure ou cette particule élémentaire est associée à l’ensemble des particules élémentaires qui sont les parties du tout.

 

Parties du tout qui correspondent à ce que pourraient être les différents centres possibles de l’UNIVERS.

 

Prise individuellement, à l’écart des autres particules élémentaires qui forment le tout, chaque particule n’aurait aucune réalité (Il est donc impossible de les concevoir telles).

 

Chaque particule n’est réalité, qu’associer au tout dont elle est partie, tout composé de toutes les autres particules élémentaires avec lequel elle est en interaction.

 

Je le répète il faut comparer cela à une foule sans limite, au corps à corps (C’est la condition «siné qua non»), où la pression que chacun reçoit (Pression infini) est le résultat de la pression de chacun sur l’ensemble des autres (Action, réaction)

 

Cette pression c’est celle de ce concept qui a été nommé force gravitationnelle (force de cohésion) et quoi de plus cohésif que l’univers d’origine, le tout, celui dans lequel nous sommes.

 

En fait, il semble que chaque particule réagit contre le tout dont elle fait partie et qui l’enserre alors que c’est du fait qu’elle fait partie de ce tout qu’elle tient son énergie colossale (Action réaction).

 

J’ajoute, ce que j’ai aussi déjà précisé, que la température qui règne à l’origine est du zéro absolu, que dés le premier déséquilibre, dés la première interaction la température de l’univers matière augmente en même temps que le mouvement des particules s’intensifie

 

Le temps n’ayant aucune réalité pour moi, la fréquence n’en a pas non plus en tant que nombre de longueur d’onde dans un temps donné.

 

La longueur d’une onde suffit à comprendre l’énergie qui l’anime et vous le dites vous-même mais avec l’idée de temps.

 

Plus la longueur d’onde est courte plus l’énergie y est concentrée, plus elle est longue plus elle se dissipe.(Il y aurait beaucoup à développer sur ce sujet, plus l’émetteur est petit, plus la longueur d’onde est courte, plus l’émetteur est grand plus la longueur d’onde est grande)

 

La longueur de l’Onde gravitationnelle (Onde que moi j’appelle «Force de cohésion») augmente en rapport avec les éléments fondamentaux formés.

 

La longueur d’onde de l’onde gravitationnelle qui régit notre environnement à plus ou moins grande distance (Peut être galaxie, peut être amas de galaxie ou plus) a une plus grande longueur d’onde que l’onde gravitationnelle (La force de cohésion) qui régit un "astre" ou encore plus grande que celle qui régit un "atome" voire un "proton".

 

Elle est, par contre, plus petite que celle qui régit les hyper amas d’amas d’amas…….. ou qui formeront les derniers plus grands éléments fondamentaux de l’univers matière avant que le tout ne semble se stabiliser incapable, par manque d’énergie de rassembler la totalité de l’univers matière en un seul ensemble entouré d’un semblant de vide insondable.

 

En fait l’onde gravitationnelle devient de plus en plus faible et n’arrive plus, semble t il, à rassembler les derniers éléments fondamentaux encore séparés par les distances colossales, un semblant de vide rempli d’ondes d’une longueur incommensurable mais sans énergie.

 

Amicalement

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Universus, selon la formule: E^2 = p^2 m^2 + m^2 c^4

si on parle d'onde, selon toi, on devrait écrire: E^2 = (hj/v)^2 m^2 + m^2 c^4 puisque p = hf/v

 

Et comme v=c on peut écrire: E^2 = (hj/c)^2 m^2 + m^2 c^4

 

Alors :

 

p = h/λ

 

Donc, selon la formule originale: E^2 = p^2 m^2 + m^2 c^4

on peut maintenant écrire: E^2 = (h/λ )^2 m^2 + m^2 c^4

 

Résultat: h/λ=hf/c

 

Autrement dit: la constante de Planck divisée par la longueur d'onde est égales à la constante de Planck multipliée par la fréquence divisé par sa vitesse; si la longueur d'onde est de zéro on obtient alors: h=hf/c donc:

 

la constante de planck est égale à la constante de Planck multipliée par la fréquence divisée par la vitesse.

 

Très logique en effet. ;)

 

Luciole:

J’ajoute, ce que j’ai aussi déjà précisé, que la température qui règne à l’origine est du zéro absolu,

Pour obtenir le zéro absolu, il faut éliminer tout mouvement ce qui élimine l'espace et le temps; donc aucune possibilité de l'état "univers matière". Conséquemment, il y a un début quelque part d'une particule fondamentale.

Amicalement

 

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Je comprends mieux à présent pourquoi tu favorises une approche sans mathématiques (peut-être aurais-tu dû rester en classe de math quand l'enseignant a expliquer ceci).

 

x = a/b.

 

b a des chances d'être un nombre non entier, soit possiblement fractionnaire. Si b < 1, alors il est certain qu'il n'est pas entier (sauf le cas que b = 0, ce qui est rarement vu dans le cas qui précède). Donc, disons que b est un nombre fractionnaire, de sorte que :

 

b = c/d

 

Donc,

 

x = a/(c/d)

 

Mais, il y a une fraction dans cette fraction... que faire. Eh bien, il est équivalent de dire que :

 

x = a * (d/c)

 

Donc,

 

x = ad/c

 

Revenons à nos moutons.

 

Résultat: h/λ=hf/c

 

Donc, si on élimine les h :

 

1/ λ = f/c

 

Par produits croisés :

 

1*c = λf

c = λf

c/f = λ

 

Par conséquent, si λ = 0, c/f = 0. c est une constante, donc f varie. Comment? Bien, f devrait être égale à infini. Donc :

 

si la longueur d'onde est de zéro on obtient alors: h=hf/c

 

Non, si la longueur d'onde est nulle, h/λ est infini (mais il est rare de voir x/0, donc, on dit que lorsque le dénominateur tend vers zéro, la fraction tend vers l'infini, ce qui est déductif en utilisant toute bonne calculatrice).

 

Cela a-t-il plus de sens comme ça? Est-ce plus logique?

 

Universus

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Luciole:

Pour obtenir le zéro absolu' date=' il faut éliminer tout mouvement ce qui élimine l'espace et le temps; donc aucune possibilité de l'état "univers matière". Conséquemment, il y a un début quelque part d'une particule fondamentale. [/font']

 

Amicalement

 

Salut élie l’artiste.

 

J’avais également expliqué cela dans un autre post mais j’approfondi, un peu ma pensée :

 

Avant que les premiers éléments constitutifs de l’univers matière n’apparaissent il n’y a justement aucun mouvement et c’est bien pour cela que le zéro absolu règne et que tout est d’un noir intense..

 

Cela n’empêche pas qu’il y a, depuis toujours et pour toujours, cette énergie primordiale qui règne aussi, mais avec, au sein de chaque électron, une longueur d’onde nulle et donc une énergie infinie.

 

L’UNIVERS n’est qu’énergie, énergie qui ne peut exister que par l’arrangement à l’infini et dans tous les sens, des électrons, ondes sphériques stationnaires, arrangement répondant à la conjecture de Kepler à savoir l’arrangement laissant le moins de vide possible entre eux.

 

A ce niveau d’évolution, il n’existe encore aucune particule élémentaire pouvant être désignée élément fondamental de la matière, il n’y a que de l’énergie, les électrons sont énergie et uniquement énergie. (1)

 

Par contre, dés que le premier déséquilibre se produit, amorçant un mouvement sous la pression colossale de tous les électrons serrés les uns contre les autres, ces mêmes électrons deviennent de véritables particules élémentaires :

 

Ce premier mouvement élève la température d’un cran et donne naissance à une onde de longueur d’onde apparente que l’on peut dire être la première onde du spectre électromagnétique.

 

Cette onde est dotée d’une énergie colossale, bien au-delà du rayonnement gamma, capable de lui faire traverser, sans être arrêté, tous les éléments fondamentaux créés par la suite.

 

Le premier élément fondamental de l’univers matière est né.

 

(1) A ce niveau il faut que tu t’imagines bien la situation exacte :

 

Ces électrons ont un diamètre nul, une longueur d’onde nulle, une énergie infinie

 

L’arrangement de tous ces électrons suivant la conjecture de Kepler donne un UNIVERS, doté d’une énergie infinie, mais par contre, paradoxe, il est à la fois d’apparence infiniment grand et infiniment petit.

 

Infiniment grand, en réalité, parce qu’il est le tout sans limite.

 

Infiniment petit, mathématiquement, parce que la somme de ces parties (Les électrons) est nulle.

 

Par contre dés le premier déséquilibre chacune de ses parties prend une dimension, si petite soit elle, donnant à l’UNIVERS sa dimension réelle, sans limite.

 

Amicalement.

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il est à la fois d’apparence infiniment grand et infiniment petit...ont un diamètre nul, une longueur d’onde nulle,

 

Encore une fois, le zéro est l'infini. Il ne s'agit que d'accepter l'infiniment grand comme étant de diamètre nul et de longueur nulle. C'est simple.

;)

 

Amicalement

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Ça dépend que la situation.

 

Mais ici, 1/x n'est pas égale à 0, où x est environ égale à 0. 1/x est environ égale à infini ( si ça a un sens... plutôt, tend vers l'infini de plus en plus que x se rapproche de 0)

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Comme tu dis, ça n'a pas de sens.

 

À présent, ne m'attendant plus à ce que tu comprennes des calculs aussi simple que secondaire 3, je pense pas que parler des mathématiques de la relativité générale, de la mécanique quantique et des avancées récentes soit de ton utilité.

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