Aller au contenu

Messages recommandés

Posté (modifié)

Laissons le troisième degré aux matheux, aux grands brulés et aux cousines (Benoît de Macadamia, La route est longue, 1961)

Modifié par Estonius
j'avais oublié un bout
  • Réponses 84
  • Créé
  • Dernière réponse

Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté (modifié)

Eh, c'est vrai qu'on parle de second degré pour les polynômes en x^2, alors qu'il peut y avoir un troisième degré, un quatrième, un n-ème avec n quelconque... Encore un cas où second n'est pas associé à seulement deux.

 

JiBé : d'un côté l'inspecteur agrégé, de l'autre l'Académie française, pas évident de choisir...

Modifié par 'Bruno
Posté

Il ne serait pas si vieux et rangé des bagnoles, je le secouerais bien pour creuser le sujet, mais là … En plus, avec un peu de veine, il a un début d'ataxie alors là, c'est la fin des zariko … :D:D

Posté
Il me semble qu'il y a des exceptions. Mais ce sont des exceptions précises' date=' recensées. J'avais déjà lu ça quelque part, mais je ne me souviens plus des exceptions.

 

(Par exemple les vitesses dans une voiture : la première, la seconde, la troisième, la quatrième... Je ne sais pas si c'est une des exceptions recensées ou une faute de français, mais c'est le seul cas qui m'est venu à l'esprit.)

 

------------

Ah, ben j'ai trouvé ça : http://www.academie-francaise.fr/langue/questions.html#deuxieme

 

Apparemment on a tout faux (si on croit que second est réservé au cas où il n'y en a que deux)...[/quote']

 

C'est exact. Contrairement à ce que j'ai dit au début, il y a des tas de cas où on emploie "second(e)" même s'il y a une suite : classe de seconde, second étage, secondes noces... :confused:

Posté

De toute façon, je dis et parle comme qu'est ce que je veux, et c'est qu'est ce que je fais ! :mad:

De plus il est reconnu mondialement que ma mauvaise foi est incommensurable !:be::be:

Moi je me base sur les dires de mon Larousse, et autres dictionnaires, encyclopédies etc.

 

Maintenant, si on veut chercher la petite bête...

 

Mais M'Sieur Jibé, demain je te montrerai cet ouvrage, et à moins d'être encore plus de mauvaise foi que moi, (ce qui me paraît improbable, voir impossible) tu devras te rendre à l'évidence, "généralement" ouvre la porte à un choix, ceci ou cela mais généralement c'est ceci !:p:p

Posté
C'est exact. Contrairement à ce que j'ai dit au début, il y a des tas de cas où on emploie "second(e)" même s'il y a une suite : classe de seconde, second étage, secondes noces... :confused:

 

Va, je ne te hais point !!! ;)

Posté (modifié)

Hors d'ici, tout à l'heure … face de salopiot !!!!!!!!! :be::be:

 

il y a des tas de cas où on emploie "second(e)" même s'il y a une suite : classe de seconde, second étage, secondes noces...

Je me demande si, comme disait Corneille (le roi du croa) , il n'y aurait pas une différence de Racine (;))

Modifié par JiBé
Posté

Plus sérieusement, le fil a progressivement glissé vers les synonymes de “second”. Le message qui a débuté la conversation parlait de “second” dans le sens élément d'une numération. Nous en sommes loin.

Je maintiens qu'en cette acceptation, le mot “second” clos la liste. :)

 

Ce qui ne m'empêchera pas, bien sûr, de me venger demain grâce à Titi. ;);)

Posté (modifié)

Voilà ce qu'en dit l'Académie Française !!

 

"Deuxième, second

 

Longtemps, second a été la forme la plus courante, et certains grammairiens prétendaient réserver l’usage de deuxième aux cas où la série comprenait plus de deux éléments ; lorsque l’emploi de second s’est fait plus rare, on a voulu le réduire aux cas où la série ne comprend que deux éléments. Littré, déjà, contestait cette distinction qui jamais ne s’est imposée dans l’usage, même chez les meilleurs auteurs.

 

L’unique différence d’emploi effective entre deuxième et second est que second appartient aujourd’hui à la langue soignée, et que seul deuxième entre dans la formation des ordinaux complexes (vingt-deuxième, etc.)."

 

Donc voilà, difficile d'aller contre cette institution !

 

Être marié en seconde noce, n'empêche nullement de se marier une troisième fois !

Et le sujet de ce post n'est pas de savoir si on dit second ou deuxième, mais d'essayer de définir une échelle des degrés d'humour !

Quant à Titi, fait gaffe, j'ai deux félins plus gros que lui !

Modifié par Hilarion04
Posté (modifié)

Voici quelques extraits littéraires, qui vont dans mon sens, et dont on peut difficilement accuser les auteurs d'être de mauvais écrivains. (http://langue-fr.net/spip.php?article82)

(parmi les auteurs, des académiciens français et Goncourt... et Gide, qui refusa d’être de l’Académie, mais fut prix Nobel de littérature !)

 

M. Arnauld, à quatre-vingts ans, soutint magnifiquement les quatre thèses voulues : la première appelée Sorbonnique ; la seconde dite Mineure ordinaire ; la troisième, Majeure ordinaire ; et la quatrième et dernière, appelée l’acte de Vesperies... (Sainte-Beuve, Port-Royal, t. 2, 1842, p. 18).

 

À ce second orateur, un troisième succéda, qui remercia les deux autres d’avoir si bien tracé ce qu’il appela la théorie de leur programme (Gide, Faux-monn., 1925, p. 1210)

 

Je traverse deux pièces dont la seconde assez vaste, et me trouve dans une troisième plus vaste encore (Gide, Journal, 1925, p. 85)

 

Sidonie riait de tout son cœur, heureuse d’être descendue des troisièmes ou des secondes, ses places d’autrefois, à ces belles avant-scènes ornées de glaces (A. Daudet, Fromont jeune, 1874, p. 102)

 

Un camarade s’engagea, puis un second, puis un troisième (Saint-Exup[éry]., Terre [des] hommes, 1939, p. 249):god:

 

Nous passions devant des portes où était inscrit : quatrième, troisième, second bureau (Vercel, Cap. Conan, 1934, p. 96)

 

Moi, la seconde personne de la Trinité, et le Père sur ses deux pieds en la personne de son Fils (Claudel, Visages radieux, 1947, p. 788):god::god:

 

La Constitution nomme Premier Consul le citoyen Bonaparte ; second Consul le citoyen Cambacérès ; et troisième Consul, le citoyen Lebrun (Constitution de l’an VIII, 1799 ds Doc. hist. contemp., p. 94) ;

 

Papa prit des billets de troisième classe. Sur les lignes régionales du Craonnais, nous montions en seconde, mais ici nous n’avions pas à craindre la rencontre de relations mondaines, que cette économie eût étonnées (H. Bazin, Vipère [au poing], 1948, p. 220).:god::god::god:

 

Donc revenons à nos moutons si vous le voulez bien : les degrés ! ;)

Modifié par Hilarion04
Posté
Voici quelques extraits littéraires, qui vont dans mon sens, et dont on peut difficilement accuser les auteurs d'être de mauvais écrivains. (http://langue-fr.net/spip.php?article82)

(parmi les auteurs, des académiciens français et Goncourt... et Gide, qui refusa d’être de l’Académie, mais fut prix Nobel de littérature !)

 

M. Arnauld, à quatre-vingts ans, soutint magnifiquement les quatre thèses voulues : la première appelée Sorbonnique ; la seconde dite Mineure ordinaire ; la troisième, Majeure ordinaire ; et la quatrième et dernière, appelée l’acte de Vesperies... (Sainte-Beuve, Port-Royal, t. 2, 1842, p. 18).

 

À ce second orateur, un troisième succéda, qui remercia les deux autres d’avoir si bien tracé ce qu’il appela la théorie de leur programme (Gide, Faux-monn., 1925, p. 1210)

 

Je traverse deux pièces dont la seconde assez vaste, et me trouve dans une troisième plus vaste encore (Gide, Journal, 1925, p. 85)

 

Sidonie riait de tout son cœur, heureuse d’être descendue des troisièmes ou des secondes, ses places d’autrefois, à ces belles avant-scènes ornées de glaces (A. Daudet, Fromont jeune, 1874, p. 102)

 

Un camarade s’engagea, puis un second, puis un troisième (Saint-Exup[éry]., Terre [des] hommes, 1939, p. 249):god:

 

Nous passions devant des portes où était inscrit : quatrième, troisième, second bureau (Vercel, Cap. Conan, 1934, p. 96)

 

Moi, la seconde personne de la Trinité, et le Père sur ses deux pieds en la personne de son Fils (Claudel, Visages radieux, 1947, p. 788):god::god:

 

La Constitution nomme Premier Consul le citoyen Bonaparte ; second Consul le citoyen Cambacérès ; et troisième Consul, le citoyen Lebrun (Constitution de l’an VIII, 1799 ds Doc. hist. contemp., p. 94) ;

 

Papa prit des billets de troisième classe. Sur les lignes régionales du Craonnais, nous montions en seconde, mais ici nous n’avions pas à craindre la rencontre de relations mondaines, que cette économie eût étonnées (H. Bazin, Vipère [au poing], 1948, p. 220).:god::god::god:

 

Donc revenons à nos moutons si vous le voulez bien : les degrés ! ;)

Ah...une seconde, veux-tu...?! :D

Posté

De toute manière, si cela vient d'une autorité reconnue comme l'A.F., il n'y a rien à dire.

Ce sont ces gens qui établissent les règles, donc … :)

Posté (modifié)

Ben oui, et alors ? Quoi de plus normal ? Quand l'autorité édicte une règle, tout le monde l'accepte et puis c'est tout (ou alors c'est l'anarchie). Jusqu'à ce qu'on me prouve que j'ai tort, j'estime avoir raison si je connais le sujet. Et si j'avais demandé à mon oncle, il m'aurait sans doute sorti ce texte !!!!! :)

En terme de langage, les dires l'A.F. on force de loi, et moi, devant la loi, je m'incline. :):)

En plus, je n'ai que mon certificat d'études. Mon savoir vient essentiellement de mes lectures (quand je pouvais lire) et de mes fréquentations. :):)

 

Hilarion04, prépare-toi, Titi arrive pour te croquer !!!!!!!!!! :be::be::be:

Modifié par JiBé
Posté

De toute façon les amis, seuls les imbéciles ne changent pas d'avis !

Moi même JiBé, tu connais mon cursus scolaire, il m'aura fallut quelques heures pour prouver que je n'avais pas tord !

Je n'ai pas usé très longtemps mes culottes sur le banc des écoles, et j'étais plutôt occupé à regarder par la fenêtre les petits oiseaux. Chacun sa vie.

Tout comme toi, c'est la vie et les livres, qui m'ont apprit à vivre !

Posté (modifié)

Tort avec un ‘t’

Appris avec un ‘s’

 

Non mais oh !!!!! :be::be:

 

Et puis, j'ai plein de bonnes nouvelles pour le cawa dans 5mn !!!!!!!!!

S'agissant de tes culottes, Titi vient s'en okuper :)

Modifié par JiBé
Posté
Tort avec un ‘t’

Appris avec un ‘s’

 

Non mais oh !!!!! :be::be:

 

Et puis, j'ai plein de bonnes nouvelles pour le cawa dans 5mn !!!!!!!!!

S'agissant de tes culottes, Titi vient s'en okuper :)

 

Deux "k" à "okuper, s'il te plaît ! :be:

Posté

Damned, ventre Saint Gris, par Toutatis et Bénélos réunis, corne-bidouille je me suis fourvoyé !! Je suis maudit !

Moi j'écris tord avec un D, car je suis torDu !

 

Voilà et pi c'est tout !

Invité Julie Charland
Posté

Il me fait bien rire ce poste:D

Posté

Allez, je m'y colle.

Le 1er degré, c'est le degré d'une phrase où la juxtaposition des mots donne un sens qui est lié au sens réel des mots employés.

 

Le second degré, c'est pour tourner en dérision quelque chose qui ne doit pas être pris au 1er degré. Comme le dit 'Bruno, il faut que ce 2nd degré soit clairement identifié pour que l'aspect humoristique apparaisse. le soucis, c'est que dans un groupe, le second degré permet de tourner en dérision non seulement le sujet de la phrase, mais également ceux qui n'ont pas clairement identifié que c'était du 2nd degré.

 

Les 3 ou 4ème degré s'emploient en général ensemble, on fait difficilement la distinction entre les deux. On classe dans ce niveau-là les phrases au delà du second degré, c'est à dire, à mon sens, les phrases qui, même prisent au second degré n'ont rien de comique.

 

Ensuite, il y a un flou assez grand qui est lié à l'appréciation de l'auditeur, et à sa compréhension, également...

 

On saute en général ensuite au 15ème (et pour moi, dernier) degré d'une phrase: ce sont en général les phrases qui ne sont drôles ni au 1er ni au 2ème degrés, mais qui en plus véhiculent un contenu/message assez malsain que l'auteur pense par devers lui au 1er degré mais qu'il essaie de faire faire passer sous couvert d'humour.

C'est ce genre de message que la modération a ici généralement du mal à sanctionner, vu que l'auteur peut affirmer que c'était du second degré, même si personne n'est dupe.

On en trouve de beaux exemples dès qu'il y a par exemple des propos machistes...

 

 

Néanmoins, il faut faire très attention, car il est difficile de distinguer le 1er du 2nd degré chez les personnes qui ont trop tendance à s'exprimer au 2nd degré. On a là, en général, des personnes subtiles et cultivées qui ont tendance à énerver facilement les gens qui le sont moins (Jeff Hawke est pour moi dans cette catégorie).

 

Cette dernière catégorie a d'ailleurs souvent tendance à sauter à pied joint le 2nd degré pour être perçu au 3 ou 4ème degré, voire même au 15ème.

 

Une personne pratiquant le 3 ou 4ème degré de façon récurrente est peu intéressante et sa conversation est insipide, voire pesante.

 

Une personne pratiquant usuellement le 15ème degré est à éviter, sauf si l'on partage ses idées malsaines: le 15ème degré étant parfois subtilement employé afin de sonder les opinions et flatter les pensées inavouables que l'on peut parfois avoir.

Exemple: "un bon arabe est un arabe mort" peut être perçu comme du 1er degré, du second degré, du 3 ou 4ème degré ou du 15ème degré suivant les idéaux de la personne qui le prononce et ceux de la personne qui l'entend).

 

 

 

Vous me suivez? :be:

Posté
Quand l'autorité édicte une règle, tout le monde l'accepte et puis c'est tout (ou alors c'est l'anarchie).

 

Froid dans le dos quand je lis ce genre de choses !

Posté
Froid dans le dos quand je lis ce genre de choses !

 

Ben pourquoi ??

 

Comment faites-vous quand le législateur promulgue une nouvelle loi ??

 

Perso, quand la loi prévoit qu'à un Stop, je dois m'arrêter, je m'arrête. Pas vous ?? :?::?:

 

Vous vivez dans un monde où il n'y a pas de règles ?? :?::?:

Posté
Allez, je m'y colle.

Le 1er degré, c'est le degré d'une phrase où la juxtaposition des mots donne un sens qui est lié au sens réel des mots employés.

 

Le second degré, c'est pour tourner en dérision quelque chose qui ne doit pas être pris au 1er degré. Comme le dit 'Bruno, il faut que ce 2nd degré soit clairement identifié pour que l'aspect humoristique apparaisse. le soucis, c'est que dans un groupe, le second degré permet de tourner en dérision non seulement le sujet de la phrase, mais également ceux qui n'ont pas clairement identifié que c'était du 2nd degré.

 

Les 3 ou 4ème degré s'emploient en général ensemble, on fait difficilement la distinction entre les deux. On classe dans ce niveau-là les phrases au delà du second degré, c'est à dire, à mon sens, les phrases qui, même prisent au second degré n'ont rien de comique.

 

Ensuite, il y a un flou assez grand qui est lié à l'appréciation de l'auditeur, et à sa compréhension, également...

 

On saute en général ensuite au 15ème (et pour moi, dernier) degré d'une phrase: ce sont en général les phrases qui ne sont drôles ni au 1er ni au 2ème degrés, mais qui en plus véhiculent un contenu/message assez malsain que l'auteur pense par devers lui au 1er degré mais qu'il essaie de faire faire passer sous couvert d'humour.

C'est ce genre de message que la modération a ici généralement du mal à sanctionner, vu que l'auteur peut affirmer que c'était du second degré, même si personne n'est dupe.

On en trouve de beaux exemples dès qu'il y a par exemple des propos machistes...

 

 

Néanmoins, il faut faire très attention, car il est difficile de distinguer le 1er du 2nd degré chez les personnes qui ont trop tendance à s'exprimer au 2nd degré. On a là, en général, des personnes subtiles et cultivées qui ont tendance à énerver facilement les gens qui le sont moins (Jeff Hawke est pour moi dans cette catégorie).

 

Cette dernière catégorie a d'ailleurs souvent tendance à sauter à pied joint le 2nd degré pour être perçu au 3 ou 4ème degré, voire même au 15ème.

 

Une personne pratiquant le 3 ou 4ème degré de façon récurrente est peu intéressante et sa conversation est insipide, voire pesante.

 

Une personne pratiquant usuellement le 15ème degré est à éviter, sauf si l'on partage ses idées malsaines: le 15ème degré étant parfois subtilement employé afin de sonder les opinions et flatter les pensées inavouables que l'on peut parfois avoir.

Exemple: "un bon arabe est un arabe mort" peut être perçu comme du 1er degré, du second degré, du 3 ou 4ème degré ou du 15ème degré suivant les idéaux de la personne qui le prononce et ceux de la personne qui l'entend).

 

 

 

Vous me suivez? :be:

 

Oui, parce que vivant, c'est immangeable !

Question : c'est de quel degré, ca...? :)

Posté (modifié)

@ Jibé: Je pense que Toutiet Estonius tique sur l'acceptation aveugle des règles qu'une autorité peut édicter, oui... Il est des cas ou c'est au contraire une règle de désobéir, ou au moins de s'insurger.

 

@ Toutiet: je ne te connais pas assez bien pour savoir avec certitude...

Modifié par Lasilla
Posté

Dans le contexte de la discussion, Estonius semble tiquer sur le fait qu'il y ait des règles dans la langue. Ben oui... Maintenant, on peut imaginer transgresser les règles (de grammaire, d'orthographe, etc.) pour faire preuve de créativité, mais heureusement qu'elles existent : c'est comme ça qu'on se comprend.

 

Ou alors Estonius est rebelle à toute autorité ? Il est interdit d'interdire... Estonius, tu faisais quoi en mai 68 ? :)

Rejoignez la conversation !

Vous pouvez répondre maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous pour poster avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.