divers ça y est j'ai fini de photographier le MESSIER !

[moebius9]

Bonjour Gg,

 

Je l'incline devant ce travail encyclopédique .

Tu attaques les NGC maintenant ?

 

Naaaaaaaaaaaaan, pense un peu au visuel avec le T400 d'enfer que tu nous prépares .

 

Michel

[guinissa]

salut compère,

moi je ne peux que te dire BRAVO !!!!

un vrai régal

amicalement

guillaume;)

[gglagreg]

Bonjour Chris

 

j'ai vu tes images et indiqué quelques sites et conseils ..ici tu es au bon endroit pour progresser !

 

il faut aussi te forcer à participer aux avis que l'on donne sur les images des autres .... avoir un avis sur une image c'est aussi travailler les siennes . Etre capable de critiquer ou indiquer un avis dans un sens ou un autre c'est déja la preuve que l'on pige dans quel sens il faut aller ....

 

Merci aux 3 amis du grand sud ( Pascval , Moebius et Guillaume ) pour vos messages .

 

Ce qui est certain , en visuel ou en photo , cette lunaison de mai était bien nulle pour notre activité favorite ....

 

attendons les nuits courtes de juin ...

 

à bientôt

 

g

Modifié 27 mai 2012 par gglagreg

[pathfinder]

Je deterre ce vieux post pour feliciter l auteur. je viens d y tomber dessus. Quel boulot !!! Je m incline. Plus patient que toi on meurt!

[jpettit]

En seulement 3 ans ?? j'en ai même pas 10%...

Bravo !

[coolman]

Bon boulot, allez je vais m'y mettre cet été, je pense terminer messier avant 2050

[gglagreg]

Après trois ans

 

Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,

Je me suis promené dans le petit jardin

Qu'éclairait doucement le soleil du matin,

Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle.

 

Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle

De vigne folle avec les chaises de rotin...

Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin

Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle.

 

Les roses comme avant palpitent ; comme avant,

Les grands lys orgueilleux se balancent au vent,

Chaque alouette qui va et vient m'est connue.

 

Même j'ai retrouvé debout la Velléda,

Dont le plâtre s'écaille au bout de l'avenue,

- Grêle, parmi l'odeur fade du réséda.

 

Paul Verlaine

 

Modifié 12 mai 2015 par gglagreg