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  1. stef41

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 05/15/20 dans toutes les zones

  1. Bonsoir Le mot "antiquité" ne s'applique pas vraiment à mes vieux tubes, mais je me risque quand même à en montrer des photos... Ayant fait du ménage dans mes étagères aujourd'hui, j'ai exhumé deux instruments, les seuls à ne pas être conçus pour l'astronomie. Des jumelles, objectifs de 30 mm, avec un modeste grossissement de 4 1/2 et un champ de 3° 40'. Ces valeurs sont inscrites sur l'un des porte-oculaires, le faible champ est typique du type "Galilée". On trouve à peu près la même chose pour les jumelles de théâtre… mais là, il s'agit d'une "jumelle d'infanterie", c'est gravé sur l'autre porte-oculaire. Ayant acheté l'objet dans une brocante, je n'ai aucune indication sur son histoire mais il s'agit très probablement d'un modèle datant de l'époque de la guerre de 1914-1918. Une longue-vue "terrestre" (image non renversée), objectif de 40 mm, longueur (dépliée) 75 cm, grossissement 20. Elle a appartenu à mon grand-père paternel, et elle était le seul instrument disponible à la maison quand j'étais gamin dans les années 1950. C'est avec cette longue-vue que mon père m'a montré les cratères de la Lune mais je n'ai pas de souvenirs très précis de cette époque (très) lointaine ! Par contre, je me souviens bien avoir voulu observer davantage quand j'avais 12 ou 13 ans. Comme cette longue-vue n'a pas de support et qu'elle est assez "flexible", mon père m'avait conseillé de bricoler un pied. Je me souviens qu'il y avait un système en bois pour maintenir le tube bien droit, en forme de L, fait de deux tasseaux cloués. Le tout était articulé sur un manche à balai servant d'axe vertical. Et ça fonctionnait suffisamment bien pour mes modestes observations de l'époque ! Le vieux livre qui est sur la table n'est pas seulement là pour la déco, je suis en train de le lire. D'après son auteur Jean Bosler , ce pavé de 700 pages est "inspiré du cours professé (…) à la Sorbonne de 1919 à 1922" et tient compte "des grands progrès accomplis depuis", c'est-à-dire jusqu'en 1928. A l'époque, l'Astrophysique était une science "jeune" et le tome III de Bosler a été le premier cours d'astrophysique publié en France. J'ai d'autres vieux tubes à la cave, j'en parlerai un autre jour. A bientôt !
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  2. Etalée sur 4 à 5 ans, en parallèle avec la construction du télescope standard SAF 200mm à f/D 7 (de facto de f6 à f/8) a été accompagnée de l'élaboration d'accessoires adaptés. En effet les oculaires classiques de Huyghens, Ramsden et même Kellner de l'époque supporte mal ces "courts" f/D Un certain Maurice Paul, expert technique et Jean Texereau, à l'époque (1949) secrétaire de la commission. "La bataille des orthoscopiques." Pendant ce temps là : "la barlow est utile." L'orthoscopique barlowté ! Réfracteurs, la correction de la barlow sur un objectif achromatique : n'apporte plus de correction couleur à f/15. M. Baudiffier rencontre malgré tout des difficultés avec les orthoscopiques, le secrétaire ouvre les spécifications de la série calculée à la maison Lemardeley l'ortho Abbe de l'époque : 41° de champ. 38° sont utilisables, 24° pour la précision. Et le prix ouch ! Les alternatives en cours, le plössl de M.Paul et les Ramsden ingénieux du commandant Silva. M.Pataud remonte d'autres difficultés à propos de l'orthoscopique. La colle d'époque est du baume du Canada. Validation de la barlow, résultats mitigés en projection oculaire : la courbure résiduelle de l'orthoscopique est faible mais présente. La fin de 3 ans de galère à propos des orthoscopiques, de plus en 1951, leur prix industriel a quasiment doublé ! Le centrage des oculaires lors du collage puis débordage en machine de précision : c'est moderne, parfait pour des doublets de plössl. Note : l'astigmatisme dans le plössl dépend de la focale. La série des 2" sera calculée différemment, plus proche du design original d'Albert König (relief d'oeil plus faible en % de la focale) Le Clavé : quand un pro s'équipe et pense à l'avenir. Le Clavé plössl en barlow : la combinaison planétaire de choix pour les focales sous 15mm, alors que l'ortho garde quasiment son champ, le plössl le dépasse et atteint les limites utiles pour l’œil ~ 22.5° hors d'axe DIOPTRIX !
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