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Salut les amis! M82 (NGC 3034 ou galaxie du cigare) est une galaxie spirale à sursaut d’étoile, elle est située à environ 12 millions d'années-lumière dans la constellation de la Grande Ourse. Elle est environ cinq fois plus lumineuse que la Voie Lactée et possède un centre cent fois plus lumineux. On pense que l'activité des sursauts d’étoile a été déclenchée par l'interaction avec la galaxie voisine M81. Hubble a référencé plus de 200 jeunes amas d'étoiles massives près du cœur de M82. Dans le cœur de M82, le diamètre de la région est de 500 pc. Quatre amas très brillants (désignés par les lettres A, C, D et E) ont été détectés dans cette région en lumière visible. Certain sont plus visible en infrarouge, voilà pourquoi l’utilisation d’une caméra sensible à l’infrarouge est intéressante en pose courte. L'impressionnant jet de matière bipolaire de M82 semble concentré sur les amas A et C et il serait entretenu par l'énergie libérée par des supernovas qui se produiraient dans ces amas environ une fois par décennie. Les observations réalisées par l'observatoire de rayons X Chandra montrent une région d'émission variable de rayon X située à environ 600 années-lumière du centre de M82. Cette source a été désignée M82 X-1. Les astronomes ont émis l'hypothèse que ces émissions proviennent du premier trou noir connu de masse intermédiaire. Sa masse serait comprise entre 200 et 5000 masses solaires. En 2014, en étudiant M82, les scientifiques ont découvert le pulsar le plus brillant jamais connu, désigné M82 X-2. Je pensais pouvoir voir ces deux objets mais il semblerait que non… En tout cas, ma motivation première était de détecter un maximum d’amas stellaire en infrarouge et en lumière visible ! Et je suis extrêmement ravi de mes résultats grâce à cette nouvelle camera de chez Playerone , la Neptune color II. Matériels utilisés: Tube Newton 300mmF4 associé avec la barlow 2x pilotée par l'eq6. Avec la technique des poses courtes soit: L(L+IR742+IR850) +R(IR685)VB . 35000x500ms IR742 14000x1s and 7200x3s L 10000x1s IR850 Traité par Siril, avec la nouvelle version . Alignement 3 étoiles empilement par Somme et Moyenne ( en mode rejet TDES) emplacement precis des amas stellaire et comparatif avec hst pour voir que les details correspondent: et un autre gif pour voir l'interet de l'infrarouge sur ce type d'objet: et un crop: A+ Stephane4 points
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Hé les gars, elle est bonne aujourd'hui, mais à neuf là dedans, on va avoir du mal à bouger... Bon OK, je vais faire le guet, ça vous fera de la place... Ah bin voilà, maintenant on peut bouger... c'est pas le tout, mais on va pas passer notre vie ici, allez on bouge... Enfin un peu de calme, moi l'accenteur, j'ai horreur de la foule.1 point
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Bonjour à tous ami(e)s des lunettes vintages, C'est un ami qui m'a fait connaître votre forum avec le club d'astronomie vintage que je trouve passionnant et plus qu'utile, et je vais vous présenter ma lunette astronomique ancienne que je viens d'acquérir. Il s'agit d'un instrument de marque Grégoire, opticien à Lyon. ( La marque existe toujours sous le nom d'optique Peter spécialisée dans l'optique médicale et scientifique). Il s'agit d'une lunette astronomique dont l'objectif mesure 120 mm de diamètre et le tube 1400 mm, 2000 mm environ avec le tube allonge totalement déployé. Le trépied est d'origine, il est en bois de frêne, traité par l'ancien propriétaire, il présente hélas deux grosses fissures sur le statif de bois, mais elles ont été renforcées par l'ancien propriétaire également. A réception de la lunette, celle-ci présentait une couche d'oxydation "rouille" sur presque la totalité du tube, y compris une partie du tube allonge. Ce n'était pas une patine réelle du au temps. La vendeuse m'a informée que cette lunette était intacte dans sa famille, son mari ayant pratiqué l'astronomie avec pendant presque 50 ans. Ils habitaient en bord de mer, et c'est au décès de ce monsieur voici quelques années, que cette lunette c'est corrodée à vitesse "grand v". Cette dame va m'envoyer la photo de cet instrument dans les années 1960 où il était brillant comme une étoile selon ses termes !!! Par conséquent je n'ai eu aucun scrupule à ôter cette "pseudo-patine" qui n'était pas d'époque... pour tenter de rénover cette belle lulu. Ce n'était pas gagné par avance compte tenu de l'état de corrosion du métal, même inquiétant en un point de la lunette. Pour cela il m'a fallu plus de 15 heures de travail, en employant trois produits différents : 1°) Une solution de citron à partir du fruit (et non en "Pulco") et de bicarbonate de soude alimentaire. (Deux séances) 2°) Une pierre d'argile (deux séances) 3°) Du Mirror spécial cuivre pour la finition. (séance finale) Et maintenant voici les photos : A - AVANT RESTAURATION B - APRES RESTAURATION Sur cette photo vous pouvez voir la fissure du statif de bois, qui est des deux côtés, elle a été collée avec une colle spécialisée par le précédent propriétaire, je me demande si je vais pas acheter un collier spécial pour renforcer encore le statif. .../... .../... J'ai déjà tester la lulu sur l'astre des nuits, et ma foi, le résultat est vraiment enthousiasmant pour moi, compte-tenu de l'âge de cette lunette , de plus les images ont un piqué superbe. Par contre mes "astrophotographies" sont prises de manière empirique (oups), avec mon smartphone rivé à l'oculaire... ce n'est pas une méthode très orthodoxe, mais faute de mieux j'ai du m'en contenter. Existe-t-il des moyens de bricoler un adaptateur pour un APN ? Voici les premiers résultats sur la Lune (j'ai pris plus de 200 photos je pouvais plus m'arrêter LOL). Enfin quelques mots de présentation : Mes parents avaient dans leur bibliothèque, venant de mon arrière grand père, le livre de Camille Flammarion "les Étoiles et les Curiosités du ciel", et j'adorai me perdre dans ce gros livre rouge, noir et or, de regarder les gravures, cela m'a transmis le passion des choses du ciel... Je pratique l'astronomie en amateur depuis 1981, ma première lunette était une 60/1000mm fabriquée au Japon mais sans marque précise, elle me fut offerte par mes parents au catalogue des 3 suisses de l'époque !!!! Mais quel bonheur de parcourir le ciel avec ma première lunette, qui était sur monture équatoriale et trépied encore en bois en ces années 1980. Ensuite quelques temps plus tard j'ai acheté à la maison de l'Astronomie à Paris, mon premier télescope de type Newton 115/900 de marque Ganymède, avec lequel j'ai fait mes premiers pas dans le ciel profond. Puis j'ai eu mon Célestron Ultima 8 un excellent instrument avec lequel j'ai pu voyager dans le cosmos, et faire mes premières vraies études du ciel en amateur. Et tout récemment, je suis tombé amoureux de l'astronomie "vintage" par la redécouverte des livres de Camille Flammarion et de lire les descriptions des étoiles, des mondes planétaires, je me suis dit que ces anciennes lunettes n'étaient pas si mal que ça, pas meilleures que les actuelles, mais certainement différentes, complémentaires avec des images chaudes et contrastées et bingo, c'était vrai ! Quelques livres de ma collection Flammarion : Tome 1 de 1882 des numéros de la revue l'Astronomie de la toute jeune Société Astronomique de France reliés. Une édition "digest" de l'Astronomie Populaire destinée à la jeunesse des années 1880. La physique populaire publiée dans la collection "Camille Flammarion". Un Gustave Le Bon publié dans la collection "Camille Flammarion", ces livres sont des trésors en soi. Voila, j'espère m'enrichir de connaissance dans votre beau forum et dans ce club pas comme les autres. Sentiments Uraniens. Jonathan1 point
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A relire les anciens, dans leur contexte technique de l'époque, on comprend mieux leurs choix, parfois alambiqués. La théorisation du chromatisme par AE Conrady. Cela se situe grosso-modo 25ans après la publication du recueil technique des ateliers allemands vers 1903 (publication dirigée par le Dr M von Rohr, avec participation de S.Czapski, A Konig, tout ça avec la bienveillance de C.Zeiss, O.Schott et E.Abbe) J'ai récupéré des informations historique provenant du livre d'A.E Conrady rédigée en 1929, rapportée par Rudolph Kingslake (Eastman Kodak) Voice une comparaison des dispersions chromatiques des achromats de la fin du 19eme siècle au début du 20eme siècle Le verre Hard Crown 1203 de la firme Chance (liée à la famille Feil-Mantois) a été réutilisé et recomposé chez Schott en Balk3, ce verre très célèbre est maintenant disparu. En rouge : Siegfried Czapski en a fait la fameuse formule Zeiss E littrow fabriquée par les ateliers berlinois et mise en tube chez Zeiss au début de la société. Une fameuse planétaire extrêment piquée car très facile à contrôler. (3 courbures identiques et face arrière plate : le rêve de l'opticien). Schott & Genossen existe mais n'est pas leader du marché des verres. (cité en dernier) Quand la formulation de la condition des sinus pu être découverte par Abbe on a pu en faire des aplanats FC. En bleu : la formulation en aplanat (pas de coma) combinaison différente avec le verre Dense Flint de la maison Chance. (D332 chez Parra-Mantois et F13 chez Schott). C'est un équivalent de Balk3+F13 chez Schott, plus cher. En vert : après la guerre ce verre n'est pas présent au Japon, les objectifs sont réalisés avec la combinaison de verre la moins couteuse : équivalente au BK7-F2. Les achromats perdent 10% en dispersion bleu-rouge après la guerre de 1940-45. --------------- Sur la neutralité couleur du calage des instruments. Voici également un partie du texte que Danjon et Couder reprendra, expliquera et complètera dans Lunettes & Téléscopes en 1935. Conrady fit allusion à l'épaisseur des verres des grand instruments de plus de 50cm qui filtrent un peu de violet et de bleu. Il est bien fait référence à ce que le pouvoir résolvant peu être impacté par la présence de couleur parasite (côté bleu comme côté rouge) Un autre fondamental, la provenance du CA-Ratio, qui date l'époque de John Dollond plus d'un siècle avant. -> Le critère de Conrady que l'on considère suffisant pour exploiter au maximum un instrument, à l'époque ou il l'a formulée. Comme on le constate, il n'est pas basé sur l'association F2-BK7 qui est 100% germanique en 1929 et encore en 1935 (D&C) mais sur la référence des verres astronomiques de l'époque. Le borosilicate est un second choix. Je dois dire que c'est une demi-surprise pour moi de constater qu'en 1935, ce n'était pas les allemands qui était leader sur les instruments astronomiques. La sortie du Zeiss AS par August Sonnenfeld en remplacement de l'objectif A (après l'abandon du verre BALK3-BALK2 pour le BK7) se situe vers 1926. Ce sont des dates pivots sur l'essor de l'optique allemande. L'objectif pivot représentant la norme de l'achromatisme est l'achromat de 3" f15 (76mm/1143mm) en 1203 Hard Crown + 360 Dense Flint de chez Chance, souvent décliné en 76/1200 au début des lunettes japonaises, sans doute pour raison de marge technique pour le calage et de moins bonne qualité de la combinaison optique. (Résidu chromatique un peu moins bon : 2.7 au lieu de 2.35 pour une 80-1200) Ca plaisantait pas à l'époque ! AE Conrady place le résidu chromatique proche de 2.3 pour la parfaite correction avec la référence d'une 3", mais on gratte peut-être un peu trop sur les chiffres... vu qu'une 130mm f15 ça laisse une impression très légère de chromatisme, on est presque au double. AE Conrady explique aussi un subterfuge pour masquer le violet et le bleu dans sa formule de calcul algébrique des petits instruments : Pour les instruments terrestres, on aboutira à la généralisation du calcul et l'utilisation d'une autre méthode de contrôle quelques années plus tard chez Zeiss : les raies cadmium 480 et 644nm plutôt que les raies hydrogène. Dans le paragraphe du livre, il expose et synthétise l'état de l'art expérimental des réglages de microscopie, d'objectif de recherche, d'astronomie... Ci-dessous Conrady expose sa méthode de correction supplémentaire qui prend en compte la plage g'f (434-486nm), dite "bleue" et début du violet. Sa méthode translate la correction vers les couleurs chaudes (surcorrection) ou vers le bleu (sous-correction) Danjon et Couder reprendrons cet exemple de surcorrection (sans donner de méthode de calcul plutôt indigeste) pour l'astronomie §37 page 108 et §38 page 111 de lunettes & télescopes : Danjon Couder P107-114.pdf En résumant, meilleure est la tenue dans le bleu : plus on peut caler bas. Il faudrait que je le fasse pour montrer le décalage de surcorrection par rapport à 0.5555 um mais on verra plus tard si les questions se présentent. (voir plus bas) ---------------------------- Des commentaires de 1914 par Stanley sur les verres optiques, pas très gentil pour Schott en page 17. -------------------- Annexe après calculs selon l'équation de Conrady, le réglage optimal du minima focal, pour une restitution de la blancheur de l'image, pour des petits réfracteurs (<<50cm) réalisé en N-BK7-F2 se fait avec ces valeurs : vNBK7-535=65.383 , vF2-535=36.595. On l'obtient à 548.5nm, soit une sous-correction qui correspond (à l'épaisseur du trait) au réglage Zeiss F'C' "on foot" pour l'utilisation terrestre. Il y a des variations mineures suivant les verres mais grosso modo, Schott fourni de nos jours un des meilleurs verres F2. Attention, ce n'est pas le N-F2 qui est la version modernisée pour d'autres usages. Pour la dispersion, Hikari et Ohara propose des variantes qui ont des propriétés intéressantes pour l'équivalent du N-BK7. La vieille version du BK7 citée par UWE Laux "U_BK7" ou alors le O_BK7-O semble un peu mieux adaptée au F2/O_PBM2 : Schott et Ohara (O_PBM2Y) l'ont conservé. A propos des instruments : les Zeiss E ont leur réglage bien plus bas vers 563.5nm (+15nm), donc explicitement planétaire. Le focus de la raie e et au même niveau que la raie d pour optimiser le(s) piqué(s) visuels dans le jaune-vert, jaune et jaune-orange.1 point
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Bonjour à toutes et à tous , depuis mon inscription sur webastro je n'ai jamais posté mais ayant terminé mon nouveau dobson 300 je voulais publier quelques photos de mon bricolage . La structure à été réalisée en partie avec des matériaux récupérés sur un chantier , j'ai dépensé environ 80 € dans les tubes alu , la visserie et le vernis.A noté que je travaille dans une menuiserie industrielle (ça aide un peu) ou j'ai pu récupérer quelques chutes d'alu . Je vais énumérer dans l'ordre haut en bas la composition du dobson. 1- l'anneau du secondaire : fait avec les deux flasques d'un touret de câble D500 l'intérieur découpé à la scie sauteuse. 2- l'araignée : fait avec divers chutes d'aluminium 3- le support miroir secondaire : origine SUD DOBSON : en carbone excellent contre la buée 4- les tube alu D20 5- les tourillons : provenant d'un touret câble D375 passé l'hiver dehors , j'ai collé dessus du feuillard de cercleuse , ça fonctionne super bien avec le téflon 6- la caisse primaire : chute CP 10 et cp15 mm me restant de la construction de mon dobson 400 7- le barillet qui vient de mon dobson kepler 8- le rocker: chute de CP filmé ( pour le coffrage) récupéré dans la boue , j'ai ensuite collé du feuillard de palette de bois. 9- le support rocker fait avec des chutes de tubes acier et j'ai ajouté un carré de polyamide pour faire office de palier pour la rotation. bonne lecture starnight0 point
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Salut le club La petite trouvaille du jours. Une vieille lunette, dans sa caisse en bois. Entièrement en laiton et cuivre. 2 oculaires terrestres (les 2 tubes). Un oculaire astronomique de focal assez courte, j'ai regarder vite fait, mais je dirais dans les 9mm. Diamètre du tube 82 Longueur du tube principales : 113. L'optique est nickel, juste a nettoyer. Pas de gravure de farbriquant nul part. Le bafflage sera à modifier/déplacer comme souvent sur les vieilles. Diamètre utile de l'objectif 79/80 Focal calculé a 1300 d'après l'emplacement de la mise au point avec un oculaire de 20mm et la Royal 76 1200 a côté avec le même oculaire. J'ai seulement fait un test avec le 20 mm Vixen 70°, nickel, le piqué est excellent a cette focal, contraste en retrait a cause de la dernière bafle qui ne couvre pas 1/3 du tube a l'avant. A côté de la Royal 76 1200 tube long. Il y plus qu'à faire des recherches pour identifier la dame. Je dirais 1920 a peu près. Ça ressemble à une E.vion, a voir. Il y avait ce trépieds avec ; Le vendeur n'a pas récupéré la monture avec, qu'il 'n'a pas dû reconnaître ci elle était démonté, il se demandait comment fixer la lunette. Un homme d'une 50ene d'années qui a récupéré cette lunette dans la maison, plutôt le grenier de son grand père.0 point
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J'ai fais parler ma secrétan 110/1650 de 1926 sur la lune c'est à l'arrache derrière l'oculaire au smartphone wiko (n'en déplaise ...) mise au point douteuse pas de suivi horaire centrage du smart imparfait (teinte vert cadavérique et violet sur le côté) en tout cas le chromatisme doit être en vacances, même pas le liseré bleu ! maintenant place aux autres secrétan, manent et prin0 point
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Bonjour les Astrams Ayant besoin d'un chercheur solaire j'ai trouvé mon bonheur sur ce forum, mais pas celui présenté dans le post, mais celui-ci proposé par papatilleul. Je l'ai réalisé, mais j'ai de suite vu qu'il risquait se casser si il prenait un choc, et aussi les deux faces ne me semblaient pas parallèles. J'ai donc décidé de m'en inspirer pour tenter d'en fabriquer un plus costaud. Après trois tentatives je suis arrivé à ça Si vous vous demandez pourquoi avoir choisi la couleur rouge, je vous dirais que c'est pour être en accord avec mes caméra ZWO 😉 Imprimé avec ma Alfawise U30Pro, filament PLA Eryone rouge température de la buse à 215° pour la première couche et plateau à 65°, puis 200° et 60° pour les suivantes. Découpage avec PrusaSlicer-2.4.0 Maintenant il n'y a plus qu'à attendre que le soleil daigne refaire son apparition pour le tester ☹️ Edit: j'envisage de mettre du scotch aluminium sur la face avant pour limiter l'échauffement.0 point
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