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NGC 2207 & IC 2163 Nous présentons 2 petites galaxies en collision (l’une est de 4' et l’autre de 3'). Il s’agit d’une image réduite car nous avions de gros problèmes de réflexion et il était nécessaire de la recadrer à 50%. Mais finalement l’image est regardable et nous choisissons de vous la présenter. NGC 2207 et IC 2163 sont une paire de galaxies spirales en collision à environ 80 millions d’années-lumière dans la constellation du Grand Chien. Les deux galaxies ont été découvertes par John Herschel en 1835. La plus grande spirale, NGC 2207, est classée comme une galaxie spirale intermédiaire présentant une faible structure d’anneau interne autour de la barre centrale. La spirale compagne plus petite, IC 2163, est classée comme une galaxie spirale barrée qui présente également un anneau interne faible et un bras spiral allongé qui est probablement étiré par les forces de marée avec le plus grand compagnon. Les deux galaxies contiennent une grande quantité de poussière et de gaz, et commencent à présenter des taux accrus de formation d’étoiles, comme on le voit dans les images infrarouges. NGC 2207 est en train d’entrer en collision et de fusionner avec IC 2163. Mais contrairement aux antennes ou aux galaxies des souris, ce sont toujours deux galaxies spirales distinctes. Ils n’en sont qu’à la première étape de la collision et de la fusion, NGC 2207 étant en train de décaper IC 2163. Bientôt, ils entreront en collision, ressemblant probablement un peu plus aux galaxies des souris. Dans environ un milliard d’années, on s’attend à ce qu’elles fusionnent et deviennent une galaxie elliptique ou peut-être une galaxie à disque. Les fortes forces de marée de NGC 2207 ont déformé la forme d’IC 2163, projetant des étoiles et du gaz dans de longs streamers s’étendant sur cent mille années-lumière vers le bord droit de l’image. Des simulations informatiques révèlent les mouvements des galaxies et aident à la reconstruction de la collision. Les calculs indiquent qu’IC 2163 dépasse NGC 2207 dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, après avoir fait son approche la plus proche il y a 40 millions d’années. Cependant, IC 2163 n’a pas assez d’énergie pour échapper à l’attraction gravitationnelle de NGC 2207, et est destinée à être tirée en arrière et à passer à nouveau devant la plus grande galaxie à l’avenir. L’image révèle des couloirs de poussière dans les bras spiraux de NGC 2207, clairement silhouette contre IC 2163, qui est en arrière-plan. Hubble révèle également une série de filaments de poussière parallèles s’étendant comme de fins coups de pinceau le long du matériau étiré par la marée sur le côté droit. Les grandes concentrations de gaz et de poussière dans les deux galaxies pourraient bien entrer en éruption dans des régions de formation d’étoiles actives dans un proche avenir. Piégées dans leur orbite mutuelle l’une autour de l’autre, ces deux galaxies continueront à se déformer et à se perturber mutuellement. Finalement, dans des milliards d’années, ils fusionneront en une seule galaxie plus massive. On pense que de nombreuses galaxies actuelles, y compris la Voie lactée, ont été assemblées à partir d’un processus similaire de coalescence de galaxies plus petites se produisant sur des milliards d’années. Full & Details Astrobin : https://astrob.in/lcbo4o/0/2 points
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1. Introduction Utiliser un ordinateur portable pour l'astrophotographie peut parfois être pénible et compliqué. Sur le terrain, vous devez vous soucier de la durée de vie de la batterie, des longs câbles reliant tous les accessoires (caméra, focuser, monture, roue à filtres, autoguidage...), des pilotes et de la compatibilité, etc. Cela peut rapidement devenir difficile. Une bonne alternative consiste à utiliser un Hub USB attaché à la monture, mais cela ne résout qu'un tiers des problèmes mentionnés ci-dessus. Afin de me sortir du pétrin, j'ai trouvé une solution légère, portable, fonctionnelle et bon marché pour tout équipement d'astrophotographie. Notes : J'ai attaché le Raspberry Pi au télescope en utilisant du velcro, ça fonctionne plutôt bien ! Ne pas oublier les attaches de câbles pour accrocher tout cela au tube optique et limiter ainsi le ballotement s'il y a du vent. 2. Équipement nécessaire Tout d'abord, nous supposerons que vous avez un tube optique, une monture GoTo, une caméra (APN ou astro) et une caméra de guidage. C'est tout ce dont nous avons besoin pour configurer un mini-ordinateur capable de gérer tous ces périphériques. Il est possible d’ajouter plus d’accessoires, notamment une roue à filtre, un focuser électronique, etc. Pour notre système, nous utiliserons : Raspberry Pi 4 avec boitier, dissipateurs thermiques et carte Micro SD (minimum 32Go) Batterie externe USB ayant une capacité d'au moins 15,000mAh et une sortie de 2.5A minimum Câble spécifique pour connecter la monture à la Raspberry Pi 4 (typiquement EQMOD pour une monture Skywatcher par exemple) GPS USB pour obtenir la localisation précise du lieu où le télescope se trouve (j'utilise un Vk-172, mais le Vk-162 est doté d'une meilleure antenne et est également compatible). Comme vous pouvez le constater, cela coûte environ 120€, bien moins cher qu’un ordinateur astro dédié fonctionnant sous Windows avec des logiciels commerciaux et nécessitant une grosse alimentation 12V. Note : Vous pouvez économiser un peu d'argent si vous possédez des résistances chauffantes USB pour vos tubes optiques comme celles-ci. En effet, l’achat d’une batterie externe USB d’une capacité supérieure à 10 000 mAh (disons +20 000 mAh) vous permet d’alimenter la Raspberry Pi et vos résistances chauffantes USB pendant une nuit. Et c'est plus pratique que d'avoir de longs câbles partant de votre batterie AGM 12V jusqu'au télescope en mouvement. Voir Consommation d'énergie mesurée du Raspberry Pi 4 pour plus d'informations. 3. Logiciel On va mettre Raspberry Pi OS sur la Raspberry Pi 4. Il s'agit d'un OS open-source basé sur Linux. Nous installerons des logiciels d’astronomie, notamment Kstars et Ekos (bibliothèque INDI), que nous utiliserons principalement. 3.1 Installation de Raspberry Pi OS Premièrement, vous pouvez obtenir l'image de Raspberry Pi OS depuis ce lien : https://www.raspberrypi.org/downloads/raspberry-pi-os/ Ensuite, si vous êtes sous Windows, téléchargez la dernière version de Etcher à partir de ce lien : https://www.balena.io/etcher/. Enfin, obtenez la version gratuite de Winrar pour décompresser le fichier image : https://www.win-rar.com/start.html?&L=0. Maintenant que nous avons terminé l’installation des logiciels, voyons comment installer Raspberry Pi OS sur la Raspberry Pi 4. Décompressez le fichier d’extension .xz téléchargé ci-dessus avec WinRar. Insérez simplement votre carte Micro SD (à l'intérieur de l'adaptateur pour le format SD) dans la fente pour carte SD de votre ordinateur. Lancez Etcher, sélectionnez le fichier d’extension .img précédemment décompressé, sélectionnez le lecteur de votre carte SD et cliquez sur Flash! Attendez la fin du processus ... La vitesse d'écriture dépend de votre carte Micro SD (classe 10 ou supérieure est un bon choix pour une utilisation avec Raspberry Pi). Une fois le process terminé, éjectez votre carte SD de votre ordinateur et insérez-la dans la Raspberry Pi 4. Note : Certains des logiciels cités ci-dessus existent également pour les distributions MacOS et Linux. 3.2 Installation des logiciels INDI, Ekos et Kstars Pour installer INDI, Ekos et Kstars, assurez-vous que votre Raspberry Pi est bien connecté à Internet et suivez les étapes : Ouvrez un terminal de commande en appuyant sur CTRL + ALT + T ou en faisant un clic-droit sur le Bureau puis en sélectionnant "Ouvrir dans un terminal". Entrez les commandes suivantes : wget -O - https://www.astroberry.io/repo/key | sudo apt-key add - sudo su -c "echo 'deb https://www.astroberry.io/repo/ buster main' > /etc/apt/sources.list.d/astroberry.list" sudo apt update Ensuite, une fois la MAJ finie, vous pouvez installer INDI avec la commande: sudo apt install indi-full gsc Enfin, pour installer Ekos et Kstars : `sudo apt-get install indi-full kstars-bleeding`. Tous les logiciels principaux ont été téléchargés et installés ! Source : https://indilib.org/get-indi/download-rpi.html Astrometry.net pour le Platesolving Afin d’obtenir le contrôle total de votre équipement astrophotographique, vous souhaiterez peut-être effectuer ce qu'on appelle le Platesolving. Si vous ne savez pas ce que c'est, voici une courte définition : Le Platesolving est une technique qui mesure avec précision le point de visée du télescope en prenant une image, puis en utilisant diverses techniques de correspondance de motifs, fait correspondre les étoiles de l'image à un catalogue d'étoiles donné. En sachant approximativement où le télescope est dirigé et la focale de l'image capturée, les algorithmes de platesolving peuvent calculer le centre de l’image avec une précision inférieure à la seconde d'arc. Si vous êtes loin de chez vous ou que vous ne pouvez pas utiliser Internet pour votre séance d'imagerie, vous devrez télécharger localement le catalogue d'étoiles sur votre appareil pour que le Platesolving fonctionne en hors-connexion : Ouvrez un terminal de commande en appuyant sur CTRL + ALT + T ou en faisant un clic-droit sur le Bureau puis en sélectionnant "Ouvrir dans un terminal". Normalement, astrometry.net devrait déjà être installé. Vous pouvez vérifier en entrant cette commande : sudo apt-get install astrometry.net Ensuite, récupérez les fichiers d’index à partir de cette page: http://data.astrometry.net/4100/. Je vous suggère de les télécharger à partir de votre ordinateur de bureau et de transférer les packages ultérieurement sur votre Raspberry Pi via une clé USB ou tout autre support de média externe. Sinon, vous pouvez ouvrir un terminal et choisir un chemin de destination, puis taper : wget http://data.astrometry.net/4100/index-4107.fits pour chacune des images. Copier les fichiers sur le bureau de votre Raspberry Pi dans un dossier appelé "Platesolving_files". Copiez le contenu de ce dossier dans le dossier spécifique où astrometry.net va chercher les fichiers de platesolving : sudo cp /home/pi/Desktop/Platesolving_files /usr/share/astrometry/ Tous les fichiers requis pour platesolve en hors connexion sont maintenant installés ! Par défaut, Ekos envoie une image sur le serveur astrometry.net. Veillez à bien modifier les paramètres en sélectionnant "offline". Sources : https://www.ccdware.com/help/ccdap5/hs670.htm ; https://indilib.org/about/ekos/alignment-module.html Appareil photo réflexe Cette sous-section vise à installer les pilotes requis si vous souhaitez utiliser un reflex numérique non reconnu directement par Ekos. Dans mon cas, je n’ai pas pu contrôler mon Nikon D3300 sous Windows malgré toutes les tentatives effectuées avec de nombreux logiciels (Sequence Generator Pro, BackyardNikon, APT Astrophotography Tool, etc). J'ai trouvé un pilote appelé gPhoto pour Linux disponible ici dans lequel vous pouvez trouver tous les appareils photo reflex numériques compatibles. J'ai également pu trouver un bon tutoriel qui m'a permis de l'installer sur le Raspberry Pi 3. Vous avez juste à suivre ces instructions : Install libgphoto2 and gphoto2 from source on Raspberry Pi GPS Si vous utilisez le Vk-162 ou le Vk-172, procédez comme suit : Branchez le GPS sur le port USB du Raspberry Pi. Ouvrez un terminal de commande en appuyant sur CTRL + ALT + T ou faites un clic droit sur le bureau et sélectionnez "Ouvrir dans le terminal". Installer le package gpsd : sudo apt-get install gpsd. Pour voir sur quel port le GPS est connecté, tapez : ls /dev/tty*. Lors du branchement / débranchement du GPS, certaines adresses telles que /dev/ttyACM0 or /dev/ttyACM1 devraient apparaître et disparaître . Notez-les. Maintenant, vous devez configurer le fichier GPS par défaut. Tapez sudo pico /etc/default/gpsd and replacez le champ DEVICES="port obtenu à l'étape 4" tel quel. Appuyez sur CTRL + X pour quitter et enregistrer les modifications en appuyant sur Y lorsque vous y êtes invité. Toujours dans le terminal de commande, tapez : service gpsd restart. Enfin, pour savoir si le GPS fonctionne, regardez si le voyant vert clignote et tapez : cgps -s, vous devriez voir les informations actuellement reçues par le GPS. Le GPS doit maintenant fonctionner ! Vous pouvez également regarder cette vidéo où l'auteur procède de manière similaire: https://www.youtube.com/watch?v=tQz8Fo5u7Lc&t=820s Note 1: À l'intérieur, le GPS peut ne pas trouver le signal. Je vous recommande de faire ça dehors. Note 2: Je branche toujours le GPS sur le même port USB afin de conserver le même fichier par défaut. Sinon, je devrais probablement répéter les étapes 4 et 5 à chaque fois que je le branche sur un autre port USB. 3.3 Mise en place Kstars et Ekos Je ne vais pas expliquer en détail comment configurer Ekos pour une utilisation générale avec votre équipement, car il existe de nombreux bons tutoriels en ligne. Voici une liste : Daté mais excellent tutoriel pour utilisation et configuration générale : https://www.youtube.com/watch?v=wNpj9mNc0RE (seule l'interface a été modifiée) Cette liste de lecture explique chaque module et son utilisation: https://www.youtube.com/playlist?list=PLn_g58xBkqHuPUUOnqd6TzqabHQYDKfK1 Une courte session live qui explore quelques modules et fonctionnalités: https://www.youtube.com/watch?v=3uwyRp8lKt0 La documentation officielle propose des tutoriels: https://www.indilib.org/about/ekos.html Note : Pour des sujets spécifiques, vous pouvez rechercher sur le forum officiel INDI, ou demander de l'aide sur les groupes Facebook... GPS Pour utiliser le GPS Vk-162 ou Vk-172 dans Ekos, procédez comme suit (à l'issue de l'étape 2.2): Assurez-vous que le GPS est correctement connecté au Raspberry Pi (voir l’étape 2.2). Lancez Kstars, accédez à Settings > Configure Kstars > INDI et sélectionnez GPS Updates Kstars sous Time & Location updates. Assurez-vous que Time et Location sont également cochés. Cliquez sur Apply et OK. Maintenant, afin de l'ajouter à votre profil Ekos, vous devez modifier votre profil Ekos et, dans Auxiliary, ajoutez GPSD. Lorsque vous démarrez INDI, vous devriez voir quelque chose comme ceci dans la section GPSD: Note : Si vous cliquez sur GPS dans la section Refresh, les coordonnées seront mises à jour. 3.4 Configurer le Raspberry Pi pour une utilisation "bureau à distance" VNC Sur le terrain, vous ne pourrez peut-être pas disposer d'un moniteur de bureau, d'un clavier, d'une souris, etc. Mais vous pouvez utiliser votre ordinateur portable ou votre smartphone pour contrôler la Raspberry Pi avec Connexion réseau virtuelle. Bien pratique en hiver, de rester dans la voiture à l'abri du froid et de pouvoir contrôler son matos durant la session d'acquisition en mode, le tout sans-fil ! Nous utiliserons RealVNC, qui est gratuit et facile à configurer. Vous pouvez obtenir l'application RealVNC Viewer pour n'importe quelle plateforme ici: https://www.realvnc.com/fr/connect/download/viewer/ Voyons comment installer RealVNC Server sur la Raspberry Pi: Accédez à cette page et téléchargez le fichier: https://www.realvnc.com/en/connect/download/vnc/raspberrypi/. Déplacez-le sur le bureau de votre Raspberry Pi, ouvrez un terminal et exécutez sudo dpkg -i name_of_package.deb. Une fois terminé, si vous exécutez vncserver, une connexion VNC sera établie à partir du Raspberry et vous donnera l’adresse IP. Avec votre autre appareil (smartphone, ordinateur portable ...), accédez à l'application VNC Viewer, puis ajoutez la connexion Raspberry Pi avec l'adresse IP ci-dessus et le mot de passe de session. Vous devriez pouvoir contrôler la Raspberry à partir de votre autre appareil sans aucun fil ! Note : pour vous connecter au VNC, assurez-vous que les deux appareils sont connectés au même réseau. Hotspot Si vous ne disposez pas d'une connexion Internet, la Raspberry peut créer son propre point d'accès WiFi. Vous pouvez procéder de la sorte pour créer le Hotspot. Vous pouvez également définir la connexion en mode automatique. Désormais, lorsque la Raspberry démarrera, il créera automatiquement un réseau sans fil personnel. En connectant votre smartphone ou votre ordinateur portable à ce point d'accès WiFi, vous pouvez utiliser le VNC et contrôler facilement la Raspberry Pi. Se connecter à un réseau WIFI/Ethernet disposant d'une connexion internet Mettre à jour la Raspberry Pi avec sudo apt update Installez network-manager : sudo apt install network-manager-gnome Désactivez les services dhcpcd : sudo systemctl stop dhcpcd + sudo systemctl disable dhcpcd Redémarrez la Raspberry Pi avec sudo reboot -h now Configurez les connexions en cliquant en haut à droite sur le nouvel icône du gestionnaire de réseau. Ajoutez un réseau en cliquant sur le bouton + Sélectionnez le type Wifi Sélectionnez le mode Hotspot Redémarrez et les changements devraient être effectifs Vous remarquerez que même si vous êtes connecté au Hotspot, vous ne pouvez pas utiliser VNC car le service doit être démarré à partir du Raspberry Pi lui-même. Ce que je recommande, c’est d’abord de vous connecter à votre Raspberry en SSH, puis de démarrer le service VNC. Installez PuTTY si votre deuxième appareil est un ordinateur portable Windows ou JuiceSSH s'il s'agit d'un Android. Connectez-vous au hotspot Raspberry Pi et obtenez son adresse IP (par défaut : 10.42.0.1) Entrez l'adresse IP dans PuTTY. Une fois connecté, entrez votre identifiant et votre mot de passe. Ensuite, lancez vncserver. Vous pouvez maintenant ouvrir VNC Viewer et contrôler votre Raspberry Pi! 4. Workflow habituel Connectez tous vos équipements au Raspberry Pi (DSLR, caméra de guidage, GPS, support ...). Démarrez la Raspberry Pi. Il créera automatiquement son propre Hotspot. Connectez votre PC ou votre smartphone au Hotspot. Lancez le client SSH sur votre appareil et connectez-vous au Raspberry Pi. Démarrez le serveur VNC à partir de SSH. Connectez votre appareil au VNC. Lancez Kstars et démarrez votre session d'imagerie !1 point
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Oui pour avoir la bonne correction de coma il faut que le capteur soit mis au backfocus du correcteur i.e. pile la bonne distance entre capteur et correcteur de au mm près. (Voir moins du mm pour certains correcteurs). Donc on utilise des bagues allonges et rondelles pour y arriver. Mais heureusement, la plus part des correcteurs simples sont fait avec un backfocus de 55mm, ce qui correspond pile aux adaptateur s T2 standard des APN. Un Adaptateur T2 standard a un fillettage De 42/mm au pas de 0,75mm par tour et une distance optique de 55mm au capteur quelque soit la marque. C'est l'intérêt du T2 Dans le cas du Canon le chemin optique dans le boitier fait 44mm et la bague T2 fait 11mm pour arriver aux 55mm du standard T2. Mais il existe aussi des bagues non standard qui peuvent faire 9mm voir moins pour les montages spécifiques. C'est indiqué. Il existe un aussi des bagues en filetage M48x0,75 en entrée au lieu de T2. C'est indispensable pour le 24x36 mais pas nécessaire pour l'APS-C La distance mécanique dans l'APN est un tout petit peu plus longue que la distance optique si on mesurait avec une règle. Les filtres modifient la distance optique. Si l'APN est défiltré mais non refiltré la distance optique change. Et il faut un en tenir compte. Dans le cas du Kepler, le backfocus du correcteur est de 75mm et le pas de vis M48 au pas de 0,75mm. @ArzackLa solution est de - prendre un adaptateur EOS en M48 au lieu de T2. Ça donnera 55mm de distance au capteur avec les bagues standard - une bague allonge M48 mâle femelle de 20mm Intéressant pour la suite, car on peut remplacer cette bague de 20mm par d'autres accessoires comme un diviseur optique pour le guidage ou un porte filtre . Ça laisse de la place. Question qualité, le Kepler est pas mal, un très bon choix dans ces prix pour un F/D 5. Avantage la formule 4 lentilles donne des étoiles olus fines que les correcteurs basiques à 2 lentilles. Son seul petit défaut est un très léger petit chromatisme qui ne se verra su'à fort grossissement. Mais on fait rarement, voir jamais de planétaire avec un correcteur de coma. Pour avoir mieux dur ce point de détail, il faudrait prendre le Skywatcher GPU 4 lentilles qui coute le double ou le Paracorr qui coute 4x plus cher.1 point
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Salut, Non , je ne parle pas de l'intensité, mais bien du voltage. C'est alim sont le plus souvent doté d'un petit potentiomètre qui permet de jouer sur le voltage de sortie. Pas une grosse latitude bien sûr mais, c'est généralement possible de monter à 12,5 ou 13v - ce léger survoltage est souvent recommandé pour l'alimentation des montures notamment.1 point
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bonjour à tous et merci pour les messages. Christophe , désolé de ne plus passer sur ce site mais ça me gonfle vraiment de devoir prendre le Pc pour pouvoir voir les images , je ne peux pas répondre non plus et juste l'émoticône cœur possible , pitain d'ipad (depuis la reconstruction de Webastro c'est comme ça ) Sinon ciel toujours aussi pourri , voir un peu plus chaque année , on déguste dans le sud de Toulouse , où c'est dégagé 50kms plus haut sud où idem vers le nord mais nous c'est toujours voilé . bonne journée je te mets l'animation sans réduction de taille1 point
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Bonjour, Hier soir j'ai eu une courte fenêtre d'observation lunaire pour tester mon filtre Baader semi-apo 2" sur ma Lunette TS 102 f/11. L'idée était de savoir son efficacité sur un réfracteur qui d'origine présente peu de chromatisme, f/11 ça aide... ... vissé en permanence sur mon RC SW Deluxe, j'ai pu utilisé des grossissements de X56 à X187 (1.8D) avec des orthos Starbase de 20 mm, 14 mm et 9 mm + un Vixen LV 6 mm en prêt. Eh bien ça marche bien, ombres et fonds de cratères bien noirs, sans dominante couleur comme un filtre jaune léger (je déteste), si on prête vraiment attention une très légère coloration jaune/verte est bien là mais on l'oublie vite, trop faible pour empêcher la neutralité globale de l'image. La perte en luminosité est insignifiante. Suivant la position de l'oeil derrière l'oculaire un infime filet bleu apparaît ou pas sur le limbe lunaire...Lune bien haute, les oculaires ? Je testerai avec mes XW pour comparer. Le gain le plus significatif c'est au niveau du contraste, même à X187 c'était flagrant, pour moi comme j'y suis très attaché c'est une vraie bonne surprise. J'ai vu une rainure que je n'avais jamais vu auparavant, je vais fouiller dans le Rukl et le LAC pour essayer de l'identifier. Cela ne transforme pas une Achromat en APO. Une semi-apo? tout dépend des critères que l'on donne. Une bonne Achromat pour f/10 et + ? Oui sans hésiter. D'autres tests dès que la météo me le permettra. Note 19h20 : j'ai trouvé ! Rimae Hyppatia et deux dômes alpha et beta Arago, plus 4 petits dômes au NO dans la mer de la tranquillité.1 point
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Inscrit à l'instant pour les 4 jours officiels, il me reste à contacter le camping pour étendre le séjour sur 2 semaines centrées sur les NCN. En logeant dans le pré des NCN tout le séjour1 point
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Dobson Strock 254/1200 Au milieu de mon jardin puis sur la terrasse de la maison à Fors dans les Deux-Sèvres 9 dessins : 9769 à 9777. Coup de chance, je suis protégé des éclairages du Sud (vitrine du concessionnaire et lumières de la rue) par 2 camionnettes garées contre le grillage. Il fait froid. Je suis prêt à 19h30 au début du crépuscule astronomique pour plus de 2 heures d'observation sans la Lune, après quand même l'entrée du repas sous forme d'une copieuse soupe qui aidera à lutter contre le froid. Je commence avec une galaxie de Pégase, puis des galaxies d'Andromède sur la même carte 89 de l'Uranométria, dont le fameux groupe NGC67-74. Observation 9769 : NGC16. Repérée à 75x, elle est confirmée à 150x. Son centre est considérablement faible, elle est petite et très diffuse, ronde. http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/NGC16obs9769.jpg Observation 9770 : NGC68 à NGC72. Le groupe NGC 67 à 74 ne me montre qu'une partie de ses membres. L'ensemble est vu à 75x comme une tache unique très faible avec des étoiles dedans. Je grossis 150x puis 218x pour séparer tout ça. NGC68 vue VI1 est allongée, NGC70 est plus subtile, son noyau est vu VI4 à 5 donc limite, et son halo VI3 autour m'a donné l'impression que les 2 étoiles de part et d'autre étaient des galaxies alors que devant ce halo. Il doit y avoir dans ma vision un mix du propre halo de ces étoiles et de celui de la galaxie, les étoiles de brillance similaire dans le secteur n'ayant pas un halo de diffusion autant prononcé. NGC71 est VI2, NGC72 de même brillance est assez étendue. Les étoiles et les galaxies s'entremêlent dans ce groupe, c'est un bordel à décrypter! http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/NGC68_72obs9770.jpg Observation 9771 : NGC43. Très petite, elle est condensée, vue à 150x, confirmée à 218x. Elle a été difficile à repérer eu égard à sa taille, mais était sûre ensuite. En vision indirecte son centre est plus brillant. http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/NGC43obs9771.jpg Mon nez qui coule à 21h10 me rappelle la saison en cours. Observation 9772 : NGC39. Je l'ai repérée à 109x puis confirmée là aussi à 218x qui l'assombrit trop, je redescends à 150x pour la dessiner, ce grossissement est idéal sur elle. Après observation attentive, je détecte son centre flou plus brillant. Vue VI2, elle est ronde et diffuse. http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/NGC39obs9772.jpg Le lever de la Lune ne devrait plus tarder à 21h30. J'ai froid aux mains, n'ayant pas mis les gants. Puis je redéplace le télescope sur la terrasse pour dégager la cible suivante des arbres, la comète Atlas C/2019 L3 dans les Gémeaux comme la dernière fois. Observation 9773 : Comète Atlas C/2019 L3. Placée à 21h54 sur le papier à 150x, elle est très diffuse, vue tout de suite à 75x, assez brillante, avec son centre détaché, et une légère dissymétrie en vision indirecte vers l'est. http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/Comete_Atlas_C2019_L3_obs9773.jpg Le fond de ciel s'éclaircit puis la lune levée dans le Lion et à 80% de phase sort des arbres après le dessin à 22h. Je retourne finir de dîner puis dors 2h dans mon lit, ça change du confort de la voiture lors des virées nocturnes en Seine et Marne. Je reviens à 1h42, grâce au réveil programmé peu avant. La suite de la nuit sera une série d'astérismes vu la lumière lunaire qui illumine le ciel. Du givre s'est déposé sur les affaires pendant mon repos. Je regarde un premier astérisme dans le Petit Lion. Observation 9774 : Le Voilier. Coordonnées alpha/delta : 10h15/+31°28'. A 75x, il est conforme à son nom, assez brillant. Il inclut 22 Leo Minoris. http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/Le_Voilier_obs9774.jpg Je dévie plus au nord sur un astérisme dans la Petite Ourse. Observation 9775 : Le Mini-Cintre. Coordonnées alpha/delta : 16h30/+80°18'. Dessiné à 75x, il est assez brillant, mais moins spectaculaire que le vrai cintre Collinder 399. http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/Le_Mini_Cintre_obs9775.jpg J'observe un astérisme à nouveau dans le Petit Lion. Observation 9776 : Groupe 10 Leo Minoris. Coordonnées alpha/delta : 9h34/+36°23'. Brillant à 75x, il est de surcroît coloré avec les jaunes 9 et 10 Leo Minoris qui le dominent. http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/Groupe_10_Leo_Minoris_obs9776.jpg A 3h, je perçois quelques bruits lointains de trafic routier au sud, c'est bizarre, il n'y a pas de grand axe par là à distance audible, déjà qu'on n'entend pas le tronçon d'A10 à l'ouest plus proche. Je pars en pause casse-croûte à 3h30 au chaud, puis me fends d'un dernier dessin d'un astérisme dans le Bouvier alors que la buée incessante devient gênante. Observation 9777 : Le Bicorne de Napoléon. Coordonnées alpha/delta : 14h15/+18°36'. Il est à 75x dans le même champ qu'Arcturus du Bouvier qu'il faut donc sortir car elle gêne, comme la buée. Le chapeau est vu assez faible et à l'envers. http://xcamer2.free.fr/astrodessins/CROA/2021_hiver_2022_printemps/20220121_22_Strock254/Le_Bicorne_de_Napoleon_obs9777.jpg Je remballe, accompagné du froid aux mains, alors que la Lune passe au méridien à 4h.0 point
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Salut tout le monde, Je voulais partager avec vous ma photo de M42 que j'ai prise la semaine dernière (peu être un peu tard pour Orion :)). Capturé sur 2 nuits car à peine 1h30 / 2h de visibilité depuis mon balcon en plein centre ville. Temps d'intégration total : 2h en LRGB avec la petite Lulu TS photoline 80 mm associé à la caméra ASI 294. Poses de 180s sur tous les filtres + une dizaine de pose à 30s en L pour obtenir un peu plus de détails au centre de la nébuleuse + Autoguidage au foyer. Pour plus de détails : https://astrob.in/irfynv/0/ Avis, conseils, remarques ? Je suis preneur0 point
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Salut à tous! Voici Messier 82 en 27h30 de poses réalisées du 11 au 24 mars à Amiens (France, Bortle 7) avec : Newton 250mm f/3.8 Monture CEM70 Camera ASI2600mm + filtres Antlia LRVBHa L : 116x300s RVB : 18x300s chacun H : 159x300s Traitement : Pixinsight et Photoshop M82 est une galaxie à sursaut d'étoile (une forte activité probablement due à l'intéraction gravitationelle avec sa voisine M81), célèbre pour l'impressionnant jet de matière bipolaire émanant de la région de son coeur et mis en évidence ici par les nombreuses poses au travers du filtre Halpha. De lointains galaxies et amas galactiques traînent dans le coin 😉 Bon ciel a tous! sur Astrobin : https://www.astrobin.com/full/k8dm18/0/0 point
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Bonjour à tous, Fin mars, nous avons pu bénéficier de cieux cléments durant plusieurs nuits et c’est avec plaisir que j’ai pu shooter la nébuleuse de la Rosette, (que j’avais déjà tenté à de mes débuts avec un apn defitré) Cette fois ci, c’est avec une camera dédiée que j’ai retenté l’aventure et le moins que je puisse dire, c’est que ça change la vie ! Dix heures de pose de 5 minutes pour arriver à mon résultat avec le setup suivant : William Optics Zs61mkII Ioptron cem25p Zwo asi 533 mc pro Zwo Oag et 120mm mini Filtre Optolong l-enhance Zwo asiair plus pour l’acquisition Deux nuits sans lune et un bon seeing, ça aide tout de même pas mal pour obtenir un résultat décent. Le traitement sous Siril et Photoshop a été d’une simplicité et d’une rapidité déconcertante. Voici le résultat : Bon ciels, Remi0 point
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Bonjour à tous, Voici ma première tentative sur M33, la galaxie du triangle, shootée fin janvier durant 3 heures, entre deux passages nuageux. J’ai utilisé une lunette William Optics Zs61mkII montée sur une Ioptron cem25p, oag zwo+120mm mini, un filtre lpro optolong et une zwo asi 533mc pro. Le tout à été piloté avec mon asiair plus, sans trop de problèmes durant toute la session Traitement Siril + photoshop Dès que possible, je lui rajouterai quelques heures de poses, histoire de prendre plus de détails et de réduire le bruit. Bons ciels à tous, Remi0 point
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Salut, je reconnais le mérite mais pour être franc jamais fait et ça ne me dit pas. Je suis pourtant habitué à procéder par listes et avec une certaine rigueur, mais là cela me semble trop compulsif. D'autre part je ne supporterais pas la nuit blanche ! 😁 Mais c'est vrai que je n'avais pas pensé à l'avantage de voir cet exercice comme une préparation pour d'autres séances, comme un entrainement aussi bien pour connaître le ciel que rôder sa méthode de recherche, et son matos. Je ne dirais pas par contre que cela développe l'observation pointue d'un objet comme peut le faire le dessin en restant des dizaines de minutes sur chaque objet. Mais vu comme cela ça revalorise l'exercice à mes yeux. Chapeau Bruno, juste au PSA 😉0 point
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Le problème de la vapeur (j'ai fait, j'aurais pas dû) c'est que des micro goutelettes peuvent se loger entre les lentilles. J'ai envoyé le bloc optique (TMB LZOS) à Médas pour "nettoyage" de peur que des champignons s'installent. Celà ne concerne pas tous les barillets qui pour certains sont hermétiques.0 point
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Hier soir, enfin un ciel dégagé et un beau tiers de lune en face de mon balcon. Cette fois je me suis régalé avec le 9mm. Une très légère turbulence mais complètement oubliée grâce à la netteté de l'image obtenue. Je ne regrette pas du tout d'avoir opté pour ce Mak.0 point
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Bonjour , hier (jeudi 7 avril 2022) sur Paris le ciel était très gris mais de rares éclaircies m'ont permis de faire un peu d'observation... Les rares trouées ont montré une très belle protu mais que je n'ai pu enregistrer que par tranches tellement le ciel était diffusant et brillant! J'ai même du utiliser le réseau 1800 t/mm au lieu de mon habituel 1200 t/mm. Le contraste est meilleur mais avec une telle dispersion la bande de la chromosphère devient plus large et noie un peu la base des protus. Par contre elle donne l'avantage de bien voir les spicules (surtout lorsque le ciel est bien propre). Le gros problème d'un ciel très diffusant est que les images montrent beaucoup moins de détails....0 point
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Bonjour, Si tu as un oculaire de 6mm, avec le 15 et le 25, tu as les grossissements suivants (focale telescope / focale oculaire): 30× avec le 25mm 50x avec le 15mm 120x avec le 6mm Ton telescope pourra, sous reserve de très bonnes conditions, te délivrer une belle image exploitable jusqu'à 200x peut-être (c'est arbitraire, mais ça a quand même du sens, vu que tu dois assurer le suivi manuellement et qu'à 200x, c'est sportif). Le plus souvent, hors lune et certains astres très lumineux et contrasté, tu commencera à avoir une baisse de contraste vers 1x le diamètre du miroir, soit 150x. Si tu prends une barlow, tu vas avoir, en grossissements supplémentaires: 60x avec barlow +25mm 100x avec barlow et 15mm 240x avec barlow et 6mm Personnellement, je trouve que la barlow ne serait pas utile, 60x est très proche de 50x, 100x et 125x, ça reste proche également et 240x, sans suivi, avec un dobson du commerce, c'est assez delicat, non seulement il doit etre très bien collimaté, mais aussi, le ciel doit être nickel mais il faut aussi arriver à ne pas trembler. Sinon, les oculaires plossls fournis par orion sont très corrects. La barlow orion shorty, je ne sais pas. Ton 6mm, je ne sais pas. Prendre une barlow, c'est ajouter des éléments dans la chaine optique, les défauts de l'élément le moins bon sera celui qui déterminera la qualité de ta chaîne optique. Si tu tiens vraiment à grossir et tenter le coup, je pense qu'il serait plus judicieux de t'orienter vers un oculaire de focale autour de 4mm, avec un peu de champ. Je ne peux pas vraiment te conseiller un modèle en particulier. Quelqu'un d'autre pourra certainement te dire ce qui passe bien sur un telescope ouvert à f/5. Oui.0 point
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Après, si c'est pour du visuel, et malgré l'absence de la bague graduée, le viseur polaire te permettrait quand même de faire une bonne mise en station...0 point
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Je ne peux que répéter trois conseils très importants pour le Soleil : 1. NE JAMAIS OBSERVER SANS AVOIR UN FILTRE APPROPRIÉ DEVANT LE TUBE (Astrosolar ou verre pleine ouvertue) si possible vérifié par un astram familier des observations solaires pour tes premières observations. 2. Ne pas oublier de protéger aussi le chercheur et ne pas laisser le tube ou la lunette sans surveillance si un membre de la famille ou de tes amis veut voir aussi. 3. Une observation ratée ou un matériel cramé c'est dommage mais cela se remplace. UN OEIL NE SE REMPLACE PAS. Bonnes observations !0 point
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L'Ethos 21 dépasse maintenant les 1 000 Euros TTC et il a pris plus de 100 Euros d'un coup...0 point
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Vraisemblablement Tri-Mag veut dire 3x magnification, c'est à-dire que c'est une barlow x3. C'est quelque chose que tu montes avec un oculaire : si tu as un oculaire 24mm ça le transforme en un 8mm, c'est-à-dire que ça grossit 3 fois plus (d'où l'appellation "tri-mag"). 1'25 c'est le coulant. Il y a 2 tailles standard d'oculaires/porte-oculaires/accessoires optiques (comme les filtres) : 1'25 ou 2 (c'est des mesures en pouces. Tu verras aussi écrit 31,75mm et 50.8mm, c'est la même chose mais dans le système métrique). Il faut bien comprendre que oui, il existe des oculaires et des barlows qui permettent de grossir beaucoup plus que ton 6mm, mais tu seras de toutes façons limitée par le diamètre de ton instrument, la qualité de ton ciel et la turbulence. Mieux vaut une image petite et belle qu'une grosse image floue. Concrètement tu ne peux pas, par exemple, obtenir un grossissement de 350x avec ton télescope. Disons que tu peux aller jusqu'à 1,3x le diamètre de ton télescope si les conditions sont bonnes, ça nous fait : 150x1,3 = 195 fois. Comme la focale de ton télescope (c'est la longueur du trajet de la lumière, sur ton newton c'est à peu près la longueur de ton tube) est de 750, ça nous fait un oculaire maxi de 750/195 = 4mm. Je n'irais pas au-delà. C'est quoi tes autres oculaires à part le 6mm? Si vraiment tu veux en voir beaucoup plus je pense qu'il faudra envisager un plus grand diamètre.0 point
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Il faut marquer a) le sommet du grand axe du secondaire, que ce soit visible quand on collimate et b) faire une trace sur la tranche du secondaire pour repérer le centre optique qui doit être à la fois dans l'axe du PO et l'axe z (primaire-secondaire). Ci-dessous, un secondaire dont le grand axe (en orange) est mal orienté par rapport à l'axe optique du PO (en jaune) En rouge, la perpendiculaire au grand axe, passant par le centre optique ajusté par l'offset. On fait deux marques sur la tranche qui seront visibles du PO et permettront d'ajuster l'angle θ facilement vu du PO par le cheshire. La tolérance de réglage x,y,z, θ dépend ensuite de l'ouverture N=f/D. C'est TOUJOURS l'opération à faire en premier. Pour aller plus loin : https://www.telescope-optics.net/newtonian_collimation.htm0 point
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Vu du foyer, un miroir (avec un seul "r") elliptique dit "décentré" sera parfaitement centré, c'est à dire que l'on verra un rond avec l'axe optique passant par son centre. On peut vérifier ce genre de centrage avec un simple œilleton (un trou pas trop gros bien au centre d'un bouchon monté à la place de l'oculaire), mais je le répète, il faut que cet œilleton soit au foyer du télescope, donc pas à n'importe quelle distance. En revanche, le centre en question (le point de rencontre entre l'axe optique et ce miroir) n'est pas au centre de l'ellipse qui délimite le miroir. Cela est dû au fait que le contour du miroir est découpé dans un cône et non dans un cylindre. D'ailleurs, en théorie, le rapport grand axe / petit axe n'est pas rigoureusement égal à la racine carrée de 2.0 point
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