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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 07/06/22 dans toutes les zones
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(Traduction automatique) https://blogs.nasa.gov/webb/2022/07/06/webbs-fine-guidance-sensor-provides-a-preview/ Le capteur de guidage fin de Webb (FGS) fournit un aperçu Nous sommes à moins d’une semaine de la publication des premières images en couleur du télescope spatial James Webb de la NASA, mais comment l’observatoire trouve-t-il et verrouille-t-il ses cibles? Le capteur de guidage fin (FGS) de Webb – développé par l’Agence spatiale canadienne – a été conçu pour répondre à cette question particulière. Récemment, il a capturé une vue des étoiles et des galaxies qui donne un aperçu alléchant de ce que les instruments scientifiques du télescope révéleront dans les semaines, les mois et les années à venir. FGS a toujours été capable de capturer des images, mais son objectif principal est de permettre des mesures scientifiques précises et une imagerie avec un pointage de précision. Lorsqu’il capture des images, celles-ci ne sont généralement pas conservées : compte tenu de la bande passante de communication limitée entre L2 et la Terre, Webb n’envoie que des données provenant de deux instruments scientifiques à la fois. Mais lors d’un test de stabilité d’une semaine en mai, il est venu à l’esprit de l’équipe qu’elle pouvait conserver les images capturées parce qu’il y avait de la bande passante de transfert de données disponible. L’image de test d’ingénierie résultante a des qualités rugueuses sur les bords. Il n’a pas été optimisé pour être une observation scientifique; les données ont plutôt été prises pour tester dans quelle mesure le télescope pouvait rester verrouillé sur une cible, mais cela fait allusion à la puissance du télescope. Il porte quelques caractéristiques des vues que Webb a produites au cours de ses préparatifs post-lancement. Les étoiles brillantes se distinguent par leurs six longs pics de diffraction bien définis – un effet dû aux segments de miroir à six côtés de Webb. Au-delà des étoiles, les galaxies remplissent presque tout l’arrière-plan. Le résultat – en utilisant 72 expositions sur 32 heures – est l’une des images les plus profondes de l’univers jamais prises, selon les scientifiques de Webb. Lorsque l’ouverture de FGS est ouverte, il n’utilise pas de filtres de couleur comme les autres instruments scientifiques – ce qui signifie qu’il est impossible d’étudier l’âge des galaxies dans cette image avec la rigueur nécessaire à l’analyse scientifique. Mais même lors de la capture d’images non planifiées lors d’un test, FGS est capable de produire des vues époustouflantes du cosmos. « Le télescope Webb ayant atteint une qualité d’image meilleure que prévu, dès le début de la mise en service, nous avons intentionnellement recentré les guides d’une petite quantité pour nous assurer qu’ils répondaient à leurs exigences de performance. Lorsque cette image a été prise, j’ai été ravi de voir clairement toute la structure détaillée de ces galaxies faibles. Compte tenu de ce que nous savons maintenant être possible avec des images de guidage à large bande profonde, peut-être que de telles images, prises en parallèle avec d’autres observations lorsque cela est possible, pourraient s’avérer scientifiquement utiles à l’avenir », a déclaré Neil Rowlands, scientifique du programme pour le capteur de guidage fin de Webb, chez Honeywell Aerospace. Parce que cette image n’a pas été créée avec un résultat scientifique à l’esprit, il y a quelques fonctionnalités qui sont assez différentes des images en pleine résolution qui seront publiées le 12 juillet. Ces images incluront ce qui sera – pour une courte période au moins – l’image la plus profonde de l’univers jamais capturée, comme l’a annoncé l’administrateur de la NASA, Bill Nelson, le 29 juin. L’image FGS est colorée en utilisant le même schéma de couleurs rougeâtre qui a été appliqué aux autres images d’ingénierie de Webb tout au long de la mise en service. De plus, il n’y a pas eu de « tergiversation » pendant ces expositions. Le tramage se produit lorsque le télescope se repositionne légèrement entre chaque exposition. De plus, les centres des étoiles brillantes apparaissent noirs parce qu’ils saturent les détecteurs de Webb, et le pointage du télescope n’a pas changé au fil des expositions pour capturer le centre à partir de différents pixels dans les détecteurs de la caméra. Les images superposées des différentes expositions peuvent également être vues sur les bords et les coins de l’image. Dans ce test d’ingénierie, le but était de se verrouiller sur une étoile et de tester dans quelle mesure Webb pouvait contrôler son « roulis » - littéralement, la capacité de Webb à rouler d’un côté comme un avion en vol. Ce test a été effectué avec succès – en plus de produire une image qui stimule l’imagination des scientifiques qui analyseront les données scientifiques de Webb, a déclaré Jane Rigby, scientifique des opérations de Webb au Goddard Space Flight Center de la NASA à Greenbelt, Maryland. « Les taches les plus faibles de cette image sont exactement les types de galaxies faibles que Webb étudiera au cours de sa première année d’opérations scientifiques », a déclaré Rigby. Alors que les quatre instruments scientifiques de Webb révéleront finalement la nouvelle vision de l’univers du télescope, le capteur de guidage fin est le seul instrument qui sera utilisé dans chaque observation de Webb au cours de la durée de vie de la mission. FGS a déjà joué un rôle crucial dans l’alignement de l’optique de Webb. Maintenant, lors des premières observations scientifiques réelles faites en juin et une fois que les opérations scientifiques commenceront à la mi-juillet, il guidera chaque observation Webb vers sa cible et maintiendra la précision nécessaire pour que Webb produise des découvertes révolutionnaires sur les étoiles, les exoplanètes, les galaxies et même les cibles en mouvement dans notre système solaire. Par Patrick Lynch, Goddard Space Flight Center de la NASA, Greenbelt, Md. Cette image de test du capteur de guidage fin a été acquise en parallèle avec l’imagerie NIRCam de l’étoile HD147980 sur une période de huit jours au début du mois de mai. Cette image d’ingénierie représente un total de 32 heures de temps d’exposition à plusieurs points de chevauchement du canal Guider 2. Les observations n’ont pas été optimisées pour la détection d’objets faibles, mais néanmoins l’image capture des objets extrêmement faibles et est, pour l’instant, l’image la plus profonde du ciel infrarouge. La réponse en longueur d’onde non filtrée du guide, de 0,6 à 5 micromètres, contribue à fournir cette sensibilité extrême. L’image est monochromatique et est affichée en fausse couleur avec blanc-jaune-orange-rouge représentant la progression du plus brillant au plus sombre. L’étoile brillante (de magnitude 9,3) sur le bord droit est 2MASS 16235798 + 2826079. Il n’y a qu’une poignée d’étoiles dans cette image – distinguées par leurs pics de diffraction. Le reste des objets sont des milliers de galaxies faibles, certaines dans l’univers proche, mais beaucoup, beaucoup plus dans l’univers lointain. Crédit : NASA, CSA et équipe FGS.2 points
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Bonjour à tous, Aller on continue sur la bonne lancée avec sur une nuit la région centrale de la constellation du cygne. moins de temps de pose que sur le pélican mais le résultat est plutôt pas mal. 4h10 de temps déposé au total en SHO avec la FRA400 et la moravian C3-26000 La full ici: https://www.astrobin.com/e6jmpi/2 points
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Bonjour, C'est un Français, Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Boileau qui dès 1674 écrivait déjà : "Ce que l'on conçoit bien s’énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément". Bien antérieur à Mortimer ADLER, je trouve aussi plus d'élégance à cette manière de formuler le même concept. Ney2 points
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Effectivement. Depuis Lyon, centré sur l'azimut 20°: Désolé pour la qualité mais 3200 ISO sur mon petit capteur.... Cordialement, Claude2 points
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Salut les astrams ! 2022 a été une année pauvre en astronomie pour moi : ma première observation s'est faite en mai ! Quelle honte ! Alors, quand j'ai appris qu'il y allait y avoir une fête des étoiles pas loin de chez moi, je ne pouvais pas le manquer ! J'avais toujours voulu participer à un tel événement. L'événement : AstroArbacia, à Navas de Estena (Espagne). Le ciel est censé y être plutôt préservé car on se trouve dans le parc national de Cabañeros. On est dans un camping mais les lumières ont été exceptionnellement éteintes pour nous et celle du village d'à côté ont diminuées (bien qu'elles étaient censées être éteintes totalement). Nous sommes à 650m d'altitude, entourés de montagnes arides. Le lieu est magnifique. Premier jour La première chose que je remarque en arrivant est l'exceptionnelle ambiance : tout le monde est super sympa ! Je suis arrivé deux heures avant l'ouverture officielle du festival mais il y a déjà un gars qui a installé sont Lunt sur le parking est m'invite immédiatement à observer. J'y vois mes premières taches solaires et mes premières protubérances... Quel luxe ! Je suis hypnotisé par ce que je vois. Les photos ne le montrent pas mais je peux également percevoir très facilement l'aspect granuleux du soleil. Je reste un bon quart d'heure à parler avec mon nouveau pote, Carlos, un sosie de Stephen King, qui a allégrement passé la barre des 70 ans et qui arpente l'Espagne avec son Lunt et son dobson 350mm. Il est capable de vous dire la position exacte du meilleur ciel de chaque département ! Je passe le reste de la journée à serrer des mains et notamment celles d'Alberto, un ancien de l'ESA qui a travaillé également pour la NASA et qui est l'auteur nombreux livres de divulgation. Après un bonne sieste jusqu'à 21h45, mes potes de mon club et moi-même rejoignons le lieux réservé à l'observation visuelle (celui pour l'astrophoto est du côté opposé du camping). À 21h48, mon matos est intégralement monté et je flâne en me moquant de mes camarades qui n'ont même pas encore terminé de monter leur trépied et leur recommande de tout revendre pour s'acheter un Dobson. À 22h45, je peux déjà tester ma collimation avec mon cheshire puis sur des étoiles : elle est nickel. En tout cas, autant que je peux la tester : je grossis à 600x avec l'aide d'une barlow mais il y a trop de turbulence pour constater quoi que ce soit. Je peux juste voir qu'à 260x, tout va bien. À 23h00, je comprends que je me suis mal placé. Mon voisin est clairement un gros lourd : il est venu avec sa famille et des amis (et leurs familles respectives). Ça fait un beau petit monde avec lui au milieu dans le rôle d'un Carl Sagan de chez Lidl. Il a visiblement pour objectif de passer la nuit à raconter des banalités et des idioties avec une conviction rare afin de montrer à quel point il s'y connait grave et que son C8 est vraiment le futur Hubble. Comprenez-moi bien, je suis le premier à ne pas la fermer quand je parle d'astronomie, tellement je veux communiquer ma passion. Mais là, on est plutôt dans la frime pas possible. Et, clairement, il n'avait pas ce qu'il faut pour se permettre de frimer autant. À cela s'ajoutent les 7 enfants d'entre 4 et 8 ans qui courent dans tous les sens sans que les parents ne se préoccupent de les contrôler. Ah, et ai-je précisé que ces mêmes parents ont eu l'idée prix-nobélisable de leur donner des lampes torches et des téléphones pour qu'ils puissent s'éclairer quand ils courent entre les télescopes ? Bref... Je ne vais pas m'étendre sur le sujet mais en gros ce groupe d'imbéciles a passé la nuit à ruiner la vision nocturne de tout le monde : lampes, téléphones, clignotants des voitures toutes les 10 mins à chaque fois qu'ils les verrouillent (MAIS QUI VA TE VOLER TES AFFAIRES DANS TA VOITURE Si TU ES SITUÉ À LITTÉRALEMENT 2M DE CELLE-CI !!!????), lumières à l'intérieur des voitures à chaque fois qu'ils vont voir les enfants en train de dormir... Le festival a des règles très strictes quant à la lumière parasite, elles sont même sur des affiches un peu partout dans le camping. Quand je les ai lues, j'ai pensé que vraiment j'étais arrivé au paradis. Mais en fait, non. Je m'attendais à être entouré de gens respectueux de la pratique de l'astronomie amateure, des vrais passionnés qui seraient hyper stricts... Et c'était le cas, sauf pour ce groupe. Certains leur ont crié d'éteindre la lumière, mais ils ne les ont pas écouté. J'ai donc préféré me taire, au risque de perdre véritablement patience s'ils prenaient mal mes remarques. J'avais peur des visiteurs qui venaient des villages voisins. Je pensais qu'ils allaient me déranger. Mais en fait, ce fut tout le contraire : aucune lumière, ils chuchotaient, demandaient respectueusement s'ils pouvaient regarder dans mon télescope... Vraiment, tous adorables ! C'est d'ailleurs quelque chose d'hyper fréquent, à chaque fois que je fais des observations publiques avec mon club. C'est un comble que le vrai parasite était en fait un autre "astram" (notez les guillemets)... Heureusement, j'avais prévu de tester un petit truc qui s'est révélé utile et que je ferai désormais systématiquement : j'ai fixé un t-shirt noir autour de mon porte-oculaire (en gros, j'ai serré le col du t-shirt autour de la base du PO). Je passe ma tête à l'intérieur pour observer : ça fait un espace absolument noir (s'il n'y a pas un c*onnard en train de cherche sa femme avec une lampe torche). De cette manière, l'observation est NETTEMENT plus confortable et même, je dirais, immersive. J'ai également testé l'observation avec les deux yeux ouverts et, avec le t-shirt, la conjugaison des deux est explosive : je n'ai ressenti AUCUNE fatigue oculaire pendant ces deux nuits d'observation alors que d'habitude j'ai l’œil droit fatigué au bout d'une heure. Vraiment, si vous ne le faites pas encore... faites-le ! J'ai tout de suite vu qu'avec les deux yeux ouverts je perçois plus de détails et de contraste. Et, surtout, je peux regarder plus longtemps : normalement, je peux rester à l'oculaire quelques secondes, ensuite, mon oeil est "tendu". Là, je peux rester tout le temps que je veux. Bref, l'observation est vraiment agréable. Merci, les auteurs d'Astrodessin ! Les dessins La méthode J'ai suivi une méthode lue dans Astrodessin qui consiste à faire un schéma avec des cercles isophotes et à évaluer la magnitude des étoiles avec des lettres (A est la plus brillante, D la moins brillante, par exemple). La version définitive du dessin est faite plus tard, en lumière blanche. Cela a plusieurs avantages : La réalisation du dessin est plus rapide : on ne perd pas de temps à exécuter précisément ce qu'on voit. L'aspect technique est négligeable. On suit des codes graphiques, rien de plus : au lieu de passer 5 minutes à faire attention à reproduire la brillance exacte d'une zone de la nébuleuse, on indique cette luminosité à l'aide d'un chiffre. C'est tout. On passe beaucoup plus de temps à observer qu'à dessiner. Avant, je pense que je passais 80% du temps sur mon dessin à parfaire les détails et 20% à l'oculaire. Là, c'est l'inverse. Sans monture motorisée, c'est LA MÉTHODE PARFAITE. C'est en fait la raison qui m'a motivé à passer à cette méthode. Avec un 254/1200, les objets défilent très très très vite et au final, je passais un temps incroyable à recentrer l'objet... Le temps de dessiner un détail, l'objet est déjà très loin. Surtout quand on est à 260x... C'est moins fatigant -- pour toutes les raisons déjà citées. En bref, cette méthode est moins exigeante et donc plus facile à réaliser. On a donc moins de frustration et c'est plus rapide à exécuter. On peut donc cumuler les observations et les dessins. La liste Afin d'avancer dans mon projet de dessiner tous les objets de Messier, j'avais prévu de faire 23 dessins au cours des deux nuits du festival. Cependant, au cours de cette première nuit j'ai été beaucoup ralenti par mon voisin. J'ai quand même fait 5 dessins, ce qui est déjà un record pour moi ! Je mets le tableau pour ceux que ça intéresse. J'ai fait ma liste en fonction du livre de Gilis, que J'ADORE, et c'est pour ça que j'indique la page. Le numéro de carte est celui du Pocket Sky Atlas. Gilis Carte 1 M62 AG Scorpion 156 58 2 M7 AO Scorpion 158 58 3 M6 AO Scorpion 159 58 4 M9 AG Ophiuchus 166 56 5 M107 AG Ophiuchus 168 56 6 M102 Galaxie Dragon 232 42 7 M92 AG Hercule 236 52 8 M13 AG Hercule 237 52 9 M69 AG Sagittaire 182 67 10 M70 AG Sagittaire 184 67 11 M54 AG Sagittaire 185 67 12 M55 AG Sagittaire 187 66 13 M75 AG Sagittaire 188 66 14 M22 AG Sagittaire 190 67 15 M28 AG Sagittaire 192 67 16 M8 Neb. D et AO Sagittaire 194 67 17 M21 AO Sagittaire 197 67 18 M23 AO Sagittaire 198 67 19 M24 Nuage stellaire Sagittaire 199 67 20 M25 AO Sagittaire 200 67 21 M18 AO Sagittaire 201 67 22 M17 Neb. Sagittaire 203 67 23 M16 AO et Neb.D. Serpent 204 67 Le rendu Les schémas ont été faits au pied du télescope et les versions finales ont été faites depuis mon salon, hier, en suivant scrupuleusement mes notes et en faisant attention à ne pas ajouter des choses qui n'étaient pas là. En m'inspirant de @xavierc, j'ai décidé de numéroter mes dessins (et j'ai un site web en cours de création). Je trouve que c'est hyper utile en plus d'être motivant. Je commence par des objets hauts dans le ciel puis je descends progressivement. Dessin nº28 Messier 13 - Hercule Dessin nº29 Messier 92 - Hercule Dessin nº30 Messier 62 - Ophiuchus Dessin nº31 Messier 8 - Sagittaire J'en avais marre des amas globulaires, alors je suis passé à une nébuleuse... Quel choix ! Je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi beau dans un télescope... La nébuleuse de la lagune est devenu mon objet préféré du ciel profond... Je suis sous le charme ! Le dessin est rapide car je suis dans de mauvaises conditions et ma vision nocturne n'est pas au max. Mais dans mes notes j'ai noté "à refaire dans de bonnes conditions" et je pense que je pourrais passer une nuit entière simplement à faire cet objet en multipliant les grossissements pour l'avoir sous toutes les coutures. Ça en vaudrait la peine. Dessin nº32 Messier 56 - Lyre Après une bonne heure de pause, je passe un objet hors de ma liste. Je ne sais plus pourquoi : était-ce à cause de mon voisin ou de la position des constellations ? Vers 4h15, je replis tout et pars me coucher. Il faut un froid terrible depuis 2h et l'humidité s'est bien installée. Malgré les problèmes mentionnés, j'ai quand même passé une super première nuit et je suis assez content de mes dessins. La suite dans les prochains jours quand j'aurai tout mis au propre !1 point
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Au gré d'une petite insomnie, j'ai pu observer à l'instant de beaux nuages noctulescents, qui me rappellent aux bons souvenirs de l'apparition de la belle comète Neowise il y a tout pile 2 ans. Ça se passe en ce moment au nord est depuis l'Île de France, mais on doit pouvoir les voir depuis une large région. Quelques photos à l'arrache avec le peu de matos à disposition : Avec Vénus qui s'invite dans le spectacle :1 point
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Salut, Je suis venu sur Toulouse pour travailler dans l'industrie aéronautique il y a plus de vingt ans. Et j'ai pris goût pour le domaine. J'ai toujours été fasciné par les documentaires animaliers et scientifiques sur l'espace, l'univers, les phénomènes naturels etc. Je connaissais Stellarium que j'ai installé, et j'ai commencé à observer pour prendre des repères à l’œil nu. Habitant en ville avec peu d'espace, la pollution lumineuse, et des enfants en bas âge, j'envisage une paire de jumelles. Si je me faisais plaisir (et si j'habitais à la campagne avec un ciel propre), je craquerais certainement pour un SW 150/750 PDS EQ3-2 qui me semble assez polyvalent. Sinon, dans ma situation pourquoi pas un petit Maksutov 90mm ou 102mm sur équatoriale qui a l'avantage d'être compact et +/- équivalent à une lunette 90/900. Pour l'instant, je souhaite apprendre à naviguer entre les constellations. Par la suite, repérer quelques objets de Messier, et faire quelques photos souvenir sans prétentions sous forme de carnet de voyage. Mes premiers achats "astro" sont: Le Guide du Ciel Nocturne Boussole Silva Ranger Carte Stellvision 365 Le CIel aux Jumelles P-S : Un immense merci à @CDLCpour le boulot et la qualité de La Chaine Astro qui est devenue ma référence (surtout l'épisode sur le choix du matériel)1 point
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Bonjour à tous, Messier 24 est une entrée un peu étrange dans le catalogue Messier car il ne s'agit pas réellement d'un objet à part entière mais plutôt d'une zone très dense de la voie lactée. Ça faisait longtemps que j'avais envie de la photographier et j'ai donc profiter de la nuit claire d'hier pour tenter le coup. Malheureusement j'ai eu des problème de guidage en début de session qui m’ont fait perdre pas mal de temps mais j'ai quand même pu réaliser 58x180s avec le matériel suivant: Lunette Askar FRA400 Caméra Asi2600MC et filtre IR-Cut Guidage par diviseur optique et caméra ASI290mm Monture Ioptron CEM40 Pilotage via ASIAir Pro Et puis en repliant vers 4h00 j'ai pu assister à un spectacle que je n'avais jamais vu: un nuage ultra brillant dans le ciel alors que l'aube n'en était qu'à ses prémices. C'était vraiment étrange et superbe! J'ai pu voir le nuage tout au long de mon retour sur Paris sur plus de 60km ce qui en dit long sur son altitude! Voici une photo réalisée avec mon smartphone mais elle ne rend vraiment pas justice au spectacle (le contraste était vraiment plus marqué car la photo accentue largement les lueurs de l'aube): Nico1 point
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Salut les astrams, Hier soir à minuit je me baladais dans le Serpentaire à la recherche de cette comète, j'ai passé un excellent moment avec elle à l'oculaire de mon nouveau télescope de 460 mm! Premier dessin avec lui. L'astre est bien brillant facile à trouver. Dessin sur canson noir pastel sec et Posca : Derrière le dessin : Bon ciel Lolodobs le dévoreur de monde 👽1 point
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A observer la toile, la Lune est à proche de l'horizon donc c'est soit le lever, soit le coucher. La Lune est en approche du dernier quartier. Pour être allé regarder les éphémérides pour les 12 mois de 2022, la Lune à ce stade se lève plutôt au milieu de la nuit* et se couche en milieu de journée. Sur cette toile nous ne sommes ni le matin, ni le soir mais donc en pleine nuit, juste après le lever de notre satellite. Ce qui semble confirmé par le fait que les moutons sont parqués, ce qui se fait normalement la nuit. Que le berger apparaisse alors peut s'expliquer de multiples façons : 1) C'est un poète admirateur de Sélène et vient la saluer à son lever, 2) Un bruit suspect l'a fait venir voir son troupeau, 3) Un besoin pressant aussi l'aurait fait lever. Ney * : La veille, le jour ou le lendemain du troisième quartier, il y a un jour où il n'existe pas de lever de Lune, seulement un coucher près de la mi-journée.1 point
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Salut @Sylfaen J'ai eu l'ES 300. Je t'invite à lire mon retour d'expérience sur le sujet suivant : Quand je lis ta situation, je me demande si tu ne devrais pas plutôt privilégier une configuration plus légère par exemple une lunette et un trépied azimutale/équatoriale, le temps que ta situation soit plus en adéquation avec un "gros" dobson. Cela aurait pour avantage d'être léger et t'éviter plusieurs aller/retour et être très transportable pour tes vacances.1 point
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Je reviens de vacances, je n'ai pas eu le temps de mettre des commentaires à toutes vos images, mais je suis quand même passé mettre une petite réaction à chacun des post. J'ai eu l'occasion de faire du solaire pendant mo séjour en Creuse, quel bonheur de pouvoir imager le soleil en pleine nature, sans avoir de turbulences comme celles que j'ai quand je pratique depuis mon immeuble. Je dois recevoir le kit Shélyak pour mon Sol'Ex demain, je mettrais les premiers résultats dans quelques temps, il faut d'abord que je me familiarise avec la bête. En attendant voici le résultat d'un événement que vous devez tous connaitre, mais qui pour moi qui débute, est une découverte. L’aphélie est le point de la trajectoire d'un objet céleste en orbite héliocentrique qui est le plus éloigné du centre de masse, tandis que le périhélie est le point de la trajectoire d'un objet céleste en orbite héliocentrique qui est le plus proche du Soleil. J'avais prévu début Janvier de photographier cet événement, faute de beau temps je n'ai pu imager le soleil que le 11 janvier, par contre hier j'ai pu avoir une fenêtre dans l'après-midi, malgré le ciel nuageux.1 point
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Bonjour à tous, J'espère que vous allez tous bien en ce dimanche. Je vous présente un comparatif de 3 logiciels avec lesquels j'ai stacké une tête de mouche "à merde" à partir de 39 images prises à différents niveaux de mise au point. Ces logiciels sont Photoshop version CS6 - Picolay version 2022-06-13 - Helicon Focus version 8.1.0 pro. Les images sont brutes (sans aucune correction) mise à part un recadrage sur la tête de mouche et un contraste automatique effectué dans Photoshop et toutes les 3 enregistrées au format jpeg qualité maximum. Je n'ai pas redimensionné les images (résolution native du canon 1200D de 18 mégapixels - Elles sont seulement recadrées sur la tête de mouche avec une taille finale d'environ 2100 x 3100 pixels) pour ainsi voir ce que donne le résultat des 3 logiciels notamment au niveau des "artéfacts" de stacking. Cliquez donc sur les images image pour les avoir à la résolution native. Photoshop : Méthode : Chargement des 39 images dans une pile : Fichier/Scripts/Chargement des fichiers dans une pile... Sélection des 39 calques dans la fenêtre des Calques. Alignement des calques : Edition/Alignement automatique des calques... puis OK Fusion des calques : Edition/Fusion automatique des calques... puis OK Aplatir l'image : Calque/aplatir l'image Enregistrement. Picolay : Méthode : Chargement des 39 images : File/Add image(s) Réglage des paramètres de stacking : Stack operations/Set stacking parameters ---> par défaut sauf décochage de Filter: Smart laissé à 5 Stacking : Go Enregistrement du résultat : File/Save result as (ou allez chercher le fichier du résultat qui est dans le même dossier que les images) Helicon Focus : Méthode : Chargement des 39 images : Fichier/Ouvrir images... Méthode de rendu : Méthode C (pyramide) Lissage à 1 Stacking : Procéder au rendu Enregistrement du résultat : Fichier/Enregistrer... Les réglages des paramètres de stacking dans Picolay et Helicon peuvent être bien sûr réglés différemment suivant les caractéristiques d'image comme par exemple indiqué dans ce manuel FR de Helicon : https://www.heliconsoft.com/wp-content/uploads/2014/07/Aide_Helicon_Focus_Fr.pdf Dans Photoshop version CS6, il n'y a pas de réglages des paramètres de stacking, en tous les cas je n'est pas trouvé comment modifier ces paramètres dans cette version CS6. Les amis, si vous avez des commentaires sur les méthodes utilisées ou autres, surtout n'hésitez pas Amicalement, FRanck1 point
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Salut, ayant finalement réussi à faire l'aigle depuis mon balcon terrasse, je me suis dit mais pourquoi pas chercher la trifide ? Alors j'ai regardé ce que ça donne et au mieux je peux l'attraper 1h30 entre 2 batiments. Alors j' ai testé ! Ma situation est la suivante pour M20 vers 1h du matin Je vais donc faire ça sur plusieurs nuits. J'ai fait une séquence NINA qui cible un objet jusqu'à 0h30, puis je bascule 1h30 sur M20 et je reviens sur l'objet (fait cette nuit sur NGC6888). Il y avait pas mal de vent en plus mais voilà ce que ça donne. J'ai des trucs bizarre sur les grosse étoiles comme des aigrettes mais c'est pas le vent, je pense que c'est la qualité de l'air et du ciel à cette hauteur. Je vous livre le premier jet et on verra après un cumul sérieux sur 3-4 nuits au mini Samuel0 point
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Bonjour, J'ai posé le 130 et sa monture altaz sur le Causse de la selle à 45 minutes de Montpellier, au dessus de la vallée de l'Hérault. Nuit sans lune, sans vent, cristalline. En deux heures de VA de beaux objets sont révélés , 15min de stack en moyenne avec des poses individuelles de 4s, caméra Risingcam IMX571C et filtre IDAS LPS D3. J'ai repris les images finales en post traitement. C'est celles que je présente ici. Dans l'ordre, la comète du moment, C2017K2, le champs de north america, l'immense nébuleuse qui contient la trompe d'éléphant (zoomez pour la voir), la nébuleuse du sorcier et , et la nébuleuse de l'Iris (30 min pour celle ci) . Pas mal pour un setup de moins de 10kg. Bons ciels à tous les brutes, résultats de stack de Sharp cap sans post traitement. La balnce des couleurs n'est pas toujours facile à régler en direct, la rotation de champs due à la monture altaz est bien visible. Magique le VA !0 point
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Très sympa, bravo. Si tu veux tu peux poursuivre la mosaïque de l'autre coté de l'iris: il y a aussi des structures très intéressantes dans ce coin là (LDN1147)0 point
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Les flat le lendemain c'est très bien, du moment que tu as pas touché la caméra. Pour diminuer le grain (on parle plutôt de bruit) il faut faire d'avantage de poses !Tu n'as qu'environ 1h de poses, c'est pas beaucoup ! Il faut essayer de poser au moins 3h, voir plus0 point
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Je poste un nouvel essai sur M101, après avoir écouté vos conseils: 16x120sec 31x60sec 20Darks 20Flats (mais fait le lendemain....pas sûr du flat tip top...fait avec tablette lumineuse à dessin) Gain à 100 sur ASI533 Température à -10°C Questions: - comment faire pour diminuer le grain visible ? - astuces et/ou réglages pour améliorer le résultat ?0 point
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Et ça s'est vu ... Dommage, malgré qu'elle ait été immanquable à l'oculaire, je n'ai vu Porrima qu'une fois que les deux composantes avaient émergé. J'aurais bien aimé les voir arriver tour à tour, même si l'espacement devait être minime (séparation 3,2"). Mais pour la prochaine fois, je sais que le challenge se fait sans problème Je me suis fait un petit souvenir en digiscopie, mais qui ne rend pas grâce au joli spectacle vu à l'oculaire ...0 point
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Comme promis dans un précédent sujet sur la nébuleuse North América, je vous mets le résultat de la nuit dernière sur la nébuleuse du Pélican. J'ai pointé avec les coordonnées, ma version de l'ASIAIR lui donnant plutôt celles de North América... Monture AP400 GTO et applanisseur de champs, filtre Omégon UHC, Nikon 5300 re filtré Astrodon. Guidage ASIAIR et ZWO 120 mini. Traitement SIRIL et un peu de Photoshop.. 36 poses de 3 minutes. Photo non recadrée. Bien loin du travail de @AstroNOTE-Guillaume que je trouve très réussi! J'ai du mal à traiter le fond du ciel, mais il y a beaucoup de rouge profond dans ce coin là! Vos critiques seront les bienvenues! Jukka0 point
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Je ne connaissais pas adler ni sa petite phrase citée par ney mais c’est pas vraiment chercher la « petite bête » et c’est pas vraiment une citation ancestrale si on pare des années 90!0 point
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Je l’aime bien cette version de l’Aigle. Le dosage des couleurs est plutôt réussi. si je devais suggérer une amélioration, ce serait d’éclaircir un peu les tons très sombres car tu as peu de nuance dans les noirs ou presque noirs.0 point
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Très chouette 😊. Un jour, pendant mon service militaire (!) J'ai eu droit à un arc en ciel de nuit avec la pleine lune. Très sympa aussi et je n'ai jamais revu...0 point
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Sacrée boulette de la part du fabricant... En espérant qu'il est garanti et que l'échange pour un vrai SII est possible.0 point
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et oui, tout comme le risque sécheresse mis sur le dos des centrales nucléaires. Il y a tout de même un truc que les différents acteurs doivent se mettre dans la tête: les événements extrêmes (sécheresse, inondation, orage, ...) seront plus nombreux et plus forts. D'autant plus forts et nombreux que nous ne faisons rien. Comme toute technologie a ses forces et ses faiblesses, ce peut être très problématique : les éoliennes craignent les tempêtes (mais on peut les mettre en protection sans production), les PV la grêle (on met des couvercles sur x milliers (millions) de m2), le nucléaire l'absence d'eau (sauf les centrales mis au niveau de mer) etc etc. Quand tu as différents risques, le meilleur moyen d'éviter de se retrouver complétement démunis est d'avoir différentes sources de production. La probabilité que tous les risques arrivent en même temps sur tous les moyens de production est fortement diminué. On retrouve cela dans les cultures raisonnées: des champs plus petits avec des plantations variés pour qu'un prédateur ou maladie ne supprime pas toute une production. Bref, un pluralisme est plus résilient vis à vis des risques que l'unicité.0 point
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Sans doute mais il est intéressant de savoir qui était M. ADLER. Il tenait, même à l'automne de sa vie dans les années 1990, une position et des propos qui me piquent beaucoup dans le dos en parlant des auteurs Noirs : " Ils n'ont écrit aucun bon livre". https://wikimonde.com/article/Mortimer_Adler Vraiment ça me pique très fort. Ney0 point
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Bonjour à tous, une image faite dans la nuit du 25 au 26 Mars dernier depuis la Beauce. Backfocus complètement dans les choux (ce sera corrigé pour les suivantes) d'où un recadrage très strict.... et la présence d'un magnifique reflet en bas à droite due à Bêta de la Grande Ourse (Merak) bien trop proche de la cible. atik460ex + filtres LRVB astronomik + fs60 à f/6.2 sur ma GP autoguidage en // avec zwo178mm + zwo30F4 L : 20 x 300s en binning 1x1 RVB : 7 x 180s en binning 2x2 prétraitement imageviewCA traitements iris, siril (calibration auto des couleurs), photoshop A la taille d'acquisition mais fortement recadrée, donc : Annotation Siril : a+ stéphane0 point
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Bonjour, Belle prises avec des explications qui enrichissent ce gros post solaire👍 Jean Louis0 point
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Effectivement ca marche, merci beaucoup ! il me reste encore a trouver comment fairedu stacking sur le terrain mais ca devrait etre possible.0 point
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Merci adamckiewicz d'apporter des références dans cette discussion, Richard Feynman n'est effectivement pas n'importe qui, cela confirme aussi ce que tu disais plus haut sur l'universalité des lois Je ne peux que recommander aussi de relire la méthode de transmission du savoir de Richard Feynman alias "The Great Explainer" cela rendrait beaucoup plus claires certaines discussions sur des sujets que manifestement nous ne maitrisons pas tous n'est ce pas ? “The person who says he knows what he thinks but cannot express it usually does not know what he thinks.” -- Mortimer Adler The Feynman Learning Technique - Farnam Street (fs.blog)0 point
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Avec les algorithmes récents, les satellites disparaissent complètement, donc vas y mollo avec ton tri !0 point
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Les photos (4) sont arrivées : Ancien modèle des années 80 à examiner de fond en comble, revêtement antireflet "standard" (pas de StarBright ni de StarBright XLT), difficile de trouver des pièces de rechange, moteur d'entrainement alimenté en 220 v, trépied pas ajustable pas de vue des optiques, prix fixé 550 € + envoi à la charge de l'acheteur, etc ...0 point
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Bravo, pas mal pour une première, c'est toujours compliqué les débuts, beaucoup de choses à apprendre, a comprendre mais petit a petit ça devient plus facile, faut pratiquer.0 point
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Pour une reprise, quoi de mieux qu'une surprise ? Sinon, de très jolis résultats Bravo !!0 point
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C’est bien de voir le rapport et l’importance de focale mise en action, impressionnant ! ceci dit, la photo avec l’EVOGUIDE 50 ED ne démérite nullement et promet de belles aventures astrophotographiques, et du moins aussi interessantes qu’avec un Samyang 135. Les aigrettes sur la lulu sont sympas 😉 ✨✨✨0 point
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Une lunette vendue à un prix astronomique ! https://www.leboncoin.fr/ameublement/2186455771.htm0 point
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Salut, Je serais présent aux NCN, hâte de retrouver son superbe ciel, l'ambiance et les copines/copains 😎😉0 point
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Bah, je n'ai jamais aimé Toulouse malgré que ma grand'mère en soit venue. Par contre j'aime bien San Antonio, que ma grand-mère ne voulait même pas lire.0 point
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Hello @cezanne Je te conseille fortement d'alimenter ta caméra. Pour la 2600MC il est recommandé d'alimenter la caméra y compris si on n'utilise pas le refroidissement (voir ici par exemple: https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/cameras-astro/cameras-ciel-profond/caméra-zwo-asi2600-pro-refroidie-couleur_detail) A mon avis le courant fourni par la prise usb (surtout si elle est USB2)n'est juste pas suffisant. Nico0 point
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