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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 07/29/22 dans toutes les zones

  1. un petit panorama des NCN traité vite fait 24 images ;sony A7s; samyang 35mm
    5 points
  2. Salut, un petit tour dans le cygne, WR 134 en 8 heures par poses de 180secondes. asi533mc, filtre altair tri band eq5 eqstar newton 130pds autoguidage sur lunette : PHD2 traitement Siril, PS, lr
    2 points
  3. Salut, comme JC69610, il est plus que probable que le capteur de la caméra soit trop loin du foyer de la lunette. Essaye sans le renvoi coudé pour raccourcir la distance. Au pire prend une feuille de papier ou un verre dépoli pour estimer où l'image se forme et ajuste avec des tubes le cas échéant. Bon courage et persévérence.
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  4. Salut, J'ai déjà utilisé cette caméra sur ma lunette Scopetech 80x1200. Aucun souci de mise au point. Voir : Pour faire de bonnes photos, il ne faut pas utiliser de renvoi coudé et surtout ne pas prendre à travers une fenêtre qui génère d'énormes turbulences. J'utilise FireCapture qui fonctionne super bien avec cette caméra. Attention, cette caméra est sensible sur une partie de l'infrarouge et il est nécessaire d'utiliser un filtre IR-Cut. Bon courage JC
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  5. Bien sûr que tu peux être satisfait, elle me plait beaucoup et seulement 55 minutes de pose, bravo
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  6. Voici ma première SHO néb de l'Amérique du nord info et détail sur la Astropoubelle NGC7000 (first SHO for me) ( Frédéric Tapissier ) - AstroBin J'ai cherché à faire sortir un intérêt scientifique à l’image en montrant ce qui passe sous les radar avec notamment : 1. les faibles nébulosités dans le secteur « sombre » des nuages de poussières, dans la « croix noire » 2. et surtout les volutes de souffre qu’on voie légèrement en transparence entre « l’Illinois » et le « Colorado », je n’ai pas chercher à faire ce que tout le mode fait, ce qui pour moi n’a aucun intérêt, j’ai chécher à faire ressortir les qui habituellement passent à la trappe Images issues de l’observatoire collaboratif CPAFO, images acquises par Phillipe Renaud je n'ai pas cherché à neutraliser la couleur des étoiles quand on fais du SHO on en assume les conséquences
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  7. En fait en regardant les courbes de Bill Claff, les réglages les plus adaptés ne sont pas comme je le disais 800/1600/3200 ISO selon la qualité du ciel, mais : - ciel pollué : 640 ISO - ciel normal : 1250 ISO - ciel noir : 2500 ISO C'est ce qui permet de garder la meilleure dynamique (courbe bleue, échelle de gauche) et de maximiser les informations dans les zones sombres (courbe orange, échelle de droite). Le fait que la courbe orange soit quasi horizontale après 2500 ISO montre qu'on ne gagne plus grand chose à aller au delà, au contraire, on perd de la dynamique (courbe bleue qui descend). On s’en fout, c’est que pour les JPEG. On parle d’astrophoto ! Ton télescope n’a pas d’autofocus, on n’a donc rien à faire des réglages d’autofocus. Ton télescope n’a pas de diaphragme réglable. On s’en fout de l’ouverture !
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  8. Bonjour Roger, Il s'agit de Alexandre Gui Pingré, remarquable intellectuel qui publia Cométographie en deux volumes. Ney
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  9. Sur le site de Nature (traduction automatique) https://www.nature.com/articles/d41586-022-02056-5?utm_term=Autofeed&utm_campaign=nature&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1658942898 Quatre révélations du télescope Webb sur les galaxies lointaines La NASA a construit son télescope spatial James Webb à la pointe de la technologie pour scruter l’Univers lointain et revenir vers la nuit des temps – et elle le fait déjà de manière spectaculaire. Au cours des deux semaines qui se sont écoulées depuis que les premières images et données scientifiques de Webb sont devenues disponibles pour les astronomes, ils ont signalé un flot de découvertes préliminaires, y compris de multiples prétendants à ce qui pourrait être la galaxie la plus lointaine jamais vue. Les images de Webb révèlent une multitude de galaxies scintillant dans le cosmos lointain, apparaissant comme elles l’ont fait quelques centaines de millions d’années seulement après le Big Bang il y a 13,8 milliards d’années. Les images étonnamment nettes du télescope ont brisé les idées préconçues des astronomes sur l’Univers primitif. « Nous avions en tête une idée de ce à quoi ressembleraient les galaxies à ces [distances] et de la quantité de détails que nous pourrions voir, mais je pense que la réalité nous époustoufle un peu », explique Jeyhan Kartaltepe, astronome au Rochester Institute of Technology à New York. Voici quelques leçons que les astronomes apprennent des premières observations de Webb. Il y a énormément de galaxies là-bas. Parce que Webb détecte la lumière infrarouge et parce que l’expansion du cosmos étire la lumière vers des longueurs d’onde plus rouges, le télescope est bien adapté pour repérer les galaxies qui se sont formées au début de l’histoire de l’Univers. Dans ses premiers programmes d’observation, qui ont débuté en juin, Webb a découvert de nombreuses galaxies lointaines qui se trouvent hors de portée d’autres observatoires, tels que le télescope spatial Hubble. « Cela suggère ce que beaucoup d’entre nous ont soutenu, qu’il y a des galaxies au-delà de ce que nous avons vu avec Hubble », explique Richard Ellis, astronome à l’University College de Londres. L’ère des premières galaxies a commencé à « l’aube cosmique », commençant peut-être environ 250 millions d’années après le Big Bang, lorsque les premières étoiles se sont formées et ont illuminé l’Univers. Les générations ultérieures d’étoiles se sont amassées en galaxies, qui sont les faibles taches rouges que Webb commence à découvrir. Beaucoup d’images de Webb sont parsemées de galaxies jamais vues auparavant dans l’Univers lointain. « Il n’y a pratiquement pas d’espace vide qui n’a pas quelque chose », dit Kartaltepe. Une étude a passé au peigne fin les données de nombreux champs de galaxies lointaines que Webb a observés jusqu’à présent, afin d’analyser la vitesse à laquelle les étoiles se sont formées dans l’Univers primitif. Il a trouvé 44 galaxies jusque-là inconnues remontant à moins de 300 millions d’années du Big Bang. Combinés à 11 galaxies précédemment connues, les résultats montrent qu’il y avait une population importante de galaxies formant des étoiles dans l’Univers primitif. Les résultats « réaffirment l’énorme potentiel des futurs programmes [Webb] plus importants pour transformer notre compréhension du jeune Univers », a écrit l’équipe, dirigée par Callum Donnan de l’Université d’Édimbourg, au Royaume-Uni, dans un article sur le serveur de préimpression arXiv. De nombreuses galaxies sont en compétition pour le titre « le plus lointain ». La ruée la plus médiatisée est peut-être la ruée des équipes de recherche en lice pour identifier la galaxie la plus lointaine dans les données Webb. Un certain nombre de candidats ont été repérés qui devront être confirmés par d’autres études, mais tous battraient le record de Hubble pour la galaxie la plus lointaine, qui date d’environ 400 millions d’années après le Big Bang. Un concurrent est apparu dans une enquête Webb appelée GLASS qui comprenait une autre galaxie légèrement moins lointaine dans la même image. "Le fait que nous ayons trouvé ces deux galaxies brillantes, c'était vraiment une surprise", déclare Marco Castellano, astronome à l'Institut national d'astrophysique de Rome. Lui et ses collègues ne s'attendaient pas à trouver des galaxies aussi éloignées dans cette petite partie du ciel. Une deuxième équipe a également repéré indépendamment les deux galaxies. Les astronomes caractérisent la distance des galaxies avec une mesure connue sous le nom de décalage vers le rouge, qui quantifie à quel point la lumière d'une galaxie a été décalée vers des longueurs d'onde plus rouges ; plus le décalage vers le rouge est élevé, plus la galaxie est éloignée. Le candidat GLASS a un décalage vers le rouge d'environ 13. Mais les 25 et 26 juillet, quelques jours après que les astronomes ont signalé les galaxies GLASS, des articles affirmant des décalages vers le rouge encore plus élevés ont inondé le serveur de préimpression arXiv. "Ce n'est que le début du début", déclare Rohan Naidu, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics à Cambridge, Massachusetts. Un candidat, avec un redshift de 14, a émergé dans une enquête appelée CEERS, l'un des premiers projets les plus en vue de Webb. Le chercheur principal du CEERS, Steven Finkelstein de l'Université du Texas à Austin, a surnommé l'objet Maisie's Galaxy, du nom de sa fille. Une autre étude a examiné la toute première image en champ profond de Webb, publiée par le président américain Joe Biden le 11 juillet, et a trouvé deux galaxies potentielles à un décalage vers le rouge de 16, ce qui les placerait à peine 250 millions d'années après le Big Ban. Et d'autres articles d'arXiv spéculent sur d'autres candidats, même jusqu'à des décalages vers le rouge de 20. Certaines galaxies primitives sont étonnamment complexes. Les galaxies lointaines de Webb s'avèrent également avoir plus de structure que les astronomes ne l'avaient prévu. Une étude de la première image en champ profond de Webb a trouvé un nombre étonnamment élevé de galaxies lointaines qui ont la forme de disques. En utilisant Hubble, les astronomes avaient conclu que les galaxies lointaines ont une forme plus irrégulière que les galaxies proches, qui, comme la Voie lactée, affichent souvent des formes régulières telles que des disques. La théorie était que les premières galaxies étaient plus souvent déformées par les interactions avec les galaxies voisines. Mais les observations de Webb suggèrent qu'il y a jusqu'à 10 fois plus de galaxies distantes en forme de disque qu'on ne le pensait auparavant. "Avec la résolution de James Webb, nous sommes en mesure de voir que les galaxies ont des disques bien plus tôt que nous ne le pensions", explique Allison Kirkpatrick, astronome à l'Université du Kansas à Lawrence. C'est un problème, dit-elle, car cela contredit les théories antérieures de l'évolution des galaxies. "Nous allons devoir comprendre cela." Un autre manuscrit de préimpression suggère que les galaxies massives se sont formées plus tôt dans l'Univers qu'on ne le savait auparavant. Une équipe dirigée par Ivo Labbé de l'Université de technologie de Swinburne à Melbourne, en Australie, rapporte avoir trouvé sept galaxies massives dans le champ CEERS, avec des décalages vers le rouge compris entre 7 et 10. "Nous en déduisons que les régions centrales d'au moins certaines galaxies massives étaient déjà largement en place 500 millions d'années après le Big Bang, et cette formation massive de galaxies a commencé très tôt dans l'histoire de l'Univers », ont écrit les scientifiques. Et les études de la chimie galactique montrent également une image riche et compliquée émergeant des données Webb. Une analyse de la première image en champ profond a examiné la lumière émise par les galaxies à un décalage vers le rouge de 5 ou plus. (Les raies spectrales qui apparaissent à différentes longueurs d'onde de la lumière sont en corrélation avec les éléments chimiques composant les galaxies.) Il a trouvé une richesse surprenante en éléments tels que l'oxygène. Les astronomes pensaient que le processus d'enrichissement chimique - dans lequel les étoiles fusionnent l'hydrogène et l'hélium pour former des éléments plus lourds - prenait un certain temps, mais la découverte qu'il est en cours dans les premières galaxies "nous fera repenser la vitesse à laquelle la formation des étoiles se produit". , dit Kirkpatrick. Les galaxies plus proches sont plus petites que prévu. Les surprises de Webb se poursuivent même un peu plus tard dans l'évolution de l'Univers. Une étude a examiné les observations de Webb sur le "midi cosmique", la période d'environ 3 milliards d'années après le Big Bang. C'est à ce moment que la formation d'étoiles a atteint son apogée dans l'Univers et que le plus de lumière a été créée. Wren Suess, astronome à l'Université de Californie à Santa Cruz, a comparé les images Hubble des galaxies à midi cosmique avec les images Webb des mêmes galaxies. Aux longueurs d'onde infrarouges détectées par Webb, la plupart des galaxies massives semblaient beaucoup plus petites que sur les images de Hubble. "Cela change potentiellement toute notre vision de l'évolution de la taille des galaxies au fil du temps", déclare Suess. Les études de Hubble ont suggéré que les galaxies commencent petites et grossissent avec le temps, mais les découvertes de Webb suggèrent que Hubble n'avait pas une vue d'ensemble, et donc l'évolution des galaxies pourrait être plus compliquée que les scientifiques ne l'avaient prévu. Avec Webb juste au début d'un travail prévu de plus de 20 ans, les astronomes savent qu'ils ont beaucoup de changements à venir. "En ce moment, je me retrouve allongé éveillé à trois heures du matin", dit Kirkpatrick, "en me demandant si tout ce que j'ai jamais fait est mal."
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  10. Salut, L'instrument parfait et polyvalent n'existe malheureusement pas. Il faut déjà que tu comprennes certaines bases de l'astrophoto pour comprendre ton besoin final. En astrophoto, plusieurs critères ressortent : - le rapport F/D qui va conditionner le temps de pose en fonction de la sensibilité de la caméra/APN - la résolution souhaitée - l'état du ciel et l'état de la turbulence Vouloir faire du planétaire et du ciel profond avec le même instrument et la même caméra/APN, ça relève de l'utopie. Déjà parce qu'en planétaire, on recherche un F/D élevé, a minima F/20, et qu'en ciel profond c'est le contraire, on recherche un F/D le plus court possible pour avoir le maximum de photons qui arrivent sur le capteur. Le 150/750 a un F/D de 5 (750/150), intéressant en CP, alors que le Mak a un F/D de 12. A F/12, je te laisse imaginer ce qui va rester comme photons sur le capteur de ton APN ou de ta caméra, il va te falloir des poses de plus de 10 minutes. Et 10 minutes de pose avec une focale de 1500mm, ça nécessite une monture surdimensionnée capable de suivre au pixel près pendant 10 minutes. A contrario, avec un F/D de 5 tu poseras 2 ou 3 minutes maxi, avec une focale de 750 qui sera plus tolérant pour la monture. Là tu veux le beurre, l'argent du beurre et même les miches de la crémière, ça n'existe pas malheureusement. Pour débuter soit tu fais le choix du planétaire, soit tu pars directement sur le ciel profond, mais les 2 pratiques sont différentes. Ben il te restait plus qu'à faire la collim à l'ancienne, sur une étoile On vous a trop couvés les jeunes
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  11. Bonjour, j'arrive un peu tard mais comme on dit il n'est jamais trop tard... Le Soleil est étudié sans discontinuer depuis le 17ème siècle, et on a un historique et des données de plus de 400 ans derrière nous pour bien comprendre son fonctionnement. Depuis 400 ans on compte précisément le nombre de Wolf (qui est le nombre de taches solaires à sa surface), ce qui nous permet justement de définir les minimums et maximums solaire. Il s'avère que lors du dernier maximum solaire en 2013, l'activité solaire n'a jamais été aussi faible depuis plus de 100 ans, à tel point qu'on a cru que le Soleil était entré à nouveau dans un minimum de Maunder (je t'invite à rentrer ça dans Google). Donc non, l'activité solaire n'a rien à voir avec le réchauffement climatique. Le prochain maximum devrait arriver autour de 2024. Enfin pour rappel, le cycle solaire de 11 ans est principalement dû aux effets de marée de Jupiter (qui fait une rotation en 11 ans justement) mais aussi dans une moindre mesure de Saturne, Uranus et Neptune. Donc le cycle de 11 ans du Soleil peut varier selon la position des 4 planètes gazeuses. Le dernier maximum devait arriver en 2012, mais il a fallu attendre presque un an (en mai 2013).
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  12. Bonjour @yui, Vous avez pleinement raison. Il n'y aura pas de supernova, pas plus que d'explosion mais "seulement" une inflation colossale du Soleil. Sous la pression du noyau d'hélium les couches externes du Soleil vont être repoussées loin très loin jusqu'à environ 170 millions de km avec un refroidissement vers 3 000 K d'où la couleur plutôt rouge. Mais bien avant cela la vie sur Terre sera devenue très difficile. En effet l'énergie produite par le Soleil augmente d'environ 10% par milliard d'années, ce qui va rendre notre belle planète invivable au profit de Mars par exemple où les conditions énergétiques seront devenues plus favorables. Ils seront quand même sérieusement esquintés. En effet la température du nuage qui va les englober sera de l'ordre de 3 000 K. A cette température, beaucoup de matière sera vaporisée, les roches seront quasi-liquides. Qu'en restera-t-il lorsque le Soleil, qui ne sera plus une étoile se contractera à nouveau mais sans plus émettre d'énergie ? Des boules brûlées qui vont aussi se refroidir, être peut-être libérées de l'emprise gravitationnelle de la nouvelle nébuleuse planétaire et partir vagabonder dans l'immensité spatiale glacée jusqu'à soit être captée par une étoile naissante ou entrer en collision avec un autre objet et fusionner ou donner naissance à un nouveau satellite comme ce fut le cas pour notre Lune. Là j'ai laissé l'imagination vagabonder. Qui vivra, verra, mais l'attente va être un peu longue ! Ney Édit : A la réflexion, puisque les planètes au moins jusqu'à la Terre, mais vraisemblablement Mars aussi seront baignées dans le nuage d'inflation du Soleil, elles vont être sérieusement perturbées dans leur cheminement avec en particulier un freinage, donc un rétrécissement de l'orbite, donc plongée dans un nuage plus dense, donc encore davantage freinées. Il y aura aussi vraisemblablement un effet d'entrainement dans ce même nuage qui se contracte. Est-il alors permis de se demander si les planètes ne vont pas finir leur périple "absorbées" par la nébuleuse planétaire en cours de constitution ? Ce d'autant qu'en s'enfonçant dans le nuage elles vont rencontrer des températures de plus en plus élevées jusqu'à frôler la vaporisation intégrale ! J'ai rapidement recherché des publications la dessus sans rien trouver. Quelqu'un aurait une piste ?
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  13. Bonjour Roger, Je ne suis pas du tout un spécialiste de la mécanique céleste, loin de là, mais il est possible de commencer à répondre à vos interrogations. 1) La réponse est oui. Et sûrement plus de deux par mois lorsque la Lune ou du moins la proto-Lune était très proche de la Terre. Il est communément admis que la Lune a été créée à partir d'une très violente collision entre la Terre et un autre objet très massif il y a de cela 4,5 Mds d'années, nous étions à la naissance du Système solaire. Les premiers débris issus de la collision ont commencé leur accrétion à environ 3,8 Rayons terrestres. Depuis ces temps la Lune a continument accrut les dimensions de son orbite en s'éloignant de la Terre. Par des analyses géologiques fines il a pu être établi qu'à la période du Pré-Cambrien la distance Terre/Lune était d'environ 52 Rayons terrestres, donc une lunaison bien plus courte que 29,5 jours, alors que cette distance est à ce jour de 60 Rayons terrestres. ( James C. G. Walker et Kevin J. Zahnle, « Lunar nodal tide and distance to the Moon during the Precambrian », Nature, vol. 320,‎ 17 avril 1986, p. 600–602 ). 2) Très vraisemblablement non. La Lune s'écarte en effet de la Terre à la vitesse de 3,805 ± 0,004 cm par an (W. M. Folkner and al., « The Planetary and Lunar Ephemerides DE430 and DE431 », IPN Progress Report,‎ 2014). Cet éloignement implique indiscutablement un accroissement de la durée d'une révolution lunaire donc le "mois" lunaire va devenir de plus en plus long. Une conséquence pour nos amis musulmans, il y aura de moins en moins de Ramadan mais chacun sera de plus en plus long. Ce phénomène d'éloignement depuis qu'on le mesure avec une très grande précision a tendance à s'accélérer pour aboutir dans environ 50 Mds* d'années, lorsque la période de révolution de la Lune sera égale à celle de la Terre, c'est à dire lorsqu'il y aura verrouillage gravitationnel des deux astres, à une immobilité relative de la Lune par rapport à la Terre. Chaque quartier de Lune fera alors un trimestre. Youpiiiii, nos descendants astronomes amateurs auront une Nouvelle Lune de 91 jours. Donc 91 nuits sans Lune pour observer le ciel. Deuxième bonne nouvelle, si la Lune s'écarte de la Terre, c'est dû au freinage de la Terre par effet de marée de la Lune. Autrement dit il y a transfert du moment angulaire de la rotation terrestre à l'orbite de la Lune, ce qui accroit cette dernière. Ce ralentissement terrestre entraine l'allongement des jours et donc des nuits d'environ 2,3 millisecondes par siècle. Nous pourrons alors observer plus longtemps. Voilà succinctement un début de réponse à votre double interrogation. Ney Édit : * 50 Mds d'années c'est bien évidemment un modèle mathématique qui le donne. Nous savons tous qu'à cette échéance le Système solaire aura évolué vers une Géante rouge dans environ 5 Mds d'années, pour continuer sa vie en naine blanche dans environ 10 Mds d'années. La Lune comme les 4 premières planètes du Système solaire auront été dévorées par le feu nucléaire de la Supernova.
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  15. Elle est superbe cette photo, je plussoies Dan, les deux carrés à remplir !
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  16. Bonjour, J'ai un Alkaid 10", et j'ai pu stabiliser un peu la colimation avec des entretoises (imprimées 3D) sur les tubes en alu. L'idée originale n'est pas de moi, elle est de @j65 Les photos Le modèles 3D est disponible ici (vous devrez adapter il est prévu pour un 10" pas un 12") https://www.tinkercad.com/things/ezusH6hWHCN-entretoise-alkaid-v3 Cordialement, Stéphane
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  17. Bonjour Hier soir une belle nuit s’annonçait et j’ai ciblé l’IRIS dont les photos publiées sur le forum m’ont toujours plu. 140x120s à l’ASI 294 MC (gain 120 à -10°C)sur SW 254/1200 monté sur EQ6 Pro Rowan guidage ASI 120 MM sur TS 80/328 traitement Siril et Photoshop je vous soumets le résultat, je ne sais pas si j’ai optimisé le traitement. je pense qu’elle mérite un champ plus large, j’essaierai, le temps le permet, avec le réducteur Nexus x0,75 Bon ciel
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  18. Inspiré par la très belle photo de la nébuleuse du cocon prise par Jean-Baptiste Auroux mais sans imaginer atteindre une telle qualité, j'ai profité d'un ciel très clair pour mon arrivée en Bretagne à Pénestin dans le Morbihan pour aller visiter cette très belle cible qu'est IC 5146. Quelques vilains nuages en milieu de nuit ont gâché une cinquantaine de photos mais il m'en restait quand même 80 de 2' chacune soit environ 2h45 de temps d'intégration. Pour le traitement, j'ai essayé celui que m'a conseillé Mary Bonl pour augmenter la quantité de bleu sous PixInsight. A partir de la version RGB, on réalise une version starless avec starnet puis, sur la starless, on applique l'outil rrange mask qui permet de renforcer sélectivement les zones de couleur bleue. Ensuite, sous pixelmath, on additionne la version starless et le star mask pour retrouver la photo dans son intégralité. Simple et puissaant ! Détails techniques : · Lunette Askar FRA500 (F500/D90) · Monture Celestron AVX · Mise en station QHHY PoleMaster · Guidage ZWO1200MM OAG + PHD2 · Focuseur Pegasus FocusCube 2 · Pilotage monture et Séquenceur : NINA · Prise de vue par caméra ZWO ASI 2600 MC PRO (gain 101, Température - 10°C, Offset 50) · Lights 80x120s, 50 DOF · Empilement et prétraitement SIRIL · Traitement PixInsight · Post-traitement Luminar NEO
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  19. Cible de saison, que je n'avais encore jamais imagée, j'ai pointé ma lunette vers le célèbre couple M8 et M20. Entre des nuages, une maison et un lampadaire qui m'a fait un très vilain reflet, j'ai du jeter quasiment la moitié de mes poses. Je reste donc avec moins d'une heure d'exposition (55' précisément) mon Setup : ASKAR FMA 135 avec filtre CLS Pentax K-70 à 800 iso Star Adventurer 55 poses de 60'' Prétraitement et empilement sous SIRIL Traitement sous SIRIL, starnet et gimp. Forcement, ma version souffre la comparaison avec d'autres captures postées récemment, mais c'est ma mienne, et je suis presque satisfait du résultat même si la trouve bruitée (il faudrait certainement plus de poses ?) Si vous avez des conseils pour améliorer capture ou traitement, je suis preneur !! Bon ciel à tous !!
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  20. Quelques photos avec la grenouille la plus célèbre (avec son pote) présente à tous les rassemblements astro où je suis présent 🐸😁 (NAT/Euroastro/NCN):
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  21. Alors tout est parfait, maintenant il n'y aura que du plaisir ,réception des cartons etc...
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  22. Le Newton 150/750 est généralement vendu sur plusieurs montures possibles. Je le voyais plutôt sur une HEQ5, c'est ce qu'il faut pour faire de l'astrophoto du ciel profond. Mais si c'est trop cher, tu peux dans un premier temps commencer avec un 150/750 sur EQ3-2 et t'initier à la photo sans prétention (si tu fouilles sur Internet pour trouver des photos prises avec un 150/750, n'oublie pas de regarder la monture et le capteur, il n'y a pas que le tube optique) et envisager, plus tard, l'achat d'une HEQ5 puis d'un Maksutov 150. Il me semble que c'est ainsi que procèdent le plupart des astronomes amateurs : acheter le matériel petit à petit, pas tout d'un coup. Par contre c'est un avantage d'avoir en tête le matériel final.
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  23. Oui c'est vrai que l'objectif est ouvert, ça permet de poser moins longtemps par photo unitaire 😊
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  24. @sebseacteam Alors pas forcément pour le temps de pose unitaire long (ça m'est revenu après) mais avec un objectif très ouvert déjà. J'avais essayé avec un 1200D défiltré sur un 200/800... et revendu le filtre dans la foulée. C'est vrai que c'est pas simple mais pas impossible. Quelques rares images que je trouve réussies, les données d'acquisition sont avec.
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  25. Salut, Si tu veux shooter en Halpha, il faudra faire 2 sessions du même objet pour garder de la couleur: -Session 1: avec le filtre antipollution lumineuse vissé devant l'objectif comme tu le fais en ce moment -Session 2: retirer le filtre à l'avant de l'objectif et mettre dans le boitier Canon, entre le capteur et l'objectif ceci: https://www.astroshop.de/fr/filtres-h-alpha/filtre-astronomik-h-alpha-12nm-ccd-clip-canon-eos-aps-c/p,16750 Garder le même cadrage entre les 2 soirées pour faciliter l'assemblage. Cette combinaison est valable si tu souhaites une image finale avec les "vraies" couleurs des étoiles. Si tu ne veux que du monochrome, alors le filtre Halpha seul sera ton grand ami , image finale à passer en monochrome à la fin du traitement. Mais comme dit plus haut, tu vas devoir poser longtemps par photo (genre 300s soit 5 min) pour choper du signal et faire pas mal de poses en tout pour lutter contre le bruit. C'est faisable mais pas facile. Quel type de photo tu voudrais obtenir? Un exemple à nous montrer?
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  26. Salut, la galaxie spirale barrée NGC 6951, dans la constellation de Céphée non loin de la Galaxie du feu d'artifice, est située dans une zone très riche en cirrus galactiques. Je ne pensais pas qu'ils ressortiraient autant avec seulement 160min de pose sous mon ciel pollué d'IdF, malgré quelques voiles d'altitude (terrestres ceux-ci). C'est une galaxie active de type Seyfert, située à environ 75 millions d'a.l. qui présente comme particularité de posséder un anneau de formation d'étoiles autour du noyau, de 5 secondes d'arc de rayon. Il me semble bien visible sur la full ci-dessous. Edit : nouvelle version avec beaucoup plus de poses Voici le champ complet (clic droit pour la full): L'anneau autour du noyau mis en évidence : bon WE et bon ciel ! Dan Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 ASI183mm Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 360*60sec à gain 110 et -10 °C. Les meilleures 180 ont été utilisées pour le centre de la galaxie. Chrominance 40*60sec à gain 110 et -10 °C par couche R et B, couche G synthétique Conditions : PL (Tour Eiffel à 20km) turbulence correcte (2.2" après empilement) et transparente médiocre Prétraitement et empilement Siril, traitement PI et Rawtherapee Ancienne version :
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  27. J'ai lu : "va faire un tour dans le stagiaire" , le vendredi avant les congés c'est compliqué la concentration 😁. Je ne manquerait pas de m'informer au sujet du Sagittaire.
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  28. Mais phd2 fonctionne bien avec. Et dans Nina j'ai réussi hier à connecté phd2 mais pas testé le guidage car j'etait chez moi et donc pas de mise en station. C'est la monture que j'arrive bien à connecter à NINA mais ensiite elle ne bouge pas quand je demande d'aller sur la cible choisis dans cadrage
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  29. Morne matin sous la pluie chez les astrophotographes.
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  30. Bon j’ai pas l’habitude d’agresser le monde même sur les forum, alors excuse moi si mes propos t’on semblé désagréables. neanmoins il est de l’intérêt de tout le monde (et de ton projet e construction d’un télescope de 300 ou de 600mm en premier lieu) que ce sujet reste cohérent sinon plus personne ne prendra soin de venir y regarder et t’aider si tu pars dans les considérations de ritchey chrétien ou de lunette apochromatique voire même de traitement photo ou de de télécommande, on s’éloigne clairement de la rubrique bricolage et du projet initial mentionné dans ton titre
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  31. Quand j'ai commencé l'astro, NGC7000 me semblait être une nébuleuse assez fabuleuse par sa taille et ses couleurs. J'ai d'abord essayé de la regarder à l'oculaire dans mon C6 et, évidemment, je n'ai rien vu... Ensuite, quand je suis passé à l'astrophotographie avec caméra couleurs, je me suis rendu compte que la focale de mon C6 était bien trop longue pour un objet aussi grand. J'ai donc acheté une petite lunette ASKAR FMA180 qui permet de voir la nébuleuse dans son ensemble. Mais comme je débutais, j'ai obtenu des résultats assez moyens (fond de ciel rouge, étoiles avec un halo bleu etc...) : Et puis, avec la caméra ASI183MC Pro, le champ n'est pas ultra large... Depuis, j'ai changé de caméra et je suis passé à la ZWO ASI2600 MC Pro. Mais aussi, j'ai progressé dans le traitement et j'ai découvert les ressources incroyables du filtre L-Extreme. Après avoir laissé longtemps reposer ce sujet, je suis enfin revenu vers la nébuleuse America avec un traitement plus complet et une sortie assez personnelle dont je comprendrais très bien que tout le monde ne l'aime pas mais c'est ma vision de la NGC7000 : Dites-moi ce que vous en pensez... Exifs : • Lunette Askar FMA180 (F180/D40=4,5) • Monture Celestron AVX • Mise en station QHHY PoleMaster • Guidage ZWO1200MM OAG + PHD2 • Focuseur Pegasus FocusCube 2 • Pilotage monture et Séquenceur : NINA • Prise de vue par caméra ZWO ASI 2600 MC PRO (gain 101, Température - 10°C, Offset 50), filtre L-Extreme • Lights 80x180s, 50 DOF - composition RVB-HOO • Empilement et prétraitement SIRIL • Traitement PixInsight • Post-traitement Luminar NEO
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  32. Accessoirement et au risque d’être hors sujet, un oculaire de fort grossissement sert aussi et même encore plus en ciel profond et en lunaire, ces objets étant souvent plus hauts je suis souvent à 9 ou 12mm en planétaire sur c8 (f10), alors que le 8mm passe toujours sur m13 ou m57 hauts dans le ciel, et même le 4,7 mm les très bons soirs sur de petites nébuleuses
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  33. Salut, Merci pour l information, et ravie que tu aies solutionné ton problème 🙂. Bon ciel.
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  34. Bravo @Mahou, Votre réponse résout très grandement cette petite énigme. Vous avez tout de suite isolé et déduit du montant les deux filtres pour n'examiner que le prix des cartes et des lampes. 8 lampes c'est 4 X 2 lampes 12 cartes c'est 4 X 3 cartes. Le prix de cet ensemble lampes plus cartes se devait donc d'être divisible par 4. Or 267,50€ / 4 = 66€875 ce qui ne se peut dans le commerce traditionnel où la plus petite unité de prix est le cent (ou centime) sauf à la distribution de carburant. La place est libre pour une nouvelle énigme. Ney
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  35. Certes, j'ai été un peu vite. Mais il n'est pas facile d'additionner 20 articles et avoir un résultat qui fini par .50
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  36. A la différence qu'à côté d'un champignon vénéneux, il n'y a pas une notice MEDAS qui précise sereinement "mangez moi" Tu as raison, mon empathie me tuera... mais ça me va
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  37. Jeudi 14 Juillet, chaleur et bonheur. Chaleur parce que l'on commence à ne plus pouvoir faire 10m sans suer 3 litres et bonheur puisque j'ai réussi à trouver une offre de télescope d'occasion à voir/acquérir pas loin de chez moi. Mon premier après des jumelles pour le coup. Je vous passe le nombre de pages lues, les vidéos, les bouquins, pour tenter de savoir ce qui me conviendrait le mieux... Et l'excitation de part l'annonce. Je file donc voir la bête. Ce Skywatcher Maksutov 150mm est impeccable (selon mes critères de lapin de trois jours en matériel d'astronomie) et je fais donc affaire avec la personne parce que je la sens bien cette affaire. Je rapporte le bestiau à la maison et je suis surpris par la masse des contre-poids, je ne m'attendais pas à si lourd. Je fais tout de suite un montage à blanc histoire de voir si j'ai tout compris. J'échange les deux vis de réglage de l'attitude car elles était inversées, je revisse/démonte le viseur polaire pour lui faire le netteté ainsi que le chercheur et un peu de poussière par-ci par-là. Je n'ai pas regardé la collimation mais le vendeur m'a dit que ça ne bougeait pas trop en théorie sur les Mak. Et également je n'ai pas contrôler l'alignement chercheur/télescope. J'attends alors le soir avec l'instrument posé fièrement dans le salon. Je sais que la Lune ne se lève pas si tard en ce moment et que depuis la chambre je peux la voir monter derrière la montagne en premier plan. Je m'installe alors au pieds du lit. Je ne fais pas de mise en station, je pointe juste la monture "à la grosse" avec le Nord "par là bas". De toute façon je ne peux pas avec les murs autours 😁. Je sue comme pas possible et je m'installe un ventilo pleine face. L'accès n'est pas simple, coincé entre placards/lit/couloir de la chambre... La lueur de l'objet qui arrive m'affole un peu, je crains d'être à la bourre alors j’accélère. Je sue encore plus et je réalise que l'inversion dans le chercheur et dans le Télescope n'est pas pratique du tout pour une première fois. Je vais me chercher une chaise et c'est la crise du logement. C'est en forgeant... qu'il disait. Finalement la lueur devance de beaucoup la sortie effective de la Lune alors j'ai le temps de pratiquer la mise au point du Maksutov sur la cime des arbres et les molettes de déplacement de la monture EQ5. C'est pas évident et j'aurais dû m’exercer dans l'après-midi. La Lune arrive enfin derrière les arbres de la montagne et... Waouh, elle paraît énorme et sacrément lumineuse !😃 Je n'ai que l’oculaire SW 28mm LET et j'ai l'impression que ce ne sera pas assez large pour tout contenir. Finalement j'ai la mâchoire par terre après qu'elle semble flirter avec la cime des arbres de bonnes minutes puis la tour de télécommunication du coin ! C'est magique, je n'en reviens encore pas de la taille qu'elle a ! (j'apprendrai le lendemain que c'était donc une presque super Lune). Littéralement scotché par les détails, c'est époustouflant. Je "whatsapp" tout le monde avec de belles tentatives au tél dans l'oculaire. J'abuse encore plusieurs minutes jusqu'à ce qu'elle atteigne le cadre supérieur de la fenêtre (j'ai quand même eu pas mal de bol avec cette affaire de fenêtre). Je rebouche le télescope, un drap par dessus, la chambre en mode camping et je m'étale sur le lit avec encore en tête ces images fabuleuses. Quelle soirée !
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  38. Super CROA ! Tu as parfaitement compris ce qu'il fallait raconter. Comme les autres, j'aime beaucoup les photos de la Lune avec le décor d'avant-plan.
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  39. Bonjour ! Concernant les étoiles floues, tu décris un gros problème de collimation (étoiles impossibles à mettre au point). Est-ce que tu as beaucoup d'expérience en collimation ou bien on peut faire l'hypothèse que tu n'as pas su la faire ? Mais avant la collimation, je te suggère de faire les vérifications au début de cet article : https://www.webastro.net/noctua/les-fiches-techniques/régler-son-télescope-collimation-etc-r142/ J'ai eu un 115/900 à mes débuts (dans les années 1980, donc avec ses oculaires Huygens) et l'image s'était peu à peu dégradée. Un jour Ciel et Espace a fait un article pratique sur la collimation (le mien en est largement inspiré), j'ai compris que mon porte-oculaire ne pointait plus vers le centre du miroir secondaire, j'ai refait le réglage. Et du jour au lendemain j'ai vu des étoiles fines et même les anneaux de diffraction. Dans ton cas, pour ne même pas pouvoir faire la mise au point, je soupçonne un problème de ce genre. Surtout que tu dis avoir démonté le miroir : ça expliquerait tout (hypothèse : tu as oublié des réglages lorsque tu l'as remonté).
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  40. Quel usage pour ce mak ? -Astrophoto ciel profond avec un apn ou visuel ? Si c'est pour de l'astrophoto avec un apn pour du ciel profond, les contraintes sont lourdes pour débuter. Pas impossible mais pas l'idéal ! Si c'est pour du visuel un 150 ou 127 seront à peu prêt équivalents puisque la taille du miroir est à peu près équivalente. Pas sur un 127 en tout cas. Tu le sors un peu avant d'observer, histoire de le mettre en température.
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  41. Bonjour, J'ai profité de cette belle journée avant les chaleurs (donc avant 10h30) pour imager le Soleil avec l'ASI 1600 MM en Ha au Solarscout et au Quark Daystar Ca sur la Bresser 150/1200. Cela permet d'imager le disque complet sans mosaïque (ce que je n'arrive pas à faire bien avec la SolarScout). Ma surprise a été de voir des protubérances en Ca, faibles mais visibles; par contre n'étant pas un as du traitement ça ressort pas très bien. je crois qu'il faut aussi que je modifie mes paramètres d'acquisition pour qu'elles ressortent mieux (peut-être) à suivre. Soleil complet à la Solarscout . Soleil complet en Ca Voilà l'image où on distingue les protus en Ca (Gain augmenter à l'acquisition et traitement plus poussé) Pour le reste rien de très spectaculaire en ce moment, je vous poste la plus belle.
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  42. Tu vas voir des gros plans d'anisettes et de pastis 😁
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  43. Voici la version traitée par mon bon ami @Fabiolat74 (encore merci !!). Cela permet de mieux voir la queue de la comète. C'est sur la base de ma prise d'image avec le filtre LPS-P3 (et pour le traitement : aucune idée, il faudra demander au maestro !). C9.25 à f/2,2 + QHY183C + LPS-P3 - 50x30s (25mn). Traité à partir du fichier .fits (donc pas avec les unitaires) C'est de la "photo souvenir", mais sympa quand même
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  44. J'ai mis en ligne la documentation Kstars v3.5.9 dans la rubrique Logiciels du site. Bonnes vacances.
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  45. Au cours d'une nuit de bivouac aux lacs de Lignin (04) Canon 6D + 16-35mm f:2.8 à 16mm 20 images à 6400 ISO f:3.2 20" accumulées sous StarryLandscapeStacker. Alone In The Dark by jean-paul mission, sur Flickr
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