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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 07/31/22 dans toutes les zones
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Salut, Petit souvenir des NCN 2022 qui nous ont offert deux nuits de splendeur dans la voie lactée avec en visuel des moments vraiment magique. En photo le vent a parfois compliqué un peu les choses mais, pas de doute, on avait du signal. SHO sur la zwo 1600mm et la fsq85 Les pauses de 180s sont limite un peu trop pour la zone centrale et mes masques d'étoiles... bien imparfaits. J'ai tenté de conserver le max de dynamique. Le crop carré est le résultat d'un .... oubli de cadrage avant de lancer la session.8 points
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Bonjour à tous, Je poursuis ma série des nébuleuses sombres du catalogues LDN avec LDN1235: la nébuleuse du requin sombre (qui porte parfaitement bien son nom je trouve!) Le matériel utilisé est le suivant: Newton 200/800 Réducteur Starizona 0,75X (donc rapport f/d =3) Caméra ASI2600MC + filtre Ir-Cut Guidage avec un diviseur optique et une caméra ASI290mm (guidage délicat malheureusement à cause du vent) Monture Ioptron CEM40 Pilotage avec un Asiair Pro 118*120s + DOF: J'en profite également pour faire appel à la sagesse collective du forum sur un défaut que je constate sur cette image: le retournement au méridien me provoque un dédoublement des aigrettes. J'avais déjà constaté ce problème en février lorsque j'avais imagé le couple M81/M82. A l'époque j'avais pensé que mon tube avait glissé dans les anneaux lors du retournement mais aujourd'hui je ne crois plus à cette hypothèse. J'ai plutôt l'impression que ce décalage des aigrettes lors du retournement se produit lorsque j'image proche du pole Nord céleste. Je soupçonne un défaut d'orthogonalité quelque part mais j'ai du mal à cerner précisément le problème. Avez vous une idée de ce qui peut se passer? Nico5 points
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Salut à tous, Ca fait 2 ans quasi jour pour jour que j'ai mon dobson. Voici un petit compte-rendu sans prétention de ce matériel. Déjà, un peu de contexte. C'est mon 3ème instrument et 2ème télescope. Je suis passé par une petite lunette (60mm je pense) quand j'étais très jeune, optique plutôt bonne mais monture déglinguée, et par un Meade 130/1000 GoTo quand j'avais 13 ans, en 2008. Le tout avec les oculaires de base (un Plössl 10 et 25 dans le cas du télescope, pour la lunette je ne sais plus). La lunette était correcte mais le Meade vraiment bof : incapable de se mettre en station tout seul correctement, optique pas très bonne (la barlow intégrée y étant pour quelque chose), je n'utilisais même plus le moteur et me contentais de pointer sans chercheur (le point rouge n'a jamais fonctionné correctement). Je me souviens aussi avoir été bluffé par les GSO 200 et 250 de mon club d'astro : le champ était large, lumineux, le tube très facile à manier. Ca m'avait fait réaliser que mon Meade GoTo n'était pas un bon choix, et que j'aurais dû m'orienter vers un Dobson. Mais bon, à 13 ans et malgré les conseils de mon club d'astro, j'étais parti là dessus. Mes loisirs fonctionnant par cycle et le Meade m'ayant un peu dégouté, j'ai fait une longue pause astronomique. Jusqu'à Neowise. Là, regain d'intérêt pour la discipline, je me rends compte que j'ai encore des connaissances, que l'astrophysique est toujours aussi passionnante, que je sais toujours pointer pas trop mal, et je me retrouve vite limité avec mon matériel. J'ai envie d'aller plus loin, et je savais qu'un Dobson répondrait à mes attentes : du visuel aucunement assisté, du diamètre, et de la simplicité d'utilisation. Mon choix s'est arrêté sur le Sky-Watcher Classic 250P (254/1200) : Il est dans mon budget Le diamètre permet des observation correctes du ciel profond La marque est plutôt reconnue L'encombrement et la transportabilité sont acceptables Matériel commandé en juillet 2020 sur Optique Unterlinden. Par rapport à mon Meade c'est le jour et la nuit : les oculaires de base sont de bonne qualité, le champ est riche. Et puis bon, voilà quoi, la taille ça compte quand même 😄 Il est livré avec : Un Super Plössl 10mm et un 25mm 2 bagues pour passer en 1,25" un chercheur 9x50 La base fait 12,5kg, le tube 15kg. La seule modification que j'y ai apporté est le collage d'un patin en bas du tube pour éviter qu'il ne cogne trop fort contre la base au zénith (cf. photos plus bas). Comme ça c'est amorti, le miroir ne subit pas de choc en cas de mauvaise manip. En 2 ans je l'ai relativement couramment utilisé, avec une longue pause suite à mon déménagement à la campagne (et tout ce que cela implique). Alors, le test ! Déjà, vu le peu d'instruments que j'ai touché, mon avis est extrêmement subjectif et ce "test" pas du tout rigoureux. Mais au bout de 2 ans, j'ai pu identifier les points positifs et négatifs qui bénéficient ou nuisent à mes observations personnelles. Les plus : Le rapport qualité/prix : acheté 575€ neuf (les prix ont bien montés depuis), y'a rien à dire. Les oculaires livrés avec sont bons, il est solide, facile à régler, stable. La collimation est très stable. J'ai déjà lu et entendu des avis contraires, mais le mien n'a que faire des déménagement, des balades en voiture dans les chemins de forêt où les racines et pierres raclent le châssis de ma voiture quand mon GPS fait n'importe quoi, ça reste aligné. Bon par contre je suis très soigneux avec, les petits chocs sont rares. J'ai juste failli me vautrer avec le tube dans les bras à l'une de ses premières sorties 😱 Fichu trottoir. L'encombrement est correct : la base prend de la place, mais elle tient dans le coffre de ma 207. Le tube quant à lui tient tout juste sur ma banquette arrière. Je n'ai plus qu'à l'attacher avec 2 ceintures de sécurité et on est partis (voir photos). La simplicité de montage et d'utilisation. Bon c'est un Dobson, tout est dit. En prenant mon temps pour être précautionneux, je le monte en 2' tout compris : je sors la base du coffre, je la pose, je sors le tube je le pose dessus, je vis les 2 manettes de serrage, je fixe le chercheur, ma bague 2"-1,25" et voilà. Les manettes de serrage sont pratiques à utiliser (roulement à bille), la petite "boule" sous le tube pour le guider aussi. Le chercheur, 9x50 réticulé, est dingue. Beaucoup ne jurent que par le Telrad, mais quand on sait manier ce chercheur on peut être vraiment efficace. Il est super lumineux. Pour donner une idée par bon ciel j'y aperçois M51. Au niveau du champ, il est un tout petit peu plus grand que l'écartement entre Beta Lyr et Gamma Lyr, les 2 étoiles qui entourent M57. Il est entièrement démontable ce qui permet d'évacuer l'humidité en fin de séance (sans le déregler d'ailleurs). J'utilise une technique consistant à ouvrir les 2 yeux pour voir à la fois où je pointe dans le ciel et à la fois une version zoomée (mais inversée) de la zone. C'est pas du tout intuitif pour un débutant mais quand on est habitué c'est efficace. Par contre par ciel très sombre la réticule est difficile à distinguer. Après, un Telrad serait un très bon complément, c'est un achat que j'envisage. Le chercheur, une fois réglé avec 2 vis, ne bouge pas. Je le démonte systématiquement à la fin de la séance, la fois d'après je le remonte, il est toujours parfaitement réglé. Je le transporte dans une caisse à mousse. La collimation du primaire est facile avec le système de double vis : une pour verrouiller et une pour pousser/tirer le miroir. Les moins : Il supporte mal les oculaires très lourds. L'ES de 40mm de @bpollet, qui fait 1,2kg, est un poil trop lourd pour la monture. Il faut serrer les manettes au maximum et c'est pas stable. Le PO est assez mauvais : il existe une vis pour verrouiller le mouvement à coulisse, mais très compliquée à doser : trop serrée ça tourne dans le vide, trop lâche il descend tout seul à la moindre pression. Avec un oculaire lourd, il s'enfonce tout seul. Il y a peut-être un réglage à faire avec un tournevis. Je vais changer pour un crayford démultiplié. Les mouvements sur l'axe vertical sont doux grâce aux patins au niveau de l'axe et à la manette à roulement à billes, mais les mouvements sur l'axe horizontal sont beaucoup plus durs. On peut jouer sur une vis et un écrou (faut retourner la base c'est pas faisable en live), mais ça reste moins doux que les GSO que j'avais testé, qui lui était limite trop "glissant". Ca demande une certaine habitude pour être à l'aise. La collimation du secondaire est moins simple, il faut une clé Allen, on ne peut pas regarder dans l'oculaire et régler les 3 vis facilement. Le rack porte oculaire sur le côté de la base est difficile à fixer car le bois est très dur. En l'absence de visseuse électrique je n'ai pas pu le visser correctement. La hauteur du PO. Il n'existe aucune position convenable. Je suis systématiquement cassé en deux, ce qui rend mes séances plus qu'inconfortables. De plus, je ne suis pas très grand (1m70), j'imagine pas la galère pour les gens plus grands. Je vois 2 solutions : une chaise capable de monter et descendre, ou une base de 30 ou 50cm pour poser le socle. Mais bon, je pense que c'est un défaut que connaissent tous les Dobson... Quelques exemples d'observations "classiques" : M42 : superbe, sous ciel pollué il m'a semblé voir de la couleur, pas sûr. M57 : on peut zoomer sévèrement (x250) sans perdre de qualité. Les nébuleuses du Sagittaire sont bien brillantes, on voit du détail. M27 est très lumineuse. Toutes les planètes sont accessibles. M13 supporte très bien le grossissement (x250 là encore), c'est splendide. Quelques exemples d'observations "extrêmes" sous bon ciel : La double-double de la Lyre, sans aucun souci si bien collimaté, à x250 La naine blanche de M27 L'enroulement des bras de M51 Les dentelles du Cygne sans filtre, très ténues La bande de poussière de M31 Éclipse d'un satellite sur Jupiter Par un air très stable, des détails de fou sur Saturne à x500. En résumé, ce Sky-Watcher est de mon point de vue un excellent télescope pour se mettre un peu plus sérieusement au ciel profond. Évidemment ça reste de la grande série avec ses défauts et son miroir qui n'est pas artisanal, mais pour le prix c'est pas déconnant. Avant d'arriver au bout de ses capacité, on peut passer une sacrée poignées d'heures derrière l'oculaire. Le nombre de nébuleuses, d'amas et surtout de galaxies accessibles est dingue. Quand ma panoplie d'oculaires et de filtres sera complète, je ne serai pas prêt d'avoir fait le tour du ciel profond. 😁 2 CROA : Et quelques photos. Ici dans une C5 sur la route des vacances : Les bagues : Le chercheur : La manette de guidage : Le petit pare-choc rajouté à la base du tube : Le rack porte-oculaire : Une manette de serrage : Émile3 points
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Sur le site de Nature (traduction automatique) https://www.nature.com/articles/d41586-022-02056-5?utm_term=Autofeed&utm_campaign=nature&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1658942898 Quatre révélations du télescope Webb sur les galaxies lointaines La NASA a construit son télescope spatial James Webb à la pointe de la technologie pour scruter l’Univers lointain et revenir vers la nuit des temps – et elle le fait déjà de manière spectaculaire. Au cours des deux semaines qui se sont écoulées depuis que les premières images et données scientifiques de Webb sont devenues disponibles pour les astronomes, ils ont signalé un flot de découvertes préliminaires, y compris de multiples prétendants à ce qui pourrait être la galaxie la plus lointaine jamais vue. Les images de Webb révèlent une multitude de galaxies scintillant dans le cosmos lointain, apparaissant comme elles l’ont fait quelques centaines de millions d’années seulement après le Big Bang il y a 13,8 milliards d’années. Les images étonnamment nettes du télescope ont brisé les idées préconçues des astronomes sur l’Univers primitif. « Nous avions en tête une idée de ce à quoi ressembleraient les galaxies à ces [distances] et de la quantité de détails que nous pourrions voir, mais je pense que la réalité nous époustoufle un peu », explique Jeyhan Kartaltepe, astronome au Rochester Institute of Technology à New York. Voici quelques leçons que les astronomes apprennent des premières observations de Webb. Il y a énormément de galaxies là-bas. Parce que Webb détecte la lumière infrarouge et parce que l’expansion du cosmos étire la lumière vers des longueurs d’onde plus rouges, le télescope est bien adapté pour repérer les galaxies qui se sont formées au début de l’histoire de l’Univers. Dans ses premiers programmes d’observation, qui ont débuté en juin, Webb a découvert de nombreuses galaxies lointaines qui se trouvent hors de portée d’autres observatoires, tels que le télescope spatial Hubble. « Cela suggère ce que beaucoup d’entre nous ont soutenu, qu’il y a des galaxies au-delà de ce que nous avons vu avec Hubble », explique Richard Ellis, astronome à l’University College de Londres. L’ère des premières galaxies a commencé à « l’aube cosmique », commençant peut-être environ 250 millions d’années après le Big Bang, lorsque les premières étoiles se sont formées et ont illuminé l’Univers. Les générations ultérieures d’étoiles se sont amassées en galaxies, qui sont les faibles taches rouges que Webb commence à découvrir. Beaucoup d’images de Webb sont parsemées de galaxies jamais vues auparavant dans l’Univers lointain. « Il n’y a pratiquement pas d’espace vide qui n’a pas quelque chose », dit Kartaltepe. Une étude a passé au peigne fin les données de nombreux champs de galaxies lointaines que Webb a observés jusqu’à présent, afin d’analyser la vitesse à laquelle les étoiles se sont formées dans l’Univers primitif. Il a trouvé 44 galaxies jusque-là inconnues remontant à moins de 300 millions d’années du Big Bang. Combinés à 11 galaxies précédemment connues, les résultats montrent qu’il y avait une population importante de galaxies formant des étoiles dans l’Univers primitif. Les résultats « réaffirment l’énorme potentiel des futurs programmes [Webb] plus importants pour transformer notre compréhension du jeune Univers », a écrit l’équipe, dirigée par Callum Donnan de l’Université d’Édimbourg, au Royaume-Uni, dans un article sur le serveur de préimpression arXiv. De nombreuses galaxies sont en compétition pour le titre « le plus lointain ». La ruée la plus médiatisée est peut-être la ruée des équipes de recherche en lice pour identifier la galaxie la plus lointaine dans les données Webb. Un certain nombre de candidats ont été repérés qui devront être confirmés par d’autres études, mais tous battraient le record de Hubble pour la galaxie la plus lointaine, qui date d’environ 400 millions d’années après le Big Bang. Un concurrent est apparu dans une enquête Webb appelée GLASS qui comprenait une autre galaxie légèrement moins lointaine dans la même image. "Le fait que nous ayons trouvé ces deux galaxies brillantes, c'était vraiment une surprise", déclare Marco Castellano, astronome à l'Institut national d'astrophysique de Rome. Lui et ses collègues ne s'attendaient pas à trouver des galaxies aussi éloignées dans cette petite partie du ciel. Une deuxième équipe a également repéré indépendamment les deux galaxies. Les astronomes caractérisent la distance des galaxies avec une mesure connue sous le nom de décalage vers le rouge, qui quantifie à quel point la lumière d'une galaxie a été décalée vers des longueurs d'onde plus rouges ; plus le décalage vers le rouge est élevé, plus la galaxie est éloignée. Le candidat GLASS a un décalage vers le rouge d'environ 13. Mais les 25 et 26 juillet, quelques jours après que les astronomes ont signalé les galaxies GLASS, des articles affirmant des décalages vers le rouge encore plus élevés ont inondé le serveur de préimpression arXiv. "Ce n'est que le début du début", déclare Rohan Naidu, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics à Cambridge, Massachusetts. Un candidat, avec un redshift de 14, a émergé dans une enquête appelée CEERS, l'un des premiers projets les plus en vue de Webb. Le chercheur principal du CEERS, Steven Finkelstein de l'Université du Texas à Austin, a surnommé l'objet Maisie's Galaxy, du nom de sa fille. Une autre étude a examiné la toute première image en champ profond de Webb, publiée par le président américain Joe Biden le 11 juillet, et a trouvé deux galaxies potentielles à un décalage vers le rouge de 16, ce qui les placerait à peine 250 millions d'années après le Big Ban. Et d'autres articles d'arXiv spéculent sur d'autres candidats, même jusqu'à des décalages vers le rouge de 20. Certaines galaxies primitives sont étonnamment complexes. Les galaxies lointaines de Webb s'avèrent également avoir plus de structure que les astronomes ne l'avaient prévu. Une étude de la première image en champ profond de Webb a trouvé un nombre étonnamment élevé de galaxies lointaines qui ont la forme de disques. En utilisant Hubble, les astronomes avaient conclu que les galaxies lointaines ont une forme plus irrégulière que les galaxies proches, qui, comme la Voie lactée, affichent souvent des formes régulières telles que des disques. La théorie était que les premières galaxies étaient plus souvent déformées par les interactions avec les galaxies voisines. Mais les observations de Webb suggèrent qu'il y a jusqu'à 10 fois plus de galaxies distantes en forme de disque qu'on ne le pensait auparavant. "Avec la résolution de James Webb, nous sommes en mesure de voir que les galaxies ont des disques bien plus tôt que nous ne le pensions", explique Allison Kirkpatrick, astronome à l'Université du Kansas à Lawrence. C'est un problème, dit-elle, car cela contredit les théories antérieures de l'évolution des galaxies. "Nous allons devoir comprendre cela." Un autre manuscrit de préimpression suggère que les galaxies massives se sont formées plus tôt dans l'Univers qu'on ne le savait auparavant. Une équipe dirigée par Ivo Labbé de l'Université de technologie de Swinburne à Melbourne, en Australie, rapporte avoir trouvé sept galaxies massives dans le champ CEERS, avec des décalages vers le rouge compris entre 7 et 10. "Nous en déduisons que les régions centrales d'au moins certaines galaxies massives étaient déjà largement en place 500 millions d'années après le Big Bang, et cette formation massive de galaxies a commencé très tôt dans l'histoire de l'Univers », ont écrit les scientifiques. Et les études de la chimie galactique montrent également une image riche et compliquée émergeant des données Webb. Une analyse de la première image en champ profond a examiné la lumière émise par les galaxies à un décalage vers le rouge de 5 ou plus. (Les raies spectrales qui apparaissent à différentes longueurs d'onde de la lumière sont en corrélation avec les éléments chimiques composant les galaxies.) Il a trouvé une richesse surprenante en éléments tels que l'oxygène. Les astronomes pensaient que le processus d'enrichissement chimique - dans lequel les étoiles fusionnent l'hydrogène et l'hélium pour former des éléments plus lourds - prenait un certain temps, mais la découverte qu'il est en cours dans les premières galaxies "nous fera repenser la vitesse à laquelle la formation des étoiles se produit". , dit Kirkpatrick. Les galaxies plus proches sont plus petites que prévu. Les surprises de Webb se poursuivent même un peu plus tard dans l'évolution de l'Univers. Une étude a examiné les observations de Webb sur le "midi cosmique", la période d'environ 3 milliards d'années après le Big Bang. C'est à ce moment que la formation d'étoiles a atteint son apogée dans l'Univers et que le plus de lumière a été créée. Wren Suess, astronome à l'Université de Californie à Santa Cruz, a comparé les images Hubble des galaxies à midi cosmique avec les images Webb des mêmes galaxies. Aux longueurs d'onde infrarouges détectées par Webb, la plupart des galaxies massives semblaient beaucoup plus petites que sur les images de Hubble. "Cela change potentiellement toute notre vision de l'évolution de la taille des galaxies au fil du temps", déclare Suess. Les études de Hubble ont suggéré que les galaxies commencent petites et grossissent avec le temps, mais les découvertes de Webb suggèrent que Hubble n'avait pas une vue d'ensemble, et donc l'évolution des galaxies pourrait être plus compliquée que les scientifiques ne l'avaient prévu. Avec Webb juste au début d'un travail prévu de plus de 20 ans, les astronomes savent qu'ils ont beaucoup de changements à venir. "En ce moment, je me retrouve allongé éveillé à trois heures du matin", dit Kirkpatrick, "en me demandant si tout ce que j'ai jamais fait est mal."2 points
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Bonjour à tous, L'été est propice aux objets floraux. Après l'iris ou la tulipe, je vous propose une rose, en l'occurrence celle découverte par Caroline Herschel. Dans la constellation de Cassiopée, c'est un très joli amas ouvert. Setup : - FMA135 - ASI178MC - StarAdventurer 440 poses de 40 secondes, gain 120 soit 4h50 d'intégration Après quelques déception sur des nébuleuses et M5, je suis très content du couple FMA135 + ASI178. Moralité, il faut soigner la mise au point. Je me rend également compte que même avec mon ciel très pollué, avec des poses de 40-30 secondes, un filtre apporte plus de désagrément que d'avantage, notamment pour peaufiner la mise au point. Bien sur, les critiques et conseils sont toujours les bienvenus. Bon ciel à tous !!1 point
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Bonjour à toutes et tous, Je vous présente ma première image de cette région du ciel : un grand champ s'étendant de l'entourage de Sadr et la nébuleuse du Papillon IC1318 jusqu'à la nébuleuse North America. J'ai eu quelques difficultés à obtenir exactement le champ que je souhaitais (rotule photo un peu "molle") mais je ne regrette pas d'avoir pris le temps de le faire. J'ai réalisé cette image avec un pentax k3-II non défiltré et un ancien objectif pentax smc 135/2.5 à f4 montés sur une vixen photo guider gp2 sans autoguidage. J'ai empilé 100 poses de 3 min à 800 iso. Côté traitement : SIRIL + GIMP + Darktable D'avance merci pour vos critiques et commentaires !1 point
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A vérifier mais je ne sait pas si c'est bien prudent de se lancer sur du solaire avec un 400, comme le dis le président de notre club vous n'avez que 2 essais. L'oeil droit puis l'oeil gauche😬1 point
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Bonsoir à tous, Voici une cible qu'on voit pas mal en ce moment mais pour moi toutes ces cibles sont une première. Je vous présente donc NGC7023 ou nébuleuse de l'Iris Imagée cette nuit entre 11h et 3h30 38x240s (soit 2h38) sur 60, j'ai perdu 22 images, problème autoguidage certainement à cause du vent. Va falloir que j'arrive à tout faire passer par NINA car pour le moment j'ai juste l'acquisition, pas l'autoguidage (je n'ai pas réussi à faire passer PHD2 sur NINA) ni connecter la monture à NINA. Ca me permettrait de recentrer plus facilement, régulièrement et automatiquement et cibler plus facilement aussi + utiliser l'astrométrie. Vos conseils sont donc les bienvenue Setup : Lunette TS80 + Réducteur 0.79 + ASI294MC Pro + filtre IrCut sur EQG Goto Autoguidage Orion 80 + DMK41 + PHD2 Gain 120 à -10° 25DOF Traitement SIRIL A+ Manuel.1 point
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Le backfocus ou tirage optique est une notion d'optique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Tirage_mécanique Pour un correcteur/réducteur, c'est la distance nécessaire pour qu'on puisse l'insérer dans la chaîne optique et obtenir la mise au point. On donne le BF pour la mise au point à l'infini, qui est en général le BF le plus court.1 point
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Image d'un quadruplet avec deux doublets fixes: Vixen NA 140SS ou Televue 127is (formule Petzval) Pas de BF à respecter.1 point
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Bonjour, Je n'ai jamais eu l'occasion de vérifier la formule optique d'un quadruplet. Donc je ne sais pas si il s'agit de deux doublets fixes dans le corps de la lunette, ou d'un doublet fixe à l'entrée du tube et d'un doublet mobile dans le PO. Dans ce dernier cas, il doit y avoir une obligation de respect du BF. Il agit donc comme un aplanisseur de champs, et possiblement aussi de correcteur du chromatisme. A vérifier sur ce dernier point. J'ai une apo triplet et le constructeur vend aussi aplanisseur de champ (il ne fait que cela dans mon cas) qui est un triplet à visser sur le PO, donc un sextuplet, mais il faut respecter le BF. Je n'ai jamais un trop envie de me casser la tête avec cela, donc pas d'aplanisseur. L'aplanisseur est intéressant pour les grands formats de caméra. Je me contente d'une ASI 224MC, et d'une 290MM, donc l'aplanisseur n'est pas utile. Le réducteur de focale qui corrige le champ me semble plus utile, mais il faut aussi respecter le BF.1 point
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Est 'il possible de recentré le sujet sur l'espace et l'astronomie ? Il existe bien d'autres sites d'info qui débattent de cette guerre. Je ne pense pas que Webastro soit le bon site pour en parler.1 point
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Bonjour à tous, Voici ma version de la nébuleuse du Croissant NGC 6888 en HOO, dernière image avant les grandes vacances! Il s’agit d’une étoile Wolf-Rayet très chaude, qui expulse par de forts vents stellaires son enveloppe d'hydrogène. On distingue aussi la nébuleuse de la Bulle de savon (PN G75.5 1.7), particulièrement ténue en bas à gauche de l'image, qui est une nébuleuse planétaire, la fin de vie d'une petite étoile. Ciel Bortle 7 de région parisienne, environ 8h en tout. Traitement Pixinsight et Photoshop. Merci pour vos commentaires et bon ciel! Mon setup: lunette Esprit100 sur monture HEQ5, ASI183MM et ASI120 pour l’autoguidage1 point
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Salut ! Actuellement dans un camping en Corrèze j'ai pris mon dob 400 et la table equato qui va avec. Je comptais faire du lunaire avec la qhy290 récemment acquise. Mais trop de lumière aux alentours pour du visuel en CP. Qu'à cela ne tienne, ça me grattait depuis un p'tit moment de me re frotter au VA. Donc c'est parti pour un test sur m57. Pas trop mécontent du résultat au final. Me manque juste un Bathinov et un réducteur de focale digne de ce nom, j'ai acheté un svbony histoire de... Mais grosses cata sur les étoiles. Donc voilà mon test avec dob 400 f4.5 et qhy290. Juste 144 sec par prise de 1 sec. Peut mieux faire, mais pour un truc à l'arrache... Ma foi ça passe Si vous avez des idées pour d'autre cible pas trop grosse pour mon capteur0 point
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BILAN DE TROIS SEANCES DU MOIS DE JUIN 2022 Bonjour à tous, Avec un sacré retard je poste les dessins de plusieurs séances d'observations menées au cours du mois...de juin ! La Dentelle du Cygne à la FC100. On ne la présente plus bien évidemment. Ce fut une belle nuitée. La lunette FC100 fut de sortie et, équipée d'un filtre UHC et du ES40mm, je me suis autorisé une belle observation de cet objet mythique du ciel d'été. La nébuleuse de l'Aigle au C11 A l'occasion d'une autre veillée nocturne, ce fut autour de cette splendide nébuleuse de l'Aigle d'être croquée au T280mm. Le même oculaire fut choisi ainsi que ce joli filtre UHC. Les piliers se devinent alors au coeur de cette nébuleuse. Un bel amas globulaire : NGC 6712 au C11. Cet objet est déjà moins connu ! Une petite carte s'impose. L'amas se situe donc au coeur de la constellation de l'eau. Il affiche une magnitude de 8,7. Il se résout aisément au C11. Certes pas aussi impressionnant qu'un M13 sous des cieux plus nordiques ou un M22 du Sagittaire, mais tout de même ! Il m'est apparu d'une circularité irrégulière. Bon ciel estival sous la canicule... Gildas0 point
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Bonjour à tous, Petite première pour moi, à savoir la photo du soleil. J'ai enfin testé la photo de notre étoile. C'est une modeste première tentative, mais j'aime bien le résultat J'ai suivi les vidéos/conseils de @CDLC Le Setup: Canon 1100d défiltré total + Sigma 70-300mm Apo + Filtre Baader ASBF 50 od5 - 10 poses à 300mm iso 100 et 1/4000s - Traitement avec Pixinsight0 point
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DU COTE DU RENARD Bonjour à tous, Nouvelle observation hier soir sous des cieux cléments. Au programme, un amas pas si visité que cela : NGC 6823 du Renard. Cet amas est intéressant à observer à l'aide d'un filtre UHC pour laisser paraître des nébulosités tout autour. Ces nébulosités sont très faibles à vrai dire et il est difficile de les délimiter. Néanmoins, on perçoit bien une zone plus "vide" à la périphérie immédiate de l'amas qui semble quant à lui bien plus "nuageux" à l'aide de ce même filtre. Puis, selon une circonférence plus ample, le champ devient plus nébuleux. Filtre nécessaire encore que...Au Nagler 31mm, il était possible de noter ce pourtour "nuageux" sans trop de difficulté. J'ai terminé ma petite soirée par une splendide contemplation de la nébuleuse Oméga à l'aide du ES40mm : décidément cet oculaire fonctionne plutôt très très bien. La nébuleuse paraissait minuscule dans un champ d'étoiles époustouflant, et pour autant la forme remarquable de cette nébuleuse était déjà bien notable. Bon ciel ! Gildas0 point
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Date d’observation : Dans la nuit du 29 au 30 juillet 2022 Heure d’observation : Non précisé Lieu d’observation : Haubourdin Type de ciel : Ciel urbain (près de Lille) Instrument(s) utilisé(s) : Dobson Orion XT10g (Diamètre : 254 mm / Focale : 1200 mm) et lunette Takahashi FC-76 (Diamètre : 76 mm / Focale : 570 mm) Oculaires / champ / grossissement respectif (avec le Dobson) : - Pentax XW 20 mm (70° / 60 X) - Televue Nagler 12 mm (72° / 100 X) - Televue Nagler 7 mm (82° / 171 X) - Pentax XW 7 mm (70° / 171 X) Oculaires / champ / grossissement respectif (avec la lunette) : - Pentax XW 20 mm (70° / 29 X) - Televue Nagler 12 mm (72° / 48 X) - Televue Nagler 7 mm (82° / 81 X) - Pentax XW 7 mm (70° / 81 X) Filtres : - UHC Astronomik : Non - OIII Astronomik : Non - H-Beta Astronomik : Non Conditions : Ciel bien dégagé avec des températures fraîches pour la saison. Objet(s) observé(s) : - Lune : Non - Planète(s) : Non - Ciel profond : Oui (M13, M92, M57 & GSC 2642-0433 et Albiréo) Préface ! Bonjour, Cela faisait bien longtemps que je n’avais plus mis l’œil à l’oculaire. Qu’à cela ne tienne ! Ce soir, puisque le ciel est bien dégagé, c’est l’occasion ou jamais de reprendre du plaisir à observer, et ce, à la fois, dans mon Dobson Orion XT10g, mais également, dans ma prestigieuse lunette Takahashi FC-76 équipée du renvoi coudé Televue au coulant 31,75 mm. Puisque la nuit tarde à tomber, en début de soirée, j’en profite pour installer tout le matériel sur ma terrasse. Plus tard, lorsque le ciel commence à s’assombrir sérieusement, j’en profite pour faire la mise en station de ma monture équatoriale Ioptron GEM28 GoTo, puis j’effectue les autres réglages nécessaires au bon fonctionnement de mes deux instruments. Ça y est ! Me voilà paré pour une nouvelle séance d’observations ! Les grands classiques de l’été ! Une fois tout le matériel installé et paramétré, il ne me reste plus qu’à choisir quelques objets du ciel profond en cette période estivale. Après réflexion, je décide d’opter pour les grands classiques de l’été : M13 Ah, quel plaisir de revoir le roi des globulaires, le dénommé M13. Dans la lunette Takahashi FC-76 équipé du Pentax XW 7 mm, il a un aspect plutôt nébuleux, cotonneux, avec très très peu d’étoiles résolues en sa périphérie (voire pas du tout). Je ne m’y attarde pas plus que çà, puis je passe directement au Dobson équipé du Televue Nagler 12 mm. En matière de résolution, c’est un autre monde qui s’ouvre à mes yeux L’amas est bien résolu avec de nombreuses petites étoiles qui fourmillent autour de sa condensation centrale. J’aperçois également le fameux Y sombre qui se dessine sous la forme de trois petites bandes noires. Dans le Televue Nagler 7 mm, il est bien plus évident à observer. Ma lunette a beau avoir une excellente optique, certes, mais elle reste très très limitée en matière de résolution pour ce type d’objets. M92 Toujours dans la constellation d’Hercule, j’en profite pour aller rendre visite à un autre célèbre amas globulaire. Il s’agit de M92. Toujours avec le Dobson, je ne peux être qu’émerveiller par tout ce je peux voir. Dans le champ du Televue Nagler 12 mm et dans celui du Televue 7 mm, il est bien résolu avec cette belle myriade de petits astres de faible magnitude entourant son cœur plus, surtout en le comparant à M13. M57 & GSC 2642-0433 Je continue mon chemin de petit bonhomme, puis je m’arrête en direction de la constellation de la Lyre pour y retrouver la plus belles des nébuleuses planétaires. J’ai nommé M57. Pour commencer, je décide de l’observer dans la lunette Takahashi FC-76 équipée du Pentax XW 7 mm. Par rapport à M13 qui m’a laissé un peu sur sa faim, cette fois-ci, je prends plus de plaisir à la contempler, car en vision décalée, j’arrive sans peine à deviner sa forme légèrement circulaire, ainsi que son centre obscur. J’apprécie également de la voir flotter au beau milieu de l’énorme champ apparent que m’offre le Televue Nagler 12 mm. Un véritable régal pour les yeux avec un excellent contraste et un superbe piqué d’image. Dans le Dobson équipée du même oculaire, je me prends une nouvelle claque dans la tronche (si je puis m’exprimer ainsi). Etant bien haute dans le ciel, la vision ne peut être que meilleure. J’y retrouve donc sa forme légèrement ovalisée, ainsi que son assombrissement central qui n’est peut-être pas aussi noir qu’initialement aperçu. Dans le champ du Televue Nagler 7 mm, c’est avec un grand plaisir que de revoir GSC 2642-0433, une très faible étoile de magnitude 12,5 se trouvant juste à côté de la nébuleuse (visible par intermittence avec un grossissement un peu plus faible). Ces deux là forment un duo inséparable. Albiréo Et pour conclure en beauté la soirée, je pointe la lunette en direction d’Albiréo. Wahou ! Elle claque vraiment bien dans le champ du Televue Nagler 12 mm. Quelle superbe image grand champ avec un piqué extraordinaire, le tout, au beau milieu d’autres astres plus ou moins brillants. Bilan de la soirée ! Courtes mais très belle. Ce fut un grand plaisir de pouvoir réobserver les classiques de l’été, surtout après une longue inactivité en la matière. En matière de résolution, la lunette se fait largement écraser par le Dobson. Mais elle possède un excellent piqué d’image, ainsi qu’un beau contraste. Elle permet également d’observer ces objets avec plus de champ tout autour. La vision de M57 et d’Albiréo étaient tout simplement magnifiques dedans, et ce, malgré son faible diamètre. Même chose pour M13. En attendant la prochaine séance d’observations, je vous remercie de m’avoir lu et je vous dis à bientôt.0 point
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Bonjour, Je voudrais vous présenter ma première photo "potable" du ciel et pour commencer, rien de tel que de viser un truc facile : Andromède. Les images ont été prises le 29/07/2022 entre 23h30 et 00:00 dans mon jardin. J'habite à 5 minutes de Montargis et niveau pollution lumineuse j'suis sur un bon rouge/magenta il faudra sortir la voiture pour les prochaines images ! Au total il y a eu 400 prises light avec une exposition de 2,5 sec, ISO 800 et ouverture 1.4 (sur les 400 j'en ai viré 11 pour avion qui passe en plein milieu et une cinquantaine que Siril a rejeté lors de l'alignement), du coup sur l'image y'a un total d'environ 13 minutes d'exposition. + 50 offsets, 30 darks et 30 flats qui n'ont pas encore servi car j'ai suivi un tuto pour débutant pour utiliser Siril donc j'espère m'en servir après pour peut-être améliorer l'image ! Du coup, traitement sur Siril (que je ne maitrise pas du tout) et puis Gimp que je gère plutôt bien. Le matériel : - Un trépied bancal - Sony A6600 - Objectif Sigma 30mm f/1.4 (un objectif pas très adapté à l'objectif 😅) Un défaut qui m'embête : Des étoiles déformées et certaines avec 2-3 pixels qui étaient devenu foncés au centre et que j'ai réparé à la main, et les étoiles + claires et plus nombreuses sur M31, faudrait que j'arrive à faire ressortir la galaxie sans les étoiles qui passent devant. Et M32 qui ne ressort pas assez par rapport aux étoiles, je pourrais l'éclairer et le grossir manuellement mais ça me paraît être de la triche 😅 Bon je sais qu'il n'y a rien d'exceptionnel par rapport à ce qu'on peut voir ici et que j'ai encore beaucoup à apprendre mais ça me donne envie d'investir pour le futur ! Je pense que le plus important sera un objectif avec une plus grande focale et du carburant (en ce moment ça fait aussi partie des investissements) pour fuir la pollution lumineuse ! Merci pour votre attention !0 point
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Je ne connais pas le reego, mais au cheshire (ou à l'oeilleton) tu dois avoir les reflets centrés sur le secondaire bien rond et lui aussi centré dans le tube du PO. le support du secondaire n'est pas aligné avec le miroir secondaire, tu dois avoir de l'offset sur le secondaire. (tube F/D5, F/D4?) Du coup, le support du secondaire (on parle bien du support entre les branche de l'araignée) ne peut, et ne doit pas être pris comme référence pour la collimation. Il ne sera pas centré et c'est normal. les choses à centrer : le secondaire physique dans le tube du PO. ( c'est l'étape la plus longue si on est pointilleux). Il doit être rond et centré dans le PO. à l'aide des trois vis du secondaire, voire la centrale si besoin. Le reflet du primaire dans le secondaire (à l'aide des 3 vis du secondaire), si le secondaire est bien positionné à la première étape on ne dois pas être d'être ok. l'oeillet du primaire au milieu de tout le monde à l'aide des vis du primaire. normalement après ça, la collim est nickel.0 point
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À l'immigration, d'après un rapport de l'ONU : https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/07/28/dans-les-pays-developpes-la-migration-est-desormais-le-premier-facteur-de-la-croissance-de-la-population_6136426_3232.html Vous regardez la situation par le tout petit trou de la serrure occidentale. Nous discutons ici de la population mondiale. Le bilan de l'immigration en matière de variation de la population est donc quasi nul. Les entrants dans un Pays certes accroissent la population locale, mais avant cela à la suite de leur départ ils ont décru la population locale de départ. Je dis quasi nul car chaque jour nous rapporte un fait divers dramatique de migrants morts au cours de leur cheminement. Dire que la migration est le facteur dominant de l'accroissement de la population locale est jouer avec le feu en ces temps où le sujet de l'émigration fait polémiques et nourrit des ambitions extrêmes. Le constater devrait être largement suffisant. Ney0 point
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Bonjour Ayant vu cette cible récemment sur le forum l’envie m’est venu de la réaliser Fait la nuit dernière: ASI 294 LC Pro avec Filtre IDAS-LPS-D3 sur SW 254/1200 monté sur EQ6 Pro Rowan guidé avec ASI 120 MM sur TS 80/328. 80 poses de 180s à Gain 120 et -10°C retenues sur 110 poses Traitement Siril et PS sans forcer. Pour info je suis en ville à 10 m d’un lampadaire, j’espère que les économies d’énergie dont tout le monde parle vont avoir raison de l’éclairage urbain…. Bon ciel Philippe0 point
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Vu le materiel, bravo. Par contre le traitement est un peu violent. Si tu peux adoussir tes masque, ça ira mieux.0 point
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Voici ma première image alliant paysage & voie lactée avec un empilement d'une vingtaine d'image. En effet jusqu'à présent, les quelques rares images de paysage que j'ai réalisé n'était le fruit que d'une unique pose. Comme je suis parti léger en vacances (pas de monture ni de télescope) je me suis contenté de monté mon APN sur un trépied. Ensuite pour éviter d'avoir des étoiles trop déformées, j'ai opté pour un temps de pose assez court : 10 secondes. L'empilement des 20 images est réalisé avec StarryLandscapeStacker sans recours aux traditionnels DOF... Enfin, j'ai réalisé un petit post-traitement sous LightRoom pour étirer l'histogramme et réhausser les couleurs (ça manque clairement de rouge mais mon APN n'étant pas défiltré, c'est difficile de faire mieux). Comme je débute en image de ce style, je suis preneur de vos conseils et remarques pour m'améliorer.0 point
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Avec une telle image, on a envie que d'une chose : plonger au milieu des requins de nos cieux étoilés... Magnifique image et traitement à la hauteur, un grand bravo !0 point
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@french_7 je confirme qu'il envoie ce tube! Très lumineux et sous ton bon ciel il nous a montré plein de choses. J'ai un souvenir incroyable de l'étoile au centre de M27. Dingue! Bon après , le gars derrière n'est pas mauvais, il sait pointer (avec une vitesse et précision incroyable) et j'aime bien sa façon d'aborder l'astro. Le visuel avant tout. Ça fait du bien! Émile pourquoi n'envisages tu pas un chercheur réticulé éclairé? Quand au PO, je pense que le Baader diamond track serait excellent. https://www.pierro-astro.com/baader/35-cremailleres-de-focalisation-et-accessoires/porte-oculaires-baader-diamond-steeltrack-bds-nt-pour-newton_detail En tout cas, quand tu veux pour une nouvelle soirée astro avec ce tube!0 point
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Ah, excuse-moi. À la lecture de ton sujet, mon cerveau a transformé RC en CC.0 point
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Merci @STF8pour ces informations. Ta dernière information tendrait à confirmer ma compréhension.0 point
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Comme l'indique @Mahou, la perspective d'un retrait russe n'est pas nouvelle. Selon Le Monde, il est possible que la guerre ait précipité l'annonce, mais la perte financière due à l'abandon des Soyouz pour SpaceX par les équipages américains est une motivation aussi plausible. Au reste, les Américains semblent aussi passer à autre chose avec leur programme Artemis. Il n'est pas illogique du point de vue russe de se réorienter sur une station propre, ils ont le savoir-faire, la technologie et la logistique, à défaut possiblement du financement... L'ISS pourrait être avantageusement remplacée par la station internationale Lunar Gateway, dont les premiers éléments sont prévus pour 2024.0 point
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Je viens de voir que la v2.0 est dispo en mode bêta. L’avez vous testé ? Nouveau contenu - Ajout de la communauté d'astronomie ZWO - Ajout de la fonction de partage de photos - Ajout de la fonction de périphérique de stockage contextuel - Ajout de la fonction de superposition de post - Ajout de la fonction de composition de rotation (carte des étoiles) - Ajout de fonctions d'édition de plan mosaïque et multi-cibles (carte des étoiles) - Ajout de la bibliothèque de fond sombre d'étoile guide - Ajout de la meilleure fonction de filtre de liste d'objets célestes de la bibliothèque de ce soir - Ajout de la fonction de chauffage automatique de la vitre après avoir connecté la caméra - Ajout de l'affichage de l'azimut et de l'altitude - Enregistrement automatique du journal de prise de vue Ajustement d'optimisation - Optimisations globales UI/UX - Adaptation de l'interface utilisateur de l'iPad - Carte des étoiles optimisée - Superposition de planète optimisée - Alignement polaire optimisé - Optimisé pour la prise de vue planifiée/multi-cible : résout automatiquement la position et le centre de l'image - Calcul optimisé de l'erreur de guidage : l'erreur n'est pas incluse dans la gigue - Guide de traduction du code d'erreur étoile - Prend en charge les Mac avec Apple Silicon - Correction de bugs connus0 point
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Voilà de retour au chaud près de « Mare Nostrum », un très grand merci à Jean Marie et toute son équipe, à tous les intervenants et à tous les participants pour cette ambiance chaleureuse et ce partage sans restrictions. « I will be back » Denis0 point
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C'est vraiment sublime, un tout grand merci Patcubitus; tout comme Pointnet, je n'ajoute pas beaucoup de plus-value car suis plutôt débutante par rapport à vous tous mais c'est à vous lire qu'on devient accro et passionnée0 point
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Le retrait de la Russie de l'ISS ne me choque pas, c'étais attendu depuis longtemps. L'ISS est vieillissante et son entretien coute de plus en plus chère. La politique russe est : Autant se retiré du programme et investir dans une station qui est notre propriété a 100%. Je trouve cela logique et pertinent. Economiquement j'entends. Les USA et l'Europe feront de même, surement en association avec le Canada, l'Inde, le Japon etc... En fait je ne comprends pas le titre du sujet, " ça commence à chauffer là-haut aussi..." y a t'il un rapport avec la guerre en Ukraine ? Je ne pense pas. De plus les russes ont bien conscience qu'avec SpaceX et Starliner ils sont relégué a un rôle mineur pour l'ISS, ils ont perdu le monopole de l'accès a l'ISS et la réhausse de son orbite. Donc pourquoi continuer a investir dans une cause perdue ?0 point
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OK. Ça suggère pour BlackSamedi d'utiliser deux tubes optiques spécialisés (Newton et Maksutov 150 mm) sur la même monture (une HEQ5 ou équivalente). De toute façon ça me paraît plus simple. (Mais ne pas faire tous les achats en même temps, bien sûr.) BlackSamedi : tu pourrais commencer par faire du visuel avec le Newton 150/750 pour bien apprendre l'observation en général, et plus tard commencer la photo du ciel profond avec le Newton, puis la photo planétaire toujours avec le Newton, même si c'est peut-être pas optimisé, tout en scrutant les petites annonces à la recherche d'un Maksutov 150 mm. En tout cas tu as parfaitement raison de fouiller Internet et de regarder qui fait quoi avec quel matériel. Pour moi c'est *LA* bonne façon de procéder.0 point
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C’est quand même magnifique (désolé pour ma maigre contribution mais je ne vois pas quoi dire de plus :D)0 point
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Bonjour à tous, Une image SHO de IC 5068 que je souhaitais faire depuis quelques temps (VDB 130 dans la région de Sadr me fait de l'œil aussi 😍; ce devrait-être ma prochaine cible SHO). Les images ont été prises en juin-début juillet dans le nord de la France: Bersée pour les couches H et S (Bortle 5 orange) et Saint léger lès authies pour la couche O (bortle 4 jaune-vert). Ce devrait être la dernière image avec la 80ed (je suis en train de tester la 107 phq et son réducteur sur le croissant) J'ai un problème de suivi depuis quelques temps qui va m'obliger à faire réviser ma monture à l'automne. Ce n'est pas rédhibitoire à 530 de focales mais il y a quand même un léger bougé, ce qui fait perdre en piqué. Instrument de prise de vue: Skywatcher 80ed Réducteur/correcteur de focale: Sky-watcher 0.85x Caméra d'imagerie: ZWO ASI 2600 monochrome+ Roue à filtres EFW 7*36 mm (filtres ZWO L,R,V,B,S,H,O) Instrument de guidage: diviseur optique ZWO AOG M68 Caméra de guidage: ZWO ASI 290 mini Monture: SkyWatcher AZ EQ6 GT Pilotage: ZWO Asiair pro Images unitaires: - S : 61*4min à gain 100 - H : 66*4min à gain 100 - O : 56*4 min à gain 100 Logiciel de traitement: PixInsight Bon ciel à tous0 point
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