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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 08/02/22 dans toutes les zones
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Bon, Après avoir éliminé les vapeurs éthyliques du séjour ( @gerard33 😉 j'ai compris le message): Nouveau traitement un peu plus soft de ma M16 dont j'avais un peu tiré les curseurs. J'ai réussi (par une bidouille honteuse de passage en Tiff du calque SII et réduction d'étoiles sur toshop puis retour sur pix pour la LRGB!) à presque faire disparaître les halos sur les petites étoiles. En bonus, un crop sur les pilliers, tout en douceur (bien mieux que le traitement flashy de Hubble ).6 points
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Bonjour, Peu commune comme photo et assez difficile à préparer. J'ai pris hier soir le bateau-grue Sleipnir en photo pendant le coucher du soleil. Les nuages étaient de la partie alors j'ai du me déplacer pour avoir un alignement photogénique... On voit très bien dans la partie inférieur du disque solaire, un peu à gauche, la tâche solaire n° 3068. J'étais à environ 18-20 km de distance, sur la côte, près de Fécamp. Le bateau s'appelle Sleipnir, c'est le plus gros bateau grue du monde avec 2 grues de 10 000 tonnes chacune. Il fait 220 m de long et 102 m de large. La structure qu'il est en train de mettre à l'eau sur la gauche pèse 5 000 tonnes et mesure environ 48 m de haut, une paille ! C'est la première des 71 fondations du champ d'éoliennes offshore de Fécamp. En fait un autre bateau était prévu, (un peu) plus petit, le Saipem 7000 (2 grues de 7 000 tonnes) mais un accident a retardé son planning, d'où le plan B avec le Sleipnir. Pose de 1/500s f/29 100 ISO Canon 6D + Sigma 150-500 DG OS HSM @ 500 mm de focale (le Soleil étant surex avec ce temps de pose, j'ai rempli la zone surex avec une photo prise juste avant à 1/1000s).3 points
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Salut, Petit souvenir des NCN 2022 qui nous ont offert deux nuits de splendeur dans la voie lactée avec en visuel des moments vraiment magique. En photo le vent a parfois compliqué un peu les choses mais, pas de doute, on avait du signal. SHO sur la zwo 1600mm et la fsq85 Les pauses de 180s sont limite un peu trop pour la zone centrale et mes masques d'étoiles... bien imparfaits. J'ai tenté de conserver le max de dynamique. Le crop carré est le résultat d'un .... oubli de cadrage avant de lancer la session.1 point
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Elle est bien jolie cette image, une belle entrée en matière pour cette 533MM ! Et surtout, content de te recroiser dans le jeu1 point
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Une bien belle image, le miroir mériterai un masque de diffraction (pas sûr du terme)1 point
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J'habite à 30' de Gevrey-Chambertin. Tu passes dans le coin avec le 500 ?1 point
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C'est marrant, on dirait une vraie avec des reflets déformés dessus. On ne voit pas souvent ces détails !1 point
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J'avais répondu par MP à une question de BlackSamedi sur la collimation, mais j'ai envie d'en débattre sur le forum. Ci-dessous ce que je lui ai écrit, je vous laisse réagir... ----------------------------------------------- Aucun matériel n'est nécessaire pour collimater. Pendant longtemps, je collimatais sur une étoile (quand j'y pensais). Si le télescope est légèrement décollimaté, ce n'est pas grave du tout. Disons que ça ne donnera pas d'images optimales sur les planètes. Voilà : la collimation, c'est une étape pour optimiser. Et comme ça ne coûte rien, autant le faire. Mais ce qui est important, c'est de la vérifier sur le ciel. Pendant longtemps, ma méthode de collimation était celle que j'ai exposé dans le paragraphe 3 de cet article : https://www.webastro.net/noctua/les-fiches-techniques/régler-son-télescope-collimation-etc-r142/ Je serais toi, je n'achèterais aucun outil de collimation dans un premier temps (si tu as des sous, il y a des achats plus prioritaires à faire). Voilà ce que je ferais : Le jour où tu reçois le télescope, tu l'inspectes (de jour, à la maison) comme je l'explique dans l'article au paragraphe 3. Il sera alors presque collimaté. Presque, donc pas à 100 % : ça veut dire qu'il y aura toujours possibilité de faire mieux. Plus tard. Ce sera de l'optimisation. Lors de ta première soirée d'observation, tu pointeras la Polaire au plus fort grossissement et tu examineras l'image obtenue. Si rien ne te choque, c'est bon, tu pourras découvrir le ciel avant de te préoccuper de collimation. Et si l'image n'est pas correcte... normalement, après le paragraphe 3, elle devrait être presque correcte. Je trouve qu'on parle trop de la collimation. Par exemple on voit souvent le coup de la personne qui vient de s'acheter un télescope et commence par le collimater avant de vérifier quoi que ce soit... au risque de dérégler un télescope qui était probablement réglé. On en parle tellement qu'on effraie les débutants. Je pense à toi en disant ça. D'ailleurs je vais taper ça dans la discussion, parce que je trouve qu'il faut mettre les points sur les i.1 point
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Bonjour tout le monde, Me voilà redescendu sur Terre après une sortie astro mémorable. Je vous raconte. Etant en congés, je m'étais dis qu'il allait vraiment falloir que je me trouve le temps de faire une nouvelle sortie avec mon tout nouveau Mak 150. Ma toute première sortie était très prometteuse, notamment grâce à un ciel tout bonnement exceptionnel. Du coup, j'avais vraiment hâte de retourner la tête dans les étoiles et aussi, pour la première fois, les planètes ! Si lors de ma première sortie, la configuration du lieu, l'horaire tardive de lever des planètes et la buée s'étaient ligués contre moi, les choses sont plus favorables maintenant 😊 Déjà, les planètes sont visibles un peu plus tôt dans la nuit et je compte bien sur mon tout nouveau pare-buée made in Décathlon pour me permettre d'observer assez tard. De plus, étant de retour chez moi, je sais que mon spot privilégié propose une vue plus dégagée à l'Est. Bref, tous les critères sont potentiellement réunis et en jonglant avec entre le planning des vacances et la météo, je décide de monter sur le plateau du Coiron hier soir, dimanche 31 juillet). Le seeing n'est pas fou mais des passages nuageux sont annoncés pour les nuits prochaines, et on va être pas mal occupés les jours suivants. Dont acte. Je charge le matériel dans l'astro-camionnette, de quoi faire des photos (j'aimerais imager la région de la nébuleuse du Lagon au 105mm), le télescope et sa monture évidemment, de quoi dormir quelques heures là-haut au chaud et me faire du café. Je décolle de chez moi vers 22h et arrive sur site, la crête de Blandine, peu avant 23h. Pour ceux qui ne connaissent pas (donc toutes et tous ici j'imagine ), la crête de Blandine (1 019 mètres) est le point culminant du plateau du Coiron, un magnifique plateau basaltique du sud-ardèche qui a le double avantage d'être à la fois sauvage (donc assez peu de pollution lumineuse) et proche de chez moi ! Serpentant sur les (toutes) petites routes du Coiron pour atteindre le sommet, j'aperçois la Lune aux détours de quelques virages, somptueuse dans son fin croissant rougeoyant. Elle va déjà se coucher, nous deux, ça sera pour une autre fois... Bref, le temps d'envoyer un sms à ma femme pour la prévenir de mon arrivée et lui souhaiter une bonne nuit, je sors de la camionnette et là, pile face à moi, un énorme bolide fend le ciel à l'Ouest-Sud-Ouest et se désintègre en une boule de feu, laissant une énorme traînée jaune persistante pendant quelques secondes. Incroyable 😲 ! La soirée commence donc sous les meilleurs auspices. Je me remets de mes émotions et installe le Mak du côté de la porte latérale de mon vaisseau spatial. J'installe (tant bien que mal) mon pare-buée même s'il sera à mon avis superflu : même en ayant pris un peu d'altitude, il doit faire encore 25~28°C facile, le vend souffle sur la crête, et visiblement plus que les 10km/h annoncés. Une fois le télescope installé, je le laisse tranquille et vais m'occuper de mon appareil photo. Cette fois, je ne sais pas si c'est l'excitation ou quoi, mais j'ai fait n'importe quoi et ai du recommencer l’installation de la monture de l'appareil et sa mise en station. Au bout de trois quarts d'heure (!) je parviens à cadrer la zone que je veux imager, avec une mise en station aux petits oignons et l'intervallomètre prend le relai. Enfin, à nous deux petit maksutov 😎 Autres que les planètes, je m'étais fixé deux objectifs pour cette soirée : le duo M81/M82 et l'amas d'Hercules. Je décide de commencer par les galaxies. Je pointe Dubhe avec le chercheur, constate avec plaisir qu'il est toujours bien réglé, lance Stellarium et compare les coordonnées RA/Dec de M81 par rapport à l'étoile. Petite soustraction, je règle la déclinaison et cherche à régler l'ascension-droite mais en vain... Les graduations ne sont pas convenablement solidaires de l'axe et je ne peux donc pas m'en servir... Tant pis, je perdrai un peu de temps à tâtonner avec l'axe d'AD. Je mouline donc un peu et tombe sur M82, parfaitement reconnaissable avec sa forme apparente de cigare qui lui donne son nom. La galaxie est bien nette, parfaitement définie et plus lumineuse que ce que je pensais. Elle ne révèle pas de détails, mais reste lumineuse jusqu'à ses extrémités, c'est surprenant ! Sa forme inhabituelle en fait un objet très intéressant à montrer je pense. Je trouve ensuite immédiatement M81, qui est en fait à l'oculaire moins lumineuse que sa voisine (je pense comprendre en l'expérimentant le fameux "surface brightness" donné par Stellarium). Elle reste néanmoins parfaitement visible, avec son centre bien plus lumineux que l'anneau oblong vaporeux qui l’entoure. Elle me fait un peu le même effet qu'Andromède observée lors de ma première sortie. Je m'attarde pas mal sur ces deux belles galaxies et il me semble discerner en vision périphérique un peu plus que le disque principal, peut-être un semblant de bras supérieur, mais c'est fugace. Je passe ensuite à M13, l'amas d'Hercules, en passant par l'étoile Véga. En étant assez précis sur l'axe de déclinaison et en cherchant lentement sur l'ascension-droite, je le trouve assez rapidement. La première fois que je l'ai vu dans un instrument c'était au mois de juin dans le T800 de l'Observatoire des Baronnies Provençales, et ça m'avait bouleversé. Et bien il est comme dans mon souvenir ! Alors, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, ces instruments sont incomparables tout comme le rendu à l'oculaire. N'empêche, certainement qu'en sachant ce que l'on va voir on voit différemment. En tout cas cette fois l'effet a été sur moi le même qu'à l'observatoire. Bon sang il est superbe 😍 ! L'amas est parfaitement défini, avec un très grand nombre d'étoiles visibles même dans le cœur. Je suis subjugué par la finesse des détails et reste un très long moment collé à l'oculaire. Je décide de tester en passant à 13mm contre 26 jusuqu'à présent (avec un unique Baader Hypérion 13mm, avec ou sans sa lentille pour coulant 1,25"). Il n'est pas plus intéressant et je repasse aussi sec en 26mm. Je décide de faire une pause pour reposer un peu mes yeux (mine de rien une grosse heure à faire le pirate à l'oculaire ça fatigue). Il est une heure du matin et une belle étoile filante larde le ciel comme je quitte le télescope et me dirige vers l'appareil photo. Tout va bien pour lui, il fait sa vie. Je check la monture : il reste un quart d'heure de suivi avant de devoir recadrer et relancer une série de clichés. Je sors la chaise pliante, les jumelles, et en profite pour me poser un peu. Le ciel est très clair ce soir, la Voie Lactée superbe. Il y a beaucoup d'étoiles filantes, j'avais presque oublié comme les Perséides peuvent être un spectacle très dynamique. Je me promène dans le Sagittaire avec les 10x50, ça fait du bien un peu de garder les deux yeux ouverts, et le spectacle est aussi très intéressant avec des jumelles. Je jette occasionnelle des coups d’œil à Jupiter, qui s'est levée, brillante comme un micro-soleil, sur ma gauche. C'est un sentiment étrange mêlé d'excitation et d'appréhension. J'ai hâte de voir ce que ça donne et en même temps je recule un peu l'échéance. Je pense qu'inconsciemment j'ai peur d'être déçu par ce que je vais voir... déçu non pas par le matériel (a priori, un Mak150 sur les planètes c'est pas déconnant) mais je ne saurais pas trop comment dire, comme si j'avais peur de moi ne pas être à la hauteur. A la hauteur de quoi ? Aucune idée 🙃(la psyché humaine hein...) La monture de l'appareil photo sonne, je me lève, recadre, relance la monture, l'intervallomètre et c'est reparti pour un tour. Je laisse les jumelles sur ma chaise et me dirige d'un pas décidé vers le télescope. A nous deux Jupiter. Je pointe le chercheur dessus et déjà je distingue ses satellites, là où mes jumelles, pleines de coma et d'aberrations, ne montrent qu'une tâche trop lumineuse. Il faut vraiment que je les change. Je porte l’œil à l'oculaire et là c'est le choc. La vue à 26mm est incroyable. Ses quatre principaux satellites sont parfaitement visibles, Callisto et Ganymède, Europe toute proche de la planète et Io de l'autre côté. Les nuances de couleurs sur la planète sont saisissantes et bien marquées : blanc crème, orangé, jaunâtre... Il y a par contre beaucoup de diffraction (elle est encore basse sur l'horizon) et des turbulences bleues sur le dessous et rouges sur le dessous de la planète sont très présentes. Au bout d'un moment je passe sur Saturne, toujours à 26mm. Ses anneaux sont parfaitement visibles. C'est la première fois de ma vie que je les vois en vrai. Deuxième choc. Trois satellites sont visibles (je pense Japet, Titan et Rhea de l'autre côté). Je démonte l'oculaire et passe le coulant 1,25" pour grossir davantage (environ 140x). L'air est très turbulent mais à la faveur d'accalmies de la masse d'air le spectacle est superbe, bien au-delà de ce à quoi je m'attendais : Les bandes de la planète sont visibles assez nettement pendant une seconde ou deux, plus claires et plus pâles que sur Jupiter. Jupiter d'ailleurs, je retourne la voir au 13mm cette fois. C'est - encore une fois - un choc ! Les bandes de couleurs sont parfaitement démarquées et, toujours selon les mouvements de la masse d'air, je peux même voir (voir, pas distinguer ou deviner !) des détails et du contraste au sein des différentes bandes colorées. Avec cette focale, la planète occupe une belle portion dans l'oculaire tout en laissant de l'espace pour la contextualiser. Je suis vraiment très content du champ large de 68°, un vrai confort. J'alterne entre les deux géantes gazeuses pendant visiblement un long moment puisque lorsque je regarde l'heure de nouveau il est plus de 2h30. Le vent a forcit et souffle maintenant par rafales assez violentes, j'ai les yeux un peu arrachés, j'ai mal au dos et commence gentiment à avoir sommeil. Il va falloir songer à remballer. Avant, je veux quand même tester les autres planètes visibles, juste par acquis de conscience et car il est quand même difficile de lâcher le télescope... Stellarium m'apprend que Neptune se trouve entre Jupiter et Saturne, mais je ne parviens pas à la trouver et abandonne rapidement pour passer à Mars, malgré qu'elle soit très basse sur l'horizon (env. 15° d'altitude). Elle m'apparaît comme une boule orangée bien plus petite que les deux précédentes (évidemment) mais les turbulences sont bien trop dérangeantes pour m'autoriser à voir quoi que ce soit de défini. Je tente (sans trop y croire) de trouver Uranus, non loin de Mars, et contre toute attente j'y parviens rapidement. J'y jette seulement un bref coup d’œil : elle est comparable à une étoile pâle, comme un peu brumeuse. Cette fois j'arrête, je n'en peux plus, mon dos me rappelle à l'ordre et le vent semble se renforcer de minutes en minutes. Je lance la série de darks sur mon réflex pendant que je range le télescope et transforme mon astro-camionette en capsule de sommeil. Aïe, il est près de 4h du matin quand je me glisse dans mon duvet. Je dors du sommeil du juste jusqu'à ce que le soleil me réveille en faisant son apparition dans mon pare-brise, vers les 7h du matin. Je me félicité d'avoir pris de quoi faire du café et un paquet de cookies. Je suis seul au monde sur cette crête qui s'illumine, le retour sur Terre n'est pas évident, mais il va bien falloir redescendre...0 point
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Hello, Une petite image estivale de NGC 6914 qui culmine en juillet / août dans le Cygne Télescope Newton de 200mm perso +Paracorr II + ASI533MM-PRO@-5°C, filtres Baader classiques Ha RVB F:1150mm FOV : 38' 17x300 L 17x300 H 3 x 6 x 300 RVB Traitement Pix + PS Une image réalisée avec NINA 👍 que je découvre et qui vient remplacer SGP dans mon setup. Le séquenceur a permis de tout faire sans pb de l'ouverture de l'abri au park et fermeture extinction de l'observatoire (remote). Pas de flip méridien sur cette image mais je vais m'employer à le réaliser. Encore quelques interrogations aussi sur l'AF. Je remercie au passage @krotdebouk pour sa patience et ses explications. Voilà une version un peu punchy, je préfère le soft en général...0 point
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Bonjour les amis, L'ayant vu sur le forum, hier soir, j'ai voulu me mettre à la pèche au requin. Pas facile à attraper et pas facile en traitement. je vous soumet celle que je préfère. 150 x 120s à l'ASI 2600 MM Pro à -10°C, filtre IDAS LPD-D3, sur TS Photoline 60/360 montée sur HEQ5 Pro guidée par ASI 120 mini sur SB Bony 30/120. Traitement Siril et PS sur 135 images retenues0 point
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Hello, Voici M92, amas globulaire situé dans Hercule, cousin de la star M13. M92 est un objet du catalogue Messier. Situé à 26 000 années-lumière de la Terre, dans la constellation d'Hercule. L'amas fut découvert indépendamment par Johann Elert Bode en 1777 puis par Charles Messier en 1781 qui le mit dans son catalogue. En 1783, William Herschel fut le premier à résoudre l'amas en étoiles. M92 est situé à 26 000 années-lumière du système solaire et est donc un peu plus éloigné que son voisin M13. La concentration en étoiles de l'amas en son centre est très importante. La masse de l'amas est élevée puisqu'elle est d'environ 300 000 masses solaires. L'amas se rapproche de la Terre à la vitesse de 110 km/s. Le repérage de l'amas est assez difficile. Un moyen est de rechercher au nord-est du milieu du segment reliant les étoiles Iota à Eta de la constellation d'Hercule. L'amas est visible avec des jumelles et a alors l'aspect d'une tache blanchâtre diffuse. Un télescope de 200 mm permet de le résoudre dans de bonnes conditions. (Source: Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/M92_(amas_globulaire) ) Les infos: Celestron C8 (203x2000) + réducteur Meade f6.3 Asi294mc pro + filtre IRcut. monture HEQ5 Rowan autoguidage lunette 70x400, Asi290mm / PHD2 acquisition NINA 124 x60s Gain 120 -10°C Traitement Sirilic, Siril, PS. Une brute de 60s A la prochaine, bon ciel !0 point
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Bien rentré aussi Même si on manquait d'un peu de confort et de fraîcheur (sauf à l'apéro ), c'était bien les boules de repartir 😕 Un grand, grand Bravo à l'organisation pour cette saison ! @Patcubitus j'ai oublié de te rendre tes sardines blindées... tiens ! .... Allez... plus que 360 jours et on remet ça0 point
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Pareil pour moi. Je deviens misanthrope. Mais je te rassure : il y a au moins moi qui suis en total accord avec ta vision des choses.0 point
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Voici le résultat de la nuit du 31 juillet, plutôt claire chez moi (Seine et Marne, 25 km de Paris). 48 poses de 3 minutes, 10 Darks, 50 Flats et 10 offsets, traitement SIRIL manuel avec retrait de gradient individuel avant alignement et empilement. Pas de retrait de gradient global après empilement. 2 poses rejetées sur 50 pour cause de rondeur pas top. Set up habituel: Lunette WO FLT 98 carbon sur AP400GTO avec flatener IV, Nikon D5300 refiltré Astrdon, ISO 200, filtre UHC Omégon (il faudra peut être changer pour un L-Pro?). Lunette guide 50/200 mm et caméra guide ZWO 120 mini. ASIAIR pro version 1.6 (les versions suivantes ne veulent pas assurer la calibration du guidage, et j'attends depuis des lustres la correction du problème. Pas sûr que la version 2 béta règle la question). Un retournement au méridien qui s'est bien passé, mais une détérioration de MAP après. J'aurai dû la refaire, mais trop content que tout se passe bien, je n'ai rien touché.. Je n'ai pas pu poser plus, les nuages sont arrivés d'un coup vers 2:30. Traitement PS pour la suite: j'ai essayé de préserver le maximum d'infos sur la couche rouge sur le nuage de poussières au centre, mais pas très évident. J'ai aussi limité mes envies habituelles de trop grande saturation. Une petite réduction de bruit sur la couche rouge aussi, très limitée pour la même raison. Pas de réduction d'étoiles. Pas de déconvolution non plus (dans SIRIL). La photo n'est pas recadrée, le traitement SIRIL avec mes DOF et le retrait de gradient individuel n'ayant pas fait apparaître de problème de correction du vignetage. Le cadrage n'est pas top, mais tant que je n'aurait pas pu faire fonctionner la version plus récente du soft ASIAIR, je ne pourrais pas vérifier le cadrage avec Sky Altlas (le faire sur une préview sur un Iphone n'est pas évident...). Vous remarquerez peut être une aberration sur Sadr elle même et sur une autre étoile à sa droite au bord du cadre. Cela se produit sur les étoiles très lumineuses, que ce soit au centre ou sur la périphérie de l'image. J'avais déjà posé la question sur le forum mais n'avais pas eu de réponse. Utilisant une lunette, il ne peut s'agir de pincement de miroir (!). Un pincement du triplet me paraît peu probable (encore que j'aie lu des proses diverses sur des forums USA sur ce sujet). Cela se produit sur toutes les brutes, et ne change pas avec la température (qui a baissé de 24 à 20 degrés au cours de la session). J'ai bien regardé dans la lunette et le flatener, et n'ai pas vu d'aspérité ou de vis qui dépasse. Si quelqu'un a une idée???? Merci pour vos remarques! Jukka Jukka0 point
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Encore un grand merci à tous pour vos retours 😊 j'y vois plus clair grâce à vous. Je vais donc prendre le Dobson 203/1200 suggéré par alhajoth, il me semble parfait pour mon budget. Seblegris, il y a bien un observatoire près de chez moi j'y vais samedi soir, le télescope sera également pour mon père qui habite un petit village paumé en Dordogne avec quasiment pas de pollution lumineuse, les conditions seront parfaites pour l'observation. Encore merci à tous, je suis vraiment content d'avoir découvert ce forum.0 point
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Salut @Haiku! De ce que je comprends de tes messages, tu n'as pas d'expérience en astronomie, et tu n'as jamais observé le ciel à travers un oculaire ? Si c'est le cas, et avant que tu dépense 500€ (c'est déjà une belle somme, surtout si tu n'es pas fixé sur ce que tu veux faire), il faudrait peut-être que tu te rapproche d'un club d'astronomie pour te faire un idée. D'autant plus que les Nuits des Étoiles approchent (ce weekend), il doit bien y avoir une soirée organisée près de chez toi pour que tu puisse voir de toi-même les instruments.0 point
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non, on mange ! mais tout est de savoir combien çà va couter même en puisant dans les réserves, des transformations climatiques d'ampleur c'est autre chose qu'une sécheresse ou inondation par ci par là...en ce qui concerne les pays africains et leur population qui explose, leur trés forte dépendance aux céréales les rend déjà fragiles comme on le voit actuellement faute de développer une agriculture en accord avec le climat; et nous ? Saurons-nous adapter dans le futur nos pratiques agricoles au lieu de suivre béatement la politique de la PAC et d'aller dans le mur parce qu'aucun ministre valable de l'agriculture sera en poste !...et que le pouvoir regardera ailleurs....par exemple. Taper dans les réserves çà va un temps et les agriculteurs sont trés peu nombreux aujourd'hui : pas une manne électorale.0 point
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Bien rentré hier .... 10 jours passés là-haut, 8 nuits exceptionelles, quelques produits régionnaux découverts, quelques kilos de vinade, quelques mètres de sucisson ... Le vrai plaisir de retrouver les copains. Bravo aux organisateurs qui ont faient encore un super boulot. A l'année prochaine.0 point
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Bien rentré aussi, hier en fin d'après-midi. Excellents moments durant ces 10 jours passés au Camping des Pradines, avec une météo trèèèès favorable (8 nuits d'observation sur 9) ! Merci aux organisateurs et organisatrices pour ces N.C.N. 2022 si réussies ! Au plaisir de vous revoir tous l'année prochaine ! Bon ciel Vincent0 point
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Je le pense également d'autant plus que, si ma mémoire ne me trompe pas, j'ai inversé une fois la polarité de mon Celestron Nextar sans conséquence dommageable. Sinon Médas ...0 point
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il y a peut être une diode qui évite l'inversion de polarité dans ce cas l'erratisme serait dû à l'alimentation par une demie alternance du CA si ça remarche en CC, ça devrait continuer s'il y avait eu des dégâts ça foirerait ça fait beaucoup de "si" mais c'est le résultat qui compte le prochain coup ☂️0 point
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@Alhajothje me moquais évidemment de moi même dans mon dernier message. Le débutant que je suis se fait effectivement une joie d'apprendre à se repérer dans cette immensité. En attendant, les coordonnés ça aide bien 😋0 point
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@GeoffreyJoe Ben déjà, cela nécessite une monture équatoriale. Or, de nos jours, c'est plutôt le Dobson qui est à l'honneur pour le visuel. Et plus globalement l'azimutal : bien plus rapide à installer, à notre époque de nomadisme contraint. La technique contemporaine est donc plutôt le "saut d'étoiles". On trace des alignements virtuels sur la voute céleste, on cherche une étoile, puis une autre, puis on tourne à gauche d'un demi-champ...0 point
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Date d’observation : Dans la nuit du 29 au 30 juillet 2022 Heure d’observation : Non précisé Lieu d’observation : Haubourdin Type de ciel : Ciel urbain (près de Lille) Instrument(s) utilisé(s) : Dobson Orion XT10g (Diamètre : 254 mm / Focale : 1200 mm) et lunette Takahashi FC-76 (Diamètre : 76 mm / Focale : 570 mm) Oculaires / champ / grossissement respectif (avec le Dobson) : - Pentax XW 20 mm (70° / 60 X) - Televue Nagler 12 mm (72° / 100 X) - Televue Nagler 7 mm (82° / 171 X) - Pentax XW 7 mm (70° / 171 X) Oculaires / champ / grossissement respectif (avec la lunette) : - Pentax XW 20 mm (70° / 29 X) - Televue Nagler 12 mm (72° / 48 X) - Televue Nagler 7 mm (82° / 81 X) - Pentax XW 7 mm (70° / 81 X) Filtres : - UHC Astronomik : Non - OIII Astronomik : Non - H-Beta Astronomik : Non Conditions : Ciel bien dégagé avec des températures fraîches pour la saison. Objet(s) observé(s) : - Lune : Non - Planète(s) : Non - Ciel profond : Oui (M13, M92, M57 & GSC 2642-0433 et Albiréo) Préface ! Bonjour, Cela faisait bien longtemps que je n’avais plus mis l’œil à l’oculaire. Qu’à cela ne tienne ! Ce soir, puisque le ciel est bien dégagé, c’est l’occasion ou jamais de reprendre du plaisir à observer, et ce, à la fois, dans mon Dobson Orion XT10g, mais également, dans ma prestigieuse lunette Takahashi FC-76 équipée du renvoi coudé Televue au coulant 31,75 mm. Puisque la nuit tarde à tomber, en début de soirée, j’en profite pour installer tout le matériel sur ma terrasse. Plus tard, lorsque le ciel commence à s’assombrir sérieusement, j’en profite pour faire la mise en station de ma monture équatoriale Ioptron GEM28 GoTo, puis j’effectue les autres réglages nécessaires au bon fonctionnement de mes deux instruments. Ça y est ! Me voilà paré pour une nouvelle séance d’observations ! Les grands classiques de l’été ! Une fois tout le matériel installé et paramétré, il ne me reste plus qu’à choisir quelques objets du ciel profond en cette période estivale. Après réflexion, je décide d’opter pour les grands classiques de l’été : M13 Ah, quel plaisir de revoir le roi des globulaires, le dénommé M13. Dans la lunette Takahashi FC-76 équipé du Pentax XW 7 mm, il a un aspect plutôt nébuleux, cotonneux, avec très très peu d’étoiles résolues en sa périphérie (voire pas du tout). Je ne m’y attarde pas plus que çà, puis je passe directement au Dobson équipé du Televue Nagler 12 mm. En matière de résolution, c’est un autre monde qui s’ouvre à mes yeux L’amas est bien résolu avec de nombreuses petites étoiles qui fourmillent autour de sa condensation centrale. J’aperçois également le fameux Y sombre qui se dessine sous la forme de trois petites bandes noires. Dans le Televue Nagler 7 mm, il est bien plus évident à observer. Ma lunette a beau avoir une excellente optique, certes, mais elle reste très très limitée en matière de résolution pour ce type d’objets. M92 Toujours dans la constellation d’Hercule, j’en profite pour aller rendre visite à un autre célèbre amas globulaire. Il s’agit de M92. Toujours avec le Dobson, je ne peux être qu’émerveiller par tout ce je peux voir. Dans le champ du Televue Nagler 12 mm et dans celui du Televue 7 mm, il est bien résolu avec cette belle myriade de petits astres de faible magnitude entourant son cœur plus, surtout en le comparant à M13. M57 & GSC 2642-0433 Je continue mon chemin de petit bonhomme, puis je m’arrête en direction de la constellation de la Lyre pour y retrouver la plus belles des nébuleuses planétaires. J’ai nommé M57. Pour commencer, je décide de l’observer dans la lunette Takahashi FC-76 équipée du Pentax XW 7 mm. Par rapport à M13 qui m’a laissé un peu sur sa faim, cette fois-ci, je prends plus de plaisir à la contempler, car en vision décalée, j’arrive sans peine à deviner sa forme légèrement circulaire, ainsi que son centre obscur. J’apprécie également de la voir flotter au beau milieu de l’énorme champ apparent que m’offre le Televue Nagler 12 mm. Un véritable régal pour les yeux avec un excellent contraste et un superbe piqué d’image. Dans le Dobson équipée du même oculaire, je me prends une nouvelle claque dans la tronche (si je puis m’exprimer ainsi). Etant bien haute dans le ciel, la vision ne peut être que meilleure. J’y retrouve donc sa forme légèrement ovalisée, ainsi que son assombrissement central qui n’est peut-être pas aussi noir qu’initialement aperçu. Dans le champ du Televue Nagler 7 mm, c’est avec un grand plaisir que de revoir GSC 2642-0433, une très faible étoile de magnitude 12,5 se trouvant juste à côté de la nébuleuse (visible par intermittence avec un grossissement un peu plus faible). Ces deux là forment un duo inséparable. Albiréo Et pour conclure en beauté la soirée, je pointe la lunette en direction d’Albiréo. Wahou ! Elle claque vraiment bien dans le champ du Televue Nagler 12 mm. Quelle superbe image grand champ avec un piqué extraordinaire, le tout, au beau milieu d’autres astres plus ou moins brillants. Bilan de la soirée ! Courtes mais très belle. Ce fut un grand plaisir de pouvoir réobserver les classiques de l’été, surtout après une longue inactivité en la matière. En matière de résolution, la lunette se fait largement écraser par le Dobson. Mais elle possède un excellent piqué d’image, ainsi qu’un beau contraste. Elle permet également d’observer ces objets avec plus de champ tout autour. La vision de M57 et d’Albiréo étaient tout simplement magnifiques dedans, et ce, malgré son faible diamètre. Même chose pour M13. En attendant la prochaine séance d’observations, je vous remercie de m’avoir lu et je vous dis à bientôt.0 point
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Pareil ici. Je ne me suis jamais posé de question poussée à propos de l'obstruction. Pourtant j'utilise principalement des catadioptriques. En revanche, la collimation y est impeccable (faite et recontrôlée brièvement à 1000x les très bons soirs), et j'accorde de l’importance à un bf raisonné. Bien acclimaté et isolé en hiver, c'est la claque en planétaire/lunaire quand le ciel accorde ses faveurs.... Ton VCL est tout simplement bien réglé. Et selon ces mêmes lois, je préférerais un 300 obstrué à un 200 moins obstrué.0 point
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Les effets de l'obstruction centrale se sent surtout sur les détails à faible contraste inhérent... http://www.astrophoto.fr/obstruction_fr.html Si te regardes les exemples, tu verras que c'est surtout les surfaces de Jupiter er de Saturne qui en prennent (un peu), pas tellement les détails lunaires près du terminateur. En mauvais seeing un télescope plus obstrué donnera aussi une image plus flouée. À part ça, la collimation, les effets thermiques, le support des miroirs (ou le pincement des miroirs), la qualité de forme des miroirs, tout ça peut être plus important que l'obstruction. En plus un Newton 200mm f/5 orienté photo (avec le plan focal sorti assez loin) a souvent une obstruction non négligeable aussi.0 point
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Bonjour à tous, Un grand Merci à tous les participants... Merci pour vos commentaires, vos photos et vidéos d'ambiance, cela fait chaud au coeur et motive le staff des organisateurs pour remettre cela l'année prochaine... N'oubliez pas que c'est vous qui faites le succès des Nuits du Causse Noir 😉 Bon ciel à tous... JML SAM0 point
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Bonjour à tous , voici quelques images de ces rencontres qui furent magnifiques ! Quel ciel, mazette! Et quelle ambiance.Un grand coup de chapeau aux organisateurs. Vivement la prochaine 😎0 point
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@Frédéric Salmon Appeler Medas Instruments à Vichy, qui seront les mieux à même de répondre.0 point
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Salut, mon petit soleil de ce matin vers 9h. ciel pas beau :/, comme d'hab (un jour, j'irai habiter une maison tout en haut de la montagne, loin de tout ) lunette SW 70/500 custom (crayford digne de ce nom + micro focuser hélicoïdal, barillet de collimation maison) , etalon lunt LS35 (modifié pour reglage par tilt ET pression physique), coronado BF10, camera player one apollo M mini. j'ai bien cru que mon PC allait prendre feu 😬 500 images retenue sur 8000. AS3, imPPG, LR0 point
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OBSERVATION SOLAIRE DU 13 JUILLET 2022 Bonjour à tous, Le Soleil s'active ! Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas employé à dessiner quelques tâches solaires. C'est chose réparée ce matin-même, sous des cieux éclatants made in Réunion. Merci au passage à Lolodobs qui a inspiré cette séance ! Le temps d'installer précautionneusement le filtre sur la lunette et de mettre la monture en station et c'est parti pour un survol de notre étoile. Voici donc le dessin fraîchement scanné : Puis, afin de mieux constater le nombre important de tâches, une photo prise à la caméra (synthèse de 300 prises) : Voilà, il me faut aussi mettre au propre un petit lot de dessins du ciel profond réalisés ces deux dernières semaines ! Manque de temps, manque de temps, et re manque de temps ! Aux prochaines observations ! Gildas.0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00