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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 08/17/22 dans toutes les zones
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Salut les planéteux ! http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/wink.png CLIQUER SUR L'IMAGE DE JUPITER POUR L'AFFICHER A SA TAILLE MAXIMALE ! Comme pas mal de monde j'étais moi aussi "sur le pont" lors de cette superbe nuit du 02/03 Août. Celle qu'il ne fallait pas rater, surtout après des années de disette Jupitérienne, trop basse sur l'horizon ! Je commençais à désespérer et j'ai failli ne me concentrer que sur la couleur de NGC7217 en poses courtes... Heureusement que l'appel du planétaire a fini par être le plus fort. J'ai dû attendre un peu puis cela s'est calmé sur Saturne et j'ai tenté ma chance même si elle plafonne à 25° sur l'horizon. Ca avait l'air calme mais j'ai eu le meilleur vers 3 H 15 / 3 H 30 heure locale. Quelques captures puis direction Jupiter. Bonne surprise, au traitement la petite tempête déjà signalée est bien là même si elle reste discrète malgré la dérotation. Sur Jupiter, j'ai eu le meilleur vers 5 H 15 / 5 H 30 heure locale. Enfin ! Évidemment, regret éternel : ne pas avoir mis en batterie le T400 cette nuit-là... Mais il est peu commode à mettre en service puis à démonter. En plus, je travaillais cette semaine-là. Et cette nuit, en cumulé, je n'ai dormi que 4 heures au mieux, donc pas de temps à perdre. Enfin, après des années de "bouillasse jupitérienne" et d'images décevantes au T300 comme au T400, ça ne motive pas trop à galérer avec la grosse Berta... http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/sad.png Donc ce qui est fait.. est fait... Comme images de référence, la même nuit et à peu près aux mêmes horaires de capture, je citerais ces 4 réalisations jupitériennes : http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/smile.png Il y a celle de Simon, au C14, correcte mais sans plus au vu du diamètre du télescope : http://www.astrosurf.com/topic/156013-jupiter-du-3-août-2022-au-c14-avec-reprise-du-traitement/ La 2e image de ce post de Christian Arsidi au C11, pas mal pour 280 mm : http://www.astrosurf.com/topic/155999-jupiter-et-saturne-au-c11-le-3-août-ça-commence-à-venir/ Il y a la somptueuse image de Pascal qui a très bien exploité son C14 : http://www.astrosurf.com/topic/156027-jupiter-du-0308-au-c14/ Et la stratosphérique image d'Astroqueyras (Christian Viladrich), intouchable au T500 : http://www.astrosurf.com/topic/156066-jupiter-le-3-août-2022-au-rc-500-astroqueyras-par-excellent-seeing/ Niveau résolution Simon et Christian sont battus pour cette fois mais Pascal est lui clairement au-dessus, le diamètre, l'opérateur et le seeing parlent. SETUP : ----------- Télescope Newton 300 F/D 5.3 Orion Optics optimisé sur monture LXD 750 "kitée EQ-6" Imageur : ZWO ASI 385 MC couleur. Barlow 5x + ADC + Filtre Ir/UV Cut. Images finales en RVB (pas de luminance). Jupiter : ------------- Expo de 12 ms et Gain= 400. Captures de 2 minutes environ, soit environ 10000 images. 4 captures exploitées, de 3H14 à 5H31 heure locale. Export des images avec PiPP puis séparation de chaque capture en deux. Pré-tri sous AS3! (Autostakkert 3.0) de chaque demi-capture, export des images pré-triées. Elimnation direste des plus mauvaises images et tri vuisuel des image "moyennes". Registration des images triées sous Autostakkert 3.0, Premier traitement sous Astrosurface de chaque demi-capture. Iris pour balance des blanc/saturation. Dérotation Winjupos des images intermédiaires de chaque demi-capture Photoshop pour le cosmétique (détourage, nettoyage du fond et ajout des satellites traités à part). Saturne : -------------- Expo de 19 ms et Gain= 485. Captures de 5 à 6 minutes environ, soit environ 16000 à 20000 images. 3 captures exploitées, de 3H14 à 3H34 heure locale. Pas de pré-tri, uniquement tri d'AS3! et registration de 20 à 25% des meilleures images. Mélange 50%/50% d'un traitement fin sous Astrosurface et d'un second traitement ondelettes sous Iris pour chque capture. Iris pour balance des blanc/saturation. Dérotation Winjupos des images intermédiaires de chaque capture pour le globe. Photoshop pour le cosmétique (détourage, ajout globe "déroté" et ajout des satellites traités à part). Images réduites à 85% pour Jupiter et 90% pour Saturne. Pour Saturne, les satellites sont fortement réhaussés pour les rendre facilement visibles (facteur 10x sous Iris, de mémoire). Albéric8 points
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Bonjour à tous, comme je vois passer régulièrement les mêmes questions autour des CMOS (caméras et APN), j'ai décidé de créer un nouveau topic unique qui permettrait de répondre à toutes vos interrogations. On centralisera ainsi toutes les règles, les bonnes pratiques, etc.. sur le même topic. Nous aborderons ainsi les sujets suivants : Petit aparté concernant les calculs numériques Empilement et dynamique Comment analyser le graphe d'un capteur Déterminer son temps de pose ou règle des 3 sigma DARKS, FLATS, BIAS (OFFSETS) et DITHERING Calcul de l'échantillonnage idéal avec un CMOS Petit aparté concernant les calculs numériques Notions de calcul binaire Nous travaillons ici en binaire, c'est à dire que l'électricité qui passe dans un fil (ou un bit) ne peut avoir que 2 états : état 0 éteint et état 1 allumé. Si nous travaillons cette fois sur 8 fils en parallèle (8 bits), nous pouvons obtenir 2 puissance 8 = 256 états différents (entre 0 et 255). Enfin si nous travaillons sur 16 fils (16 bits), nous pouvons obtenir 2 puissance 16 = 65536 états différents (entre 0 et 65535). Nous obtenons ainsi différentes puissances de 2, à savoir 2, 4 , 8, 16, 32, 64, 128, 256, 512, 1024, 2048, 4096, 8192, 16384, 32768 et 65536. Toute l'informatique repose sur ces notions et il est intéressant de les connaître pour bien assimiler son fonctionnement. Les octets Ainsi quand on parle d'octet, cela correspond à 8 bits (octo : 8 ). Attention également, en anglais octet se prononce Byte, donc 1 Byte = 8 bits (1B = 8b). Avec 256 états différents, il est ainsi possible de coder tout l'alphabet avec des caractères spéciaux, des symboles etc... L'invention de la table de caractères ASCII a permis de développer un langage informatique (cette table de caractères a depuis été remplacée par la table ANSI ou Unicode sous Windows). Par exemple, la lettre A possède le code ASCII 65 ce qui en binaire correspond à 0100 0001 ou encore 41 en hexadécimal. Ainsi, l'octet est devenu la base de toute l'informatique. Par exemple, le texte brut contenu sur une feuille A4 peut être codé sur seulement 2000 octets environ (2 kilo-octet ou 2ko), soit environ 400ko seulement pour un livre de 200 pages ! Poids d'une image en octets Pour une image en 16 millions de couleurs, un pixel peut être codé sur 3 octets seulement (1 octet pour chaque couche R, V, B), soit 256 puissance 3 =16 777 216. Une image BMP non compressée de 1024 x 768 pèsera alors exactement 1024 x 768 x 3 = 2.359.296 octets, soit 2.25 Mégaoctets* (2.25Mo) : En revanche une image FIT (par définition non compressée et codée sur 16 bits) issue d'une ASI6200MC de 62 millions de pixels pèsera environ 116Mo. En effet, avec 9576 x 6388 x 2 = 122.353.920 octets ou encore 116Mo (un pixel est codé sur 2 octets pour arriver à 16 bits) : * A noter qu'un Mégaoctet vu par l'ordinateur ne représente pas 1.000.000 (soit 10 puissance 6) mais 1.048.576 octets (soit 2 puissance 20). C'est pour cette raison que 2.359.296 / 1.048.576 = 2.25Mo et pas 2.36Mo. Merci à @keymlinux pour le complément d'explication suivant : Débits et vitesse de connexion Si on parle d'une connexion de 100Megabits par seconde, nous obtenons une vitesse de 10 Méga-octets par seconde environ (8 bits + des bits de contrôle). Idem quand on parle de Gigabits, 1 Gigabit/s équivaut à 100Mo/s (100 Méga-octets par seconde). Il faut donc faire très attention aux symboles utilisés. 100MB/s en anglais correspond à 100 Méga-octets par seconde quand 100Mb/s correspond à 100 Mégabits par seconde. Avec une connexion fibre de 1Gb/s, en théorie on pourrait ainsi transférer une image FIT de 120Mo (issue d'une ASI6200) en moins de 2 secondes ! Empilement et dynamique Quand on empile 4 fois plus d'images, on obtient 1 bit de dynamique en plus. Ainsi on gagne 2 bits pour 16 images empilées, 3 bits pour 64, 4 bits pour 256 images, etc.. Il est intéressant de connaître cette notion, car si on perd 2 bits (ou 2 stops) en montant de 400 à 800 ISO par exemple, alors il faudra empiler 16 fois plus d'images à 800 ISO pour avoir la même dynamique qu'à 400 ISO. De même, avec une caméra 12 bits on devra empiler 16 fois plus d'images qu'une caméra 14 bits pour obtenir la même dynamique, et 256 fois plus qu'une caméra 16 bits ! Une grande dynamique d'image permet de faire ressortir les faibles extensions sans cramer le cœur d'une galaxie par exemple, mais aussi d'obtenir des dégradés de gris ou de couleurs plus riches. Comment analyser le graphe d'un capteur ? Nous allons d'abord voir les différentes notions qui vont nous permettre d'analyser correctement et simplement (sans trop de formules compliquées) les différentes valeurs dans les graphes mis à disposition des constructeurs. Pour cela nous allons avoir besoin de connaître le fonctionnement d'une caméra ou d'un APN. FW : Full Well Un capteur CMOS contient un certain nombre de pixels, composés de puits de potentiel qui vont, comme un entonnoir qui recueille de l'eau de pluie, recueillir les photons qui arrivent sur le capteur, les transformer en électrons, et les convertir en unités numériques (ADU) à l'aide d'un convertisseur Analogique/Digital (ADC). Ces entonnoirs ne sont pas infinis, c'est à dire que quand l'entonnoir déborde, le pixel est dit "saturé". La capacité de ces entonnoirs à photons est donnée par le premier graphe, à savoir le FW ou Full Well, ou encore la capacité des puits de potentiel des pixels. Une fois les électrons convertis numériquement, nous obtenons une valeur en ADU. Le convertisseur (ADC) est généralement donné sur un nombre de bits, entre 8 et 16 avec une capacité en ADU entre 256 (8 bits) et 65536 (16 bits). GAIN Le second graphe nous donne généralement le GAIN, à savoir combien d'électrons sont convertis en ADU pour un gain donné. GAIN et gain ne sont donc pas la même chose. le GAIN s'exprime en électrons par ADU (e-/ADU) alors que le gain n'est qu'une amplification du signal reçu (de la même façon qu'on retrouve les ISO sur les APN) et s'exprime en décibels (échelle 0.1dB sur les graphes). Ainsi pour une amplification donnée de xx décibels, le GAIN en électron par ADU évoluera. Une valeur intéressante de ce graphe du GAIN se situe quand 1 électron = 1 ADU, on appelle ceci le gain unitaire et c'est généralement la valeur qu'on va utiliser le plus souvent pour faire nos images, avec un bon compromis entre le bruit et la dynamique. DR : Dynamic Range Le 3ème graphe va nous montrer la courbe de la dynamique du capteur (DR ou dynamic Range) en nombre de stops (ou en bits), comparable à un APN. Cette dynamique est maximale au gain 0 et va décroître régulièrement si on monte le gain. Une dynamique de 16 bits va nous permettre d'avoir 65536 niveaux de gris ou de couleurs sur chaque pixel, quand une dynamique de 8 bits ne nous donnera plus que 256 niveaux de gris ou de couleurs possibles. Read Noise Enfin le dernier graphe nous donnera le bruit de lecture de la caméra, ou le Read Noise, en électrons. Le bruit de lecture dépend du capteur mais aussi du gain utilisé. Plus le gain est élevé, plus le bruit de lecture va baisser dans une certaine mesure pour finir par stagner. Prenons maintenant 2 exemples concrets et analysons-les. EXEMPLE 1 : ASI183MM Comment analyser cette caméra ? Tout d'abord nous voyons dans le premier graphe, que la capacité des puits de potentiels est de 15.000 électrons environ à gain 0. Pour convertir ces 15.000 électrons en ADU au gain 0 on voit sur le second graphe que le GAIN est de 3.6 environ. 3.6 = 15.000 / ADU donc ADU = 15.000 / 3.6 ce qui nous donne environ 4166 ADU pour 15.000 électrons. En numérique, la valeur la plus proche de 4166 est 4096, soit 2 puissance 12 en binaire ou encore 12 bits. Il est donc inutile d'utiliser un ADC supérieur à 12 bits avec cette caméra, puisque les puits de potentiel ne vont que jusqu'à 4096 ADU. Sur le second graphe, on voit que le gain unitaire (pour rappel l'endroit sur le graphe où 1 électron = 1 ADU) se situe au gain 120 (soit 12dB d'amplification).* A ce gain, la dynamique est de 11 bits environ et le bruit de lecture a bien chûté de 3.0e- à environ 2.2e-. C'est à ce gain qu'on fera la plupart de nos images. Travailler à un gain inférieur nous donnera une plus grande capacité des puits de potentiel, donc un risque de saturation moins élevé. Travailler à un gain supérieur nous donnera un bruit de lecture plus faible, mais une dynamique plus faible et une saturation qui arrivera plus rapidement. * Sur d'autres graphes ou mesures réalisées, on note un gain unitaire de 111 et non pas 120. Sur l'ASiair par exemple, ce gain unitaire est bien paramétré à 111. A noter que plus on monte le gain plus on réduit la dynamique du capteur. On voit que la courbe du bruit de lecture s'infléchit vers 200 de gain et le bruit ne descend plus beaucoup ensuite. A 300 de gain (soit 30dB d’amplification !), on n'a plus que 8 bits de dynamique pour 1.5e- de bruit de lecture, et il ne reste plus qu'une capacité de 400 électrons dans les puits de potentiel, la saturation des pixels intervient très rapidement. Monter le gain sur ce type de capteur peut toutefois être intéressant quand on travaille en narrowband (avec filtres SHO) car la perte de lumière due aux filtres est importante et les temps de pose unitaires deviennent très longs. Pour réduire ce temps de pose à des valeurs acceptables, on augmente alors le gain. Cela permet également de limiter l'ampglow de ce capteur (l'électroluminescence sur le côté du capteur) qui devient très difficile à retirer après 5 minutes de pose. EXEMPLE 2 : ASI2600MC Comment analyser cette caméra ? On voit dans le premier graphe que la capacité des puits de potentiel est bien plus élevée sur cette caméra que l'ASI183 du dessus. A gain 0, elle est de 50.000 électrons. Ce qui veut dire qu'elle saturera nettement moins rapidement, permettant une bonne dynamique sur les objets à fort écart de luminosité (M42, M31, etc..). Pour convertir ces 50.000 électrons en ADU au gain 0, le GAIN du second graphe est de 0.8 environ. Ce qui nous donne 50.000 / 0.8 = 62500 ADU environ. Il nous faudra cette fois un ADC de 16 bits (65536 étant la valeur la plus proche en numérique). Sur ce capteur, on voit une chute rapide du bruit de lecture qui survient à gain 100 (10dB d'amplification). Cette chute s'explique car à ce gain de 100 le capteur déclenche son boost d'ampli et passe en mode HCG (High Conversion Gain). Cet ampli va booster le gain du capteur avec pour conséquence un bruit fortement réduit tout en conservant la dynamique d'origine. Ceci est assez révolutionnaire et typique chez Sony depuis le réputé A7S qui déclenche son mode HCG à partir de 2000 ISO. Sur ce type de capteur, on ne peut pas parler de gain unitaire puisque le GAIN démarre seulement à 0.8, mais on prend alors le gain de déclenchement du mode HCG, à savoir 100 sur ce capteur. On continue l'analyse et on voit ensuite que le bruit de lecture ne descend plus au-delà du gain 100. Il est donc inutile de dépasser le gain 100 puisqu'on baisserait alors la dynamique du capteur sans réduire le bruit. Si un APN était équipé de ce capteur, on dit alors qu'il devient ISOLess à partir de l'ISO correspondant au déclenchement du mode HCG. Pour revenir au Sony A7S, il est donc particulièrement intéressant de travailler à 2000ISO mais monter plus haut en ISO ne fera rien gagner, au contraire, on perdra en dynamique. Sur ce capteur IMX571 de l'ASI2600MC, on n'a finalement que 2 gains de travail : 0 dans les cas où limiter la saturation est importante (photométrie par exemple, ou conserver la couleur des étoiles brillantes), et 100 pour tout le reste.1 point
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Bonjour à Toutes et Tous Je reviens vous voir car j'ai effectué quelques traitements de mes dernières sorties. Pour ne pas prendre trop de place...j'ai effectué des planches. Toutes les infos sont sur celle ci. Commençons par le 06 Aout avec Europe et son ombre. Difficile la gestion de l'artefact de l'ombre sur la planète...J'ai fait au mieux. J'ai réduit un peu les N/B pour pouvoir les insérer. Planche du 07 Aout Jupiter et la GTR Conditions plus difficiles. Je n'ai jamais perdu la planète de l'écran ...mais l'histogramme...du "yoyo" . Les n/b reduites également pour la planche Planche du 09 aout . De mémoire je n'avais pas assisté au passage de deux ombres sur Jupiter en meme temps. J'ai adoré!! un des satellites (IO) qui passe par la suite sur le disque..Ganymède en approche du limbe qui va rencontrer la GTR. Le panard!! J'aime l'allongement de l'ombre de Ganymède en fin de passage. J'ai un ou deux "ser" à traiter pour le tout début de l'arrivée de la GTR mais pas significatif . J'ai du arréter car quelques nuages sont venus et que le jour était présent mais l'essentiel était dans la tete et dans la boite. Merci de votre passage, et de m'avoir peut etre lu. Bon astro alain1 point
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Bonjour tout le monde, je ne sais pas si l'info est arrivée jusqu'ici mais à l'occasion de l'inauguration de l'observatoire NOEMA, l'interféromètre du Pic de Bure organise deux jours de portes-ouvertes pour ceux qui auront le courage monter jusqu'à eux. Un "Village de l'Astronomie" est organisé sur la station de Superdévoluy avec des animations dont je ne connais pas la teneur. Voir le lien ici : https://www.iram-institute.org/EN/news/2022/226.html Je n'ai aucun lien avec l'IRAM, mais je serai présent le samedi si certains d'entre vous s'y rendent, ce serait l'occasion de se rencontrer et - selon la météo - de se faire une soirée astro le samedi soir.1 point
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Bonsoir, la semaine dernière je suis allé chercher ma nouvelle acquisition : une superbe lunette APM LZOS 130/780 que l'ancien propriétaire n'avait jamais sortie de sa caisse : Avec son bulletin interféro qui augurait du bon pour un réfracteur pourtant ouvert à F/6 : Fournie avec son correcteur APM Riccardi, elle couvre soit-disant le plein-format (champ plan de 60mm selon la doc), ce qui restait à voir... Premières impressions : - c'est du très beau matos, ça respire le costaud - la crémaillère 3.7" APM est une vraie œuvre d'art, largement au niveau d'un FeatherTouch, avec 2 colliers rotatifs intégrés et une MAP démultipliée très douce - la crémaillère dispose de 2 colliers rotatifs, le premier à l'avant de la crémaillère pour ajuster la position du chercheur, le second en sortie de crémaillère pour tourner la caméra sans bouger le chercheur - plein de bagues sont imbriquées, M82, M68, M63 et 2 click-lock coulant 2" et 31.7 - une fois repliée elle mesure à peine plus que la FSQ106, elle peut largement passer en avion en bagage cabine - selon la doc elle pèse 9kg mais j'ai l'impression que c'est sans les colliers, de plus le poids du triplet la fait pencher vers l'avant - elle est livrée dans une très belle malle mais le poids de l'ensemble est incompatible avec du nomade, donc je l'ai mise dans le sac de ma FSQ ! Après avoir commandé les bagues allonges M68 pour atteindre le backfocus, j'ai pu tester le tout vendredi soir dans le Vexin (70km de Paris). Voici donc la toute première lumière de cette lunette, sous un ciel assez pollué, mais le but était de tester si tout allait bien (backfocus, tilt, MAP etc..). Ici, montée sur l'EM400 Temma2 avec ASiair Plus, ZWO OAG-L, tiroir à filtres ZWO et ASI6200MC + ASI290 mini pour le guidage et EAF pour la MAP : La nuit était relativement peu turbulente, mais des passages nuageux sont venus vers 1h30 du matin nous gâcher la fête. Voici M31 avec 25 poses de 180s seulement avec un gain fort de 300, aucun dark flat ou offset. On a un échantillonnage de 0.96" (802mm de focale avec le correcteur), ce qui est plutôt pas mal pour aller chercher un peu de résolution. Traitement SiriL (comme mon tuto) et finition avec CS5. Cliquez dans l'image et baladez-vous dans la full : EDIT : j'ajoute 2 images sans prétention réalisées le même soir du Pélican (20x180s soit 1 heure de pose) et de la trompe d'éléphant (10x180s soit 30 minutes de pose), avec le filtre L-Extrême : Le backfocus optimal pour le correcteur (91mm) a l'air correct et le tilt est plutôt bien contenu, les coins du full-frame sont relativement propres : Conclusions : - la mise au point via l'autofocus de l'ASiair donne une très belle courbe en V, et la MAP est confirmée au Bahtinov - Elle est à peine plus longue que la FSQ106 une fois repliée, mais avec le pare-buée déplié et la crémaillère sortie à 70mm pour atteindre la MAP, elle fait environ 1 mètre de long du bout du pare-buée à la base de la caméra - le piqué au centre est impressionnant, NGC206 (l'amas dans le bras gauche de M31) est quasiment totalement résolu en étoiles - elle couvre le full-frame avec son correcteur Riccardi ce qui est une très bonne nouvelle, et le vignetage est inexistant (si ce n'est celui de mes filtres en coulant 50). - il existe également un réducteur Riccardi 0.75x, s'il est du même accabit que le correcteur, ça l'amène à la même focale que la FSQ106 et F/4.5, sinon le QuadTCC de chez AP doit être compatible. En neuf on trouve cette lunette pour la moitié du prix d'une AP130 GTX (même segment à F/6), c'est une très bonne alternative à mon sens. La TOA130 à F/7.7 n'est pas tout à fait dans la même catégorie, beaucoup plus lourde et avec une focale de 1000mm, par exemple M31 ne rentre pas en entier sur le FF. Il ne me semble pas qu'il existe des TS/Sharpstar ou Altair de ce diamètre à F/6, ça doit pouvoir s'expliquer par la difficulté à réaliser un triplet APO à F/6 de bonne qualité. Voilà pour les premiers essais, le setup est validé pour la fin du mois dans la Drôme où j'espère ramener quelques jolies images.1 point
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Institut : la vie est longue, tu peux faire du visuel durant quelques années puis de la photo durant les années suivantes. J'ai fait de l'imagerie CCD dans les années 90. Tout mon matériel était consacré à ça, il y a même eu une époque où je ne possédais qu'un oculaire et une Barlow pour faire du visuel de temps en temps. J'avais donc le matériel optimisé pour l'imagerie compte tenu de mon budget. Quand j'ai arrêté l'imagerie pour faire du visuel, j'ai tout revendu pour acquérir le matériel optimisé pour le visuel compte tenu de mon budget. Ainsi, à tout instant j'ai eu le matériel optimal. Ceux qui veulent faire les deux en même temps ne peuvent pas avoir ce matériel optimal. Il suffirait qu'ils acceptent de ne faire qu'une chose à la fois : une décennie d'astrophoto, une décennie de visuel par exemple. Et toi ? L'astrophoto, c'est un état d'esprit particulier. C'est une manipe scientifique : il y a des réglages précis à faire, des images de calibration, il faut savoir analyser ses échecs. Il faut pratiquer régulièrement, donc se donner le temps de le faire. Quand on installe le matériel pour l'astrophoto, c'est pour toute la nuit ou presque, on ne fait pas d'astrophoto sur le pouce. Pour progresser il faut être disponible, s'y consacrer à 100 %. Mais c'est passionnant ! Si cet aspect manipe scientifique te plaît, je pense que c'est une bonne idée de mettre l'astrophoto en priorité et tant pis pour l'observation visuelle. Mais si tu vois l'astrophoto − alors attention, ce que je vais dire sera probablement contredit par certaines personnes, c'est juste mon point de vue − comme une discipline artistique où il est question de couleurs et de cadrage (par exemple (*)), je ne suis pas sûr que dépenser des milles et des cents en matériel astrophoto soit la meilleure idée. (Mais bien sûr il n'y a que toi qui sais, ce que je dis est plutôt un pronostic.) Bref, si vraiment l'astrophoto t'attire (donc si tu es prêt à « sacrifier » un peu le visuel), je te conseillerais deux choses : 1) Acheter le livre de Th. Legault pour commencer. Avant de choisir le matériel, je trouve judicieux d'avoir une idée de comment on va s'en servir. 2) Acheter une monture HEQ5 avec soit un Newton 150/750 soit une lunette 80 ED. Le télescope et la lunette sont différents et n'ont pas les mêmes avantages et inconvénients, mais je ne peux en préférer un à l'autre. Aujourd'hui je voterais pour la lunette 80 ED, mais demain ce sera peut-être le Newton... (Je peux détailler leurs avantages et inconvénients, mais là j'ai la flemme et il est tard...) ------- (*) Je suis convaincu que le secret de la réussite, ce n'est pas le choix du cadrage ou l'équilibre des couleurs, mais le réglage du tilt et la qualité des flats. (Entre autres, hein )1 point
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En ce moment avec une focale de 975mm j'utilise au max un oculaire de 8mm; après on gagne plus rien car trop de turbulence en ce moment Rien ne sert de grossir, il faut viser à point!1 point
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Mettre la caisse primaire à l'horizontale avec un niveau à bulle et ensuite suspendre un fil à plomb depuis le centre de l'araignée et mesurer aux 4 coins la distance entre la caisse primaire et la cage secondaire pour être sûr que cette dernière est bien parallèle à la caisse.1 point
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Bonjour à tous, Les vacances approchant, le bricolage revient au goût du jour. Aussi, comme je repars probablement sur une nouvelle aventure, je me suis dit que peut-être certains d'entre vous seraient intéressés par mes élucubrations du moment. Depuis que j'ai montré mon T350-split ring à un collègue, il essaie de me motiver pour lui en fabriquer un pour lui. J'ai traîné des pieds pendant un moment, échaudé par les efforts que ça a représenté pour moi. Mais il y a quelques mois, il a fini par réussir à me convaincre de regarder comment on pourrait s'y prendre. Il voudrait un instrument vraiment transportable dans le coffre de sa voiture, on partirait sur un diamètre de 250 mm. Il veut vraiment une monture équatoriale semblable à mon précédant instrument : un split ring serrurier, donc bielles démontables. J'ai bien essayé de lui proposer un strock, mais non. Le gros souci du split ring, bah c'est le ring. Il faut que les variations sur le diamètre soient les plus réduites possibles et que l'anneau lui-même soit rigide pour ne pas avoir de mauvaises surprises de suivi. Il y a aussi le souci de la position de l'oculaire fixe, pas top pour observer, mais j'ai une solution pour ça, on ferait tourner le tube entier pour positionner comme on veut l'instrument. Les matériaux, aluminium, plaques et tubes de carbone, impression 3D plastique aussi. Dans mon stock de métal, il se trouve que j'ai un anneau de 65.2 cm de diamètre extérieur (usiné mieux que le 1/10ème), de section 45 mm de haut sur 30 mm de large. L'idée était de le couper en deux tranches (pour réduire la masse) qui, une fois re-surfacées donneraient chacune un hauteur de 20 mm, suffisamment rigides pour ce projet. L'ennui est que cet anneau a 4 trous pré-percés et mal positionnés. Ce n'est pas grave, finalement, ce n'est que cosmétique, et il ne se verront pas une fois l'instrument terminé. Au final, à l'aide de ma vieille fraiseuse et d'une fraise scie, après l'avoir percé de nombreux trous de 14 mm sur sa périphérie pour alléger l'ensemble, je suis parvenu avec beaucoup de patience à couper cet anneau en deux par la tranche . Mais alors, comme on a deux rings maintenant, on a potentiellement deux télescopes ! Une fois surfacés, les deux rings sont bons, ça n'a pas bougé sur le diamètre, on peut partir la dessus --> Ce sera deux télescopes T250 split-rings identiques ! voilà le projet ! Le but serait d'avoir un instrument un peu passe-partout, observation et un peu photo, je partirais sur une focale de 1200 mm donc 4.8 d'ouverture. Il ne faut pas qu'il soit trop long car très dure à équilibrer cette monture. Les optiques, on les achète chez un artisan cette fois ci, soit chez Mirrosphère, soit chez romano ZEN. J'ai avancé pas mal sur la modélisation et les calculs, je partagerai avec vous tout ça si ça vous intéresse car quelques incertitudes subsistent sur la taille du secondaire (deux options à l'étude, un 62.5mm et 67mm qui me semble un peu gros) Voilà l'état de mon modèle 3D, il manque les paliers, les axes, les systèmes d'entrainement, les blocages, etc ... La suite, plus tard, Bonne lecture à vous, si commentaires, n'hésitez pas. K.0 point
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Salut les astrams, gros coup de tabac (épisode cévenol, enfin de l'eau ?) en vue, alors le gros matos est à l'abri. J'en ai profité pour faire ça hier avant de me pager. Voila ce que je peux désormais voir, de ma petite terrasse Cévenole, depuis qu'un bienfaiteur anonyme (que son anonymat soit béni) a éteint le gros affreux réverbère orange qui aurait du se trouver à peu près à la hauteur des yeux, à gauche de l'image. Vite fait à la tombée du jour avec la Lune montante derrière les collines à l'est et un ciel pas vraiment cristallin. Happy me ?0 point
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Bonjour tout le monde ! C'est une première, je n'ai encore jamais rien partagé de mon travail sur Webastro (en tout cas dans la section astrophotographie) ! Alors pour me lancer voici mes trois premiers clichés avec la nouvelle acquisition, une QHY533M (qui change bien de l'APN 😆) Soyez indulgent, je prends en main la bête et ces trois photos ont été réalisées les trois jours qui ont suivi l'unboxing ! Il n'y a que le Ha pour l'instant, l'achat d'un set LRVB est prévu... mais après la prépa (ou pendant, à voir) 😄 Les trois photos ont donc été réalisées avec le matériel suivant : La QHY533M et une raf QHYCFW3-S-SR Un Antlia EDGE Ha 4.5nm en 1.25" Newton 200/1000 Synta des années 2000 optimisé photo (PO R&P Explore Scientific, flocage) avec un miroir primaire piqué (surement tombé à ~60/70% de réflectivité) SW NEQ6 d'origine (révision complète au programme) Pas de correcteur de Coma (prochain achat sur la liste d'attente en compagnie des filtres LRVB) Guidage au chercheur avec une T7C L'empilement est fait dans Siril puis le traitement sur Pixinsight pour enfin finir par des petites retouches sur Photoshop. → Première nuit sur la nébuleuse de la tête de poisson (IC1795) 27 x 300s (2.25hrs), 60 de gain et 30 d'offset, capteur à 0°C Lune à 96%, aucun DOF → Deuxième nuit sur La nébuleuse de la bulle (NGC 7635) 47 x 300s (3.9hrs), 60 de gain et 30 d'offset, capteur à 0°C Lune à 98%, aucun DOF → Et enfin, la troisième nuit sur la nébuleuse du sorcier (NGC 7380) 37 x 300s (3.1hrs), 60 de gain et 30 d'offset, capteur à 0°C Lune à 97%, aucun DOF ... et je n'ai plus rien à vous présenter... mauvais temps jusqu'à nouvel ordre ici dans le Berry. En espérant que ça vous plaise ! N'hésitez pas à faire des remarques/commentaires, si vous avez des conseils en vrac... Bon ciel à tous 🔭! LT0 point
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Bonjour à tous ! Voilà une image qui m'a donné un peu de peine, la qualité de mon ciel semi-urbain n'étant pas le plus approprié pour ce genre de cible. Je pense avoir quand même réussi à lui extirper son maximum grâce à GraXpert pour traiter le gradient Lyonnais sur la série d'images linéaires, un test payant à mon avis. Skywatcher Esprit 80/400, ASI2600MM-Pro, Astronomik CLS et RVB (6h et 3x2h) le tout sur HEQ5. NINA, GraXpert, Pixinsight & plugins qui vont bien. Et pour une fois que j'y pense, une synthèse de la fusillade satellitaire en tout genre sur mes 6 heures de luminance. Je remercie chaleureusement les algorithmes de réjection0 point
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à ce prix tu as une cam non refroidie couleur d'occas0 point
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Et avec une lunette de 100 on voit quelles sont 4 😉....0 point
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Je n'ai rien compris, mais l'essentiel est qu'une solution a été trouvée !0 point
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Je rêvais déjà d’un celestar 8 en 1996, j’ai eu un c8 en 2020, j’ai mis un an de moins que toi tu vas te régaler!!0 point
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Faut se méfier des titres, et d'où ils viennent. Ça sort de chez blogauto (msn est juste l'aggrégateur). Allez faire un tour sur la page d'accueil ça situe bien le biotope de la source. L'étude citée dans l'article de blogauto est titrée "Climate consequences of hydrogen emissions", elle sort de EDF, qui est pas notre edf mais l'Environmental Defense Fund, une ONG qui a l'air crédible, si on en croit les sources de financements affichés. L'étude en question est là : https://acp.copernicus.org/articles/22/9349/2022/ C'est dense, pas lu en détail, mais comme d'hab', il y a un très grand écart entre le titre racoleur de blogauto et la conclusion de l'étude en question. L"étude remet l'église au milieu du village par rapport à l'enthousiasme "hydrogéniste" en évaluant les forçages négatifs liés au cycle hydrogène, dont personne ne doute de l'existence. Mais c'est le genre d'étude sur lesquels les fossiliens se jettent pour distiller (ou plutôt asperger) du doute sur toutes les solutions alternatives. Personnellement, ce que j'en retiens, c'est une led rouge/orange sur la sincérité de ce qui sort de blogauto (ce qui ne m'empêche pas d'être très sceptique sur le potentiel de la filière hydrogène pour faire quoi que ce soit de significativement positif pour le climat). Ci-dessous la traduction google de l'article original de EDF (l'article qui présente l'étude, pas celle de l'étude elle-même) :0 point
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Avec un site pareil, tu pourrais viser un Dobson 300 mm, ça rentre dans le budget. C'est lourd et encombrant, mais si on porte séparément chaque élément, c'est peut-être jouable, quitte à utiliser un diable si le trajet est long. L'intérêt, c'est qu'un 300 mm en montre nettement plus qu'un 200 mm (et un 400 mm encore nettement plus, mais là ça dépasse le budget...) Ce qui améliore l'observation, c'est le diamètre du miroir. Le reste, à part les oculaires, est utile mais non indispensable. Les objectifs, c'est-à-dire les oculaires, sont indispensables puisque sans eux le télescope est inutilisable. Mais tu peux les acheter au fur et à mesure. Sur un télescope ayant un F/D de 5 (Dobson 250 ou 300 chinois) un choix possible est d'utiliser trois oculaires de 20-25 mm, 10-12 mm et 5-7 mm (environ). Les outils de collimation sont utiles, mais on peut collimater sans. Ce qui est important, c'est qu'il ne faut pas collimater si c'est déjà collimaté. En particulier, quand tu reçois le télescope, tu peux te passer de le collimater, il y a de grande chance qu'il le soit déjà (ou presque). La collimation est un réglage permettant d'optimiser les observations. Quand on sait la faire, il faut la faire. Au début je trouve qu'il ne faut pas trop s'embêter avec (sauf si c'est à l'ouest). Les filtres, ce sont surtout les filtres interférentiels. Avec un 250 ou un 300 je choisirais un OIII, mais certains préfèrent un UHC, en fait le choix est subjetif (et plus tard on achètera le deuxième). Ça permet de mieux voir les nébuleuses diffuses et c'est efficace surtout sous un bon ciel. Le nombre d'objets concernés est limité, mais rien que pour les nébuleuses des Dentelles, ça vaut le coup (sous un bon ciel). Le correcteur de coma (j'essaie de deviner cette histoire de bordures...) est quasi indispensable à F/D = 4, et il vaut mieux l'avoir à F/D = 5, sans quoi les étoiles en bord de champ seront déformées (en forme de coma) avec l'oculaire de plus grande focale. Si tu n'as plus de sous après l'achat du télescope, tous ces accessoires sauf les oculaires peuvent s'acquérir plus tard.0 point
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Ca c'est précis et s'adresser à des professionnels reste une excellente démarche. Les forums ne peuvent pas tout faire ...0 point
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Pour corroboré les dires de Skywatcher 707 sur la maintenance par MEDAS, Je me suis renseigné auprès de MEDAS pour une maintenance complète pour un Celestron C11 XLT : Cette maintenance comprend : -Démontage complet du tube optique - Dégraissage ensemble mécanique - Échange de graisse -Nettoyage miroir primaire, secondaire et lame de fermeture - réapérage des optiques - Collimation laser Pour le prix de 289 euros TTC Voila je me permets de vous donner cette info , je pense que c'est bon à savoir.0 point
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merci à vous pour votre gentillesse et disponibilité le SC de 8" a eté mon rêve depuis 1997 🤣0 point
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Bonjour, Tester de jour sur des élèments de paysage tel que poteaux ,pylônes,édificices plus ou moins lointains.C'est ce que j'ai toujours fait depuis les premiers SCT Celestron(C5,C8 et premier C11 de 1986) entre 1983 et maintenant,donc le C5 ,C8 et ce premier C11, c'était l'église qui se trouvait sur l'autre versant de la commune ou j'habitais à cette époque. Jean Louis0 point
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Je pense qu'Azyraphalle a vu ces deux étoiles-là alors qu'elles n'étaient pas sur sa carte des constellations. Il en verra sûrement d'autres. Quand je débutais, il m'est arrivé la même chose. Je me souviens surtout d'Epsilon de la Lyre : elle n'était pas sur ma carte ; je l'ai pointée à la lunette de 60 mm et elle était double ! Mais il y a dû en avoir d'autres, jusqu'à ce que j'utilise un bon atlas qui, lui, montrait plus d'étoiles que je n'en voyais.0 point
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Salut lolodobs ! C'est la première fois que tu l'observes au T460 ? Bien joué mais effectivement être limité à 170 X avec cet engin c'est signe de conditions très perfectibles ! J'ai eu au T300 pas mal de soirées peu stables aussi jusqu'à ce que je tombe un soir sur d'excellentes conditions et là j'ai failli tomber de mon tabouret (ou de la chaise, je ne sais plus !) Dans les fréquents trous de turbu image découpée au rasoir, immobile, un grand panel de couleurs et surtout des détails de folie, absolument impossibles à dessiner ! Bon c'était pas tout à fait stable 100 % du temps, mais pas loin ... Cette année curieusement je ne comprends pas, je vois pas mal de plaintes pour forte turbu mais moi qui y suis exposé souvent je trouve que les images sont assez stables. Pas encore vu Jupi mais Saturne oui, un de ces soirs récemment à la lulu, alors qu'elle étaient encore très basse. Belle image assez fine0 point
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"c'est un telescope allemand (principaux fabricants de telescope dans le monde) "0 point
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Télescope semi-professionnel. Attention : Amateur s'abstenir on ne peut pas laisser ça entre toutes les mains. https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2100107171.htm Télescope Omegon (a moins que...) https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2197376833.htm On appréciera au passage le réglage de la monture équatorial.0 point
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Le soleil ce matin. Gros coup de chance environ 15' de ciel bleu entre 2 pluie et orage. 5 minutes pour installer le matos et de 2000 images puis retour de la pluie. Pas mal de chose à sa surface. Dommage je n'ai pas eu le temps de faire des images avec la lunette 100-600. Traitement standard et effet de relief.0 point
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Salut les astros, Suite de mes vacances avec cette fois ci les nébuleuses du coeur et de l'âme. Elles mériteraient peut être un peu plus de temps de pose mais je déjà super content du résultat. J'ai bien augmenter mon temps de pose par rapport aux précédentes sessions (de 45s à 90s), ca commence à rentrer. Au final: 46x90s + dofs. Canon 100d dp, Askar FMA180, Star adventurer 2i. Bonne journée0 point
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Institut, pour ta pupille ne n'inquiète pas trop, normalement, enfin en théorie selon les études de medecine, en vieillissant celle ci se réduit de 7mm à 5mm voir moins arrivé à un plus grand age cependant il n'y a rien de plus faux parmi la communauté des astronomes amateurs qui ont toute leur existence ou presque exercé leurs yeux à voir dans la nuit, parfois sans le savoir, moi même enfant je me suis toujours déplacé dans la maison dans le noir complet car je trouvais que je voyais très bien, l'idée saugrenue d'allumer la lumière dans chaque pièces traversées ne me serait jamais venu à l'esprit et ce 30 ans avant de m'interesser sérieusement à l'astro Donc pour dire utilises les oculaires qui te plaise et profites du ciel, autrement excellente décision de préférer rester dans l'observation, pour moi l'astrophoto c'est un autre hobby, tout aussi louable que le notre mais vraiment pas la même notion du temps et de courbe d'apprentissage requise. Il y a 10 ans j'avais rencontré un retraité lorsque je m'étais installé dans la campagne, je pense qu'il avait plus de 70 ans à l'époque, il faisait de l'astrophoto depuis des décennies, il m'a montré son matos de l'époque (me souviens plus le telescope mais peut être un Newton de 200mm), il m'a expliqué en long et en large sa chaine de traitement avec son ordi et puis montré ses meilleurs clichés ... il pestait tout le temps que l'ordi ou sa camera plantait qu'il n'arrivait pas à maitriser parfaitement les nombreux logiciels nécessaires et tout ça pour obtenir somme toute de piètres images, je l'ai aidé avec son ordi et encouragé même si je trouvais ses plus belles productions très moches, pourtant il passait des nuits blanche à poireauter pour ses prises de vue, il avait une caravane pas loin pour dormir en pointillé etc ... Et puis un jour je l'ai invité chez moi à regarder le ciel dans un dobson de plus de 400mm, première cible le double amas de Persée avec un Ethos de 100° pour grossir l'image, il a failli partir à la renverse devant ce feu d'artifice d'étoiles remplissant complètement le champ "c'est vraiment possible de voir ça avec un telescope ?" et puis on a enchaîné des nébuleuses et des amas classiques M57, M 56 et puis le clou du spectacle la nébuleuse du Voile sans filtre OIII je précise, c'était une profusion de méandres et de filaments (comme sont nom anglais un Network !) indescriptibles d'une finesse qui n'a rien à voir avec les beaux clichés que l'on voit ici. Ca l'a achevé il est ensuite retourné chez lui bouleversé peut être en se demandant si il n'avait pas loupé un truc toutes ses années. Personnellement j'aurai adoré faire de l'astrophoto depuis le départ car je suis un peu Geek sur les bords, et puis comme je crée des logiciels pour mon travail celà aurait été encore des heures supplémentaires devant un écran et puis je ne suis pas retraité malgré mon age, ni célibataire donc le temps c'est d'abord pour ma famille, et l'observation de chez soit permet de concilier celà.0 point
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Méthode simple pour savoir si c'est la turbulence : − Pointe la Polaire avec un oculaire quelconque. − Défocalise à fond jusqu'à observer l'image du primaire avec l'ombre du secondaire au milieu. Défocalise encore plus : jusqu'à ce que cette image prenne presque tout le champ. − Si cette image est figée, il n'y a pas de turbulence, les planètes doivent montrer plein de détails. En général ce n'est pas figé : on voit des vagues, parfois ce sont de petits frémissements rapides, parfois de lentes ondulations. Sur mon 495 mm, récemment, j'ai vu comme des vagues d'air qui glissaient sur le miroir, ça faisait peur. Bref, c'est la turbulence, tout la turbulence (atmosphérique, thermique et éventuellement celle due à la présence de l'observateur). Si tu fais cette manipe systématiquement, tu finiras par reconnaître une turbulence modérée et une turbulence forte. Chaque fois que tu as un doute sur l'image, il faut tester toutes les hypothèses, et notamment la turbulence.0 point
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Si toi vouloir oiseau regarder, ici moins cher ! https://fr.shopping.rakuten.com/offer/buy/3060942663/sakura-30-x-60mm-camping-chasse-oiseau-regarder-126m-1000m-jumelles-telescope-avec-laniere.html?fbbaid=7084772881&t=180157&gclid=Cj0KCQjwgO2XBhCaARIsANrW2X06xHLzj34L_oy6CaGjLt5EWO4xmIrdQKByXbVKHgGVt6SvV6xnVJYaAh2ZEALw_wcB Il a une bonne tête de papy le vendeur, mais visiblement il ne vends que des bouzes au prix fort !0 point
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Celui qui a acheté ce renvoi Zeiss, peut maintenant s'offrir l'oculaire qui va bien pour le monter directement dessus ! Euh, finalement, il n'était pas si cher ce renvoi coudé…0 point
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Bonjour tout le monde, Après 2 ans de stand-by en raison de mon activité professionnelle chronophage, j'ai décidé de me relancer dans la photo astro. Une petite soirée sur mon balcon en banlieue strasbourgeoise, soir de pleine lune pour reprendre les habitudes d'installation, de réglages et de shooting. Autant dire que les conditions de PL sont difficilement plus contraignantes 😅 Pour remettre le pied à l'étrier sous ces conditions difficiles, rien de mieux que de shooter en Ha pour avoir tout de même un petit résultat. Je vous propose donc une petite image de remise à niveau sur NGC 281 alias Pacman Nebula. Peu de poses en raison de quelques mésaventures logiciels et électronique .. Ce ne fut pas évident de tout reprendre avec tous les logiciels : PHD GUIDING / APT / Astrometrie via Plate Solve / Pixinsight ... Egalement quelques galères de MAP. J'ai beau utiliser le bahtinov et une ZWO EAF, ça me laisse une MAP pas très précise avec des étoiles légèrement allongées dans les coins. Des astuces à me confier ? Je suis preneur ! Je suis plutôt content du résultat de reprise après cette longue période, un traitement assez rapidement sous Pixinsight. Quelques modifications à faire au niveau de la partie alimentation sont en cours (batterie gel / suppression des allumes cigares pour des ports jack ...) En tout cas, si vous avez des suggestions à m'apporter sur l'image, je les prends avec grand plaisir ! Valentin0 point
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10 ans d'âge ? Non, il est complètement foutu. Je veux bien t'en débarrasser pour une vingtaine d'euros, mais c'est vraiment pour rendre service…0 point
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Voici la nébuleuse de l’aigle – une des rares bien nommée, tant sa forme peut facilement évoquer un aigle qui déploie son envergure pour prendre son envol ! EDIT: nouvelle version avec détails renforcés et recherche d'un équilibre entre détails et bruit. Merci à @*Axel* pour ses conseils. Précédente pour comparer : https://storage.googleapis.com/dso-browser.com/astrophotography/picture-d4422c01523d2f1ffc09278cb585dd3d-original.png En soit cette cible n’a rien de particulier par rapport aux nombreuses nébuleuses qui parsèment notre ciel. Il s’agit d’un gigantesque nuage de gaz et poussières qui, secoués par des courants gravitationnels, s’effondrent parfois localement sur eux-mêmes pour former une boule de matière tellement dense que des réactions de fusion nucléaires s’y déclenchent : une nouvelle étoile s’allume ! C’est donc une véritable pouponnière d’étoiles qui, une fois allumées, éclairent et font luire les gaz et poussières de la nébuleuse, mais aussi les sculptent en les dardant de particules énergétiques qu’on nomme les vents stellaires, nous offrant in fine ce beau spectacle. Pourtant cette nébuleuse tient une place toute particulière dans l’histoire contemporaine : c’est son cœur que Hubble a photographié en avril 1995 pour produire une photographie célèbre, restée iconique, et qui a changé la donne : les fameux « piliers de la création ». Si vous zoomez dans le cœur de ma photo, vous les verrez… évidemment, pas avec la même qualité :-D Hubble et la Nasa sortaient alors de quelques années bien chaotiques, notamment une erreur de conception qui avait rendu myope le télescope spatial lors de son lancement en 1990. Trois ans plus tard, une couteuse mission de maintenance avait enfin permis de le chausser de lunettes pour lui rendre sa vue. Hubble était alors la risée du grand public, cible d’attaques récurrentes : les gens ne comprenaient pourquoi de telles fortunes étaient dilapidées dans des projets qui ne semblaient servir à rien ! Bien sûr ce n’était pas vrai. La communauté scientifique profitait de résultats fantastiques du télescope, malgré ses défauts, et des découvertes importantes étaient déjà faites grâce à lui. Mais rien de très vendeur pour le grand public… Il fallait trouver un moyen de réconcilier les gens avec le processus, surtout si on voulait à l’avenir obtenir d’autres financements pour d’autres projets (tel que le James Webb !). C’est surtout pour ça – une opération de séduction/communication – que cette image à été produite. Et elle a largement dépassé cet objectif ! Les techniques pour la réaliser n’étaient pas nouvelles (bien que rendues un peu compliquée du fait que tout se passait à distance en orbite :-D) pourtant le soin donné à sa prise et son traitement, et les choix de colorisation à la foi scientifiques et esthétiques, en ont fait une image tel qu’on n’en n’avait jamais vraiment vu auparavant. L’impact culturel de cette photo à été particulièrement fort (voir cet article si vous voulez en savoir plus). Non seulement elle a fait taire la plupart des critiques à l’égard de Hubble, mais plus profondément elle nous a fait découvrir une nouvelle façon de voir l’univers. Plus que jamais auparavant, cette photo nous a fait prendre conscience de l’immensité de ce qui nous entoure en dehors de ce minuscule caillou sur lequel nous évoluons. Et bien sûr elle a fait naître des vocations, dont sans doute la mienne - même si j’ai mis un peu de temps derrière à la concrétiser 😊 Elle a créé un nouvel étalon standard pour la photographie astronomique, donnant des orientations pour les caméras, filtres, etc… que les astrophotographes amateurs utilisent de plus en plus aujourd’hui. Et comme justement je viens d’acquérir cet été du matériel me permettant de faire des photos « à la Hubble » comme dit – à mon échelle, évidement, qui n’est largement pas la même !), c’est tout naturellement que j’ai voulu pointer cette cible dès qu’elle a pointé le bout de son nez ! Quant aux « piliers de la création », on pense qu’ils n’existent probablement plus, soufflés il y à 6000 ans par l’explosion catastrophique d’une supernova à proximité. Mais comme ils sont situés à 7000 années lumières de nous, on ne sera fixé sur leur sort que dans 1000 ans… Si on est encore là ! EXIFS (données techniques) : Fait pendant 12 nuits de canicule la première moitié d'aout 🙂 Au début sans lune, à la fin à la pleine lune. Environs 15h de pose, 2/3 Ha, 1/6 Oiii, 1/6 Sii, filtres Antlia 3nm (Ha et Oiii) et 4.5nm (Sii). + Couleurs d’étoiles : 20x20s chaque couche R/G/B en bin2x2 avec les filtres Baader CCD Zwo 2600mm pro (-10°C/Gain 100/Offset 50) Lunette APO TS Photoline 102mm f/5 (avec réducteur) + focuseur Baader Steeldrive Monture AZEQ6 Guidage au chercheur + zwo 178mm Logiciels : Kstar/Ekos sur Stellarmate RPI4, PHD2, Siril, Photoshop Ciel Bortle 40 point
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Plus sérieusement à ce prix la, c’est plutôt une bonne affaire. J’en ai trouvé un à 600€. Ça se trouve plutôt autour de 1000€.0 point
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Sauf que là Issam c'est les sorties d'empilement qui sont postées, pas les brutes avec les DOF.0 point
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Depuis la nouvelle loi française sur les importations chinoises (surtout pour contrer Aliexpress) c'est devenu un gros jeu de dupes Que ce soit Ali ou ZWO, ils trichent tous. Ce n'est pas moi qui incite à la débauche, ce sont des faits réels, ZWO déclare systématiquement sur ses caméras "WebCam" d'une valeur autour de 300 euros, que la caméra fasse effectivement 300 ou 3000 euros. Aliexpress c'est encore pire, puisqu'ils te conseillent de passer plusieurs commandes de moins de 300 euros pour un même et unique produit pour passer entre les gouttes (ils te donnent même la procédure !). Après on peut toujours s'en offusquer, le fait est qu'à partir du moment où on a payé la douane/TVA (systématiquement puisque c'est Fedex ou DHL qui le fait) on est dans les clous en France. Le produit acheté chez ZWO est donc bien TTC et dans les règles. C'est la méthode de calcul qui ne l'est pas et ce n'est pas de notre fait, à moins d'exiger expressément lors de la commande de déclarer la valeur exacte (qui serait assez con honnête pour faire ça ?)0 point
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Tout ce que je peux dire en comparant avec la photo de la STSCI Digitilized Sky Survey, c'est que l'amas Teutsch 124 est mal positionné sur cette carte : il est un peu à droite (avec en effet des étoiles plus faibles). Je pense que c'est bien le groupe d'étoiles entouré en bleu qu'a observé Etoilesdesecrins, ça ressemble à sa description même si c'est à l'ouest plutôt que nord-ouest.0 point
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La saison est lancée pour C/2017 K2 Panstarrs. Elle est actuellement à m9 dans le Serpentaire. Elle progresse en magnitude, mais plonge doucement vers l'horizon sud, à aller chercher d'ici mi-août, après elle sera un peu basse. Observée hier depuis mon ciel francilien tout pourri, trouvée sans trop de problème au 200 même si elle n'était pas hyper lumineuse. Tache floue sans condensation d'environ 3' de diamètre.0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00