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Bonjour 🙂 La planète naine Pluton avec le Ouistiti (l'eVscope 2) 😉 Pour visualiser cette planète naine et son déplacement journalier actuel, j'ai réalisé quatre visions améliorées de quatre minutes chacune, à un jour d'intervalle pendant quatre jours consécutifs. Du 20 au 23 août 2022, à 22h00 en temps universel. Je pointais le Ouistiti en GoTo RA/DEC toujours sur la même étoile de référence et à la même heure (en temps sidéral) pour avoir toujours le même champ stellaire. Pour finir, j'ai monté ces quatre visions améliorées commentées dans un GIF animé. Pluton, officiellement désignée par "(134340) Pluton" ou "(134340) Pluto" à l'international, est une planète naine. La plus volumineuse connue dans le Système solaire (2 372 km de diamètre, contre 2 326 km pour Éris). Pluton orbite autour du Soleil à une distance variant entre 30 et 49 unités astronomiques et appartient à la ceinture de Kuiper, ceinture dont il est (tant par la taille que par la masse) le plus grand membre connu. Après sa découverte par l'astronome américain Clyde Tombaugh en 1930, Pluton était considérée comme la neuvième planète du Système solaire. À la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle, de plus en plus d'objets similaires furent découverts dans le Système solaire externe, en particulier Éris, alors estimé légèrement plus grand et plus massif que Pluton. Cette évolution amena l'Union astronomique internationale (UAI) à redéfinir la notion de planète, Cérès, Pluton et Éris étant depuis le 24 août 2006 classées comme des planètes naines. L'UAI a également décidé de faire de Pluton le prototype d'une nouvelle catégorie d'objet transneptunien. À la suite de cette modification de la nomenclature, Pluton a été ajoutée à la liste des objets mineurs du Système solaire et s'est vu attribuer le numéro 134340 dans le catalogue des objets mineurs. - Actuellement pluton est dans la constellation du Sagittaire. - Magnitude visuelle (actuelle): +14.33 (magnitude moyenne à l'opposition: +15.02) - Distance actuelle par rapport au Soleil: 34,590 UA (5174,628 millions de km) - Période sidérale: 248,549 années (terrestre) - Temps lumière: 04h 40m 40.3s - Jour solaire moyen: 153h 16m 57.2s - Diamètre apparent: 0,10" (2376.6 km) - Vitesse de rotation équatoriale: 13,529 m/s5 points
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Bonsoir, Un peu de planétaire cette semaine. Tôt le matin, je me suis régalé sur Jupiter et Mars. Voici une des Jupiter, vers 4H30 HL, au foyer du Meade 254/2500. ADC ZWO, caméra Player One Neptune-c II IMX464 ça doit être une de mes plus jolie je pense.... Avec ses petits, Io, Europe, Ganymède. Je crois que c'est Europe qui s'est planqué derrière l'ombre de la géante gazeuse. Sur les captures ultérieures il n'est plus là. la brute issue de AS3 d'autres films à traiter4 points
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Bonjour à tous, Je vous présente une image de Saturne réalisée avec un télescope Skywatcher Skymax 127 Virtuoso GTI et un smartphone Huawei P10 Plus. Oculaire 9 mm. Vidéo de 50 secondes avec ProcamX. Traitement : PIPP, Autostakkert, Astrosurface, Registax et Affinity photo. Liège, 25.08.222 points
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MESSIER 15 ET MESSIER 17 Bonjour Webastro, Voici un petit condensé de deux séances d'observation faites ces deux dernières semaines. La première concerne le célèbre amas globulaire M15 de la constellation de Pégase. Un M15 bien pâle en vérité car je me suis (une fois de plus !) laissé surprendre par le lever lunaire que j'imaginais cette nuit-là plus tardive. L'amas semblait fondre comme neige au soleil à l'oculaire au fil des minutes ! Peu importe, il est suffisamment spectaculaire pour malgré tout ne pas trop perdre de sa superbe. L'observation a été effectuée au T280mm à près de 165X. Par nuit bien noire, cet amas est un feu d'artifice du 14 juillet ! Avant hier, j'ai opté pour un grand champ consacré à cette belle nébuleuse dite du Cygne : Messier 17. Même à très faible grossissement la forme incroyable de cet objet est saisie. Mais le plus beau est sans doute de voir ce cygne baigner dans un cocon plus ample en vérité et qu'un simple filtre permet de mieux dévoiler. Bon ciel de fins d'été à tous ! Gildas.2 points
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Bonjour Les led sont identiques à la base. Elles sont basées sur l'utilisation de nitrure de gallium et produisent du bleu. Cette lumière traverse une couche (le luminiphore) qui va modifier la longueur d'onde des photons bleus par phénomène de fluorescence et produire du jaune, donc ce n'est pas à proprement parler un "filtre". En faisant varier l'épaisseur du substrat on modifie la proportion de bleu : Une couche plus épaisse donne une lumière plus "chaude", mais étant donné que l'on converti un photon bleu en photon jaune la différence d’énergie chauffe le substrat. Dans certains cas le substrat est légèrement teinté d'orange pour modifier la teinte de la lumière produite, au prix d'une perte de rendement conséquente.2 points
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Salut à tous, je profite d'une excellente discussion qui a eu lieu récemment sur WA pour en faire un topic unique afin que les infos ne tombent pas dans les limbes du forum Petit préambule : les différents gaz intéressants en astrophotographie des nébuleuses Wikipédia : En astronomie, les nébuleuses en émission sont des nuages de gaz ionisé dans le milieu interstellaire qui absorbent la lumière d'une étoile chaude proche et la réémettent sous forme de couleurs variées à des énergies plus basses. L'ionisation est en général produite par les photons à grande énergie émis par une étoile jeune et chaude se trouvant à proximité. Souvent, un amas entier de jeunes étoiles effectue le travail. Cette ionisation échauffe le milieu interstellaire environnant. La couleur des nébuleuses dépend de leur composition chimique et de l'intensité de leur ionisation. Beaucoup de nébuleuses en émission sont à dominante rouge, la couleur de la raie de l'hydrogène alpha à 656,3 nanomètres de longueur d'onde, en raison de la forte présence d'hydrogène dans les gaz interstellaires. Si l'ionisation est plus intense, d'autres éléments peuvent être ionisés et les nébuleuses peuvent émettre non seulement dans d'autres nuances de rouge (soufre II à 671,9 et 673,0 nm), mais aussi dans le vert (oxygène III à 495,9 et 500,7 nm) et dans le bleu (hydrogène bêta à 486,1 nm). Ainsi, en examinant le spectre des nébuleuses, les astronomes peuvent déduire leur composition chimique. La plupart des nébuleuses en émission sont formées d'environ 90 % d'hydrogène, le reste étant de l'hélium, de l'oxygène, de l'azote et d'autres éléments. La bande passante des différents gaz ionisés : l'hydrogène H-béta (Hb) : bande passante 486nm (se trouve dans le bleu) l'oxygène (OIII) : bande passante 496nm à 501nm (se trouve dans le bleu-vert) l'azote (NIIa + NIIb) : bande passante 655nm à 658nm (se trouve dans le rouge) l'hydrogène H-alpha (Ha) : bande passante 656nm (se trouve dans le rouge) le soufre (SIIa + SIIb) : bande passante 672 à 673nm (se trouve dans le rouge) On voit que certaines bandes passantes sont très proches : Le Halpha et le NIIa sont quasiment confondus, et le NIIb est espacé de seulement 2nm Le SIIa et SIIb sont confondus, on obtient un ensemble SII de 2nm d'espacement Le SII est relativement proche du Ha, espacé de seulement 16nm Enfin le OIII et le Hbéta sont très proches, espacés de seulement 10nm Qu'est-ce que le SHO, le HOO ? C'est une technique d'imagerie qui consiste à prendre des images à l'aide d'une caméra monochrome équipée successivement de filtres qui laissent passer le SII, le Ha et le OIII (soit S, H, O). On va pour cela utiliser une roue à filtres équipée de ces 3 filtres, puis une fois les 3 séries d'images prises, on va reconstituer une image couleur selon les spécifications suivantes : Palette Hubble : le SII pour la couche rouge (pour rappel le SII est bien dans le rouge) le Ha pour la couche verte (pour rappel le Ha est aussi dans le rouge !) le OIII pour la couche bleue (pour rappel le OIII est dans le bleu-vert !) Pourquoi ? Tout simplement parce que le vert est la couleur que l'oeil voit le mieux (les détails notamment). Par conséquent les gars de la Nasa, pour les images de Hubble avec filtres S, H et O, ont imaginé placer le Ha dans le vert puisque c'est le gaz qui se trouve le plus abondamment dans les nébuleuses en émission. Ensuite, ils ont décidé de coller le SII dans le rouge naturellement, et le OIII dans le bleu. Un exemple d'image SHO (un peu pourrie puisque réalisée le soir du solstice d'été à 3kms de Paris avec la Lune !!) avec ASI183 mono et filtres Astronomik SHO 6nm : Palette HOO : le Ha pour la couche rouge (logique puisque rouge) le OIII pour la couche verte (logique aussi puisque bleu-vert) le OIII pour la couche bleue (logique encore puisque bleu-vert) On obtient alors une colorimétrie plus proche de la réalité, contrairement au SHO qui est entièrement en fausses couleurs. De plus on économise un filtre puisqu'on n'utilise pas le SII. C'est une technique intéressante car avec seulement 2 filtres ont obtient une image couleur sympa, alors qu'en LRVB il faut 4 filtres et autant de séries d'images. Un exemple d'image HOO (toujours réalisée à 3kms de Paris proche du solstice) avec ASI183 mono et filtres Astronomik H et O 6nm : Qu'est-ce qu'un filtre multi-bandes ? C'est un bout de verre (!) traité spécifiquement afin de laisser passer certaines bandes passantes utiles en astrophotographie, pour faire ressortir les nébuleuses. A la différence des filtres anti-pollution lumineuses qui sont spécialisés pour bloquer les longueurs d'onde des lampes au sodium et autres saloperies (!), les filtres multi-bandes sont là pour laisser passer spécifiquement certaines longueurs d'onde. Les filtres anti-pollution sont les CLS, UHC, LPR, LPS etc.. Et à la différence des filtres SII, Ha et OIII qui sont dédiés aux caméras monochromes, les multi-bandes prennent tout leur sens avec les caméras couleur, puisqu'on va imager toutes les bandes passantes en one-shot ! Il en existe 3 sortes : les filtres bi-bandes : ils filtrent typiquement le Ha et le OIII (ou le SII et le OIII) les filtres tri-bandes : se sont en fait des filtres bi-bandes mais plus espacés et de fait ils englobent plusieurs bandes (typiquement Ha et OIII + Hb qui sont très proches) les filtres quadri-bandes : là aussi on peut dire que ce sont des bi-bandes à bande passante très large (typiquement Ha + SII et OIII + Hb), ou alors de vrais quadri-bandes mais nous allons voir plus loin qu'ils n'ont pas d'utilité réelle Comment les utiliser avec une caméra ou un APN couleur ? Comme on ne va généralement utiliser qu'un seul filtre pour notre séance d'imagerie en One-shot, il suffit de les monter dans un tiroir à filtres (ou Filter Drawer en anglais). Les filtres sont insérés dans le tiroir et peuvent être interchangés sans démonter le train d'imagerie. Par exemple devant une ASI2600MC ça donne ceci avec le tiroir à filtres ZWO M48/M42 : Vous pouvez utiliser le même montage pour un APN, ou insérer directement la version clip du filtre contre le capteur de l'APN : Comment se comportent-ils avec une caméra ou APN couleur ? Pour comprendre comment se comportent ces filtres avec une caméra couleur, il faut déjà comprendre comment elles fonctionnent... Une caméra couleur c'est la même chose qu'une caméra mono sauf que sur chacun des pixels on a placé successivement des filtres rouges, verts et bleus afin de constituer une matrice dite de Bayer, qui une fois interpolée, reconstituera l'image couleur. Et on les a placés dans cet ordre là (il y a 2 fois plus de pixels avec filtres verts que de pixels avec filtres bleus et rouges, car le vert est ce que l'oeil voit le mieux) : RVBVRVBV VBVRVBVR BVRVBVRV VRVBVRVB Etc... Maintenant si on place par exemple un filtre Ha par-dessus tout ça, il reste quoi ? Le Ha étant dans le rouge, il reste : R___R___ ___R___R __R___R_ _R___R__ Etc.. Alors qu'une caméra mono avec le même filtre Ha aura reçu : RRRRRRRR RRRRRRRR RRRRRRRR RRRRRRRR En terme de signal, le canal rouge a reçu tout le flux nécessaire, pas moins qu'une cam mono (en réalité un peu moins à cause des filtres rouges sur les pixels qui réduisent un peu le flux) En terme de résolution en revanche, il ne reste plus qu'un pixel sur 4 puisqu'on a perdu les VV et le B. En chiffres : c'est un peu comme si on réalisait un bin2 sur la caméra, il nous reste donc : 50% de résolution en Halpha (soit racine de 1/4) soit une perte de 50% 50% de résolution en SII (soit racine de 1/4) soit une perte de 50% 86% de résolution en OIII (soit racine de 3/4) soit une perte de 14% par rapport à une caméra mono. Si on travaille en RVB pur, sur une cam couleur il nous reste : 50% de résolution dans le rouge (soit racine de 1/4) soit une perte de 50% 50% de résolution dans le bleu (soit racine de 1/4) soit une perte de 50% 70% de résolution dans le vert (soit racine de 2/4) soit une perte de 30% par rapport à une caméra mono. Mais il ne faut pas oublier que les algorithmes de dématriçage ont bien évolué et qu'on fait maintenant du traitement en drizzle 2x, ce qui diminue un peu la perte. Et le rapport plaisir/emmerdement est bien plus favorable sur la caméra couleur Ça c'était par rapport à des filtres mono-bande Ha, SII ou OIII. Voyons maintenant comment va se comporter notre caméra couleur (ou l'APN) avec un filtre multi-bandes : Si on reprend notre exemple ci-dessus : RVBVRVBV VBVRVBVR BVRVBVRV VRVBVRVB et qu'on applique un filtre duo-band Ha-OIII, il reste : RVBVRVBV VBVRVBVR BVRVBVRV VRVBVRVB Les pixels rouges ont reçu du halpha et les pixels verts et bleus ont reçu du OIII. Intéressant non ? Un exemple d'image HOO (réalisée à 50kms de Paris) avec ASI2600MC et filtre Optolong L-Enhance, le tout en One-shot : Comment traiter les images couleurs avec filtre multi-bandes ? Vous pouvez soit traiter votre image comme une simple image RVB. Ou alors utiliser un script spécifique qui va extraire le signal Ha de la couche rouge, et le signal OIII des couches vertes et bleues, vous récupérez alors 2 images Ha et OIII puis reconstituez l'image couleur en composition HOO. Le tout nouveau SiriL 0.99 béta possède une telle commande et le script associé, ainsi que Pixinsight ou Astro Pixel Processor (APP). L'image ci-dessous, réalisée (à 3kms de Paris) avec une ASI2600MC et le L-Extrême, a reçu un pré-traitment avec extraction Ha+OIII grâce au script SiriL : Et cette fois-ci la même image, mais avec un pré-traitement classique RVB, toujours dans SiriL : Et au fait, avec un filtre multi-bandes on peut aussi faire du mono-bande ! D'ailleurs avec une caméra couleur on peut aussi faire du noir et blanc ! Avec le filtre L-Extrême sur l'ASI2600MC, récupération de la couche Ha uniquement sous SiriL (et toujours à 3kms de Paris !) : Les différents filtres Multi-bandes sur le marché Tout d'abord un peu d'excellente lecture avec ce rapport d'un membre de Cloudynights qui a testé une dizaine de filtres différents : http://karmalimbo.com/aro/reports/Test Report - Multi Narrowband Filters_Feb2020.pdf Un tout nouveau filtre est arrivé sur le marché et il est disponible depuis le 1er juillet 2020. C'est le filtre Optolong L-Extrême. Ici à côté du filtre anti-pollution L-Pro : Il est dispo chez Optique Unterlinden (importateur) au tarif de 290 euros https://www.telescopes-et-accessoires.fr/filtre-l-extreme-optolong-coulant-508mm-c2x31837848 EDIT : j'apprends à l'instant que l'IDAS NBX vient également de sortir début juillet 2020 au tarif de 299 dollars, je l'ai ajouté à la liste ci-dessous. EDIT 2 (06/02/2021) : suite à des soucis de halos sur les étoiles brillantes, le IDAS NBX est retiré du marché et une campagne de rappel a lieu actuellement auprès des acheteurs. Il est remplacé par le tout nouveau NBZ. Les filtres disponibles avec leurs bandes passantes du plus espacé au plus serré : Tous ces filtres existent en 31.7mm, 48mm et certains existent également en version clip pour certains APN. Les prix indicatifs sont pour le modèle M48. Optolong L-Pro (190€) : Ha, SII, NII, OIII, Hb (bande passante inconnue) équivalent à un CLS ou UHC mais avec les bandes plus serrées, on pourrait presque le considérer comme un multi-bande aussi je le place ici Altair quadri-band (249€) : (Ha + SII) 35nm et (OIII + Hb) 35nm Idas NB1 (269€) : (Ha + SII) 20nm et (OIII + Hb) 35nm ZWO bi-band (206€) : Ha 15nm et (OIII + Hb) 35nm (on devrait l'appeler tri-band d'ailleurs puisque le OIII recouvre le Hb également) Altair tri-band (259€) : Ha 12nm et (OIII + Hb) 35 nm Optolong L-Enhance (199 euros) : Ha 10nm et (OIII + Hb) 30nm Idas NB2 (259€) : Ha 15nm et OIII 15nm Idas NB3 (259€) : SII 15nm et OIII 15nm STC Duo-Narrowband (369€) : Ha 10nm et OIII 10nm Idas NBZ (299€) : Ha 10nm et OIII 10nm Optolong L-Extreme (290 euros) : Ha 7nm et OIII 7nm Antlia ALP-T (450 euros) : Ha 5nm et OIII 5nm Triad Quad-band (1350€) : Ha 4nm SII 4nm OIII 4nm Hb 5nm * * Le Triad est le tout premier filtre multi-bandes qui soit sorti sur le marché, mais il est d'une part très cher et ses bandes serrées n'ont pas d'avantage particulier sur les autres dans la mesure ou la caméra couleur ne fera pas la distinction entre le Ha et le SII puisque les 2 sont dans le rouge, les 2 bandes seront donc confondues, et idem pour le OIII et le Hb. On peut donc considérer que c'est plutôt un excellent (Ha + SII) 8nm et (OIII + Hb) 9nm Conclusion Il en résulte que l'Optolong L-Extrême possède un excellent rapport bande passante/prix (le Triad est à plus de 1350 euros !!) et le Idas NBX est promis également à un bel avenir si sa qualité optique est identique au reste de la gamme Idas. Reste à voir la qualité intrinsèque des verres utilisés dans chacun de ces filtres, Altair, ZWO, Optolong et STC sont chinois, alors que Triad est américain et Idas est Made in Japan (Les Idas sont connus pour avoir une excellente qualité optique). Il faudra voir à l'usage si c'est plus intéressant d'avoir un pur bi-band Ha + OIII plutôt qu'un quadri-band (Ha + SII) et (OIII + Hb). Pour du HOO pur, c'est évident, mais pour certaines nébuleuses ça reste à voir. Enfin si vous souhaitez réaliser du vrai SHO avec une caméra couleur, sachez que c'est possible. Techniquement c'est impossible avec un seul filtre car le Ha et le SII sont tous les 2 dans le rouge et les pixels rouges de la caméra couleur ne sauront pas faire la distinction entre les 2 bandes. Mais en utilisant 2 filtres (chacun sur une session d'imagerie) : IDAS NB2 qui laisse passer le Ha et le OIII IDAS NB3 qui laisse passer le SII et le OIII on reconstruit alors le SHO au traitement en récupérant la couche Ha du NB2, la couche SII du NB3 et la couche OIII du NB2 et du NB3 Notre ami @Steph_2.0 utilise cette technique depuis quelques temps avec beaucoup de succès. Exemple d'image SHO réalisée par lui-même avec une ASI2600MC (quand même 40 heures de pose !!)1 point
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Salut, J'ai le plaisir de vous annoncer que je viens de publier mon cinquième roman ! CP 1919 est mon cinquième roman, après Soixante Nanosecondes (2013), Meurtre au Gran Sasso (2015), La dernière Supernova (2017) et Trous noirs en eaux profondes (2019). Retrouvez le en accès libre, à télécharger gratuitement ici : https://www.ca-se-passe-la-haut.fr/p/cp-1919.html A l’automne 1967, Jocelyn Bell, alors étudiante en thèse à Cambridge, découvrait fortuitement le premier pulsar, une étoile à neutrons en rotation rapide. Il fut rapidement suivi par trois autres, à peine deux mois plus tard. Sa découverte fut à l’origine d’une petite révolution en astrophysique, donnant la preuve directe que le processus de l’effondrement gravitationnel des étoiles était bien réel. Jocelyn Bell est surtout restée célèbre pour n’avoir pas reçu le prix Nobel, qui fut décerné à son directeur de thèse en 1974. Jocelyn Bell est devenue une icône pour les jeunes générations dans la communauté des radioastronomes et c’est encore le cas cinquante-cinq ans plus tard, notamment dans un groupe de jeunes doctorants qui traquent des sursauts radio d’origine encore inconnue et qui sont prêts à suivre à la lettre ce que Jocelyn Bell leur conseille de faire… lutter pour le futur.1 point
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Salut, j'ai commencé avant-hier un projet de mosaïque sur un champ très classique, le quintette de Stephan, la galaxie NGC7331 et le "Deer lick group" en arrière plan de celle-ci. Je l'avais déjà shooté en une seule tuile l'année dernière avec l'ASI1600 mais je pense qu'avec les petits pixels de l'ASI183, et le meilleur suivi de l'AP900 je peux obtenir un meilleur résultat. Voici déjà 5h de luminance sur le Quintette de Stefan, avec une bonne stabilité (2.1" de FWHM après empilement) mais des voiles d'altitude diminuant le RSB , déjà bien affecté par la pollution lumineuse parisienne (clic droit pour la full) : Une colorisation provisoire avec les couches RVB de l'année dernière )qui étaient de qualité assez médiocre et avec un cadrage différent) en attendant de les refaire, avec des détails sympas : La résolution est bien meilleure que celle de l'année dernière, ça m'encourage à continuer quand le ciel le voudra bien Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 300*60sec à gain 110, -10 °C avec l'ASI183mm Chrominance 45*60 sec à gain 76 -10 °C, par couche avec l'ASI1600mm Conditions de turbulence correctes (FWHM de 2.1" après empilement), voiles d'altitude, pollution lumineuse (Tour Eiffel à 20km) Empilement Siril, traitement PI et Rawtherapee bonne journée, Dan1 point
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C'est juste fabuleux,niveau couleurs et détails! Une merveille O________O1 point
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Bonsoir Seb excellente image grand champ! felicitations Pour la suite...il y a plus gros car cela le mérite je pense. Profitons du diamètre alain1 point
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Ah oui, et c'est très beau ! Je disais juste que c'est encore mieux, et nettement, à 250 mm. En tout cas j'adore ton dessin de l'amas. Il faut être drôlement courageux pour ça ! -------------- Normalement le seeing mesure la turbulence du ciel, pas la transparence. Or trouver de faibles nébuleuses est un problème de transparence. Du coup suite à cette discussion je viens de mettre sur mon site une nouvelle liste : le Messier Fois Deux. − La liste :http://www.astrosurf.com/bsalque/messier2.txt − Les explications : http://www.astrosurf.com/bsalque/messier2-p.txt (C'est toujours le même format que la liste des objets basiques.) J'avais fait cette liste pour moi en 2018, c'était en quelque sorte mon programme d'observation. Mais je n'avais jamais pensé à la mettre sur mon site. Et là, puisqu'on parle de trouver des objets adaptés à un 250 mm, je me dis qu'elle répond parfaitement à la question !1 point
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Bonjour ! Voyons ces objets... Ces deux galaxies ont une très faible brillance de surface : toutes les deux sont à 14,7 par minute d'arc carrée. Pour comparaison, celle de M33 est de 14,2 ; celle de M101 est de 14,8. Voilà, elles sont aussi peu lumineuses que M101. Mais avec une magnitude globale nettement plus faible. Elles sont donc accessibles à un télescope de 250 mm, mais sous un très bon ciel, et uniquement sous forme de vagues taches floues relativement larges, détectées en vision décalée. C'est une nébuleuse diffuse, encore un objet à faible brillance de surface. Elle réagit bien aux filtres UHC et OIII. Si tu en as un, essaie, ça peut la révéler. Il est inmanquable autour d'une étoile visible à l'œil nu. Tu as peut-être pris une mauvaise étoile ? Celui qui t'a conseillé cet objet est un farceur ! Ces nébulosités de très grande taille ont une magnitude de surface extrêmement faible. Elles sont cataloguées dans le IC, pas dans le NGC : ce sont des objets pour la photo, pas pour le visuel. Avant de les chercher, commence par la tête de Cheval, c'est plus « facile »... (Je plaisante, hein !) La première est une nébuleuse IC, la seconde est une nébuleuse à réflexion, très faible mais observable : tu dois avoir l'impression qu'il y a de la buée autour d'une étoile brillante, un peu comme la nébuleuse de Mérope. On doit deviner un truc en vision décalée, peut-être en bougeant le champ. Quand tu auras vu la nébuleuse de Mérope, tu pourras tenter NGC 7023 : ce sont deux objets de même nature. Les nébuleuses d'automne que je te conseille sont moins connues (pas de surnom, peu photographiées, donc pas à la mode) mais accessibles plus facilement : NGC 7538 dans Céphée, NGC 1491 dans Persée. Attention, LH44 parle de jumelles de 100 mm ! Personnellement j'adore NGC 7789 au 300 mm chez moi, mais je l'ai déjà vu au 250 mm sous un ciel bien noir et c'était aussi bien. Au 200 mm c'est déjà moins spectaculaire. Il faut atteindre la magnitude 12,5 pour reconnaître l'amas (en-dessous on voit une tache floue, avec éventuellement une poignée d'étoiles si on n'est pas loin de 12,5). Justement, les jumelles de 100 mm ont une magnitude limite de presque 13, donc c'est OK. Mais avec mes 15×70, par exemple, je ne suis qu'à la magnitude 12 (en pratique je dirais même 11, ce sont des jumelles chinoises à bas prix) : ce sera juste une tache floue.1 point
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Re bonjour à tous! Alors, hier, j'utilisais surtout le 25 mm d'origine... pour trouver justement... je sais qu'il y en a parmis vous qui vont être outré par ce que je vais dire: j'ai un ES 14 mm 82 ° mais au finale, je garde mon 25 d'origine. Je trouve qu'il est plus confortable que ce 14.. ensuite, lorsque je trouve (comme M76) je passe sur mon 8.8 que je trouve formidable pour le coup ! OK, donc, ce soir, je prend aussi les jumelles à coté de moi ! c'est noté !!! OK, donc, dans ma liste d'objet à faire, je dois pouvoir rayer tout ceux la... je vais essayer de voir si il y a des liste qui répertorie ces objets la... J'avais ce 25 mm la.. mais oui.. comme j'ai pas forcément l'ordinateur à coté de moi, ou mon téléphone (je cloitre mes chats à l'intérieur la nuit, pour qu'il ne se fasse pas "manger"... quand j'oublie le téléphone, c'est dur de retourner le chercher sans avoir le chat qui miaule et qui pourrait réveiller mon mari... mais hier, j'avais le tel... J'utilise Stellarium avec le mode nuit... et parfois, je vérifie avec .. mais en zoom, il me montre un truc informe... M33, ca va bien, ça, je trouve facile. M101 aussi ça va... vu déjà tout plein de fois... c'est pale, c'est certain, mais au printemps, on avait des ciels plutôt limpides... ça faisait parti des listes du club de la girafe... trouvé assez rapidement avec les cartes. ça effectivement, j'y arrive pas non plus.. j'ai laissé tomber.. il me faut quelques succès pour rester motivée !!! 😉 je m'y attaquerais lorsqu'on aura de nouveau un ciel plus limpide qu'en été... ça fait pas mal de temps que tu m'aide c'est bien vrai. Tu as répondu à beaucoup de mes questions et c'est l'occasion de te dire encore merci!!! Possible! Le téléchargement en cours!! je l'avais pas installé.. beaucoup parlent de Stellarium ou Skysafari et comme je connais le premier depuis très longtemps.. j'avais pas chercher à voir l'autre.. Pourtant, je crois que c'est pas la première fois qu'on me le conseil... je viens de voir qu'il y avait une version gratuite. J'étais persuadée que c'était payant ! Donc, ça y est ! je vais comparer !!! Merci du conseil Hier soir, c'est bien vrai que c'était pas fameux.. j'avais un seeing vers 1... donc, j'avais espérer que ça serait bien, mais les nuages, c'était pas ça... Ce soir: je retente le coup, mais cette fois: - Avec Sky Safari - Avec mes jumelles 12*60 - Avec ma petite lunette à coté du Dobson (car j'ai pas de quoi grossir MOINS avec le 254, au 25, je crois que d'après les calculs, je suis au minimum) - et j'essaye de trouver quels sont les objets qui sont que dans certaines bandes spectrales... chose qui va pas être facile... je sais que chaque objets émet dans des longueurs d'onde en rapport avec les gaz qui compose l'objet.. mais je suis pas certaine que les listes me donnent ces informations (mis à part chercher les objets un à un sur wikipedia ?) un Grand Merci à tous pour toutes ces réponses. Laurence1 point
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Les super-terres ne sont pas à privilégier, par définition elles sont plus massives que la terre et donc la gravité y est plus forte. Idem pour les exoplanètes autour de naines rouges, elles doivent être proches de leur étoile et sont donc en grande majorité en verrouillage gravitationnel avec leur étoile (un côté cramé, un côté glacé). De plus les naines rouges émettent un rayonnement ultraviolet intense probablement délétère à la vie et sont sujettes à de violettes éruptions solaires. Il faudrait privilégier les recherches autour de naines oranges ou jaunes (comme le soleil). Pour l'atmosphère respirable, c'est probablement le critère le plus compliqué. L'atmosphère de la terre est respirable car elle a évolué en étant influencée par le vivant et car nous y sommes adaptés. Il n'y a pas de raisons pour qu'ailleurs l'atmosphère ait évolué exactement de la même manière. Enfin, pour y aller en l'état actuel de nos connaissances ça reste de la pure science fiction.1 point
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C'est exactement cela qui nous fût expliqué durant la conférence de Valérie MASSON DELMOTTE. Sur ce point précis du réchauffement des océans, le point de non retour est déjà dépassé. Même si depuis ce matin, la température devenait stable ou mieux si elle commençait à baisser, l'inertie des océans est telle que nous sommes partis pour entre 5 et 8 000 ans de désordres graves. C'est la conférencière, paléoclimatologue qui l'a en partie démontré en complément du travail d'autres équipes de recherche. Les eaux de surface étant réchauffées, donc encore plus légères que les eaux de profondeur, les mécanismes habituels de brassage sont fortement ralentis limitant alors l'oxygénation de la biosphère marine. Par voie de conséquence toute la biodiversité marine va être très durablement et très fortement impactée comme le souligne bien @Pyrene. Durablement parce que les calories créées par le dérèglement des climats se retrouvent pour 91% dans la masse liquide et y sont installées pour très très longtemps sans que nous ayons la plus petite idée pour un début de réflexion quant à contourner ce processus par l’ingénierie. Nous ne pouvons plus que subir. C'est pourquoi la conférencière a bien insisté pour que la transition non pas climatique mais de Vie doit prendre impérativement deux voies. 1 ) La première nous est destinée ainsi qu'aux deux générations suivantes. Nous allons devoir imaginer des solutions immédiates et drastiques juste pour que le plus de personnes possible restent tout simplement en vie. Les fausses bonnes solutions sont légion. L'une d'elles par exemple issue de la canicule de 2003 qui a consisté à installer une climatisation dans les établissements accueillants des publics fragiles, EPHAD, Hôpitaux, etc. Cette solution certes protège les personnes sur l'instant mais en créant davantage de désordres climatiques eu égard à la consommation électrique majoritairement carbonnée, par les fuites de gaz à effet de serre provenant de ces appareils (ils représentent maintenant 20% de la consommation des appareils de régulation de la température), alors que depuis 20 ans maintenant nous aurions dû faire évoluer nos bâtiments vers une capacité à réguler structurellement la température. Le surcoût de construction à rédhibitoirement éliminé cette démarche. L'Égypte des pharaons maitrisait ces techniques maintenant oubliées et/ou pas enseignées. 2 ) La deuxième voie est pour les générations à venir sur plusieurs siècles. Elle va consisté à revoir très en profondeur toute l'organisation de la Vie à commencer par la production de nourriture. Il va nous falloir la végétaliser en profondeur. Pour cela il va aussi falloir créer des variétés, peut-être des races de végétaux peu gourmands en eau, très résilients face aux grandes variations de température. Ce sont 15 à 30 ans de processus de recherche et création. Il nous faut planter dès aujourd'hui des arbres fruitiers dont l'éclosion de printemps doit être plus tardive pour éviter les gelées tardives de plus en plus fréquentes, alors que depuis 50 ans nous avons sélectionné des arbres de plus en plus précoces car les récoltes se vendent plus cher en mars qu'en juin. Ce n'est qu'un exemple, mais toute la chaine de notre alimentation se prête à l'analyse. Pour revenir aux conséquence liées à l'océan, parmi les premières victimes nous allons trouver les populations côtières des Pays pauvres ou à économie locale qui perdent leurs ressources alimentaires majeures : la pêche. Le premier exemple est la côte Ouest de l'Afrique parmi les plus poissonneuses de la Planète, mais aussi les Pays d'Asie Sud et Sud-Est. La deuxième calamité qui va les achever sera la montée des eaux, liée à la fonte des glaciers et maintenant du pôle arctique où tout s'accélère et a quitté les scénarios les plus durs que nous connaissions pour aller vers des scénarios peut-être divergents voire de rupture. L'accroissement de température y est presque trois fois supérieur à celui des latitudes plus basses et le taux d'accroissement de la température ne fait que lui aussi augmenter. Le scenario à 4° en 2100 sous nos latitudes et donc à 5 à 8° aux pôles est très sérieusement envisagé. La Vie devient tout simplement impossible sur plus de 60% des terres aujourd'hui habitées (valeur entendue hors conférence). Le nombre de questions ayant été limité par personne je n'ai pas pu poser la question suivante. peut être un géologue du forum pourra-t-il répondre : "Si la glace du Groenland fond, le plancher sur lequel elle repose se trouve soulagé de kilomètrecube de glace et ainsi mécaniquement libéré il entamera une remontée générant de gigantesques mouvements des plaques environnantes avec un redémarrage du volcanisme le long des failles hercyniennes, Bretagne, Normandie jusqu'au Jura. Toute l'Europe de l'Ouest s'en trouverait profondément bouleversée. Est-ce un scénario envisageable ?" Lorsque cette conférence sera mise en ligne, d'ici quelques semaines par l'association "ArmorScience" https://www.armorscience.org/ je mettrai le lien dans le sujet. Ney1 point
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Excellent !!... ça change de Jupiter ou de Saturne !!... j'adore l'animation !... bravo !1 point
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Bonjour les amis, Sympa ton œuf Charles. La composition est étonnante avec ces petites billes. Je vous partage la plume de pigeon photographiée au microscope. Objectif 4x (cliquez sur l'image pour l'agrandir) : Image stackée à partir de 5 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et lissage à 1 Objectif 10x (cliquez sur l'image pour l'agrandir) : Image stackée à partir de 12 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et lissage à 1 Objectif 4x - Partie basse de la plume avec du duvet (cliquez sur l'image pour l'agrandir) : Image stackée à partir de 6 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et lissage à 1 Objectif 10x - Partie basse de la plume avec du duvet (cliquez sur l'image pour l'agrandir) : Image stackée à partir de 9 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et lissage à 1 Objectif 40x - Détail sur une barbe de la plume (cliquez sur l'image pour l'agrandir) : Image stackée à partir de 26 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et lissage à 1 Amicalement, FRanck1 point
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Olivier, elle est superbe cette animation: plein de détails. Quelle est la durée de tes vidéos de ton animation et à quel rythme ? Je vous présente mon activité solaire du week-end. Au programme, un peu de lumière blanche autour des tâches AR3053 et AR3055: Beaucoup de turbulences, difficile d'avoir des moments de calme. En Ha, je m'en tire mieux:1 point
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Bonjour, Bon je ne suis pas sûre que ce soit imprimable (je ne pense pas) mais voici tout de même un outil fabuleux : https://quickmap.lroc.asu.edu/?extent=-90,-62.6435701,90,63.59196&proj=10&layers=NrBsFYBoAZIRnpEBmZcAsjYIHYFcAbAyAbwF8BdC0yioA Et un autre : https://ap-i.net/avl/fr/start Si tu as un petit peu de sous à mettre : https://mobile.astronome.fr/produit-manlun-manuel-d-observation-lunaire-Prix-25-euro-id-2955.html En pdf une carte ça se trouve mais plutôt une carte générale avec les principales formations, qui va tenir sur une page. D'autres auront peut-être des idées!1 point
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La NASA édite un recueil des meilleurs clichés des missions Apollo, sorties du big frigo : un choix parmi les quelques 35 000 photos, certaines inédites, d'autres bien connues mais dégradées car copiées de copies. Les films d'époque -analogiques, faut-il le rappeler, se dégradent à la lumière. Les clichés présentés sont des retraitements de scans haute résolution, restaurés individuellement. Du lever de Terre du 24 décembre 1968 à la larme dans l'oeil d'Armstrong le 21 juillet 1969 et à la photo de famille abandonnée par Duke le 23 avril 1972, on ne rate plus aucun détail. Bon il faut attendre la parution le 1er septembre, mais on en a un avant-goût ici. Apollo Remastered par Andy Saunders, Ed. Particular Books le 1 Septembre (60 £, ça pourrait faire autour de 70 €).0 point
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Bon anniversaire à Jean Meeus pour ses 82 ans. Bonjour à toutes et bonjour à tous, Aujourd'hui Monsieur Jean Meeus a 82 ans (il est né en effet le mercredi 12 décembre 1928), et je voudrais par ce modeste message sur Webastro l'assurer de tout mon respect et le remercier pour la très grande satisfaction qu'il m'a procurée - et a dû procurer également à tous ceux qui aiment la mécanique céleste - durant plus de quarante ans par ses remarquables travaux sur ce merveilleux sujet qui consiste à calculer avec précision tous les extraordinaires rendez-vous célestes que les points lumineux là-haut sur la voûte étoilée nous fixent concernant des événement remarquables qui se sont produits autrefois ou qui se produiront dans un avenir plus ou moins proche. Ayant adhéré à la Société Astronomique de France (S.A.F.) le mercredi 16 mars 1966 (j'avais à l'époque 16 ans et demi), j'ai alors commencé à recevoir sa revue mensuelle l'Astronomie. Et parmi tous les auteurs qui rédigeaient des articles "savants" sur l'astronomie ceux qui étaient signés d'un certain "Jean Meeus" ont tout de suite retenu mon attention. Le premier article de Jean Meeus qui a attiré mon attention était intitulé "Quelques occultations rasantes visibles en France" dans le numéro de juin 1966 [comme c'était le numéro qui annonçait à la page 243 mon adhésion à la S.A.F., vous pouvez vous douter que je l'ai lu intégralement plusieurs fois à l'époque avec beaucoup d'attention ], à la page 224 (http://articles.adsabs.harvard.edu/cgi-bin/nph-iarticle_query?1966LAstr..80..224M&data_type=PDF_HIGH&whole_paper=YES&type=PRINTER&filetype=.pdf). Ce très court article m'a impressionné : j'ai découvert alors l'existence des occultations rasantes d'étoiles par la Lune !... Le deuxième article de Jean Meeus qui a retenu mon attention était intitulé "Passages simultanés de l'ombre de deux satellites sur le disque de Jupiter" dans le numéro de novembre 1966, à la page 416 (http://articles.adsabs.harvard.edu/cgi-bin/nph-iarticle_query?1966LAstr..80..416M&data_type=PDF_HIGH&whole_paper=YES&type=PRINTER&filetype=.pdf). Cet autre très court article m'a également beaucoup intéressé : je découvrais alors qu'il existait des phénomènes astronomiques très rares que Jean Meeus arrivait à prédire à l'avance. !... Dès cette première année d'adhésion à la S.A.F. je ne regrettais pas d'en faire partie, surtout grâce aux informations extraordinaires que je découvrais en épluchant au fil des années les articles de Jean Meeus. Durant l'année 1971 j'ai osé écrire à Jean Meeus en Belgique et il m'a très gentiment répondu. Je lui avait demandé à l'automne 1971 s'il avait déjà écrit un article sur la périodicité des occultations ? Il m'a répondu que non... Et deux mois après, j'ai eu la surprise de recevoir une grosse enveloppe de Jean Meeus me disant que suite à ma lettre il avait décidé d'écrire un article sur ce sujet, qu'il m'envoyait en avant-première, me demandant de garder cela pour moi tant que ce ne serait pas publié dans l'Astronomie. Il m'avait flatté en me disant que vu que j'étais en quelque sorte le "parrain" de cet article, il estimait normal de me l'envoyer en avant-première. Trois mois plus tard cet article sera publié dans l'Astronomie de mars 1972, pages 141 à 147 sous le titre de "la périodicité des occultations" (voir http://articles.adsabs.harvard.edu/cgi-bin/nph-iarticle_query?1972LAstr..86..141M&data_type=PDF_HIGH&whole_paper=YES&type=PRINTER&filetype=.pdf). Lors de mes correspondances avec Jean Meeus j'ai découvert qu'il écrivait dans plusieurs autres revues astronomiques : en français dans "Ciel & Terre" pour la Belgique francophone et en anglais dans "Sky & Telescope" (États-Unis) ainsi que dans le "Journal of British Astronomical Association" (Grande-Bretagne). Malgré mes faibles connaissances en anglais je lui en ai commandé pas mal (à l'époque il existait ce que l'on nommait les "tirés à part") et ai découvert que les termes astronomiques anglophones étaient souvent identiques, ou du moins très proches, de leurs équivalents francophones. Depuis les années soixante-dix (septante) j'ai toujours été en admiration devant les multiples articles de Jean Meeus et j'ai été très content qu'à la fin des années quatre-vingt-dix (nonante) et au début des années deux mille il en regroupe une très grande partie dans ses cinq "Morsels" (Morceaux d'astronomie mathématique). Par la suite, ayant eu le plaisir à partir de décembre 2000 d'acquérir des logiciels d'astronomie (d'abord "RedShift 3", puis "RedShift 4", puis "Guide 7" - qu'il m'avait chaleureusement recommandé, puis "Guide 8"), j'ai pu véritablement "m'éclater" en reproduisant visuellement des centaines de phénomènes célestes du passé, du présent et du futur, un peu partout sur la Terre ou sur les autres astres du Système solaire, tels qu'ils étaient décrits avec précision dans ses cinq "Morsels". Ces balades dans "l'astronomie à travers les siècles" ont été, sont et seront encore longtemps pour moi un véritable enchantement. :be: Voici d'abord le premier des cinq "Morsels" de Jean Meeus : Voici ensuite un autre livre passionnant de Jean Meeus, ses "Tables Astronomiques du Soleil, de la Lune et des Planètes" ("Astronomical Tables of the Sun, Moon and Planets") : Voici enfin un livre de Jean Meeus (sans doute son plus célèbre) qui était, reste et restera la "bible" pour tous ceux qui s'intéressent aux calculs astronomiques : "Les Algorithmes Astronomiques" ("Astronomicals Algorithms") : Pour tous vos considérables travaux de vulgarisation en matière de mécanique céleste je vous remercie infiniment Cher Monsieur Jean Meeus. Je me permets de vous souhaiter respectueusement en ce matin de dimanche très froid mais superbement ensoleillé dans le Sud-Ouest du Cantal un très bon anniversaire pour vos 82 ans Monsieur Jean Meeus. Roger Lesourd. PS : si d'autres internautes de Webastro apprécient comme moi ses travaux sur la mécanique céleste, qu'ils n'hésitent pas à intervenir sur ce fil. Merci d'avance.0 point
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Bonjour à tous, Dans le cadre de ma découverte de l’astronomie en votre aimable compagnie, j’ai pour projet (et cela me tient à cœur) de vous partager assez régulièrement mes expériences/observations/questions au fur et à mesure de mon aventure. Ce post sera donc mis à jour « régulièrement » (surtout en fonction de la météo, de mon bébé, ma femme, boulot, …). Je pense que pour les astronome chevronnés cela aura peu ou pas d'intérêt (v'nez quand même 😉, le savoir n'est utile que si il est partagé), mais qui sait, cela permettra à des débutants comme moi d’échanger, partager, questionner avant de nous jeter dans le grand bain avec les gros poissons de ce forum. J’éditerai également (si possible, parce je n’ai pas encore trouvé la fonction « éditer un message ») le premier post pour mettre les liens vers mes comptes rendus. Sortie du 24/08/2022 : Le jardin sert enfin à autre chose que toilette pour chien ! Après ma brève présentation sur le forum, j’ai pris connaissance de la cargaison d’information que m’a donné Roger15 Le Cantalien et suivi le conseil de PEV77 sur le choix de mon premier instrument d’observation : les jumelles (‘fin en vrai, c’est plus le second, car je regardais déjà les étoiles avec mes yeux !) => Une paire de jumelle 10x50 d’occasion probablement de qualité moyenne mais qui fonctionne plutôt correctement… Je n’ai pas vraiment d’élément de comparaison, car c’est la première fois que je regardais dans une paire de jumelle. Bon, elles sont propres, aucun problème apparent, puis on fait une bonne action écologique => Après avoir traqué le gibier (l’ancien propriétaire était chasseur), ces jumelles vont maintenant observer le ciel. Une belle petite retraite ! Premier petit problème auquel j’ai été confronté => Comment régler correctement des jumelles ? Une rapide recherche sur Google et quelques minutes après je réglais mes jumelles en observant ma voisine se douch… Bref, je sais maintenant régler mes jumelles ! Le petit conseil de Birk : Avant d’acheter vos jumelles d’occasions, regardez quelques vidéos sur les réglages ! Vous pourrez ainsi tester si les jumelles fonctionnent correctement avant de donner l’argent au vendeur ! (J’ai eu du bol, tout fonctionne !) En patientant sagement que le soleil se couche (et que le bébé aussi…. Et que ma femme aussi), j’ai révisé les différentes constatations « facile » de notre hémisphère à l’aide d’une carte interactive du ciel => Je ne sais pas si on peut dire le nom, ça commence par un « S » et fini par « rium » dispo gratuitement sur PC, Linux, Android, IOS, mais pour les versions sur portable il faudra allonger l’oseille pour débloquer certaines fonctionnalités (qui pour l’instant ne me concerne pas). 23h10, un ciel dégagé, plutôt sombre (6/7 étoiles visibles du chariot de la petite ourse) mais quand même très lumineux entre l’horizon et disons +30°), tout le monde dort, on y va ! 1ère étape : Je me repère grâce à la Grande et Petite Ourse, facile ! 2ème étape : J’essaye de redessiner les constellations comme l’Aigle, le Cygne, la Lyre, … et là c’est tout de suite un peu plus compliqué ! Par grave, j’allume ma carte interactive (en mode nuit… sinon vous allez voir votre écran de téléphone en fond de rétine pendant quelques minutes…). Parfait je repère presque toutes les constellations de la soirée (sauf celle en dessous de 20° a cause des arbres/habitations/lumières). Les constellations que j’ai pu repérer complétement à l’aide de la carte interactive durant cette sortie : Petite Ourse, Grande Ourse, Le Dragon, Céphée, le Cygne la Lyre, l’Aigle, Hercule, la Couronne boréales, le Dauphin, la Flèche, Cassiopée et le Bouvier. 3ème étape : L’envie de cibler les grosses boules brillantes du ciel avec les jumelles était trop forte, j’ai lâchement abandonné ma carte du ciel et j’ai commencé à regarder les points les plus brillant du ciel : « Wouaw », « Ooooh », et puis après « ??? » : Voilà ce que j’observe vers S-E à disons +30° par rapport à l’horizon, c’est très lumineux ! Mes jumelles sont foutues ? J’ai la berlue ? Je me pose 2 secondes pour réfléchir à quoi cela pourrait correspondre… Une planète et ses lunes ? 3 grosses étoiles très rapprochées ? Mékéskesé !… Je reprends ma carte et je manipule quelques paramètres d’affichage : Bingo ! c’est bien une planète => Jupiter et ses lunes ! Je ne m’attendais pas à pouvoir observer cela avec mes pauvres jumelles ! 4ème étape : Je cherche sur ma carte si d’autres planètes peuvent être observées ce soir… Punaise y’a Saturne ! Ni une ni deux, je la repère dans le ciel (pas compliqué ceci dit) et j’attrape mes jumelles en me disant « je vais en prendre plein les mirettes avec ses anneaux ! » Bin non. Rien qu’une boule très lumineuse… Dommage. 5ème étape : Après cette petite déception, je me suis mis à la recherche d’autres étoiles très brillantes, les observer et les retrouver sur ma carte. Véga (Lyre), Altaïr (Aigle), Deneb (Cygne) et Arcturus (Bouvier) ont été très facilement reconnaissable. J’avais l’impression que Arcturus clignotait en blanc bleu rouge très rapidement et intensément… C’est peut-être la fatigue ? Si vous avez des réponses je suis preneur. 6ème étape : Encore un peu déçu pour Saturne (mais surtout très fatigué…) je cherche en fin de soirée vers 00h15 environ le dernier objet que je voulais absolument observer : Andromède et sa fameuse galaxie. Rebelote, ma petite carte et en 2 temps 3 mouvements voici la pauvre princesse enchainée. Je prends mes jumelles et je pointe vers Andromède. Après quelques secondes, je parviens à observer un joli halo bleuté… Voici la galaxie d’Andromède ! 7ème étape : 00h30 : Oh punaise ! Je remballe mes jumelles et je file au lit, demain y’a boulot ! En conclusion de cette première « vrai soirée » d’observation, j’ai appris énormément de chose, tant sur la théorie que sur la pratique. Je n’y aller pourtant pas avec de grandes attentes (faut voir la tronche de mes jumelles, elles ont au moins le double de mon âge et sentent comme l’armoire de chez papi dans laquelle on fout tout le bordel que l’on utilise plus de génération en génération…) mais j’ai été globalement très agréablement surpris !0 point
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Bonjour tout le monde, Je vous annonce donc la naissance d'un "nouveau" club d'astronomie situé entre Orée d'Anjou (49) et le Pays d'Ancenis (44): ALPHA-LYRAE Nouveau ? pas vraiment ce club est en fait la nouvelle identité de feu Astronomie Liré qui aura beaucoup souffert de ces 2 années de Covid contraignant fortement nos activités . Nous sommes actuellement une petite dizaine de membres et avons relancés nos activités et animations depuis quelques semaines. Alpha-Lyrae continuera d' accueillir les EUROASTRO de pentecôte mais nous souhaitons que son organisation soit partagée avec d'autres clubs voisins. On conserve aussi le Malvoisie Le club aura pour vocation de réunir les astrams de cette région souhaitant échanger autour de notre loisir commun (d'où cette publication), mais également et principalement d'accueillir des débutant(e)s ou simples passionné(e)s qui souhaitent découvrir et apprendre auprès de pairs l'observation astronomique sous toute ses formes. Si vous êtes intéressés par notre approche de transmission et de partage de connaissances, soyez les bienvenues ! Les réunions se déroulent tous les 15 jours le vendredi soir à Liré. Pour faire plus ample connaissance , vous pourrez nous rencontrer le 26 aout prochain au moulin de l'Epinay à la chapelle Saint Florent pour une nuit des étoiles de fin de saison estivale . Ainsi qu'à Ancenis le 3 septembre au parc de l'éperon pour une observation public de la lune et de Saturne. Vous pouvez nous suivre sur Facebook: https://www.facebook.com/AlphaLyrae4944 et notre site web : alpha-lyrae.fr A très bientôt Franck de la Lyre0 point
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bonjour à tous, la fs60 avec son sm40 double stack, c'est bien, c'est même très très bien mais ça ne me permet pas de zoomer convenablement sur les zones actives ou les protubérances pour faire de jolies animations Aussi, j'ai cassé ma tirelire cet été pour acquérir un quark combo et un ERF 115mm pour les utiliser sur mon ancien télescope qui dormait dans son carton : un vénérable nexstar 4 ( mak 102 / 1325 ) première génération (d'il y a 20 ans donc) ! Premier essai ce jour en ajoutant une powermate x2.5 (je n'ai pas de vraie télécentrique sous le main) pour avoir un F/D de 32 , un ADC pour faire disparaitre les anneaux de newton et ma fidèle zwo18mm. Bon, faut se rendre à l'évidence, le N4 a un suivi vraiment vraiment vraiment mauvais! ( raquette à la main en continu pour que la zone visée reste sur le capteur) .... je me demande comment j'ai pu faire des images avec à l'époque! ( http://www.astrosurf.com/n4/ ) voici donc les quelques images faites du soleil faite aujourd'hui avec, vers 18h15 HL. Très perfectible évidemment : faut que je démonte le tube de son bras pour le mettre sur ma vixen GP (ça suivra bien mieux ) et faire des flats ( on voit bien la trame de ma 178mm en halpha sinon ). images réduites au moins à 50% le quark était sur le cran "+1" , je n'ai pas fait encore de vrai test pour savoir la meilleure position. a+ stéphane0 point
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Bon je sais bien, ça va pas aussi vite qu'il faudrait. Pas grave c'est moi le patron. J'ai profité de mes vacances pour coder au lieu de faire la sieste après bouffer. Il faisait trop chaud de toutes façon, pas possible de cuver en roupillant. Du coup j'ai cuvé en c++. Je ne sais pas ce que ça va donner, ni ce que vont en dire mes copains @deufrai et @Axeldark mais c'est pas grave. Du conflit naît l'émulation, de l'émulation naît la tergiversation (poil au fion). Bref, j'ai -encore- tout revu ma structure interne de stockage des propriétés, j'ai découvert le type "QVariantMap" de Qt. ça a été la révélation (j'y ai passé mes vacances, en fait). Suffisamment ouvert (pas besoin de tout réécrire lorsqu'on veut ajouter des attributs à X ou Y) Et aussi échanges Json <-> C très simplifiés. Re-bref, j'ai enfin un machin assez ouvert et câblé qui va me permettre de mettre en place des profils : Des ensembles de propriétés associés aux types de modules, que je vais pouvoir charger/modifier en fonction des besoins. Autre grande avancée ces derniers jours, j'ai repris quasiment de zéro la gestion des images. J'étais parti sur les librairies imageMagick initialement, mais je voulais revenir sur le droit chemin, celui de Kstars. Et c'est encore StellarSolver qui m'a montré l'exemple, avec QImage (vachement bien ce truc) J'ai désormais exactement les mêmes routines de chargement et traitement d'images que celles de Kstars (statistiques et debayer pour le moment, et plus à venir). En gros avant je ne gérais pas du tout les images couleurs. Maintenant je gère 🙂 J'ai aussi un peu progressé dans ma compréhension de javascript et JQuery (toujours aussi crado, mais au moins je passe moins de temps sur ce satané frontend) Qq screenshots pour illustrer J'arrive presque au pied du mur de "j'ai plus que du code à pisser, tout est clair sinon" Je dois encore adapter mes structures de données pour récupérer mes beaux graphes de toutes sortes, et aussi mettre en place des tableaux (indispensable pour gérer des séquences de shoot, par exemple) Si ça intéresse des gens pour la curiosité (ce truc n'a marché "en vrai" qu'en mars dernier), je peux mettre à jour ma petite VM Sinon je livre sur la branche "main" uniquement des trucs un peu finis (qui compilent ...) "à être continué"0 point
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Enfin j'ai trouvé le temps de finir la vidéo du 24. Petit test en essayant de faire ressortir les protus. Ce n'est pas top. Le temps de pose été trop faible. Le surface été peu active. Mais bon. 1081069314_01animationsolaire24-08-2022.mp40 point
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Figure-toi que le catalogue NGC regroupe 7840 objets qui ont tous été découverts visuellement à une exception près : la nébuleuse de Maia. Par contre le IC est essentiellement photographique. En gros on a commencé à maîtriser la photo juste quand le NGC a été publié. Mais il y a des exceptions, exemples : − IC 5148 est une nébuleuse planétaire facile, c'est un oubli. − Plusieurs amas ouverts larges et peu remarquables au télescope ont été ajoutés : IC 4665 ou IC 4756 sont à voir aux jumelles. Mais si ce sont des galaxies ou des nébuleuses, il y a fort à parier que ce sont des objets très faibles. D'ailleurs je n'ai pas d'exception en tête. Pour les nébuleuses, dis-toi que si tu vois une nébuleuse très étendue, elle sera forcément très faible puisque sa lumière est diluée dans une région plus vaste.0 point
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Moi je ronflais plus fort que ma voiture diesel à ce moment là 😆 En tous cas la Heq5 a l'air de supporter tout ce poids sur son dos. Des poses de 60s ça passe. Verrai à monter progressivement jusqu'à 180s je pense. Le champ est mieux corrigé qu'avec le C8, avec le même backfocus. Je ferai un post plus tard.0 point
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Selon une équipe internationale, la vie marine est directement menacée par le réchauffement climatique. L'article examine les conséquences de la désoxygénation et de l'acidification des eaux accompagnant le réchauffement sur quelques 25 000 espèces de la zone dite photique (~100 premiers mètres de profondeur d'eau) appartenant aussi bien aux vertébrés qu'aux bactéries, plantes, ou protozoaires. Un réchauffement de trois degrés induirait la disparition de 87 % de ces espèces, soit une quantité un peu inférieure à la grande extinction du Permien, mais sur une échelle de temps incomparablement plus rapide. Une limitation à deux degrés réduirait considérablement la catastrophe, mais nous ne sommes pas sur cette trajectoire. Comme pour toutes les extinctions de masse, les prédateurs en haut de la chaîne alimentaire sont les plus vulnérables. L'impact serait alors maximal pour les pays pauvres dépendants essentiellement de la pêche.0 point
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@Alhajoth Oui j'y ai pensé merci, mais elles sont sous-dimensionnées pour des APM 100mm. Il y a bien les Monsters mais Orion ne les exporté plus en UE. Et puis la mise en oeuvre n'est pas instantanée au contraire d'une fourche. @Goofy Merci pour la description des tes contrepoids, c'est rapide, propre et simple (et donc dans mes cordes...). Pour l'Uni19C, j'ai bien compris ton 219cm, la hauteur des occulaires se trouve donc au-delà de 185 cm en observation zénithale merci. @Unospe Je ne te remercie pas pour deux raisons : d'une part parce que tu ajoutes un troisième trépied là où j'hésitais entre deux et d'autre part pour ton CR que je n'avais pas trouvé (puisque je cherchais des Rex sur des jus en 100mm)... et qui me fait envisager des 120mm semi-apo au lieu des 100mm. Je suis comme @Rikh et sa CB bouillante 😉 Pour le trépied sans colonne, je ne pense pas prendre un siège astro réglable mais un siège classique car chez moi ce ne seront que de courtes sessions où je peux rester debout (et où je dois rester debout au regard de la hauteur des haies et toitures) et chez mes beaux-parents celà ajouterait trop de volumes dans la voiture. Quant aux 120mm, ce sont certes 3kg et 15cm de longueur de plus mais pour 300€ il n'y aucun surcoût de fourche, ni de trépiedni d'occulaires, ni de filtres, ni de viseur : la config est identique pour 44% de surface et donc de lumière additionnelle ! Magnifique CR et merci pour le conseil de ce troisième pied + siège que je n'ai pas encore écarté. Sinon, quelqu'un a un avis sur le match Berlebach vs Manfrotto (même en modèle inférieur comme le 475B par exemple) ?0 point
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Pas nécessairement, c'est surtout une question d'oculaire, lorsque l'objet est faible mais encore assez large il vaut mieux le tenter un grossissement plus faible pour bien concentrer la lumière et dépasser le seuil de detectivité de l'oeil. Certains objets sont d'ailleurs plus spectaculaire qu'avec de gros diamètre,c'est avec une paire de jumelles de 100mm que par exemple la rose de Caroline (NG7789) est plus impressionante je trouve. Par contre les objets à la fois très étendues et faibles emettant que dans certaines bandes spectrales genre HII comme la nébuleuse du Coeur tu peux oublier à mon avis, il n'y a guère que les photos pour les révéler. Oui et non un 254mm normalement tu ne dois pas facilement en faire le tour car c'est le plus grand des "petits" instruments, au delà on change un peu de catégorie, le prochain pour moi serait un 400mm pour vraiment voir la différence mais il y a d'autres contraintes a venir.0 point
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@Kaaribou Très difficile, le choix de jumelles... D'autant qu'il existe une multitude de clones. Rien que sur AstroShop, il y a 40 marques. Il y a des effets de mode : Bushnell Legacy 10x50, Nikon Action EX... Dès que 2 ou 3 en sont contents, il y a un effet boule de neige. La vérité, c'est que beaucoup de marques/modèles sont aujourd'hui très bons. Et que les gens qui disent "Ce produit est super" n'ont pas vraiment eu la possibilité d'essayer l'ensemble des nombreux modèles concurrents (et peut-être en fait identiques, si ce n'est le logo). J'ai moi-même écrit un article sur mes Kite : Mais bon, je suis loin d'avoir essayé beaucoup de modèles. Les Kite ont le mérite d'avoir une garantie de 30 ans, et d'être faites au Japon. Je n'ai jamais entendu parler des Bresser Condor, mais j'ai souvent lu du bien des Vortex Diamondback (boule de neige ?). Bien comparer toutefois les caractéristiques. Se méfier également des revêtements en caoutchouc : ils se désagrègent au bout d'une petite dizaine d'années. Je pense que le mieux, c'est de faire comme moi : aller en magasin, et essayer. D'autant plus que l'ergonomie est hyper importante. Mais cela dépend où on habite...0 point
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Perso, je regarde les secondes... Ça va plus vite 🤗0 point
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Bonjour et bienvenue Concernant les lunettes, je ne connais pas ces modèles mais de mon petit retour d'expérience, pour avoir utilisé des 12x60 pendant des années, le grossissement x12 est un peu la limite sans support stable. Sans considérations de modèles en particulier, je partirai avec le recul sur des 10x50 voire 8x42. Ou alors plus gros mais avec un trépied.0 point
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bonjour à tous, la fs60 avec son sm40 double stack, c'est bien, c'est même très très bien mais ça ne me permet pas de zoomer convenablement sur les zones actives ou les protubérances pour faire de jolies animations Aussi, j'ai cassé ma tirelire cet été pour acquérir un quark combo et un ERF 115mm pour les utiliser sur mon ancien télescope qui dormait dans son carton : un vénérable nexstar 4 ( mak 102 / 1325 ) première génération (d'il y a 20 ans donc) ! Premier essai ce jour en ajoutant une powermate x2.5 (je n'ai pas de vraie télécentrique sous le main) pour avoir un F/D de 32 , un ADC pour faire disparaitre les anneaux de newton et ma fidèle zwo18mm. Bon, faut se rendre à l'évidence, le N4 a un suivi vraiment vraiment vraiment mauvais! ( raquette à la main en continu pour que la zone visée reste sur le capteur) .... je me demande comment j'ai pu faire des images avec à l'époque! ( http://www.astrosurf.com/n4/ ) voici donc les quelques images faites du soleil faite aujourd'hui avec, vers 18h15 HL. Très perfectible évidemment : faut que je démonte le tube de son bras pour le mettre sur ma vixen GP (ça suivra bien mieux ) et faire des flats ( on voit bien la trame de ma 178mm en halpha sinon ). images réduites au moins à 50% le quark était sur le cran "+1" , je n'ai pas fait encore de vrai test pour savoir la meilleure position. a+ stéphane0 point
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tiens ! des actions dans la Lyonnaise des eaux...voilà qui fera la retraite de Laurent23 ! Ca va monter....0 point
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