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L’existence de civilisations technologiques extraterrestres est un fantasme. L’idée repose sur des théories fausses et démenties par les observations : CE QUI EST FAUX : - La civilisation technologique est l’aboutissement fatal du Progrès évolutif (c’est FAUX) - Car l’Evolution est un progrès (FAUX) - Et nous sommes l’aboutissement de ce progrès (FAUX) Le premier concept erroné [1] est que l’évolution est un progrès. C’est faux, c’est une interprétation fallacieuse du darwinisme. L’idée que nous sommes l’aboutissement de 4 milliards d’années d’évolution est séduisante mais véhiculée par des figurations erronées [2]. La suite qui en découle, est que notre civilisation technologique est un aboutissement logique de millions d’années de sélection naturelle [3]: si la Vie est un phénomène répandu, ce qui est vraisemblable [4], la multiplicité des mondes habitables [5] rendrait alors l’existence de telles civilisations inévitables. IL N’EN EST RIEN. 1- L’évolution n’est nullement un progrès. Une espèce n’évolue pas pour devenir meilleure dans un absolu inexistant, mais pour s’adapter au mieux aux conditions de vie immédiates [1a]. Il est possible de voir à un instant cette adaptation comme un progrès, mais il est pratiquement obligatoire que cette évolution s’avère nuisible dans un autre environnement [1b]. Or dans sa définition même, l’environnement est changeant. Il n’est donc jamais question d’un progrès continu, le changement rendant les adaptations caduques. 1a L’évolution est une adaptation aux conditions de vie du moment. Loin d’une amélioration directionnelle, l’évolution fonctionne par « bricolages » erratiques construits sur l’existant. Les exemples sont innombrables. Vivre dans l’eau implique des branchies ou un système analogue, et l’évolution a dû bricoler des poumons à partir d’une vessie natatoire pour qu’un vertébré colonise les continents. Mais il est du coup pratiquement perdu pour la vie aquatique, sauf nouveau bricolages genre cétacés ou pinnipèdes. Gould a célébré l’ours le plus mal fichu du monde : le panda. Le panda est un ours, et donc un carnivore. Son milieu de vie en Chine lui a fait intégrer des végétaux à son alimentation, jusqu’à en faire un végétarien exclusif, mangeur de bambous. Sa main a donc dû évoluer pour développer un faux pouce, bricolé à partir d’os du carpe permettant la préhension indispensable pour agripper les bambous. Car l’ours carnivore n’a pas de pouce opposable, n’en ayant nul besoin. Il n’empêche que l’animal garde un système digestif de carnivore, et doit passer tout son temps d’éveil à se nourrir d’une énorme quantité de bambous qu’il est très mal équipé pour digérer. Les détournements de fonction d’un organe sont si nombreux qu’un mot a été créé pour les désigner (préadaptation, ou exaptation). Très classique, les plumes, initialement protection contre le froid, devenues un accessoire essentiel au vol des oiseaux. Les pattes des vertébrés terrestres sont une déformation des nageoires de poissons primitifs. Le lait avec lequel les mammifères nourrissent leurs petits est une modification de la sueur de leurs ancêtres. Etc...etc... Toutes ces évolutions sont des adaptations contingentes à un contexte local et nullement une amélioration progressive vers une perfection. 1b Une évolution favorable à un moment est très souvent nuisible plus tard. On cite évidemment le fameux papillon anglais clair qui était bien camouflé sur les troncs blancs des arbres jusqu’à la révolution industrielle, qui a recouvert les troncs de suie : les papillons sont devenus noirs, après que tous les blancs aient été dévorés. Les rongeurs ont des dents qui poussent en continu (notamment les incisives). Cette croissance, favorable dans la nature où il se nourrissent de fibres dures, est aussi une source de malocclusions dentaires et d’infections si l’animal trouve à se nourrir de tissus mous. On peut facilement multiplier les exemples. Les adaptations à la vie en zone boréale seront évidemment létales sous les tropiques. C’est bien le drame du réchauffement climatique que le changement soudain qu’il nous impose est mortel pour la plupart des espèces qui nous entourent -voire pour nous. Elles sont adaptées à un monde qui disparaît. Pour ce qui est des humains, une récente publication cite la mutation du gène ERAP2 ; cette mutation a sauvé la vie de nombre d’Européens confrontés en 1348-1349 à la peste noire. Mais alors que la maladie a heureusement disparu chez nous (du fait de l’amélioration de l’hygiène), cette mutation qui s’est répandue du fait de la mort de ceux qui n’en bénéficiaient pas est à présent impliqué dans un risque accru de contracter la maladie de Crohn, inflammation auto-immune de l’intestin qui frappe notamment (pas seulement) les plus de 50 ans, peu nombreux en 1348. De même la pigmentation (mélanine) qui protège les Africains du soleil tropical priverait les Européens de vitamine D, synthétisée à la lumière : ils ont perdu la pigmentation en colonisant les terres boréales. (etc...etc...) 2 L’idée que nous sommes supérieurs est typiquement anthropocentrique. Les mammifères n’ont colonisé la Terre qu’après la disparition -purement accidentelle- des Dinosaures non aviens. Les Dinosaures (env. 250 MA jusqu’à l’actuel) non seulement n’ont pas disparu, mais dominent le monde des vertébrés sans interruption depuis leur apparition. Il y a de bonnes raisons à cela : leur anatomie est infiniment plus souple et plus efficace que celle des mammifères. La supériorité des Dinosaures est évidente à plusieurs titres. Leurs os creux sont plus légers et plus résistants que les os des mammifères. Ils ont ainsi pu développer des tailles imposantes inaccessibles aux mammifères. Ils ont inventé les plumes, bien plus efficaces que les poils pour se protéger du froid, et utilisables par la suite pour le vol qui nous est pratiquement interdit. Leur système respiratoire en sacs irriguant tout le corps en circulation continue est très supérieur à notre échange pulmonaire qui mélange air neuf et vicié : Au lieu d’une respiration à double sens qui mélange dans nos poumons l’air utilisé et l’air frais inspiré, les oiseaux, actuels dinosaures, disposent d’un système de sacs aériens répartis dans leur corps et alimentés par les poumons en un circuit à sens unique : c’est bien plus efficace, ce qui facilite l’effort exigé par le vol battu. Comme eux, leurs ancêtres du Mésozoique bénéficiaient d’os creux, à la fois solides et légers, et d’organes sensoriels inconnus. Les Dinosaures ont explosé en milliers d’espèces (un petit millier en sont répertoriées actuellement) colonisant tous les environnements. Le groupe auquel ils appartiennent (Archosaures) domina la Terre en absolu pendant des millions d’années (Ichtyosaures et Mosasaures, Ptérosaures, etc...). Nous n’avons colonisé l’ensemble des continents qu’il y a quelques milliers d’années. Parmi les mammifères, l’Homme est sans doute un des plus mal foutu. Mal armé de dents petites et d’ongles ridicules, il a dû développer l’aptitude à la course pour survivre, puis s’aider d’outils pour les tâches les plus simples. Il est vaincu par n’importe quel carnivore, même petit, et incapable de capturer un herbivore par ses seuls propres moyens. Une bactérie ou un simple virus en tue facilement quelques milliers... L’Homme a du reste bien failli disparaître lui-même. Et même plusieurs fois… L’idée que l’Homme est le sommet de l’évolution est véhiculée par différentes illustrations erronées. Tout le monde a vu la spirale de l’Evolution qui voit surgir du néant primitif notre monde moderne. Cette représentation figure une succession du -reste très partielle- des formes de vie que notre Terre a connues, mais aucunement un progrès, ni même une complexification. Les nombreux récifs du Paléozoique (500 à 250 MA) ne sont ni plus simples, ni moins riches ou variés que les récifs actuels. Au moins cinq écosystèmes vivants se sont succédé sur Terre, et chacun a duré pendant des millions d’années avant de sombrer dans une catastrophe qui a permis la naissance du suivant. Ces catastrophes ont tué aveuglément, touchant le plus durement le sommet de la chaîne alimentaire qui pouvait prétendre dominer le règne vivant : il est en fait le plus dépendant... Aucun n’était moins adapté que nous ne le sommes, et tous ont dominé le monde bien plus longtemps que les quelques millénaires dont nous nous glorifions. Le monde juste précédent (Cénozoique, ou Secondaire) est le mieux connu, une vie foisonnante colonisait la Terre pendant plus de 250 millions d’années. Les vertébrés de ce monde vivaient une vie sociale, en troupeaux ou groupes organisés, et bénéficiaient de sens aiguisés et d’une céphalisation qui n’avait rien à nous envier. Sur toute cette durée, les différents groupes ont évolué, souvent rapidement, et ont colonisé tous les milieux, y compris les airs, les pôles et les mers les plus profondes. Certains ont adopté la station debout, et pratiqué la course. D’autres organisaient des nurseries où des adolescents surveillaient les plus jeunes. Certains chassaient en groupe, se retrouvaient pour se reproduire, mettre leurs petits au monde et en prendre soin. Et soit dit en passant, eux n’ont pas détruit le monde dans lequel ils vivaient... Une autre réprésentation fantasmatique est celle de la succession du singe vers l’Homme, en une marche continue vers le triomphe. Tout est faux dans cette caricature : du singe qui n’est aucunement notre ancêtre à la succession de morphotypes imaginés à partir de fragments d’os ou de dent, alignant des espèces qui n’ont aucune filiation entre elles, accompagnées d’un changement de posture entièrement imaginaire. De façon plus générale, l’idée que l’Evolution admet des tendances (=une direction, donc un but) est complètement abandonnée. Les vieux schémas présentant par exemple une succession de supposés ancêtres du cheval, perdant progressivement des doigts pour arriver au cheval actuel est en fait une sélection d’espèces qui ne sont pas une succession généalogique, mais une simple juxtaposition d’animaux sans liens de descendance. De même l’idée que la capacité cranienne des humains suit une augmentation continue est fausse, comme le prouve le simple fait que Néanderthal ait une capacité supérieure à sapiens. Les plus récentes études indiquent que l’évolution humaine est le reflet d’événements climatiques soudains, d’épidémies brutales, de famines, et nullement d’une tendance vers une perfection dont nous nous targuons d’être le stade ultime. La question des tendances, souvent discutée en paléontologie, a été résolue (notamment par Gould) comme l’effet trompeur d’une modification de la variance dans une population. 3 La civilisation technologique N’EST PAS l’aboutissement logique et fatal du Progrès. Le premier fait qui montre le contraire est sous nos yeux : si la civilisation techno-industrielle était une fatalité, pourquoi les vertébrés supérieurs du Mésozoique, nombreux, largement céphalisés avec un cerveau bien développé, vivant en sociétés organisées, n’ont pas développé une telle société en quelques 250 millions d’années où ils ont dominé un monde offrant les mêmes potentialités que le nôtre, alors que notre industrie n’a eu besoin que d’une douzaine de milliers d’années pour surgir ? Les Archosaures ont colonisé tous les environnements, mers, air, tous les territoires y compris polaires, ont explosé en milliers d’espèces dont des bipèdes, pendant une durée incommensurable, ils auraient eu tout le loisir d’atteindre ce prétendu stade ultime, s’il était fatal. On trouve dans cette idée d’un aboutissement à nouveau le nombrilisme qui biaise tous nos raisonnements. La course à la technologie caractérisant notre monde occidental, nous la croyons fatale. Les principes de base de la sélection darwinienne ne s’appliquent pas qu’aux êtres vivants. Toutes les entités concurrentes obéissent aux mêmes règles. Gould a ainsi démontré que l’évolution des équipes de base-ball américaines, ou encore les claviers de machines à écrire (et d’ordinateurs) étaient régulés par les mêmes règles simples de sélection naturelle. En particulier, leur succès est contingent, lié aux conditions d’environnement immédiates, et aucunement à une perfection mieux aboutie que celle des concurrents (regardez le clavier que vous utilisez, il a été conçu pour gêner la frappe des premières machines mécaniques...). Il en est de même de notre civilisation techno-industrielle. Nous croyons à un progrès continu en sélectionnant les épisodes qui nous conviennent. Dans les faits, il en va bien autrement. Selon une étude américaine, le développement du charbon ne serait dû qu’à une sécheresse prolongée au Royaume-Uni dans la première moitié du XIXème siècle. Les moulins à eau, source d’énergie traditionnelle ne pouvant plus faire face à la demande, l’industrie se serait alors tournée vers le charbon, localement abondant, avant que l’expansion de l’empire britannique ne lui ouvre accès aux hydrocarbures. Le monde chinois a développé une civilisation non technologique, que nous croyons inférieure parce que la puissance occidentale en a eu raison. Il reste à décider si la plus forte est toujours la meilleure : le désastre environnemental créé par l’occident n’est pas une preuve de supériorité. On peut trouver bien des défauts aux sociétés théocratiques, mais certaines tendances actuelles peuvent représenter un avenir alternatif, sans doute peu attrayant, mais qui pourraient bien triompher du modèle occidental à terme. Même dans le pays le plus développé d’occident, un des deux principaux partis politiques développe actuellement une rhétorique anti-scientifique affichée, nie le réchauffement climatique, appelle au boycott des vaccins, et brandit la lecture stricte de la Bible comme règle absolue. Toute une partie du monde s’en tient à la primauté du Coran. En nombre, il fait peu de doute que la Science (et la technologie) fait bien moins d’adeptes que les religions. Notre civilisation technologique est d’ailleurs bien fragile ; nous la croyons à l’abri des cataclysmes qui ont éradiqués des empires plus anciens. Il suffit de voir à nos portes les ravages d’une guerre encore limitée pour comprendre que les âges des ténèbres sont à proximité. Et si notre technologie nous permet d’alerter sur le réchauffement en cours, notre brillante civilisation n’en tire aucune décision, alors même que la menace est immédiate, et mortelle pour des millions d’entre nous : une civilisation supérieure, vraiment ?…. 4 La Vie est certainement un état assez banal d’ordre de la matière. Les unités de base du vivant sont des composés chimiques suffisamment simples pour être accessibles dans des environnements courants. Si le soleil est la source d’énergie la plus commune dans notre quotidien, la découverte d’écosystèmes construits sur la chimiosynthèse montre que les sources peuvent être variées. La découverte de communautés vivant dans des environnements hydrothermaux montre que les modèles qui nous sont proches ne sont nullement les seuls possibles : on n’imaginait pas il y a quelques dizaines d’années une vie non dépendante de l’ensoleillement… La sélection naturelle explique ensuite le foisonnement du vivant, et sa vaste répartition. Le nombre de mondes habitables simplement selon les critères terrestres augmente de plus considérablement la probabilité.Par ailleurs, la chimie du vivant sur Terre est évidemment tributaire des conditions locales. On a pu imaginer une vie basée sur le silicium... Il est donc très probable que la Vie, définie comme l’autoréplication d’entités autonomes, soit un phénomène commun dans l’univers. Il n’en est pas de même de la civilisation technologique. 5 Si la Vie est commune, on peut évidemment argumenter que sur le nombre de cas où elle se produit, un au moins conduise à une civilisation technologique. Cet argument est basé sur le principe qu’un événement qui se produit une fois peut dès lors se reproduire. Reste à estimer sa probabilité. Charles et moi prétendons qu’elle est tellement infime qu’il est vain de chercher.2 points
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Bonjour Quint et merci pour le tag. Alors en fait, avoir du suréchantillonnage dans PHD ne pose pas en soi de problème de qualité de guidage, mais on se retrouve du coup avec une toute petite portion de ciel pour arriver à trouver une, voire plusieurs étoiles guides (penser au multistar!)... Donc si tu shootes en pleine Voie Lactée, tu n'auras aucun problème, mais en dehors, çà va parfois être plus tendu... Par exemple du côté de Hélix, j'ai souvent eu des difficultés. Notons toutefois qu'on peut risquer d'être plus sensible au seeing, qui pourrait faire danser un peu l'étoile vis à vis du capteur, mais avec un assistant de guidage et les bons critères de min move, çà va passer fort logiquement, au pire, on allonge un peu le temps de pose du guideur. Du coup, il faut se poser la question de l'échantillonnage nécessaire et suffisant pour avoir un guidage de qualité, et trouver un juste milieu : Il faut savoir que PHD est capable de trouver le centroïde de l'étoile au 100e de pixel du guideur. Des simulations très précises ont été faites (5h de calcul en force brute) par un ami pour tester les 100x100 combinaisons possibles avec une FWHM de 0.5 et 1 pixel. En conséquence, on trouve qu'on a encore un peu d'erreur pour deviner le centroïde avec une FWHM de 0.5, mais quand la FWHM est à 1 on a 1% d'erreur par rapport à la vraie position théorique du centroïde. Autant dire peannuts quand on sait que personne ne guide avec une FWHM de 1, mais plutôt 2 voire 3, et dans ces situations, la précision est encore meilleure... Après, n'oublions pas qu'on a des algos de modération de la décision de correction du guidage : hystérésis, agressivité, min-move. etc. Notre objectif reste d'avoir une précision de guidage globale de l'ordre du demi-pixel, voire mieux, quart de pixel de l'instrument guidé... Je vous laisse faire le calcul, mais on a de la marge. Donc au final, on peut déjà guider à un rapport d'échantillonnage de 1 pour 10 entre le guideur et le guidé, et si on veut un bon compromis, 1 pour 5 me semble très bien... Sujet connexe : Du coup, on comprends qu'on se fout royalement de l'angle de la caméra puisque quelle que soit la sous position au 100x100 de la position réelle de l'étoile, on arrivera à détecter sa vraie sous position avec 1% voire moins d'erreur... Peu importe donc qu'elle se déplace en diagonale ou pas vis à vis du capteur. J'ai eu confirmation par des animateurs d'AIP comme quoi la nécessité de mettre la caméra relativement aux axes de la monture était fondamentale sur PHD1 qui ne faisait pas de changement de repères, mais PHD2 intègre cette fonctionnalité depuis longtemps et les développeurs ont toujours dit "irrelevant". On le voit même dans la dernière vidéo/conférence du développeur, publiée il y a 1 mois environ sur YT... Voilà si çà peut aider. Christophe2 points
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Bonjour à tous, Voici mes prises du weekend, Pour le ciel profond, j'ai enfin réussi à tout faire depuis NINA. Mais jai quand même quelques problèmes avec l'autoguidage phd, etoiles souvent perdues. Et je n'ai pas beaucoup d'étoiles dans phd (pourtant avec expo de 3s), Quelques capture d'écran Mais ces Pb n'ont pas l'air d'avoir beaucoup de conséquences sur les images et le graph dans NINA est mieux que sur phd En tout cas, voici mes prises SH2-132 ou la nébuleuse du lion dans la constellation de Céphée Lunette TS80 + réducteur 0.79 + ASI 294MC Pro + filtre NB1 sur monture EQG Goto Autoguidage lunette Orion 80/400 + DMK41 Acquisition NINA, traitement SIRIL 8h de pose (100x1980s jeudi + 36x300s vendredi) Je ne vois pas trop de différence après addition de la 2ème série de vendredi, faudrait peut-être ajouter une série sans le filtre NB1 parce que je trouve l’image un peu faible pour 8h de pose IC1848 ou nébuleuse de l’Ame dans la constellation de Cassiopé Même config 4h de pose (80x180s) samedi M33 4h de pose ou galaxie du triangle Même config 4h de pose (80x180s) dimanche. Je ne la trouve pas très contrastée Soleil Un collègue m'a prêté sa lunette solaire Lunt 60 pour le weekend. Voici donc ce que j'ai pu en tirer sachant que c'est une première, j'ai fait ce que j'ai pu 🙂 J'ai d'autres vidéos gros plans des protubérances mais je n'ai pas réussi pour le moment à les traiter, Autostakkert ne me fait pas correctement les empilements. Pour le soleil en entier, j'ai associé à l'image centrale l'image extérieure pour faire apparaître les protus. Pour chaque images, environ 150 à 200 gardées sur 400pas évident la mise au point et les réglages avec les reflet du soleil sur l'écran. ASI 462MC + Réducteur sur monture EQG Goto Acquisition FIRECAPTURE, traitement Autostackkert + GIMP Sans réducteur Avec camera ASI 120 NB, (bien plus contrastée) Avec réducteur Sans réducteur A+ Manuel.1 point
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Bonsoir, Voici une capture de la Lune décroissante en date du 13 novembre 2022. Le matériel utilisé est le suivant : Lunette Takahashi FC76 montée sur monture équatoriale Ioptron GEM28 GoTo + Caméra Player Uranus-CII IMX585 + Filtre Baader UV/Ir-Cut/L Film SER de 3000 images / 5% d'images retenues / Traitement : Astra Image et AstroSurface1 point
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Bonsoir @Nikko76, Ne serait-il pas possible d'envisager la prise de conscience du décalage en trois temps ? 1) Premier temps, une observation presque spontanée à l’œil nu. La rémanence d'une supernova style Bételgeuse par exemple qui est une candidate tout à fait plausible dans le millénaire qui vient. Si Supernova il y a eu, l'étoile présente dans le souvenir de votre personnage, n'est plus là. Que s'est-il passé alors ? 2) Deuxième temps. Votre personnage a décidé une petite investigation. Il découvre alors dans un instrument juste en "jetée de monture" une tâche étendue qui aura demandé plusieurs siècles, oui mais combien, pour présenter une telle surface à la place de l'étoile 3) Troisième temps. Votre personnage décide alors de réaliser des mesures précises sur la dérive de l'étoile polaire par rapport au pôle céleste en y mettant les moyens évoqués tout au long de ce sujet. Là il découvre la valeur précise qui par un calcul à rebours lui donne alors une valeur assez juste du temps écoulé depuis le début du XXième siècle. Il sait maintenant de manière sûre à quel siècle il est. Voilà, les spécialistes vont analyser et valider ou pas. Ney1 point
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Maintenant, je vais vous présenter mes images de cet été et cet automne (oui oui, j'ai mis du temps à poster ce message 😅) Je suis parti fin juillet dans les Alpes, à Annot ( Alpes-de-Haute-Provence) dans un coin exceptionnellement sombre (bortle 2-3), sur un spot à 1000m d'altitude. Mon premier essai était sur l'Amérique du Nord, avec mon nouveau filtre Dual Band ZWO, sur Star Adventurer, avec Canon 1300D défiltré total, ISO 1600, 69x120s (138min), 27 darks, 30 flats, 30 offsets, traitement Siril et Photoshop Malheureusement j'ai fait une mauvaise surprise : J'ai monté le filtre Dual Band ZWO sur le filtage à l'avant de l'aplanisseur Starizona, et j'ai eu une coma très forte, et vraiment pas belle... Conclusion : On ne peut pas monté de filtre devant l'aplanisseur 😕 Très dommage.. Bon j'ai fait un traitement HOO via Siril ensuite, et j'ai bien photoshopé pour rattrapé les étoiles qui bavent, et j'arrive à un résultat différent, et pas mal (mon tout premier HOO) : Par la suite, j'ai monté le filtre sur une pièce imprimé en 3D pour mettre un filtre 1.25 directement devant le capteur de l'APN Cela fonctionne extrêmement bien, même mieux que prévu car je m'attendait à avoir du vignettage et il y en a pas. Du coup, j'ai décidé de ne plus prendre de filtres pour APN, et de ne prendre que des filtres 1.25, adaptable aux APN, et qui sert pour mes caméras ou une future caméra refroidie. Seul inconvénient , on ne pas utilisé d'objectif photo. J'ai donc enchaîné une suivante sur les dentelles du Cygne, avec le filtre Dual-Band sur l'adaptateur imprimé en 3D, toujours avec le 1300D, la Star Adventurer, ISO 1600, 73x151s (~3h), 30 DOFs, traitement HOO Siril et ajustement Photoshop. Le résultat est génial ! Mis à part les étoiles allongées (c'est mon défaut principal sur toutes mes images ^^') je suis extrêmement content ! J'en ensuite visé la nuit suivante M16 et M17 qui rentrent toutes les deux dans le champ de la 50ED, avec la même configuration que l'image précédente, 103x120s (206min), ISO 1600, 40 darks, 30 flats et offsets, traitement Siril HOO, et ajustement Photoshop. Et dans la même nuit, j'ai enchaîné vite fait sur le Croissant (NGC 6888), toujours en HOO, même configuration, 15x120s (30min), même DOFs, et même traitement : Encore de superbes images 🤩 Je suis bien content, cette lunette me plaît beaucoup, surtout qu'avec la Star Adventurer, ça me fait une configuration rapide à mettre en place qui tourne en parallèle du 200/1000 sur EQ-6 Voilà pour les images de cet été J'ai ensuite fait une soirée en septembre où j'ai fait du visuel assisté avec une 178MM de Rising Cam, la 50ED, directement montée sur l'EQ-6, avec le filtre Dual Band ZWO, en bin x2, gain 2515. Voilà les images directement issus de Sharpcap (M27 : 230x4s , NGC6888 : 66x8s, Dentelle : 82x8s, M16 : 104x8s) Bon.. c'est lumineux, on a du détails mais les étoiles sont immondes... En fait je n'avais pas du tout le bon tirage, et aussi sûrement un gros tilt, ayant fait ça très vite fait 😅 Mais ça donne une idée du champ qu'on a avec une caméra à petit capteur et la 50ED. Bref, voilà mes résultats avec cette petite lunette que j'aime encore beaucoup (elle est pour moi irremplaçable !), et j'ai hâte de faire du SHO avec ma nouvelle petite caméra mono !1 point
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Alors oui et non en fait... et pas simple à juger. Je m'explique : Techniquement, tu as pour effet de diminuer l'échantillonnage, et c'est fait par binning soft. Tu pourrais aussi mettre une lentille convergente devant ta caméra de guidage, çà marche aussi, et si tu te démerdes bien, tu augmentes le champ pour trouver des étoiles. LES POUR : - tu diminue la FWHM d'une étoile, tu as donc potentiellement moins de chances d'avoir du "star loss" (perte d'étoile) en cas d'un petit bougé, ou d'un petit nuage. Tu seras aussi un peu moins sensible à la turbulence. Tu es aussi un peu moins sensible à une MAP pas parfaite, et un peu moins sensible à une variation de température qui fait bouger ta MAP. Mais attention! n'oublies pas de surveiller cela pour l'imageur principal! - tant qu'on est pas avec un ratio trop important entre guideur et guidé, on est bon au niveau échantillonnage, donc la détection de centroïde sera toujours suffisante, même si un poil moins précise. - çà diminue la charge CPU, à la limite, c'est pas plus mal! (image 4x moins grande à analyser!) Du coup, t'as moins de latence pour prendre ta décision si le PC est peu puissant (test fait avec un EEEPC première génération). LES CONTRE : - diminuer la FWHM est acceptable, nous l'avons dit, tant que la FWHM n'est pas inférieure à 1... bon, soyons honnêtes... faut vraiment un setup ultra bien réglé pour avoir cela dans un DO. Puis les rapports de focale font qu'on peut tout à fait accepter de guider avec une précision de 2% au lieu de 1% sur la détection du centroïde de ton étoile... - il sera difficile de vraiment mieux voir une étoile vis à vis du bruit (çà dépend énormément du capteur, les vieilles ASI120/QHY5LII, etc, ne sont pas top à ce niveau), soit tu l'as déjà un peu, soit tu n'auras toujours pas assez de signal pour avoir une étoile propre. Dans cette situation, il vaut mieux augmenter le temps de pose (mais c'est aussi selon la stabilité naturelle de la monture). - les effets de répartition aléatoire du bruit (photonique/électrique = effet de neige) auront plus de poids dans la décision, car ils feront plus "balancer" le centroïde de ton étoile. Chaque setup a toujours ses petites marges d'amélioration. fais des tests! N'oublies pas à chaque fois d'utiliser l'assistant de guidage, car les paramètres d'hystérésis et de min-move doivent être adaptés à chaque fois que tu changes l'échantillonnage du guideur (que ce soit par la focale, un diviseur de focale ou par le changement du mode de bining de la caméra). En espérant aider. J'apprends toujours!1 point
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Bonjour Je viens de mettre en ligne une vidéo de 8 mn sur l'utilisation du EzGoto avec l'option Dual Speed (de jour en intérieur). Ca marche plutôt bien (de jour) rapide, silencieux, pas de vibrations...1 point
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Pour la distance, mon truc est constitué d'une Terre en papier de 12cm, d'une lune de 4 cm. Je colle la Terre sur un mur et je demande aux enfant de placer la Lune selon eux. Ca ne va jamais au delà de 1m. La réalité c'est 3.86m à l"échelle. Habituelement c'est un concert de Oh, Ah, Eh ben ! Pour des plus grand, je place un ballon de 1.40m au point kilométrique zéro devant Notre-Dame. A l'échelle, la Terre est une bille de 1.2cm à 150m du Soleil et le reste à l'avenant. Nepture est une bille de 5cm, grosso modo sur le péripĥérique et l'étoile la plus proche est sur l'orbite synchrone de nos satellites de TV a 36000km du centre de la Terre. Pour expliquer que l'on voit toujours la même face de la Lune, un enfant au centre figure la Terre, Un autre tourne autour de lui en figurant la Lune, en faisant une rotation en même temps qu'une révolution. C'est comme cela que j'ai compris moi-même !1 point
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Oui, très beau ! Les formations sur le limbe rendent super bien ! GO1 point
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(suite) Pour faire "expérimenter" aux enfants l'immensité du système solaire, j'avais préparé une activité "hors temps scolaire" un samedi matin, à l'occasion d'une éclipse partielle de Soleil. Les enfants (et les parents présents !) avaient bien apprécié. Un "jeu du système solaire" dans la cour : - avec des élèves, un décamètre, de la ficelle et de la craie, on a d'abord tracé (directement sur le sol) les orbites des planètes telluriques (échelle : 10 cm pour 1 million de km… la cour permettait d'aller jusqu'à Mars ) - on a posé au centre une feuille A4 avec un dessin du Soleil à la même échelle (soit 14 cm de diamètre / il aurait été préférable d'avoir une balle de ce diamètre, mais je n'avais pas ça sous la main) - ensuite, des élèves munis de feuilles A4 représentant les 4 planètes telluriques par des cercles (à la même échelle : étonnement de voir qu'on est "tellement petits" ) ont parcouru les orbites en marchant… d'où des questions sur les durées de révolution, etc... - et pour les "planètes extérieures", il y avait aussi des feuilles A4 pour "voir" les diamètres, et un plan de la ville avec des repères connus soulignés par des étiquettes (mairie, piscine, etc...) et une liste des distances. Il fallait chercher à quel endroit les planètes extérieures se seraient trouvées, bien en dehors du groupe scolaire... Bref, rien d'extraordinaire, pas trop long à préparer, mais une matinée intéressante. Bien sûr, il faut réserver du beau temps ! Remarque : j'ai déjà parlé de cette activité dans un fil "vieux tubes et souvenirs", le message correspondant est là : https://www.webastro.net/forums/topic/183436-vieux-tubes-et-souvenirs/?do=findComment&comment=27696961 point
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Bonjour Voilà une initiative fort sympathique ! 1°- Pour la question des dimensions relatives des planètes elles-mêmes et du Soleil, il y a déjà des collègues qui ont bien travaillé, c'est facile de trouver des images. https://tronic.fr/maitronaute/astronomie/questions-diverses/la-taille-des-astres/ https://tronic.fr/maitronaute/sciences/astronomie/le-systeme-solaire-177/ https://www.planet-techno-science.com/ciel-et-espace/quelques-comparaisons-dechelles-entre-les-planetes-et-les-etoiles/ https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Planets_and_sun_size_comparison.jpg https://starlust.b-cdn.net/wp-content/uploads/2020/11/how-big-is-the-sun-compated-to-the-planets.jpg https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Telluric_planets_size_comparison.jpg?uselang=fr http://pedagogie.ac-limoges.fr/physique-chimie/spip.php?article120 (là, il y a une animation sympa mais trop rapide / il doit être possible de la bidouiller) L'idéal serait évidemment d'avoir un assortiment de ballons, boules et billes à peu près à l'échelle, mais ce n'est pas facile à trouver ! 2°- Attention, c'est plus délicat de faire prendre conscience aux enfants (et aux adultes aussi, d'ailleurs 😕) des distances immenses qui séparent les planètes, relativement à leurs diamètres. A ce sujet, il y a d'ailleurs un "obstacle épistémologique" important, qu'il ne faut pas sous-estimer : un grand nombre de schémas, dans les livres ou sur les sites mêmes "sérieux", montrent bien les diamètres relatifs mais pas du tout les distances relatives... Du coup, ces immenses distances sont en quelque sorte "gommées" dans l'esprit du lecteur. C'est pour ça que "pédagogiquement" j'aime bien les images du style "des boules posées sur la table" : elles n'induisent pas d'idée préconçue sur les distances relatives. Un exemple d'image "sérieuse mais qui peut être trompeuse" sur ce problème des distances : https://media4.obspm.fr/public/ressources_lu/pages_terre-etoiles/images/Planetes.jpg Et à mon avis c'est encore pire si on essaye de mettre sur le même schéma des traits censés représenter les orbites, forcément "supercomprimées" et les planètes avec leurs dimensions relatives correctes, comme dans cette image là : https://assets.lls.fr/pages/16121257/svt.01.bilan-01.png La seule solution, toujours à mon avis, est de RENONCER à mettre, sur un même schéma, à la fois des "boules" et des "orbites". Ou bien on met des boules, mais on prévient que les distances ne sont pas respectées, ou bien on met des orbites, mais les planètes ne sont plus que des points... Exemple : https://www.cosmovisions.com/images/orbites-systeme-solaire.gif Bon, l'heure tourne, je reviendrai plus tard avec une ou deux idées que j'ai expérimentées "autrefois" 😁 A suivre...1 point
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Chaque logiciel de prétraitement (SIRIL, PixInsight, AstroPixel Processor...) va avoir ses propres algorithmes pour calibrer et empiler les images. Le bruit par lui-même ne veut absolument rien dire s'il n'est pas associé à une valeur de rapport de signal sur bruit. Tu peux avoir un logiciel qui va normaliser les brutes d'une certaine façon et le résultat sera différent d'une version à l'autre. Une interpolation différente fera que le bruit sera plus ou moins lissé (aussi). J'ai pas mal testé Pixinsight vs APP (car ce sont les 2 que j'utilise) et aussi SIRIL de temps en temps pour faire un test. Par exemple, pour nos images du Chili, on fait souvent APP et Pixinsight et on compare le résultat. APP reste mon préféré en rendu et en dynamique et c'est souvent cette version que l'on garde. Pixinsight a pas mal alourdi le process de prétraitement avec des calculs supplémentaires qui prennent beaucoup de temps (mais au final, je ne suis pas certain que le gain soit phénoménal) Pour les calculs, il y a aussi pas mal de différences. Donc des temps qui peuvent se rallonger en fonction du calcul et de la qualité de programmation. SIRIL reste rapide. Après, chacun a ses préférences de logiciel. Le meilleur logiciel est celui que l'on maitrise. En toute logique, les résultats d'un prétraitement ne doivent pas être le jour et la nuit selon le logiciel utilisé.1 point
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Très belle capture ! Et merci pour le site, ça peut être très utile !1 point
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Chez Celestron, l'anneau se vendra (c'est déjà le cas, il est déjà en rupture dans plusieurs commerces astro depuis sa sortie il y a plusieurs semaines), les boitiers de contrôle restent chers par rapport aux autres marques mais les Celestron sont bcp plus évolués (si on a besoin de tant de technologie...).1 point
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Non, aucun port n'apparait à aucun moment dans l'IDE Arduino. De toute façon, à la relecture de la documentation, on trouve cette info (traduite) "Même si Trinket a un connecteur USB, il n'a pas de capacité "console série", vous ne pouvez donc pas utiliser série pour envoyer et recevoir des données vers/depuis un ordinateur ! Il n'apparaîtra pas en tant que PORT dans le menu de configuration" En conséquence, cette carte ne peut être utilisée pour un pilotage des actions par un PC. Je pense qu'on peut y charger un programme (quand on y arrive) qui doit être autonome et sans retour vers un ordi. Exit de la course ! J'ai vu effectivement, je vais en commander un exemplaire pour tester. Vu toutes les particularités des différentes cartes, ça risque d'être un long périple pour trouver un remplaçant de taille réduite de l'Arduino Nano. J'en ai trouvé, mais pas dont les dimensions sont réduites par rapport à l'Arduino Nano. Dans l'expectative, j'ai légèrement augmenté la taille du boitier du rotateur 2" de manière à loger l'Arduino Nano. Pour le 3", vu que l'ensemble est pratiquement terminé, il va falloir que je patiente pour trouver une carte plus petite ou que je ruse. J'ai toujours la possibilité de mettre un petit boitier externe pour y loger l'Arduino Nano, mais si je peux éviter, j'aimerais autant. Juste pour le fun, une petite photo de la partie mécanique du rotateur 3" (anodisation à venir) à 2 roulement à billes, sans et avec le capot imprimé 3D : Et la partie mécanique (fixe et tournante) du rotateur 2" qui utilise un roulement unique à double rangée de rouleaux croisés, réputé sans jeu :1 point
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Bonjour à tous, Je viens partager avec vous le cas concret de presque 6 mois de lutte contre la pollution lumineuse. L’objectif final est encore loin (l’extinction nocturne dans les quartiers résidentiels de ma communauté d’agglo, Saint-Quentin-en-Yvelines, 78) mais certains résultats intermédiaires sont prometteurs. J’espère que ces infos vous motiveront à faire de même dans vos contrées. Enchainement des actions entreprises : - J’ai construit une présentation relativement solide sur la PL et les extinctions nocturnes. - Avec cette présentation en main, je me suis rapproché d’une association du réseau « En Transition ». C’est la clé dans mon cas. - Cette asso m’a permis de fédérer 7 assos supplémentaires autour de la proposition, sur le territoire de l’agglo. - Une fois cette masse critique atteinte, j’ai obtenu la publication d’un article dans la presse locale. - Notre collectif a fait la demande que la lutte contre la pollution lumineuse soit inscrite au PCAET de l’agglo. - Nous avons lancé un sondage sur la PL et les extinctions nocturnes dans nos réseaux. - L’article et la demande PCAET nous ont permis d’être reçus par le service Eclairage de l’agglo, ainsi que par l’élu en charge du sujet. - La flambée des prix de l’énergie aidant, l’agglo est favorable à l’idée et effectue une étude technique qui sera présentée aux maires des communes de l’agglo après l’été. - Envoi de courriers aux commerces locaux qui n’éteignent pas la nuit (courrier type + photos prises de nuit) - Planification du Jour de la Nuit 2022 dans nos communes Résultats obtenus pour l’instant : - Extinctions de commerces (Magasin BUT Les Clayes-sous-Bois, Centre Commercial Alpha Park Les Clayes sous-bois, agences immobilières) - Article dans la presse locale (Les Nouvelles de Versailles) - Proposition PCAET agglo SQY - Sondage pollution lumineuse: 400 réponses, 97% favorables à l’extinction nocturne (non représentatif mais intéressant tout de même) - Reprise de l’extinction nocturne de Villepreux, 78 - Réunion Service Eclairage agglo SQY En PJ, quelques documents qui peuvent vous être utiles : - Présentation Pollution Lumineuse - Article presse locale - Document sur nos résultats - Courrier type pour obtenir une extinction de commerce (100% de résultats positifs…) Le mot de la fin : c’est long, c’est difficile, mais on obtient des résultats. Et nos nuits le valent bien! 73209499_PLMasterpourelus.pptx Resultats et prochaines etapes PL SQY mai 2022.pdf Courrier type extinction commerce.docx1 point
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Epilogue: les 12 communes de Saint-Quentin en Yvelines éteindront prochainement leur éclairage public en cœur de nuit. 🙂 Extinction SQY.pdf1 point
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@tictactocje ne sais pas si tu as lu les deux suites de Spin ? Je les ai trouvées très bonnes aussi mais beaucoup plus "classiques" que le premier tome, qui lui est pour le coup vraiment original et particulièrement bon. Je note La Paille dans l’œil des dieux, que je ne connais pas. Il m'a tout l'air du bon gros Space Opéra comme je l'aime 🤗 @JMDSomme si tu as de l'appétence pour les fictions à (très) forte teneur scientifique, je ne peux que t'encourager à lire la trilogie martienne de KSR. Avec une mise en garde tout de même : le premier tome est vraiment "velu", des pages et des pages de descriptions de la géologie martienne. Mais si tu arrives à passer ça (voire, comme moi, à y trouver du plaisir), alors la suite t'offrira beaucoup plus encore !1 point
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Bonjour Lever de Lune derrière le pied de l'Aiguille du Goûter (massif du Mont-Blanc) le 10/11/2022 à 18h43. Sony A7S sur Mak 127/1500 Célestron + correcteur/réducteur 6.3 le tout sur trépied photo Vixen. Photo prise à 24 kilomètres de l'Aiguille du Goûter à proximité des Saisies (Savoie). C'est Peak Finder qui m'a permis de préparer cette prise de vue et de savoir à quel endroit exact et à quelle heure exacte la Lune se levait au pied de l'Aiguille du Goûter et donc de trouver le bon emplacement pour cette capture. En ombre chinoise on voit des gens sur l'arête... Peut-être des amateurs de photos lunaires comme moi..? PeakFinder:https://www.peakfinder.org/fr/?lat=45.74484&lng=6.55946&ele=1451&azi=87.67&alt=-5.56&fov=88&cfg=sm&name= Bon ciel1 point
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Bonjour, 00h10 le 8 novembre, dobson xt8 dans le jardin, hyperion 36mm, bagues, canon 100D (photo en afocal) en mode rafale 1/2500s en jpeg pour prendre plus rapidement les photos, déclencheur à la main, prêt à attendre 00h20min45s le transit de l'ISS devant la Lune. 00h20 au téléphone, Décompte dans ma tête... ...psychotage... Est-ce que je déclenche à 40s ou est-ce que je déclenche quand je vois ISS sur l'écran ? Je choisis la 2ème option, 0,64s de transit facile !!!... vu au lifeview de l'ISS déjà en plein milieu de la Lune, j'appuie sur le déclencheur... ...trop tard !!! Echec Mission !!!! Un petit tour sur transit-finder... ...je peux retenter ma chance le 11 novembre à 22H46. Petit voyage du matériel dans les champs d'Anjou... ... décompte dans la tête... ...ce coup-ci je déclenche 10 secondes avant le temps estimé. Nickel, voilà je les ai toutes les deux !!! La mise au point pourrait être amélioré. Bon ciel.1 point
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Tout à fait d'accord avec toi. Il ne s'agissait pas d'un conseil de ma part, mais simplement d'une remarque sur cet accessoire qui t'intéresse et l'évolution du matériel de fait. La réponse aurait pu être la même par exemple pour l'amplificateur réticulé Vixen qui n'existe plus en neuf depuis des années et qui est recherché par certains. Perso, je n'utilise aucun viseur polaire (ça sert plus à rien, il existe des routines d'alignement polaire dans la plupart des raquettes maintenant), des Go-To parfois (mais le moins je m'en sers, le mieux je me porte) et je ne fais quasi pas d'imagerie... Chacun a sa façon de pratiquer l'Astro, sans doute beaucoup de visuel comme toi et moi et plein d'astrams sur ce forum avec le plaisir d'être dehors sous le ciel, d'autres n'ont même pas un oculaire ni un renvoi coudé, ne font que de l'imagerie avec une monture Go-To et ont commencé de la sorte ou tout automatisé pour être au chaud, d'autres encore achètent un eVscope et ne connaissent même pas les constellations... C'est ainsi ! Certains font des travaux admirables en visuel depuis des années (ex. Alexandre Renou qui intervient régulièrement sur ce forum pour les comètes réside dans la banlieue d'Angers), rien à voir avec la qualité du ciel. De belles observations !1 point
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Bonjour, Après 5 mois de boulot, nous avons le plaisir de vous présenter la nouvelle mouture du site Magnitude 78, l'ancien site avait 12ans et commençait à être un peu vieillot. Cette nouvelle mouture est plus graphique et permet de retrouver plus facilement le contenu très important. Maintenant nous pourrons vous partager plus simplement nos activités via le bandeau de la pages d'accueil et le blog. Le site comporte plus de 200 pages, séparées dans les catégories : le club, les instruments, l'astrodessin, l'observation, la photo, les anciens projets. Je vous mets les liens de quelques pages qui devrait attirer votre attention. - sans doute la page la plus consultée sur la réalisation de télescope : https://magnitude78.astrosurf.com/les-telescopes_magnitude78/ - pour bien observer nous avons besoin de connaitre l'objet, on a donc fait des catalogues de photos par constellation pour avoir un support : https://magnitude78.astrosurf.com/catalogues-objets-du-ciel-profond/ - les anciens projets https://magnitude78.astrosurf.com/planetarium-astrolabe-cadran-solaire/ Petit challenge !!! Qui va trouver où a été prise la photo de l'entête de la page d'accueil du site avec Serge en ombre chinoise.... c'est pas facile ? https://magnitude78.astrosurf.com Yannick0 point
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Bonjour à tous. J'ai accepté d'organiser début décembre une petite séance (une heure) de sensibilisation à l'astronomie dans la classe de l'aîné de mes petits fils. Mon public aura 7/8 ans. Je pourrai disposer d'un support de projection d'images. L'idée serait de leur exposer le système solaire et de leur faire prendre conscience de certaines dimensions. Je pense que c'est déjà suffisant come programme. j'en profiterai bien entendu pour les sensibiliser à la beauté du ciel et les inciter à l'observer à l'oeil nu. Nous sommes quasiment en campagne. Il me faut bien sûr rester sur des notions simples, compréhensibles par des enfants de cet âge. Je me permets donc de solliciter votre aide, pour des idées, supports, etc... Merci d'avance à tous.0 point
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Bonjour, Pas souvent que je poste des photos surtout du ciel profond mais comme je commence à y prendre goût… ça change du lunaire Voilà, je vous présente une image de la nébuleuse de l’Âme ou IC 1848 réalisée lors d’un petit séjour astro dans la Drôme fin octobre avec les copains 😊 Le séjour aura vraiment été très moyen et seul 2 nuits ont été à peu près exploitables et encore entre les passages de cirrus et de brume... ce n’était pas gagné du tout de sortir des images !!! Heureusement qu'il y avait 2 dobsons pour faire un peu de visuel entre les nuages ! Cette image est composée de 35x300sec prise au foyer d’une lunette Esprit 100, camera ASI 2600MC, filtre Optolon L-Ultimate sur monture AZ-EQ6 le tout pilotés avec l’Asiair Plus 😊 J’ai réalisé 2 traitements dans Siril, une méthode classique et une autre avec extraction des couches H-alpha et OIII pour faire du HOO (+ pixelmath pour une couche verte synthétique) une grande première pour moi ! Je ne suis pas un grand spécialiste du ciel profond et j’utilise entre autres les excellents tutos/scripts de Colmic pour Siril qui fonctionnent très bien enfin sans trop de prise de tête pour moi !!! Je trouve que d’utiliser le système asiair (lorsque l’on est déjà équipé chez zwo) et du logiciel SIRIl est un combo parfaitement gagnant avec un très bon rapport plaisir/emmerdement dixit Michel (droit déposé) :D:D:D Le nouveau filtre Optolon L-Ultimate (3nm pour le H-alpha et OIII) me parait vraiment pas mal mais à tester sur des étoiles plus brillantes pour voir s’il y a d’éventuels problèmes de halo comme sur certains filtres… j’ai fait quelques autres images que je dois encore traitées (mais je crois qu’il n’y a pas vraiment d’étoiles brillantes dans le champ !). Dites-moi quelles images préférez-vous, classique/HOO/Starless ? Des conseils pour le traitement aussi... Réponse après les RCE… bien sûr !!! Bonne soirée, @0+ David PS: images présentées à 60% pour cacher un peu la misère...0 point
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Bonjour à tous J’ai le plaisir de vous présenter un projet arrivé à son aboutissement. Je projetai depuis quelques années de changer d’instrument et de passer sur plus gros. J’observe régulièrement de chez moi (campagne Sqm 21,3) et aussi en montagne dans les Pyrénées (sqm 21,75). Je possédais un explore 300 précédemment qui me donnait satisfaction mais il manquait un peu de patate et de finesse… Quand la diamétrite vous gagne… Déjà une petite photo pour vous présenter le bestiau. Le cahier des charges : - L’instrument le plus gros possible et transportable que je puisse mettre en œuvre seul (ca dépend des gens mais je me suis fixé de 450 à 508mm) - Une très bonne optique (dommage d’avoir un cheval de course qui boite.) - De bons mouvements fluides et pas de freins - Structure très rigide car FD Rapide - Double cage pour la rigidité /pratique et protection secondaire - Pas de GOTO (j’aime bien chercher au TELRAD) - Une possibilité de suivi avec table équatoriale (voire même de photo occasionnelle) - Optimisation pour utiliser une bino ( Denkmeier Binotron 27 dans mon cas) Optique : Après moultes comparatifs, devis et négociations j’ai commandé aux Canada. MISE à JOUR : aujourd'hui le miroir a été repri par skyvision... Mécanique : Le nombre d’artisans actuels pour la réalisation de télescopes de cette gamme est vite limité… On entend surtout parler de Df/SD /Stellarzac et Sv et plus récemment Doctelescope... Je leur ai tous demandé de me faire un devis (sauf pour le plus cher…). J’allais quasiment franchir le pas avec l’un d’entre eux quand une connaissance m’a parlé de Fred Amirayan (ARP 83). J’ai un peu fouiné sur son site et j’ai vu que son travail avait l’air très soigné. Je n’ai finalement pas mis très longtemps à me décider à réaliser le projet avec lui. Les raisons : - Travail hyper soigné (il fait tout sur demande !) - Suivi tout le long du projet avec photos etc.. - Prix concurrentiels - matériaux de qualité (Carbone 35mm , bois de bouleau…) - Le barillet : 18 points à 4 points d’appuis latéraux pour mon miroir (une pièce d’orfèvrerie) - Travail en France, il est plus facile d’aller chercher le scope et/ou de le faire modifier. Mouvements et stabilité : En bref, après quelques utilisations je dois dire que le télescope est un vrai bonheur à utiliser ! Le télescope est toujours hyper stable et respire le solide. Ce n’est pas de l’ultra léger mais ça n’est pas ce que je lui demandais. Les mouvements en azimuth sont freinés par le contact du téflon sur la table équatoriale. Les mouvements en hauteur sont assurées par un couple Téflon / roulements (2 et 2). Pas besoin de freins ni contrepoids alors que j’utilise une tête bino qui pèse un bon 1,5kg avec un porte filtre ! Montage et collimation : Fred m’a confectionné un système de montage rapide vu que je sors régulièrement en montagne avec. Je monte le scope en 5 Minutes chrono. J’ai identifié les 4 tubes carbones pour avoir un réglage qui bouge le moins possible à chaque remontage. Et ça fonctionne ; Je n’ai qu’une petite rectification à l’autocollimateur Catseye à chaque remontage (je rappelle que c’est 7 fois le trajet optique donc on est assez loin de la précision au laser). Je ne touche presque pas au primaire. Les molettes de collimations sont très bien faites (vis tirantes incorporées au poussantes) Table équatoriale : J’aime bien trouver mes cibles et j’avais acheté cette table ( Tom’O) d’occasion avant la réalisation de ce projet. J’ai donc demandé à Fred de me l’adapter spécialement pour ce dob (il a réalisé un axe fixé à la table qui se glisse directement dans le rocker). Le scope est tellement ramassé avec ce FD à 3,3 que je le laisse carrément posé sur un support roulant avec sa table équatoriale tout monté dans ma chambre et je le sors comme ça ! Sans la table le Po doit se trouver à un petit 1,60m, avec à 1,75 au zénith. Refroidissement du miroir : Après quelques discussions avec des habitués du forum et des gros dobsons, je souhaitais que le scope soit rapidement en température. C’est un problème récurrent sur les gros dobs, on est donc partis sur 3 ventilos en dessous et 4 ventilos au niveau du miroir sur le côté pour enlever la couche limite. Je peux activer les deux en même temps ou les différencier. Premières soirées : J’ai pu utiliser trois fois de télescope à la maison. C’est la première fois que j’ai un aussi gros diamètre en ma possession mais j’ai très régulièrement la possibilité d’observer avec mon voisin qui possède un 620 (oui oui je sais j’ai du cul xD). Mes premières impressions sont excellentes. Le piqué est superbe quand le télescope est à température (45min avec les ventilos je dirais). J’ai déjà pu voir que le FD court imposait une collimation PARFAITE ! Dès que mes images à l’autocollimateur sont un peu décalées je constate une perte de qualité de l’image (je l’ai vu sur mars), heureusement qu’il tient bien la colim ! Les premiers objets que j’ai pu observer ; M13 /M101/M51/ l’œil de chat/ de nombreuses galaxies dans la vierge / quelques amas et d’autres nébuleuses planétaires… UN REGAL. Sur M51 je vois depuis mon jardin le pont de matière qui relie les deux galaxies et de nombreux détails dans les bras… J’ai l’impression que le grossissement est très bien tenu par le télescope, les images se dégradent à partir de 400 fois mais j’ai pu pousser à 500 le meilleur soir des trois sorties sur l’œil de chat. j’ai pris une baffe sur pas mal d’objets.. Vivement le test à la montagne! Binoculaire : Denkmeier binotron 27 Je l’utilise pour le moment avec une paire de Pano 24. Je l’utilise avec le commutateur de puissance (1,3X ; 2,3X et 3X qui me donnent environ 90x/160x/220x) et je vais tester d’ici peu avec une paire de Pentax xw 10mm. 😃 Le résultat est tout simplement bluffant. Sur les amas, c’est juste exceptionnel. Le piqué est aussi bon qu’avec mon paracorr 2 et les pentax Xw en mono. Le confort d’observation est incroyable. Sur les galaxies, je perçois la même quantité de détails même sur les galaxies faibles mais je constate une petite perte de luminosité (je le vois surtout à l’assombrissement du fond de ciel). J’ai quand même pu observer des galaxies autour des magnitudes 14. Je trouve que la différence majeure est dans les grossissements. Quand je peux pousser facilement à 400 voire plus en Mono, il est difficile de faire la même chose en bino. A 220 je trouve que l’image se dégrade un peu, je me demande si c’est parce que je dois reculer un peu la bino pour avoir la map à se grossissement ? Voilà pour mes premières impressions , j’ai vraiment hâte de tester ce petit bijou en montagne. J’espère que ça éclairera ceux qui sont dans la même recherche 😃0 point
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Merci pour ces superbes idées. Elles vont dans le sens de ce que j'avais déjà imaginé mais m'aident énormément en me fournissant de nopmbreuses idées concrètes. Je pense effectivement partir d'une bille, extrapoler à la même échelle le soleil (environ 100 x plus gros si je ne m'abuse) avec un ballon ou quelque chose comme ça, et localiser sur Géoportail un point qu'il connaissent bien (l'église du village, le stade, que sais-je) qui soit à la bonne distance. J'aime beaucoup l'idée d'un jeu dans la cour mais il faut que je vois avec leur maîtresse si c'est réalisable. Bien entendu, je prévois de jolies images des principales planètes du système solaire. Il faudra aussi répondre aux questions, et là je m'attends à tout. J'avais déjà fait le même genre d'intervention pour deux de mes filles lorsqu'elles étaient en primaire. Ce sont d'excellents souvenirs, mais c'est bien loin... Les enfants sont un formidable public !0 point
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Bah non... Même si je n'ai lu que très superficiellement, j'ai vu bon nombre d'affirmations qui sont aussi catégoriques que discutables, et dont la juxtaposition (si impressionnante soit-elle à première vue) ne suffit pas du tout pour valider des conclusions irréfutables... Mais enfin, si "Charles et Pyrène" sont d'accord (voir dernière ligne du 1er message ) c'est peut-être le principal ! Cela dit, c'est vrai qu'il y a là un paquet d'arguments qui ont le mérite de donner matière à réflexion, et qui invitent à ne pas gober sans réagir des histoires trop simplifiées pour être honnêtes. Mais je ne me sens pas le courage d'entre dans une discussion aussi intéressante qu'interminable sur ce sujet. Bonsoir à tous !0 point
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tu peux, avec du lubrifiant sec type teflon ou silicone. aussi, c'est un joint... as tu essayé de trouver ton bonheur ici : https://www.oring.fr/?gclid=CjwKCAiAjs2bBhACEiwALTBWZRau7wnvE_pjQrzJ-bL1h5TiA5CZE8ZosUUS_OEEdZRjyF8wbiGjmxoCyAEQAvD_BwE je pense que c'est beaaaauuuucoup moins cher que dans un magasin astro0 point
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Bien sûr J'ai utilisé une mousse imputrescible de 5mm d'ep pour faire office de pare-buée. Taillée en conséquence, collée pour garder une forme circulaire, et ajourée sur les passages de queue d'arronde (vixen et losmandy sur mon c9). La mousse à des reliefs qui ne permettent pas de reflets internes. Une fois installée, j'enroule le tube ET le pare buée avec mon pare soleil de voiture (qui ne me sert pas l'hiver). Deux tours de ficelles autour pour le tenir sur le tube et le voilà emballé. Possible avec un isolant mince aussi, qui protégera aussi du rayonnement. Cela me convient très bien pour mon utilisation visuelle - de durées courtes à moyennes - en hiver. Je dépasse rarement 0h00 1h00 en hiver, surtout si j'attaque tôt. Si cette année cela ne suffit pas, je fabriquerai une petite resistance avec du fil résistif, mais les autres hivers, je n'en ai pas eu besoin. Je ne passe pas non plus tout mon temps au zenith. Après il existe des accessoires très fonctionnels, faits pour, comme le présentent très bien Jean-Louis ou Skywatcher707. A la fin, je rentre le tube en le laissant dans l'isolant, mais sans cache côté lame et PO ouvert. Le lendemain matin, je range les oculaires (en ventilation libre durant la nuit dans une petite boite en bois), j'enlève le pare-buée et l'isolant, je remets les caches lame et PO, et je range le tube dans sa caisse. C'est très rapide et fonctionnel pour moi.0 point
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Merci à toi!! Je ne suis clairement plus présent sur les forums, fait plaisir de revenir de temps en temps0 point
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Recyclage Camera ATIK en cooler SCT j'ai utilisé une camera ATIK Horizon HS un ventilateur 12 V de 60mm une mousse pour le filtrage des particules de poussière et une chute de tube serrurier de chez moonlite. Le cooler SCT est un dispositif permettant de ventiler l'intérieur des SCT, Maks et autres télescopes catadioptriques afin qu'ils puissent être amenés rapidement à température ambiante. Cela me permet une mise température du C11 en 10 à 20 minutes au lieu des 2 heures habituelles. Le refroidisseur SCT a une entrée d'air filtré, le tube peut se retirer en le dévissant. Alimentation électrique 12V Debit air >100L min0 point
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Salut, ayant une bonne tendinite au bras gauche, je ne peut pas trop bosser. Du coup je dois m'occuper un peu, j'ai fait le test de Ronchi avec les reseaux envoyé par @chantepierre, merci on a clairement une zone non parabolique au centre. j'ai l'image "triplée / décalée", je pense que c'est parce-que je n'était pas pil poil aligné avec le centre optique du miroir.0 point
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Je vois que Monsieur Axel fait dans la mosaïque également. Bien assemblée cette grande région du terminateur. 👍0 point
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Salut, Dans ce cas, comme dit plus haut, selon le budget du club, acheter une monture éq. Go-To adaptée, ou en trouver une en occas si le budget est "court". Une EQ5 Go-To (disons option la plus basse, mais suffisante pour du visuel et de l'imagerie courte pose), une AVX, une HEQ5... Si budget plus conséquent. Suffit d'avoir la monture, défourcher le tube SC 8" et mettre dessous un rail queue d'aronde Meade prévu pour. Bon ciel.0 point
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Mes images du Soleil d'hier, au SW150/750, IMX 178 MM, avec la Powermate x2.5 pour les zooms et directement au foyer pour les mosaïques. Continuum, IR-Pass 850nm et calcium k-line ( raté pour la mosaïque, donc pas de mosaïque calcium... ). Le tout est stacké sous AS!3, passé aux ondelettes sous Registax6, traité/fusionné/colorié avec GIMP.0 point
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Le Pic du Midi ce soir à 21h10 sur RMC Découverte. Le Pic du Midi ce soir à 21h10 sur RMC Découverte.0 point
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Troisième jour de beau temps dans le 49, j'ai sorti le Newton et la lunette pour imager les mêmes groupes que hier. Les 3 premières images sont faites avec le Newton solaire 150mm (F/D=8) et les suivantes avec la lunette achro 120mm (F/D=5) Une image avec le filtre K-Line: une image avec le filtre continuum vert (540nm) une mosaïque de 2 images avec le DayStar Quark: Images Ha à la lunette0 point
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+1. Le Purosol c’est la base. Et si ce n’est que de la poussière pas trop grasse : un coup de poire à air ou d’air comprimé à faire de toute façon avant le nettoyage plus en profondeur. dis toi aussi que ce qui est sur la lame n’est pas spécialement dommageable sauf si c’est une tranche de bacon (au hasard). Ça ne se voit pas spécialement0 point
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On est à peine remis de la photo (incomplète) d'hier (voir plus haut) qu'une autre publiée aujourd'hui vient nous en mettre plein la vue. L' ère de Webb ne fait que commencer ! https://blogs.nasa.gov/webb/2022/11/09/beneath-the-night-sky-in-a-galaxy-not-too-far-away/ Légende de la photo (traduction automatique) : Une partie de la galaxie naine Wolf-Lundmark-Melotte (WLM) capturée par la caméra infrarouge du télescope spatial Spitzer (à gauche) et la caméra proche infrarouge du télescope spatial James Webb (à droite). Les images démontrent la capacité remarquable de Webb à résoudre les étoiles faibles en dehors de la Voie lactée. L’image de Spitzer montre une lumière de 3,6 microns en cyan et de 4,5 microns en orange (IRAC1 et IRAC2). L’image Webb comprend une lumière de 0,9 micron en bleu, 1,5 micron en cyan, 2,5 microns en jaune et 4,3 microns en rouge (filtres F090W, F150W, F250M et F430M). Téléchargez la version pleine résolution du Space Telescope Science Institute. CRÉDIT SCIENTIFIQUE : NASA, ESA, CSA, STScI et Kristen McQuinn (Université Rutgers). TRAITEMENT D’IMAGE : Alyssa Pagan (STScI).0 point
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Bonjour, Il n'y avait pas de poulie sur ces anciennes montures Vixen, mais 2 roues dentées. Seules certaines nouvelles montures de la marque en ont.0 point
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Hello, oui ce sont des pixels chauds, tous les capteurs en ont et plus tu poses longtemps et plus la température est haute, plus ils ressortent. En ciel profond cela se gère en faisant des "darks" ;).0 point