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  1. krotdebouk

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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/20/22 dans toutes les zones

  1. 3 selfies du vaisseau Orion en route vers la Lune et 2 photos inédites du lancement :
    4 points
  2. J'ai vu le soleil le temps d'une éclaircie ce matin ! Lunt 60 + Neptune-M (IMX178, ça passe pile poil) Lunt 60 + ASI290 + barlow x2 pour une mosaïque autour d'AR 3147 et 3148 Et les petites protus pour finir
    3 points
  3. Bonjour, Pas souvent que je poste des photos surtout du ciel profond mais comme je commence à y prendre goût… ça change du lunaire Voilà, je vous présente une image de la nébuleuse de l’Âme ou IC 1848 réalisée lors d’un petit séjour astro dans la Drôme fin octobre avec les copains 😊 Le séjour aura vraiment été très moyen et seul 2 nuits ont été à peu près exploitables et encore entre les passages de cirrus et de brume... ce n’était pas gagné du tout de sortir des images !!! Heureusement qu'il y avait 2 dobsons pour faire un peu de visuel entre les nuages ! Cette image est composée de 35x300sec prise au foyer d’une lunette Esprit 100, camera ASI 2600MC, filtre Optolon L-Ultimate sur monture AZ-EQ6 le tout pilotés avec l’Asiair Plus 😊 J’ai réalisé 2 traitements dans Siril, une méthode classique et une autre avec extraction des couches H-alpha et OIII pour faire du HOO (+ pixelmath pour une couche verte synthétique) une grande première pour moi ! Je ne suis pas un grand spécialiste du ciel profond et j’utilise entre autres les excellents tutos/scripts de Colmic pour Siril qui fonctionnent très bien enfin sans trop de prise de tête pour moi !!! Je trouve que d’utiliser le système asiair (lorsque l’on est déjà équipé chez zwo) et du logiciel SIRIl est un combo parfaitement gagnant avec un très bon rapport plaisir/emmerdement dixit Michel (droit déposé) :D:D:D Le nouveau filtre Optolon L-Ultimate (3nm pour le H-alpha et OIII) me parait vraiment pas mal mais à tester sur des étoiles plus brillantes pour voir s’il y a d’éventuels problèmes de halo comme sur certains filtres… j’ai fait quelques autres images que je dois encore traitées (mais je crois qu’il n’y a pas vraiment d’étoiles brillantes dans le champ !). Dites-moi quelles images préférez-vous, classique/HOO/Starless ? Des conseils pour le traitement aussi... Réponse après les RCE… bien sûr !!! Bonne soirée, @0+ David PS: images présentées à 60% pour cacher un peu la misère...
    2 points
  4. Voici mon T400 fabriqué tout en aluminium grâce à vos conseils et à ceux glanés sur les pages d'Yves Piette, Serge Veillard, Pierre Strock, Serge Bertorello, et bien d'autres encore. La bête fait 25 kg au total et l'ensemble tient dans le rocker et le barillet à l'exception des tubes qui sont à part et peuvent se séparer en 2 pour des transports contraints. La collimation se fait très rapidement grâce à des goupilles de références sur les fixations des tubes, et le montage/réglage à 1700m d'altitude dans la neige par -10°C l'hiver dernier a été un jeu d'enfant. Bon j'ai un peu triché, les tourillons sont en contreplaqués et le support du secondaire imprimé en 3D. La stabilité et l'équilibre du télescope sont excellents, et le tout permet d'avoir des mouvements très fluides. L'araignée avec le miroir secondaire et le porte-oculaire ne pèse que 2.6 kg. Cela a demandé pas mal de travail, sans doute plus qu'avec du bois, mais je suis très heureux du résultat et du poids obtenu. Pour la conception j'ai utilisé FreeCAD, un logiciel gratuit de conception 3D. Je vous le recommande. Merci encore à tous pour votre support
    2 points
  5. Et non, je me suis d'ailleurs fait avoir au premier montage puisque j'avais laissé la sorte de joint en feutre en deux parties qui est sur ma deuxième photo au dessus. Dans la vidéo de Celestron, on voit bien qu'il faut l'enlever.. sinon on isole la résistance de la lame de correction. Sur la photo de @Skywatcher707, la résistance chauffante de l'anneau est visible. Une fois monté, il reste du jeu entre la bague et le tube donc pas de risque de contrainte dans ce sens là. Par contre, le serrage très modéré des vis est impératif pour empêcher d'éventuelles contraintes dans le sens axial. C'est un point d'attention dans la vidéo et dans la notice. Pour l'alimentation, là j'ai un petit doute sur la facilité de régulation avec le boitier Astrozap, le mien du moins. Il y a bien une led à luminosité variable mais ça ne me dira pas la valeur du courant envoyé à la résistance. Il faudrait que je bidouille un truc pour ça, un afficheur à plusieurs leds où elles seraient toutes allumées quand ça fourni les 2.5 A pour le cas du C11. Extrait de la notice pour que vous soyez sûr d'avoir une alim 12V suffisante suivant votre tube : Je dis même probablement une connerie, ça ne serait pas la tension qui varie sur ce type d'application ? Si c'est ça, ce genre de truc doit faire le job, un potar et un afficheur : https://www.amazon.fr/Régulateur-Vitesse-Moteur-Courant-Continu/dp/B075FTQ2ZH/ref=sr_1_4?__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&crid=3T159FEJ1I5X5&keywords=régulateur+intensité+afficheur&qid=1668952099&qu=eyJxc2MiOiIyLjAzIiwicXNhIjoiMC4wMCIsInFzcCI6IjAuMDAifQ%3D%3D&sprefix=regulateur+intensité+afficheur%2Caps%2C63&sr=8-4
    2 points
  6. En complément https://theconversation.com/extinction-des-feux-pour-une-veritable-planification-ecologique-de-leclairage-nocturne-191397
    2 points
  7. ic1805 cliquez sur l'image pour voir les détails sur la bin version starless plus bas. Elle me donne le vertige la chez un petit "j'aime " sur astrobin si vous aimez. Sinon ben pas de bol, y'a pas de bouton " j'aime pas"
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  8. Ami.e.s de la nuit, voici ma première de Jupiter pour 2022 prise la même nuit que Saturne. Contrairement a Saturne, pas d’arbre pour interrompre la séance, juste des nuages. Je ne regrette rien car j’étais déjà fatigué et j’avais l’impression que le résultat ne serait pas trop mal et peut-être même mon meilleur pour cette planète. J’ai même eu droit a 3 satellites galiléens: Io Europe et Ganymède. J’ai suivi ma nouvelle procédure (d’après un tuto de J.L. Dauvergne): prendre quelque vidéo en couleur, passer en mono (environ 1 heure) et finir avec la couleur a nouveau. Donc en tout 6 films couleurs et 32 monochrome. Pour chaque, AutoStakkert, ré-échantillonnage x2 et drizzle x1.5 pour la couleur. Première passe dans AstroSurface, puis winJUPOS et parce que winJUPOS ne s’avère pas terrible pour les bords, je compose avec 2 autres sorties faites avec les 4 premiers et derniers films de la session que je mix sous Gimp. Et encore une petite déconvolution sous AstroSurface et intégration de la couleur. Et voila: Plus tard, je vais essayer de publier une petite vidéo de cette session. Peut-être pour ne pas y passer trop de temps, çà sera uniquement une version mono. Bon ciel Xavier.
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  9. Bonsoir les gens, Il y a la Lune aussi. Ce n'est pas @norma qui contredira qu'on peut en faire le seul objet de toute une vie d'astronome. Pour les enfants c'est vers cette direction que j'incite les parents à porter une attention particulière. L'observation de la Lune présente pour des enfants de nombreux avantages. Elle est présente toute l'année, (oui je sais plusieurs ici ne trouvent pas cela un avantage 😄 ) ce qui fait qu'il est possible d'instituer un rythme adapté à l'enfant. il est possible de l'observer sans veiller très tard. Comme elle est très lumineuse, même un instrument modeste en diamètre permet déjà de très nombreuses observations. Ce que je propose aux jeunes, avec succès d'ailleurs, est d'acquérir un cahier d'observations, sur le principe des cahiers de Sciences Nat "de mon temps", une page pour rédiger l'autre en face pour dessiner. Ainsi l'enfant peut en observation, noter tout un ensemble d'informations, le lieu, la date, l'heure, l'âge de la lunaison, plus tard la hauteur de la Lune etc .. L'enfant va aussi et surtout dessiner ce qu'il ou elle voit à l'oculaire. S'il est tard ou qu'il fait froid ou moins de motivation et bien on reprend le lendemain ou plus tard. Avec ses dessins le jeune va ensuite de jour faire des recherches sur différents supports, Atlas papier ou virtuel, et tenter de mettre un nom sur les paysages lunaires qu'il a dessiné. Ceci ne l'empêchera pas de temps à autre d'aller jeter un œil sur d'autres objets comme les planètes lorsqu'elles sont de passage. Ce principe permet à l'adulte dont la présence doit être systématique, de créer des modules de temps, de difficultés parfaitement adaptés aux capacités, à l'envie et/ou la motivation de l'enfant. A ce prix, la motivation du jeune sera préservée parce que de très bons résultats arrivent très vite, il y a graduation dans la découverte et les apprentissages. Pour l'observation de la Lune le manuel co-rédigé par @norma est un outil très utile qui permet de faire ses débuts et par la suite d'approfondir. A peu près tout ce qui est nécessaire pour observer la Lune y est traité jusqu'aux techniques de dessins. https://www.leslibraires.fr/livre/20336195-manuel-d-observation-lunaire-2eme-edition-norma-desprez-gerard-coute-philippe-heully-l-allier-du-ciel Quel instrument alors ? Idéalement un Dobson, cela permet d'éviter la complexité inutile en visuel d'une monture équatoriale qui fait grimper le prix si elle est de qualité, qui dégoûtera le jeune si elle est médiocre (vibrations, instabilité, complexité etc.) Quel Dobson ? là c'est le budget alloué qui va fixer le diamètre. Ici vous avez quatre exemples : Un peu au dessus du budget : un 130 mm donc plus grand que le 114 mm que vous nous indiquez : https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2244114878.htm https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2249961996.htm Pour un anniversaire à venir il peut y avoir regroupement familial. Deux instruments plus modestes mais totalement dans le budget : https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2233860865.htm https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2252100031.htm Pour ces deux instruments, je n'ai aucun avis ne les connaissant pas du tout. Si devenu adolescent, la passion est toujours là, ou si entre temps l'un des parents ou les deux sont contaminés, il sera temps de penser à un instrument plus important. Ney
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  10. Je n'ai pas encore eu l'occasion de l'essayer, mais au vu des photos faites par ceux qui l'utilisent, c'est propre, fin, et sans bavures.
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  11. Salut Ce sujet reviens assez souvent en période de Noël https://www.webastro.net/forums/topic/196810-aideavis-sur-choix-de-téléscopelunette-pour-enfant/ https://www.webastro.net/forums/topic/192739-telescope-educatif-pour-enfant/ https://www.webastro.net/forums/topic/188128-achat-pour-un-enfant/ https://www.webastro.net/forums/topic/196176-choix-télescope-pour-mon-fils-de-9-ans/ https://www.webastro.net/forums/topic/187640-modèle-télescope-enfant-6-8-ans/ https://www.webastro.net/forums/topic/195808-aide-choix-téléscope-enfant-quelques-autres-demandes/ https://www.webastro.net/forums/topic/180237-besoin-daide-achat-téléscope-pour-mon-fils/ https://www.webastro.net/forums/topic/151251-choix-matériel-enfant-9-ans/ Bonne lectures
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  12. J'ai pris les valeurs utilisées par Laurent Bourgon (Felopaul) qu'on peut trouver sur son site ou sur AS (faut que je les retrouve...). Ca donne de bons résultats pour certaines nébuleuses (comme la trompe) mais pas pour d'autres. Je pense que ça pourrait coller pour le coeur et l'âme. Pour Siril, la version 1.2 (que je teste actuellement) intègre directement Starnet++ avec la gestion de calques pour mixer le starless avec le calque d'origine et réduire ainsi les étoiles. A mon sens c'est intéressant d'attendre un peu cette 1.2 car il y a énormément d'améliorations. Comme mentionné plus haut, c'est un choix à faire, soit on investit en temps et en argent dans Pix, soit on préfère du gratuit et on doit s'en accommoder. Disons que je suis un cas à part puisque je participe aux tests et à l'amélioration de Siril + les tutos, et à vrai dire je m'en fous de sortir des images de la mort Siril a fait énormément de chemin depuis ses débuts, surtout depuis que la bande Cyril + Vinvin + Cissou a repris le projet A titre perso, c'est SiriL + CS5 pour la finalisation (notamment avec le plugin NoiseXterminator qui est vraiment énorme), CS5 que j'ai eu "gratuitement" à une certaine époque et que je n'éprouve pas le besoin de remplacer. Couplé avec les plugin Astronomy-Tools et Troy-Astro pour Photoshop. Mais j'avoue qu'avec cette 1.2 de SiriL je fais de moins en moins de choses dans Photoshop D'ailleurs je prépare un tuto qui devrait correspondre à la sortie de la 1.2 montrant qu'on peut pré-traiter et traiter une image de A à Z uniquement avec SiriL sans besoin d'outil externe.
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  13. Oui j'utilise NINA, oui la MAP fonctionne parfaitement et tient très bien. Je compte isoler le tube avec 3 couches de couverture de survie type décathlon.
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  14. Désolé le lien a foiré ... => https://www.leboncoin.fr/decoration/2257224253.htm
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  15. Ecrire "gretta" est effectivement une attaque "ad nominem".
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  16. L'AP est un positionnement par rapport à l'axe de rotation de la Terre. La position en longitude et latitude étant connu, on dispose d'un modèle théorique de ciel en conséquence. Cependant il n'est pas inutile à mon sens, et vu le temps que ça prend, pas plus de 3 minutes, de modéliser le ciel dans sa configuration du moment. Il peut y avoir une horizontalité imparfaite, des défauts de monture, etc. Ceinture et bretelles en somme.
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  17. Salut, Comme promis les modifs : - Araignée Backyard universe CNC - Masque primaire Backyard universe CNC - baader click-lock - Flocage visserie - Dé-contrainte et jeu miroir primaire, ajustement des patins liège - Rondelles pour fixer le PO au tube - Flocage du PO, réglage - Retrait de l'embase chercheur - Changement visserie pour du bobs knobs Environ 330e Résultat : 150mm f3.45, collimation quasi éternelle (test sur 5jours, rien ne bouge d'un dixieme) pas de tilt, étoiles nettes et ponctuelles (capteur quasi APSC) Total environ 800 euros. Un astrographe grand champs avec la résolution d'un 150mm. Super instrument. Des photos CP arrivent ! Avec ASI294MC -> sampling environ 1.8 Avec ASI294MM -> mode bin0 L sampling >1, bin 1 RGB 1.8 Backfocus du correcteur inclus = 55.1mm + 1/3 de l'épaisseur du filtre utilisé. Si vous avez une autre caméra, quelques exemples : ASI533mc et mm : 1.48 très bien, standard, backfocus facile ASI2600mc et mm : 1.48 très bien, standard, backfocus à régler finement ASI183mc et mm : 0.95 Haute résolution, plus difficile, demande un bon ciel et un bon guidage, backfocus très facile Maximum en taille de pixel : environ 5um -> sampling à 2. Donc OK pour pas mal de capteurs CCD. Exemple de très bon "combo" CP : ASI294MM en bin 0 pour la couche L puis ASI294MC pour le RGB en bin1 Reste à faire : -10mm tube PO Isolation thermique du tube Je posterais avec les photos CP un rapport CCDinspector.
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  18. Et oui, j'avais le même problème alors j'ai entièrement refait le rocker un peu plus haut. Maintenant j'ai assez de place pour mettre tout le bazar: module, contrôleurs platine moteur et moteur, connecteur régulateur et bientôt convertisseur....
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  19. L'anneau chauffant Celestron pour mon C11XLT est arrivé ce matin. Commandé mardi à https://www.picstop.co.uk/all-telescope-accessories/celestron-dew-heater-ring-11.html, 88.23 € avec les FDP + 17 € de frais de douane/TVA. Je ne connaissais pas ce fournisseur UK, impeccable, bonne communication et rapide. Le montage se passe exactement comme sur la vidéo Celestron et effectivement, faut pas trop serrer les vis de l'anneau. Celles d'origine étaient très légèrement serrées, ça donne un repère pour le remontage. Il y a deux jacks, un pour l'alim 12V et un autre qui doit se connecter au boitier de contrôle Celestron et qui permet une surveillance/régulation de la température. Le premier câble, celui de l'alim, est fourni. Le branchement peut se faire sur un boitier de régulation Astrozap, c'est une fiche au format RCA. Il y a une pince qui tient la ou les fiches d'alim/régul, il faut l'enlever pour pouvoir remettre le couvercle sur le tube. Reste plus qu'à essayer ça et j'espère, me faire oublier le fiasco de ma dernière tentative entre la collim, l'apprentissage de l'ADC et la buée toutes les 10 minutes..!
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  20. Je vais détailler le calcul que j'avais en tête hier. Il faut supposer que le voyageur temporel a des notions suffisantes pour le faire, mais aussi de la documentation, par exemple un petit atlas des constellations utilisant les coordonnées 1900. Je note AD = ascension droite et DE = déclinaison. Tout d'abord il faut bien comprendre que la précession des équinoxes fait dériver les étoiles sur la carte. Pas dans le ciel, mais sur la carte. Cette dérive se fait vers la gauche de la carte (vers l'est céleste) parallèlement à l'écliptique. Par exemple, dans les millénaires qui viennent, Arcturus va descendre en bas à gauche (le nord est en haut, l'est est à gauche). Les étoiles qui ont une AD de ~ 6h, ou de ~ 18h, se déplaceront uniquement à gauche, pas en haut (ou très peu) parce que, à cet endroit, l'écliptique ne monte ni ne descend. PS : je me suis trompé de sens depuis le début : le point Vernal descend en bas à droite, pas en haut à gauche comme je croyais. C'est évident : autrefois il était dans le Bélier, puisque c'est le premier signe du Zodiaque, donc il se dirige à présent vers le Verseau. Et du coup les astres se lèvent plus tôt dans le passé et plus tard dans le futur, et non le contraire comme je l'avais écrit. Il y a 5000 ans, le Sagittaire était bien plus haut, comme je l'avais dit, mais il culminait plus tôt et non plus tard. Dans le futur, au contraire, les étoiles seront en retard. C'est en réfléchissant au détail des calculs que je me suis rendu compte de mon erreur. Nikko76 : j'en suis désolé, je ne voudrais surtout pas que tu écrives n'importe quoi à cause de moi... (De toute façon tu attendras évidemment une confirmation). Mais cette fois je crois que c'est bon, et je poursuis ! Tous les astronomes savent que les astres ayant 18h d'AD passent au méridien à minuit local le jour du solstice d'été. − Le 21/06 : passage au méridien à 24h heure solaire. − Donc, le 21/07 : passage au méridien à 22h heure solaire. − Donc, le 21/08 : passage au méridien à 20h heure solaire. (Décalage de 2h / mois, soit 24h par an.) Quelle étoile peut servir pour la mesure ? Il faut une étoile qui était à pile poil 18h00 d'AD en 1900. Je propose le Taureau de Poniatowski, un groupe de quatre étoiles (nommée poétiquement 66, 67, 68 et 70 Ophiuchi) situées, de plus, près de l'équateur. C'est une ancienne constellation qui n'a pas été retenue dans la liste officielle lors de la fameuse réunion de l'Union Astronomique Internationale en 1920-et-quelques (qui a défini les limites officielles des constellations en utilisant des coordonnées 1875). Aujourd'hui (coordonnées 2000) ces quatre étoiles ont de justesse dépassé les 18h00. Mais si on retranche ~ 0h05m (dérive due à la précession en un siècle), ce groupe est centré sur le méridien 18h00. C'est là où c'est utile d'avoir un atlas céleste ! Le Taureau de Poniatowski passe donc au méridien, le 06/08, à 21h heure solaire. Grenoble est à 5°43' de longitude est, ce qui signifie que le passage au méridien se produira 23 minutes plus tôt (pour convertir les degrés en heures, on divise par 15 car 360°/15 = 24h). Donc à 20h37. On a ainsi notre agenda, sachant qu'il y a une avance de 4 minutes par jour : − 21/08 : passage au méridien à 19h37 heure de Greenwich (21h37 heure d'été). − 22/08 : passage au méridien à 19h33 Greenwich (21h33 heure d'été). − etc. Remarque 1 : il ne fait pas nuit à 21h37 heure d'été ! Oui mais si on a une heure de retard, ce sera le cas (cette année, le 21/08, le crépuscule astronomique se terminait à 22h25 heure d'été ). Remarque 2 : si l'heure se fait par rapport à un autre méridien, par exemple le méridien de Paris, il faudra utiliser l'écart de longitude par rapport à cet autre méridien (par exemple 14 minutes par rapport à Paris). Nous sommes le 24/08, notre voyageur temporel place un repère donnant le sud, reconnaît la petite constellation, et attend le passage au méridien pour 19h25 heure de Greenwich (21h25 heure d'été). Il s'attend à ce que le passage au méridien se produise avant la tombée de la nuit, mais non : lorsqu'il repère les quatre étoiles sur fond de ciel pas tout à fait nord, elles ne sont pas encore au sud et pourtant il est déjà près de 22h00 heure d'été : elles sont en retard ! Elles passent au méridien à... 22h16 − soit 51 minutes de retard sur l'heure prévue (21h25). Cela signifie que, par rapport aux coordonnées de la date actuelle, l'AD a augmenté de 0h51m (ça fait 0,85 h si on convertit en un nombre décimal). La précession des équinoxes change l'AD et la DE d'une étoile, mais seulement l'AD si celle-ci est proche de 6h (ou de 18h) car l'écliptique est alors orientée pile est-ouest (elle ne monte ni ne descend. Le Taureau de Poniatowski est toujours juste au-dessus de l'équateur, mais avec une AD qui a augmenté de 0h51. Si c'est dû à la précession des équinoxes, cela signifie que l'on est dans le futur. − En 26.000 ans, l'AD augmente de 24h00 (un tour complet). − En combien de temps l'AD augmente de 0,85 h ? On applique la règle de trois, ou bien on fait un produit en croix (c'est pareil). On trouve : 921 ans. Si on est précis à 6 minutes (0,1h), on aura une précision sur la date de ~ 100 ans. (On ne fera pas mieux en mesurant l'étoile Polaire car son déplacement − sur la carte, pas dans le ciel − est beaucoup plus petit.) ----- Je pense que ça rendrait service à Nikko76 si vous pouviez vérifier tout ce que j'ai écrit. (Si j'ai le temps, je vérifierai avec un logiciel.)
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  22. Bonjour tous, Voici un petit récit d'une courte mission au Pôle Sud dans le but de réparer un détecteur à neutrons. Je pratique de moins en moins les forums astro cependant je voulais partager ce périple qui sort un peu( beaucoup) de l'ordinaire qui s'est déroulé de fin octobre à début décembre 2021. L'éclipse solaire de décembre n'était pas visible (il fallait être côté Chili) et de toute façon nous étions déjà rentrés... Bonne lecture. Cyrille [Retranscription de l'article que nous avons rédigé mon collègue Nicolas et moi dans la lettre interne de l'Observatoire de Paris de mars 2022 avec quelques annotations de contexte] Contexte scientifique (Nicolas Fuller, ingénieur CNRS- Observatoire de Meudon - LESIA) Le rayonnement cosmique, dans une gamme d'énergies allant de quelques centaines de MeV à une dizaine de GeV, est mesuré sur terre par un réseau d'instruments appelés moniteurs à neutrons (lien NMDB). Le LESIA [labo de l'Obs de Meudon] a la responsabilité de deux de ces moniteurs, l'un aux îles Kerguelen (sub-Antarctique), et l'autre en Terre Adélie (Antarctique), gérés par le service CERCLe (lien). Dans cette gamme d'énergies le rayonnement cosmique galactique, majoritairement constitué de protons, à la particularité d'être modulé par l'activité de notre étoile (cycle solaire). En moyenne une fois par an des protons quasi relativistes issus des éruptions solaires peuvent également produire une augmentation brusque du nombre de particules atteignant l'atmosphère terrestre. Au LESIA ces mesures participent à l'étude des phénomènes d'accélération de particules au Soleil et servent également, en partenariat avec l'Institut de Radioprotection (IRSN), à estimer les doses de radiations reçues par le personnel navigant de l'aviation civile (OACI). Le moniteur à neutrons de la station de Dumont d'Urville en Terre Adélie est constitué de 9 tubes de comptages. L'un de ces tubes à cessé de fonctionner fin 2019 et une mission a été organisée avec l'Institut Polaire (IPEV) afin de remplacer ce dernier et de sécuriser l'instrument (les tubes contiennent une petite quantité de BF3, un gaz toxique). Mission au pays des manchots (Nicolas Fuller & Cyrille Blanchard - moi - technicien LESIA) L'aventure débute le 27 octobre par un vol de Paris à Hobart en Tasmanie via Singapour et Melbourne. Groupe d'une trentaine de compagnons, nous y restons confinés deux semaines avec une vue magnifique sur le parking de notre hôtel. Après notre 4ème test PCR négatif, nous ne sommes plus considérés comme une menace et on nous dépose au port où le brise glace l'Astrolabe nous attend pour prendre la mer. Si le premier jour est calme, la haute mer nous réserve une houle autrement plus forte. Au 4ème jour nous faisons une halte bienvenue à l'île Macquarie, pour débarquer et embarquer quelques collègues australiens. Cap au sud-ouest. Trois jours de plus pour traverser les 50èmes "hurlants" et les 60èmes "déferlants"... Enfin la mer se calme à l'entrée dans le pack, fine croûte de glace que l'Astrolabe fend sans difficulté. Première claque, des paysages déjà magnifiques ! Escortés par quelques oiseaux polaires curieux de nous trouver là, nous naviguons près de grands icebergs dans la lumière irréelle du couchant. Le 18 novembre, nous commençons à distinguer le continent. Débarquement en zodiac et second effet "kiss-cool": les Empereurs et les Adélies en comité d'accueil, rien que ça ! La base de l'île des Pétrels, faite de bâtiments éparses, de tôle et de socles d'acier supportant froid et vents, se révèle sous une lumière éblouissante. Les hivernants nous ont réservé un accueil que nous n'oublierons pas. Très vite nous nous mettons au travail, la date de départ étant incertaine car une tempête pointe à l'horizon. Raphaël [ingénieur hivernant sous contrat IPEV], qui s'occupe du moniteur depuis un an, nous sert de guide. Efficaces, nous démontons, remontons, dessoudons, ressoudons pendant quatre jours. Ouf ça marche ! Le moniteur est bon pour le service ! Nous profitons du dimanche pour côtoyer nos compatriotes sur pattes. Les Adélies, petites peluches nichant ça et là partout sur la base, ne se soucient aucunement de notre présence, trop occupés à survivre sur ce continent hostile. Du haut de leurs nichées, accumoncellement de petits cailloux soigneusement choisis, ils protègent l’œuf unique à chaque instant. Les Empereurs à la démarche lente et assurément impériale auront été plus difficiles à observer de près. Le 23 novembre, il est déjà temps de penser au retour, un petit saut de puce en hélico et retour sur le bateau. Un dernier au revoir à la Terre Adélie, aux icebergs et au pack pour 6 jours de pleine mer avec un roulis de tous les diables. Re-60èmes, re-50èmes, une attraction de foire avec -/+40° de gîte. Sensibles s'abstenir ou alors médicalisé à la scopolamine. La diète pour l'un, le ravissement pour l'autre. Hobart approchant, le périple redevient supportable. Un ultime test PCR et nous voilà libres dans Hobart pour une journée de visite. Retour à Paris au matin du 2 décembre via Brisbane et Singapour. Fichtre quelle aventure ! Merci à l'IPEV, aux TAAF, à l'Observatoire de Paris, au CNRS aux hivernants (notamment Raphaël et Iban) et collègues du LESIA pour avoir rendu tout cela possible. Nicolas Fuller. & Cyrille Blanchard. du LESIA Photos en cours d'insertion
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  23. Hier, Météofrance annonçait une soirée relativement favorable pour l’astronomie. Relativement car exemptée de nuages. En tout cas, telles étaient les prévisions 🙃 . Du coup, après une bonne journée en famille je m’étais dit que je passerais bien la soirée en tête à tête avec Mars. Un rapide coup d’œil à Stellarium m’apprend aussi que je peux voir la grande tâche rouge sur Jupiter. Un beau petit programme sans prétention. Après le repas du soir, une fois tout le monde au lit, je m’équipe comme un cosmonaute pour affronter, statique, la fraîcheur nocturne : chaussettes de ski par-dessus les chaussettes normales, pantalon de ski par-dessus le pyjama et gros blouson d’hiver avec bonnet et capuche : c’est rudement efficace : je n’ai pas eu froid une seule minute ! Le repas du soir ayant traîné un peu, je me retrouve opérationnel avec le scope aux alentours de 22h : aïe. Il y a un peu de vent, et des passages (rapides) de nuages de bas. Pas cool ! Un copain qui vit quelques kilomètres plus au nord m’informe qu’il remballe : trop de nuages chez lui pour l’astrophoto. Vu les prévisions météo pour les jours prochains et mon planning : je décide de persévérer, je n’aurai peut-être plus de soirée propice pour sortir le scope avant un petit moment. Je pointe rapidement Jupiter et entre les quelques passages nuageux, je ne parviens pas à distinguer la tempête géante. Petit tour rapide sur Stellarium : c’est normal, je l’ai loupée 😖 tant pis, ça ne sera toujours pas pour cette fois. Je reste un peu sur la planète mais la turbulence est assez forte en ce début de nuit et ne me permet pas de distinguer grand-chose. Au bout d’un quart d’heure, je décide de laisser s’en aller la reine du système solaire pour pointer celle qui apparaît comme une étoile orangée et brillante : Mars. Au départ, la turbulence et les passages nuageux sont tels que je ne discerne guère plus qu’une zone un peu plus sombre au centre du disque martien, et rendent la mise au point laborieuse. Mais au bout de quelques minutes, peut-être une dizaine, ce coin du ciel s’éclaircit et les nuages se font plus rares. Mars m’en montre enfin un peu plus et le ciel sera de plus en plus clair au fil de la soirée 😎 Enfin quelques détails se montrent à moi et je peux discerner de plus en plus clairement le relief. Je reste (très) longtemps à l’oculaire et par moment des pics de contraste et de netteté m’en mettent littéralement plein la vue ! Quel spectacle ! Les nuages polaires apparaissent, brillants et immaculés, quoi sur une portion plus fine que lors de ma dernière observation. Le haut-plateau volcanique de Syrtis Major Planum s’offre en spectacle, sombre et bien démarqué de la plaine d’Utopia. Je pense que l’oculaire me présente à l’est la région jusqu’à Noachis Terra et à l’ouest jusqu’à Promethei Terra. Si je ne distingue pas le mont Elysium ni le cratère d’Isidis (et encore moins Jezero, ni le rover Perseverence 😁 ), il me semble avoir vu le bassin d’Hellas Planitia au sud des hauts-plateaux et large de plus de 2 000 Km. Histoire de voyager « bien comme il faut », je me mets une petite musique planante (à savoir le classique « Oxygène », album original de 76, pas le remasterisé) et reste l’œil collé à l’oculaire (Artesky 8mm Super ED en l’occurrence). Au bout d’un moment, plutôt que de forcer à fermer mon œil droit, j’essaye de le laisser ouvert. Le résultat est surprenant ! J’y vois toujours très bien la planète, mais aussi le mur de ma terrasse, et mon cerveau superpose bien les deux images pour ainsi me proposer la planète rouge, bien nette et précise, se déplaçant devant mon mur en pierres 😊 L’album se termine, il est autour de 23h30. J’ai passé une bonne heure à l’oculaire sur Mars et ai l’impression de la connaître un peu mieux. Les bâillements commencent gentiment à être de plus en plus rapprochés mais avant d’aller me coucher, pourquoi ne pas pointer M42, droit devant moi, juste pour voir ce que le Mak 150 me permet de voir. J’enlève l’adaptateur 1,25’’ et la lentille divergente de mon Hyperion 13mm pour avoir un 26mm 68° en coulant 2’’, pour un grossissement de 70x environ. Et là wow !! 🤩 malgré la pollution lumineuse depuis ma terrasse, la fameuse nébuleuse d’Orion se dévoile à moi dans une forme très allongée et gracieuse. On dirait un arc ou alors un oiseau qui étend ses ailes. Superbe !! tout ne rentre pas dans le champ et la finesse des détails dans les volutes est saisissante. Les trois étoiles du cœur sont parfaitement ponctuelles et définies. Quel spectacle !! Vivement la prochaine sortir hors de la pollution pour en profiter comme il se doit. Un bref coup d’œil à la galaxie d’Andromède avant d’aller dormir : c’est bon, elle est toujours là, tout va bien 😊 Minuit passé, l’heure de ranger et d’aller ronfler.
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  24. J'ai commandé un nouveau filtre bleu ; en attendant la livraison, j'ai nettoyé l'ancien avec du liquide vaisselle puis de l'alcool médical. Je n'ai pas réussi à tout enlever car je ne voulais pas risquer de rayer le filtre, mais le résultat est acceptable. Test ce matin de la lunette LUNT 80/560 avec le filtre propre : malgré un peu de turbulence, la différence en visuel est flagrante ; à présent les filaments et les protubérances se distinguent nettement. J'ai fait des vidéos de 30s avec une caméra ASI 120 MM sans aucun filtre supplémentaire (poses de 0,8 ms à gain 0, 5% des images retenues pour l'empilement). C'est mieux qu'avant mais je pensais avoir plus de contraste. Le pressure-tuner a toujours peu d'effet. Au passage la déconvolution Richardson-Lucy dans le logiciel ImPPG est vraiment performante sur le Soleil. Il faut cependant jouer sur les courbes pour faire ressortir les protubérances. Voici un assemblage de 4 images prises avec mon ASI 462 MC (couleur) : 2 pour le disque, 2 pour la couronne. C'est un début...
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  25. +1 mais je ne sais s'il préfèrera finalement gagner un peu de champs ou non par rapport à son artesky. +- 60 en planétaire, c'est chouette, mais avec un suivi, c'est mieux. Si c'est en mono de sûr, sans prioriser au départ le budget sur du suivi, et bel et bien pour un oculaire de qualité, le xw7 à ce f/d semble également bien indiqué. Mais c'est 70 degrès, pas 80. https://www.telescopes-et-accessoires.fr/oculaire-pentax-xw-7mm-c2x30317259 https://www.loisirsplaisirs.com/oculaire-pentax-xw/3984-oculaire-pentax-xw-7-mm.html https://www.maison-astronomie.com/fr/oculaires/7602-oculaire-pentax-xw-7-en-70.html
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  26. Et les travailleurs qui rentrent du boulot à bicyclette à deux heures du mat y avez vous pensés? (passque moi, à la même heure dans la même rue, quand je rentre de mon spot d'astro préféré, je les vois pas les cyclistes quand les rues sont pas éclairées...
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  27. bon, l'objectif est commandé via le lien cité plus haut et devrait arriver demain (les nuages aussi). entre deux j'ai trouvé un site avec un comparatif à f2 f2.4 et f2.8. Les différences entre f2 et f2.8 ne sautent pas aux yeux à part les 18 aigrettes (sur les étoiles brillantes) résultant des 9 lames du diaphragme qui n'apparaissent pas à pleine ouverture. encore merci à vous pour vos indications, j'espère pouvoir revenir bientôt avec de belles images ...
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  28. Je n'ai jamais cru à la véracité du bulletin de mon miroir 😉 Même s'il ne promet "que" lambda/7 et un tout petit strehl de 0,988 😄
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  29. Avez-vous vu la nouvelle campagne Enedis : Nouvelle France électrique ? Il s'agit de spot télé qui encourage les collectivités à couper l'éclairage public ! Malheureusement, je ne trouve pas la vidéo à vous mettre... Il faut la voir. Perso, c'est sur France 2 que je l'ai vu au moins 3 fois en deux jours.
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  30. Salut Geoffrey L'ES 6.7mm82 (pas le 6.5mm), je l'ai utilisé plusieurs fois sur mes SCT à f10 et sur ma 80ed à f7, il était vraiment parfait à mon goût. Très bon piqué d'image, et une belle neutralité en lunaire. En revanche, son tirage d'anneau n'est pas très long, cela peut-être une contrainte. Est-ce que ça vaut le coup ? oui tu gagneras mais c'est à toi de savoir si cela peut suffir. A 2XD, il sera principalement utilisé - en planétaire du moins - sur la lune, voire sur Saturne et Mars les très bons soirs. Sur Jupiter, j'en suis moins certain. Il ne sortirait donc pas si souvent je pense, par rapport au budget relativement conséquent que tu souhaites lui allouer. tu penses à un 5.5mm à f15 ? Les mak sont surement de bons tubes mais ne révolutionnent pas non plus les observations je pense. Je ne les pratique pas. *NB en HS : Pour du planétaire, deux orthos basiques à focale bien choisie et une bino t'offriraient bien plus, pour guère plus cher (voire pareil) que ton budget dispo. A envisager très sérieusement si tu aimes le planétaire. Resterait la problématique du suivi que je corrigerais peut-être en premier au regard de ton tube, en gardant ton 8mm dans un premier temps.
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  31. Pourquoi acheter un télescope qui film ce que l'on pourrait voir avec une acquisition photo De plus, impossible de regarder en vrai avec nos yeux conclusion pour moi, même à ce prix ce télescope c'est du gadget il n'y a plus de plaisir de découverte des objets du ciel
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  32. A cet âge, le plus important n'est pas l'instrument mais celui qui sait s'en servir au profit de l'enfant.
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  33. Bonjour. Question délicate. Je ne peut que t'invité, dans un premier temps, l'aller faire un tour dans un club, histoire de découvrir les différent instruments et de vous familiarisé avec la vue que l'on peut obtenir. En effet, la vue dans un oculaire est très différente de celles des photos d'internet.
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  34. C’est exact, tu as tout compris et aussi une courroie industrielle qui apporte encore un plus significatif : le bruit est très réduit et la fiabilité augmentée
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  35. Contrairement à ce que je croyais, la version CS2 "gratuite" est encore disponible mais je crois comprendre qu'elle est réservée aux anciens clients.. clic. PS n'est plus proposé que par abonnement maintenant, 12 à 24 €/mois. Il y a un PS like en ligne, Photopea. Il y a la fonctionnalité des couleurs sélectives qui ne sont hélas pas dans Gimp. Et si tu patientes un peu, Starnet2 (pour faire des starless) sera intégré à la prochaine version de Siril.
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  36. Bonjour, De quelle annonce s'agit-il ?! Salut ! 700 mm ... De focale ? Ou de diamètre ?! C'est pas tout à fait le même budget ! Bon dimanche !
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  37. Aytré en Charente Maritime http://aytre.fr/actualite/eclairage-public-allongement-de-lextinction-des-20h/
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  38. Monture avec capacité de 10-15kg (type Skywatcher HEQ5) et lunette 72ED ou 80ED. Même en neuf, ça laissera un peu de place à quelques petits accessoires. Les indispensables étant la monture, le tube (de l'objectif d’appareil photo au plus gros télescope), un capteur (APN, APN défiltré, caméra refroidie), l'alimentation électrique, et selon moi : un masque de Bahtinov et une bande chauffante anti buée. Pas de contre-indication à commencer de zéro, avec la panoplie complète (grosse monture, gros télescope, autoguidage, ...). Mais dans ce cas, il faut avoir conscience que de nombreuses nuits seront consacrées à l'apprentissage et aux essais/erreurs. Ca a été ma méthode. Mais, ça peut être plus judicieux de commencer "simple" pour obtenir des résultats satisfaisants rapidement qui donneront envie de monter en gamme et en complexité, à un rythme plus facile.
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  39. https://fne-idf.fr/PDF/Divers/VF FNE pollution lumineuse.pdf (1).pdf
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  40. Je vais essayer ce coef AB 0.95. Première de l’année faut pas exagérer non plus. ;-) Mais première Juju avec camera couleur et mono et winJUPOS en prenant son temps. Je suis un semi nomade de jardin. Avec un poste fixe, je serait peut-être un peu plus productif. Mars sera peut-être ma prochaine cible d'ici la fin de l’année.
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  41. Bravo très belle 🙂
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  42. Ces gens là essaient de faire du profit facile quelles que soient les circonstances . C'est dans leur nature.
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  43. Merci pour l'info j'ai un piquet pété sur la clôture de mes chèvres... donc je vais acheter le modèle ED
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  44. Quedalle, la lune a toujours l'air pareille. Vous dites que c'est le puissant que vous avez ? Incitation à l'oisiveté... Automne En solde : feta de Lesbos Produits anti-âge Le chat de Pavlov Attends un peu... Il a dit que deux coups secs, ça voulait dire "donne du mou" et trois "remonte-moi", mais il n'a rien dit quant à une longue traction continue Gravez quelque chose qui fait peur, qu'ils disaient
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  45. Merci ! Commentaire sur une des chaînes YouTube de diffusion du lancement : « Vous y croyez vraiment à tout ça ? Ils dépensent une fortune pour cette fusée mais ne sont même pas capables de louer un hélicoptère ou un avion pour suivre et filmer la fusée dans l’espace. Tout ce qu’ils montrent depuis qu’elle est passée au dessus des nuages, ce sont des images de synthèse et des gens derrière un bureau. »
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  46. Bonjour, Je n'ai jamais eu de 250, mais j'ai un c8 et un 300. Comme le dit bruno, entre les 2, il y a une grosse différence. Sinon, le omegon est un dobson gso, celui-ci: https://www.astroshop.de/fr/telescopes/telescope-dobson-gso-n-300-1500-dob/p,45524 , rebadgé par omegon (omegon ne gabrique pas, tout comme kepler, perl, ....). Les critiques sur omegon sont souvent dirigées vers la marque nimax à laquelle appartient astroshop, optique pro, omegon, ... qui a des pratiques commerciales agressives et qui vends certains instruments d'initiation de très mauvaise qualité avec des termes qui embrouille un éventuel acheteur (exemple: sa monture eq3, qui n'a rien a voir avec la gamme eq 3-2 de skywatcher). Mais sinon, pour un 300, on passe sur du materiel de qualité correcte normalement.
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  47. Pour le C8, je soupçonnerais plutôt une déception due à ce que les objets du ciel profond restent des taches floues difficiles à détailler. Les critiques sur Omegon, j'ai toujours trouvé qu'elles étaient simplistes car ils ont plusieurs gammes. J'ai déjà vu dans un Dobson 200 mm de la gamme Advanced et c'était tout à fait correct. S'il n'y a pas de souci d'encombrement et de transport, le 300 mm montrera sensiblement plus de choses qu'un 250 mm de même qualité et nettement plus qu'un 200 mm (je sais, je suis passé d'un 200 mm à un 300 mm et jamais je ne pourrai revenir en arrière). Mais est-ce que ça te satisfera ? J'en suis certain si tu pointes des amas globulaires, moins sur les autres types d'objets.
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  48. Une nouvelle Jupiter prise avec l'astrowl box, la même que précédemment mais avec reequilibrage des couleurs. On distingue la tache rouge en bordure du globe en bas a gauche.
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