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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/22/22 dans toutes les zones

  1. Hello, Un peu de temps pour traiter des images de la semaine dernière. Avant d'avoir shooté le dernier quartier lunaire, direction plus à l'Ouest pour choper Mars qui partait doucement se coucher. Même si elle avait passé le zénith depuis plusieurs heures, ça reste déjà bien sympa, surement ma plus belle session de cette année martienne 2022 (pour le moment...) SCT Meade 10" 254/2500mm RaF ADC ZWO Barlow Antares 1.5x Player One Neptune-C II IMX 464 Traitement Astraimage.
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  2. Belle tache solaire et zones actives survol solaire avec la lunette 150 mm halpha en double étalon PST et camera DMK 41
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  3. Bonjour, je prépare un petit article pour les membres du clubcassini de Versailles, et je voulais vous en faire profiter en primeur. Je pense que ça peut être utile à plein de débutants, ici. Peut-être mériterait il d'être épinglé? je ne sais pas. Je laisse les administrateurs juger En tout cas, n'hésitez pas à compléter, commenter, m'insulter... ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- A l’approche des fêtes de noël, vous souhaitez peut être acheter de quoi observer le ciel, mais vous êtes complètement perdus dans la jungle des prix et le jargon des astronomes amateurs. Alors cet article est fait pour vous. Il a pour but de présenter le plus objectivement possible les avantages et inconvénients des formules optiques les plus populaires, et de discuter des options de vous pouvez avoir à l'achat d'un tube optique neuf ou d'occasion et qui justifient des prix différents d'un produit à l'autre pourtant d'apparence similaires. Je marquerai en gras les mots importants que vous retrouverez. Je traiterai également le sujet des montures car on s'y perd assez vite lorsque l'on est débutant: Equatoriale? azimutale? alt-azimutale? Dobson? Goto? Ca peut vite être compliqué et on peut rapidement être débordés et j'expliquerai sommairement leur fonctionnement et leur type d'emploi. Si vous êtes complètement débutant et ne savez pas trop vers quoi vous orienter vous pouvez commencer par ce test: https://www.webastro.net/Pages/choix_instrument_astronomie/ Comme je ne suis sponsorisé par personne (pourtant j’aimerai bien), j’essaierai de ne donner aucune marque. Aussi, je ne rentrerai pas dans le débat du pays de fabrication. Il a de très bons opticiens partout dans le monde, même en Chine! D'ailleurs le premier fabricant mondial de télescope et de lunettes est chinois et il tire très honorablement son épingle du jeu sur le plan qualité et finition. Mais il est évident que ces produits d’Extrême Orient restent globalement moins chers que les produits européens, (même si ces dernières années, les coûts d’importation inversent doucement la tendance). J'aborderai les sujets suivants: Les montures Le réfracteur ou Lunette Le réflecteur ou télescope de Newton Les Catadrioptiques (Schmidt Cassegrain et Maksutov Cassegrain) Les autres formules optiques telles que Richtey Chrétien, Cassegrain, Dall Kirkham, Rowe Ackermann ne seront pas abordées car hors scope du débutant et ce sont des tubes à mon sens tout à fait spécifiques. (Cela fera certainement l'objet d'un autre article). Préambule: Avant de rentrer dans le vif du sujet, voici deux rappels fondamentaux pour comprendre tout le reste: 1) un instrument est caractérisé par trois éléments: sa formule optique (c'est l'objet de l'article) son diamètre D (en mm): plus celui ci sera important, plus vous aurez de résolution sur les planètes et mieux vous verrez les objets du ciel profond. C'est LE paramètre pour celui qui veut faire du visuel. sa focale F (en mm): qui détermine la capacité d'un instrument à grossir l'image. Plus la focale est grande, plus la possibilité de grossir l'image est importante. En visuel on privilégie les gros diamètres afin d'avoir des images plus lumineuses et avoir plus de résolution sur les planètes. En astrophotographie, on caractérise l'instrument par son rapport F/D ou ouverture. Plus ce rapport est faible (4 ou 5 typiquement), plus il sera facile d'imager le ciel profond. Si le rapport est élevé (10 à 15), il sera plus facile de faire de l'imagerie planétaire. Que ce soit pour les lentilles ou pour les miroirs, le diamètre est l'élément le plus déterminant du prix d'un instrument. On m'a dit récemment que le prix était proportionnel à la surface S de l'optique (Pour Rappel S=π*(D/2)2 ). Je ne suis pas allé vérifier si c'était 100% exact, mais je crois qu'on est pas loin du compte! 2) Pour fonctionner correctement, il ne doit pas y avoir d'écart de température entre l'intérieur du tube et l'extérieur. Tout écart entraîne des problèmes, de turbulence, d'images floues, de buée... Donc, il est important que les instruments soient mis en température, avant d'obtenir les conditions idéales à l'observation. Les montures La monture azimutale: La monture azimutale est la monture la plus simple dans sa conception qui puisse exister. Elle s'apparente à un trépied photo amélioré. Elle dispose de deux axes: horizontal et vertical. Il existe des variantes avec des flexibles qui permettent des mouvements fins, voire même des mouvements particulièrement fin contrôlés par un système de courroies. C'est un produit très intuitif et c'est pourquoi elle équipe de nombreux instruments de débutant. C'est la monture idéale pour des enfants. Avantages: prix, facilité d'utilisation parfaite pour les enfants Inconvénients: vibrations, pas de motorisation, impossibilité de faire de la photo La monture Alt-azimutale ou Alt-Az ou encore la monture GOTO C'est une monture azimutale comme ci-dessus mais motorisée avec un système GOTO. Le GOTO est une fonction informatisée de la monture qui permet après avoir pointé une, deux ou trois étoiles (étalonnage) et renseigné la date et les coordonnées géographiques du lieu d'observation de retrouver tous les objets courants du ciel profond ou planétaires en quelques appuis sur les touches d'une raquette de commande ou de son téléphone. C'est très pratique pour trouver des objets et dans certains cas, les raquettes peuvent donner des informations sur les objets que l'on observe. Les montures GOTO peuvent même proposer une fonction découverte qui permet de pointer successivement des objets du ciel opportuns à pointer au moment de l'observation. La précision de pointage de ce type de monture dépend de la qualité de l'étalonnage et de la qualité de la monture. Cela marche plutôt bien sous réserve de ne pas utiliser de trop longue focale. Avantages : prix contenu encombrement, poids, simple d'utilisation, motorisation suffisante pour l'imagerie planétaire, idéal pour les tubes de poids modéré Inconvénients: précision du pointage, vibrations, insuffisant pour l'imagerie du ciel profond La monture Dobson C'est une monture azimutale adaptée à un type de télescope: le télescope de Newton qui sera abordé plus tard dans cet article. Ce qu'il faut retenir c'est son histoire qui date des années 60/70. Monsieur Dobson qui était moine se dit après avoir poli un miroir de 12" depuis un hublot de bateau de la Navy et observé la Lune avec, que tout le monde devrait voir ça. Il crée une organisation: The San Fransisco Sidewalk Astronomers: littéralement les astronomes de trottoirs de San Francisco qui se met à proposer des télescopes à moindre coûts sur des montures simplissimes juste pour le plaisir du visuel. L'idée est de pouvoir disposer de la monture la plus simple pour porter le télescope le plus gros afin de permettre à l'astronome de voir le plus de choses. Depuis quelques années on trouve des solutions de motorisation (table équatoriale, monture Dobson GOTO), ces motorisations ont un coût important voire très important mais permettent aux Dobson de sortir de leur cadre d'utilisation traditionnel: le visuel. Avantages: prix simplicité permet l'imagerie planétaire si la monture est motorisée permet le Visuel Assisté si la monture est motorisée Inconvénients: prix de la motorisation poids et encombrement ne permet pas de faire de la photographie de ciel profond en pose longue La monture équatoriale motorisée C'est la reine des montures pour l'astrophotographe, mais autant le dire tout de suite son prix est important et elle n'est absolument pas justifiée pour du visuel pur (quoique très confortable). Le principe est le suivant: On aligne l'axe de la monture avec l'axe de rotation de la Terre grâce à un viseur polaire (on appelle cela la mise en station), puis on dispose de deux mouvements: La Déclinaison et l'Ascension Droite. Avec ces deux axes de rotation et des cercles gradués, on peut pointer tous les astres visibles lors d'une séance et les retrouver facilement à l'aide d'une simple carte du ciel. Théoriquement si la mise en station est parfaite, il suffit de pointer un astre et de bouger l'axe d'ascension droite de manière régulière pour garder l'objet dans l'oculaire toute la nuit, l'autre axe ne servant presqu'à rien. La motorisation consiste donc juste à un moteur pas à pas qui tourne au rythme de la rotation de la Terre sur l'ascension droite. La motorisation de l'axe de déclinaison n'étant là que pour rattraper les erreurs de mise en station. Ces montures sont extrêmement performantes car elles peuvent être asservies sur une étoile (autoguidage) pour assurer des poses longues en astrophotographie. Le seul défaut qu'elles ont est l'erreur périodique liée à de toutes petites imprécisions de la mécanique de motorisation qui font qu'elles se décalent légèrement périodiquement. Ce défaut est aisément corrigé par l'asservissement évoqué plus haut (autoguidage). Une chose importante à savoir: La charge maximale indiquée par le fabricant est une charge utile pour du visuel pur. Pour pratiquer l'astrophotographie avec une bonne précision de suivi, il est recommandé de diviser systématiquement par 2 cette charge. Ainsi une monture qui annonce pouvoir porter une charge de 13kg sera adaptée pour porter des systèmes photographiques de 7kg environ avec précision. N'espérez pas plus. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles les astrophotographes s'orientent sur des tubes légers de type lunette pour l'astrophotographie. Le prix (et le poids) d'une monture est exponentiellement proportionnel à la charge utile en astrophotographie. Les montures équatoriales sont donc les plus chères. Outre la motorisation, les montures équatoriales proposent aujourd'hui presque toutes le système GOTO évoqué plus haut. Avantages: suivi de la rotation de la Terre permet les poses longues stable et peu de vibrations Inconvénients: prix le poids l'encombrement alignement polaire indispensable (même si ce n'est pas compliqué) mouvement contre intuitif pour les enfants Faisons une première synthèse de ce qui a été dit pour les montures en fonction de cas d'utilisation typiques. Visuel Planétaire Visuel Ciel Profond Astrophotographie Planétaire Astrophotographie Ciel Profond Visuel Assisté Azimutale ** ** * * * Alt-Az *** *** ** * ** Dobson ** ** * * * Dobson GOTO *** *** ** * ** Equatoriale GOTO *** *** *** *** *** La lunette ou télescope réfracteur La lunette est un instrument de choix pour l’astronome amateur, il est simple à utiliser, ne nécessite pas de collimation, et généralement propose de courtes focales pour ceux qui veulent observer/photographier les grands champs stellaires. C'est en effet l'un des instruments préférés des astrophotographes car c'est celui qui procure les images les plus contrastées. L'inconvénient est qu'a diamètre équivalent une bonne lentille est beaucoup plus coûteuse qu'un miroir. La lunette est composée d’un élément de verre (lentille) que la lumière traverse et qui “focalise” le faisceau lumineux jusqu’à l’oculaire, au point focal. Avantages: simplicité d'utilisation peu de réglages images très contrastées poids contenu idéal pour l'imagerie du ciel profond grand ou très grand champs (doublets ou lunettes apochromatiques) peut servir à l'observation de la nature si on s'équipe d'un redresseur terrestre Inconvénients: prix élevés donc diamètre réduit (doublet et lunettes apochromatiques) faible focale ne permettant pas d'aborder la photographie planétaire dans les meilleures conditions La lunette “simple”: Les lois de l’optique et de la diffraction indiquent que le foyer d’une lentille en verre est différent en fonction de la longueur d’onde de la lumière. En d’autres termes, pour un faisceau de lumière blanche qui rentre par la lunette, la composante rouge ne se focalise pas au même endroit que la composante verte ou bleue. Les opticiens appellent ce phénomène l'aberration chromatique. Les premiers prix sont souvent des verres simples et pour de courtes focales c’est un problème puisque l’on n’arrive pas à obtenir une image parfaitement nette dans le rouge et dans le bleu en même temps. Pour de longues focales (F/D 10) le problème est moins gênant car moins prononcé. Historiquement on trouvait donc sur le marché des lunettes rapport F/D proche de 10, aujourd'hui c'est un peu moins vrai et ce chiffre a tendance à ce rapprocher de 7 ou 8. Le doublet, lunette ED Pour compenser l’aberration chromatique, les opticiens ont inventé des formules à deux lentilles dont une est une lentille Extra low Dispersion (ED). Cette lentille, difficile à fabriquer, est coûteuse et peut être de différents types (nous ne rentrerons pas dans le détail mais c'est ici qu'on retrouve le FPL51, FPL53 ou encore FPL55). L’utilisation de ce verre, que l’on appelle verre de Crown (1) associé à un verre plus fin, le verre de Flint (2), permet de diminuer drastiquement les effets de l’aberration chromatique. Généralement seule la composante verte/bleue reste mal corrigée. C'est un instrument idéal pour aborder l'astrophotographie grand champs car relativement peut coûteux et la correction chromatique est suffisante pour commencer à obtenir de belles images. Le doublet fluorite Le doublet fluorite est un doublet comme les autres, c’est juste qu’il utilise un verre de Crown avec la plus faible dispersion chromatique possible. Ce verre n’en est pas un en réalité, il s’agit d’un cristal particulièrement difficile à travailler: La fluorite (ou fluorine) qui est composée de fluorure de calcium CaF2. Les fabricants n'utilisent pas le cristal naturel mais ils l'élèvent (oui on dit comme ça) de manière industrielle pour le travailler. Les verres au fluorite sont un peu plus fragiles que les verres "ordinaires" et sont notamment sensibles aux chocs thermiques. On trouve dans cette catégorie principalement des lunettes de fabrication japonaise (il y a plusieurs marques). Mais l'excellente qualité de fabrication japonaise associée et l'élément coûteux qu’est la fluorite en font des lunettes très chères, mais presque totalement exemptes d’aberration chromatique. Le triplet, ou lunette apochromatique ou APO Heureusement il existe une solution moins coûteuse que l’emploi de la fluorine pour réduire l’aberration chromatique: L’emploi de trois lentilles dans ce qu’on appelle le triplet ou lunette apochromatique. Il n’est pas rare qu’entre les 3 lentilles faites de matériaux différents on trouve des liquides avec des propriétés optiques particulières dans le but de ramener le foyer de toutes les longueurs d’onde au même endroit. Il en résulte des images très nettes. Ce sont les lunettes les plus chères, mais qui procurent avec les doublets fluorites les meilleures images. Toutefois elles sont plus lourdes que les doublets fluorites à cause de l’emploi de 3 éléments de verre. Les variantes: quadruplet et quintuplet Le chromatisme n’est pas le seul défaut des lunettes. Les lunettes souffrent d’un autre mal: le champ n’est plan que sur une portion de l’axe optique, les astronomes appellent cela la courbure de champs. Alors que cela ne pose pratiquement pas de problème à l’observateur visuel, le photographe peut se retrouver, s’il utilise un grand capteur, avec des étoiles étirées dans les coins. Pour corriger cela, il est possible d’utiliser un correcteur de champs qui est lui-même un doublet. Sur un quadruplet, le correcteur de champs est directement intégré dans le porte oculaire d’un doublet. Il y a alors 4 lentilles au total (Quadruplet). Pour un quintuplet, il est intégré dans le porte oculaire d’un triplet. Évidemment cela a un coût certain. Ces solutions sont essentiellement dédiées aux astrophotographes qui peuvent choisir d’équiper à posteriori leur doublet ou triplet, mais qui se trouvent alors à devoir régler avec un très grande précision la distance du capteur de leur APN/caméra à l'arrière du correcteur pour obtenir l’image souhaitée, c'est le réglage du Back Focus. Sur un quadruplet ou un quintuplet, cette distance est préréglée et optimisée. L'image ci-dessous montre l'emplacement dans le porte oculaire de l'élément correcteur de champs qui est un petit doublet en lui même Le carbone Lorsqu'on observe, il est fréquent que la température change au cours de la nuit. La plupart des tubes sont en aluminium. Ce matériau a un coefficient de dilatation important. Donc lorsque la température change de plus de 5°C, la mise au point change aussi. Pour un observateur visuel, cela n’a pas beaucoup d’importance, mais pour un astrophotographe qui vise la même cible toute une nuit sans toucher sa mise au point, les photos prises en fin de séance risquent bien de ne plus être au point du tout. Il est possible actuellement de corriger ce problème avec des moteurs de mise au point qui détectent les changements de température et corrigent tout seul la mise au point, mais l’une des solutions les plus efficaces reste encore d’utiliser le carbone en lieu et place de l'aluminium pour le corps du tube. Le carbone a un coefficient de dilatation beaucoup plus faible que l’aluminium (10 fois plus faible environ) et les corrections à apporter à la mise au point sont négligeables. Les autres intérêts du carbone sont la rigidité (si le tube est long) et la légèreté permettant de soulager la monture. Évidemment le carbone coûte bien plus cher que l’aluminium. La mise au point Un autre point important est la mise au point et le porte oculaire en particulier. Il est souvent proposé des mises au point démultipliées au 1:10 ou 1:7 qui permettent de trouver avec plus de précision le point focal de l’instrument. Bien que destiné plutôt aux astrophotographes, je dois admettre que c’est quand même bien pratique aussi en visuel pur. Outre la démultiplication un bon porte oculaire permet aussi de maintenir de lourdes charges sans bouger, tout en pointant au zénith et disposent d'un mécanisme de verrouillage qui ne modifient pas la mise au point. Un porte oculaire peut être constitué d’un rail à crémaillère ou bien d’un dispositif Crayford. Le second est constitué d’une plaque qui roule sur des rouleaux, et est beaucoup plus agréable, précis et souple à utiliser. Enfin d'autres options existent comme la possibilité de visser un filtre, ou de l’insérer dans le chemin optique, de faire tourner le porte oculaire autour de l’axe optique (bien pratique pour le cadrage). Outre le mécanisme de mise au point, on trouve des portes oculaires au coulant 31,75mm (1,25”) dédiés à porter des oculaires de même taille exclusivement et des portes oculaires au format 50,80mm (2”) avec une bague de réduction pour pouvoir utiliser des oculaires 1,25” et 2”. Ces derniers sont également intéressants en photographie car permettent généralement d’avoir des champs plus larges (sous réserve d’utiliser le capteur ad’hoc). La plupart des fournisseurs proposent actuellement des portes oculaires 2” de série, voire même plus gros, à part quelques marques notamment japonaises qui équipent leur lunette avec des portes oculaires de série en 31,75mm. C’est donc ainsi que l’on peut trouver des lunettes de 80mm à 100€ seulement ou à 1500€, voire plus. A cela peuvent s’ajouter des accessoires additionnels (collier, chercheur, masque de Bathinov, oculaires, renvois coudés) qui en fonction de leur qualité viendront également gonfler la note. Le télescope de newton Le Newton est un autre télescope de choix, il est peu coûteux par rapport à une lunette et propose des diamètres plus importants. C’est un télescope globalement plus polyvalent que la lunette, parfaitement utilisable par un débutant, mais qui nécessite d'être collimaté régulièrement. Les néophytes s'en font souvent une montagne mais la collimation est une opération très simple qui peut se faire de nuit sur une étoile ou de jour avec un laser de collimation et qui consiste à aligner tous les éléments sur l'axe optique à l'aide de 3 vis sur le miroir secondaire et de 3 ou 6 vis sur le miroir secondaire (Il existe de très bons tutoriaux pour cette opération). On peut l’utiliser sur une monture équatoriale ou sur une monture de type Dobson, l'intérêt étant alors d'acheter un plus gros diamètre pour le même prix. Il faut toutefois bien choisir son tube afin de pouvoir profiter au maximum de son instrument. Le télescope de Newton est constitué d’un miroir primaire de forme sphérique ou parabolique qui capte la lumière et qui fait son diamètre. Cet élément réflecteur focalise le flux lumineux en direction d’un miroir secondaire plan, incliné vers le porte oculaire. Comme le tube est ouvert, sa mise en température est plus rapide que sur une lunette ou un Schmidt Cassegrain. L'un des seuls défaut optique est la coma qui déforme les images dans les coins. Ce n'est pas vraiment gênant en visuel, mais ça l'est en astrophotographie. C'est pourquoi l'emploi d'un correcteur de coma qui se place sur le porte oculaire est indispensable en astrophotographie. Avantages: prix diamètre important polyvalence mise en température rapide Inconvénients: collimation encombrement poids coma La forme du miroir Les miroirs les plus faciles à fabriquer, et donc les moins chers, sont les miroirs sphériques. Seulement le problème des miroirs sphériques c’est qu'ils ne concentrent pas la lumière en un point focal unique Pour des instruments de petits diamètres (jusqu'à 130mm) c’est parfaitement acceptable puisque la parabole ou la sphère sont confondus. Toutefois pour les diamètres supérieurs à 130mm les miroirs sphériques ne procurent pas de bonnes images. Il faut utiliser des miroirs paraboliques, plus compliqués à polir. Plus le diamètre est grand, plus la parabolisation est importante et plus elle est difficile à obtenir. Ce qui explique en partie le coût des miroirs de gros diamètres. Au-delà de la forme générale, les miroirs industriels sont parfois “sous-parabolisés” ou “sur-parabolisés”, avec des bords rabattus ou de grosses bosses...Ces anomalies ne sont pas visibles à l'œil nu, mais visibles lorsqu'on réalise un test de Foucault. Certains vendeurs contrôlent ces miroirs avant de les expédier chez le client et fournissent un rapport de test. Cela a un coût certain, mais c’est important puisque c’est la garantie que votre miroir est de bonne qualité. Rassurez-vous toutefois, les miroirs industriels ont aujourd’hui un processus de fabrication et de polissage bien maîtrisé et il est particulièrement rare aujourd’hui de trouver des miroirs avec de grosses anomalies. L’état de surface Nous venons d’évoquer la forme générale du miroir, abordons à présent son état de surface. Comprenons: La façon dont le miroir est lisse. Cela se passe à présent au niveau microscopique. Lord Rayleigh a dit qu’une image de diffraction était obtenue si et seulement si l’objectif d’une lunette ou d’un télescope produit des sphères d’onde lumineuse espacées au maximum de Lambda/4. Lambda étant la longueur d’onde de la lumière incidente. 560nm pour la couleur jaune par exemple. L’image de diffraction garantit la résolution de votre instrument. Ce critère n’est pas le même pour le rouge que pour le bleu. Pour comprendre ce critère, j’utilise un petit schéma tiré de l’excellent site de Serge Bertorello http://serge.bertorello.free.fr/. La figure ci-dessus illustre le front d’onde traversant un objectif ayant un défaut de Lambda/4. On voit clairement que le front d’onde résultant est altéré, mais pas suffisamment pour empêcher l’image de diffraction de se produire. Si le défaut sur la lentille avait été plus important que Lambda/4, l’image de diffraction de l’étoile serait altérée. Seulement voilà: Si on prend la longueur d’onde du jaune (valeur communément admise pour ce critère), la valeur est de 560nm. Ce qui revient à dire que le plus petit défaut doit être inférieur à 140nm. Autant dire que c’est infime. Et puis ce critère est valable pour le jaune, mais le bleu profond a une longueur d’onde de 450nm. Le critère tombe donc à 112nm. Un télescope aura donc des performances moindres dans le bleu que dans le jaune. Lorsque l’on achète un miroir industriel, ce dernier est garantit "diffraction limited”, ce qui signifie que son fabricant garantit que l’image de diffraction est obtenue. C’est un critère assez relatif finalement puisque votre miroir peut aussi bien être à lambda/4 que lambda/16. Mais c'est un minimum. Pour obtenir de meilleures images, il est recommandé d'acquérir des miroirs avec une meilleure finition de leur état de surface. Vous l’avez compris. 140 nm c’est très très peu (800 fois plus fin qu’un cheveu), donc obtenir mieux que cela revient bien évidemment plus cher. Mais c’est important. Certains fabricants proposent l’option, d’autres non et c’est pourquoi les amateurs avertis se tournent vers des artisans pour l’obtention d’un miroir de qualité. L’image ci-dessous tirée du site d’un fabricant de télescope illustre la différence sur Saturne entre des miroirs polis à Lambda/4, Lambda/6, Lambda/8 et Lambda/10. Personnellement, je trouve cette illustration du constructeur un peu exagérée, mais l’idée est là quand même. Le traitement de surface et réflectivité Dans un télescope de newton, il y a deux miroirs. La réflectivité courante d’un miroir industriel est d’environ 93%. Ceci signifie que 93% de la lumière qui atteint le miroir est réfléchie, le reste est perdu. Or sur un télescope de newton, nous avons 2 miroirs. Donc la réflectivité totale (on peut parler de rendement) est de 86%. Sur des miroirs industriels on perd donc 14% de la lumière. Ce n’est pas rien! Certaines optiques sont traitées et aluminées avec des réflectivités à 96%, voire 99% dans de rares cas. 96% est une réflectivité courante pour des miroirs artisanaux ou industriels de bonne qualité. Le rendement passe alors à 92%. C’est nettement mieux, mais c’est plus cher. Évidemment. Ensuite, il faut savoir que l’aluminure a une durée de vie allant de 10 à 30 ans. Certains traitements de surface permettent de garder une aluminure avec un taux de réflectivité optimal plus longtemps. On trouve le traitement au SiO2 qui est un standard même industriel, mais aussi ZrO2, ou des traitements hydrophobes rendant les miroirs moins sensibles à la corrosion. Le barillet Un miroir c’est lourd, et plus le diamètre est important, plus il sera lourd. Ce miroir sera posé dans le fond du télescope dans une cellule qui permet grâce à un système de vis de le collimater. On appelle cette cellule, le barillet. Le télescope repose dans cette cellule sur trois points de contact. C’est un barillet à 3 points. Pour des miroirs de moins de 200mm qui ont une épaisseur de 30mm environ, cela ne pose “pas trop” de problème. Pour les miroirs plus grands, malheureusement pour des raisons évidentes de poids, l’épaisseur n’est pas forcément plus grande. Le miroir peut alors plier littéralement sous son propre poids, à l’échelle microscopique tout de même. Mais souvenez vous plus haut lorsque nous évoquions l’état de surface et les 140nm pour atteindre le Lambda/4. Eh bien sachez que malheureusement pour des miroirs de plus de 300mm s’ils font 30mm d’épaisseur, ces miroirs se plient dans des proportions proches des 35nm. Il est inutile donc d’avoir un miroir poli à Lambda/20 si on dispose d’un tel barillet! Voici un exemple d’un barillet 3 points. Quelle solution? Multiplier le nombre de points de contact du miroir dans son barillet en les positionnant astucieusement sous le miroir (pas sur les bords). En procédant ainsi, on diminue l’effet du poids du miroir sur sa déformation. Un classique dans le commerce c’est le barillet neuf points: On peut même pousser plus loin en utilisant 18 points de contact: Il existe un logiciel qui permet de dimensionner un barillet en fonction de la taille, l’épaisseur et le matériau d’un miroir. Ce logiciel s’appelle PLOP et simule la déformation du miroir et la quantifie. L’idée n’est pas de l’utiliser pour savoir quel télescope acheter, mais juste de vous illustrer la différence entre plusieurs types de barillets grâce à un simulation trouvée dans une discussion du forum https://www.webastro.net Les valeurs sont données en mm et il est intéressant de regarder la valeur du P/V (Peak to Valley). C’est l’écart maximal entre le creux et le sommet de la déformation. Pour le barillet 3 points, on est à 2.85x10e-5mm soit 28.5nm ce qui correspond à lambda/16. C’est déjà bien. Mais si le miroir est poli à Lambda/20 c’est insuffisant! Un barillet 6 points sera nettement plus adapté. Notez aussi comment finalement le barillet 9 points semble moins bien faire le travail que le barillet 6 points… Bref, tout est histoire de conception. Mais un bon barillet est important pour celui qui souhaite tirer le meilleur de son miroir. Le ventilateur de mise en température Sous le barillet on trouve parfois un petit ventilateur qui aide à la mise en température du télescope. Il est dit qu’il permet de diminuer de moitié le temps de mise en température. Je suis sceptique. Pour qu’il soit efficace, il faut que la circulation d’air soit possible. Généralement c’est un faible surcoût, et si le télescope que l’on achète dispose d’un barillet neuf points, il y a de fortes chances pour que le ventilateur soit livré avec. Le carbone Comme pour une lunette, il est possible d’obtenir un corps en carbone. A mon sens c’est encore plus important que pour une lunette. Les raisons sont les mêmes, mais le tube étant drastiquement plus long, la dilatation totale d’un tube aluminium sera plus grande éloignant alors le primaire du secondaire et changeant la mise au point au cours d’une nuit froide. Le tube carbone sera également plus léger, ce qui est mieux pour la monture et plus rigide permettant d’assurer que quelque soit sa position il ne ploie pas sous le poids de l’oculaire ce qui modifierait la collimation et les réglages. C’est assez cher par contre (comme toujours). La mise au point et le porte oculaire On retrouve les mêmes arguments que pour une lunette. Le choix d’un porte oculaire se fait sur les oculaires qu’il peut accepter (1,25” ou 2”), sur le mécanisme (à crémaillère ou Crayford) sur le poids qu’il peut soutenir, sur la présence ou non d’une démultiplication, etc… D’autres éléments peuvent entrer en compte (les anneaux, une araignée en carbone, une platine de fixation Losmandy ou Vixen…) Comme pour les lunettes, on y ajoutera des accessoires (oculaires, laser de collimation, bande chauffante pour secondaire, vis de réglage du secondaire moletées…) qui feront qu’un télescope de newton de 200/800 peut aussi bien coûter 650€ que 1500€ voire plus. Le Catadrioptique La définition selon wikipedia du mot objectif catadrioptique est que c'est un objectif qui utilise à la fois des lentilles et des miroirs. On combine donc le meilleur des deux mondes (simplicité d'emploi, faible encombrement, polyvalence) avec le pire des deux mondes (pauvre performance dans le bleu, poids). Ils permettent en revanche d'atteindre de très longues focales ce qui les rends particulièrement intéressants pour l'observation et l'imagerie lunaire ou planétaire. Il existe de nombreuse formules optiques mais je n'en présenterai que deux qui sont les plus couramment utilisées et les plus démocratisées. Le Schmidt Cassegrain (SCT) Les rayons traversent une lame en verre que l'on appelle lame de Schmidt, et atteignent un miroir sphérique (voir dans la section du newton la différence entre le miroir sphérique et parabolique), sont reflétés vers l'avant du tube jusqu'au miroir secondaire convexe et de forme sphérique aussi. L'association des ces deux miroirs, multiplie la focale totale de l'instrument. Comme le miroir primaire est sphérique il est important de corriger en amont, c'est le rôle de la lame de Schmidt qui a une forme très singulière. L'image ci-dessous illustre bien son rôle. Les principaux inconvénients de ces tubes sont la durée de mise en température, comme le tube est fermé, il peut être difficile d'évacuer l'air chaud (il existe des systèmes avec des ventilateurs), et la buée plus ou moins liée d'ailleurs au premier problème. Ces tubes prennent très rapidement la buée dans des conditions d'humidité moyenne. C'est pourquoi il est indispensable d'associé au moins un pare buée souple voire une bande chauffante. Ces tubes très populaires grâce à leur bonne portabilité et polyvalence souffrent de quelques défaut optiques dont la coma (comme le newton) et d'un champ qui n'est pas parfaitement plan. Les deux principaux fabricants de ces tubes ont des solutions pour ces deux problèmes: l'insertion tout les quadruplets et quintuplets évoqués plus haut d'un élément correcteurs qui aplanit le champs et supprime la coma. C'est absolument redoutable mais c'est très cher. Il existe comme pour les newton et les lunettes des variantes avec un corps en carbone qui apportent les même avantages, mais qui gonflent les prix. L'un des autres problèmes du Schmidt Cassegrain est la taille du miroir secondaire qui engendre une obstruction du tube d'environ 34%, ce qui est conséquent. Un optique obstruée ne réduit pas énormément les performances en ciel profond car la surface perdue est faible, mais diminue de manière assez conséquente le contraste, notamment sur les planètes. Cette aberration s'appelle le sphérochromatisme. En outre, La collimation est particulièrement importante pour ces télescopes et est malheureusement trop souvent négligée. Elle s'effectue grâce à trois vis sur le miroir secondaire. A cause de la sphéricité de celui-ci l'opération bien que pas vraiment compliquée doit être plus précise que sur un newton. Alors que le huitième de tour est suffisant sur le télescope de Newton, ici on doit être deux fois plus précis. Enfin pour la mise au point, il est nécessaire d'agir sur un vis sans fin à l'extérieur du tube qui fait coulisser l'ensemble de miroir primaire vers l'avant ou vers l'arrière. A cause du jeu de construction, le déplacement n'est pas parfaitement linéaire et peut changer légèrement et le cadrage de l'objet dans l'oculaire et très légèrement la collimation. C'est le Shifting. Avantages: compacité polyvalence performant en planétaire performant en Astrophotographie du ciel profond (pour les versions améliorées avec le correcteur intégré) Inconvénients: prix (surtout les pour les versions améliorées) la coma (si non amélioré) la courbure de champs (si non amélioré) l'obstruction importante qui génère du sphérochromatisme et une perte de contraste collimation plus délicate que sur un Newton Shifting Le Maksutov Cassegrain (Mak) Le Maksutov Cassegrain, ou Mak pour les intimes est très similaire au Schmidt Cassegrain. Sa différence fondamentale est lié à la lame de fermeture qui n'en est pas une. Il s'agit d'un ménisque de Maksutov. Ce ménisque est sphérique, tout comme le miroir primaire et le miroir secondaire qui est tout simplement une aluminisation d'une partie interne du ménisque. Comme tous les éléments sont sphériques, tout est industrialisable facilement et dans une bonne qualité, surtout le ménisque qui bien que plus lourd qu'une lame de Schmidt est beaucoup moins cher. Il en résulte des instruments de bonne à très bonne qualité (y compris de manière industrielle). Les Maksutov Cassegrain sont plus longs à mettre en température (le ménisque est assez épais), mais il ne produit presque pas de shifting et propose généralement des focales plus élevées que les Schmidt Cassegrain. Il ne souffre ni de coma, ni de chromatisme. Ca en fait l'un des meilleurs instruments pour l'observation et l'imagerie planétaire. En plus, le miroir secondaire étant directement déposé sur le ménisque. Ce télescope ne nécessite presqu'aucune collimation. Enfin l'obstruction étant plus faible, l'image sera plus contrasté que sur un Schmidt Cassegrain. Avantages: prix qualité optique performance en planétaire pas de collimation moins de sphérochromatisme qu'un SCT Inconvénients: poids durée de la mise en température sa longue focale le rend peu adapté à l'imagerie du ciel profond Conclusion Sans avoir été exhaustif, j’espère que ce document vous permet d’y voir un peu plus clair sur les différentes formules optiques et de comprendre un peu mieux le jargon des astronomes. Normalement vous devriez comprendre à présent pourquoi une lunette apochromatique est idéale pour l'astrophotographie grand champs, qu'un Dobson est idéal pour du visuel. Comprendre aussi pourquoi certains ne jurent que par des miroirs artisanaux et que pour l'imagerie planétaire l'idéal est un gros Maksutov. Je me jette dans l'exercice du tableau comparatif, mais attention pour cet exercice je pars du principe que l'on dispose d'un budget de 2000€ environ(c'est purement indicatif). Je donne alors une indication du diamètre accessible pour ce prix et une note sur 5 étoiles. visuel planétaire visuel ciel profond imagerie planétaire imagerie ciel profond visuel assisté lunette sur monture azimutale (150mm) *** *** * * * doublet sur monture équatoriale (100mm) ** ** ** **** *** lunette apochromatique sur monture équatoriale (80mm) * ** ** ***** ***** Newton sur monture équatoriale (200mm) *** *** *** **** ***** Dobson (350mm) ***** ***** * * * Dobson artisan (200mm) **** **** * * * Dobson Goto (250mm) **** **** **** ** **** Schmidt Cassegrain sur équatoriale (200mm) *** *** *** *** ** Masutov sur Alt-Az (180mm) **** ** **** * * Maksutov sur Equatoriale (180mm) **** ** **** * * Vous constatez à présent qu'il n'existe aucun instrument parfait, mais plutôt des instruments pour chaque domaine. Enfin si nous n'avions pas eu de budget max, nous aurions pu évaluer un newton d'artisan de 300mm très allégé sur une monture équatoriale, un gros triplet de 150mm, ou encore un Makstov de 250mm. Mais il faut savoir se limiter. Si vous pratiquez l’astronomie en dilettante ce n’est pas la peine d’opter pour un télescope de newton en carbone avec un miroir d’artisan. Honnêtement les télescopes industriels sont déjà très très bien! De même si vous souhaitez opter pour une lunette et ne faire que du visuel, vous n’avez pas besoin d’un triplet! Un doublet suffira largement et vous permettra d'opter pour un plus grand diamètre. Gardez aussi votre argent pour les accessoires. De bons oculaires sont au moins aussi importants qu’un bon instrument! Je terminerai en disant qu'il existe d'autres formules dédiées à des domaines précis: le Dall Kirham par exemple qui est probablement le meilleur en imagerie planétaire, ou le Richtey Chrétien qui est idéal pour l'imagerie en ciel profond de petits objets et encore d'autres dédiés à l'observation et l'imagerie du Soleil. Bref l'astronomie c'est un vaste sujet... Pour allez plus loin... Le débutant peut s'arreter ici s'il le souhaite puisque le reste n'est que discussion ouverte, théorie. Si vous souhaitez en savoir plus sur les différentes formules optiques, je ne peux que vous recommander cette lecture (en anglais) qui est excellente: https://www.handprint.com/ASTRO/ae2.html et celle-ci en français: http://astrosurf.com/laurent/magnitude.htm qui bien que purement théorique donne de très bonnes notions de la qualité optique des instruments. On y trouve notamment un tableau en fin d'article que j'aime beaucoup et qui classe les instruments en fonction de leur performance en ciel profond et en planétaire. Je me permets de le reprendre ici pour en discuter un peu avec vous quitte à lancer un pavé dans la marre. Dans les colonnes en blanc on trouve des règles de calculs qui se basent sur la formule optique (nombre d'élements reflecteur, nombre de lentilles, obstruction) ainsi que des postulats sur la qualité optique, le taux de transmission dans le verre et la réflectivité. Dans les colonnes de droite, on retrouve des magnitudes limites calculées qui sont bien différentes de celles données par le contructeur (première colonne blanche à gauche). Enfin la colonne la plus à droite donne une grandeur qui pourrait correspondre à un diamètre équivalent si l'optique était parfaite (une sorte de diamètre utile). Si on classe ce tableau de différentes manières on obtient un classement par performance en ciel profond: En gros, l'analyse de ce tableau montre que l'on ne peut que confirmer la supériorité du diamètre par rapport à la formule optique pour les performances en ciel profond (à part quelques exceptions). Ou un classement par performance en planétaire: Par contre, on a quelques surprises sur ce tableau... Bien sur ces tableaux ne sont que purement théorique et ne tiennent pas compte de tout, mais une première lecture, montrent que finalement les newtons sont excellents et meilleurs que les SCT en planétaire grâce à un moindre nombre d'élements dans le chemin optique et un obstruction moindre. On voit sans surprise que les APO sont les meilleures en presque tout, mais que leur seule limite est le diamètre. Bref, à titre purement personnel cela confirme mon choix d'un newton 250/F5 par rapport à un C11 pour de l'imagerie planétaire. Bertrand POLLET
    2 points
  4. Détail de la carte Contrôleur N-Eq6 Réf SkyWatcher : HM6GT-F00-10 Cuivre dessus Cuivre dessous Cuivre internes 1 (multi-couches) Cuivre internes 2 (multi-couches) CI transparence Info couches CI Epaisseur piste 35µm. Schéma électronique carte EQ6 Mise à jour schéma le 21/04/2020 Schéma électrique EQ6.pdf format A1 Brochage connecteur sub-D9 (F), Hand Controller EQ6 Brochage connecteur RJ11, Auto Guider EQ6 Brochage connecteur 12V Changer le connecteur par un connecteur aviation. Tuto ici Schéma des pôles, pour remplacer soi-même le connecteur d'origine par un connecteur fiable et vissant. Voici la liste des composant Appareil de mesure: RIGOL DM3058E / WAVETEK DM27XT / ITC-990 / DCA75 et LCR-40 - Analyseur de composants CONDASATEUR C1 100nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C2 1µf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C3 470µf 25v Condensateur électrolytique À sorties radiales, 5 mm C4 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C5 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C6 50pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 0.05pF C7 50pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 0.05pF C8 50pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 0.05pF C9 50pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 0.05pF C10 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C11 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C12 47µf 16v Condensateur électrolytique, À sorties radiales, 2.54 mm C13 100nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C14 100µf 25v Condensateur électrolytique, À sorties radiales, 2.54 mm C15 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C20 18pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 1% C21 18pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 1% C22 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C23 1µf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C24 330nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C25 330nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C26 50pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 0.05pF C27 50pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 0.05pF C28 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C29 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C30 18pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 1% C31 18pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric]± 1% C32 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C33 1µf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C34 330nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C35 330nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C36 50pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C37 50pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C38 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C39 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C40 1µf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C41 470µf 25v Condensateur électrolytique À sorties radiales, 5 mm C42 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C43 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C44 1000pf Condensateur céramique multicouche CMS, 100 V, 0603 [1608 Metric] C45 1000pf Condensateur céramique multicouche CMS, 100 V, 0603 [1608 Metric] C46 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C47 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C48 1000µf 35v Condensateur électrolytique À sorties radiales, 5 mm C49 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C70 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C71 1µf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C72 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C73 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C74 47µf 35v Condensateur électrolytique, À sorties radiales, 2.54 mm C75 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C76 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C77 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C78 100nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C79 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C80 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C81 1µf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C82 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C83 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C84 47µf 35v Condensateur électrolytique, À sorties radiales, 2.54 mm C85 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C86 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C87 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C88 100nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C90 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C91 1µf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C92 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C93 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C94 47µf 35v Condensateur électrolytique, À sorties radiales, 2.54 mm C95 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C96 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C97 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C98 100nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C99 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C100 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C101 1µf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C102 10nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C103 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C104 47µf 35v Condensateur électrolytique, À sorties radiales, 2.54 mm C105 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C106 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C107 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C108 100nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C109 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C42A 220nf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] C7A 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C7B 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C8A 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C8B 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C9A 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C9B 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C10A 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF C10B 110pf Condensateur céramique multicouche CMS, 50 V, 0603 [1608 Metric] ± 0.05pF DIODE D1 SK34A SOD-123 Diodes et redresseurs Schottky 3.0 Amp 40 Volt 150 Amp IFSM D2 SK34A SOD-123 Diodes et redresseurs Schottky 3.0 Amp 40 Volt 150 Amp IFSM D3 LED rouge 1.5V T-1 3/4 (5MM) D4 (1n4148) Diode NP, 150mA, SOD-80, 2 Broche(s) D5 (1N4148) Diode NP, 150mA, SOD-80, 2 Broche(s) RESISTANCE R1 10K Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R2 NC 0603 (Pas de résistance) R3 75K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R4 20K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V 1% R5 4.7K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V 1% R6 33K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R7 100 ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R9 10K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R10 10K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R11 10K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R12 10K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R21 1K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R22 1K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R31 1K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R32 1K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R41 1K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R42 11K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V, 1% R43 430 ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V, 1% R70 0.680 ohm Résistance à puce CMS, Couche épaisse, 2010 [5025 Metric], 200 V R71 51K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R80 0.680 ohm Résistance à puce CMS, Couche épaisse, 2010 [5025 Metric], 200 V R81 51K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R90 0.680 ohm Résistance à puce CMS, Couche épaisse, 2010 [5025 Metric], 200 V R91 51K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V R100 0.680 ohm Résistance à puce CMS, Couche épaisse, 2010 [5025 Metric], 200 V R101 51K ohm Résistance à puce CMS, Couche mince, 0603 [1608 Metric],Série ERA, 75 V CIRCUIT LOGIQUES U1 78D05AL TO-252 Régulateur de tension fixe monolithique 5V 1A U2 PIC16F886 SOIC_28_W MCU 8 bits, FLASH, PIC16 Family PIC16F8XX Series Microcontrollers, 20 MHz, 14 KB, 368 Byte U3 PIC16F886 SOIC_28_W MCU 8 bits, FLASH, PIC16 Family PIC16F8XX Series Microcontrollers, 20 MHz, 14 KB, 368 Byte U4 2171WU TO263-5 Régulateurs de tension de commutation 2.5A, tension d'entrée de 3 V à 40 V U7 A3959SLBT Driver de moteur, double, DMOS, Alimentation 7V à 50V, 2 Sorties 50V/3A, SOIC-24 U8 A3959SLBT Driver de moteur, double, DMOS, Alimentation 7V à 50V, 2 Sorties 50V/3A, SOIC-24 U9 A3959SLBT Driver de moteur, double, DMOS, Alimentation 7V à 50V, 2 Sorties 50V/3A, SOIC-24 U10 A3959SLBT Driver de moteur, double, DMOS, Alimentation 7V à 50V, 2 Sorties 50V/3A, SOIC-24 QUARTZ, OSCILLATEUR, RESONATEUR X1 20Mhz Cristal,Traversant, 10.9mm x 4.65mm X2 20Mhz Cristal,Traversant, 10.9mm x 4.65mm EMI L1 Perle de ferrite, 1206, Résistance DC max 0.015ohm, Impédance typique à 100MHz: 50ohm, 3.5A, ± 25%, Réf: BLM31PG500SN1L L1 Perle de ferrite, 1206, Résistance DC max 0.015ohm, Impédance typique à 100MHz: 50ohm, 3.5A, ± 25%, Réf: BLM31PG500SN1L L2 Perle de ferrite, 603, Résistance DC max 0.15ohm, Impédance typique à 100MHz: 220ohm, 1A, ± 25%, Réf: BLM18EG221TN1D L3 Perle de ferrite, 603, Résistance DC max 150Mohm, Impédance typique à 100MHz: 80ohm, 500mA, ± 25%, Réf: MMZ1608S800ATA00 L4 Perle de ferrite, 603, Résistance DC max 150Mohm, Impédance typique à 100MHz: 80ohm, 500mA, ± 25%, Réf: MMZ1608S800ATA00 L5 Perle de ferrite, 603, Résistance DC max 0.85ohm, Impédance typique à 100MHz: 1Kohm, 100mA, ± 25%, Réf: BLM18BD102SN1D L6 Perle de ferrite, 603, Résistance DC max 0.85ohm, Impédance typique à 100MHz: 1Kohm, 100mA, ± 25%, Réf: BLM18BD102SN1D L7 Perle de ferrite, 603, Résistance DC max 0.85ohm, Impédance typique à 100MHz: 1Kohm, 100mA, ± 25%, Réf: BLM18BD102SN1D L8 Perle de ferrite, 603, Résistance DC max 0.85ohm, Impédance typique à 100MHz: 1Kohm, 100mA, ± 25%, Réf: BLM18BD102SN1D L11 Perle de ferrite, 603, Résistance DC max 0.15ohm, Impédance typique à 100MHz: 220ohm, 1A, ± 25% Réf: BLM18EG221TN1D L14 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.25ohm, Impédance typique à 100MHz: 33ohm, 3A, ± 25%, Réf: BLM18PG330SN1D L40 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.25ohm, Impédance typique à 100MHz: 33ohm, 3A, ± 25%, Réf: BLM18PG330SN1D L71 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.05ohm, Impédance typique à 100MHz: 120ohm, 2A, ± 25%, Réf: BLM18PG121SN1D L72 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.05ohm, Impédance typique à 100MHz: 120ohm, 2A, ± 25%, Réf: BLM18PG121SN1D L82 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.05ohm, Impédance typique à 100MHz: 120ohm, 2A, ± 25%, Réf: BLM18PG121SN1D L91 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.05ohm, Impédance typique à 100MHz: 120ohm, 2A, ± 25%, Réf: BLM18PG121SN1D L92 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.05ohm, Impédance typique à 100MHz: 120ohm, 2A, ± 25%, Réf: BLM18PG121SN1D L101 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.05ohm, Impédance typique à 100MHz: 120ohm, 2A, ± 25%, Réf: BLM18PG121SN1D L102 Perle de ferrite, 805, Résistance DC max 0.05ohm, Impédance typique à 100MHz: 120ohm, 2A, ± 25%, Réf: BLM18PG121SN1D INDUCTANCE L42A Inductance,100uH LISTE NON-EXHAUSTIVE Protéger un appareil contre les inversions de polarité, sans occasionner de chute de tension d’alimentation importante 300ma. Protection d’inversion de la polarité pour éviter toute dégradation en cas de branchement inverse de la batterie ou de la prise. Dimension circuit: 31x25x4 Module P.I.P. Ref: AT00011 a souder sur câble Ref: AT00012 Pour monture EQ8-R/AZEQ6/EQ6R Ref: AT0001B.5A Protège le matériels ASTRO 5A Max Ref: AT0001B.10A Protège le matériels ASTRO 10A Max Pour toute commande contacte ICI Un circuit de protection avec un transistor MOSFET canal N 300A 80V. Celui-ci entrera en action si la tension est négative. Module alimentés sous 12 à 14 V. ____________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ Les pannes éventuelles de la carte contrôleur N-Eq6: - Appel de courant trop fort au démarrage des moteurs. - Non-respect des consignes d'alimentation. - Inversion de polarité. - Prise Db9 F. défectueuse. - Ci la raquette SynScan ne fonctionne plus, par contre la monture arrive quand même à fonctionner avec Eqmod et le câble Eq-direct directement relié au PC, L2 défectueuse et peut être C4 aussi. Dans la majorité des cas L1+, L1-, L2 , C1, C3 et C4 composant électronique défectueux (cramé). La L1 perle de ferrite Joue le rôle de protection, comme un fusible. La perle de ferrite agit comme un filtre, aider à éliminer les interférences radioélectriques à haute fréquence et les signaux d'interférence électromagnétique (EMI) souvent appelés « bruit » qui se trouvent généralement autour de chaque équipement électronique, ex téléphone portable. Ce "bruit" peut également interfère dans la plupart des appareils électroniques, y compris votre monture. Ainsi, le "bruit" RF est partout et est généré par bien plus que de simples téléphones portables. En gros, ces circuits sont appelés "filtres" car ils filtrent en quelque sorte le "bruit" juste au cas où de tels signaux indésirables pourraient être mal interprétés par les "microprocesseurs" sur la carte comme des commandes valides, cela pourrait engendrer des erreur de commande. Composant de remplacement: Perle de ferrite L1 Réf: BLM31PG500SN1L - Perle de ferrite, 1206 [3216 Metric], 50 ohm, 3.5 A, Série EMIFIL BLM31P, 0.015 ohm, ± 25% Perle de ferrite L2 Réf: BLM18EG221TN1D - Perle de ferrite, 0603 [1608 Metric], 220 ohm, 1 A, Série BLM18E, 0.15 ohm, ± 25% Condensateur C3 Réf: 25ZLJ470M10X12.5 - Condensateur électrolytique, Miniature, 470 µF, 25 V, Série ZLJ, ± 20%, À sorties radiales, 10 mm, 12.5mm, 5mm Condensateur C1 Réf: C0603C124K5RACTU - Condensateur céramique multicouche CMS, 0.12 µF, 50 V, 0603 [1608 Metric], ± 10%, X7R Condensateur C4 Réf: C0603C103K5RACAUTO - Condensateur céramique multicouche CMS, AEC-Q200, 10000 pF, 50 V, 0603 [1608 Metric], ± 10%, X7R Attention ce sont des composant de substitution échange d'un composant d'une représentation simplifiée par un autre composant et s'effectue dans le contexte d'une représentation simplifiée. On trouve les composant chez farnell ou bien sur ebay Attention, il ne faut surtout pas shunter le composant cramé (perles de ferrite) avec un fil, au risque de voir de plus gros dégât. Pour un dépannage. Un fusible, à la place de la perle de ferrite ça n'engage que vous. Voir ci-dessus la liste des composant pour l'intensité du fusible. Recherche de composant défectueux: Les composants montés en surface (C.M.S. ou M.S.D.) Recherchez des fissures, mêmes très légères par éclairage rasant pour bien les voir, pour identifier un composant douteux et faites vos mesures au multimètre pour confirmer ou infirmer l'état de panne. Un composant C.M.S. grillé peut tout à fait être remplacé par son homologue en gros boîtier classique, si vous n'avez rien d'autre. Avant toute intervention à lire les notes de bas de page. Message d'erreur SynScan: "No link to M.C. Stand-alone mode" la raquette n'est pas correctement branchée sur la monture voir câble défectueux. Ci non carte défectueuse (défaut sur Circuit logiques, EMI et diode à contrôler). Défaut contact avec le(s) moteurs 99% des cas c'est un manque de puissance. "CAUTION! Dec/Alt no detected" il y a quelques astram qui ignore ce message en appuyant sur ENTER ou bien ESC puis ENTER. Ou en réinitialisant la raquette SynScan ( menu "Setup" > "Factory Settings"). Un défaut avec la dernière version 3.37 du firmware de SynScan. Faux contacts au niveau des connexions moteurs RA, DEC. Défaut d'un ou des driver A3959SLBT. "Can not connect to a SynScan hand control" mise à jour de la raquette SynScan, vérifiez le cable de connexion et le câble PC-Link. Assurez-vous qu'ils soient en bon état de fonctionnement. Fermez toutes les applications qui peuvent occuper le port RS-232 puis essayez à nouveau. "CAUTION...Both Axes No Response" La raquette n'est pas correctement branchée sur la monture voir câble défectueux. Défaut composant de la raquette SynScan. Défaut composant carte mère cause inversion de polarité. Défaut composant carte mère lors d'un faux contact électrique. Défaut connecteur db9 Hand Controleur carte mére EQ6. Défaut connecteur RJ45 Hand Controleur SynScan. Défaut d'un ou des driver A3959SLBT. Défaut d'un ou des pic 16F886. Les pannes éventuelles de la raquette SynScan: Raquette V.3 Défaut connecteur RJ45 Hand Controleur SynScan. Dans la majorité des cas L9, L10 composant électronique défectueux (cramé). Composant de remplacement: Perle de ferrite L9; L10 Réf: BLM18AG601SN1 - Perle de ferrite, 0603 [1608 Metric], 600 ohm, 500 mA, EMIFIL BLM18A, 0.38 ohm, ± 25% Raquette V.4 & V.5 Défaut connecteur RJ45 Hand Controleur SynScan. Dans la majorité des cas U6; U9; U10; C3 et C55 composant électronique défectueux (cramé). U6 = TPD4F003DQDR ou VEMI45AA-HNH-GS08 Filtre EMI/RFI C55, C58, C3, C4 son des condensateurs au tantale 10uF, 16V 10% de tolérance. FB perle de ferrite 603 (BLM18EG221N1D) peut faire l affaire. U10 est un régulateur de 3.3V . (AZ1117-3.3) U9 est un régulateur de 5V. (AZ1117-5.0) Vous devez utiliser uniquement des cordons spécifiques comme ceux de Pierro Astro et surtout pas des câbles informatiques standards. Sous peine d’endommager le PC voir même la raquette de commande. La Led: Signification de la Led qui clignote. Défaut secteur. Défaut du filtre EMI L1 Défaut réglage vis tangente. La led clignote lentement tension ≃ 11.5V. La led clignote rapidement tension < 10.8V. La led ne doit pas clignoter du tout, pendant les déplacements ou le suivit, la monture aura une imprécision sur le Goto et le suivit. Pour vérifier le voltage, avec la raquette de commande de la monture EQ6 Aller dans le menu "Utility" >"Show informations" > "Power voltage". Le voltage doit être de 11V à 15V. (le bon compromis 13.8V) Une tension non comprise dans cette plage peut endommager définitivement la carte contrôleur voir même la raquette SynScan. Le fait de faire fonctionner la monture avec une faible tension d'alimentation. Générera un courant élevé à travers les composant. Info micrologiciel: correction d'une lecture de tention incorrecte sur le conrôtleur manuel SynScan V3. Sur certaines commandes manuelles SynScan V3, la lecture de la tension dans le menu "Utility" >"Show informations" > "Power voltage" est beaucoup plus élevée que la vraie tension d'alimentation. Dans de tels cas, utilisez ce micrologiciel pour résoudre le problème ici Prévoir une bonne Alimentation 12V de 5A minimum . Consommation monture N-EQ6: 420mA au démarrage sans suivit ± 0.030mA. . 600mA en suivit ± 0.050mA. Goto 1.1A à 2A suivant la charge. Moteur pas à pas HM6GT-F00-1A: 0,8A (± 0.06mA) par phases en Goto Caractéristique moteur pas-à-pas. Réf SkyWatcher: HM6GT-F00-1A Moteur pas-à-pas Bipolaire de type NEMA 17 Angle de pas (°): 1.8°. Dimensions (L*W*H) : 42 x 42 x 39 mm Courant nominal: 1A Couple de maintien: 0.4Nm Résolution: 200 pas Résistance par phase: 6.4 Ω ± 5% Inductance par phase: 11 mH ± 10% Diamètre de l'arbre: 4.90 mm Type d'arbre: Coupe en D Arbre simple / double arbre: Arbre simple Nombre de pas par tour: 783.333 Nombre de de µpas par tour : 12533.3333 Moteur de substitution: Osmtec 17HS15-0854S Osmtec 17HS19-0854S Aide à Analyse de l'Erreur Périodique Par Gandalf, Tuto ici Vérifier les phases moteur DEC & RA: HM6GT-F00-1A: figure 7 Par bobine 6.4 Ω ± 5% Pin 1 = Orange avec Pin 2 = Bleu Pin 3 = Jaune avec Pin 4 = Rouge Manque de couple moteur pas a pas, c'est un problème d'alimentation. Vérifier câblage moteur Vérifier le régulateur le convertisseur DC-DC U4. Vérifier les driver moteur U7, U8, U9, U10: figure 3 Mesurez la résistance entre GND et chacun des 4 pin du connecteur du moteur (RA et Dec). La résistance doit être, > à 7 MΩ. Si l'une des résistances est < à 1 KΩ, cela signifie que le driver A3959SLB connecté à la broche est endommagé et doit être remplacé. Important! Les drivers A3959SLBT peuvent avoir un court-circuit, s'il se retrouve alimenté en courant sans que les moteurs pas à pas ne soient connectés a la carte. les drivers seront endommagés et devront être remplacés. Description: Les driver est conçu pour commander le moteur en courant et non en tension. Sur la figure ci-dessous, vous pouvez voir les deux résistances shunt Rs1 et Rs2 (R70; R80; R90; R100) de 0.680 Ω connectés entre la partie inférieure du pont en H et la masse, ces résistances vont permettre de mesurer le courant en permanence dans les bobines du moteur et agir ainsi sur l'électronique de commande du pont en H Les quatre MOSFET sont bien sûr commandés en fonction du signal « STEP » généré par le microcontrôleur, mais également en fonction de la tension mesurée aux bornes Rs. En fait quelle que soit la tension qui alimente le driver, celui-ci va surveiller le courant à l’intérieur des bobines pour qu’il ne dépasse pas la valeur nominale réglée. Testeur de pic 16F886 Description : Ce schéma montre comment tester les microcontrôleurs PIC16F886 dessoudé après avoir téléchargé le fichier .HEX depuis MPLAB IDE. Il s'agit d'un problème courant avec ce type de carte, à savoir que la télécommande affiche "Caution...Both Axes No Response" . Cela se produit généralement si la communication série échoue sur les microcontrôleurs. Le circuit contient deux Microcontrôleurs PIC16F886, un pour RA et un pour DEC. Les 2 PIC16F886 ont le même firmware, la 21ème broche (RB0) indique au PIC, est-ce le RA ou le DEC. Si le ou les PIC tombe en panne, il est possible de les remplacer et de les recharger. Le firmware .mcf (Motor Controller Frmware) peut être téléchargé depuis le site Web de Skywatcher , attention le PIC16F886 vide ne peut pas être téléchargé avec l'utilitaire Windows via le contrôleur manuel. Heureusement, le fichier .mcf est un fichier .bin, qui peut être converti en .HEX, qui peut être flashé sur le PIC16F886 à partir de Microchip MPLAB X IDE. Cette conversion n'est pas simple, certains convertisseurs bin2hex fonctionnent, d'autres non. Flasher le PIC avec le PICKit 3. Le PICKIT ne suffit pas à lui seul pour télécharger le firmware, il faut fournir un +5V externe (VDD) au PIC pour pouvoir le télécharger. Après avoir flashé le firmware, il est possible de tester le PIC en connectant la télécommande (raquette SynScan) à l'aide du schéma ci dessus. La télécommande est alimentée par cette source +5V. NE connectez PAS le 12V, cela endommagerait le Pic!!! Si la programmation a réussi, la raquette affichera "RA/Azm... No response!" si le PIC est en mode DEC, et "Dec/Alt... No Response!" si le PIC est en mode RA. Dans ce cas, le PIC **fonctionne** et il est possible de le souder en toute sécurité sur la carte mère. Vérifier la diode schottky D1: figure 4 Test d'une diode Schottky au multimètre (sens passant) typiquement, on obtient des résultats entre 100mV et 300mV. Diode Schottky SK34A : 165mV à 190mV sens passant, OL sens ouvert. Diode claquée : court-circuit dans les 2 sens. Vérifier la diode PN D4 & D5: figure 4 Test d'une diode PN au multimètre (sens passant) typiquement, on obtient des résultats entre 400mV et 700mV. Diode PN : 610mV à 705mV sens passant, OL sens ouvert. Diode claquée : court-circuit dans les 2 sens, pensez au remplacement du composant.. Vérifier un condensateur: figure 5 Un condensateur c''est un composant dit passif, ne peut être testé qu’en étant séparé du circuit auquel il est raccordé. Il faut aussi le décharger. Mettez pour cela ses 2 pôles en contact avec un élément métallique quelconque. Il existe plusieurs façons de tester un condensateur pour savoir s’il fonctionne convenablement. Réglez le multimètre sur la position ohmmètre. Selon la capacité de votre condensateur, adaptez le calibrage de l'ohmmètre pour qu'il corresponde le mieux à votre condensateur ex 1 000 ohm/1K. Lorsque l’afficheur du multimètre (numérique) indique 10000(ou plus) puis redescend à 0, le condensateur fonctionne correctement. Si en revanche l’afficheur reste à 0 ou bien à la valeur précédente (10000 ou plus), le condensateur est défectueux, pensez au remplacement du composant. 2emme façons de tester un condensateur. Réglez le multimètre sur la position Capa. Selon la capacité de votre condensateur, adaptez le calibrage de Capa pour qu'il corresponde le mieux à votre condensateur. Si la capacitance que vous voyez s’afficher est proche de celle qui est notée sur le composant, vous savez qu’il est en bon état de fonctionnement. Si elle est inférieure de beaucoup ou si elle est proche de zéro, le condensateur est HS. Exemple de condensateur HS ci-dessous Vérifier une résistance: figure 6 La résistance c''est un composant dit passif, il conduit l'électricité avec un effet résistif. Il est bidirectionnel, il n'y a pas de sens obligatoire du passage du courant. Sont rarement assujettis aux pannes (sauf suite à la défaillance d'un semi-conducteur ou alors dus à un très gros défaut de fabrication ou de conception du montage !). Les résistances de puissance sont plus sujettes aux pannes, pour les même raisons que cités précédemment, mais également parce qu'elles sont amenées physiquement à dissiper de la chaleur, et parfois un peu trop pour elles : Elles vont donc soit se mettre en circuit ouvert, soit carrément changer de valeur (généralement pour prendre une valeur supérieure). Une résistance possède une résistance ohmique dont la valeur réelle peut varier légèrement par rapport à la valeur indiqué sur elle, cela est lié à sa tolérance. La plupart du temps, la mesure de la valeur ohmique d'une résistance ne peut être considérée comme valable que si elle est effectuée hors circuit, c'est à dire si au moins une de ses deux pattes n'est raccordée à rien. La valeur mesurée doit être proche de la valeur attendue, à sa tolérance près. Si ce n'est pas le cas (valeur bien plus élevée par exemple), pensez au remplacement du composant. Mesure en circuit Si la valeur mesurée est inférieure ou égale à la valeur attendue, on peut supposer que la résistance est bonne mais ce n'est pas certain. Il est rare de mesurer en condition normale une valeur de 20 ohms alors que la résistance est marquée 150 Kohms, mais cela est néanmoins possible dans certains cas, notamment en cas de présence de bobinages ou de transfo directement en relation avec la résistance en question. Seule sa déconnections (même partielle) peut permettre de confirmer son état. Vérifier le convertisseur DC-DC U4: figure 1 Régulateur SMPS 2171WU mesure la tension sur pin IN du U4 tension comprise à ≃ 12V (Tension d'alimentation). Si pas de tension sur IN, vérifier D1 et L40 voir même L1. Ci il y a une tension comprise à ≃ 12V du U4 sur pin 5 IN, vérifier les tension suivantes pin FB, COM et le + de C48 Mesure de la tension sur pin FB comprise à 1.24V (Tension de rétroaction). Si tension incorrecte sur FB, régulateur U4 HS, pensez au remplacement du composant. Mesure de la tension sur pin COM comprise à 1V (Compensation de fréquence). Si tension incorrecte sur COMP, régulateur U4 HS, pensez au remplacement du composant. Vérifier la tension sur le + de C48 tension comprise à 33V. Si tension incorrecte vérifier D2 et L14, si D2 et L14 correcte il y a suspicion que U4 est HS, pensez au remplacement du composant. Vérifier le régulateur de tension fixe monolithique U1: figure 2 Régulateur 78D05AL mesure la tension sur pin IN du U1 tension comprise à ≃ 12V (Tension d'alimentation). Si pas de tension sur IN, vérifier D1 ou L11 voir même L1. Ci il y a une tension sur pin IN de ≃ 12V du U1, vérifier la tension sur pin OUT du U1, tension comprise à 5V. Si pas de tension sur OUT, celui-ci est HS, pensez au remplacement du composant. Avant toute intervention sur la carte électronique. La décharge électrostatique (ESD electrostatic discharge) est un passage de courant électrique entre deux objets possédant des potentiels électriques différents sur un temps extrêmement court. Le terme est souvent utilisé en électronique et dans l'industrie lorsque l'on veut décrire des courants fugaces non-désirés pouvant endommager l'équipement électronique. Une décharge électrostatique est un problème grave dans l'électronique des solides, tels que les circuits intégrés. On ne s'en préoccupe jamais, mais l'électricité statique est un phénomène particulièrement destructeur dans de nombreux domaines et en particulier dans l'électronique. Comment est-elle évacuée normalement ? toucher une surface métallique mise à la terre. L'Electricité statique : l’ennemie invisible de vos matériels informatiques A SUIVRE Mise à jour le 31/08/2023
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  5. bonsoir 4 photos faites se weekend bonne jounee
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  6. c'est pour la pub sur mobilier urbain que c'est applicable à cette date, pas pour les enseignes et autres pubs lumineuses :
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  7. Voici ce télescope : Amazon.com : Telescope, Gskyer 130EQ Professional Astronomical Reflector Telescope, German Technology Scope, EQ-130 (EQ-130) : Electronics et une video :
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  8. oui mais ce n'est pas pris en compte "en dur" dans l'image comme avec un jpeg. Si tu prends une image avec un balance des blancs en jpeg, tu ne peux pas revenir en arrière sans pertes d'info. En RAW tu ne perd pas l'info. Comme indiqué par @Flogus Donc tu peux bien mettre la balance des blancs que tu veux, ça ne changera rien au traitement si tu shoote en RAW.
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  9. Bonjour, Nous venons de neutraliser Pascal133 suite aux nombreux messages de signalement. Ne pas donner suite aux messages privés s'il vous plaît. Merci à tous ceux qui nous ont prévenus. Bien cordialement. La Modération
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  10. Ca délivre le 254mm Par curiosité, as-tu regardé à l'occulaire avant / après la capture? je demande vis à vis du rendu couleur. A+
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  12. Si ça peut aider ceux qui communiquent, voici un résumé des règles mis à jour suite au décret du 5 oct 2022 (l'image est transparente donc son fond dépend de celui du site, c'est pour ça que ça peut être moche) : (fichier plus grand PNG ici, contactez-moi pour la source SVG)
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  13. Merci beaucoup Petitprost, A partir de mon image couleur réalisée avec une asi 2600mc et d’un filtre Optolon L-Ultimate (bande passante de 3nm dans le H-alpha et OIII), j’ai traité via le script Siril : Couleur_Extraction_HaOIII qui va séparer les couches H-Alpha et OIII dans un premier temps. J’ai créé par la suite une couche verte synthétique via Pixel Math toujours dans Siril en appliquant un coefficient de 0.65 pour la couche OIII et de 0.35 pour le H-Alpha. Après j’ai reconstruit mon image dans Siril via : composition RVB en prenant mon image H-Alpha pour le rouge, l’image verte synthétique crée via pixel math pour le vert et mon image OIII pour le bleu. Voila pour les grandes lignes 😉 J’ai utilisé le tuto4 de Colmic et un autre trouvé sur YouTube pour pixelmath. https://www.webastro.net/forums/topic/166799-tutoriel-pour-le-traitement-complet-dune-image-avec-les-scripts-siril/#comment-2578136 Bonne soirée, @+ David
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  14. En quelque clics on les fait sortir tout en protégeant le centre des galaxies, comme on peut le voir sur M81.
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  15. Faut pas être demandeur de précision ou de propreté, c’est leur carnet, ils le tiennent à leur façon. ils l’ont eu à 8, 6 et 4 ans. Ils y dessinent, légendent eux même. Au début j’écrivais pour les petits . Ils y ont collé des petites images qu’ils ont eues à droite ou à gauche, et des photos de la Lune qu’on a pris au smartphone. Ils aiment bien dessiner les constellations où ils observent des objets. Évidemment ils ne dessinent que quand ils ont envie. les enfants adorent ce genre de carnets à trésors. Regarde les herbiers, c’est toujours d’actualité Voilà la production de la dernière observation par seeing mauvais, de mon garçon de 8 ans :
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  16. 3 selfies du vaisseau Orion en route vers la Lune et 2 photos inédites du lancement :
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  17. Hello, le 02/11 dernier exceptionnellement une turbulence très faible m'a incité à prendre les crayons d'abord sur la lune au crépuscule. J'ai jeté mon dévolu sur Archimedes à la FC-100 DF X 92 puis 123 X pour confirmer quelques détails, mais la nuit tombant tôt c'était déjà fort détaillé le contraste jour/nuit aidant. La zone montagneuse notamment au sud du cratère est assez compliquée à rendre, et je m'aperçois que je l'ai représentée trop proche du cratère. Plus de temps, plus de patience et un grossissement supérieur auraient permis de déceler de plus fins détails dans les gradins de Archimedes, déjà fort prometteurs ici ! Après manger je suis ressorti sur Jupiter, et la petite claque visuelle (modulo le diamètre du tube bien sûr !) m'a incité à remettre cela. Curieusement la planète était très stable et bien définie, mais les détails comme "effacés" par l'éclat du disque, visibles presque par intermittences malgré la turbu très faible. Peut-être un effet de l'observation en pleine nuit alors qu'habituellement je m'y colle plutôt au crépuscule ? A 123 et 148 X, j'ai noté peut-être moins de bandes et de détails "verticaux" que la dernière fois, mais une superbe GTR rouge carmin, entourée d'une drôle de structure en boucle. Les bandes au S de la planète se fondaient dans une douce régularité unie gris-café au lait, et surtout le ballet des satellites fut impressionnant ! Pendant que 2 d'entre eux arrivaient sur le disque, un troisième disparaissait derrière. J'ai pu suivre les deux pendant un moment.
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  18. Petite astuce toute simple (et connue, mais un petit rappel ne peut pas faire de mal) pour se protéger des faux acheteurs qui demandent des photos supplémentaires de votre équipement pour les utiliser frauduleusement sur le (plus ou moins) Boncoin: mettez un panneau sur la photo avec le nom de l'acheteur et la date. Le double effet Kiss Cool: ça interdit la réutilisation de l'image et ça rassure l'acheteur s'il est de bonne foi.
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  19. Hello le forum, Ce petit test rapide s'adresse à ceux/celles qui chercheraient un "bon plan" pour leurs jumelles à oculaires interchangeables. Cela peut intéresser les possesseurs des clones ou quasi-clones de 100 et de 120 mm des marques APM / Explore Scientific / TS / Kepler / Oberwerk /... équipés de base en oculaires APM 18 mm UFF ou équivalent. Tous ces modèles sont à F/D 5.5. Les miennes sont des Kepler 30x100 achromatiques de base. Les APM 18 mm sont vraiment très bien mais n'offrent pas le champ maximal ainsi que la pupille de sortie optimale. Le champ "sur le ciel" est quand même de 2.1° avec une pupille de sortie de 3.3 mm. Idéalement il y a aussi les APM 24 mm UFF 65° de champ. Mais à 180 Euros l'oculaire, soit 360 Euros la paire, ça calme bien des ardeurs ! Et en occasion ils ne sont pas facile à dénicher et restent encore chers. Donc il est intéressant de chercher une alternative moins onéreuse et plus accessible. J'ai d'abord testé avec une paire de Skywatcher UWA 25 mm 58° (à 80 Euros l'unité, neuf). Ce sont des Plossl améliorés. Ils sont basiques mais corrects. Par contre déception, dans mes Kepler 100 mm la courbure de champ est assez sensible sur environ 30% du champ, donc 70% du champ reste exploitable. Il me faut plus convaincant.... Et tout récemment j'ai aussi trouvé la gamme proposé par TS. Trop tard en tout cas pour moi. Notamment le TS Optics NED 25 mm 60° FF, ici à 110 Euros l'unité : https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/info/p4932_TS-Optics-1-25--ED--eyepiece-25-mm---60--flat-field--long-eye-relief.html Donc je laisse la main à un généreux samaritain qui j'espère nous fera un retour... Arès recherche je suis tombé sur un autre modèle très prometteur : l'Omegon/Artesky Flat Field 27 mm 53°. Prix très intéressant, 70 Euros l'unite donc 140 Euros les deux. Le champ n'est certes pas énorme mais ramené sur le ciel on gagne un demi-degré par tapport aux APM 18 mm UFF. Et la pupille de sortie passe de 3.3 à 4.9 mm, ce qui est idéal. https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/accessoires-optiques/oculaires/oculaires-grand-champ/oculaire-flatfield-27mm-53-artesky_detail La question restait de savoir si la promesse de champ plan serait bien tenue... J'ai tenté ma chance et j'ai pu les tester hier soir dans une rapide trouée de nuages. Je suis allé rendre visite au double amas de Persée, à M31 et M33. Et j'ai été très agréablement surpris. Certes le champ de 53° n'est pas énorme mais au moins cette fois il est piqué d'un bord à l'autre avec des étoiles bien fines. Un régal, le double amas est magnifique, bien piqué et rentre très très largement dans le champ ! M31 accompagnée de M110 est étonnamment brillante et M33 est diffuse mais "facile". Je n'ai pas eu plus d'un 1/4 d'heure mais franchement je me suis "rincé l'oeil".... En conclusion, je suis vraiment ravi de cette acquisition, c'est le choix que j'aurais dû faire dès le départ. La rapport qualité/prix/performance est vraiment imbattable. Ajout du 2 Mars 2023 : Pour rester dans un esprit de budget contenu j'ai aussi décidé de filtrer pour réduire le fort chromatisme. Sachant que mes jumelles Kepler sont de simples achromatiques et que la limite de grossissement est de 55x environ, le planétaire n'a que peu d'intérêt. Elles sont taillées pour le CP a grand champ (faible grossissement sans filtrage) et aussi pour aller jeter un oeil sur la Lune à 55x. Les filtres finge-killer sont quand même chers et j'ai donc opté pour de simples filtres jaune léger 31.75 mm à environ 15 Euros l'unité (Kepler n°8 ). J'ai testé hier soir. OK la Lune prend une légère coloration jaune, comme quand on l'observe près de l'horizon, mais ça n'a rien de choquant. Il reste un léger liséré bleu, qui disparait selon la position de l'oeil. Au final le résultat est très bien vu la somme dépensée... Important, j'ai moi-même collimaté mes Kepler 30x100 mm et pour cela j'avais acheté cet outil générique pour objectif photo : https://www.amazon.fr/dp/B00J5F73GA/ref=pe_27091421_487030221_TE_SCE_dp_3 C'est suffisamment rigide en prenant soin de n'utiliser que les vis à tête hexagonale pour bien les serrer avec une clé et éviter les risque de "riper". La collimation se fait avec des excentriques au niveau des objectifs.. Sur mes jumelles les bagues de maintient étaient serrés relativement fort. donc prendre bien soin à l'ajustement de l'écartement des embouts plats. Je me suis inspiré de ces documents et fait la collimation de jour avec mes oculaires de 10 mm en visant de grandes antennes distantes de 15 km environ . https://nimax-img.de/Produktdownloads/53076_Collimation_instructions_APMAPOBino_Version_1_3.pdf http://r2.astro-foren.com/index.php/de/10-beitraege/02-ed-optiken-halb-apos-und-frauenhofer-systeme/677-b045-02-how-to-collimate-a-apm-100-bino http://r2.astro-foren.com/index.php/de/10-beitraege/02-ed-optiken-halb-apos-und-frauenhofer-systeme/522-b045-01-apm-fernglas-100mm-ed-apo-doppelbilder-zentrierung Google Trad est votre ami.. En notant la position de départ des objectif de chaque côté et en les tournant comme indiqué dans le second lien, on finit à force par "sentir" l'effet des réglages. C'est déroutant au début mais on s'y habitue. J'ai fait les réglages en déplaçant le regard à l'horizontale d'un oculaire à l'autre. Avec un peu d'entrainement on détermine vite ce qui ne va pas entre les deux images. Sur mes jumelles, j'ai bien amélioré la collimation. Maintenant ça fusionne correctement avec les oculaires de 10 mm. Mais je n'ai pu aller plus loin, j'ai remarque que je suis au taquet pour rattraper l'offset vertical. Impossible de faire plus, il faudrait carrément retoucher le positionnement des prismes ! C'est ce que j'ai finalement fini par faire et je vous propose un post à part pour la collimation, complète cette fois, ici : Albéric
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  20. Le Trapèze d'Orion : aux portes de Noel. Bonsoir à tous, Une petite soirée de la semaine dernière au clair de lune encore bien imposant...C'est un classique de chez classique : le trapèze d'Orlon avec E et F en prime... L'observation a été menée à l'aide du C11 et Dun Nagler 17mm (164X) Orion sonne toujours comme un avant goût des fêtes de fin d'année... Bon ciel à tous ! Gildas.
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  21. Bonjour à tous, Le weekend dernier j'ai eu fait la nébuleuse de l'âme que j'ai jointé à mon ancien cœur de l'année passée avec la fs60.
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  22. C'est toujours un émerveillement pour moi de voir la puissance du traitement d'image quand on voit la vidéo source et le résultat final. Bravo.
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  23. Bonjour. Attention, le problème peut effectivement provenir de la collimation du laser, mais aussi d'une mauvaise planéité du bord extérieur du porte-oculaire, d'un mauvais positionnement du laser dans ledit porte-oculaire, etc... Pour tester la bonne collimation d'un laser, il vaut mieux le faire sur un système adapté, du type double fourches.
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  24. Soleil du jour, bonjour ! Au continuum ( 540 nm ), la face visible de notre étoile au 150 avec la 178MM. Je n'ai malheureusement pas pu réaliser mon habituelle mosaïque calcium faute à un ciel changeant et instable...
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  25. Pense pas, il est encore caché côté Est (à gauche). C'est plus Valles Marineris je pense: Une vue hyper détaillée de D.PEACH: Oui j'ai essayé de chercher sur une carte de Mars mais j'ai pas réussi à le repérer par rapport à ta photo
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  26. Du bel ouvrage, bravo Seb ! Préférence pour les couleurs des 2ème et 3ème versions. Bon ciel Vincent
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  27. Pense pas, il est encore caché côté Ouest (à gauche). C'est plus Valles Marineris je pense: Une vue hyper détaillée de D.PEACH: et une planisphère: Je pense qu'on aperçoit cette région là
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  28. Belle série, tu as utilisé quel matos?
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  29. Et puis les petits télescopes de suivi et surveillance de comètes et astéroïdes
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  30. A mon avis, premiere chose à faire : oublie le t-shirt. la tension du tissu n'est pas uniforme, donc la lumière qui arrive au capteur non plus. met plutôt des feuilles de papier (et encore des fois c'est pas uniforme). un morceau de plexi opal doit faire l'affaire.
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  31. Cette équation a toujours été une blague... Sur 7 termes il y en a 4 où on ne sait strictement rien , la probabilité oscille entre 0 et 1.
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  32. Les techniciens de la NASA sont avares des images prises avec les GoPro du module Orion... depuis le passage au plus près de la Lune hier, on n'a plus beaucoup d'images.
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  33. La définition de matériel "professionnel" (en astro ou dans n'importe quelle autre activité) est du matériel qui est utilisé dans le cadre d'une activité professionnelle. Le mot "professionnel" ne présume donc absolument pas de la qualité d'un matériel (bien qu'en général un professionnel utilisera souvent du matériel de bonne qualité...). En fait c'est un terme que l'on voit souvent dans des annonces, mais qui ne veut pas dire grand chose, c'est juste pour mettre un peu plus en valeur la chose et impressionner l'acheteur potentiel. c'est énorme... Mais ils ne font pas tous un diamètre pareil... Perso j'ai des télescopes que j'utilise dans mon activité professionnelle (donc des télescopes professionnels...) et ils ne font pas 8 m de diamètre . Non je ne connais pas Si c'est toi qui possède ce matériel tu pourras peut-être nous faire un petit compte-rendu sur ces qualités et ces défauts?
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  34. Y en a qui ont de la chance avec la météo... Carrément un weekend 😆 C'est marrant de voir le croissant et Orion le même jour 🙂 Côté dentelles, tu n'as pas oublié les darks? Il reste de l'amp Glow. A+
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  35. Bonjour, Je partage avec vous ce bout de NGC 7000 en HOO, pris depuis le ciel Bortle 6 du 78. C’est ma première cible réalisée avec NINA, je ne regrette pas APT un seul instant! Ha: 45 x 300s; Oiii: 29 x 300s Setup: Esprit 100ED, ASI183MM, HEQ5 Traitement: Pixinsight Merci d’avance pour vos commentaires et conseils, pour continuer à améliorer tout ça. Bon ciel à tous!
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  36. Salut Ça peut servir, merci pour l'info
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  37. Oui, il ne faudrait pas que ça ressemble à une activité scolaire, pire : à faire ses devoirs. Ce point là va dépendre intégralement de l'adulte qui sera auprès de l'enfant et de la manière dont il va présenter la chose. Mal présenté et le carnet devient une galère, présenté ludiquement, l'enfant en fait son trésor personnel. Ney
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  38. je vien de faire des test avec siril vs pix.... siril est incomparablement plus rapide pour le prétraitement. mais il m'a fait des merdouilles. je ne doute pas un seule seconde que c'est ma compétence sur le soft qui est assez faible. le w& prochonai on se fait un weekend AVEX en Normandie, j'ai des potes qui maitrisent bien on va se challenger pour voir
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  39. Au delà de ces télescopes autonome/connecté, ça pose la question de la pratique de l’astrophotographie et surtout du visuel assisté dans ce cas précis. En quoi ce n’est plus de l’observation ? Vous avez quatre heures ! 😁
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  40. Puisque ce thème vous intéresse, voici un article paru dans Le Monde il y a quelques semaines :
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  42. Je vous souhaite de vite grossir, de trouver des subventions, et d'acheter du matos !
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  43. Cela ne prouve rien. De très nombreux animaux périssent calcinés dans les incendies de forêt.
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  44. Mes premiers essais de traitement séparés des couches ha et o3. Je restes quand même au niveau de l’acquisition sur du va ou j’observe en direct et change souvent d’objets. Je ne suis pas (encore) prêt à laisser tourner le setup seul durant des heures et récupérer des fichiers au petit matin, pour obtenir beaucoup de signal avec peu de bruit. Mais mettre le nez dans les possibilités offertes par le traitement couches par couches et quand même bien intéressant, même si cela reste pour moi complexe et difficile à appréhender. voici ma rosette prise à la 72ed en juste 35x60s
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  45. Opération effectuée sans problème ! Merci , c'est grâce à vos conseils.😃 Le démontage et remontage du groupe des lentilles est en fait assez simple. Faut juste pas aller vite. Quelques photos:
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  46. voilou je remet qlq images issus de mes séances de visuel assisté, comme je les ais passé à la moulinette siril + photoshop, je met ici mes astro photos au rabais. m15 ngc281 j'ai passé pas mal de temps sur 7331, j'espère qu'elle plaira un bout de 6995 issus de deux séances, j'ai du cropé le cadrage des deux session étant très différent.... et une petite fleur
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  47. Un moment que j’ai rien mis ici. Voici quelques images retraitées à partir de mes séances VA. Qui dit Visuel assisté dis cumul d’exposition relativement modeste. Fireworks en 45x60s ic1340 17x60s Une petite bulle 20x90s
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