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  1. thierry78

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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/04/23 dans toutes les zones

  1. La cascade de Kemble est l'une des plus belles figures du ciel d'hiver. Cette belle rivière de diamants stellaires est située dans la constellation de la Girafe. Ce motif d'étoiles n'est pas l'une des constellations visibles dans le ciel nocturne, mais un motif informel d'étoiles connu sous le nom d'astérisme . Rendue populaire par l'astronome Lucian Kemble (1922-1999), elle est constituée d’au moins 25 étoiles dispersées sur une longueur équivalente à 5 fois la largeur de la pleine Lune et s’achève par un petit amas ouvert d’étoiles, NGC 1502 (en bas à gauche). : Askar FRA600 f/3.9 : Optolong L-Pro : 120x60" : ZWO Asiair Pro : ZWO ASI2600Mc Pro : iOptron GEM45 : ZWO ASI290MM Mini & guide scope Omegon 50mm : Siril - PixInsight - Affinity - Paint Shop Pro : env. Lyon : Bortle 6 : 03 décembre 2022
    3 points
  2. Bonjour à vous, Je viens vous proposer ma version de LDN 1235, la nébuleuse du requin dans Cephée. J'ai conservé environ 20h de poses par poses de 3 minutes unitaires. La caméra est une rising cam IMX571 Couleur et la lunette est une askar FRA400. Je vous dépose un fichier à 50% de l'échelle car j'ai bien conscience que l'image a des défauts et je reprendrais le traitement pour corriger tout ça. Ne soyez pas avare de critiques et conseils, ça ne pourra que m'aider Merci d'avance et bon ciel (bien qu'on ne soit pas verni ces derniers temps...) Full : https://www.astrobin.com/8kkunx/
    2 points
  3. Salut à tous, mes meilleurs vœux pour 2023 (santé surtout! le ciel ensuite.). Ca faisait longtemps que je n'avais pas posté. Je vous présente un test, NGC 7635, la bulle, en LRGB, honnêtement, si vous avez le choix, faites là en SHO, c'est carrément plus intéressant ^^. En fait j'ai fait cette photo pour continuer/compléter mes tests sur mon nouvel instrument (acquis il y a un peu plus d'un an déjà...) et c'est seulement ma troisième photo avec. J'ai galéré à le collimater, et encore c'est pas parfait. Je suis passé par tout les états, miroir trop serré (déformation d'étoiles) , primaire légèrement décentré(minime), mais surtout le baffle qui m'empêchait d'utiliser correctement le microscope de collimation taka sur l'alignement du primaire(du fait du décentrage). Du coup méthode DSI pour la finition, mais pour un amateur dans le Nord Est, c'est franchement la merde vu notre météo et je suis loin d'être familier avec l'opération, j'ai été jusqu'à utiliser une étoile artificielle pour compenser la météo, il m'a fallu plus de 100m pour approcher la mise au point xD. J'étais à deux doigts d'abandonner. J'ai eu des problèmes de reflets, pour pallier, j'ai mis une deuxième chaussette et un pare-buée qui fait double emploi. Fini les reflets! J'ai également eu des soucis avec mon ancien autofocuser (usb focus v3), remplacé par l'italien, problème résolu. Aujourd'hui, même si la prise n'a rien d'originale, j'en suis fier ! C'est un peu un début d'aboutissement de mon chemin de croix. Le début du plaisir avec cet instrument pas facile à maitriser. Côté traitement, je suis passé du bin 1x1 à 2x2 pour la Luminance et de 2x2 à 3x3 pour la couleur. Grâce à cela j'ai maintenant de la couleur. J'ai pas trop l'impression d'avoir perdu en précision. Bref assez parlé. Equipement ASI 2600 MM (Mono) Caméra principale QHY5 III 178M Caméra Guidage ZWO OAG-L Diviseur Optique Filtres RVB Astronomik Deep Sky + CLS_CCD pour la Luminance ZWO EFW 36mm RaF Monture CEM120 d'Ioptron Instrument Ritchey Chrétien 250 (10'') 2000mm de focale F/D ~ 8 de chez SkyVision. Porte oculaire Starlight Feather Touch 2'' (fabrication américaine d'époque) Autofocuser SESTO SENSO (PrimaLuceLab) PrimaLuceLab Eagle 4 pour l'acquisition avec N.I.N.A + phd2 Light Gain100 -20°C 45 * 60sec 3x3 R - Astronomik Deep Sky 45 * 60sec 3x3 V - Astronomik Deep Sky 45 * 60sec 3x3 B - Astronomik Deep Sky 460 * 60sec 2x2 L - CLS_CCD Astronomik (7h40 retenu sur plus de 8h d'expo, principalement des trainées de satellites, gros coups de vents.) Dark Gain 100 40 * 60sec 3x3 60 * 60sec 2x2 Flat Gain 0 30 * L 2x2 30 * R 3x3 30 * V 3x3 30 * B 3x3 DarkFlat Gain 0 30 * L 2x2 30 * R 3x3 30 * V 3x3 30 * B 3x3 Pour la next, je ferais le Dithering toutes les poses et pas une sur deux, voir si ça change un peu. La même en SHO avec mon newton (même diam)
    2 points
  4. un ciel qui se dégage en fin de journée en ce début d'année 2023 cela ne se rate pas 😉 de plus les conditions étaient au top ! Sortie du p'tit Mak 127 pour une mise en température et roule ma poule ! session qui s'est terminée par du visuel avec ma bino, sur la lune et là j'ai fait waouh !!! petites mosaïques lunaire partielles avec des captures faites à la barlow x2, toutes les conditions étaient là pour se faire plaisir... 1 petit transit de Ganymède et la GTR 2 3 4 5 6 Mars 8 Mosaïque partielle 9
    2 points
  5. Bonjour à tous, Meilleurs vœux à chacun d'entre vous pour cette nouvelle année ! Qu'elle soit riche de beaux ciels et d'observations passionnantes (et pourquoi pas une belle comète, on peut rêver un peu...) ! J'avais initialement publié l'info dans la rubrique "Médiathèque", mais celle-ci étant (beaucoup) moins consulté que le forum astrophoto, je pense qu'il est préférable que je l'indique ici (ça touchera sûrement plus de personnes potentiellement intéressées...). J'ai lancé la semaine dernière une série de tutos vidéo, afin de compléter ceux déjà présents (et à venir) sur mon site (Photon Millenium que vous connaissez peut-être). L'objectif est de couvrir l'ensemble des aspects du traitement astrophoto : du prétraitement aux corrections finales, en passant par la montée d'histogramme, la réduction du bruit, l'amélioration des détails, le mixage HDR, la création de mosaïques, etc. Ces tutos seront disponibles sur la chaine Youtube de Photon Millenium (www.youtube.com/@photonmillenium1904) ainsi que sur le site (https://millenniumphoton.com/tutos-videos/) sur lequel j'ajouterai si nécessaire des ressources supplémentaires (process icons, liens, etc.). Le but est que ces tutos puissent être utiles aux débutants/intermédiares dans le traitement astrophoto, d'où un plan avec des étapes bien distinctes et des vidéos qui essaieront de rester courtes (autant que possible...). Les logiciels utilisés seront essentiellement Pixinsight et Photoshop (éventuellement APP pour des sujets ponctuels). Je pense que la série complète devrait faire entre 20 et 25 épisodes, et j'essaierai d'en publier au moins un ou deux chaque semaine, afin que l'ensemble des tutos soit disponible rapidement. Le but n'est pas d'étaler ça sur des mois et des mois... Les 8 premières vidéos sont en ligne (ce qui correspond à l'intro + aux étapes 1 à 3 sur le plan ci-dessus) : 1/ Une présentation générale des étapes de traitement qui seront abordées, ainsi qu'une réflexion sur les critères d'une "belle" astrophoto : 2/ 12 conseils essentiels pour le traitement astrophoto ! 3/ Présentation des logiciels de traitement (en particulier PixInsight et Photoshop) : 4/ Le prétraitement (1/2) : les principes 5/ Le prétraitement (2/2) : mise en pratique 6/ Crop et retrait de gradients 7/ Corrections du fond de ciel 8/ La déconvolution Les prochaines vidéos suivront bientôt ! 😉 Par ailleurs, outre ces tutos, cela me permettra d’aborder sur la chaine des thématiques plus spécifiques, des sujets d’actualités sur le traitement astrophoto ou encore de tester certains matériels, logiciels ou fonctionnalités… J'espère que cela pourra vous intéresser ! Je vous remercie par avance pour vos retours, qu'ils soient positifs, critiques ou négatifs, afin d'essayer de m'améliorer pour les prochaines vidéos ! N'hésitez pas à vous abonner à la chaine pour être informé des prochaines vidéos et à les partager si vous les trouvez intéressantes ! JB PS : désolé de vous infliger ma tête sur les miniatures : ce n'est pas par narcissisme, mais la difficulté de trouver des éléments graphiques répétitifs pour que la série de vidéos ait une identité visuelle distincte et un peu reconnaissable m'a contraint à cette odieuse extrémité ! 😅
    1 point
  6. Fin d’année entre les taureaux céleste et terrestre ! Pour le 31 décembre 2022, nous avions programmé une soirée d’observation officielle pour tous les amoureux des étoiles, qu’ils soient astronomes amateurs ou simples curieux. Plusieurs membres d’AG33 étaient présents à cette dernière nuit de l’année 2022 : Denis, Jérémy, Joël, Patricia et moi-même. A notre arrivée avec Denis et Chara au Mémorial vers 16h30, nous avons remarqué une petite nouveauté. Dans les champs, l’agriculteur avait planté de l’herbe… mais cela, nous l’avions déjà constaté quinze jours plus tôt lors d’une sortie improvisée. Ce sont plutôt les ruminants, bovins et équidés, dont la présence était inédite si près du Mémorial. En regardant de plus près, je m’aperçus que de l’autre côté du fossé, pratiquement collé à la haiew, côté ouest et sud, il y avait un fil tendu sur de petits piquets à environ 1 mètre de haut : du fil électrique apparemment pour éviter que les bêtes ne viennent embêter les touristes venant admirer le Mémorial. Je vérifiais rapidement que notre prise était bien en dehors du secteur autorisé au bétail… ce qui était le cas. Elle se trouvait bien à l’extérieur, en environ 50 centimètres du fil. Chara, notre chienne, allait et venait d’un côté et de l’autre de la clôture, ne risquant aucunement de toucher le fil au vu de sa hauteur. Elle aussi était étonnée de sentir ces odeurs fortes et inédites. Passé cette surprise, on commença à s’installer… au loin, le grougrou des grues cendrées nous indiquait leur position au sud-ouest dans les champs. Elles étaient posées se délectant de quelques graines traînant dans les terres cultivées. J’emmenais mon setup grand champ tout près de la prise électrique : une petite rallonge, un trépied, une StarAdventurer, une table, une chaise, un marchepied, un sac photo contenant l’APN, l’objectif, la résistance antibuée + le contrôleur, et une sacoche d’ordinateur + sa tente de protection. Il me fallut faire plusieurs voyages. Pendant ce temps, Denis avait déjà bien entamé le montage de son Dobson 400. Je vis qu’il arrivait à la partie délicate de la pose du secondaire et décidais d’aller l’aider avant de poursuivre mon installation. Une fois le secondaire bien vissé sur les tiges, on remarqua qu’une vache se dirigeait tranquillement vers notre position, suivant un sillon entre les parcelles de champs. Ce devait être la cheffe car elle avait autour du cou une énorme cloche qui tintait assez fort. C’est d’ailleurs à cause du bruit qu’elle faisait qu’on avait remarqué son déplacement. Derrière elle, d’autres vaches et un taureau lui emboîtait le pas. Certaines de ces vaches, des génisses sûrement, devaient être jeunes car certaines s’arrêtaient pour jouer entre elles. Quand la distance avec la meneuse se faisait trop importante, les bovins retardataires se mettaient à galoper pour rattraper la file indienne. Le champ est grand et on vit ce petit manège plusieurs fois. Puis on s’aperçut que les bovins étaient en train de venir vers nous. Elles venaient de pénétrer dans le carré au sud de notre position et, très rapidement, étaient presque coller au fil électrique, à environ 5 mètre, pour nous détailler des pieds à la tête. Quand la chienne se montra, les bovins s’excitèrent… à croire que ces derniers n’avaient jamais vu la gente canine. Heureusement Chara, bien que courageuse, est loin d’être téméraire. L’odeur lui suffit à lui faire comprendre que ces animaux n’étaient aucunement intéressants pour elle et alla reprendre des forces en grimpant sur les fauteuils douillets de la voiture. La Lune était déjà bien présente… et le ciel parfaitement dégagé. La nuit s’annonçait belle mais un petit vent insistant était présent. Je me demandais si avec tous ces paramètres, il était bien raisonnable de faire des acquisitions. La suite me prouvera que non. Une fois le soleil couché, on prit le temps d’observer les grues aux jumelles qui venaient de prendre leur envol, sûrement pour rejoindre leur site de repos nocturne. Elles s’élevèrent en tourbillonnant avant de disparaitre à l’horizon. Je retournais donc près de la prise. Bien sûr les vaches s’avancèrent pour mieux voir ce que je venais faire. Il me restait peu de choses à installer. Je m’attachais à faire une mise en station assez fine mais j’avoue que la proximité des animaux de ferme était plutôt troublante. Avaient-elles bien consciences de l’électrification du fil ? N’allaient-elles pas tenter de venir renifler de plus près mon setup ? Mais elles ne bougeaient pas, me regardant fixement… enfin pour celles qui étaient tout près de moi. Derrière, certaines jeunes vaches semblaient minauder près du taureau. Ce dernier était plutôt chaud patate, voulant couvrir ces jeunes femelles. Mais elles n’étaient de toutes évidences pas prêtes à copuler et le taureau se voyait chassé du dos robustes de ces demoiselles sans conclure l’affaire. On peut dire qu’il était têtu le bougre. Il recommença son cirque jusqu’à ce que la nuit tombe. Je tentais de me concentrer sur ma cible. Au départ, je voulais faire la nébuleuse de la Tête de Singe. Cependant, même le filtre L-enhance n’a pas su atténuer suffisamment la lumière de l’astre sélène. Je me rabattais alors sur Orion… facile et lumineux, je ne devrais pas avoir trop de mal à faire une image finale. Je cadrais la célèbre nébuleuse et réduisais les poses unitaires à 30s… d’abord pour ne pas cramer le cœur, puis à cause du vent qui soufflait en rafale souvent gênante. Une fois les poses lancées, je fermais la petite tente protectrice de l’ordinateur pour cacher un peu la luminosité de l’écran. Les vaches étaient plutôt tranquilles et le taureau commençait à se calmer. J’entendais plus loin les chevaux qui hennissaient, galopant et jouant dans les champs. Je retournais voir les amis autour du Mémorial. Je remarquais que le site RTE au sud-est était tout illuminé alors qu’habituellement éteint. Peut-être était-ce exceptionnel ? Patou proposa alors de passer voir dans la semaine suivant si cette illumination était ponctuelle ou si un employé avait simplement oublié d’éteindre. Un couple et ses deux enfants étaient présents et profiter de l’observation de la Lune, Jupiter, Mars et l’amas ouvert d’E.T. Je sortis mes jumelles, les mit sur trépieds photo et invita les enfants à venir voir également la Lune. La petite famille resta avec nous une petite heure avant de partir réveillonner. A leur place, un curieux s’invitât. Lui aussi voulait profiter un peu de ce beau ciel avant d’aller rejoindre des amis pour le repas de la Saint-Sylvestre. Il était encore tôt : 18 h 30 environ. Patou et Jérémy avaient installé leur instrument. On continua les observations sur les trois télescopes, comparant les qualités optiques de chaque instrument. J’eus l’idée d’aller voir une comète située au-dessus de l’étoile polaire : C/2020 V2 (ZTF). Je pensais être un peu trop optimiste car à magnitude 10, sous cette lune gibbeuse et au-dessus de la cloche lumineuse de Bordeaux, on risquait de se heurter à une tache un peu trop faiblarde… la suite me prouva que non ! Dans le 400, elle se détachait bien du fond du ciel… et il me semblait même voir une courte queue de poussière. On essaya alors les nouveaux filtres Swan Band Comet. Le contraste s’en trouvait amélioré… mais avec la Lune et la PL de la capitale girondine, c’était difficile de juger ces filtres. Il faudra refaire des essais sous un ciel plus noir. On voyait bien aussi l’astre chevelu dans le C9 de Jérémy. Avec notre visiteur, nous avons fait un peu le tour des cibles possibles aux jumelles. Mais la plupart étant au zénith, cela devenait un peu sport. Nous pûmes voir la planète Jupiter et ses satellites galiléens, le rémanent de supernova du Crabe, la galaxie d’Andromède, deux amas ouverts de la constellation du Cocher, le double amas de Persée et bien sûr, la grande nébuleuse d’Orion. Nos nouveaux voisins étaient tranquilles, se déplaçant au gré de leur envie de manger ou d’uriner bruyamment. La nuit était maintenant bien installée et nos amis à quatre pattes s’étaient couchés pour ruminer. Pour nous aussi, il était temps de manger… On ouvrit la bouteille de cidre pour se faire un petit apéritif improvisée avec quelques bricoles à grignoter. Avec Denis, nous dînâmes d’un sandwich au saumon fumé suivi d’un sandwich à la crème de Roquefort. Chara qui s’était endormie dans la voiture, arriva vers nous pour tenter d’avoir un petit bout à se mettre sous la dent. Comme nous étions immobiles, on sentit le froid. La température était correct, vers 9/10°C mais le vent s’était un peu renforcé et devenait désagréable. Patou nous offrit alors de goûter à son jus de pomme chaud, aromatisé comme le vin chaud mais sans l’alcool. Nous fûmes agréablement surpris par le goût de ce breuvage inédit. Alors que notre visiteur nous quittait, Joël arriva. Il avait dîné en famille et venait finir l’année avec nous. Alors que je voulais lui montrer les bovins, ces derniers étaient parti plus loin… oh, pas très loin mais assez pour qu’on ne voit plus que leurs silhouettes se détachaient. J’allais vérifier mes poses et tout se passait bien de ce côté-là… il n’était pas loin de 22h. Je retournais voir les astropotes. On constata qu’à l’ouest une bande claire montait doucement dans le ciel. Notre soirée allait être écourtée malheureusement. Est-ce qu’on pourra la finir au Mémorial ? On verrait bien. Je décidais de poursuivre mes acquisitions jusqu’à ce que les nuages envahissent le zénith. On attaqua alors le dessert : une galette des rois… et deviner qui eut la fève ? C’est bibi ! Malheureusement (ou heureusement), le bonnet ne permettait pas d’y poser la couronne de papier ; Cette nouvelle pause « réconfort » nous fit comprendre que la température avait baissé d’un ou deux degrés et que le vent était toujours aussi agaçant. Les vaches étaient de retour mais cette fois mêlées aux chevaux. Encore quelques observations entrecoupées de discussions, toujours autour de l’astronomie. Nous étions en symbiose total, passant d’un télescope à l’autre. Mais le vent qui s’était renforcé encore une fois, nous amena les nuages plus vite que prévu. Je retournais à mon setup pour arrêter les acquisitions et lancer les dark. Il y en avait pour un petit quart d’heure. Quand je revins sur le site, Patou et Jérémy rangeaient leurs instruments. Les nuages ne laissaient plus assez de ciel pour trouver des cibles à observer… même Orion commençait à se voiler. Voici le résultat décevant mais attendu, au vu des conditions environnantes, sur la grande nébuleuse… je ferais sûrement mieux la prochaine fois. 213 poses de 30s – ISO 1600 – 25 DOF – focale à 200 mm – ouvert à f/5.6 – image cropée. Je partis alors ranger à mon tour. Denis et Jérémy me rejoignirent peu de temps après pour m’aider à tout rapatrier en un seul voyage. Une vache s’était approchée très près de nous pour mieux voir ce que nous faisions. Là, le taureau s’interposa tout en douceur mais fermement et lui fit faire demi-tour. Apparemment, n’étant plus sous l’emprise de ses pulsions, il avait repris son rôle de protecteur du troupeau et, même si nous n’avions rien d’inquiétant, le principe de précaution prévalait. Nous repartîmes alors vers le Mémorial et on prit encore quelques minutes pour tout ranger dans le coffre de la voiture, y compris la table de réconfort et le thermo de café. Il n’était que 23h40. J’invitais mes camarades à aller se mettre au chaud à la salle communale en attendant minuit… ici, le froid et le vent n’incitaient pas à faire la fête. Alors que le Taureau céleste culminait au zénith, le taureau terrestre s’était endormi au milieu de ses probables futures conquêtes ! Quant à nous 5, on rejoignit la salle, au chaud. Minuit venait de sonner et on se souhaitât le meilleur pour la nouvelle année. Encore une heure et demie de discussion autour de nos observations de l’année précédente, un peu de café, des biscuits au chocolat… et nous regagnâmes nos maisons, heureux d’avoir pu passer le réveillon de la Saint-Sylvestre sous un ciel étoilé, même si ce dernier n’a pas été au bout de nos ambitions ! Une très bonne année à vous toutes et tous et surtout un très bon ciel !
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  7. Salut, tout d'abord une très bonne année 2023 à tous ! Je vous présente mes deux dernières images, prises entre les nuages pendant les rares moments de répit que nous laisse la météo en IdF, avec quand même une turbulence inhabituellement forte. Tout d'abord, prise le 26 décembre dernier, voici NGC2146, une galaxie spirale barrée dans la constellation de la Girafe à la forme inhabituelle (luminance 200*60sec, chrominance 30*60 sec par couche) Ensuite, prise le 2 janvier, une image de la galaxie NGC 2683 dans le Lynx, une galaxie spirale relativement proche (30 millions d'a.l.) vue presque par la tranche. Toujours autant de turbulence et en plus une lune gibbeuse bien envahissante. Les nuages se sont invités au milieu de la chrominance (luminance 220*60sec, 30*sec pour la couche rouge, 13*60sec seulement pour la couche bleue, couche verte synthétique) bonne fin de journée, Dan Équipement : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + correteur de Wynne 2.5" Monture AP900 ASI183mm + filtres LRVB ZWO Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1
    1 point
  8. Bonjour à toutes et à tous, C'est une annonce très particulière pour moi, de vous présenter "officiellement" le projet sur WA. Un défi qui me tient à cœur depuis plus de 4 ans (avec une pause entre les 2, merci le COVID), enfin en phase de se réaliser petit à petit. Le projet Ouranos consiste à photographier notre maison dans l'univers, la Voie Lactée, en très, très haute définition, le long de son plan galactique - pour cette version. C'est une invitation au voyage, à l'émerveillement, à la (re)découverte de la Voie Lactée. L'objectif est de permettre de découvrir la beauté de notre galaxie le temps d'une balade interactive et de se "perdre" dans son immensité en se déplaçant de constellations en constellations, d'étoiles en étoiles, dans une seule image d'un seul tenant. Il a pour ambition de proposer la plus grande photo de notre galaxie au monde, où vous pourrez zoomer et naviguer entre les étoiles, les nébuleuses et les galaxies, dans une image de 10 milliards de pixels. Une première version incomplète, lancée en 2018, permet de se faire une idée, avec une image de plus de 200 millions de pixels dans la région proche du coeur de la Voie Lactée : https://maximeoudouxphotographie.fr/ouranos135-la-voie-lactee-en-haute-definition/ La nouvelle version de la mosaïque, de plus de 2000 champs, sera ensuite disponible sur internet et accessible à toutes et à tous. Ce projet personnel a déjà bien avancé, notamment avec des prises de vues à AstroQueyras AQ (plus haut observatoire d'Europe - 3000m d'altitude) et à Obstech - Observatorio El Sauce au Chili, sous des ciels parmi les meilleurs au monde. Zone d'acquisition et planning pour la phase 2, menée en 2022 Le travail n’est pas terminé, loin de là. C’est un grand défi technique qui prend un temps absolument dingue (on n'a rien sans rien...). Il oblige à évoluer dans un environnement astrophotographique littéralement hors normes où tout est plus grand, plus long, plus lent, plus difficile à réaliser correctement. Il s'agit de réaliser l'acquisition et l'assemblage de 2000 images du ciel ensemble, prises à des moments de l'année bien spécifiques, tenant compte d'une multitude de paramètres. Hauteur des zones photographiées dans le ciel, rotation de la Terre, conditions atmosphériques, taille des images, temps de pose idéal... rien n'est laissé au hasard. En parallèle, il faut développer la partie interface graphique et visualisation de l'image, afin de profiter au mieux de la mosaïque. Je vous en parlerai plus tard mais de côté, ça avance plutôt bien. Manipuler autant de champs demande de réaliser plusieurs essais - avec des ratés - avant d'obtenir un résultat convenable. Je ne compte plus du tout mes heures dessus, mais encore une fois, on n'a rien sans rien. Après plusieurs semaines de recherches et de calculs sur un traitement adapté à cette échelle, les premières images à champ large commencent enfin à arriver... et à ressembler à quelque chose, notamment vu les objectifs du projet ! Image de 23000 x 9500px (mosaïque de +/- 200 champs) disponible en HD sur https://maximeoudouxphotographie.fr/ouranos-voie-lactee-hyper-haute-definition Celle-ci est la dernière en date - et la plus complexe à manipuler. En effet, pour cette mosaïque de plus de 200 champs, la partie gauche du ciel (Sirius, Orion) a été photographiée au Chili ( Obstech - Observatorio El Sauce) alors que la partie droite (Taureau, Persée) a été photographiée en France ( Observatoire AstroQueyras). Les ciels n'étaient pas DU TOUT les mêmes au moment des prises de vue, avec même du vent à 80 km/h côté France ! La gestion du gradient (voile atmosphérique) était indispensable, car il était extrêmement visible et disgracieux. Cette image est un prototype, une "proof of concept", qui permet de valider plusieurs points techniques du projet, notamment la dynamique globale pour des images en pose unitaire de 180s à f/2. On a quand même un peu de jus à manipuler, mais il ne faut pas être gourmand sur le traitement, sinon gare à la détérioration ! Il reste encore des choses à voir car il y a des défauts, mais cela avance dans le bon sens. Pour les curieuses et les curieux, je pourrai vous montrer un peu l'envers du décor côté essais (et plantages...) sections partielles. Il y a BEAUCOUP à dire sur un projet pareil, qui est vraiment passionnant, quasiment sur tous ces aspects. Un pas après l'autre, OURANOS avance pour une sortie prévue en 2023 !
    1 point
  9. Bonjour et bonne année à tous. Une petite nuit claire jusqu'à 1h30 avec quelques passages nuageux en plus d'une lune très présente. Mais comme les soirées exploitables sont rares j'ai sorti les 2 setup. un plan large à la TS 60/360 avec red x0.8 sur HEQ5 Pro Rowan guidée par AZSI 120 min sur SV Bony 30/120 Filtre Optolong L Ultimate (1er essai) ASI 2600 MC Pro gain 100 à -15°C Acquisition Sharpcap 4.0 60 x 180 s - 50 Flats et 30 Darks Traitement Siril et Photoshop0 Par rapport à L'extrême il y a moins de halo et les étoiles sont moins présentes (pas de Reduction d'étoiles au traitement). Parallèlement un gros plan sur la tête de l'âme au SW 254-1200 avec red x0.75 sur AZ EQ6 Pro Rowan, guidé par ASI 120 MM sur TS 80/328 Filtre Optolong L EnHance ASI 294 MC Pro gain 120 à -15°C Acquisition Sharpcap 4.0 45 x 180 s - 40 Flats et 30 Darks Traitement Siril et Photoshop Ces 2 prises manquent visiblement de poses, mais c'est mieux que rien. Meilleurs vœux et bon ciel Philippe
    1 point
  10. Bonjour à tous, et tous mes voeux pour cette nouvelle année qui, astronomiquement parlant, démarre sur les chapeaux de roue en ce qui me concerne : en effet, entre deux périodes de grisaille et de pluie, Météoblue ne s'était pas trompée en annonçant une nuit claire...et une seule...pour la St Sylvestre !! Comme je n'ai pas pour habitude de faire la java jusqu'à point d'heure pour le nouvel an, je vais pouvoir profiter de cette éclaircie inespérée pour sortir le 450 . Donc, après une ou deux coupes de champagne, un bon petit repas en famille et un jeu de société avec les enfants, il n'est que 22h30 lorsque je rejoins mon tube qui m'attend sagement depuis 17h00 en prenant le frais. C'est une nuit assez exceptionnelle pour la Creuse en cette saison : il fait encore 13° ( j'ai bien trop chaud avec mon équipement) et, surtout, il n'y a pas une once d'humidité !! Les étoiles ne scintillent pas ce qui est très bon signe. D'autant plus qu'avec la Lune bien présente j'ai l'intention de me concentrer sur la planète du moment : Mars. Après avoir testé la collimation ( effectuée au "Cat's eye" quelques heures plus tôt ) sur la polaire, je suis prêt à commencer ! Je jette rapidement un coup d'oeil sur Jupiter qui devrait bientôt disparaitre derrière les grands chênes qui bordent mon terrain vers l'ouest : malheureusement même si la turbu ne semble pas très forte, la planète géante est déjà bien trop basse dans l'atmosphère et m'apparait en "trichromie" et sans beaucoup de détails visibles à part les deux principales bandes brunâtres....je passe ! Je me rattrape par une magnifique balade sur la Lune. Avec le 13mm ( 190X ) l'image est à couper le souffle : pour une fois le ciel est d'une stabilité peu commune par chez moi, c'est net et sans bavures, découpé au rasoir !!! De Platon jusqu'à Clavius en passant par Copernic et ses gradins, la chaine des Appenins, Rupes Recta, la mer des pluies...j'ai l'impression de survoler notre satellite. Les nuances de gris sont incroyables !! Jamais je n'ai eu une vision aussi fine avec le 250. Les optiques réalisées par Mirro-sphere tiennent enfin leurs promesses : pas de diffusion, un contraste de folie....je suis scotché !!! je décide de passer au 9mm ( 250 X ) : l'image commence à onduler légèrement mais ce n'est pas encore trop gênant. il y a d'assez longs "trous de turbu" et même si c'est un peu moins esthétique j'arrive à glâner quelques détails supplémentaires...l'image reste encore très belle et je m'éclate bien la rétine !! Finalement, un peu après 23h00 je me décide enfin à passer à ma cible principale de la soirée. Mars est bien haute dans le ciel et, vue la bonne stabilité de l'atmosphère cette nuit, je vais certainement pouvoir enfin profiter de la dernière fenêtre d'observation favorable de cette opposition. Je pointe directement avec le 9 mm...et je suis pas déçu !!! Après m'être grillé la rétine sur la Lune, je ne suis pas, pour une fois, totalement ébloui par la petite planète : au contraire, l'image est bien stable et je suis frappé immédiatement par les nuances de couleur ( de l'ocre au brun foncé en passant par le rose saumon et le rouge brique ) et le contraste prononcé entre les différentes zones ! Certes c'est bien petit ( en 2020 mars avait une taille apparente de 22" et j'avais eu des conditions exceptionnelles qui m'avait permis de grossir 500 X avec le 250, alors que là elle ne fait que 14" et je ne suis qu'à 250 X ) mais je suis ravi de percevoir autant de détails dès les premières secondes : une grande formation triangulaire qui me fait un peu penser à L'Afrique est visible, juste à l'est du méridien, qui ne peut être que Syrtis Major, avec une grande tache plus claire au dessus, Hellas Planitia. Je suis sous le charme ! Au bout d'un temps certain, je suis tiré de ma contemplation par une série de détonations : ça y est, il est minuit, nous sommes en 2023 ! Les pétards se calment et l'atmosphère aussi : je sors le 7 mm pour un GR de 330X...la planète ondule un peu, l'image est un peu floue par moment...mais quand ça veut bien se figer ça commence à causer !!! Je chope encore quelques détails : comme une épaisse ligne brunâtre qui prolonge Syrtis vers l'ouest et quelques formations isolées dans la partie nord du disque planétaire. Par contre, pas de calotte visible au sud comme en 2020, juste une zone légèrement plus claire. Vers 1h00, le ciel se couvre légèrement : un fin voile nuageux arrive par l'ouest, créant déjà un halo autour de la Lune. 30 minutes plus tard, c'est au tour de la planète rouge de se voiler : la luminosité dans l'oculaire diminue mais l'atmosphère semble se stabiliser de plus en plus ! Enfin, vers 2h00 du matin, c'est le miracle !!! Les images au 7mm sont de plus en plus belles alors je décide de tenter le coup : pour la première fois depuis que j'ai fait l'acquisition de mon nouveau tube, je m'en vais chercher le Vixen SLV 5mm !! C'est la toute première fois qu'il sort de la valise d'ailleurs car il n'y a que quelques mois qu'il a remplacé mon ancien TMB 5 mm......champagne !!! Bon, à 460X de Gr, l'image est loin d'être découpée au rasoir mais c'est suffisamment stable pour être plus qu'exploitable : ça ondule un peu, ça se floute plus ou moins pendant quelques minutes, j'ai parfois du mal à trouver la MAP, mais il y a aussi de longs moments où ça veut bien se calmer....et là ça claque !! Enfin, c'est la première fois où j'ai vraiment l'impression d'approcher le plein potentiel du 450 en planétaire !! Du coup, ça me permet de tester les qualités de suivi de la structure Sud-Dobson.... Rien à dire : les mouvements sont assez fluides, les vibrations s'atténuent en moins d'une seconde après un repointage...que du bonheur !! Je ne perds pas la planète une seule fois même lorsque je descends pour déplacer l'escabeau ! D'ailleurs, j'égrène mentalement les secondes pendant que la planète défile et j'en conclus que la petite boule orangée reste environ 20 à 30 secondes dans les 83° du Vixen....amplement suffisant pour un suivi manuel sans se prendre la tête... Je dois pouvoir monter encore plus dans les GR sans gros souci...la nuit où le ciel sera de la partie !! Bon, je m'éclate tellement que je reste l'oeil scotché à l'oculaire jusque vers 4h00 du mat avec seulement quelques courtes pauses pour ménager mon dos et changer un peu de position. Ensuite, le ciel se dégage de nouveau et la planète a déjà bien baissée : la turbu revient et je suis obligé de redescendre en Gr avec le 7 mm mais je continue encore jusqu'à 4H30. Avec près de 6h00 d'observation continue, la rotation de Mars est bien mise en évidence : Syrtis Major a eu le temps de disparaître à l'est et de nouvelles formations sont apparues par l'ouest. Moi, je me suis vraiment amusé et réconcilié avec le planétaire !! Pour être franc, je ne dirais pas que ce sont les plus belles images de Mars de ma vie car, en 2020, les conditions étaient bien meilleures pendant plusieurs jours et la plus grande taille apparente de Mars compensait largement la différence de diamètre entre les deux instruments, mais ce n'était pas loin...j'ai vraiment pris du plaisir et j'ai été bluffé par la qualité optique de mon nouveau tube! Pour finir, avant d'aller me coucher, je me suis fait un rapide tour des amas du Cocher et des Gémeaux....pas mal du tout dans le pano 24. Comme pour une fois j'observais depuis mon jardin j'ai pu me payer le luxe de tout laisser en plan pour un rangement ultérieur car pas de pluie prévue. Et cerise sur le gâteau, le lendemain après midi, j'ai finalement profité du fait que le matériel était déjà dehors pour donner son premier bain de l'année à ma galette de verre de 450 mm !! L'année 2023 commence plutôt bien ! Bon ciel à tous, merci de m'avoir lu, JC
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  11. Inutile de s'embêter avec un laser pour ce télescope, un cheschire sera bien plus efficace (et ne tombera pas en panne). Ou mieux encore, un simple bouchon de porte oculaire 1''1/4 percé d'un trou en son centre. Laser - Coût = 100%, - Facilité d'utilisation = 25% (à cause du réglage du laser qui n'est pas aussi simple qu'on le pense) - Précision de la collim : 75% (il faut savoir le régler et ce n'est pas si simple que ça, ne permet pas une collim complète) - Satisfaction de l'astronome amateur = 75%, - Risque de panne = 50% (batterie HS, trop froid pour le laser, laser HS), - Satisfaction du geek = 100%. Cheschire - Coût = 50%, - Facilité d'utilisation = 80% (dans le noir, il faut éclairer, c'est pas difficile mais ça rend l'opération un chouya plus compliquée) - Précision de la collim = 95% (il faut respecter les étapes, mais tout se fait avec cet objet) - Satisfaction de l'astronome amateur = 100%, - Risque de panne = 0% - Satisfaction du geek = 10% Bouchon percé - Coût = 0,00001%, - Facilité d'utilisation = 100% - Précision de la collim = 90% (pour le 130/900, d'autant moins que le diamètre est gros, ne permet pas une collim complète) - Satisfaction de l'astronome amateur = 90%, - Risque de panne = 0%, - Satisfaction du geek = 0%. PS : critères purement subjectifs ! Voilà. Note que ci-dessus, il s'agit d'un bouchon de porte oculaire percé (vendu à prix d'or avec le laser) et en aucun cas de Cheschire !!! Voici à quoi ressemble un vrai Cheschire : https://www.telescopes-et-accessoires.fr/outil-de-collimation-sky-watcher-coulant-3175mm-c2x30341220 Et voici la SEULE, l'UNIQUE et MEILLEURE méthode de collimation d'un newtonien avec un cheschire, par Denis Bergeron : http://www.astrosurf.com/d_bergeron/astronomie/Bibliotheque/collimation/collimation.htm Inutile de chercher un tutoriel ailleurs, il n'y a pas mieux (mais il faut savoir lire, quoiqu'il a récemment mis en ligne une vidéo pour les non-lisants 🙃 ) !
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  12. Vidéo de 120 s sur firecapture, puis traitements sur autostakkert et astrosurface 😉
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  13. Je n'ai pas dit que le suivi équatorial était inutile ! Comme la chaise astro Kivabien c'est un confort supplémentaire qui aide à mieux se concentrer et peut être à mieux voir. Mais, ça n'est pas vital avec les GR que nous utilisons habituellement car je trouve que, perso, je n'ai aucun problème en manuel jusque vers 500 X. Par contre, cela représente un certain budget et quelques contraintes supplémentaires ( alimentation électrique en nomade ) que je ne pouvais pas me permettre lorsque j'ai choisi mon dernier tube : mon budget n'était pas extensible et je voulais le plus gros diamètre possible pour mon miroir artisan ainsi qu'une bonne structure. Je pense d'ailleurs que si j'avais eu 1000 euros de plus à dépenser j'aurais plutôt pris un Ethos qu'une table équato. Et j'ai aussi dû faire une croix sur la chaise astro car maintenant je suis obligé d'utiliser un escabeau...mais tant pis !! Pour moi, la chaise et le suivi sont d'un intérêt négligeable par rapport au gain en diamètre instrumental !! En fait, plutôt 5h30 mais c'est déjà pas mal pour une seule planète ! Oui, j'ai oublié d'en parler mais j'ai fait quelques croquis des différentes formations perçues deux fois dans la nuit. Malheureusement je n'ai pas le temps de les remettre au propre en ce moment ! Ben moi aussi les équatos foireuses m'ont poussé vers les Dobsons et depuis je me suis bien habitué ! Voui !! Faut toujours garder une tite place pour un peu de CP dès que la Lune est couchée !! Par contre, j'avais pas sorti l'atlas donc j'ai visé du grand classique, que je peux trouver les yeux fermés, pour me rincer l'oeil avant de me pieuter !! Merci à tous pour les commentaires, JC PS: Je viens de remettre ça la nuit dernière mais pas le temps de CROATER pour le moment...les conditions étaient encore plus incroyables : j'ai sorti la barlow 2X de la valise !!!!
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  14. Eh ben soirée fort belle hier soir, ça change!!!! Aucune turbulence, humidité forte et fluctuant entre 80 et 90% qui n’a pas réussi à fâcher le plaisir. mars à 800x a tomber!!! Puis observation de la Lune, y avait pas besoin de beaucoup bouger le télescope 😄 j’ai observé gassendi a 800x en mono et surtout 360xen bino, un spectacle époustouflant!!!! J’avais jamais eu autant de détails planétaires depuis que j’ai le 400 (en septembre)
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  15. Regarde ce site. Si le résultat est inférieur à 1:5, c'est bon https://astronomy.tools/calculators/guidescope_suitability
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  16. L'assemblage et le traitement pour ce projet passe par APP et Pixinsight oui. Les 2 logiciels sont très bons pour gérer des zones assez larges du ciel, mais cela demande d'adapter l'approche et les réglages pour éviter des défauts de fusion des champs (rotation, distorsions géométriques), de gradient ou de vignettage résiduel visible. Ces logiciels sont faits pour manipuler des champs plutôt grands, mais pas à ce point; il faut ruser ! Pour trouver les bonnes approches, de nombreux essais sont nécessaires. Vu que personne dans le monde (en amateur, et même du côté pro ça n'est pas si courant) n'a fait ce type d'assemblage avec autant de champs et avec ce type de setup, il faut procéder par essais, et être patient. Certaines étapes de traitement demandent plusieurs heures... et parfois on se rend compte que le résultat n'est pas le bon, donc on recommence ! Pour cette mosaïque, oui, c'est à chaque fois une brute de 180s sans stacker. Cela peut paraître peu, mais cela est contrebalancé par le fait que le projet est réalisé avec une caméra CMOS refroidie, un objectif ouvert à f/2 (2x plus de lumière qu'à f/2.8 et 4x plus qu'à f/4), sans filtre (IR-Cut), sous des ciels parmi les meilleurs au monde (Bortle1 et SQM 21.8 minimum, on a dépassé les 22 parfois !) et une limitation de shoot uniquement au-dessus de 30° de l'horizon pour avoir une atmosphère plus transparente. Il y a déjà du signal à exploiter, et les logiciels permettent de proposer un résultat très intéressant "malgré" la pose unitaire 👍
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  17. Sur cette image, deux sortes de « bulles » qui n’ont l’air de rien, comme de petites bulles de savon fragile flottant dans l’espace… Mais c’est une apparence trompeuse, car ce qui s’y déroule est en réalité un des phénomènes les plus violents de l’univers ! On assiste ici aux derniers instants de très, très jeunes étoiles, des bébés en termes de temps sidéraux - encore engoncé dans leurs berceaux, les nébuleuses qui let ont vu naître. Pourtant, il s’agit d’étoiles parmi les plus gigantesques, massives et brillantes de notre galaxie ! Il en est ainsi chez les étoiles : plus elles sont grandes, plus elles brûlent rapidement leur carburant, et plus elles meurent jeunes. Ce genre d’étoile est vorace, un véritable ogre, qu’on qualifie de type « Wolf-Rayet », du nom de deux astrophysiciens français ayant découvert ce genre de monstre. Elle a dévoré d’une traite, en quelques millions d’années, à peine tout son carburant primaire, l’hydrogène – à titre de comparaison au bout de 5 milliards d’années le soleil, lui, n’a entamé que la moitié de ses propres réserves, pourtant bien plus réduites. L’ogre est ensuite passée à ses carburants dit secondaire : hélium, puis éléments plus lourds… L’énergie titanesque qui se dégage de ces nouvelles réactions nucléaires expulse peu à peu ses couches externes de matière dans l’univers - à des vitesses dépassant l’entendement, quelques milliers de kilomètres par seconde ! En rencontrant le gaz de la nébuleuse environnante – le berceau de l’étoile – elle crée tout autour d’elle une onde de choc terrible, un front déjà surchauffé que vient en plus illuminer et ioniser le rayonnement intense de l’étoile, qui s’éloigne peu à peu de l’étoile comme une bulle gigantesque. Comme beaucoup de monstres, cette étoile est destinée à une mort violente et tragique : quand elle aura brûlé tout ce qu’elle pourra, elle n’aura plus la force de retenir la matière de son noyau de s’effondrer sous l’effet de la gravité. Alors elle implosera puis explosera d’un coup en une supernova, l’évènement le plus puissant de l’univers après les quasars. A droite, on a une petite bulle « récente » en termes de temps sidéraux, nommée « Nébuleuse de la bulle » (NGC 7635) tout simplement. Son diamètre est de 10 années lumières, ce qui est énorme - à titre de comparaison la zone d’influence d’une étoile plus classique, comme le soleil, ne dépasse pas 12 heures lumières… A gauche, on a un phénomène qu’on pense similaire mais dont on voit des conséquences plus éloignées dans le temps (quelques millions d’années de plus), avec des gaz formant encore des sortes de fronts arrondis autour de l’étoile, probablement des résidus d’une bulle similaire à celle de droite - elle est surnommée « nébuleuse de la Pince de Homard » (Sh2-157), ce qui est assez bien vu ! Dans les deux cas, l’étoile-monstre n’en n’occupe pas le centre, mais elle est proche d’une de ses « parois » bleuté : en effet le milieu rencontré dans une direction par la matière expulsée est plus dense que de l’autre côté, ce qui en ralentit la progression et déforme donc la bulle. (EDIT: photométrie des étoiles corrigées) EXIFS: Prises sur les 5 rares nuits ou demi-nuits qu'on a eu cet automne, dans des conditions souvent pas terribles... Environs 14h de pose: 8h5 Ha, 3h30 Oiii, 2h15 Sii, filtres Antlia 3nm (Ha et Oiii) et 4.5nm (Sii) + Couleurs d’étoiles : 20x20s chaque couche R/G/B en bin2x2 avec les filtres Baader CCD Zwo 2600mm pro (-10°C/Gain 100/Offset 50) Lunette APO TS Photoline 102mm f/5 (avec réducteur) + focuseur Baader Steeldrive Monture AZEQ6 Guidage au chercheur + zwo 178mm Logiciels : Kstar/Ekos sur Stellarmate RPI4, PHD2, Siril, Photoshop Ciel Bortle 4 Il n'y a sans doute pas assez d'Oiii, il faudra que je complète un minimum - si la météo m'en laisse le loisir...
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  18. Pas prises par moi bien sûr. Ces photos de la Terre vue de la Lune prises par la sonde coréenne Danuri sont à couper le souffle ! Enfin, surtout pour la Lune. N'hésitez pas à double cliquer. Bonne fin de journée. https://universemagazine.com/en/danuri-takes-amazing-pictures-of-the-earth-rising-over-the-moon/
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  19. Pour moi, l'intérêt de l'Orion Optics 300/1200 n'était pas d'avoir un miroir d'artisan (vu les prix, il ne faut pas rêver) mais d'avoir un 300 mm transportable. Mon Dobson 300/1200 (avec tube Orion Optics, donc), je le sors en un seul bloc dans le jardin sans avoir besoin de me baisser en passant la porte, ça prend trois secondes, et j'observe toujours assis. Tout à l'heure il y a eu une éclaircie et je l'ai sorti pour Mars, mais l'éclairicie n'a pas duré et, comme j'avais peur qu'il pleuve, je l'ai aussitôt rentré. Mais on dirait que le ciel se dégage à nouveau, je vais le ressortir. Je ne pourrais pas faire ça avec un 300/1500 chinois, bien plus lourd et moins maniable − ça change tout ! Mon 300/1200 est un petit télescope, le 300/1500 chinois est un gros télescope. Pour moi, voilà l'intérêt principal de l'Orion Optics (à condition d'avoir une optique correcte, comme c'était le cas il y a vingt ans).
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  20. Merci pour vos passages ! je n'étais pas trop satisfait du résultat au scan alors j'ai refait d'après la photo avec APN. Ni l"une ni l'autre solution ne donne réellement satisfaction, le scan modifie les couleurs planétaires, avec l'APN c'est le fond de ciel qui n'est pas régulier. Bref après beaucoup de réglages sous GIMP ça donne cela qui me semble un peu plus réaliste de ce que j'ai vu à l'oculaire (toutefois sur la première Mars - au T300 - les formations sont un peu plus ardoise que brunes) Ah ! quand il ne fait pas beau, on chouchoute son moindre petit dessin, comme pour faire durer la sortie en question ! 😃
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  21. Un p'tit tour sur la lune le soir du 06 octobre 2022 Mak 127, Asi224mc, filtre IR cut 1 2 3 4 5
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  22. Ce coup-ci nous nous sommes arrêtés sur est un petit objet de 3.4’ d’arc sur 1.7’ d’arc… NGC 520 ou Arp 157 Nous vous présentons 2 galaxies en interaction dans les Poissons : NGC 520 (Arp 157) montrant toute la cinématique des fusions galactiques. Seules des parties des galaxies originales sont quelque peu identifiables. Une très grande queue de marée fait une boucle loin du chaos central. Ces galaxies entrent en collision à environ 100 millions d’années-lumière de nous et celle-ci en particulier est l’un des exemples les plus brillants du ciel. Arp a celui-ci dans sa classe « Perturbée par l’absorption intérieure ». Notez la faible queue de marée allant vers le nord vers le faible UGC 957. Ils ont été découverts par l’astronome William Herschel le 13 décembre 1784. Halton Arp l’a appelée la deuxième galaxie très perturbée la plus brillante du ciel, et elle est aussi brillante dans les bandes infrarouge et radio que les galaxies des antennes. Les simulations indiquent que cet objet est constitué de deux disques galactiques qui ont commencé à interagir il y a environ 300 millions d’années. Le système est encore à un stade précoce de sa fusion, montrant deux systèmes de vitesse distincts dans les spectres, et deux petites queues. Deux noyaux galactiques ont été détectés, et l’un est un noyau H II. Une interprétation possible est qu’une galaxie plus petite et irrégulière (représentée par le fragment en forme de croissant S de la voie de poussière de la plus grande galaxie) a balayé latéralement la plus grande galaxie. Les deux ont des régions centrales très lumineuses et elles se rencontrent à un angle d’environ 10°. La voie de poussière de la galaxie principale est fortement perturbée : il s’agit d’un large ovale dans la partie orientale, se rétrécissant à mesure qu’il traverse le noyau, puis s’élargissant à nouveau, définissant un faible panache de matière émergeant vers l’ouest. Un panache proéminent de matière émerge du noyau, s’élargissant et se courbant vers le SSE. Dans un télescope à ouverture modérée, la galaxie est brillante et d’une forme particulière. L’enveloppe principale est assez uniforme en matière de luminosité de surface. L’extrémité ouest est très légèrement plus large que le milieu. La pointe orientale bifurque en deux, le corps principal se courbant légèrement vers le E, tandis qu’un court éperon s’avance vers l’ESE. Dans l’ensemble, l’enveloppe est assez bien définie et est allongée ESE-WNW. Les commentaires de découverte de Herschel du 13 décembre 1784 disent seulement que l’objet est: « Extrêmement faible, considérablement grand, étendu ». Le composant galactique principal est vu de bord, ce qui le rend plus faible dans la bande optique. La composante secondaire est plus brillante mais moins massive que la principale, et est située au nord-ouest. Ils sont séparés par une bande sombre de poussière. La région des galaxies à l’extérieur de leurs noyaux a connu une période de formation accrue d’étoiles à peu près au moment où elles ont commencé à interagir. Sur cette image on peut aussi voir notamment : · 2 objets bleuâtres : une galaxie devant un couple de galaxies (en bas à gauche) MCG00-04-124 et une galaxie dans un amas de galaxies UGC 957 (en haut à droite) · Une galaxie proche de NGC 520 (vers le bas) : LEDA 5195 de mag 17.46 P.S : Bon ça ne vaut pas celle d’Adam Block avec ses 32 mais bon!... https://www.adamblockphotos.com/ngc-520.html Details and Full on Astrobin : https://astrob.in/full/caudor/0/ L’image est traitée en drizzle, croppée mais pas entièrement remis à sa taille d’origine.
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  23. Hello, tout d'abord je profite de poster cette image pour souhaiter à toute la communauté une belle et heureuse année 2023, avec tous mes voeux de santé et de sérénité. Je vous présente ma version des Pléiades : Voilà 3 ans que je souhaitais capturer cet amas sans jamais trouver ni le temps ni le ciel dégagé à la bonne période. Comme pour mes précédentes photos, c'est pris avec la 80ED SW et son réducteur, sur HEQ5, au Sony A7s Astrodon. Particularité : c'est ma toute première avec autoguidage ! (PHD2, asi 120mm sur chercheur 9x50). Acquisition de 332 images de 30s avec PHDmax ; prétraitement avec SIRIL et traitement avec PS (méthode starless avec StarXterminator, réduction du bruit avec NoiseXterminator, notamment). L'image est recadrée. Et comme je n'étais pas tout à fait satisfait j'en ai fais une seconde version : Bon j'aime moins les étoiles sur cette version mais elle a la préférence de mon entourage alors je soumets Merci pour vos commentaires et conseils. Alexis
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  24. Rien que ça justifie tout... ❤️ Très agréable à lire comme réflexion, qui rejoint un peu le conseil : "le meilleur télescope est celui dont on se sert"
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  25. + 1. Et c'est pour cela que comme j'aime pas perdre de temps, sur mes Dobs, je fais tout au laser... Le moins cher, l'Antares que j'ai depuis bien longtemps et le Geoptik en secours, les 2 se ressemblant... énormément !
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  26. Le Will Tirion en cite quelques centaines.
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  27. et une pupille de sortie de plus d'1mm par dessus le marché, pour un éclairement royal des deux rétines...... Le rêve !!! oui, ici aussi. Faut dire que Jupi était particulièrement belle quand même hier soir. Ça fait plaisir de lire que vous avez, vous aussi, pu profiter du spectacle hier soir
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  28. Personne en a parlé? Teamviewer jamais de soucis
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  29. Bonjour, je me permet d'intervenir là-dessus ayant été précisément dans ce cas de figure cet été. J'ai eu mon premier télescope (un mak 150) avec le 28mm Skywatcher d'origine et j'avais pris d'entrée de jeu un Hyperion 13mm (dont le coulant 1,25'' se dévisse pour devenir un ~26mm/68°). Et bien dès le premier soir d'utilisation, j'ai remarqué après quelques secondes à l'oculaire seulement que l'oculaire d'origine ne tenait absolument pas la comparaison, même avec mon œil tout à fait néophyte. La différence de piqué de l'image notamment était instantanée. La démarche d'acheter d'entrée de jeu un oculaire de meilleure qualité ne me paraît du coup pas bancale (le 28mm skywatcher n'est jamais ressorti de sa boîte).
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  30. Salut, j'utilise VNC et ça marche même depuis un téléphone Android 😁. Le mini PC dehors, le PC dans la maison qui récupère les images aufur et à mesure avec bureau à distance Windows et qui a le VNC server et depuis mon lit, tablette ou tel Android pour suivre
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  31. Vu le tarif, et le "Envoi postal possible ", ça pue de fou c'est clair.... en plus c'est un nouveau membre. Bien vu!
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  32. Cependant un 5 mm serait très utile pour l'observation des planètes (Jupiter et Mars, et bien sûr la Lune) et me paraît prioritaire..
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  33. Bonjour les amis , J'espère que vous allez bien . Voici la première photo de l'année 2023 elle est en négatif , il s'agit d'une feuille de Colza ,l'objectif du microscope est de 10X
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  34. Ha oui ça le fait , surtout avec ce type d'instrument. C'est certain que ce serait plus aisé avec un newton f/5 à diamètre équivalent. Comme tu le dis si bien maintenant: Bonne continuation en tous cas
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  35. ah oui joliiiiiiies . J'ai, à peu de choses près, le même matos que toi (sauf monture: Celestron AVX), mais je suis loin de faire des photos comme ça (moi je serais plutôt expert en photos moches ). En voyant tes photos ça me motive un peu plus pour essayer de faire ça plus sérieusement Bravo . Merci pour le partage
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  36. Bonjour, Merci pour ces vidéos avec les codes couleurs qui renseignent bien .... Excellent !
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  37. Un chouette CROA. Merci du partage. C'est pas commun des bovins aux soirées astro 😄
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  38. Fin d’année entre les taureaux céleste et terrestre ! Pour le 31 décembre 2022, nous avions programmé une soirée d’observation officielle pour tous les amoureux des étoiles, qu’ils soient astronomes amateurs ou simples curieux. Plusieurs membres d’AG33 étaient présents à cette dernière nuit de l’année 2022 : Denis, Jérémy, Joël, Patricia et moi-même. A notre arrivée avec Denis et Chara au Mémorial vers 16h30, nous avons remarqué une petite nouveauté. Dans les champs, l’agriculteur avait planté de l’herbe… mais cela, nous l’avions déjà constaté quinze jours plus tôt lors d’une sortie improvisée. Ce sont plutôt les ruminants, bovins et équidés, dont la présence était inédite si près du Mémorial. En regardant de plus près, je m’aperçus que de l’autre côté du fossé, pratiquement collé à la haiew, côté ouest et sud, il y avait un fil tendu sur de petits piquets à environ 1 mètre de haut : du fil électrique apparemment pour éviter que les bêtes ne viennent embêter les touristes venant admirer le Mémorial. Je vérifiais rapidement que notre prise était bien en dehors du secteur autorisé au bétail… ce qui était le cas. Elle se trouvait bien à l’extérieur, en environ 50 centimètres du fil. Chara, notre chienne, allait et venait d’un côté et de l’autre de la clôture, ne risquant aucunement de toucher le fil au vu de sa hauteur. Elle aussi était étonnée de sentir ces odeurs fortes et inédites. Passé cette surprise, on commença à s’installer… au loin, le grougrou des grues cendrées nous indiquait leur position au sud-ouest dans les champs. Elles étaient posées se délectant de quelques graines traînant dans les terres cultivées. J’emmenais mon setup grand champ tout près de la prise électrique : une petite rallonge, un trépied, une StarAdventurer, une table, une chaise, un marchepied, un sac photo contenant l’APN, l’objectif, la résistance antibuée + le contrôleur, et une sacoche d’ordinateur + sa tente de protection. Il me fallut faire plusieurs voyages. Pendant ce temps, Denis avait déjà bien entamé le montage de son Dobson 400. Je vis qu’il arrivait à la partie délicate de la pose du secondaire et décidais d’aller l’aider avant de poursuivre mon installation. Une fois le secondaire bien vissé sur les tiges, on remarqua qu’une vache se dirigeait tranquillement vers notre position, suivant un sillon entre les parcelles de champs. Ce devait être la cheffe car elle avait autour du cou une énorme cloche qui tintait assez fort. C’est d’ailleurs à cause du bruit qu’elle faisait qu’on avait remarqué son déplacement. Derrière elle, d’autres vaches et un taureau lui emboîtait le pas. Certaines de ces vaches, des génisses sûrement, devaient être jeunes car certaines s’arrêtaient pour jouer entre elles. Quand la distance avec la meneuse se faisait trop importante, les bovins retardataires se mettaient à galoper pour rattraper la file indienne. Le champ est grand et on vit ce petit manège plusieurs fois. Puis on s’aperçut que les bovins étaient en train de venir vers nous. Elles venaient de pénétrer dans le carré au sud de notre position et, très rapidement, étaient presque coller au fil électrique, à environ 5 mètre, pour nous détailler des pieds à la tête. Quand la chienne se montra, les bovins s’excitèrent… à croire que ces derniers n’avaient jamais vu la gente canine. Heureusement Chara, bien que courageuse, est loin d’être téméraire. L’odeur lui suffit à lui faire comprendre que ces animaux n’étaient aucunement intéressants pour elle et alla reprendre des forces en grimpant sur les fauteuils douillets de la voiture. La Lune était déjà bien présente… et le ciel parfaitement dégagé. La nuit s’annonçait belle mais un petit vent insistant était présent. Je me demandais si avec tous ces paramètres, il était bien raisonnable de faire des acquisitions. La suite me prouvera que non. Une fois le soleil couché, on prit le temps d’observer les grues aux jumelles qui venaient de prendre leur envol, sûrement pour rejoindre leur site de repos nocturne. Elles s’élevèrent en tourbillonnant avant de disparaitre à l’horizon. Je retournais donc près de la prise. Bien sûr les vaches s’avancèrent pour mieux voir ce que je venais faire. Il me restait peu de choses à installer. Je m’attachais à faire une mise en station assez fine mais j’avoue que la proximité des animaux de ferme était plutôt troublante. Avaient-elles bien consciences de l’électrification du fil ? N’allaient-elles pas tenter de venir renifler de plus près mon setup ? Mais elles ne bougeaient pas, me regardant fixement… enfin pour celles qui étaient tout près de moi. Derrière, certaines jeunes vaches semblaient minauder près du taureau. Ce dernier était plutôt chaud patate, voulant couvrir ces jeunes femelles. Mais elles n’étaient de toutes évidences pas prêtes à copuler et le taureau se voyait chassé du dos robustes de ces demoiselles sans conclure l’affaire. On peut dire qu’il était têtu le bougre. Il recommença son cirque jusqu’à ce que la nuit tombe. Je tentais de me concentrer sur ma cible. Au départ, je voulais faire la nébuleuse de la Tête de Singe. Cependant, même le filtre L-enhance n’a pas su atténuer suffisamment la lumière de l’astre sélène. Je me rabattais alors sur Orion… facile et lumineux, je ne devrais pas avoir trop de mal à faire une image finale. Je cadrais la célèbre nébuleuse et réduisais les poses unitaires à 30s… d’abord pour ne pas cramer le cœur, puis à cause du vent qui soufflait en rafale souvent gênante. Une fois les poses lancées, je fermais la petite tente protectrice de l’ordinateur pour cacher un peu la luminosité de l’écran. Les vaches étaient plutôt tranquilles et le taureau commençait à se calmer. J’entendais plus loin les chevaux qui hennissaient, galopant et jouant dans les champs. Je retournais voir les amis autour du Mémorial. Je remarquais que le site RTE au sud-est était tout illuminé alors qu’habituellement éteint. Peut-être était-ce exceptionnel ? Patou proposa alors de passer voir dans la semaine suivant si cette illumination était ponctuelle ou si un employé avait simplement oublié d’éteindre. Un couple et ses deux enfants étaient présents et profiter de l’observation de la Lune, Jupiter, Mars et l’amas ouvert d’E.T. Je sortis mes jumelles, les mit sur trépieds photo et invita les enfants à venir voir également la Lune. La petite famille resta avec nous une petite heure avant de partir réveillonner. A leur place, un curieux s’invitât. Lui aussi voulait profiter un peu de ce beau ciel avant d’aller rejoindre des amis pour le repas de la Saint-Sylvestre. Il était encore tôt : 18 h 30 environ. Patou et Jérémy avaient installé leur instrument. On continua les observations sur les trois télescopes, comparant les qualités optiques de chaque instrument. J’eus l’idée d’aller voir une comète située au-dessus de l’étoile polaire : C/2020 V2 (ZTF). Je pensais être un peu trop optimiste car à magnitude 10, sous cette lune gibbeuse et au-dessus de la cloche lumineuse de Bordeaux, on risquait de se heurter à une tache un peu trop faiblarde… la suite me prouva que non ! Dans le 400, elle se détachait bien du fond du ciel… et il me semblait même voir une courte queue de poussière. On essaya alors les nouveaux filtres Swan Band Comet. Le contraste s’en trouvait amélioré… mais avec la Lune et la PL de la capitale girondine, c’était difficile de juger ces filtres. Il faudra refaire des essais sous un ciel plus noir. On voyait bien aussi l’astre chevelu dans le C9 de Jérémy. Avec notre visiteur, nous avons fait un peu le tour des cibles possibles aux jumelles. Mais la plupart étant au zénith, cela devenait un peu sport. Nous pûmes voir la planète Jupiter et ses satellites galiléens, le rémanent de supernova du Crabe, la galaxie d’Andromède, deux amas ouverts de la constellation du Cocher, le double amas de Persée et bien sûr, la grande nébuleuse d’Orion. Nos nouveaux voisins étaient tranquilles, se déplaçant au gré de leur envie de manger ou d’uriner bruyamment. La nuit était maintenant bien installée et nos amis à quatre pattes s’étaient couchés pour ruminer. Pour nous aussi, il était temps de manger… On ouvrit la bouteille de cidre pour se faire un petit apéritif improvisée avec quelques bricoles à grignoter. Avec Denis, nous dînâmes d’un sandwich au saumon fumé suivi d’un sandwich à la crème de Roquefort. Chara qui s’était endormie dans la voiture, arriva vers nous pour tenter d’avoir un petit bout à se mettre sous la dent. Comme nous étions immobiles, on sentit le froid. La température était correct, vers 9/10°C mais le vent s’était un peu renforcé et devenait désagréable. Patou nous offrit alors de goûter à son jus de pomme chaud, aromatisé comme le vin chaud mais sans l’alcool. Nous fûmes agréablement surpris par le goût de ce breuvage inédit. Alors que notre visiteur nous quittait, Joël arriva. Il avait dîné en famille et venait finir l’année avec nous. Alors que je voulais lui montrer les bovins, ces derniers étaient parti plus loin… oh, pas très loin mais assez pour qu’on ne voit plus que leurs silhouettes se détachaient. J’allais vérifier mes poses et tout se passait bien de ce côté-là… il n’était pas loin de 22h. Je retournais voir les astropotes. On constata qu’à l’ouest une bande claire montait doucement dans le ciel. Notre soirée allait être écourtée malheureusement. Est-ce qu’on pourra la finir au Mémorial ? On verrait bien. Je décidais de poursuivre mes acquisitions jusqu’à ce que les nuages envahissent le zénith. On attaqua alors le dessert : une galette des rois… et deviner qui eut la fève ? C’est bibi ! Malheureusement (ou heureusement), le bonnet ne permettait pas d’y poser la couronne de papier ; Cette nouvelle pause « réconfort » nous fit comprendre que la température avait baissé d’un ou deux degrés et que le vent était toujours aussi agaçant. Les vaches étaient de retour mais cette fois mêlées aux chevaux. Encore quelques observations entrecoupées de discussions, toujours autour de l’astronomie. Nous étions en symbiose total, passant d’un télescope à l’autre. Mais le vent qui s’était renforcé encore une fois, nous amena les nuages plus vite que prévu. Je retournais à mon setup pour arrêter les acquisitions et lancer les dark. Il y en avait pour un petit quart d’heure. Quand je revins sur le site, Patou et Jérémy rangeaient leurs instruments. Les nuages ne laissaient plus assez de ciel pour trouver des cibles à observer… même Orion commençait à se voiler. Voici le résultat décevant mais attendu, au vu des conditions environnantes, sur la grande nébuleuse… je ferais sûrement mieux la prochaine fois. 213 poses de 30s – ISO 1600 – 25 DOF – focale à 200 mm – ouvert à f/5.6 – image cropée. Je partis alors ranger à mon tour. Denis et Jérémy me rejoignirent peu de temps après pour m’aider à tout rapatrier en un seul voyage. Une vache s’était approchée très près de nous pour mieux voir ce que nous faisions. Là, le taureau s’interposa tout en douceur mais fermement et lui fit faire demi-tour. Apparemment, n’étant plus sous l’emprise de ses pulsions, il avait repris son rôle de protecteur du troupeau et, même si nous n’avions rien d’inquiétant, le principe de précaution prévalait. Nous repartîmes alors vers le Mémorial et on prit encore quelques minutes pour tout ranger dans le coffre de la voiture, y compris la table de réconfort et le thermo de café. Il n’était que 23h40. J’invitais mes camarades à aller se mettre au chaud à la salle communale en attendant minuit… ici, le froid et le vent n’incitaient pas à faire la fête. Alors que le Taureau céleste culminait au zénith, le taureau terrestre s’était endormi au milieu de ses probables futures conquêtes ! Quant à nous 5, on rejoignit la salle, au chaud. Minuit venait de sonner et on se souhaitât le meilleur pour la nouvelle année. Encore une heure et demie de discussion autour de nos observations de l’année précédente, un peu de café, des biscuits au chocolat… et nous regagnâmes nos maisons, heureux d’avoir pu passer le réveillon de la Saint-Sylvestre sous un ciel étoilé, même si ce dernier n’a pas été au bout de nos ambitions ! Une très bonne année à vous toutes et tous et surtout un très bon ciel !
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  39. Sur celle-ci, il faut trouver le chat. Indication : il est à côté d'une maison.
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  40. Enfin un joli dessin de mars tout en douceur...et qui me rappelle la vue à l'oculaire... Bravo pour le travail
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  41. En cette veille de périhélie solaire 2023, il a fait beau quelques dizaines de minutes ! Lunt 60 + Player One Neptune-M (IMX178) pour une mosaïque de 2 tuiles, ça passe trop juste à 500 mm de focale.. Astrosurface/ICE/Pixinsight avec un petit coup du plugin spécial ciel profond BlurXterminator Et la plus jolie protu du jour avec une barlow Antares x1.5 en 2 tuiles Pour finir et pour le fun, j'ai poussé la Lunt 60 dans ses retranchements (peut être au delà..) avec un empilement de barlow x1.5 + x2..
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  42. la cr 1120 a une tension de 1.5v, c'est une pile alcaline. la cr 1220 est une pile lithium de 3v...
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  43. Paul Emile, tu as perdu une occasion de te taire j’ai l’impression. Mais c’est l’époque, il faut s’empresser de réagir et de vite dire ce qu’on a à dire, parce ce qui est important c’est de donner son avis et peu importe qu’on soit à côté du sujet ou qu’on n’ait aucune compétence sur le sujet…..Bref. Alors je répète, je suis en attente pour un miroir et pas seulement pour taper la discut. Il s’agit d’un 450 ouvert a 3,3. De plus j’ai déjà eu affaire à Terrence peu après qu’il se soit lancé et je lui avais fait faire un petit 200 mm il y a 4 ans environ. Concernant le 450, J’ai voulu passer commande en Aout 2020. Au téléphone, Terence m’a alors indiqué qu’à ce stade il ne prenait plus de commande car il avait déjà beaucoup de commandes à honorer. Il m’a demandé alors si je voulais être inscrit sur une liste d’attente et m’a indiqué un délai d’environ 18 mois. J’ai accepté sans souci car je n’etais pas pressé et j’aimais bien sa démarche. Bref en Aout dernier, bien après après le délai, j’ai voulu le contacter juste pour savoir ou j’etais dans la liste et pas pour revendiquer quoi que ce soit. Maintenant que l’artisan ne reponde pas immediatement, je le comprend parfaitement. en revanche qu’il n’y ait aucune reponse, ni par telephone, ni par mail, ni par Sms et ce à plusieurs reprises, je trouve ça dommage….d’autant qu’au début, pour le 200 qu’il m’avait taillé, c’etait justement l’un de ses atouts la communication et c’est pour cette raison entre autres, que je voulais lui confier la taille du 450. Bon donc avant de te mettre à la place de l’artisan commence à lire et à comprendre correctement ce sur quoi tu veux réagir, ça evitera ce genre de propos déplacés qui font dégénérer un fil. A bon entendeur….. Et pour terminer il ne s’agit pas ici d’un probleme de delai, que ce soit bien clair! les 2 ans je les accepte. Il s’agit juste de pouvoir communiquer un tant soit peu avec l’artisan, cela me semble la moindre des choses
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  44. Du Newton Vixen sur monture ad hoc : https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2277662921.htm https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2270365422.htm Et aussi Vixen en lunette achro : https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2277472034.htm Albéric
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  45. Non, tes photos ne montrent pas un 150/750. Ça c'est un 150/750 (sur une vraie EQ3 Skywatcher): Ça c'est le 150/750 sur une "EQ-3" Omegon (qui correspond plus à une EQ2 Skywatcher, et est franchement inutilisable pour une tube de cette taille): Ta photo: T'as vu la différence entre les rapports longueur/largeur des tubes?
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  46. Bonjour, Omegon est bien libre d'appeler EQ3 une EQ2 s'ils veulent puisque chacun fait ce qu'il veut... Pour moi une EQ3, au niveau technique et historique, c'est l'évolution d'une Vixen Polaris devenue New Polaris, ce qu'on nomme ajd EQ3-2 chez SW et Perl par exemple, avec possibilité d'une motorisation double axe et système mâchoire à queue d'aronde 44mm (ce qui n'existait pas encore à l'époque chez Vixen du temps des Polaris et NP) et possibilité également de mettre un viseur polaire. Comme l'EQ5 ou NEQ5 est l'évolution chinoise de la Vixen GP, elle-même descendante de la SP. Donc appeler EQ3 une monture à la mécanique douteuse (ce matériel est connu depuis des années notamment pour sa superbe qualité mécanique...) qui n'est pas motorisable double axe, ne reçoit pas de viseur polaire... Sur les photos plus haut montrées par l'auteur du post avec le Newton Omegon, il s'agit bien d'une EQ2. Voir la monture et le système d'attache du tube sur celle-ci. Bon ciel.
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  47. Salut les luneux... ça fait un bon mois que j'ai pas posté ici ... quelques vues de ce matin en attendant la big mosaïque...
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