Classement

Un bel exemple de collaboration Pro/Am. Une découverte faite cet été et rendue publique aujourd'hui même. Des images superbes et inédites de la Grande Galaxie d'Andromède par l'équipe StDr. "UN GIGANTESQUE ARC DE PLASMA EN DIRECTION DE LA GALAXIE ANDROMÈDE" : "Notre équipe internationale d'astronomes amateurs et de scientifiques a fait une découverte surprenante en août 2022. Dans le cadre d'une collaboration transnationale, les chercheurs et les astronomes amateurs ont étudié la nébuleuse géante nouvellement découverte. L'arc s'étend sur environ 1,5 x 0,45 degré, est situé à seulement 1,2 degré du centre de M31 et se trouve au sud-est du corps principal de la galaxie d'Andromède. Il pourrait s'agir de la plus grande structure de ce type dans les environs immédiats de l'Univers. M31 est sans aucun doute l'un des objets du ciel profond les plus photographiés. La découverte d'une structure aussi grande à proximité immédiate de la galaxie est d'autant plus surprenante. L'origine exacte de l'émission [O III] n'est pas encore claire, mais les indices suggèrent des scénarios probables."

Bonjour, décidément depuis cet automne l'impossibilité de ciel profond en raison de la météo catastrophique laisse tout de même place à quelques créneaux planétaires intéressants, soit en raison de grosse lune, soit d'éclaircie entre 2 nuages. En ces occasions il n'est point question de monter le 300, déjà échaudé par 3 montages pour rien cet automne, mais plutôt de sortir la leste et rapide petite lunette FC-100. Le repli est immédiat en cas d'arrivée de nuages sournois, ou même de pluie comme récemment. Le 03/01 dernier donc, l'après-midi le ciel se dégage miraculeusement et encore plus rare, l'éclaircie tient bon jusqu'au crépuscule ! Ni une ni deux branle bas de combat, je mets en attente les activités domestiques habituelles et m'installe vite, comptant sur la rapide mise en température du petit tube. La turbulence est notée faible, ce qui engage à prendre les crayons. Jupiter à 148 X présente une NEB plus marquée que la SEB, et assez tourmentée. Je note quelques spots plus marqués, plus ou moins grands, débordant un peu de la bande. L'un deux paraît notamment plus clair/gris que les autres, et le suivant est bordé d'une ligne plus sombre lui donnant un aspect de pseudo GTR ! La liaison entre ces deux spots est fine et marquée, sombre. Je note 2 très faibles et fines bandes tempérées N, et une large au S comme d'habitude. Mais elle semble déviée et plus faible côté E de notre ciel. Difficilement je perçois 2 zones plus marquées dans la partie la plus marquée à O. La SEB est toujours aussi tracée finement dans sa partie S, le reste étant plus dégradé et diffus vers le N, et quasi uni. Mais, outre le départ de festons au S de la NEB, pas rares à la FC-100, et une amorce de formation entre les 2 bandes, j'ai la surprise de constater la couleur très légèrement gris tirant sur l'ardoise de cette zone, couleur évidente au T300 en général. Mars déjà assez haute présente une teinte jaune-orangé légèrement teintée de saumon à 123 et 148 X, mais qui disparaît à 211 X pour rester dans le jaune-orangé. Tout de suite la fameuse configuration barrant le sud du globe, en forme de moustache, est évidente, avec 2 zones plus marquées. Avec difficulté l'un des côtés semble plus vide au milieu, mettant en évidence les 2 bords parallèles. Ensuite la pêche aux infos partie N du globe (hormis la fameuse zone blanche) a été d'une difficulté extrême. Il m'a semblé voir puis confirmer à 211 X ces 2 fines traces partant comme en V vers le pôle, mais pas vraiment sûr. Ensuite, j'enchaîne sur une belle soirée de doubles vu que la météo décide de rester favorable. Vers 23h15, en rentrant, je jette un oeil sur Mars qui paraît plus détaillée que tout à l'heure, mais trop fatigué pour la dessiner de nouveau ! Bon ciel à toutes et tous !

Les tous récents rapport effectués au CC203mm avec images plutôt moyennes. L'atmosphère semble commencer en activité à s'intensifier. Dressés directement à l'oculaire.

E3 commence à avoir une belle tête, à tenter dès que la Lune sera moins présente et que les nuages disparaîtront. Photo Lionel Majzik https://spaceweathergallery.com/indiv_upload.php?upload_id=191015

bonjour à tous, il y a près de 10 ans (en juin 2013), j'avais essayé pour la première fois d'imager le calamar de nicolas depuis le beau ciel de Sirene avec ma caméra de l'époque (atik16HR) et des filtres Ha et O3 de 12nm et le résultat n'avait pas été très probant : http://www.astrosurf.com/c8/images/maj20130720/divers/sh2-261-fs60-f4.2-atik16hr-HaOIIIOIII-SP.png L'été dernier (31 juillet et 1,2 et 3 Aout), depuis la Beauce, j'ai ré-essayé avec toujours la même optique mais ma nouvelle caméra atik460ex et des filtres 6nm.....le résultat n'est pas toujours pas exceptionnel mais au moins Ou4 est maintenant indéniable! Ma luminance était bien bruitée (j'ai eu beaucoup de mal à mixer les couches Ha et O3), j'ai du passer un (assez gros, trop) coup de noiseware pour atténuer. Et ma tentative de colorisation des étoiles par l'ajout de couche RVB n'est pas très probante. Coté couleur, je me rends bien compte (en tant que daltonien) qu'il reste du rose dans sh2-129 mais je n'arrive pas à l'enlever. J'espère que c'est pas trop saturé aussi. En tout cas, je suis bien content d'avoir réussi à ressortir à peu près ce calamar ! Atik460ex + filtres HaO3RVB astronomik + fs60 à f/4.2 sur ma GP autoguidage en // avec zwo178mm + zwo30F4 Ha 6nm : 44 x 300s en binning 2x2 O3 6nm: 44 x 600s en binning 2x2 RV : 7 x 180s en binning 2x2 B : 6 x 180s en binning 2x2 (pour coloriser les étoiles) prétraitement imageviewCA traitements iris, starnet, siril (retrait de gradient et étalonnage couleurs étoiles), photoshop, noiseware, fitswork A la taille d'acquisition recadrée: Juste la couche O3 : juste la couche Ha : a+ stéphane

Une observation de Mars parmi d'autres effectuée le 16 déc. dernier en utilisant la 150ED. Les images furent plus que décentes (7/10 au mieux). Bonne réponse de l'optique sur le segment bleu, W38A bleu profond avec quelques nuages notés, à comparer sur le segment jaune, W8, avec une réponse un peu différente. Par images fixes, il est possible de faire un cran au dessus. La couleur du fond de disque planétaire reste toujours jaune-orange léger, signe d'une atmosphère poussiéreuse en compétition avec des nuages blancs. la veille fût moins moins bonne avec le CC203, inutile de pousser en ouverture pour rechercher plus fin. Tout çà à 30kms de paris, la qualité des images s'améliorant avec des températures bien froides. Le 2eme dessin du 15déc. pour montrer surtout la couleur du fond de disque planétaire, tout comme cette couleur notable à l'oeil nu, planète proche du zénith. Tout comme à l'opposition précédente. Bons ciels et bonne fête.

Bonjour, Un es 400 à 950€ dans le 56: https://www.leboncoin.fr/autres/2283078094.htm

L'objectif livré a une bonne transmission et peu de vignettage et est assez rapid (f/1,2) et ne coupe pas l'OIII (si on veut utiliser des filtres dual-band) mais a plus d'aberrations en bord de champ que d'autres objectifs et les revêtements des meilleurs objectifs PVS-14 est plus optimisé vers le H-alpha (meilleure transmission). L'objectif livré marche surtout bien sur Newton à rapport f/D TRÈS court comme l'aberration dominate est de l'anticoma, mais il faut un télescope f/3-f/3.3 pour qu'il marche vraiment comme correcteur de coma accidentel. Sur des Newtons plus longs ou des lunettes on a quand même pas mal d'aberrations en bord de champ, surtout à rapport f/D effectif courts (mais pas assez courts pour compenser l'anticoma). Et en plus on peut préférer des configurations entièrement vissées, ce qui est impossible avec la lentille frontale livrée. Parfois avec une configuration avec un joint en néoprène il est difficile de mettre l'objectif pile dans l'axe de l'oculaire et exactement à la bonne distance (avec la pupille d'entrée de l'objectif sur la pupille de sortie de l'oculaire, ce qui réduit le vignettage), et on se ramasse des aberrations en plus. Avec une config vissée on a un meilleur contrôle. Par exemple, sur télescope f/4.5 avec un TV67 on arrive à un rapport 4.5*25/67=1.6, donc un objectif f/1.4 suffit. Dans ce cas je préfère quelques objectifs C-mount, comme le 25mm f/1.4 petit frère de l'excellent Cosmicar 75mm f/1.4 pour utilisation en 3x à main levée (mais il faut la version pour capteurs 1") ou un Zeiss/Tevidon f/1.4. Il y a un Canon TV "VF" 25mm f/1.4 qui n'ai pas l'air mal non plus. Je passe avec des anneaux sur le fil pour filtres en 52mm, et je visse sur un TV67 avec anneau 38.1->52 et changeur de genre M/M ou un Pentax XW40 avec anneau M43->M52. Quand je m'approche plus de f/1.2 je préfère la frontale livrée mais aussi un objectif PVS-14 Optronics Engineering (moins de vignettage et moins d'aberrations en bord de champ; revêtements "simples" aussi, très proches de l'objectif livré). En H-alpha le meilleur objectif (de loin) que j'aie est l'objectif PVS-14 f/1.2 Carson/Fujinon (le moins d'aberrations, le moins d'effets de lumières parasites en utilisation à 1x, et la meilleure transmission). Par contre, il coupe le bleu de façon aggressive et je ne suis pas encore sûr de la transmission OIII (en dessous de l'OIII t'en a rien à cirer, comme même l'OVNI-M devient bien moins sensible et souvent un objectif en verre fera mieux pour les objets ultra-bleus). Et si le rapport f/D effectif est en dessous de f/1.2 alors il vaut mieux passer sur un objectif plus rapide (mais ils ne courent pas les rues; il y a un Canon TV-16 25mm f/0.78 et un Fujinon TV 25mm f/0.85). Par exemple: f/3 plus réducteur 0.75x et TV 67mm: 3*.75*25/67 = 0.83. Évidemment des aberrations en bord de champ à gogo, mais on a une luminosité surfacique du tonnerre qui permet des filtres H-alpha très étroits sans avoir de scintillation.

Une petite merveille qui m'a accompagnée lors de ma précédente soirée d'observation.

Les dernières vidéos publiées : 9/ La réduction d'étoiles 10/ Une vidéo "hors-série" de présentation et de test du process Blur X Terminator : 11/ Le traitement linéaire avec la suite X-Terminator (BXT et NXT) La suite bientôt !

magnifique ce grand champ, les poussières ressortent très bien ! Et merci pour le partage je vais jouer aussi un peu avec 😉

Il y a des experiences singulières, aujourd'hui j'aimerai vous en partager une, celle d'un jeu vidéo, une œuvre d'une intelligence rare, une poésie, un récital d'amoureux de l'intelligence de gameplay et de game design, une trame scenaristique qui est la meilleure qu'il m'ai été tenu de faire ces 10 dernières années (voir la meilleure dans ma longue expérience de joueur) Si vous en parle ici les amis c'est parce qu'il s'agit bien entendu d'un jeu basé sur l'astronomie et l'exploration spatiale et sur beaucoup de clin d'œil à notre passion commune, que ca soit l'exploration, le questionnement sur ce que sont les choses qui nous entourent, les relations autour de cela, la science, l' éthique, la curiosité ! Premier point, Outer Wilds n'est pas un jeu comme les autres, oubliez No Man's Sky, Destiny et autres jeu spatiaux, celui ci et l'essence même de ce qu'est l'exploration. Vous êtes un Atrien, espèce alienne humanoïde qui vit sur une planète semblable à la terre, espèce pour qui la conquête spatiale est la raison d'être. Votre mission ? Explorer votre système solaire. Aucune quête principale aucune quête secondaire ni flèche d'indication, ici vous êtes libre de faire le tour de votre planète à pied ou faire décoller votre fusée pour aller visiter la planète la plus lointaine de votre système solaire. Mais il y a un hic... Après votre première envolée vous vous apercevrez que votre soleil explosera en supernova au bout de 22 minutes, détruisant tout et vous tuant... Pour vous réveiller au tout début de votre partie avec pour seul indice le fait d'être à priori le seul conscient de cette boucle, car oui le soleil explosera toutes les 22 minutes, vous ramenant inexorablement à votre point de départ. Alors ça paraît embêtant comme ça, mais c'est ici qu'on rentre dans le vif du sujet, dans Outer Wilds vous possédez tout votre équipement des le début du jeu, pas besoin de fabriquer, chercher des materiaux ou choses du genre, non tout est la, votre fusée, votre jet pack, votre guetteur qui est une caméra qui repère les danger et peut être envoyé à peu près n'importe où pour voir ce que vous ne pouvez pas voir, et votre onduloscope qui captera différents sons de l'espace (qui sont utiles biensur). Tout cet équipement vous allez en avoir besoin pour explorer votre système solaire, composé de 6 ou 7 astres, et cette exploration vous mènera à une découverte (aucun spoil): une forme de vie extraterrestre (les Nomais) étaient là avant, arrivés dans votre système solaire pour trouver quelque chose de très important, et c'est avec la découverte de leur culture, de leurs ruines, de centaine de messages laissés sur les murs que vous allez commencer à comprendre ce qu'il se passe autour de vous. Vous l'aurez compris l'objectif qui nous vient naturellement est de comprendre pourquoi il y a cette boucle temporelle, pourquoi sommes nous le seul à nous en rappeler, est elle inévitable ? Et le tour de force d'Outer Wilds est que pour la première fois dans mon histoire de joueur, j'ai du finir un jeu grâce à la compréhension de son univers, ainsi je pourrais très bien lancer une partie sur la console d'un ami et finir le jeu au premier run de 22 minutes. Mais vous n'y parviendrez en réalité qu'une fois que toutes les pièces du puzzle seront réunies et comprises. Car biensur vos souvenirs étant intacts après chaque boucle vous tenez un journal de bord qui synthétise vos découvertes afin de remettre les choses dans l'ordre. C'est la seule chose que vous gardez intact après chaque boucle, vos souvenirs. Question "astronomie" maintenant, sachez que chaque planète (visitable à pied elles ne sont pas énormes) possèdent leur propre règles, que ca soit la gravité, la météo, une particularité, pour vous citer deux exemple l'une renferme un trou noir en son centre qui l'aspire et s'effondre sur elle même, l'autre est une planète double avec l'une qui déverse son sable dans l'autre, ainsi le niveau du sable monte sur l'une et descend sur l'autre... Les autres exemples sont tout aussi originaux mais je ne veux pas gâcher le plaisir de la découverte. Aussi un point qui me sensibilise, la relativité du temps qui est une question centrale du jeu et qui a mes yeux et le seul à le faire vivre (je ne peux pas rentrer plus dans les détails) ça n'est jamais tiré par les cheveux, le jeu sonne juste. Dernier point qui m'a touché, la civilisation Nomaï qui scientifiquement très avancée se posent des questions éthiques, l'on suit des relations, des doutes, des découvertes et c'est tout cela qui vous amène à votre propre déduction finale. Portée par une bande son aux petits oignons certains moment peuvent être épique comme troublant ou encore émouvants, en toute simplicité. Le monde d'Outer Wilds est organique, tout les aspects du jeu communiquent ensemble, le cycle des planètes, les orbites, tout est géré en temps réel et tout à son importance ! Certain lieux inaccessible en début de boucle le deviennent en fin de boucle et inversement... Aussi et pour terminer, la magie de ce jeu et qu'il peut être pris comme on le souhaite, vous souhaitez tout découvrir sur une planète avant de décoller vers une autre c'est possible, suivre vos découverte au fil de l'eau, c'est possible, jouez les aventurier à vous poser sur cet astéroïde ? C'est possible. Tout est possible en réalité, le tour de force et que l'on se l'en rend compte qu'en explorant, non cette salle est bloquée... Non cette planète n'est pas impossible à aborder, oui tout est accessible mais tout se révèle au fil de l'eau. Comment se poser sur une lune qui disparaît quand on cesse de la regarder ? Bref amis joueurs, je vous invite à essayer ! De plus chose qui "cloue le spectacle" ce jeu est à la base... Un projet étudiant.... A la base, car au vu du potentiel des investisseurs sont arrivés pour donner les moyens à ces petits jeune de mettre en exergue leurs idées. Le seul défaut de ce jeu, c'est qu'une fois fini... Vous n'aurez plus le plaisir de la découverte, c'est une jeu que l'on, je pense, finit qu'une fois, non pas par lassitude, car le finir c'est le comprendre. C'est clairement le jeu qu'une fois fini (je vais passer pour une imbécile) je me suis dis.... "mais à quoi je vais jouer maintenant" avec une horrible sensation d'adieu. Une pépite qui mérite ce pavé, j'en suis désolé, cela fait un moment que je voulais partager cette expérience. Je vous invite également à lire ce test qui décrit exactement mon ressenti (surtout à la fin de l'article) et qui m'a fait acheter le jeu https://www.senscritique.com/jeuvideo/Outer_Wilds/critique/201576130

Oui bien sûr mais forcément la comète sera floue. Je me demandais justement comment ça se traite ce genre d'image pour avoir la comète et les étoiles nettes. J'imagine que c'est en deux fois, une image (1) avec suivi cométaire et une image (2) avec suivi stellaire puis montage mais je ne vois pas comment supprimer les étoiles étirées de l'image (1). J'ai dans l'idée que la méthode starless ne doit pas fonctionner pour elle.. Je vais aller à la pêche aux tutos

Le poster solaire du jour ce 9 janvier 2023, un soleil avec de belles zones actives et quelques protubérances sur le limbe Lunette 80 mm Halpha F/D 6.3 avec double étalon PST et camera Apollo IMX 429 au foyer .

Les moteur tournent avec du 600mA (c'était le transfo d'un chargeur de piles). J'ai pu installer hier la plateforme ASCOM et le driver ONSTEP. Il s'est connecté en wifi au boitier qui est par défaut configuré en point d'accès et avec une ip fixe. J'ai pu donc installer Stellarium sur mon PC, configurer tout ça (c'est pas évident quand on le fait la première fois) et pointer un objet. J'ai pu constater le mouvement du telescope avec le GOTO depuis mon PC en wifi (YESS!) Vu le temps qu'il fait, j'ai du faire ça dans mon salon, donc impossible de voir si le positionnement est vraiment précis, mais en tout cas ça a l'air de marcher Le serveur web interne au boitier permet de modifier beaucoup de chose dont la config wifi afin qu'il se connecte à la box plutôt qu'être un point d'accès, mais l'interface est en chinois 😕 du coup j'utilise la traduction de Chrome pour comprendre les paramètres. Je pense qu'il doit être possible de flasher la mémoire du boitier car le site accessible via sur un QRcode au dos du boitier propose différents firmwares. Pour l'instant je vais m'en contenter et tester tout ça en réel quand il fera beau. Je n'ai pas de motorisation pour la mise au point et le boitier ne fourni pas de cable pour ça, bien qu'il dispose d’un port dédié. Je ne pourrai pas la tester. Il y a aussi d'autres ports pour d'autres types de motorisation mais je ne sais pas à quoi ça sert. "Encoder Extention", "Rotator motor interface" (???) ptet pour des montures azimutales? Les traductions du fournisseur sont parfois hasardeuses. Olivier

C'est surtout la vision perso qu'il faut affûter même avec 100mm. Le problème n'est pas de voir le petit détail comme un challenge des JO qui n'apporte que peu. La question c'est de visionner ce qui est accessible et puis de tenter de placer les nuages par rapport à ces formations. C'est une autre affaire, des plages étendues plus ou moins avec un contraste bien souvent subtil, avec dis coloration de différentes natures. C'est là que les filtres entrent en jeu pour en caractériser la nature. L'intérêt d'une 150mm même d'un newton long c'est de cartographier ces nuages, la 150 présentant l'intérêt d'une meilleure stabilité des images et l'inconvénient de perdre du contraste sur le segment bleu. L'apo améliore un peu ce fait qui est gommé avec un réflecteur. Quand on a au plan seeing un R0 en moyenne de 5cm sur le territoire faut pas s'attendre à des images top dans un grand cube, souvent et à chaque fois qu'un trou dans les nuages se pose. Déjà dans 150mm c'est dégradé aussi. Tant qu'il y a 6-8" de disque c'est travaillable au 150mm encore, on n'aura que les évènements principaux, mais cela peut se jouer encore. Ce qu'il faut connaitre sur soi-même c'est le plus faible contraste que l'on peut voir. A l'occasion de la dernière grande tempête de poussières sur mars où tout semblait être masqué, on pouvait encore apercevoir par transparence les formations contrastées occultées à 95%. C'était comme un filtre 95% sur des formations ayant au plus 50% de contraste en période atmosphère claire. Le résiduel n'était que 2-3% sur ces formations apparaissant juste en philigramme sur la zone centrale du disque. 95% mesuré par le rover martien au plus fort, et cette évaluation à la louche qui détermine une visibilité. Beaucoup de détail martiens présentent ce niveau de perceptibilité avec atmosphère normale. L'avantage du 100mm est que les images sont souvent bonnes avec un strehl présent qui aide, bon outil en fait. Faut affûter sa vue sur jup déjà en forçant de définir le détail que l'on entrevoit seulement au premier coup d'oeil et puis progresser de proche en proche pour arriver à définir son contour. Tout çà en position bien assise et avec le niveau d'éclairement qui va bien. Une pupille de 0.5mm est très bien avec images propres 7-8/10. Après on peut réduire le grossissement et viser 0.6-0.7 en glissant un filtre neutre genre 20% pour garder l'éclairement. 0.6mm à l'oculaire permet d'accéder à des niveaux de contraste de 10% et un peu moins selon la talle du détail, sans filtre coloré.

Ce n'est pas avec la 150ed mais comme montré sur les dessins, R80mm et CC203mm. La 150ed reste difficile à poser sur la monture à chaque opportunité.... Ceci dit: L'usage de filtres encore permet de caractériser les nuages/ voiles atmosphériques.

Je suis abonné aux trois. Astrosurf : Revue par et pour des astronomes amateurs, avec un fort accent sur la pratique. Toutes sortes de pratiques : dans chaque numéro, il y a des rubriques d'observation des météores, des comètes, de la Lune... Des articles pointus sur l'astrophotographie (techniques, logiciels pour ciel profond ou planètes), de longs articles sur l'observation visuelle (assurées par deux contributeurs de WebAstro), avec une nouvelle rubrique d'observation aux jumelles que j'apprécie beaucoup. De temps en temps, ça parle de spectrophotographie, de radioastronomie amateur, d'astrotourisme... Il y a également des tests de matériel, mais sans banc de test. L'Astronomie : Revue faite des astronomes professionnels, où ça parle beaucoup d'articles de recherche. C'est donc pointu, et ça peut être rébarbatif pour certains. On y parle de cosmologie, de planétologie... Quand il y a des articles sur l'astrononautique, on va te parler des détails techniques des sondes ou des dispositifs embarqués (capteurs infrarouges, techniques de refroidissement du JWST, sismographes...). Il y a aussi une rubrique Histoire (liée à la commission du même nom de la SAF), qui peut être très intéressante. Il y a également une rubrique sur l'observation visuelle, de bonne qualité, mais minoritaire. Ciel & Espace : Pas mal de contenu sur la cosmologie, mais d'avantage accessible au grand public. Ils peuvent d'avantage donner à rêver que dans L'Astronomie, où on est dans le hard science. Pareil pour l'astronautique, où on va également te parler des enjeux politiques et économiques, et pas seulement scientifiques. Il n'y a pas tellement de contenu lié à l'observation astronomique amateur, et je trouve leur rubrique à ce sujet mal faite (leurs cartes sont moches). C'est cette revue qui fait les meilleurs tests, mais ils sont en fait peu nombreux (il n'y en a pas un systématiquement). On a plus souvent affaire à des articles sur du matériel, mais qui ne sont pas des tests. Mes préférences sont dans l'ordre : Astrosurf, Ciel & Espace, L'Astronomie. Ceux qui méritent d'être gardés dans le temps sont dans l'ordre : Astrosurf, L'Astronomie, Ciel & Espace.

Dans la série "mes copains du jardin" (mais pas pour tout le monde ), une petite visite datant juste d'avant Noël : Et quelques secondes de vidéo : http://www.reto.fr/div/epervier.mp4 Dans les stats : 1ère visite d'un épervier mâle observée dans mon jardin. 4ème visite d'épervier. 2ème visite où l'épervier est reparti bredouille (les deux autres visites avaient été fatales à deux tourterelles). Et à noter que moins de 10s après la fin de la vidéo, une mésange bleue était déjà revenue à la mangeoire. Même pas peur... ou très faim

Bravo superbes , j'aime particulièrement la première

C'est un amateur, Bennett Bacon, qui s'est donné pour but de déchiffre l'écriture paléolithique. Parmi les représentations d'animaux bien connues, anatomiquement étonnamment exactes, figurent des signes comme / ou Y ou de simples points. Les archéologues ont depuis longtemps l'intuition que ces signes avaient une signification. Après de longues heures de travail et de recensement, Ben Bacon a fini par contacter un archéologue professionnel de Durham, qui se félicite aujourd'hui de l'avoir pris au sérieux. Pour les auteurs de la publication , ces signes sont des marques temporelles. Pas tout à fait une écriture, donc, mais une signification précise et bien utile pour des chasseurs : un décompte en mois lunaires des cycles de reproduction des animaux figurés, le Y signifiant la mise bas. Une extraordinaire avancée dans la compréhension des figurations pariétales, et un tout-à-fait remarquable exemple de collaboration amateur-professionnel. Bacon et al., 2023, fig.1

Space X a procédé au static fire du booster B7 en allumant 14 moteurs Raptor (rappel : 33 moteurs équiperont le booster) Cela s'est bien passé ..... avec quelques projections mineures et un impressionnant nuage..

Sortie dans le jardin hier soir ; avec enfin un ciel sans nuages. Je monte le télescope tôt dans la soirée, mais il y a pas mal de vent. Le seeing est très moche, les étoiles sont empatées et le grossissement de 230x est à peine exploitable en ciel profond. J’ai tenté d'observer les planètes quelques fois dans la soirée, sans résultat. De la bouillie. Tant pis, il fait beau, je suis en congé , donc je vais quand même profiter de la soirée. Je commence les observations avec les enfants. On pointe M13 qui a toujours un succès fou, puis M57 et M27, qui plait plus aux enfants avec le filtre OIII. On se dirige ensuite vers les dentelles et le grand commence à manier le telescope pour se diriger entre la petite et la grande dentelle, c'est une fierté pour lui! On regarde ensuite Andromède et le double amas puis ils commencent à se chamailler, c'est sans doute l'heure de se reposer..... Je m'oriente alors vers Pégase. Je pointe NGC7331 qui perd pas mal d'intérêt avec ce mauvais seeing. Je tente alors le quintet de Stephan, et à ma grande surprise j'arrive à le voir à 80x !!!! c'est faible, et çà disparait en grossissant, mais qu'importe, avec un meilleurs ciel je peux espérer l'observer pour de vrai depuis mon jardin!!!!! Je descend vers le museau de Pégase et pointe M15, très joli, et bien résolu. Un centre très brillant et petit, plus contrasté que sur M13. Le courage me prend, je sors mes crayons!! ou pas..... Je me dirige alors NGC7332 et 7339, un couple de galaxies lenticulaires très sympa! 7339 est bien visible et contrasté, 7332 apparait en vision décalée......jusqu'à ce que les cloches sonnent minuit et la fin de la récré pour les lampadaires!!!!!!!! NGC7332 apparait alors en vision directe, l'image est superbe!!! Puis NGC 7814 dont je n'apparcoit pas la bande d'absorption promise par le "top200!" en raison probablement de ce foutu ciel crado. Ensuite je me retourne vers le Belier qui monte au dessus du halo lumineux palois, pour croquer enfin M74. Le scanner a fait perdre une partie des barres spiraux non détaillés et ténus : et enfin M33 qui commence à se rapprocher du méridien !! Rien à voir avec la vision que j'en avais eu à la montagne, mais malgré tout très riche, avec quelques détails dans ses bras spiraux : Il faut jongler avec les grossissements de 60 et 85x, qui font alternativement apparaitre et disparaîtrez certains détails . La vision est magnifique!!!! Je me tourne enfin vers NGC253 mais le ciel est trop mauvais. J4ai regardé Mars qui es ton peu plus haute, et inobservable... Orion pointe le bout de son nez, je jette un oeil pour l'observer, j'ai l'impression de regarder dans une piscine...... Allez au lit!!!

bonjour je voudrais partager avec vous mon début total dans l'astrophoto du ciel profond le sujet c'est la classique M42. je sais que on est plein de ça mais j'ai pensé que est un bon sujet pour commencer: lumineuse, facile à la trouver et belle quelques donnés Lunette SkyWatcher 80ED Pro Gold Edition Monture Bresser EXOS2 GOTO Caméra: Canon EOS 500D pas d'autoguidage Lune très proches et ciel un peu nuageux intégration totale de environ 35minutes stacking avec DSS Elaboration avec PixInsight si vous aves des avis, suggestions, conseilles à me donner je vous remercie bcp

Hello, tout d'abord je profite de poster cette image pour souhaiter à toute la communauté une belle et heureuse année 2023, avec tous mes voeux de santé et de sérénité. Je vous présente ma version des Pléiades : Voilà 3 ans que je souhaitais capturer cet amas sans jamais trouver ni le temps ni le ciel dégagé à la bonne période. Comme pour mes précédentes photos, c'est pris avec la 80ED SW et son réducteur, sur HEQ5, au Sony A7s Astrodon. Particularité : c'est ma toute première avec autoguidage ! (PHD2, asi 120mm sur chercheur 9x50). Acquisition de 332 images de 30s avec PHDmax ; prétraitement avec SIRIL et traitement avec PS (méthode starless avec StarXterminator, réduction du bruit avec NoiseXterminator, notamment). L'image est recadrée. Et comme je n'étais pas tout à fait satisfait j'en ai fais une seconde version : Bon j'aime moins les étoiles sur cette version mais elle a la préférence de mon entourage alors je soumets Merci pour vos commentaires et conseils. Alexis

Bonsoir les amis On ne peut hélas pas toujours tomber sur la bonne occasion fdudu ,tu auras eu le mérite de faire l'essai et nous montrer les différences de la qualité entre ces oculaires merci pour la démo . Pour la feuille de Gaillarda Aristata le négatif à le mérite de mettre en avant certains détails sur les nervures. Les photos sont prise au microscope objectif 10X En normal d'abord puis en négatif

Bonjour SEB Des copains t'avaient déjà répondu "oui" au mois d'août, et ça n'a pas changé depuis ...

Intérêt des filtres planétaires ... ? Lundi 9 janvier en fin de journée le ciel était parfaitement clair et ayant reçu mon set de filtres colorés, j'étais très content de pouvoir les tester. Je m'installe tandis que le jour décline rapidement et une fois prêt... 😤Grrr pas mal de passages de nuages ! Il est 18h40 et la Grande Tâche Rouge est censée être présente... Malheureusement le mauvais seeing la masque encore une fois à mon appréciation. Je l'ai seulement aperçue rapidement une seconde ou deux... Frustrant. Dans ces conditions, l'essai des filtres n'a rien donné de probant : que ce soit le bleu clair 82A, le rouge 25 ou orange 23. Je m'acharne 45min avant que la planète ne glisse derrière le toit du voisin. MAIS Les prévisions météo m'annoncent des trous de ciel clair plus nombreux plus tard dans la soirée... Je décide donc de tout laisser installer et de revenir après le repas. 20h40, repas ingurgité, tenue de cosmonaute enfilée, tous les voyants sont au vert (en tout cas, dans des valeurs acceptables 😊) : direction la planète Mars. J'ai passé pas mal de filtres : le jaune 12, orange 21, rouge 23 et le bleu clair 82A : le jaune et le rouge je n'ai pas vu d'intérêt. Le premier ne m'a semblé rien apporter tandis que le second est trop puissant et me coupe trop de lumière. Le orange et le bleu par contre 🥰Enfin, surtout le orange. L'image est moins lumineuse mais les contrastes de surface ressortent bien et, magie!, l'image est bien plus stable qu'en vision naturelle. j'ai pu apprécier longuement les reliefs de Terra Cimmeria, Terra Sirenum... Les plaines d'Elysium et de Amazonis ne m'ont rien révélé de particulier par contre. Le filtre 82A lui m'a fait ressortir la calotte polaire et m'a montré une zone plus claire du côté d'Isidis Planitia, au niveau du terminateur. Je me demande si cela pouvait être des nuages ? 🤔 Une très chouette soirée en tout cas, que j'ai achevée vers 22h30 mais à contre cœur tant les images étaient belles ! J'espère pouvoir tester les filtres sur la géante gazeuse tant qu'elle est encore un peu présente... c'est monsieur (ou madame) météo qui décide

Bonjour, non c'est un Kepler tube plein. Bonjour et merci. Oui voilà, j'ai fouillé un peu sur le forum et il me semblait bien qu'il était question de de ces disques de muscu genre Decathlon. Économique et efficace a priori. Merci en tout cas, je pense partir là-dessus 😉 Bonjour et merci à vous deux. Je vais m'orienter vers la solution de Ozzy 😉

Salut, j'ai regardé mes relevés de soirs clairs depuis 2013, vu que 2022 est terminée. Je note : - les soirs clairs (jusqu'à minuit env) sans notion de turbulence - les observations rapides ou avec lune - les observations longues de ciel profond - les soirs clairs mais sans sortie (empêchement ou pas envie) Globalement voilà ce que je constate : - les résultats sont bien sûr biaisés par les soirs d'absence du domicile, où aucun relevé n'est fait (assez forte proportion dans l'année). Ainsi en 2020 (Covid) j'ai plus de soirs clairs que d'habitude, et inversément d'autres années - effondrement très net des soirs clairs depuis septembre 2022 - année 2022 cependant dans la moyenne - pour des années avec le même nombre d'absence, pas de diminution entre 2013 et maintenant (rassurant) - globalement, tous les types de relevés fluctuent autour d'une moyenne assez stable - depuis ces 3-4 dernières années, comportement chaotique de belles périodes alternant avec de très mauvaises - nombreux soirs sans envie de sortir à cause de la grosse lune => manque de soirées exploitées : à changer - forte proportion de soirs clairs en période de grosse lune : nouvelle rubrique de relevé mis en place en 2013, car cette impression est durable depuis des années - depuis 2017 : plus d'observations en mode rapide ou lunaire (lunette) que de ciel profond stable (T300), ce qui signifie utilisation plus fréquente de la lunette que du T300 Ce dernier constat est peut-être celui qui me surprend le plus, car les observations de CP sont celles qui ont la plus forte charge émotionnelle et j'avais l'impression d'utiliser bien plus le 300 Cela revient à dire que la lunette n'est pas là pour accompagner le 300, mais presque l'inverse ! J'envisage donc de sortir le 300 même en présence de grosse lune, pour du planétaire, des doubles ou des dessins CP d'objets brillants. Une autre idée serait de booster le set-up lulu grab'n go, vu que c'est ce qui sert le plus, en augmentant un peu le diamètre. Mais on arrive alors sur le dilemne d'une plus grosse monture nécessaire pour 120/130 mm, donc lourd et plus complexe. On perd l'aspect d'installation immédiate, et mieux vaut alors monter le 300 qui sera plus performant.

oui pas de souci, j'ai ce genre de graphique. Sur la première des galaxies d'ailleurs, le problème ne se posait pas j'ai l'impression, mais j'avais laissé mon profil Rawtherapee par défaut. Sans correction voici ce que ça donne

Bonjour à tous, Et avant toutes choses, une très bonne année à tous ! Pour la nuit de noël, j'ai eu droit à un joli cadeau : ma seule nuit claire de mes vacances (et depuis un certain temps également) J'avais plusieurs cibles en tête : M45, la rosette et le cone, le cochet. Et puis je me suis rappelé que j'étais alors sous un super ciel du Lot (bortle 3 grace à l'extinction des éclairages) et sans lune. Donc je suis plutot partie voir Orion, mais à 50 mm pour avoir la boucle de Barnard ainsi que le maximum d'objets (et il y en beaucoup dans cette région du ciel - au passage, j'ai découvert quelques très jolies nébuleuses sombres) Un premier test à 1600 iso et 90 seconde : M42, la flamme et même la tête de cheval visible, sans saturation de l'image !!! Les cieux noirs sont vraiment magiques !! Pour gagner en dynamique, je descend à 800 iso et augmente le temps de pose à 2 minutes, le résultat, un poil moins lumineux, reste top, Go pour 2 minutes ! Mon setup : Pentax k-70 non défiltré avec objectif 50 1:1.8 fermé à 2.4 (contrôle des aberrations) Star adventurer, avec controle de prise de vue et dithering 180 images conservées sur 250 prises (cochonnerie d'arbres et de fils électriques) Pour le traitement, SIRIL starnet et GIMP. J'ai du faire 2 étirements d'histogramme différents car sur la verion permettant de bien voir les nébuleuses, il y a tellement d'étoiles (qui a dit qu'on est dans le disque galactique ?) qu'on ne voit plus rien. J'avais peur des résultats avec une réduction d'étoiles trop importante donc j'ai fait un seconde version, moins étirée pour récupérer les étoiles et une version de M42 moins saturée. Assemblage des 2 images sous gimp et poffinage (courbe, saturation, masques) Assez de blabla, voilà mon résultat : Je pense que je reprendrais mon traitement un peu plus tard car j'ai l'impression que le contrôle du gradient peut être optimisé. En plus, la boucle en rose est ... originale ? Du coup, je me permet de vous déposer l'image issu de mon stack SIRIL. Je suis certains que certains artistes ici plus calés en traitement pourront tirer quelques choses de mieux de cette image ! https://1drv.ms/u/s!Amvms0RCw_k0gntSpIg-nhIxc6T6?e=mgprf0 Je suis comme toujours ouvert à toutes les remarques, conseils et critiques ! Edit : Après avoir refait le traitement, j'arrive à une version plus chaude, et moins rose. Par contre, j'ai pas mal de bruit qui ressort. J'ai peut-être forcé un peu trop ... Voici donc la V2. Bon ciel à tous !!

Bon 2022 .... est passé. Et le premier vol orbital du tandem B7/S24 n'a toujours pas été tenté. On a pu constater que les premières tentatives d'allumage* ont provoqué des dégâts à la fois sur la zone du pas de tir, et sur la couronne de 33 moteurs du B7. * il n'y a jamais eu - à ce jour - de tentative d'allumer tous les moteurs. Il a donc fallu créer un bouclier de protection pour la partie des moteurs qui était exposée ; Les nouvelles du site de Boca Chica qui accompagnent les voeux de bonne année : ▶️ concernant le pas de tir : un revêtement supplémentaire doit être appliqué sur le sol pour mieux résister à l'allumage des Raptor 2 lors d'un décollage. Il faudra laisser après l'opération de pose du revêtement (qui aurait environ 20 cm d'épaisseur) , un temps incompressible d'environ 20 jours pour que le séchage soit complet et que les caractéristiques de résistance soient obtenues. Il a été décidé de procéder à des tests de résistance des "clamps" (pinces rétractables) qui supporteront le poids total du booster surmonté du Starship (une masse totale d'environ 5000 t) On n'est pas sûr que la "marge de sécurité" des 20 clamps installés en couronne soit suffisante. Donc on a procédé d'abord à des tests sur les clamps pris deux par deux. Et il est prévue la pose d'une charge équivalente aux 5000 tonnes du lanceur complet. Bien que tout soit fait pour l'éviter, le risque d'un RUD sur le pas de tir au décollage ne peut être écarté. Il faut donc tout mettre en oeuvre pour minimiser ce risque , car vu la proximité de la "ferme d'ergols" son ampleur fait craindre la destruction non seulement de la tour avec ses shopsticks ,ainsi que l'orbital launch mount qui supportera le lanceur, mais d'endommager aussi gravement une partie importante des équipements autour. Le temps estimé pour effectuer routes les réparations serait estimé alors à 6 mois minimum L'obtention de l'autorisation de la FAA pour un décollage sera dépendante du résultat des tests, et des mesures de correction qui seraient à réaliser. Il parait donc exclu que le vol orbital puisse avoir lieu en janvier, Elon Musk a déclaré que ce serait fin février/début mars ...mais on sait que ses annonces de dates sont toujours "approximatives". Bref attendons dans la zénitude .....

Ah les FF ils te transportent aussi, moi c'est le 9... Que je trouve dingue. J'en profite pour poster le dernier paragraphe de Grenouille qui a fait le test qui me parle beaucoup : "Dans « Outer Wilds » on ne cherche pas à enrichir son équipement. On cherche à enrichir son appréhension du monde dans lequel on joue… Ainsi, pour arriver à la fin d’« Outer Wilds », il faut donc avoir compris ce qui est en train de se passer dans l’univers d’« Outer Wilds » ; il faut aussi avoir compris comment il fonctionne ; et enfin il faut avoir compris comment interagir avec lui. Ça veut dire que l’histoire ne se déroule pas en parallèle du jeu. Non, ici, l’histoire C’EST le jeu. Il faut que je comprenne la mécanique de mon espace de jeu pour le déjouer. Et pour comprendre toute cette mécanique, je n’ai pas le choix. Il faut que j’expérimente par moi-même ou que je croise des gens qui ont expérimenté avant moi. Rien dans ce jeu n’est explicitement formulé. C’est toujours au joueur de comprendre. C’est toujours au joueur de tirer des hypothèses sur ce qu’il voit, puis encore au joueur d’expérimenter la fiabilité de ses hypothèses. Pour dire le niveau du truc"

Oui. Pas forcément moins sensible au seeing (le trait central bouge avec la turbulence) mais ça permet de s’approcher assez facilement de la collimation optimale pour ceux qui ont du mal avec les donuts ou quand Airy se refuse à toi Quelques petits trucs : - L’usage d’un masque mobile qui cache partiellement la grille permet de savoir quelle vis tourner. - Idéalement, s’il sont visibles, se concentrer sur les trois traits les plus proches de la tache centrale. -Tout ce que j’ai dit au-dessus reste vrai (filtres en particulier)

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Salut, il y a des chance que la map à l'infini ne passe pas. Ca arrive avec certains vieux objos. Tu as vérifié les dimensions de tes bagues? comparé avec les distances nécessaire objectif / capteur? Le MFT (m4/3) c'est 19.5 de distance objo/capteur. l'olympus four thirds c'est 38.67 et le m42 : 45.46 https://en.wikipedia.org/wiki/Flange_focal_distance

Bonjour Tymad, le Morbihannais, Afin d'agrandir ton stock d'ouvrages plus ou moins anciens concernant l'astronomie, je te conseille de regarder le sujet posté le 20 novembre 2009 par le webastram Will : « Je suis un grand malade... et vous ? » [ https://www.webastro.net/forums/topic/54552-je-suis-un-grand-malade-et-vous/ ]. Parmi les livres qui sont mentionnés dans ce sujet certains pourraient te convenir si tu avais la chance de les voir proposer à un prix très modeste lors d'un prochain vide grenier ou chez un brocanteur. Roger le Cantalien.

Avec une magnitude si faible... bien inférieure à la pleine lune, c'est peu de chose probablement, un éclat de satellite peut-être

Bonjour, merci pour ta réponse. je vais voir ça Alex

Hello, allez pour le plaisir et comme le temps est archi crade voici une troisième version, sur laquelle j'ai pris un peu plus de temps... Je vous laisse juges et merci par avance pour vos commentaires.

Bonjour Présent aussi. JM

Belle initiative ! 😀 J'y serais aussi mais probablement pendant 4 jours et 3 nuits comme les précédentes éditions.

Félicitations et bon courage car il en faut, même si pour le bien de bcp d'astrams qui attendent ce moment !

Ça me rappelle le 1er confinement. On m'avait prêté une maison de villégiature en plein milieu d'un golf. Les fusibles des lampadaires étaient très facilement accessibles avec une clé 6 pans.

Pour completer la réponse déjà donnée... En astronomie on parte souvent de filetage M42, pour parler du diamètre du filetage, mais il faut aussi parler du "pas" qui est de 1mm sur le standard M42, mais de 0.75mm sur les équipements astro de diamètre 42mm, et ces bagues sont habituellement vendues sous la denomination bague T2 (et pas M42) Pour les objectifs photographiques, on a bien du filetage M42 (diam 42mm pas 1mm), donc il faut trouver une bague EOS-M42 et habituellement on n'en trouve pas dans les magasins astro (on y trouve des bagues EOS-T2) Sur les APN Canon, les objectifs EF et EF-S ont besoin d'un tirage de 44mm, et on trouve donc sur un APN EOS le capteur qui est enfoncé de 44mm après le rebord du boitier. Pour les objectifs photos M42, il leur faut un tirage optique de 45.5mm, c'est supérieur à 44mm et cela tombe bien, cela veut dire que l'on dispose de 1.5mm pour y interposer une bague d'adaptation EOS-M42 Les appareils Nikon et leur objectifs ont un tirage optique de 46.5mm, donc on ne peut pas juste utiliser une bague simple pour y utiliser un objectif M42 qui lui a besoin de 45.5mm (cet objectif sera trop loin de 1mm, et ne pourra pas faire la mise au point à l'infini), on doit alors utiliser un complement optique, donc une bague qui contient une lentille (cela joue le même rôle que les glasspath que l'on rajoute avec les binoculaires pour faire ressortir le foyer sur nos telescope et compenser la consommation de chemin optique e la bino) EDIT: plus d'infos ici https://www.suaudeau.eu/memo/pratique/Les_montures.html Cordialement

Aux plumage roux des joues et du cou. La femelle est plus neutre et reste bicolore :

Bonjour, Krotdebouk a complété la liste avec l'astronomie. J'aime bien les trois titres (Ciel & Espace, l'astronomie et Astrosurf) pour tout un tas de raisons différentes. En résumant très très fortement, j'aime bien les tests de Ciel & Espace, les articles un peu plus de fond de l'Astronomie et les balades et conseils d'observation d'Astrosruf. D'un point de vue esthétique je préfère par contre largement Astrosurf. A noter que Ciel & Espace et Astrosurf sont bimestriels alors que l'Astronomie est mensuel.

Bordeaux : 57 % de l’éclairage public sera éteint à partir du 2 janvier Source : Sud-Ouest

Désolé pour la réponse tardive, je viens seulement de voir les messages supplémentaires. Mon image de la rosette ci-dessus a été prise le 8 janvier à travers un réfracteur de 130 mm, un oculaire panoptique de 41 mm, pvs-14 et un chroma 3 nm ha. Elle a été prise avec mon téléphone Huawei et n'est PAS empilée, c'est-à-dire une seule image. Les vues en direct réelles étaient similaires à l'image du téléphone. Cela a été pris sur un site relativement sombre (m² 21,0) ce qui fait une grande différence. L'utilisation du filtre Ha est essentielle pour obtenir de bonnes vues des nébuleuses à émission. J'ai également joint une photo de téléphone de la nébuleuse pac-man prise avec le même kit de vision nocturne mais cette fois avec mon dobson de 16 pouces.