Aller au contenu

Classement

  1. m27trognondepomme

    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      1230


  2. Astrokor

    Astrokor

    Membre association


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      421


  3. Phiphi78

    Phiphi78

    Membre


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      33


  4. krotdebouk

    krotdebouk

    Membre


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      5618


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 03/19/23 dans toutes les zones

  1. entre les nuages , j'ai imagé les groupes de tâches AR3256 , AR3257 et AR3259 en Ha avec le QUARK: et une petite protubérance :
    2 points
  2. L'image résultant de la session à 0.35s RMS. C'est pas le meilleurs traitement de la Terre, mais ça peut donner une idée. La tête de cheval (pas très bien traitée) :
    2 points
  3. Bonjour, une énième photo de M51 🙂 Lune assez présente donc j'ai du pas mal jouer avec le fond de ciel. 5h de temps de pause en L et 45 min par couleur. J'ai du quand même supprimer deux ou trois photos. Setup RC250 @ 1600mm ASI294MM Monture GTD E.frics Guidage OAG avecASI290MM Pré-traitement et traitement Pix à partir des tutos de Jean-Baptiste Auroux. Ils sont vraiment top et détaillés. J'ai beaucoup appris. Je ferai peut être une autre version avec une réduction d'étoiles qui pourrait être sympa aussi. WIlliam
    1 point
  4. Salut les amis! M82 (NGC 3034 ou galaxie du cigare) est une galaxie spirale à sursaut d’étoile, elle est située à environ 12 millions d'années-lumière dans la constellation de la Grande Ourse. Elle est environ cinq fois plus lumineuse que la Voie Lactée et possède un centre cent fois plus lumineux. On pense que l'activité des sursauts d’étoile a été déclenchée par l'interaction avec la galaxie voisine M81. Hubble a référencé plus de 200 jeunes amas d'étoiles massives près du cœur de M82. Dans le cœur de M82, le diamètre de la région est de 500 pc. Quatre amas très brillants (désignés par les lettres A, C, D et E) ont été détectés dans cette région en lumière visible. Certain sont plus visible en infrarouge, voilà pourquoi l’utilisation d’une caméra sensible à l’infrarouge est intéressante en pose courte. L'impressionnant jet de matière bipolaire de M82 semble concentré sur les amas A et C et il serait entretenu par l'énergie libérée par des supernovas qui se produiraient dans ces amas environ une fois par décennie. Les observations réalisées par l'observatoire de rayons X Chandra montrent une région d'émission variable de rayon X située à environ 600 années-lumière du centre de M82. Cette source a été désignée M82 X-1. Les astronomes ont émis l'hypothèse que ces émissions proviennent du premier trou noir connu de masse intermédiaire. Sa masse serait comprise entre 200 et 5000 masses solaires. En 2014, en étudiant M82, les scientifiques ont découvert le pulsar le plus brillant jamais connu, désigné M82 X-2. Je pensais pouvoir voir ces deux objets mais il semblerait que non… En tout cas, ma motivation première était de détecter un maximum d’amas stellaire en infrarouge et en lumière visible ! Et je suis extrêmement ravi de mes résultats grâce à cette nouvelle camera de chez Playerone , la Neptune color II. Matériels utilisés: Tube Newton 300mmF4 associé avec la barlow 2x pilotée par l'eq6. Avec la technique des poses courtes soit: L(L+IR742+IR850) +R(IR685)VB . 35000x500ms IR742 14000x1s and 7200x3s L 10000x1s IR850 Traité par Siril, avec la nouvelle version . Alignement 3 étoiles empilement par Somme et Moyenne ( en mode rejet TDES) emplacement precis des amas stellaire et comparatif avec hst pour voir que les details correspondent: et un autre gif pour voir l'interet de l'infrarouge sur ce type d'objet: et un crop: A+ Stephane
    1 point
  5. Bonjour à tous, Pour mon premier post je cherchais un sujet intéressant et qui n’ai pas été abordé avant (c’est difficile ici hein !!! ) Je vais donc vous raconter l’histoire d’une lettre qui m’as fascinée quand je l’ai lu pour la première fois ! Cela se déroule en 1970, une nonne basée en Zambie, Sœur Mary Jucunda écrit au Dr Ernst Stuhlinger, alors directeur associé des sciences au Marshall Space Center de la NASA, en réponse à ses recherches en cours sur une mission pilotée vers Mars. Plus précisément, elle a demandé comment il pouvait suggérer de dépenser des milliards de dollars pour un tel projet à un moment où tant d'enfants mouraient de faim sur Terre ? Stuhlinger a rapidement envoyé la lettre d'explication suivante à sœur Jucunda, ainsi qu'une copie de « Earthrise », la photographie emblématique de la Terre prise en 1968 par l'astronaute William Anders, depuis la Lune (également intégrée dans la transcription). Sa réponse réfléchie a ensuite été publiée par la NASA et intitulée : "Pourquoi explorer l'espace?" (La réponse étant assez "dense" j’ai fait de mon mieux pour aérer le texte et comme nous sommes sur un forum francophone de vous en livrer une traduction, néanmoins vous trouverez la source a la fin du post. Bonne lecture ❤️ ) =-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=- 6 mai 1970, Chère sœur Mary Jucunda : Votre lettre était l'une des nombreuses qui m'arrivent chaque jour, mais elle m'a touché plus profondément que toutes les autres parce qu'elle est venue tellement des profondeurs d'un esprit chercheur et d'un cœur compatissant. Je vais essayer de répondre au mieux à votre question. Cependant, je voudrais d'abord exprimer ma grande admiration pour vous, et pour toutes vos nombreuses sœurs courageuses, parce que vous consacrez votre vie à la cause la plus noble de l'homme : l'aide à ses semblables qui sont dans le besoin. Vous m'avez demandé dans votre lettre comment je pouvais suggérer de dépenser des milliards de dollars pour un voyage vers Mars, alors que de nombreux enfants meurent de faim sur cette Terre. Je sais que vous ne vous attendez pas à une réponse du genre "Oh, je ne savais pas qu'il y avait des enfants qui mouraient de faim, mais à partir de maintenant, je m'abstiendrai de toute recherche spatiale tant que l'humanité n'aura pas résolu ce problème". En fait, j'ai connu des enfants qui mouraient de faim bien avant de savoir qu'un voyage vers la planète Mars était techniquement réalisable. Cependant, je pense, comme beaucoup de mes amis, que voyager vers la Lune et éventuellement vers Mars et d'autres planètes est une entreprise que nous devrions entreprendre maintenant, et je crois même que ce projet, à long terme, contribuera davantage à la solution des graves problèmes auxquels nous sommes confrontés ici sur Terre que beaucoup d'autres projets d'aide potentiels qui sont débattus et discutés année après année, et qui sont si lents à produire des résultats tangibles. Avant d'essayer de décrire plus en détail comment notre programme spatial contribue à la solution de nos problèmes terrestres, je voudrais raconter brièvement une histoire supposée vraie, qui peut aider à soutenir l'argument. Il y a environ 400 ans, vivait un comte dans une petite ville d'Allemagne. Il était l'un des comtes bénins, et il a donné une grande partie de ses revenus aux pauvres de sa ville. C'était très apprécié, car la pauvreté était abondante à l'époque médiévale et il y avait des épidémies de peste qui ravageaient fréquemment le pays. Un jour, le comte rencontra un homme étrange. Il avait un établi et un petit laboratoire dans sa maison, et il travaillait dur pendant la journée afin de pouvoir se permettre quelques heures chaque soir pour travailler dans son laboratoire. Il a broyé de petites lentilles à partir de morceaux de verre; il a monté les lentilles dans des tubes, et il a utilisé ces gadgets pour regarder de très petits objets. Le comte était particulièrement fasciné par les minuscules créatures que l'on pouvait observer avec le fort grossissement, et qu'il n'avait jamais vues auparavant. Il invita l'homme à déménager avec son laboratoire au château, à devenir membre de la maison du comte, et à consacrer désormais tout son temps au développement et au perfectionnement de ses gadgets optiques en tant qu'employé spécial du comte. Les habitants de la ville, cependant, se sont mis en colère lorsqu'ils ont réalisé que le comte gaspillait son argent, comme ils le pensaient, dans une cascade sans but. "Nous souffrons de ce fléau", dirent-ils, "alors qu'il paie cet homme pour un passe-temps inutile !" Mais le comte est resté ferme. "Je vous donne tout ce que je peux me permettre", a-t-il dit, "mais je soutiendrai également cet homme et son travail, car je sais qu'un jour quelque chose en sortira!" En effet, quelque chose de très bon est sorti de ce travail, et aussi d'un travail similaire fait par d'autres à d'autres endroits : le microscope. Il est bien connu que le microscope a contribué plus que toute autre invention au progrès de la médecine, et que l'élimination de la peste et de nombreuses autres maladies contagieuses de la plupart des régions du monde est en grande partie le résultat d'études rendues possibles par le microscope. Le comte, en conservant une partie de son argent de poche pour la recherche et la découverte, a contribué bien plus au soulagement de la souffrance humaine qu'il n'aurait pu contribuer en donnant tout ce qu'il pouvait épargner à sa communauté pestiférée. La situation à laquelle nous sommes confrontés aujourd'hui est similaire à bien des égards. Le président des États-Unis dépense environ 200 milliards de dollars dans son budget annuel. Cet argent va à la santé, à l'éducation, au bien-être, à la rénovation urbaine, aux autoroutes, au transport, à l'aide étrangère, à la défense, à la conservation, à la science, à l'agriculture et à de nombreuses installations à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Environ 1,6% de ce budget national a été alloué à l'exploration spatiale cette année. Le programme spatial comprend le projet Apollo et de nombreux autres projets plus petits dans les domaines de la physique spatiale, de l'astronomie spatiale, de la biologie spatiale, des projets planétaires, des projets de ressources terrestres et de l'ingénierie spatiale. Pour rendre cette dépense pour le programme spatial possible, le contribuable américain moyen avec un revenu de 10 000 dollars par an paie environ 30 dollars d'impôts pour l'espace. Le reste de ses revenus, 9 970 dollars. Vous demanderez probablement maintenant : « Pourquoi ne prenez-vous pas 5, 3 ou 1 dollar sur les 30 dollars de l'espace que le contribuable américain moyen paie, et n'envoyez-vous pas ces dollars aux enfants affamés ? Pour répondre à cette question, je dois expliquer brièvement comment fonctionne l'économie de ce pays. La situation est très similaire dans d'autres pays. Le gouvernement se compose d'un certain nombre de départements (intérieur, justice, santé, éducation et bien-être, transports, défense et autres) et de bureaux (National Science Foundation, National Aeronautics and Space Administration et autres). Tous préparent leurs budgets annuels en fonction des missions qui leur sont assignées, et chacun d'eux doit défendre son budget contre un examen extrêmement sévère par les commissions du Congrès, et contre une forte pression d'économie de la part du Bureau du Budget et du Président. Le budget de l'Administration nationale de l'aéronautique et de l'espace ne peut naturellement contenir que des postes directement liés à l'aéronautique et à l'espace. Si ce budget n'était pas approuvé par le Congrès, les fonds qui lui sont proposés ne seraient pas disponibles pour autre chose ; ils ne seraient tout simplement pas prélevés sur le contribuable, à moins que l'un des autres budgets n'ait obtenu l'approbation d'une augmentation spécifique qui absorberait alors les fonds non dépensés pour l'espace. Vous vous rendez compte à partir de ce bref discours qu'un soutien aux enfants affamés, ou plutôt un soutien en plus de ce que les États-Unis contribuent déjà à cette très noble cause sous forme d'aide étrangère, ne peut être obtenu que si le ministère compétent soumet une ligne budgétaire article à cet effet, et si cet article est ensuite approuvé par le Congrès. Vous pouvez maintenant me demander si je serais personnellement favorable à une telle démarche de notre gouvernement. Ma réponse est un oui catégorique. En effet, cela ne me dérangerait pas du tout si mes impôts annuels étaient augmentés d'un certain nombre de dollars dans le but de nourrir des enfants affamés, où qu'ils vivent. Je sais que tous mes amis ressentent la même chose. Cependant, nous ne pouvions pas donner vie à un tel programme simplement en renonçant à faire des plans de voyages vers Mars. Au contraire, je crois même qu'en travaillant pour le programme spatial, je peux apporter une contribution au soulagement et à la solution éventuelle de problèmes aussi graves que la pauvreté et la faim sur Terre. Deux fonctions sont à la base du problème de la faim : la production de nourriture et la distribution de nourriture. La production alimentaire par l'agriculture, l'élevage de bétail, la pêche en mer et d'autres opérations à grande échelle est efficace dans certaines parties du monde, mais gravement déficiente dans de nombreuses autres. Par exemple, de vastes étendues de terres pourraient être bien mieux utilisées si des méthodes efficaces de contrôle des bassins versants, d'utilisation d'engrais, de prévisions météorologiques, d'évaluation de la fertilité, de programmation des plantations, de sélection des champs, d'habitudes de plantation, Le meilleur outil pour l'amélioration de toutes ces fonctions est sans aucun doute le satellite artificiel de la Terre. Faisant le tour du globe à haute altitude, il peut masquer de vastes étendues de terre en peu de temps; il peut observer et mesurer une grande variété de facteurs indiquant l'état et l'état des cultures, du sol, des sécheresses, des précipitations, de la couverture de neige, etc., et il peut transmettre ces informations par radio aux stations au sol pour une utilisation appropriée. Il a été estimé que même un système modeste de satellites terrestres équipés de ressources terrestres, de capteurs, travaillant dans le cadre d'un programme d'améliorations agricoles mondiales, augmentera les récoltes annuelles d'un équivalent de plusieurs milliards de dollars. La distribution de la nourriture aux nécessiteux est un problème complètement différent. La question n'est pas tant une question de volume d'expédition, c'est une question de coopération internationale. Le dirigeant d'une petite nation peut se sentir très mal à l'aise à l'idée de voir de grandes quantités de nourriture expédiées dans son pays par une grande nation, simplement parce qu'il craint qu'en plus de la nourriture, il puisse également y avoir une importation d'influence et de puissance étrangère. Je crains qu'un soulagement efficace de la faim ne viendra pas avant que les frontières entre les nations soient devenues moins conflictuelles qu'elles ne le sont aujourd'hui. Je ne crois pas que le vol spatial accomplira ce miracle du jour au lendemain. Cependant, le programme spatial est certainement parmi les agents les plus prometteurs et les plus puissants œuvrant dans ce sens. Permettez-moi seulement de vous rappeler la récente quasi-tragédie d'Apollo 13. Lorsque le moment de la rentrée cruciale des astronautes a approché, l'Union soviétique a interrompu toutes les transmissions radio russes dans les bandes de fréquences utilisées par le projet Apollo afin d'éviter tout interférences, et des navires russes se sont postés dans les océans Pacifique et Atlantique au cas où un sauvetage d'urgence deviendrait nécessaire. Si la capsule de l'astronaute avait atterri près d'un navire russe, les Russes auraient sans aucun doute consacré autant de soin et d'efforts à leur sauvetage que si des cosmonautes russes étaient revenus d'un voyage dans l'espace. Si les voyageurs spatiaux russes devaient un jour se trouver dans une situation d'urgence similaire, les Américains feraient de même sans aucun doute. Une production alimentaire accrue grâce à des enquêtes et des évaluations depuis l'orbite, et une meilleure distribution alimentaire grâce à l'amélioration des relations internationales, ne sont que deux exemples de l'impact profond du programme spatial sur la vie sur Terre. et je Je voudrais citer deux autres exemples : la stimulation du développement technologique et la génération de connaissances scientifiques. Les exigences de haute précision et d'extrême fiabilité qui doivent être imposées aux composants d'un engin spatial voyageant sur la Lune sont totalement sans précédent dans l'histoire de l'ingénierie. Le développement de systèmes répondant à ces exigences sévères nous a fourni une opportunité unique de trouver de nouveaux matériaux et méthodes, d'inventer de meilleurs systèmes techniques, de fabriquer des procédés, d'allonger la durée de vie des instruments, et même de découvrir de nouvelles lois de la nature. Toutes ces connaissances techniques nouvellement acquises sont également disponibles pour une application aux technologies liées à la Terre. Chaque année, environ un millier d'innovations techniques générées dans le cadre du programme spatial se retrouvent dans notre technologie terrestre où elles conduisent à de meilleurs appareils de cuisine et équipements agricoles, de meilleures machines à coudre et radios, de meilleurs navires et avions, de meilleures prévisions météorologiques et avertissements de tempête, de meilleurs communications, de meilleurs instruments médicaux, de meilleurs ustensiles et outils pour la vie quotidienne. Vraisemblablement, vous demanderez maintenant pourquoi nous devons d'abord développer un système de survie pour nos astronautes voyageant sur la Lune, avant de pouvoir construire un système de capteur de lecture à distance pour les patients cardiaques. La réponse est simple : des progrès significatifs dans la résolution de problèmes techniques ne sont souvent pas réalisés par une approche directe, Les vols spatiaux jouent sans aucun doute exactement ce rôle. Le voyage vers Mars ne sera certainement pas une source directe de nourriture pour les affamés. Cependant, cela conduira à tellement de nouvelles technologies et capacités que les retombées de ce projet à elles seules vaudront plusieurs fois le coût de sa mise en œuvre. Outre le besoin de nouvelles technologies, il existe un grand besoin continu de nouvelles connaissances fondamentales dans le domaine des sciences si nous souhaitons améliorer les conditions de la vie humaine sur Terre. Nous avons besoin de plus de connaissances en physique et chimie, en biologie et physiologie, et tout particulièrement en médecine pour faire face à tous ces problèmes qui menacent la vie de l'homme : faim, maladie, contamination des aliments et de l'eau, pollution de l'environnement. Nous avons besoin de plus de jeunes hommes et femmes qui choisissent la science comme carrière et nous avons besoin d'un meilleur soutien pour les scientifiques qui ont le talent et la détermination de s'engager dans des travaux de recherche fructueux. Des objectifs de recherche stimulants doivent être disponibles et un soutien suffisant pour les projets de recherche doit être fourni. Encore une fois, le programme spatial avec ses merveilleuses opportunités de s'engager dans des études de recherche vraiment magnifiques sur les lunes et les planètes, la physique et l'astronomie, la biologie et la médecine est un catalyseur presque idéal qui induit la réaction entre la motivation pour le travail scientifique, les opportunités d'observation passionnantes phénomènes naturels et le soutien matériel nécessaire pour mener à bien l'effort de recherche. De toutes les activités dirigées, contrôlées et financées par le gouvernement américain, le programme spatial est certainement l'activité la plus visible et probablement la plus débattue, bien qu'il ne consomme que 1,6 % du budget national total, et 3 pour mille (moins d'un tiers de 1 pour cent) du produit national brut. Stimulant et catalyseur du développement des nouvelles technologies et de la recherche en sciences fondamentales, il n'a d'équivalent dans aucune autre activité. A cet égard, on peut même dire que le programme spatial reprend une fonction qui, depuis trois ou quatre mille ans, était le triste apanage des guerres. Combien de souffrances humaines peuvent être évitées si les nations, au lieu de rivaliser avec leurs flottes de largage de bombes d'avions et de fusées, rivalisent avec leurs vaisseaux spatiaux voyageant sur la lune ! Cette compétition est pleine de promesses de brillantes victoires, mais elle ne laisse aucune place au sort amer des vaincus, qui n'engendre que vengeances et nouvelles guerres. Bien que notre programme spatial semble nous éloigner de notre Terre et nous diriger vers la lune, le soleil, les planètes et les étoiles, je crois qu'aucun de ces objets célestes ne recevra autant d'attention et d'étude de la part des scientifiques de l'espace que notre Terre. Elle deviendra une Terre meilleure, non seulement grâce à toutes les nouvelles connaissances technologiques et scientifiques que nous appliquerons à l'amélioration de la vie, mais aussi parce que nous développons une appréciation beaucoup plus profonde de notre Terre, de la vie et de l'homme. La photographie que je joins à cette lettre montre une vue de notre Terre vue d'Apollo 8 lorsqu'elle a orbité autour de la lune à Noël 1968. De tous les nombreux résultats merveilleux du programme spatial jusqu'à présent, cette image est peut-être la plus importante. . Cela nous a ouvert les yeux sur le fait que notre Terre est une île magnifique et très précieuse dans un vide illimité, et qu'il n'y a pas d'autre endroit où vivre que la fine couche superficielle de notre planète, bordée par le néant sombre de l'espace. Jamais auparavant autant de personnes n'avaient réalisé à quel point notre Terre est limitée et à quel point il serait périlleux de modifier son équilibre écologique. Depuis que cette image a été publiée pour la première fois, des voix se font de plus en plus fortes pour avertir des graves problèmes auxquels l'homme est confronté à notre époque : la pollution, la faim, la pauvreté, la vie urbaine, la production alimentaire, le contrôle de l'eau, surpopulation. Ce n'est certainement pas par hasard que nous commençons à voir les énormes tâches qui nous attendent à une époque où la jeune ère spatiale nous a fourni le premier bon aperçu de notre propre planète. Heureusement, l'ère spatiale ne nous offre pas seulement un miroir dans lequel nous pouvons nous voir, elle nous fournit également les technologies, le défi, la motivation et même l'optimisme pour entreprendre ces tâches avec confiance. Ce que nous apprenons dans notre programme spatial, je crois, confirme pleinement ce qu'Albert Schweitzer avait à l'esprit lorsqu'il a dit : « Je regarde l'avenir avec inquiétude, mais avec bon espoir. » Mes meilleurs voeux seront toujours avec vous et avec vos enfants. Très sincèrement vôtre, Ernst Stühlinger Directeur associé pour la science =-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=- Source : https://lettersofnote.com/2012/08/06/why-explore-space/
    1 point
  6. bonsoir à tous, voici donc ma dernière image faite cet été de la nébuleuse pacman le 7,8,10,11,27 et 28 Aout dernier ( plein de bouts de fin de nuits! ) Atik460ex + filtres HaO3RVB astronomik + fs60 à f/6.2 sur ma GP autoguidage en // avec zwo178mm + zwo30F4 Ha 6nm : 73 x 300s en binning 1x1 O3 6nm : 44 x 300s en binning 2x2 R : 7 x 180s en binning 2x2 VB : 8 x 180s en binning 2x2 prétraitement imageviewCA traitements iris, starnet, siril, photoshop A la taille d'acquisition recadrée: a+ stéphane
    1 point
  7. Plutôt définitivement après la deuxième guerre mondiale pour le visuel, après la polémique des canaux de Mars La période de transition fut de 1925 à 1940. Peut être un début de la fin pour les professionnels avec la découverte de Pluton en 1930 à côté de la grande lunette Clark de Percival Lowell. Les astrographes de Schmidt et de Maksutov ont pris le relai ensuite. Pour le lunaire, il a fallu attendre l'après guerre avec le choix définitif du 1 mètre du Pic du Midi pour la cartographie préparatoire aux missions Apollo. ----- Quant au choix lunettes ou télescopes : j'ai eu plusieurs instruments et des compétences en optique. Un réfracteur simple (doublet achromatique) J'ai eu le privilège de côtoyer des deux lunettes anciennes : des objectifs Zeiss de 1907 et 1908. La Robach du club d'Annecy : A-130f18, (semi-apo), puis conjointement une Zeiss E-110 littrow (design C.Szapski) et bien d'autres instruments Dobson Perl 203f6, SCT 8", Richet-Chrétien de 14", Mak Newt 6"f8, Meade Apo 80/480, des achromats de 50 à 100mm, une TAL 100R Je vais citer despoints clefs. - Les achromats ont l'avantage d'être complets avec 4 surfaces, deux types de verres souvent peu couteux et un traitement anti-reflet simple : ils offrent les meilleures possibilités de précision. (astigmatisme, ab. sphérique, coma et a-chromatisme). Le soucis est que les optiques modernes sont loin d'être fabriquées avec autant de précision que jusqu'au années 1980. Il y a des versions modernisées avec verres à faible dispersion et ratio f/D plus court, favorisant la compacité. Le chromatisme est bien géré mais le piqué individuel des couleurs est approximatif. - Les apochromats avec correcteurs sont destinés à la photographie grand angle. Il faut 6 surfaces en général et un autre ensemble de 4 surfaces ou 6 pour un flattener/réducteur. - Les télescopes newton sont moins bien corrigés sur le champ et nécessite un réglage de collimation et ont une perte de contraste due à l'obstruction centrale si le f/D est court (<6). Les f/D moyens entre 6 et 8 peuvent gérer une obstruction plus faible et sont faciles à régler. La qualité des newtons réside principalement dans la fabrication du miroir principal et de la mécanique autour. Ils n'ont pas de chromatisme inhérent au diamètre. - Les catadioptres pallient en général au problème de coma et de compacité mais ont une perte substantielle de contraste à cause de l'obstruction centrale. Les catadioptres ont un niveau de chromatisme comparables aux apochromats à 150mm de diamètre et comme un bon achromat à 14" (C14) Quoi qu'il en soit les télescopes peuvent être construit plus gros, augmentant la luminosité captée. Mais contrairement au idées reçus ils apportent très peu de résolution supplémentaire. L’atmosphère terrestre limite énormément le diamètre effectif. Au delà de 200mm (résolution 0.7" arc), on touche déjà aux possibilités maximales en rase campagne.
    1 point
  8. 2 grosses jumelles vintage de marine ou pour vue panoramique à pièce. A voir si les optiques sont en bon état. Par contre ça doit peser un âne mort... https://www.leboncoin.fr/collection/2318653547.htm Albéric
    1 point
  9. Pas si hop que ça mais relativement rapidement quand même, 15 minutes à la louche. C'est pas très compliqué fusion 360 pour des pièces simples. Quand on est astram et qu'on a une imprimante 3D, ça vaut le coup de regarder quelques tutos Mais surtout, j'espère que ça te permettra d'extraire tes 2 pignons !
    1 point
  10. Alors à partir de mon extracteur pour axe moteur de 4mm, ça donne ça. L'encoche de gauche c'est pour y incorporer un écrou M4 et j'y ai ajouté l'excroissance plate juste pour faciliter l'impression. Je pense que ça devrait supporter l'extraction, mes pignons n'étaient pas montés hyper serrés.. mais je ne garantis rien Le fichier Fusion 360 pour modifs si c'est ce logiciel que tu utilises et le stl rowan_heq5 v2.stl rowan_heq5 v2.f3d
    1 point
  11. Comme beaucoup d'entre vous je crois, je profite du temps maussade pour retraiter quelques images. Voici donc une V2 de ma méduse ou j'y suis allé moins fort sur la réduction du bruit. Je pense que le résultat est plus naturel. Par ailleurs un objet m'intrigue sur la photo et je ne suis pas arrivé à trouver de quoi il s'agit. Peut être certains d'entre vous peuvent m'en dire plus?
    1 point
  12. la fin d'usinage ce matin, j'ai laissé tombé les lamages , ça me facilite la vie. mon usinage est correct, ça se monte sans problème
    1 point
  13. Quelques photos du travail sur le tour cet après midi... pour ceux qui aiment J'ai pas eu le temps de finir, il me manque juste les 6 trous diamètre 3.2 mm à faire et les lamages de 6 mm Donc la suite ce sera demain ou plus tard ...
    1 point
  14. Avec un peu de retard, voici la nébuleuse de la Rosette prise en deux nuits le 20 / 21 janvier 2023. Après de nombreuses tests, je me suis arrêté sur ces deux versions J'espère qu'elles vous plairont Même si la version classique est plus "réaliste" et n'étant pas toujours fan à base de réalisations "starless", je dois avouer que la version starless me donne vraiment le vertige par la sensation de profondeur et de l'énergie dégagé de cette nébuleuse mais ça n'engage que moi Version classique : Full Astrobin : https://www.astrobin.com/4z03zr/ Version Starless : Full Astrobin : https://www.astrobin.com/r8xpqa/ Détails de la capture : 60 x 600S ( 40 retenues ) Askar 400 sans réducteur ZWO 2600MC ( pas de filtre ) Ioptron CEM40 Autoguidage au chercheur NINA Traitement Pixinisght ( Blurx / Starx / Noisex / DBE / SPCC ) Finitions sur Photoshop + Lightroom Bon ciel !
    0 point
  15. Bonjour, Je viens vers vous, car je suis sur le point de franchir le pas d'un achat d'un Dobson 300 mm. Je compte pratiquer essentiellement du visuel et m'essayer à l'Astrodessin. Le choix du Dobson lui-même n'est pas définitivement arrêté. Entre l' Explore Scientific pour son coût relativement réduit sachant qu'il y a quelques défauts à corriger d'après ce que j'ai lu (qu'en pensez-vous ?), et le Geoptic Nadirus 300mm ce qui n'est pas le même budget. Pour ce qui est du Nadirus, très peu de retours sur les forums ou internet. Quoiqu'il en soit pour ces deux instruments, j'aurai besoin: D'un chercheur D'un laser de collimation Et je comptais partir sur 2 oculaires. Donc pour tout ces accessoires, j'aurais besoin de vos conseils éclairés. Je pose toutes ces questions maintenant, car la journée de l'occasion de Communay approche, et n'habitant pas trop loin, je pourrais peut-être trouver de bonnes affaires là-bas. Merci d'avance pour vos réponses.
    0 point
  16. Tellement rare, une merveille, et un gars bien connu de chez nous Le fameux ethos 21: https://www.webastro.net/petites_annonces/oculaire-ethos-televue-21-mm-100-2-pouces-1ere-main_83379.htm
    0 point
  17. Beau groupe de tâches en approche, pourvu que ça se dégage..!
    0 point
  18. Bonjour Mon Cher Deuza, Ton excellent sujet intitulé “Pourquoi explorer l'espace ?” me remémore une émission télévisée diffusée sur la deuxième chaîne de l'ORTF au début des années 1970 . Depuis le printemps de l'année 1972 grâce à mon frère Rémi il y avait désormais chez nous à Antony un gros téléviseur couleur (remplaçant notre vieux téléviseur noir et blanc qui datait de l'été 1960) qui captait les émissions en couleur de la deuxième chaîne télévisée de l'ORTF . Et le dimanche soir il y avait une émission en couleur, que ma maman adorait, consacrée aux voyages de la Calypso du commandant Pierre-Yves Cousteau. L'une d'elle est restée gravée dans mon esprit : l'expédition de l'Antarctique par la Calypso lors de l'été austral 1972. Cette expédition fut sauvée in extremis par la NASA qui est venue au secours de la Calypso (le navire du Commandant Cousteau) lors de son périple très périlleux sur les mers du continent Antarctique en 1972/1973. Voir : http://www.passioncalypso.com/fr/mission-1972-antarctique-mission-impossible/ . Cette émission racontait que lors de son voyage de retour, avant que les glaces ne recouvrent définitivement l'Océan glacial Arctique, le commandant de la Calypso se rend compte ― malheureusement déjà trop tardivement ― que progressivement toutes les voies maritimes du trajet du retour vers l'Océan Atlantique sont hélas progressivement prises par la banquise qui se reforme très rapidement dès la fin de l'été austral. Le commandant Cousteau demande alors par radio à la NASA de lui indiquer de toute urgence, via ses satellites, quelle voie est encore libre pour que la Calypso puisse s'échapper du piège glacial et fatal qui se referme sur elle ? La NASA accepte immédiatement de modifier alors le programme initial de plusieurs de ses satellites et leur demande d'envoyer en permanence des images des glaces se formant dans les eaux dans les environs immédiats de la Calypso. Grâce à l'aide des satellites de la NASA la Calypso pourra s'échapper in extremis du pièce mortel de la banquise Antarctique et trouver le seul bon chemin pour regagner l'eau libre de l'Océan Glacial Antarctique !... Voir : http://fr.cousteau.org/expeditions/antarctica. Le Commandant Cousteau a renvoyé l'ascenseur à la NASA lors de l'explosion de la navette spatiale américaine Challenger le mardi 28 janvier 1986 à 11h40 (heure de la Côte Est des États-Unis, soit 16h40 Temps Universel et 17h40 heure française) ; voir : https://www.webastro.net/forums/topic/60385-28-janvier-1986-lexplosion-de-la-navette-challenge-vue-par-les-télévisions/ En effet, parmi toutes les réactions qui ont été exprimées de par le monde suite au drame de la navette spatiale américaine Challenger, les Américains ont été particulièrement sensibles à la déclaration du Commandant Pierre-Yves Cousteau qui a indiqué environ une heure et demi après l'annonce du drame qu'il était volontaire pour s'envoler dans la prochaine navette spatiale… Le Commandant Cousteau , déjà très populaire aux États-Unis, est alors devenu le Français le plus aimé des Américains… Lors du décès du Commandant Cousteau, le 25 juin 1997, les États-Unis lui ont rendu un vibrant hommage : en effet toutes les chaînes de télévisions américaines ont interrompu leurs programmes pour annoncer immédiatement sa mort par des flashs spéciaux, ce qu'aucune chaîne de télévision française n'a fait… La Chaîne de télévision française France2 l'a cependant fait lors du journal télévisé de vingt heures : https://youtu.be/d9mH7ki3yr0 . Roger le Cantalien.
    0 point
  19. Sauf confusion de ma part, le Mak est dit Grégory parce que le secondaire est vaporisé sur le ménisque. Donc, sauf à toucher au ménisque, le secondaire n'est pas réglable. J'en déduis que tout se passe sur le primaire ... Ai-je bon ?
    0 point
  20. La Perl Jupiter 62,5 (diamètre utile 60) / 800 "'version" Jean CERF : Catalogue PERL Etablissements CERF Juillet 1969.pdf (référence N° 3).
    0 point
  21. Merci beaucoup pour vos réponses et surtout un énorme merci à toi @krotdeboukd’avoir pris de ton temps pour m’aider! Je vous tiendrai au courant de l’issue de la manip et surtout de ses résultats sur mon guidage.
    0 point
  22. J'ai toujours une 70/700, modifiée au niveau RC, chercheur (point rouge)et trépied, ben je dois dire que ça reste le "petit couteau Suisse" de l'observation en Astro
    0 point
  23. Salut @Lune cendrée C'est tout simplement plus pratique d'enlever le pare buée pour accéder à l'objectif (pour archange...). Sur ma 80 ED le pare buée est coulissant, pas besoin de forcer Avec mon ex 100 ED Orion je n'ai jamais réussi à l'enlever, à l'époque j'avais fait comme toi Lune cendrée.
    0 point
  24. « pas adapté » ne signifie pas « impossible ». Mais ce ne sera pas dans les meilleures conditions.
    0 point
  25. Oui en effet, je vois mieux avec la vue d'ensemble. Comme le cable rejoint le secteur avant de passer sur les roues de support, il n'y a aucun problème de ce côté là.
    0 point
  26. Amis bidouilleurs attention : Je suis en train de faire quelques manœuvres sur mon launchpad pour avoir des builds armhf sans bouger le petit doigt, mais en les compilant directement avec les nightlies d'indi J'ai pris les options suivantes : - L'archive ostserver (tout court) est construite avec indi-stable - L'archive ostserver-daily est construite avec indi-nightly Je n'ai pas encore différencié ma source à moi, ce sera le même code ostserver/ostmodules qui sera compilé dans les deux. A terme, il faudra sans doute que je dirige vers un truc "release" de mon coté, ou je sais pas quoi mais qqch du genre. Je pense que je vais galérer un peu à faire ça (c'est déjà en train de péter), mais ça m'intéresse bien d'avoir des builds pour mon RPI3 sans lever le petit doigt Les manœuvres sont en cours, donc faites gaffe prenez un café avant si vous êtes d'humeur beta testeuse. N'allez pas me gâcher votre dimanche à installer des merdes sans réfléchir un peu avant : Danger. G.
    0 point
  27. A moins d être maniaque , pardonne moi mais je ne vois pas trop l intérêt de le retirer pour passer un coup de purosol sur le verre externe.
    0 point
  28. Comme je suis un peu insomniaque, je poste la vidéo maintenant ! Toujours pas de back-lash, ni d'angle de torsion. On verra ce que ça donne avec un télescope de 12-15 kg monté dessus, mais je reste confiant, à confirmer sur essai final ... En tout cas, c'est le jour et la nuit par rapport au réducteur planétaire made in RPC que j'avais testé. 2020579237_EntrainementAD.mp4
    0 point
  29. Plus maniable peut-être. Plus pratique, pas sûr : je me pose la question de la praticité du renvoi coudé de la lunette "chercheuse" posée dessus 😆 EDIT : ah non, je vois un câble pas loin. Il doit y avoir une caméra au bout de ce renvoi coudé.
    0 point
  30. Ce que je trouve intéressant, avec ces grandes lunettes mais aussi les grands télescopes de l'époque, c'est leur histoire. Par exemple une grande partie du NGC vient d'observations visuelles réalisées dans ces grandes lunettes (et une autre grande partie à travers de grands télescopes, ils étaient plus rares à l'époque mais les Herschel père et fils ont découvert tant d'objets !).
    0 point
  31. Mais la Barlow allonge la longueur focale, du coup ce n'est pas adapté pour le ciel profond mais plutôt pour les photos de la Lune. Il vaut mieux le savoir.
    0 point
  32. Effectivement, je ne comprends pas trop non plus cette saillie avec la grande lunette du Mount Hamilton ...la surenchère n'est guère le sujet. Combien d'observateurs ici à ce jour ont la chance d'observer dans de tels diamètres ? Pas représentatif à mon sens du débat lunette / télescope replacé dans le contexte de ce post. Et puis le fait de dire qu'une "lunette donne une image plus plaisante qu'un télescope" n'a rien de si certain que cela, c'est même très subjectif et nullement généralisable. Dans certains cas c'est vrai - et encore selon sa vérité - dans d'autres, non. il n'en demeure pas moins que ces anciennes grandes lunettes et leurs observatoires, leurs histoires, ont tout leur charme et leur intérêt 😉
    0 point
  33. C'est très bien réalisé. Je suis un peu surpris de la position de la poulie d'entrainement qui est assez éloignée du secteur circulaire. Dans tous les montages que j'ai vu la poulie est quasi tangente au secteur. Je suppose que c'est pour maximiser la course disponible. Dans ton cas, quand tu arrives en bout d'un côté ou de l'autre, la vitesse d'entrainement doit varier un peu j'ai l'impression.
    0 point
  34. Bonjour à tous, J'avais enfin l'occasion de sortir hier soir après pas mal d'occasion manqué ces derniers temps et je voulais tester mon nouveau newton sur des galaxies mais le vent était tellement fort que j'ai préféré me rabattre sur ma lunette. Malgré un guidage pas évident à cause des rafales j'ai quand même pu shooter 5h00 sur la nébuleuse de la méduse avec le matériel suivant: Lunette Askar FRA400 Caméra ASI2600MC Filtra Antlia ALPT guidage via diviseur optique et une caméra ASI290mm Monture CEM40 Pilotage avec un Asiair Pro 60x300s: Nico
    0 point
  35. La démonstration de la platitude de la Terre me paraît convaincante. Je vais étudier ça de plus près.
    0 point
  36. Dans mon cas je suis en Wifi avec un ordinateur dehors connecté au PC et en bureau à distance avec le PC de la maison sur le réseau 2.4Ghz (car le pc bureau n'a pas encore le 5Gz) et généralement ça suffi pour vérifier que ma session tourne bien en utilisant le logiciel TEAMVIEWER. Une solution serait de passer par un EAGLE de chez PRIMALUCE LAB, un tout embarqué non contraint par une marque spécifique (au diable ASIAIR!! :D) qui est pour moi l'une des meilleurs solution tout confondu, nomade + maison. Bon Ciel
    0 point
  37. Bonjour à tous, Je m'appelle Raphaël et j'ai 14 ans, je voulais vous montrer que l'astrophotographie sans monture, c'est possible ! Beaucoup de gens sur Internet disent que "En faisant de l'astrophoto sans monture, vous n'obtiendrez rien de beau..." Je ne dis pas que c'est aussi facile qu'avec une monture, mais c'est faisable. Voici mon matos : Je possède un reflex Canon hybride M5, j'emprunte les objectif de mon père (merci papa 😁) principalement un sigma 70-200mm f/2.8, un trépied bien stable et un intervallomètre. Étant donné que je n'ai pas de monture, je suis obligé de faire des poses d'entre 1 et 3 secondes à 200mm, cela dépend de la région du ciel et de la distance de l'étoile polaire. Il faut aussi beaucoup de place (sur le PC pour l'empilement avec Siril et le traitement avec Gimp, qui est l’équivalent de Photoshop mais GRATUIT ) car je prend plusieurs centaines (voir plus de mille) photos en 1 heure. Voici mon mode de fonctionnement : Je regarde sur Stellarium (app sur PC) dans quel sens l'objet que je veux shooter va se déplacer. Comme cela, si l'objet se déplace vers la droite, je commence la série de photos en positionnant l'objet sur la gauche. Je prépare le matériel à l'intérieur, une fois que tout est prêt, je le met dans mon jardin. J'allume tout, et je pointe l'appareil sur l'objet souhaité. Je fais la mise au point le plus précisément possible et mettant le zoom numérique sur X10. Je trouve le temps de pose max. sans filets d'étoiles en faisant plusieurs essais. Une fois que tout est prêt, je lance une série d'environ 6 à 8 minutes avec l'intervallomètre et je rentre chez moi. Tous les 8 minutes, lors de la fin de la série je reviens repositionner l'objet sur l'écran de l'appareil et je relance une série. Et ainsi de suite... En plus, j'ai plusieurs contraintes que vous n'avez pas forcément 😅 : Je suis en ville (niveau de pollution environ Bortle 5) Mes parents ne m'autorisent à faire des photos que jusqu'à 21h (donc des photos quasiment seulement en hiver...) Je ne suis pas un expert en traitement photo Mon reflex n'est pas défiltré (pas très pratique pour les nébuleuses rouges comme la tête de cheval) Une météo POURRIE DE CHEZ POURRIE (je suis dans le Nord) MALGRES TOUT, j'ai réussi à faire ces 3 photos : La Grande Nébuleuse d'Orion (M42), faite en 2 nuits avec environ 2200 poses de 1,3 secondes à ISO 1600 et environ 300 darks La galaxie d'Andromède (M31) à 200mm, faite en 2 nuits avec environ 1000 poses de 2,5 secondes à ISO 1600 et environ 150 darks Les nébuleuse de la Flamme et de la tête de cheval à 200mm, 600 poses de 1,3 secondes à ISO 1600 et 65 darks Mais sans monture, c'est très compliqué de photographier des objets peux lumineux ( comme certaines galaxies ou nébuleuses ) J'ai commandé une star adventurer, j'espère faire encore mieux !
    0 point
  38. Heu... ça ne dérape pas un peu, là...ou aurais je l'esprit mal placé...😄
    0 point
  39. Bon alors voila , il fait moche, SIRIL s'est encore amélioré, alors je retraite la dernière photo 😃 Il y a une heure et demi de signal gardé sur 2h30. Poses de 600ms en L(uv ir cut) Je vous avais présenté un résultat L RVB la dernière fois , je n'ai que retraité le L. La couleur au prochain épisode peut être alors FWHM 1,2 et 0,4 échantillonnage, j'espère qu'elle vous plaira. Petite question: je serais friand de retrouver les petites galaxies en arrière plan de l'image, j'ai essayé avec aladin mais c'est trop compliqué pour moi je crois... Quelqu'un aurait il une méthode ?
    0 point
  40. bonjour , bonjour , conditions exécrables , vent en rafales ciel pourri par les trainées d'avions et pour magnifier le décor les nuages se sont invités à la fête . En plus cette protu ne bouge pratiquement pas un gros paquet de .SER à la corbeille il n'en reste que 500 , Paul condition météo dans cet AVI 141713_Apollo-M MAX_.avi coté droit j'ai chopé ça juste avant de fermer l'abri , la lunette dépasse de + de 50cm , mais vraiment à travers les nuages j'ai poussé le gain à fond , le vent était à 50kmh , une vraie samba .(voir le fichier vidéo joint)
    0 point
  41. La transparence du ciel dans la nuit du 14 avril a été exceptionnelle, je n'avais jamais vu ici un ciel d'une telle qualité. L'absence de pollution atmosphérique durant la période que nous traversons se fait très bien sentir. J'ai repris une observation que j'avais déjà faite l'an dernier: M61 dans la vierge, une très jolie spirale à bras anguleux et nombreuses zones HII. Le ciel actuel m'a permis d'en ressortir une image d'une bien meilleure qualité et d'en détecter les extensions. Bonne journée, Francis Observation du 14 avril 2020 en VA avec SiOnyx Aurora en afocale sur Dobson 400, oculaire Celestron 25mm, très bonnes conditions de transparence, seeing moyen à bon. Dessin sur Canson noir aux crayons pastels secs et gras. Reprise numérique des étoiles.
    0 point
  42. En tout cas pas besoin de pub pour me convaincre une belle nuit sur Jupiter avec son miroir me suffit 🥰 Tu veux parler du truc qui me sert à transporter mon dobson?
    0 point
  43. Salut ! voici un dessin de la région du cratère d'impact Bullialdus réalisé au crépuscule le 02/03/2023 à la FC-100 DF, placement à 53 X et détails à 123 X. La transparence était moyenne, mais la turbulence assez faible au moment de l'observation, plus forte visiblement ensuite. Dessin réalisé en 1h30 environ, assez fatigué suite à la concentration et gelé du fait d'un équipement vestimentaire juste suffisant pour tenir quelques instants au crépuscule. La zone est située entre Mare Nubium et Mare Humorium, et débouche au sud sur Palus Epidemiarum via les 2 cratères marqués, en bas, Mercator et Campanus. La zone permet d'explorer diverses formations, de fortes nuances de sol avec cette grande trainée blanche, des ejectats de cratères, des cratères à peine marqués, d'autres en bol, des dômes rocheux mais aussi ces 3 superbes rimae quasi parallèles vers le sud. Donc, un exercice complet et compliqué ! Comme d'habitude, le passage à un grossissement supérieur après le placement des principales choses est presque démoralisant tellement les détails affluent en masse ! En effet, une cinquantaine de fois permet une bonne vue d'ensemble bien sûr très nette et fine, mais on entre dans un autre monde entre 100 et 150 X avec en plus le contraste qui augmente suite à l'obscurité qui se fait. C'est le monde du détail, alors bien sûr pas exceptionnel dans l'absolu, mais conséquent si on est dans l'esprit de vouloir le rendre au mieux sur dessin ! Et c'est là, comme toujours, qu"il faudrait continuer le dessin sur un autre niveau de détail, alors que la fatigue s'impose ... Et voici en prime la brute issue de l'oculaire :
    0 point
  44. Bonjour Christophe, j'allais justement faire un post ! Bonjour à tous, une petit update sur le projet qui continue à avancer et approche de sa version définitive. J'ajoute également une photo d'une cession sur notre belle nébuleuse Orion. Malheureusement avec un calendrier chargé et une météo capricieuse, les sorties ont été très réduites. Sur la photos vous voyez un petit boitier avec des fils, il s'agit d'une première étape pour ajouter l'autoguidage ST4 au boitier. Le programme intègre déjà la fonctionnalité, mais il faut que je fasse les tests pour valider le bon fonctionnement. Pour les nouvelles fonctionnalités, il y a eu pas mal d'ajouts dans cette nouvelle version du programme : - Des nouveaux filtres sur le mode Stacking : Smart Sharpen, Median Blur, Deconvolution Richardson Lucy, Deconvolution Wiener (applicable sur l'image stackée ou sur chaque frame avant stacking, en mode test car en toute logique la déconvolution doit s'appliquer sur l'image stackée). Certains de ces filtres pourront être supprimés si pas convaincants. - Les prises de vue sont dorénavant au format PNG sans compression et perte d'informations, - L'image visualisée sur l'écran embarqué de la box peut également être visualisé sur n'importe quel appareil connecté à la box (smartphone, ordinateur, tablette, ...) Voilà, on approche de la version finale !
    0 point
  45. Enchanté, tu préfère qu'on t'appelle télescope, skywatcher ou 200/1000 pds ? 😆 Désolé, j'ai pas pu résister, je laisse la place pour une réponse sérieuse et éclairée.
    0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.