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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 03/20/23 dans toutes les zones

  1. Salut les astrams , Une fois n’est pas coutume, nous avons profité de la qualité de ciel du Chili pour photographier un des objets les plus imagés sous nos latitudes : M78. Nous avons accumulé une vingtaine d’heures de pose en LRVB pour réaliser cette photographie. Les caractéristiques détaillées d’acquisition sont dans le tableau. Comme d’habitude nous vous recommandons d’aller voir la full qui se trouve ici : https://www.astrobin.com/full/372fx8/0/ Quelques mots sur M78 : Les nuages de poussière interstellaire et les nébuleuses brillantes abondent dans la constellation d'Orion. M78, ou NGC2068, se situe dans la partie nord de la ceinture d'Orion. À une distance d'environ 1 500 années-lumière, cette nébuleuse par réflexion bleutée mesure environ 5 années-lumière de diamètre. Sa teinte est due à la poussière qui réfléchit préférentiellement la lumière bleue des jeunes étoiles chaudes. La nébuleuse par réflexion NGC 2071 se trouve juste à gauche de M78. Les petites taches d'un rouge profond qui se détachent des sombres volutes de poussière sont des objets Herbig-Haro, des étoiles en cours de formation. L’ambiance rougeâtre de toute cette région trahit l’omniprésence d'hydrogène moléculaire. En espérant qu’elle vous plaira ! Marian, Dave, Jean-Mi, Gégé et Laurent
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  2. Nous publions une autre image en retard, NGC-5367 & CG12 : NGC 5367 est une nébuleuse par réflexion associée au globule cométaire CG12 dans la constellation du taureau. Cette nébuleuse n’a été découverte qu’en 1976. La coloration est donnée par les deux étoiles bleues du système binaire h4636 (étoiles de type spectral B4 et B8). CG12 est un globule cométaire ( en fait un nuage de gaz), dans cette image on voit surtout sa tête sombre et poussiéreuse, sa queue étant faible. Ces globules seraient des nuages sphériques qui ont été sculptés par l’énéergie dégagée d’une supernova voisine, puis sa forme a été travaillée par les vents violents et et le rayonnement d’étoiles massives et chaudes. Full and details on astrobin : https://astrob.in/masyk1/0/
    3 points
  3. Bonjour, une énième photo de M51 🙂 Lune assez présente donc j'ai du pas mal jouer avec le fond de ciel. 5h de temps de pause en L et 45 min par couleur. J'ai du quand même supprimer deux ou trois photos. Setup RC250 @ 1600mm ASI294MM Monture GTD E.frics Guidage OAG avecASI290MM Pré-traitement et traitement Pix à partir des tutos de Jean-Baptiste Auroux. Ils sont vraiment top et détaillés. J'ai beaucoup appris. Je ferai peut être une autre version avec une réduction d'étoiles qui pourrait être sympa aussi. WIlliam
    3 points
  4. L'étage de séparation de la fusée SpaceX Falcon 9 vu avec un oculaire de vision nocturne attaché à un télescope de 300mm. Un smartphone a été utilisé pour l'enregistrer. Crédit : Patrick McMullen, un astronome américain. videoplayback (1).mp4
    2 points
  5. Bonsoir ASTAP a été mis à jour le 17 mars avec une nouvelle base d'étoile https://www.hnsky.org/astap.htm traduction google NEWS : Nouvelles bases de données d'étoiles d05, D20, d50. Les bases de données d'étoiles h18, h17 seront progressivement supprimées. De nouvelles bases de données d'étoiles appelées d05, d20 et d50 ont été publiées. Au lieu d'une limite de magnitude, il y aura une limite de densité d'étoiles. Ces bases de données ont été triées sur la densité d'étoiles jusqu'à 1000, 2000 ou 5000 étoiles par degré carré. Cela devrait garantir que dans les zones pauvres en étoiles où il y aura suffisamment d'étoiles faibles pour la navigation (résolution). Dans les zones riches en étoiles, seule une quantité limitée d'étoiles brillantes est incluse, ce qui maintient la taille de la base de données d'étoiles à un niveau modéré. Si nécessaire, cette base de données descendra jusqu'à la magnitude 21. Cela sera bénéfique pour les configurations avec un petit champ de vision. Il devrait toujours y avoir suffisamment d'étoiles de la base de données disponibles pour la navigation dans le ciel. Le format est compatible avec le H18. Les tailles de base de données pour les d05, d20, D50 sont de 102, 400 et 873 Mo. Utilisez le graphique d'utilisabilité ci-dessous pour sélectionner une base de données. La sélection d'une base de données plus dense n'a pas de véritable pénalité, sauf la taille. PS: pas testé :) @+ Steph
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  6. NGC 3044, 35 Sex, Lorenzin 23 Bonjour à tous, Voici une petite promenade du côté de cette toute petite constellation qui est à l'honneur ce mois-ci dans la revue Astrosurf. C'est à l'aide tout d'abord du C11 que j'ai examiné de plus près deux objets de cette région du ciel : une galaxie tout d'abord, NGC 3044 et une étoile double, 35Sex, facile à séparer mais tout de même, qui nécessité un certain grossissement... La galaxie NGC 3044. Voici d'abord une capture d'écran pour localiser cette lointaine galaxie : Entrons un peu dans les détails. Elle ne brille pas fort, 12,4 de magnitude, mais elle apparaît au final assez lumineuse au C11 et surtout c'est un très beau fuseau qui rend ce type d'objet si remarquable à contempler. Il est incomparable à la sublime NGC 4565 certes, mais cette galaxie mérite un petit temps d'arrêt. un noyau assez étiré se remarque sans peine et en vision décalée, le fuseau se prolonge assez loin de part et d'autre. Aucune zone sombre en revanche n'aura été distinguée. Etoile double 35 du Sextant. C'est une autre curiosité de cette constellation : une belle étoile double de couleur dorée et aux composantes assez brillantes, et de magnitude tout à fait comparable. (6,2 et 7,2). Un grossissement moyen suffit pour les séparer. Un bel astérisme : Lorenzin 23. Restons donc dans cette constellation pour observer un joli astérisme surnommé la cicatrice. C'est un bel alignement d'étoiles qui garde tout son esthétisme à condition de ne pas l'observer au C11 mais plutôt à l'aide d'un instrument qui autorise des grossissements bien plus faibles. J'ai donc opté pour la FC100 et. l'oculaire ES40mm pour obtenir 17X. Ce fut peut-être déjà trop. Voici une carte pour localiser cet astérisme : il faut regarder à l'angle de droite en bas. Voici une autre capture pour mieux le discerner au centre même de l'image : A la lunette, c'est au moins une dizaine d'étoiles qui compose cet objet. En revanche si on grossit davantage, on en voit encore un peu plus, mais, comme précisé plus haut, au détriment de la beauté d'ensemble. Voilà, c'est tout pour cette double virée du week end ! Bon ciel à tout le monde ! Gildas
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  7. Avec beaucoup de retard voilà ma lune 😁 Description en bas de chaque image 😉
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  8. Salut les amis! M82 (NGC 3034 ou galaxie du cigare) est une galaxie spirale à sursaut d’étoile, elle est située à environ 12 millions d'années-lumière dans la constellation de la Grande Ourse. Elle est environ cinq fois plus lumineuse que la Voie Lactée et possède un centre cent fois plus lumineux. On pense que l'activité des sursauts d’étoile a été déclenchée par l'interaction avec la galaxie voisine M81. Hubble a référencé plus de 200 jeunes amas d'étoiles massives près du cœur de M82. Dans le cœur de M82, le diamètre de la région est de 500 pc. Quatre amas très brillants (désignés par les lettres A, C, D et E) ont été détectés dans cette région en lumière visible. Certain sont plus visible en infrarouge, voilà pourquoi l’utilisation d’une caméra sensible à l’infrarouge est intéressante en pose courte. L'impressionnant jet de matière bipolaire de M82 semble concentré sur les amas A et C et il serait entretenu par l'énergie libérée par des supernovas qui se produiraient dans ces amas environ une fois par décennie. Les observations réalisées par l'observatoire de rayons X Chandra montrent une région d'émission variable de rayon X située à environ 600 années-lumière du centre de M82. Cette source a été désignée M82 X-1. Les astronomes ont émis l'hypothèse que ces émissions proviennent du premier trou noir connu de masse intermédiaire. Sa masse serait comprise entre 200 et 5000 masses solaires. En 2014, en étudiant M82, les scientifiques ont découvert le pulsar le plus brillant jamais connu, désigné M82 X-2. Je pensais pouvoir voir ces deux objets mais il semblerait que non… En tout cas, ma motivation première était de détecter un maximum d’amas stellaire en infrarouge et en lumière visible ! Et je suis extrêmement ravi de mes résultats grâce à cette nouvelle camera de chez Playerone , la Neptune color II. Matériels utilisés: Tube Newton 300mmF4 associé avec la barlow 2x pilotée par l'eq6. Avec la technique des poses courtes soit: L(L+IR742+IR850) +R(IR685)VB . 35000x500ms IR742 14000x1s and 7200x3s L 10000x1s IR850 Traité par Siril, avec la nouvelle version . Alignement 3 étoiles empilement par Somme et Moyenne ( en mode rejet TDES) emplacement precis des amas stellaire et comparatif avec hst pour voir que les details correspondent: et un autre gif pour voir l'interet de l'infrarouge sur ce type d'objet: et un crop: A+ Stephane
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  9. Un nouveau tutoriel pour la composition RVB a été écrit la semaine dernière : https://siril.org/fr/tutorials/rgb_composition/ on ne voit pas si c'est fait ici, mais il faut pré-étirer les histogrammes pour une composition avec luminance.
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  10. Il y a peu j'ai publié ma photo de M1 remise à jour avec un traitement un peu meilleur. J'en ai profité pour refaire.C'est pas évident pour moi le traitement, j'ai des gros doigts ... Il y a une heure et demi de signal gardé sur 2h30. Poses de 600ms en L FWHM 1,2 et 0,4 échantillonnage, j'espère qu'elle vous plaira. Ps : Oui je n'ai pas encore fait de Flou gaussien sur mes étoiles mais c'est en projet
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  11. Quelle chouette balade dans une constellation que j'aime parcourir - lorsque le temps et les pollens me le permettent. J'apprécie surtout la variété des observations : présenter quelques belles étoiles multiples, voisinant avec galaxies ou nébuleuses me plaît toujours. Peut-être connais-tu ce site qui offre une foule de sujets à observer ? Je te l'offre : http://www.astrosurf.com/agerard/observ/sextans.html Bon ciel.
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  12. C'était un triplet type Cooke, 330mm d'ouverture, f/5. L'optique est étudiée dans "Telescopes eyepieces astrographs" Willmann-Bell 2012 (ouvrage épuisé qui ne figure plus au catalogue de l'éditeur, racheté par l'AAS), pp 406 à 411.
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  13. Le "publish or perish" contaminerait même les amateurs ? Je peux pas le croire... 😉 Dans les deux vidéos du fil original (après survol), il me semble que l'explication intra-galactique était tout de même proposée en premier (sans écarter les autres certes). Et puis en Janvier, on (je?) n'a pas entendu de concert de protestations (chez les amateurs s'entend) jugeant l'existence d'un nuage extra-galactique d'OIII fantaisiste. Maintenant qu'il y a des preuves, je trouve que c'est trop facile de tirer sur les ambulances. De toute façon, cette découverte amateur est quand même une vraie bouffée d'oxygène😇.
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  14. Bonjour Normal que tu ne comprennes pas comment ces plans peuvent coïncider, puisqu'ils ne coïncident pas (ni à l'équinoxe, ni à aucun autre moment) Mais puisqu'ils ne coïncident pas, ils se "coupent" selon une droite. Et quand (deux fois par an) le Soleil se trouve sur cette droite, c'est l'équinoxe... voir là : https://fr.wikipedia.org/wiki/Écliptique
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  15. bonsoir à tous, voici donc ma dernière image faite cet été de la nébuleuse pacman le 7,8,10,11,27 et 28 Aout dernier ( plein de bouts de fin de nuits! ) Atik460ex + filtres HaO3RVB astronomik + fs60 à f/6.2 sur ma GP autoguidage en // avec zwo178mm + zwo30F4 Ha 6nm : 73 x 300s en binning 1x1 O3 6nm : 44 x 300s en binning 2x2 R : 7 x 180s en binning 2x2 VB : 8 x 180s en binning 2x2 prétraitement imageviewCA traitements iris, starnet, siril, photoshop A la taille d'acquisition recadrée: a+ stéphane
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  16. Plutôt définitivement après la deuxième guerre mondiale pour le visuel, après la polémique des canaux de Mars La période de transition fut de 1925 à 1940. Peut être un début de la fin pour les professionnels avec la découverte de Pluton en 1930 à côté de la grande lunette Clark de Percival Lowell. Les astrographes de Schmidt et de Maksutov ont pris le relai ensuite. Pour le lunaire, il a fallu attendre l'après guerre avec le choix définitif du 1 mètre du Pic du Midi pour la cartographie préparatoire aux missions Apollo. ----- Quant au choix lunettes ou télescopes : j'ai eu plusieurs instruments et des compétences en optique. Un réfracteur simple (doublet achromatique) J'ai eu le privilège de côtoyer des deux lunettes anciennes : des objectifs Zeiss de 1907 et 1908. La Robach du club d'Annecy : A-130f18, (semi-apo), puis conjointement une Zeiss E-110 littrow (design C.Szapski) et bien d'autres instruments Dobson Perl 203f6, SCT 8", Richet-Chrétien de 14", Mak Newt 6"f8, Meade Apo 80/480, des achromats de 50 à 100mm, une TAL 100R Je vais citer despoints clefs. - Les achromats ont l'avantage d'être complets avec 4 surfaces, deux types de verres souvent peu couteux et un traitement anti-reflet simple : ils offrent les meilleures possibilités de précision. (astigmatisme, ab. sphérique, coma et a-chromatisme). Le soucis est que les optiques modernes sont loin d'être fabriquées avec autant de précision que jusqu'au années 1980. Il y a des versions modernisées avec verres à faible dispersion et ratio f/D plus court, favorisant la compacité. Le chromatisme est bien géré mais le piqué individuel des couleurs est approximatif. - Les apochromats avec correcteurs sont destinés à la photographie grand angle. Il faut 6 surfaces en général et un autre ensemble de 4 surfaces ou 6 pour un flattener/réducteur. - Les télescopes newton sont moins bien corrigés sur le champ et nécessite un réglage de collimation et ont une perte de contraste due à l'obstruction centrale si le f/D est court (<6). Les f/D moyens entre 6 et 8 peuvent gérer une obstruction plus faible et sont faciles à régler. La qualité des newtons réside principalement dans la fabrication du miroir principal et de la mécanique autour. Ils n'ont pas de chromatisme inhérent au diamètre. - Les catadioptres pallient en général au problème de coma et de compacité mais ont une perte substantielle de contraste à cause de l'obstruction centrale. Les catadioptres ont un niveau de chromatisme comparables aux apochromats à 150mm de diamètre et comme un bon achromat à 14" (C14) Quoi qu'il en soit les télescopes peuvent être construit plus gros, augmentant la luminosité captée. Mais contrairement au idées reçus ils apportent très peu de résolution supplémentaire. L’atmosphère terrestre limite énormément le diamètre effectif. Au delà de 200mm (résolution 0.7" arc), on touche déjà aux possibilités maximales en rase campagne.
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  17. L'image résultant de la session à 0.35s RMS. C'est pas le meilleurs traitement de la Terre, mais ça peut donner une idée. La tête de cheval (pas très bien traitée) :
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  18. Bonjour à toutes et tous, Un update positif : 0.37s RMS pendant 1h54 et 0.35s RMS sur 3h10 (voir images jointes) et un très beau 0.27s RMS!!!!!!! (qui descend un moment à 0.25s RMS!) Modèle de pointage : avec cartes du ciel et en synchronisant une dizaine de points, j'arrive à obtenir un pointage satisfaisant. Un après-midi, j'ai même pu pointer Vénus vers 15h30, en plein jour à partir du moment où elle était devenue visible au chercheur. J'utilise un câble USB pour contrôler la monture depuis le PC plutôt qu'un EQMOD => l'USB permet d'utiliser la raquette "parallèlement" au PC. Seul bémol, dés lors que j'utilise la raquette pour centrer au chercheur, le suivi "PC" s'arrête. Il suffit de le réenclencher fissa. En planétaire, juste cliquer sur le bouton "suivi" de SharpCap dans le panel monture. Petite nuisance mineure, à savoir mais pas insurmontable. Bon bah, Celestron fait pas ça, par exemple. Utilisation avec N.I.N.A. : Test concluant => j'étais tranquillement en train de regarder la TV pendant que le télescope a effectué un retournement de méridien sur IC 434, s'est recalé astrométriquement, relancé le guidage, la capture. Pendant le premier épisode de ma série, changement de cible depuis IC 434 vers M81 & M82 qui se trouvent presque à l'opposé dans le ciel. Quand je suis sorti entre 2 épisodes, le télescope était en train de capturer selon le cadrage choisi dans l'assistant de cadrage. Guidage PHD2 : après quelques assistants de guidage, PHD2 a fini par me recommander une fréquence de guidage de 0.4s et 0.35et 0.23 Mmo que j'ai appliqué. Dubitatif, et après des essais à 1s, 1.5s, jusqu'à 4s pour "fixer le seeing", j'ai terminé à 0.5s qui a donné les valeurs que vous pouvez voir dans les captures d'écran de logs PHD2 (exposure = 500 ms). C'est très satisfaisant! Essais à venir : J'ai changé le ASI 174 MM mini pour une ASI 120 MM mini qui a de plus petits pixels (mais aussi un champ 4x plus petit). 3.75µm vs 5.89µm. Je ne sais pas si ça améliorera. Test à venir selon météo. Conclusion : là, le guidage commence à être bon. Il y a encore des axes d'améliorations avec les algorithmes de PHD2. Le service rendu est celui attendu. Je vous donne un lien vers une vidéo que j'ai capturé au smartphone pendant une session pour le 0.27s RMS. J'ai pas de compte Youtube. Sorry about that : https://www.instagram.com/p/CpIArEKuHuI/ Si Skywatcher nous lit (clin d'œil appuyé) : La SW CQ350 Pro a de bons atouts et une très bonne mécanique. Elle est mécaniquement bien née. Les chiffres le prouvent. Elle est dotée de la fonction Auto-Home qui permet de trouver son point zéro au démarrage grâce à deux capteurs optique (Ad & Dec). Elle est dotée de moteur pas à pas. Chacun de ces pas a une valeur connue du contrôleur de monture et lui permet de connaître sa position à tout instant et que driver/serveur communique en temps réel aux applications (NINA, SharpCap, etc). JTW Astronomy - qui fabrique des montures harmonic drive à moteurs pas à pas - utilise ces valeurs de pas comme encodeurs absolus. L'intérêt est d'utiliser ces pas ET de ne pas avoir de coûteux encodeurs absolus à ajouter (renishaw ou autres). Si, en utilisant ces valeurs de pas des moteurs comme encodeurs absolus, on pouvait enregistrer une PPEC (même sur 30/60/120 minutes!) pour faire "apprendre" à la monture ses réelles valeurs de suivi par rapport au ciel, alors la CQ350 Pro pourrait se passer de guidage à f2/f4 et peut-être être "assistée" d'un guidage à f10. Et, dans le cas d'un guidage combiné à cette lecture des valeurs de pas, GS server SAIT faire le tri entre un ordre de correction de PHD2 qui suit la turbulence et une valeur d'encodeur et faire le bon choix. Donc, la monture deviendrait capable de trier les fausses informations dues à un défaut de seeing (turbulence/chasing the seeing) et son "suivi" par encodeur basé sur la lectures des pas des moteurs. La CQ350 Pro a mécaniquement tout pour pouvoir le faire et devenir la meilleure monture du marché grand public avec un 0.12/0.15s RMS fiable. C'est juste une question de drivers et d'investissement de la part de SW. Elle guide bien. Mais elle pourrait potentiellement guider comme une monture à 5 fois son tarif... As always, clear skies.
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  19. Salut à tous, La dernière capture des deux belles nuits du début de semaine. Voici donc un grand champ centré sur M81 (NGC 3031) et M82 (NGC 3034) situées respectivement à environ 12,0 et 12.7 millions d'années lumière de notre Voie Lactée. Le temps de pose relativement long (par prise et au total pour du F2) combiné au magnifique ciel de la Fosse (SQM >21) permet de mettre en évidence les nombreux IFN (Integrated Flux Nebula, nuages en avant plan internes à notre galaxie) mais aussi de relever une multitude de petites galaxies. C’est sans doute ma photo qui propose la plus grande détectivité ( au-dessus de 21.5 de magnitude). Informations de prise de vue : Lieu / date : La Fosse (Manhay, Belgique) - 13 & 14/02/2023 Constellation : GRANDE OURSE Acquisition : 79 x 300 sec (06h35) Monture : Skywatcher EQ6R pro Tube optique : Celestron RASA 8 Caméra : ZWO Asi2600MC (gain 100 / -20°) Filtre : Aucun Accessoires : ZWO EAF - ZWO ASIAIR PRO Traitement : Siril - Pixinsight - Lightroom Astrométrie et haute définition : https://www.astrobin.com/pkqphb/B/ Bon ciel à tous !
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  20. tu peux déjà commencer en faire un le plus près possible d'où tu image mais pas au bord , puis un à la fin pour voir si il y a beaucoup de différence . Paul la totale du 9 mars 2 vidéos
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  21. La FWHM veut dire « field width at half maximum » ou en français « largeur à mi-hauteur ». C’est un paramètre statistique qui indique la largeur d’un objet dont la distribution suit à peu près une distribution de gauss (en cloche) : C’est le cas des images des étoiles qui sont étalées à cause de la turbulence atmosphérique mais aussi à cause des aberrations de l’optique et de la façon dont le capteur saisi l’image. On peut la mesurer de deux façons : - soit sur l’image captée : dans ce cas elle est généralement exprimée en pixels, car c’est ce qui compte sur l’image - soit en absolu sur l’objet (ponctuel) ciblé : elle est exprimée en secondes d’arc Pour passer de l’un à l’autre la relation est : FWHM'' = FWHMpx*206*taille px/focale (Taille px en microns, focale en mm) La FWHM se calcule aussi selon l’axe qui peut être soit x/y dans le sens du quadrillage du capteur ou AD/DEC dans le sens du suivi. On calcule alors la FWHM globale selon la formule : FWHMg = (FWHMx^2+FWHMy^2)^(1/2) (ou AD/DEC à la place de x/y) La rondeur de l’étoile se calcule quant à elle selon : r = FWHMy/FWHMx Une étoile ronde aura une rondeur de 1. Plus le ratio est éloigné de 1, plus l’étoile sera allongée, soit dans le sens de x si r<1 soit dans le sens de y si r>1. On se rend compte que le facteur limitant est la quantité de turbulence atmosphérique, exprimée par une valeur qui s’appelle le seeing, en secondes d’arc. Ce facteur dit que les étoiles sont dispersées dans un disque de diamètre égal au seeing. Ainsi un seeing de 3" veut dire que les étoiles s’étaleront sur 3" au lieu d’être des objets ponctuels. En France, un seeing moyen est de l’ordre de 3". Il peut être meilleur, mais il est souvent pire surtout en environnement périurbain. Mais en pratique, ON S’EN CONTREFOUT de tout ça !!!!! En effet, on fait avec ce dont on dispose, quand on peut le faire. Et donc le principal est de s’amuser plutôt que de perdre passer son temps à faire des calculs qui n’apporteront rien ! Bref, si tu as 100 photos, retient les critères suivants dans cet ordre : - élimine les images dont les étoiles ne sont pas assez rondes - élimine les images dont la FWHM est complètement différente (du côté pire) des autres, dans Siril regarde la courbe après alignement N’oublie pas pendant ta séance de prise de vue de vérifier toutes les 20-40 poses que la mise au point est toujours correcte et que la buée n’a pas envahi ton instrument… et n’oublie pas de faire du dithering (c’est encore plus important que les darks).
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  22. Ça c'est de l'organisation ou je ne m'y connais pas !!! Ney
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  23. Bonsoir à tous, Je me suis essayé hier soir pour une petite séance en suivant les conseils donnés dans mon dernier post , encore merci pour l'aide L'astro devient une drogue... Monture : Trépied Zomei Q111 + omegon minitrack LX quatro APN : Canon EOS 1000d non défiltré Objectif : 70-300 réglé à 285mm Focale : F/6.3 iso 800 Lights : 68 x 40 s Darks : 40 x 40 s Bias : 80 1/4000 Flats : 40 x iso 100 2/3 histogramme Traitement Siril + Photoshop Ci-dessous une brute : Ci-dessous le premier traitement : Ci-dessous le deuxième traitement : Merci d'avance pour vos conseils et avis, Bon ciel à tous.
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  24. Bonsoir Suite (et bientôt fin) de cette série d'apprentissage en mode poses courtes. NGC 3198 est une galaxie spirale barrée relativement rapprochée et située dans la constellation de la Grande Ourse. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 879 ± 15 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 13,0 ± 0,9 Mpc (∼42,4 millions d'a.l.)1. NGC 3198 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1788. La classe de luminosité de NGC 3198 est III et elle présente une large raie HI. Elle renferme également des régions d'hydrogène ionisé. De plus, c'est possiblement une galaxie du champ, c'est-à-dire qu'elle n'appartient pas à un amas ou un groupe et qu'elle est donc gravitationnellement isolée. Si on se base sur les mesures de luminosité de la bande K de l'infrarouge proche du bulbe de NGC 3198, on obtient une valeur de 106,4 M (2,5 millions de masses solaires) pour le trou noir supermassif qui s'y trouve. (source Wikipedia) Les infos: Newton Skywatcher 150/750 + correcteur de coma Skywatcher Player One Neptune-c II IMX464 + filtre IRcut. Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage lunette 70x400, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 1600 x 2s Gain 200/400 Traitement Sirilic, Siril, Photoshop (Astropanel X), Lightroom. une brute de 2s:
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  25. Bonjour à tous, Suite de la série de fin Février 2023. Direction une galaxie très connue, M101 alias le Moulinet. M101 (NGC 5457), aussi appelé galaxie du Moulinet, est une vaste galaxie spirale intermédiaire relativement rapprochée, vue de face et située dans la constellation de la Grande Ourse à environ 22 millions d'années-lumière de la Voie lactée. Elle a été découverte par l'astronome français Pierre Méchain en 1781. Avec une brillance de surface égale à 15,12 mag/am2, on peut qualifier M101 de galaxie à faible brillance de surface (LSB en anglais pour low surface brightness). Les galaxies LSB sont des galaxies diffuses (D) avec une brillance de surface inférieure de moins d'une magnitude à celle du ciel nocturne ambiant. Pierre Méchain a découvert cette galaxie et l'a décrite comme une « nébuleuse sans étoiles, très obscure et très grande, de six à sept minutes d'arc en diamètre, entre la main gauche du Bouvier et la queue de la Grande Ourse ». Habituellement, Messier vérifiait les découvertes faites par son ami Méchain et il décrivait la découverte de celui-ci et il ajoutait ses propres observations. Cependant, au moment d'inscrire M101 à son catalogue dont la date limite de publication approchait, il n'a vérifié l'observation de Méchain que plus tard. L'observation et la description faites par Messier n'ont été écrites que dans sa copie personnelle de la version imprimée du catalogue, comme c'est aussi le cas pour M102 et M103. William Herschel a observé M101 en 1789 et il y a découvert trois genres de nébuleuses qu'il a affirmé pouvoir résoudre. Il s'agit en fait de trois nébuleuses en émission (région HII) inscrites au New General Catalogue de John Dreyer soit NGC 5447, NGC 5461 et NGC 5462. John Herschel a aussi observé M101 le 4 mai 1831. Il n'a rien ajouté aux observations de son père William en la décrivant simplement « comme une nébulosité de cinq minutes d'arc de diamètre, très pâle, ronde, devant graduellement et soudainement plus brillante vers le milieu ». En avril 1837, William Henry Smyth a aussi observé M101 et il a noté qu'il y avait plusieurs étoiles dans la région de cette nébuleuse, mais sans plus de détails. Le 1er mars 1851, Bindon Stoney a découvert six autres nébuleuses à l'intérieur de M101 l'une d'entre elles est un groupe d'étoiles (NGC 5449) et les cinq autres sont des nébuleuses en émission (région HII). Il s'agit de NGC 5450, NGC 5451, NGC 5453, NGC 5455 et NGC 5458. C'est cependant, William Parsons qui a le premier noté la nature spirale de M101 en 1861. John Dreyer a inscrit M101 dans son catalogue paru en 1888 comme la Modèle:5457e entrée. Il a décrit M101 comme une nébuleuse « assez brillante, très grande, irrégulièrement ronde, progressivement puis soudainement beaucoup plus brillante au centre et possédant des petits noyaux brillants ». Comme mentionné précédemment, ces neuf « petits noyaux brillants » sont également inscrits à son catalogue. La galaxie M101 est l'une de 762 nébuleuses photographiées par Heber Doust Curtis au début du xxe siècle en utilisant le télescope Crossley de 36 pouces13 de l'observatoire Lick. Dans d'excellentes conditions, M101 peut être observée avec des jumelles. L'étendue de M101 impose d'utiliser des grossissements aussi petits que possible pour son observation. Il faut avoir un télescope d'au moins 250 mm pour commencer à distinguer le noyau, plus brillant, et des fragments de bras spiraux. Les bras spiraux offrent, lors de bonnes conditions, un beau spectacle dans un télescope de 400 mm à grand champ. À noter que la capture photographique longue pose autorise de voir ces détails avec un diamètre de télescope nettement plus petit (en l'occurrence une pose de 10 min sur une lunette de 60 mm avec un rapport F/D de 5.9 permet de distinguer très nettement les extensions). Avec un diamètre de plus de 182 000 a.l., M101 est une vaste galaxie qui contient environ mille milliards d'étoiles, soit environ 10 fois plus que la Voie lactée. La masse contenue dans son disque est d'environ 100 milliards de masse solaire et le bulbe central atteindrait une masse de quelque trois milliards de masse solaire. Ces caractéristiques se comparent à celles de la galaxie d'Andromède. M101 possède un très grand nombre d'amas ouverts d'étoiles. Une étude publiée en 2006 en dénombre environ 3000 sur des images du télescope spatial Hubble couvrant une région de 106 minutes d'arc au carré. On estime également qu'il y a environ 150 amas globulaires en orbite autour de M101, soit à peu près le même nombre que celui de la Voie lactée. (source Wikipedia) Les infos: Newton Skywatcher 150/750 + correcteur de coma Skywatcher Player One Neptune-c II IMX464 + filtre IRcut. Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage lunette 70x400, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 2150 x 2s Gain 200/400 Traitement Sirilic, Siril, Photoshop (Astropanel X), Lightroom. une brute de 2s: La brute sortie de Siril: r_M101-P1P2_stacked.fit
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  26. Bonsoir Paul Malgré les conditions tu partages de bien belles images! Merci Une dernière pour aujourd'hui le reste du traitement demain
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  27. @krotdebouk Merci ! Sympa pour les likes en voici une autre
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  28. Bonjour à tous, Pour mon premier post je cherchais un sujet intéressant et qui n’ai pas été abordé avant (c’est difficile ici hein !!! ) Je vais donc vous raconter l’histoire d’une lettre qui m’as fascinée quand je l’ai lu pour la première fois ! Cela se déroule en 1970, une nonne basée en Zambie, Sœur Mary Jucunda écrit au Dr Ernst Stuhlinger, alors directeur associé des sciences au Marshall Space Center de la NASA, en réponse à ses recherches en cours sur une mission pilotée vers Mars. Plus précisément, elle a demandé comment il pouvait suggérer de dépenser des milliards de dollars pour un tel projet à un moment où tant d'enfants mouraient de faim sur Terre ? Stuhlinger a rapidement envoyé la lettre d'explication suivante à sœur Jucunda, ainsi qu'une copie de « Earthrise », la photographie emblématique de la Terre prise en 1968 par l'astronaute William Anders, depuis la Lune (également intégrée dans la transcription). Sa réponse réfléchie a ensuite été publiée par la NASA et intitulée : "Pourquoi explorer l'espace?" (La réponse étant assez "dense" j’ai fait de mon mieux pour aérer le texte et comme nous sommes sur un forum francophone de vous en livrer une traduction, néanmoins vous trouverez la source a la fin du post. Bonne lecture ❤️ ) =-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=- 6 mai 1970, Chère sœur Mary Jucunda : Votre lettre était l'une des nombreuses qui m'arrivent chaque jour, mais elle m'a touché plus profondément que toutes les autres parce qu'elle est venue tellement des profondeurs d'un esprit chercheur et d'un cœur compatissant. Je vais essayer de répondre au mieux à votre question. Cependant, je voudrais d'abord exprimer ma grande admiration pour vous, et pour toutes vos nombreuses sœurs courageuses, parce que vous consacrez votre vie à la cause la plus noble de l'homme : l'aide à ses semblables qui sont dans le besoin. Vous m'avez demandé dans votre lettre comment je pouvais suggérer de dépenser des milliards de dollars pour un voyage vers Mars, alors que de nombreux enfants meurent de faim sur cette Terre. Je sais que vous ne vous attendez pas à une réponse du genre "Oh, je ne savais pas qu'il y avait des enfants qui mouraient de faim, mais à partir de maintenant, je m'abstiendrai de toute recherche spatiale tant que l'humanité n'aura pas résolu ce problème". En fait, j'ai connu des enfants qui mouraient de faim bien avant de savoir qu'un voyage vers la planète Mars était techniquement réalisable. Cependant, je pense, comme beaucoup de mes amis, que voyager vers la Lune et éventuellement vers Mars et d'autres planètes est une entreprise que nous devrions entreprendre maintenant, et je crois même que ce projet, à long terme, contribuera davantage à la solution des graves problèmes auxquels nous sommes confrontés ici sur Terre que beaucoup d'autres projets d'aide potentiels qui sont débattus et discutés année après année, et qui sont si lents à produire des résultats tangibles. Avant d'essayer de décrire plus en détail comment notre programme spatial contribue à la solution de nos problèmes terrestres, je voudrais raconter brièvement une histoire supposée vraie, qui peut aider à soutenir l'argument. Il y a environ 400 ans, vivait un comte dans une petite ville d'Allemagne. Il était l'un des comtes bénins, et il a donné une grande partie de ses revenus aux pauvres de sa ville. C'était très apprécié, car la pauvreté était abondante à l'époque médiévale et il y avait des épidémies de peste qui ravageaient fréquemment le pays. Un jour, le comte rencontra un homme étrange. Il avait un établi et un petit laboratoire dans sa maison, et il travaillait dur pendant la journée afin de pouvoir se permettre quelques heures chaque soir pour travailler dans son laboratoire. Il a broyé de petites lentilles à partir de morceaux de verre; il a monté les lentilles dans des tubes, et il a utilisé ces gadgets pour regarder de très petits objets. Le comte était particulièrement fasciné par les minuscules créatures que l'on pouvait observer avec le fort grossissement, et qu'il n'avait jamais vues auparavant. Il invita l'homme à déménager avec son laboratoire au château, à devenir membre de la maison du comte, et à consacrer désormais tout son temps au développement et au perfectionnement de ses gadgets optiques en tant qu'employé spécial du comte. Les habitants de la ville, cependant, se sont mis en colère lorsqu'ils ont réalisé que le comte gaspillait son argent, comme ils le pensaient, dans une cascade sans but. "Nous souffrons de ce fléau", dirent-ils, "alors qu'il paie cet homme pour un passe-temps inutile !" Mais le comte est resté ferme. "Je vous donne tout ce que je peux me permettre", a-t-il dit, "mais je soutiendrai également cet homme et son travail, car je sais qu'un jour quelque chose en sortira!" En effet, quelque chose de très bon est sorti de ce travail, et aussi d'un travail similaire fait par d'autres à d'autres endroits : le microscope. Il est bien connu que le microscope a contribué plus que toute autre invention au progrès de la médecine, et que l'élimination de la peste et de nombreuses autres maladies contagieuses de la plupart des régions du monde est en grande partie le résultat d'études rendues possibles par le microscope. Le comte, en conservant une partie de son argent de poche pour la recherche et la découverte, a contribué bien plus au soulagement de la souffrance humaine qu'il n'aurait pu contribuer en donnant tout ce qu'il pouvait épargner à sa communauté pestiférée. La situation à laquelle nous sommes confrontés aujourd'hui est similaire à bien des égards. Le président des États-Unis dépense environ 200 milliards de dollars dans son budget annuel. Cet argent va à la santé, à l'éducation, au bien-être, à la rénovation urbaine, aux autoroutes, au transport, à l'aide étrangère, à la défense, à la conservation, à la science, à l'agriculture et à de nombreuses installations à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Environ 1,6% de ce budget national a été alloué à l'exploration spatiale cette année. Le programme spatial comprend le projet Apollo et de nombreux autres projets plus petits dans les domaines de la physique spatiale, de l'astronomie spatiale, de la biologie spatiale, des projets planétaires, des projets de ressources terrestres et de l'ingénierie spatiale. Pour rendre cette dépense pour le programme spatial possible, le contribuable américain moyen avec un revenu de 10 000 dollars par an paie environ 30 dollars d'impôts pour l'espace. Le reste de ses revenus, 9 970 dollars. Vous demanderez probablement maintenant : « Pourquoi ne prenez-vous pas 5, 3 ou 1 dollar sur les 30 dollars de l'espace que le contribuable américain moyen paie, et n'envoyez-vous pas ces dollars aux enfants affamés ? Pour répondre à cette question, je dois expliquer brièvement comment fonctionne l'économie de ce pays. La situation est très similaire dans d'autres pays. Le gouvernement se compose d'un certain nombre de départements (intérieur, justice, santé, éducation et bien-être, transports, défense et autres) et de bureaux (National Science Foundation, National Aeronautics and Space Administration et autres). Tous préparent leurs budgets annuels en fonction des missions qui leur sont assignées, et chacun d'eux doit défendre son budget contre un examen extrêmement sévère par les commissions du Congrès, et contre une forte pression d'économie de la part du Bureau du Budget et du Président. Le budget de l'Administration nationale de l'aéronautique et de l'espace ne peut naturellement contenir que des postes directement liés à l'aéronautique et à l'espace. Si ce budget n'était pas approuvé par le Congrès, les fonds qui lui sont proposés ne seraient pas disponibles pour autre chose ; ils ne seraient tout simplement pas prélevés sur le contribuable, à moins que l'un des autres budgets n'ait obtenu l'approbation d'une augmentation spécifique qui absorberait alors les fonds non dépensés pour l'espace. Vous vous rendez compte à partir de ce bref discours qu'un soutien aux enfants affamés, ou plutôt un soutien en plus de ce que les États-Unis contribuent déjà à cette très noble cause sous forme d'aide étrangère, ne peut être obtenu que si le ministère compétent soumet une ligne budgétaire article à cet effet, et si cet article est ensuite approuvé par le Congrès. Vous pouvez maintenant me demander si je serais personnellement favorable à une telle démarche de notre gouvernement. Ma réponse est un oui catégorique. En effet, cela ne me dérangerait pas du tout si mes impôts annuels étaient augmentés d'un certain nombre de dollars dans le but de nourrir des enfants affamés, où qu'ils vivent. Je sais que tous mes amis ressentent la même chose. Cependant, nous ne pouvions pas donner vie à un tel programme simplement en renonçant à faire des plans de voyages vers Mars. Au contraire, je crois même qu'en travaillant pour le programme spatial, je peux apporter une contribution au soulagement et à la solution éventuelle de problèmes aussi graves que la pauvreté et la faim sur Terre. Deux fonctions sont à la base du problème de la faim : la production de nourriture et la distribution de nourriture. La production alimentaire par l'agriculture, l'élevage de bétail, la pêche en mer et d'autres opérations à grande échelle est efficace dans certaines parties du monde, mais gravement déficiente dans de nombreuses autres. Par exemple, de vastes étendues de terres pourraient être bien mieux utilisées si des méthodes efficaces de contrôle des bassins versants, d'utilisation d'engrais, de prévisions météorologiques, d'évaluation de la fertilité, de programmation des plantations, de sélection des champs, d'habitudes de plantation, Le meilleur outil pour l'amélioration de toutes ces fonctions est sans aucun doute le satellite artificiel de la Terre. Faisant le tour du globe à haute altitude, il peut masquer de vastes étendues de terre en peu de temps; il peut observer et mesurer une grande variété de facteurs indiquant l'état et l'état des cultures, du sol, des sécheresses, des précipitations, de la couverture de neige, etc., et il peut transmettre ces informations par radio aux stations au sol pour une utilisation appropriée. Il a été estimé que même un système modeste de satellites terrestres équipés de ressources terrestres, de capteurs, travaillant dans le cadre d'un programme d'améliorations agricoles mondiales, augmentera les récoltes annuelles d'un équivalent de plusieurs milliards de dollars. La distribution de la nourriture aux nécessiteux est un problème complètement différent. La question n'est pas tant une question de volume d'expédition, c'est une question de coopération internationale. Le dirigeant d'une petite nation peut se sentir très mal à l'aise à l'idée de voir de grandes quantités de nourriture expédiées dans son pays par une grande nation, simplement parce qu'il craint qu'en plus de la nourriture, il puisse également y avoir une importation d'influence et de puissance étrangère. Je crains qu'un soulagement efficace de la faim ne viendra pas avant que les frontières entre les nations soient devenues moins conflictuelles qu'elles ne le sont aujourd'hui. Je ne crois pas que le vol spatial accomplira ce miracle du jour au lendemain. Cependant, le programme spatial est certainement parmi les agents les plus prometteurs et les plus puissants œuvrant dans ce sens. Permettez-moi seulement de vous rappeler la récente quasi-tragédie d'Apollo 13. Lorsque le moment de la rentrée cruciale des astronautes a approché, l'Union soviétique a interrompu toutes les transmissions radio russes dans les bandes de fréquences utilisées par le projet Apollo afin d'éviter tout interférences, et des navires russes se sont postés dans les océans Pacifique et Atlantique au cas où un sauvetage d'urgence deviendrait nécessaire. Si la capsule de l'astronaute avait atterri près d'un navire russe, les Russes auraient sans aucun doute consacré autant de soin et d'efforts à leur sauvetage que si des cosmonautes russes étaient revenus d'un voyage dans l'espace. Si les voyageurs spatiaux russes devaient un jour se trouver dans une situation d'urgence similaire, les Américains feraient de même sans aucun doute. Une production alimentaire accrue grâce à des enquêtes et des évaluations depuis l'orbite, et une meilleure distribution alimentaire grâce à l'amélioration des relations internationales, ne sont que deux exemples de l'impact profond du programme spatial sur la vie sur Terre. et je Je voudrais citer deux autres exemples : la stimulation du développement technologique et la génération de connaissances scientifiques. Les exigences de haute précision et d'extrême fiabilité qui doivent être imposées aux composants d'un engin spatial voyageant sur la Lune sont totalement sans précédent dans l'histoire de l'ingénierie. Le développement de systèmes répondant à ces exigences sévères nous a fourni une opportunité unique de trouver de nouveaux matériaux et méthodes, d'inventer de meilleurs systèmes techniques, de fabriquer des procédés, d'allonger la durée de vie des instruments, et même de découvrir de nouvelles lois de la nature. Toutes ces connaissances techniques nouvellement acquises sont également disponibles pour une application aux technologies liées à la Terre. Chaque année, environ un millier d'innovations techniques générées dans le cadre du programme spatial se retrouvent dans notre technologie terrestre où elles conduisent à de meilleurs appareils de cuisine et équipements agricoles, de meilleures machines à coudre et radios, de meilleurs navires et avions, de meilleures prévisions météorologiques et avertissements de tempête, de meilleurs communications, de meilleurs instruments médicaux, de meilleurs ustensiles et outils pour la vie quotidienne. Vraisemblablement, vous demanderez maintenant pourquoi nous devons d'abord développer un système de survie pour nos astronautes voyageant sur la Lune, avant de pouvoir construire un système de capteur de lecture à distance pour les patients cardiaques. La réponse est simple : des progrès significatifs dans la résolution de problèmes techniques ne sont souvent pas réalisés par une approche directe, Les vols spatiaux jouent sans aucun doute exactement ce rôle. Le voyage vers Mars ne sera certainement pas une source directe de nourriture pour les affamés. Cependant, cela conduira à tellement de nouvelles technologies et capacités que les retombées de ce projet à elles seules vaudront plusieurs fois le coût de sa mise en œuvre. Outre le besoin de nouvelles technologies, il existe un grand besoin continu de nouvelles connaissances fondamentales dans le domaine des sciences si nous souhaitons améliorer les conditions de la vie humaine sur Terre. Nous avons besoin de plus de connaissances en physique et chimie, en biologie et physiologie, et tout particulièrement en médecine pour faire face à tous ces problèmes qui menacent la vie de l'homme : faim, maladie, contamination des aliments et de l'eau, pollution de l'environnement. Nous avons besoin de plus de jeunes hommes et femmes qui choisissent la science comme carrière et nous avons besoin d'un meilleur soutien pour les scientifiques qui ont le talent et la détermination de s'engager dans des travaux de recherche fructueux. Des objectifs de recherche stimulants doivent être disponibles et un soutien suffisant pour les projets de recherche doit être fourni. Encore une fois, le programme spatial avec ses merveilleuses opportunités de s'engager dans des études de recherche vraiment magnifiques sur les lunes et les planètes, la physique et l'astronomie, la biologie et la médecine est un catalyseur presque idéal qui induit la réaction entre la motivation pour le travail scientifique, les opportunités d'observation passionnantes phénomènes naturels et le soutien matériel nécessaire pour mener à bien l'effort de recherche. De toutes les activités dirigées, contrôlées et financées par le gouvernement américain, le programme spatial est certainement l'activité la plus visible et probablement la plus débattue, bien qu'il ne consomme que 1,6 % du budget national total, et 3 pour mille (moins d'un tiers de 1 pour cent) du produit national brut. Stimulant et catalyseur du développement des nouvelles technologies et de la recherche en sciences fondamentales, il n'a d'équivalent dans aucune autre activité. A cet égard, on peut même dire que le programme spatial reprend une fonction qui, depuis trois ou quatre mille ans, était le triste apanage des guerres. Combien de souffrances humaines peuvent être évitées si les nations, au lieu de rivaliser avec leurs flottes de largage de bombes d'avions et de fusées, rivalisent avec leurs vaisseaux spatiaux voyageant sur la lune ! Cette compétition est pleine de promesses de brillantes victoires, mais elle ne laisse aucune place au sort amer des vaincus, qui n'engendre que vengeances et nouvelles guerres. Bien que notre programme spatial semble nous éloigner de notre Terre et nous diriger vers la lune, le soleil, les planètes et les étoiles, je crois qu'aucun de ces objets célestes ne recevra autant d'attention et d'étude de la part des scientifiques de l'espace que notre Terre. Elle deviendra une Terre meilleure, non seulement grâce à toutes les nouvelles connaissances technologiques et scientifiques que nous appliquerons à l'amélioration de la vie, mais aussi parce que nous développons une appréciation beaucoup plus profonde de notre Terre, de la vie et de l'homme. La photographie que je joins à cette lettre montre une vue de notre Terre vue d'Apollo 8 lorsqu'elle a orbité autour de la lune à Noël 1968. De tous les nombreux résultats merveilleux du programme spatial jusqu'à présent, cette image est peut-être la plus importante. . Cela nous a ouvert les yeux sur le fait que notre Terre est une île magnifique et très précieuse dans un vide illimité, et qu'il n'y a pas d'autre endroit où vivre que la fine couche superficielle de notre planète, bordée par le néant sombre de l'espace. Jamais auparavant autant de personnes n'avaient réalisé à quel point notre Terre est limitée et à quel point il serait périlleux de modifier son équilibre écologique. Depuis que cette image a été publiée pour la première fois, des voix se font de plus en plus fortes pour avertir des graves problèmes auxquels l'homme est confronté à notre époque : la pollution, la faim, la pauvreté, la vie urbaine, la production alimentaire, le contrôle de l'eau, surpopulation. Ce n'est certainement pas par hasard que nous commençons à voir les énormes tâches qui nous attendent à une époque où la jeune ère spatiale nous a fourni le premier bon aperçu de notre propre planète. Heureusement, l'ère spatiale ne nous offre pas seulement un miroir dans lequel nous pouvons nous voir, elle nous fournit également les technologies, le défi, la motivation et même l'optimisme pour entreprendre ces tâches avec confiance. Ce que nous apprenons dans notre programme spatial, je crois, confirme pleinement ce qu'Albert Schweitzer avait à l'esprit lorsqu'il a dit : « Je regarde l'avenir avec inquiétude, mais avec bon espoir. » Mes meilleurs voeux seront toujours avec vous et avec vos enfants. Très sincèrement vôtre, Ernst Stühlinger Directeur associé pour la science =-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=- Source : https://lettersofnote.com/2012/08/06/why-explore-space/
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  29. Hello @m27trognondepomme Belles séries d'images! Bravo. Effectivement trés joli aujour'hui à l'écran, par toujours évident pour les acquisitions. Voici quelques souvenirs de ce jour. AP 130 DMK 21 ou 290
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  30. je ne comprend pas la photos ne sait pas affichée, la revoilou
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  31. Bonjour. Cette formation a Anger je devais la diriger, puis j'ai pas pu alors j'ai envoyé un ami. Il a vraiment géré. Merci pour les compliments, cependant je dois m'inscrire en faux par rapport aux remarques. En effet, le fait que le menu Traitement de l'Image s'étoffe est une bonne chose. Le traitement d'image est un chose complexe, et il est difficile d'écrire des fonctions qui en un seul bouton fera ce qu'on lui demande. Ce n'est pas possible, ce n'est pas comme l'étape de pré-traitement. Et on se retrouverait dans une situation ou certains critiquent que telle fonction devrait être dans facultatif, et une autre dans essentiel. Car oui, le traitement des images est une chose personnelle, et ce que certains jugent fondamentaux d'autres le jugeront facultatifs. Comment fait-on pour choisir ? Non, nous avons écrit une doc (plus de 300 pages) pour détailler TOUTES les fonctionnalités, et je pense que c'est la marche à suivre. Avec les tutos également qui sont notés en fonction de leur difficulté. L'important étant de comprendre ce que fait tel ou tel outil, et dans ce cas, on sait à quel moment l'appliquer. Alors oui, personne n'aime lire une documentation, je le sais, mais personne n'aime l'écrire et nous l'avons quand même fait. Je ne peux donc que conseiller sa lecture pour se faire sa propre opinion et voir si on utilise, ou pas, une fonctionnalité.
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  32. Je ne connais pas ta monture mais sur une HEQ5 et sur une AZEQ6, c'est beaucoup plus facile d'équilibrer les axes quand ils sont horizontaux (ou presque). Pour ça, je positionne la barre de contrepoids horizontale et je baisse la latitude au maximum. Une petite vidéo :
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  33. Moot : merci pour l'info. Comme j'ai une immense culture générale, j'en déduis que triplet = lunette. (Nan mais c'est vrai quoi, personne n'ose dire le mot interdit : « réfracteur », « lunette », c'est si compliqué ? )
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  34. Bonjour, Je vous propose 2 galaxies de la constellation de la Grande Ourse: M97 : Nébuleuse planétaire de la chouette (à droite): Elle se trouve à une distance de 2 030 années-lumière de la Terre et a une magnitude apparente de 9,9. La nébuleuse s'est formée lorsqu'une étoile mourante semblable au Soleil a manqué d'hydrogène, s'est effondrée d'une géante rouge à une naine blanche et a éjecté son enveloppe extérieure. Le matériau expulsé est maintenant chauffé par le rayonnement de la naine blanche centrale, produisant la lueur de la nébuleuse. La nébuleuse s'est progressivement étendue et se dispersera complètement dans l'espace au cours des prochains milliers d'années, tandis que la naine blanche se refroidira et disparaîtra au cours des prochains milliards d'années. M108 : Nébuleuse de la planche de surf (à gauche). C'est une galaxie spirale barrée située à environ 28 millions d'années-lumière de la Terre. Elle a été découverte par Pierre Méchain en 1781 ou 1782. Depuis la Terre, cette galaxie est vue presque par la tranche. Cette galaxie a une masse estimée à 125 milliards de masses solaires et porte environ 290 ± 80 amas globulaires . Setup : FRA500 sur monture GEM28, ASI553 MCPro gain100 à -20°C, 34 poses de 60 secondes. Bien ciel les astros
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  35. Un de mes duo favoris, Bravo !! Et avec à peine 30 minutes de pose, très joli résultat !!
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  36. J'ai regardé le temps pour le week-end prochain : c'est bof dans le 49. Avec un filtre Ha en 2'' devant le renvoi coudé comme sur ce montage Ce que j'ai lu : c'est qu'une lunette de 120mm est la limite haute pour ce type de montage. Pour des diamètres supérieurs, il faut utiliser un ERF à l'avant de la lunette.
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  37. Tu peux toujours essayer, mais le pb est aussi la partie mécanique (= la monture) qui n'est pas non plus prévue pour cela. Ce matériel est typiquement conçu pour s'initier à l'observation visuelle et faire un peu d'imagerie lunaire, solaire (avec le filtre obligatoire) ou même en agrandissant l'image, Jupiter ou Saturne (mais là ça se complique déjà). Comme dit Bruno, ce n'est pas impossible, mais toutes les cartes ne sont pas de ton côté. C'est un challenge de faire du ciel profond avec ce matériel. Essaie des objets petits, compacts, brillants (amas globulaires et nébuleuses planétaires en second). Bon ciel.
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  38. C'est évidemment plutôt contre-intuitif. Mais le raisonnement est vraiment imparable... Une nouvelle branche de la physique quantique ?
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  39. Bonjour Deuza. Bienvenue sur le forum. Quel est le but de ta démarche ? Sommes-nous censés réagir, fournir une opinion, ... ?
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  40. Comment dire ...il faut avouer que ta technique est aboutie et ton résultat époustouflant. Respect . Quand je pense qu il y a quelques années j étais dubitatif sur la pose courte.. On attend la prochaine avec joie.
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  41. Bonsoir, bonjour, Celle de l'Abbé Théophile. Moreux bien sûr! Ma première carte lunaire, conservée depuis... Ceci dit, pour 55 €, cette 60/800 est vraiment une Occaz vintage. En plus , en provenance de chez Jean Cerf, Quai de la Mégisserie, pour ceux qui ont connu... JM PS: c'est bien de mettre une photo des annonces, pour les siècles des siècles...
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  42. Pour toi cher ange, Pschitt orange ; pour moi garçon, Pschitt citron !
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  43. Antlia vient de sortir le RGB Ultra, il est ciblé justement pour le RGB en coupant au mieux la PL.
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  44. Je suis membre également de la SAM. Le lieu de l'observatoire est un lieu que j'adore, loin de tout et de toute pollution lumineuse, j'y ai passé de la très bonne soirées d'observation. J'espère que l'appel aux dons arrivera à atteindre le montant souhaité. On y croit 🤞
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  45. J'ai reçu le blank de mon prochain Dobson. 2m00, ça va donner !
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