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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 03/22/23 dans toutes les zones
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Bonjour les Astrams, Je suis en train de m’initier au dessin astronomique, une pratique traditionnelle pour les observateurs, et pour premiers essais j’ai choisi une cible facile : Sirius et quelques étoiles proches en apparence de Sirius. Pour cela j’ai acheté des crayons de couleurs pour reproduire les différentes étoiles colorées, du papier à dessin noir pour reproduire le fond nocturne, et j’utilise des compas de 1886, d’époque de ma lunette, pour délimiter la zone oculaire. C’est une pratique très zen, calme, très agréable dans le silence de la nuit. Par contre j’ai de gros progrès à faire côté dessin. Je n’ai pas respecté la taille apparente des étoiles, j’essaie déjà de m’en rapprocher, et j’essaie de placer correctement les étoiles que je vois sur mon papier. Premier essais sur Sirius de CMa, sur quelques étoiles de magnitudes faibles de la région de Lep et de Hya. Pour l’observation du 14 mars j’ai utilisé l’oculaire Plössl de 26 mm très confortable et bien lumineux, pour l’observation du 21 mars, j’ai utilisé l’oculaire d’origine de la Grégoire, qui est très bien en stellaire et également lumineux, mais avec un champ plus réduit. Astronomiquement vôtre4 points
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Bonjour à tous, Voici une image acquise dimanche dernier dans une trouée entre deux perturbations. Il s'agit d'un duo de galaxies dans la constellation du lion appartenant toutes les deux aux catalogues de Messier: M95 et M96 J'ai cadré l'image de façon à pouvoir la compléter éventuellement avec un deuxième panneau comprenant le trio M105/NGC3384/NGC3389 situé à coté: Newton 200/900 ONTC Caméra Asi 2600MC + filtre IRCut Guidage avec un diviseur optique et une caméra ASI 290mm Monture Ioptron CEM40 Pilotage avec un Asiair Pro 211x120s: Nico3 points
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Salut, Une composition particulière de M42, la nebuleuse d'Orion vous connaissez..😉 J'ai utilisé les filtres UV,IR1000 et H-alpha pour apporter,peut etre, un angle nouveau à cet objet relativement connu. Tout est au foyer du 300mmF4 avec le komakorr . Capturé avec la Saturn de chez PlayerOne (imx533) Données d'acquisition: h-alpha 2sx7200 UV 4sx4000 IR1000 500msx2400 Les étoiles en rouge sont celles qui ne sortent qu'en IR1000, les étoiles en bleu ne sont visibles qu'en rayonnement UV, et le centre du trapeze baigne dans les UV avec des details du filtre Halpha. Composition personnelle c'est sur , cela change un peu du RVB et SHO. la full un petit apercu des couches separées: l'UV avec le Filtre Johnson-Bessel Chroma: le halpha le 12 de chez astronomics : et le filtre ir1000 , c'est un noname , celui la j'ai pas verifier si il va jusqu'a 1µm mais il est plus fort que le 850... : Stephane3 points
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Bravo encore à DDS. La réponse : L'UAI a donné en 2022 le nom de la mathématicienne Melba Roy Mouton à une montagne ( Mons Mouton ) au pôle Sud de la Lune, un lieu proche du cratère Malapert . Ce site fait partie d'une liste de 13 choisis pour un futur alunissage dans le cadre de la mission Artemis III. L'équipage sera composé de quatre personnes qui séjourneront dans le véhicule spatial Orion. Melba Roy Mouton (née le 1er janvier 1929 à Fairfax et décédé le 25 juin 1990 à Silver Spring) est une scientifique afro-américaine, pionnière de la NASA. Mon premier a la pêche . ( MELBA ) Mon deuxième est un vieux roi. ( ROY ) Mon troisième est suiveur. ( MOUTON ) Et mon tout est depuis peu proche d'un prêtre astronome belge ( CHARLES MALAPERT ) qui, grâce à une constellation ( ORION ), sera peut-être bientôt l'hôte d'une déesse ( ARTEMIS ). La place est libre.2 points
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Hello les astrams, On m'a recommandé de partager mes observations. Tenant un journal, je trouve l'exercice agréable (surtout quand ces ***** de nuages sont là). Je ne suis pas sûr d'être au bon endroit ou si je suis sensé ouvrir un fil que j'alimenterai à chaque CROA? Enfin du coup après avoir monté et testé mon setup dans mon salon et passé une soirée dehors à ne pas comprendre la MES, surprise hier soir c'était le grand soir. La grande première. Après le souper je sors dans le jardin et surprise, après des JOURS de nuages, un ciel complètement ouvert s'offre à moi. Je repère la Grande Ourse, la polaire et Orion. Je sens que c'est la bonne. 10 minutes plus tard je suis dehors, pointant la polaire et suivant les ordres de ma raquette de commande (dans mes écouteurs, un album bien planant d'ALT236), MES sur deux étoiles (j'ai pas tout compris haha), Dubhé et Alkaïd. Pas parfait mais je décide de tenter M42. Surprise en plein dedans à l'oculaire de 36mm. Emotion forte. Je ne pensais pas la voir si bien. Une tâche lumineuse mais ma foi, pour moi c'est majestueux. Je me dis que ça mérite une collimation pour faire les choses bien. Je le fais. Pas forcément de différence mais je suis content d'avoir réussis dans le noir à la petite lumière rouge. Du coup je m'enflamme. Je vais sur Mizar et Alcor pour voir de mes yeux que ce n'est pas une seule étoile. Très heureux de convertir mes lectures en vraies observations, je pars sur M51. Beaucoup de concentration me permettent de voir un nuage extrêmement pâle. Un peu déçu je songe aux oculaires de 17 et 8mm. Mais quand le les installe, je ne vois plus rien... De retour sur le 36mm, je pars sur M3. Boom droit dedans. C'est beau un amas globulaire en fait. Seul au milieu de l'immensité. Je suis ému. Alors je pars sur M41, pas trouvé extraordinaire. Je poursuis sur M44 et là... Un monde d'étoile s'ouvre devant moi. L'amas de la Crèche en représentation. Avec l'oculaire grand champs c'est sublime. Je songe aux Pléiades et me réjouis de les voir avec mon instrument. Je deviens boulimique, Castor et Pollux (pour la culture), puis M93, pas extraordinaire non plus. De temps en temps, un minuscules point blanc passe à toute vitesse. Un satellite je pense. Sirius, pour la culture encore. Et là j'ai un flash! Mes oculaires, ils se dévissent. Je tente sur Sirius... Et découvre comment utiliser mes Hyperion. Go to M101, mince je ne vois rien. Retour sur M51 au 36mm, nuage pâle encore. Mais là, Tac, oculaire de 17mm. Oh, je vois deux nuages, et surtout deux coeurs. Aller le 8mm. Je ne vois pas mieux. Retour sur le 17mm. Ok c'est le mieux que j'aurai ce soir (même si je suis pas sûr de comprendre pourquoi). Une pensée me traverse pendant que j'utilise la vision décalée sur M51, les sourcils froncés par la concentration: "Samus, tu te concentre comme pas possible pour voir un infime objet qui en fait est infiniment grand". J'ai eu un vertige. Et je me suis demandé si ce n'était pas une des meilleures soirée de ma vie. Je décide de m'arrêter là. Les 3h sont passés vite. J'ai de la peine à m'endormir tellement je suis excité... Et je remplis mon journal d'observation. Samus1 point
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Bonsoir à tous, En attendant des cieux plus cléments, je traite des captures qui me résistaient jusque là. Voici donc une prise qui a maintenant 1 an, et que je n'avais jamais réussi à traiter de façon convenable (enfin, selon moi). L'année dernière, j'avais pointé M44, dans le Cancer. C'est un superbe amas ouvert, avec un effet wouah garantie à l'oculaire. Pour une raison qui m'échappe, jusqu'à maintenant je n'avais pas réussi à traiter mon image ! systématiquement, les étoiles sortaient saturées et je perdais la couleur ! J'avais laissé tomber, jusqu'à l'arrivée de la dernière version de SIRIL. J'ai enfin pu correctement contrôler ma montée d'histogramme et conserver les couleurs !! Voici donc mon résultat (et le setup de l'époque) : FMA 135 avec K-70, pas de filtre Star adventurer 149 poses de 30 secondes, à 800 iso Bon ciel à tous !1 point
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bonjour à tous , mauvais jour pour shooter le soleil , je vous laisse juge des conditions de prises de vue Pitain d'avions je vous déteste !!!!!!! Paul 1 heure plus tard c'est pas mieux , ensuite couverture à 100 pour 100 tout ça pour ça , quelques détails dans la tache et un micro flare dessous , imaginez avec un ciel coopératif1 point
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Ah qd même, on l'attendait celle là ! J'aime bien 😊1 point
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Nous publions une autre image en retard, NGC-5367 & CG12 : NGC 5367 est une nébuleuse par réflexion associée au globule cométaire CG12 dans la constellation du taureau. Cette nébuleuse n’a été découverte qu’en 1976. La coloration est donnée par les deux étoiles bleues du système binaire h4636 (étoiles de type spectral B4 et B8). CG12 est un globule cométaire ( en fait un nuage de gaz), dans cette image on voit surtout sa tête sombre et poussiéreuse, sa queue étant faible. Ces globules seraient des nuages sphériques qui ont été sculptés par l’énéergie dégagée d’une supernova voisine, puis sa forme a été travaillée par les vents violents et et le rayonnement d’étoiles massives et chaudes. Full and details on astrobin : https://astrob.in/masyk1/0/1 point
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SH2-308, la bien nommée nébuleuse de LA TÊTE DU DAUPHIN. Elle se trouve à environ 5 200 années-lumière dans la constellation du Grand Chien. C'est un exemple célèbre de « bulle spatiale » créée par le rayonnement intense de l'étoile centrale Wolf-Rayet brillante et très chaude. Les vents rapides de cette étoile créent la nébuleuse en forme de bulle alors qu'ils balayent un matériau en mouvement plus lent d'une phase d'évolution antérieure. Le diamètre de la tête de Dauphin couvre légèrement plus qu'une Pleine Lune, ce qui correspond à un diamètre de 60 années-lumière . On peut apercevoir une autre bulle (très faible) en bas de la tête , c'est la nébuleuse planétaire PNG 234.9-09.7 Données brutes issues du site "Telescope Live" et prises avec le télescope CHI-2 à l'observatoire d'El Sauce (Chili) en octobre 2021. 12 x 600s en Ha 16 x 600s en OIII Traitement HOO réalisé avec Siril, Pixinsight et Affinity. La version full ici https://flic.kr/p/2ojia5K1 point
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Avec l'utilitaire Imager, on grave l'image de Ubuntu-Mate. Ensuite, on peut faire l'installation comme sur un PC avec Ubuntu, à l'aide du ppa: mutlaqja/ppa, de indi-full, gsc, kstars-bleeding. Pour PHD2, on utilise le ppa: pch/phd2 puis un update et install phd2. Dans les connexions réseaux, se créer un hotspot wifi avec une adresse fixe, éventuellement une liaison Ethernet en point-à-point si on utilise le câble RJ45. Et voilà. Mais j'invite les gens à acheter la licence Stellarmate, 45€, ne serait ce qu'en reconnaissance des services rendus par Jasem et son équipe.1 point
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Yuri Petrunin : http://www.astrosurf.com/legalet/Articles/Article-collimation.pdf1 point
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Merci Mon Cher Claude, Voici ce que je voulais indiquer pour conclure mon énigme : Pourquoi l'abbé d'Auteroche ne s'est-il point enfui pour retourner immédiatement dans son pays natal dès qu'il eut fini d'observer entièrement ce second phénomène astronomique ? Pourquoi a-t-il donc tant tenu à rester sur le lieu de l'observation du phénomène principal malgré les très nombreuses sollicitations de ses compagnons de voyage français ? Eh bien, il a refusé de repartir pour la France, comme on le lui a très vivement conseillé car l'épidémie mortelle de fièvre jaune (le “vomito negro” ) se répandait très rapidement dans la mission catholique de San José del Cabo où il avait installé ses télescopes, vu qu'il voulait être absolument certain de la longitude de cette Mission, et pour l'obtenir l'abbé Jean Chappe d'Auteroche a tenu à observer l'éclipse totale de Lune du lundi 19 juin 1769 afin de chronométrer l'avancement de l'ombre sur les différents cratères lunaire. Résultat : il est décédé dans cette mission le mardi 1er août 1769 soit un peu plus d'un mois après l'observation de l'éclipse totale de Lune. Le manuscrit de ses travaux a pu toutefois être ramené en France par le seul survivant français de l'expédition, l'ingénieur géographe royal Pauly. Cela fut confié à Jean-Dominique Cassini, dit Cassini IV, ou le comte de Cassini (qui était le fils du directeur de l'Observatoire de Paris, César-François Cassini, ou Cassini de Thury, dit Cassini III) qui s'est inspiré de ce manuscrit pour faire paraître en 1772 un ouvrage, en hommage posthume à l'abbé Jean Chappe d'Auteroche ; sous le nom de “Voyage en Californie”. Vous pourrez consulter ce vénérable ouvrage, paru en 1772, ici : https://archive.org/details/voyageencaliforn00chap/page/n6/mode/1up?view=theater . Voilà, bonne lecture mes chers webastrams. Et maintenant, quel est ce mystérieux personnage qui est depuis peu proche d'un prêtre astronome belge qui, grâce à une constellation, sera peut-être bientôt l'hôte d'une déesse ? Roger le Cantalien.1 point
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RCW 38 est une nébuleuse où se forme des étoiles, elle se situe à 5500 années-lumière dans la constellation des Voiles. Les chercheurs ont découvert beaucoup d'étoiles naines rouges dans cette nébuleuse. Parmi les étoiles de cette nébuleuse, on trouve IRS2, une étoile binaire supermassive, les vents de cette étoile empêchent la formation de nouvelles étoiles, il s'agit d'une supergéante bleue-blanche (partez du centre, 4cm plus bas à gauche) En plus du puissant rayonnement ultraviolet de l'étoile IRS2, il arrive que des supernovas explosent dans cette nébuleuse. C'est un endroit où la formation des étoiles est difficile. Données brutes issues du site "Telescope Live" et prises avec le Planewave CDK24, un télescope de 61 cm dans la vallée du Rio Hurtado (Chili) en février 2023. 12 x 600s en Ha 13 x 600s en OIII 12 x 600s en SII Pré traitement Siril, traitement SHO Pixinsight, retouches Affinity. La version full ici https://flic.kr/p/2onhaFF1 point
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Bonjour les amis, J'espère que vous allez tous bien. Je vous partage des chatons de bouleau pris en macrophotographie et au microscope aussi que des bourgeons, des graines aussi appelées akène et du pollen. Quelques références de sites au sujet du bouleau : Le bouleau en général : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouleau Le chaton : http://www.biopathe.fr/articles.php?lng=fr&pg=371 La graine aussi appelée l'akène ou le samare : http://a.gerard4.free.fr/microscopie/photos/2014/20141031_graine.html Le pollen du bouleau (une photographie d'un grain de pollen au microscope électronique je pense) : https://www.pollens.fr/le-reseau/les-pollens/bouleau Le chaton en macro taux de 1/1.2 : Le chaton en macro taux de 1/1 : Un détail du chaton au microscope au 4x : Image stackée à partir de 78 photos dans Hélicon focus avec la méthode C Un détail d'un bout du chaton au microscope au 4x plus une Barlow de x2 : La lame du chaton décortiqué : Image stackée à partir de 41 photos dans Hélicon focus avec la méthode B - On peut voir en haut les "ailes" d'une graine /akène je crois. Il y a plein de vie dans un chaton ! Voici une vidéo qui montre des petits vers blanc qui ce balade dans un chaton : 2 bourgeons en macro au taux de 1/1 : Bourgeon au microscope avec l'objectif 4x : Image stackée à partir de 108 photos dans Hélicon focus avec la méthode C Les petits vers blancs à la base du bourgeon - Voir la vidéo ci-dessous* : Coupe d'un bourgeon au microscope avec l'objectif 4x : Image stackée à partir de 44 photos dans Hélicon focus avec la méthode C * Il y a aussi plein de vie dans un bourgeon ! Voici une vidéo qui montre des petits vers blanc qui ce balade à la base du 1er bourgeon pris avec l'objectif 4x. On peut d'ailleurs les voir à la base du bourgeon sur la photo : La graine aussi nommée l'akène au microscope 4x (graines récupérées sur ma voiture de couleur blanche : ça aide ) : La lame avec 5 graines : Au microscope 10x lumière transmisse : Image stackée à partir de 26 photos dans Hélicon focus avec la méthode C Au microscope 10x lumière transmisse et réfléchie : Image stackée à partir de 30 photos dans Hélicon focus avec la méthode C Au microscope 40x lumière transmisse et réfléchie : Image stackée à partir de 50 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et pour finir le pollen du bouleau : Grains de pollen au microscope 40x montage avec Barlow 3x : Image non stackée Grains de pollen au microscope 100x montage avec Barlow 3x : Image non stackée Ah, ce monde microscopique est plein de surprise (je parle entre autres des vers blancs). Je pense que la biomasse que l'on ne voit pas à l'œil nu est beaucoup plus importante que celle que l'on voit. Qu'en pensez-vous les amis ? A voir . . . Amicalement, FRanck1 point
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Bonjour à tous, Suite à l'achat en Octobre 2021 d'un Skywatcher 200/1000 sur NEQ5, je me suis dans un premier temps focalisé sur l'utilisation du matériel, l'observation directe et surtout la recherche des cibles. Ce dernier point a été le plus laborieux, jusqu’à l'achat de l'ASIAIR qui m'a réellement apporté un plus pour le réglage de l'alignement polaire assisté et surtout le ciblage (marre de perdre des heures à passer à coté d'une cible pour quelques petits millimètres d'écart ) Puis est venu l'achat de ma première caméra ASI294MC-Pro et mes premières photos. Un an et demi après l’acquisition de mon téléscope, mon setup aujourd'hui se compose : - SkyWatcher 200/1000 sur NEQ5 - ASIAIR - Caméra ASI294MC-Pro - Guidage ASI495MC - Barlow Télévue Powermate 4x - Poste d'observation : mon jardin dans le Sud Alsace (Altitude 245m) L'hiver a été bien pourri pour les observations (ciel tout le temps couvert). J'espère que le printemps sera plus propice à l'astrophoto. J'ai réuni mes premiers clichés dans un petit poster qui regroupe mes principales photos depuis les 6 derniers mois : Une chose est sure c'est que l'astrophoto est plus addictive que n'importe quelle drogue :). J’espère faire encore plein de belles découvertes dans les mois qui viennent et progresser dans mes prises de vue. Bon ciel à tous !!0 point
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Salut, La célèbre galaxie spirale barrée NGC3718, à environ 57 millions d'a.l. dans la Grande Ourse, possède une forme très caractéristique, et le groupe compact Hickson 56 situé en arrière-plan à son pied lui donne beaucoup de relief. Elle est en interaction gravitationnelle avec la spirale NGC3729 à proximité. C'est un objet qui me fascine et sur lequel je reviens tous les ans depuis que j'ai commencé sérieusement l'astrophoto. Sa faible luminosité surfacique le rend difficile sous mon ciel de banlieue parisienne, néanmoins je note des progrès d'année en année avec l'évolution du matériel, du traitement et l'expérience acquise. Pour en avoir une image "définitive" il faudra sans doute déménager le télescope sous d'autres cieux plus cléments. Dimanche soir une petite accalmie entre deux trains de perturbations m'a permis d'acquérir 5h30 de luminance avant l'arrivée des nuages, dans des bonnes conditions de turbulence (FWHM médiane 1,83" après empilement) et de transparence correcte (mag. limite m=21,3). Je l'ai appliquée sur la chrominance de l'année dernière, prise dans des conditions bien plus turbulentes. Voici le résultat (clic droit pour la pleine résolution) : Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 ASI183mm (0,66"/pix) Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 330*60sec à gain 110, -10 °C à l Chrominance 80*60sec pour les couches R et G et 150*60sec pour la couche B, gain 110, -10 °C (acquisition en 2022) Conditions de turbulence correctes (FWHM médiane de 1,83" après empilement), pollution lumineuse (Tour Eiffel à 20km). La luminance annotée montre en particulier un quasar à z=4,8 (faiblement visible en étirant les niveaux), dont la lumière a été émise il y a 12,6 milliards d'années, mon nouveau record ! bonne journée, Dan0 point
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Bonjour à tous, j'ai reçu la base équatoriale skywatcher permettant de passer l'AZGTi en EQ et je l'ai donc inauguré ce soir avec ma toute première mise en station d'une monture équatoriale. Je redoutais cette étape mais tout s'est passé beaucoup plus facilement que je ne l'imaginais. J'ai réalisé l'opération avec Synscan et sans vue sur la polaire et n'ai donc pas idée de la quantité d'erreur mais je n'ai pas perdu la cible au cours de la séance et mes étoiles sont restées plutôt très ronde... Ce qui est déjà pas mal pour une première il me semble Par la suite je compte utiliser NINA et le Three Point Alignement + tous les outils de cadrage et de prise de vue. J'ai bien potassé sur youtube et avec les simulateurs et je pense que ça devrait rouler mais je préférais pas encombrer cette séance avec des problèmes informatiques. Voici donc M3 au Mak 127+Canon100D. Loin d'être parfaite, immensément perfectible, mais quelle beauté quand même ! Pour ce qui est des problèmes rencontrés : - J'ai récuperé un vieux 100D qu'on m'a donné. C'est un chouette petit appareil léger mais le niveau de bruit à 3200 ISO me semble énorme, je vais baisser à 1600 voire 800. Par contre, si j'ai cru comprendre qu'on ne perdait pas vraiment de signal en baissant les ISOs, la quantité d'infos récoltée n'est elle pas tout de même bien plus faible ? - Ca ne m'a pas sauté aux yeux lors du traîtement mais j'ai pas mal de trame et de vignettage. J'ai un peu cafouillé lors de mes FLATS, c'est peut être une des raisons. - Je n'ai pas osé monter au dessus de 30s de pose et j'ai du mal à savoir si le manque de netteté provient de la mise en station, de l'alignement, du focus ou un peu de tout ça. Si vous avez des réponses, je suis preneur ! D'ailleurs à quel temps de pause peut on esperer monter avec ce genre de setup ? - J'ai eu BEAUCOUP de mal avec NINA qui n'arrivait pas à trouver assez d'étoiles ( Sur un amas globulaire d'un demi million d'étoiles ? ), j'ai donc tout fait en " manuel " et je pense que mon traîtement est vraiment brouillon et pas mal gaché par la quantité de bruit que j'ai eu à gérer et que l'empilement n'a pas vraiment attenué.0 point
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Bonjour les astram, Voilà enfin la réception tant attendue de mon SD 12". Je suis allé le chercher directement chez Mr Vincent car aucune confiance dans les services de livraisons. Et bien je ne regrette pas … quel accueil par Mr Vincent et sa femme et quel endroit ! J’ai pris une sacrée claque dans le lieu où se trouve Sud Dobson. Cela fait une belle bouffée d’oxygène et une belle cure culinaire d’ailleurs. Vraiment le paradis, je n’exagère pas pour celui qui aime la nature, les couleurs, le coté sauvage, la bonne cuisine Française et surtout le calme ainsi que la gentillesse des gens dans les petits villages. Ma petite histoire et mon choix en quelques mots, j’ai eu lors de mon adolescence une 70/900 Bresser, ensuite un Mak127 que j’avais posé sur une EQ1( !!) …. Mais malgré tout j’étais assez content des résultats puisque j’ai découvert Saturne, Jupiter, M31, M42,M13 Je n’ai pas su optimiser ces deux instruments et j’ai laissé de coté l’astronomie et donc revendus les instruments que je regrette vraiment d’ailleurs. Et oui tout restaient quand même minuscules et j’ai été assez frustré au final mais content. Pourtant lorsqu’on a 14/15 ans et découvrir soi-même Saturne et Jupiter c’est vraiment incroyable mais on est ado … on en veut toujours plus… J’ai décidé de me remettre à l’astro , après 15 ans d’arrêt et depuis j’ai beaucoup lu webastro,cloudy night, les annonces, les sites afin de réfléchir ce qui me correspondrait le plus. J’ai vraiment pesé le pour et le contre et je peux vous dire que ça été très compliqué ! J’ai eu beaucoup de contradictions lors de ces dernières années. J’ai mis 4/5 ans avant de choisir … c’est dire ! je ne voulais pas me planter et en attendant le budget augmentait petit à petit. Mon choix ? Je souhaitais faire du visuel pur, notamment le CP, donc idéalement le plus de diamètre possible. Sauf que j’avais un problème concernant l’encombrement ! Je voulais quelque chose d’assez simple à mettre en œuvre rapidement. J’avais assez peur de la collimation, ainsi que la monture équatoriale. Donc là première contradiction puis que je me suis tourné rapidement entre une bonne APO Japonaise sur une monture azimutale ou un Dobson … et là ça été très compliqué puisqu’au final se sont des instruments assez complémentaires. Inscription en 2018 dans le club astro de ma ville, et ça m’a vraiment conforté dans mes choix. Le GO TO hors de question pour moi, je veux découvrir moi-même, chercher avec une carte, apprendre, à l’ancienne. La facilité et la technologie ce n’est pas le but rechercher dans mon activité. La monture équatoriale, très confortable mais pas à l’aise encore. Pour le Dobson le choix s’est vite porté sur une structure en serrurier, pour cause de poids, de rangement et de transport (et je tiens à préciser que ces trois contraintes sont vraiment à prendre en compte pour les débutants) Dès lors plus beaucoup de choix dans l’industriel, j’ai été attiré par quelques mois par l’explorer scientific mais au vue des problèmes rencontrés j’ai jeté l’éponge, recevoir un instrument à 1200 euros avec des problèmes de finitions ou abimé etc c’est pas la peine. Donc clairement l’artisanat est arrivé petit à petit bien que la lunette APO soit toujours dans la tête. Et puis j’ai commencé grâce à Webastro à rechercher des Dobson d’artisans et 2 artisans sont sortis du lot, Summerian optic et Sud Dobson, j’ai donc choisi SD, avec d’excellents retours, le site est assez détaillé en photos et caractéristiques, j’aimais bien le look des Dobson SD, le bois j’adore et … c’est Français. Oui ça compte pour moi le « Made in France » Après moultes échanges sur Webastro, je me suis dit que le Dobson est juste l’instrument qui répondra à mes attentes. J’ai donc décidé de signer un devis pour un SD compact de 300mm. Pancho61 à fait définitivement tourner la balance suite à son CROA. Rendez-vous donc chez Mr Vincent afin de prendre possession du Dobson, ça vaut franchement le détour d’aller le réceptionner. (Désolé si je me répète) Nous l’avons donc monté, c’est assez déconcertant de le monter aussi rapidement, 6 vis au total et la cage secondaire avec des attaches type vélo et ensuite collimation. En moins de 5min le Dobson est monté, génial donc. Ensuite démontage encore plus rapidement et rangement dans la caisse conçu pour avec chaque élément dans leurs places respectives. Le télescope fait environ 21 kilos tout compris, c’est parfait. Puis Mr Vincent me propose de l’essayer le soir même avec un autre Dobson SD mais de 600mm afin d’y faire quelques réglages. Rendez-vous pris le soir afin d’installer les télescopes et vers 20H30 le spectacle a commencé, le ciel était magnifique, rarement vu comme cela, première cible Venus afin d’y régler le chercher point rouge, ensuite direction M42, et là ce fut vraiment magnifique !! des nuances de gris vert et de roses, 6 étoiles dans le trapèze. On a enchainé beaucoup d’objets tous incroyables et magnifiques au 300, enfin j’ai vue des bras de galaxies ! le sombrero, l’aiguille magnifique, la chaine de Markarian, Il y a énormément à faire avec ce genre de télescope…. La prochaine étape sera évidemment d’être plus à l’aise avec le ciel, le repérage ainsi que le Dobson en lui-même. Ensuite optimiser le Dobson, la collimation avec le HG, acheter un voir deux oculaires en plus, pour le moment je n’ai que le 11 et 6.7 en ES en 82°. Acheter un filtre UHC ou OIII, pourquoi pas si le besoin s’en fait de repolir le miroir (je veux bien vos retours à ce sujet), acheter d’autres filtres pour le contraste. Tout ça pour conclure que je suis vraiment heureux, très content, de mon Dobson que je trouve évidemment très beau, que sans l’aide de webastro je n’aurais pas fait ce choix, les avis et conseils de nombreux astram que je n’ai jamais rencontrés et m’ont beaucoup aidés, je remercie (et j’y tiens) @Gildas974, @etoilesdesecrins, @Subwoofque j’ai dû fatigué plus d’une fois avec mes questions, parfois stupides, @martial_julian pour ses précieux conseils, @Guilaume, pour ses bon plans et son avis aussi. @paradise( lorqu’il était encore en retraite d’astronome) @popov et son expériences positives sur les SD, @Foldedol qui m’a bien aidé en comparant les 2 instruments que je souhaitais. @Joan Bepour ses retours sur le ES (mais où es-tu ??) et son aide sur les oculaires et bon plans aussi ainsi que @CDLCpour ses vidéos et conseils, @pancho61 qui à fait basculer définivement mon choix. Pour terminer merci Mr & Mme Vincent pour avoir réalisés un magnifique Dobson, un accueil chaleureux, de m’avoir fait découvrir un endroit sublime. Choisir un instrument est vraiment compliqué si l’on commence à se mettre à l’astronomie sérieusement. L’inscription dans un club me semble primordiale, et il faut vraiment réfléchir à ses besoins, voir les instruments en réel, ne pas se précipiter et prendre vraiment en compte le poids, comment et où se déplacer avec et surtout profiter des rencontres astro, poser des questions et évidemment le budget qu’on est prêt à y consacrer. Merci le site et les membres Webastro. Arnaud0 point
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bonjour, voila donc ma 2ieme photo du ciel profond et ma première avec autoguidage. J'ai passé 2 heures a bien tout peaufiner, l, équilibrage, la mise en station avec Sharcap, trouver la bonne étoile guide sous PHD2 avec un suivi excellent. Mais voila je me retrouve avec une vilaine trame diagonale (EOS 400d), Jai lu qu'il faut faire du dithering pour éliminer le problème, vos avis? je me sert d'un câble usb pour commander les prises de vue depuis mon pc et un petit soft bien utile (SHUTTER) comme intervallomètre. Avez vous un bon tuto pour le dithering, j'en ai trouver mais ça me parai bien compliqué a mettre en œuvre. ___________________________ 74*180s (EOS 400D) 40 darks, 50 flats, 50 offsets guidage PHD2 asi 120 couleur et chercheur Skywatcher via port st4 200/1000 SW sur H EQ6 PRO sans correcteur de coma Siril0 point
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Bonsoir, Toujours dans les images à traiter. Retour en ciel profond mode classique. Essai sur M31 avec la SW Evoguide 50ED. Les infos: lunette Skywatcher Evoguide 50ED (50/242mm) + correcteur Skywatcher Asi294mc pro + filtre IRcut. monture HEQ5 Rowan autoguidage lunette 50x200, Asi290mm / PHD2 acquisition NINA 74 x 90s Gain 120 -10°C Traitement Sirilic, GraXpert, Siril, Photoshop (Astropanel X). une brute de 90s:0 point
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Bonjour, bonsoir, Je m'inscris enfin pour pouvoir échanger avec vous. Qu'il soit illuminé par une brèche de lumière, par le soleil entier ou par le scintillement des étoiles, le ciel m'a toujours fasciné. J'aime avant tout prendre des photos en tant qu'amateur, pendant les voyages, de nature, paysage ou encore de portrait. Après mon investissement dans un bel appareil (Fujifilm X-T4 équipé d'un 16-80 f/4) j'ai alors découvert ce qu'il était possible de faire avec nos petits boitiers. Percer cette obscurité et parcourir les années lumières afin d'admirer. Malgré mon f/4, Je me suis donc essayé à capturer des étoiles filantes pour "test" à l'époque sans trépied (... 😅) avec succès. Puis j'ai ensuite découvert la nébuleuse d'Orion. Avec un petit temps de pose de 5 min, j'ai déjà quelque chose d'acceptable. J'ouvrirai un nouveau sujet afin de savoir quel matériel me correspondrait le mieux pour mes pratiques. Merci de m'avoir lu 😉0 point
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Bonsoir Brève accalmie imprévue hier soir de 20h à 1h00… J’ai voulu essayer le SW150P avec son réducteur donc 516 mm de focale sur les galaxies vu que ça va être la saison. J’ai mis la 183MC Pro, par contre je voulais faire les flats ce matin et loupé ! Voila le résultat avec 80x180s à partir de 20h30. C’est pas encore top, mais c’est mieux. et puis avec le SW 254/1200 et l’ASI 294 MC Pro je voulais prendre dans le même cadre M108 et M97. Loupé, M97 était trop au bord du capteur et j’ai du le supprimer avec le Dithering… Là aussi 80x180s et flats ratés… Bon ciel Philippe0 point
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Je viens d'acheter une roue à filtres motorisée de part les annonces sur le forum, et me suis fait gruger encore une fois. Le vendeur m'a certifié que cette dernière était en bon état et avec le cd d’installation. J'ai donc reçu le matériel, et malheureusement la Raf ne fonctionne pas sous Windows 10 ou 11. J'ai donc recontacté le vendeur pour le lui signifier et me dit que chez lui ça fonctionne sous Windows 7, je lui ai savoir que je n'ai pas d’ordinateur sous Windows 7, je lui ai demandé si il pouvait reprendre le matériel, mais ce dernier reste muet comme une carpe. Dans les annonces il devrait y avoir une obligation de stipuler le ou les logiciels d’exploitation qui font fonctionner le matériel que l’ont vend, sinon annonce refusée.0 point
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Bonjour à toutes et tous ! Bon, j'ai déjà eu quelques échanges avec certains mais n'ai jamais pris le temps de me présenter officiellement En qq lignes mon parcours. Proffesionnellement parlant, suis dans le développement depuis...mon enfance (attaqué avec un commodore 64...ce qui donnera un indice approximatif sur mon age :)) ainsi que dans la partie réseau/système (directeur technique chez un éditeur pour tout dire). Depuis 26ans au même endroit. J'ai eu mon premier reflex (Asahi Pentax 24x36mm avec un 50mm 1.4) à 12 ans et un lunette astro achromatique paraluxe 60/800 altaz au même age environ. J'ai exécuté à l'époque qq bricolages issus de "A l'affut des étoiles" de P.BOURGE et fait qq photos lunaires sur du TMAX 400 /3200 et pelliculle à traitement poussé. Ayant un labo photo perso, je faisais par ailleurs développements et tirages. La vie étant faite de variations, j'ai à l'age adulte (étudiant) laissé de coté l'astro mais continué la photo, avec un passage pro mais finalement gardé uniquement le coté passion/artistique/voyages, etc... J'ai parallèlement attaqué la guitare au lycée, vers 1990, époque new wave/alternatif/R'n'Roll. J'ai eu vers ma 30aine un C8...fait surtout de l'observation...et la encore la vie m'a fait devoir me séparer de ce dernier pour raisons financiéres en outre. Il y a une dizaine d'années, j'ai attaque l'auto-construction d'un maison OSB, ça prend du temps En parallèle, un groupe de Métal Lyonnais s'est monté et compo/concerts/albums ont bien rempli ma vie depuis... (lien en bas) C'est donc cette fin d'année (Décembre) ou j'ai décidé de m'y (re)mettre et exclusivement en astrophoto du coup ! Je me considère aujourd'hui comme débutant astrophoto, ayant tout à appliquer (Mise en station précise, matériel embarqué, pilotage, autoguidage, échantillonage, dofs...et j'en passe ) Je tenais enfin à dire que je suis reconnaissant envers tous ceux qui prennent le temps de partager leurs connsaissance, c'est vraiment top et pour votre bonne humeur ! Bon ciel à tous. Julien. ---------------------------------------------------------------------------------------------------- Pour ceux qui veulent découvrir -> https://www.gonezilla.net/0 point
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Alors oui dans l'absolu bien que non spécialiste ! J'ai suivi depuis gamin Voyager/Explorer puis aujourd'hui les expériences de la station, les recherches sur les vols habités, les téléscopes "extra-terrestres" ! J'ai eu la chance de participer à une conférence avec James Irwin (Appollo 15) et de le saluer (mort depuis en 1991) !! Donc oui, de près ou de loin "l'astronautique" m'intérresse même si encore une fois je ne suis pas très pointu sur le sujet. (Même si j'avais la navette "Moonraker" en modèle réduit, du film éponyme avec 007) ) "Clear skies too" Merci pour les liens (T.LEGAULT, j'ai racheté la nouvelle édition que j'avais auparavant aussi ) J'ai bien potassé déjà tout ça mais je prends toujours les liens qui permettent parfois de compléter (ou contredire) des points et par là même se perfectionner !! J'irais lire "pose courtes" car j'ai découvert ça récemment et suit en outre les expériences de @sebseacteam Bon ciel (enfin c'est pas dingue là )0 point
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@180Vision Bonjour et bienvenue Un sujet bien utile : Astrophotographie - Thierry Legault et pour débuter, quelques sujets à voir : - Astrophoto: du moins cher au plus performant - Astrophotographie - Webastro - Listes des objets du ciel profond – Société Astronomique du Havre (sahavre.fr) - Les DOFs – Société Astronomique du Havre (sahavre.fr) - KYOCERA ELECTRONICS FRANCE (astroantony.com) (Autoguidage) - mise_en_station (astrosurf.com) - Imagerie astro presentation (astrosurf.com) - Technique de poses courtes appliquées au ciel profond - Astrophotographie - Webastro - COR jc mario déchaîné.pub (free.fr) - Les correcteurs de champ (free.fr)0 point
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Au cours de la prise de vue : Aberration inspector de SharpCap ou Hocus Focus dans NINA. Si tes étoiles aux bords sont étirées et pointent vers le centre -> BF < BF du correcteur : ajouter une rondelle d'espacement. Si les étoiles sont étirées en arc d'un cercle centré sur le centre de l'image -> BF>BF correcteur -> réduire en mettant une bague d'adaptation plus fine0 point
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Très joli duo !! J'aime beaucoup la composition de l'image. Il fait partie de ma liste de cibles.0 point
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Bonjour les amis , J'espère que vous allez bien . Belle description en image du murier sauvage sous toutes les coutures en macro d'abord et au microscope ensuite . Chouette schéma recto verso de la feuille , super l'épine stackée à partir de 102 photos avec Hélicon focus fdudu Je vous présente un pétale de primevère jaune que mon épouse a apporté , une photo en normal puis une autre en négatif avec des reflets bleutés L'objectif du microscope est de 10X0 point
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Obsession ne les fait plus non plus sur leur nouvelle version ultralight , sans doute trop de defauts finalement.. Faut en remettre !0 point
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Bonsoir Suite (et bientôt fin) de cette série d'apprentissage en mode poses courtes. NGC 3198 est une galaxie spirale barrée relativement rapprochée et située dans la constellation de la Grande Ourse. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 879 ± 15 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 13,0 ± 0,9 Mpc (∼42,4 millions d'a.l.)1. NGC 3198 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1788. La classe de luminosité de NGC 3198 est III et elle présente une large raie HI. Elle renferme également des régions d'hydrogène ionisé. De plus, c'est possiblement une galaxie du champ, c'est-à-dire qu'elle n'appartient pas à un amas ou un groupe et qu'elle est donc gravitationnellement isolée. Si on se base sur les mesures de luminosité de la bande K de l'infrarouge proche du bulbe de NGC 3198, on obtient une valeur de 106,4 M (2,5 millions de masses solaires) pour le trou noir supermassif qui s'y trouve. (source Wikipedia) Les infos: Newton Skywatcher 150/750 + correcteur de coma Skywatcher Player One Neptune-c II IMX464 + filtre IRcut. Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage lunette 70x400, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 1600 x 2s Gain 200/400 Traitement Sirilic, Siril, Photoshop (Astropanel X), Lightroom. une brute de 2s:0 point
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Je les au loupées, suis sortie trop tard pour les premières et la deuxième fois le temps était couvert…. La prochaine fois peut-être0 point
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Desole j'ai retiré les photos à cause d'un conflit avec un membre aujourd'hui banni 😀. Après 3 ans j'ai toujours ce SD j'envisage de monter en diamètre et toujours chez SD car les prix sont toujours abordables et ses dobsons toujours bien conçus. J'adore l'odeur du bois qui règne même après 3 ans...0 point
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Avant, bien avant encore une quinzaine d'années si y a pas des réformes à la tous les 2 ans0 point
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Oui tres jolie cette galaxie, Quelle série, qu'est-ce que ça va donner à la retraite, quand tu aura plus de temps, dans 30 ou 40 ans 😂0 point
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Très intéressante cette galaxie vu par la tranche j'adore0 point
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Superbe résultat ! C'est pas courant de voir des capture en UV ! Les détails dans la version Ha sont top !! Bravo !0 point
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Voici quelques photos du jour pour une séance bien compliquée ED 80 DMK 31 ZWO 2900 point
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Popopooooooo !!!! Tu nous as encore sorti un truc de maboul Stéphane..... Le JWST n'a plus qu'à trembler depuis son point Lagrange...... En effet c'est vraiment peu commun voir pas commun du tout cette approche.... Heureusement que je suis assis0 point
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Bonjour à tous, Pour mon premier post je cherchais un sujet intéressant et qui n’ai pas été abordé avant (c’est difficile ici hein !!! ) Je vais donc vous raconter l’histoire d’une lettre qui m’as fascinée quand je l’ai lu pour la première fois ! Cela se déroule en 1970, une nonne basée en Zambie, Sœur Mary Jucunda écrit au Dr Ernst Stuhlinger, alors directeur associé des sciences au Marshall Space Center de la NASA, en réponse à ses recherches en cours sur une mission pilotée vers Mars. Plus précisément, elle a demandé comment il pouvait suggérer de dépenser des milliards de dollars pour un tel projet à un moment où tant d'enfants mouraient de faim sur Terre ? Stuhlinger a rapidement envoyé la lettre d'explication suivante à sœur Jucunda, ainsi qu'une copie de « Earthrise », la photographie emblématique de la Terre prise en 1968 par l'astronaute William Anders, depuis la Lune (également intégrée dans la transcription). Sa réponse réfléchie a ensuite été publiée par la NASA et intitulée : "Pourquoi explorer l'espace?" (La réponse étant assez "dense" j’ai fait de mon mieux pour aérer le texte et comme nous sommes sur un forum francophone de vous en livrer une traduction, néanmoins vous trouverez la source a la fin du post. Bonne lecture ❤️ ) =-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=- 6 mai 1970, Chère sœur Mary Jucunda : Votre lettre était l'une des nombreuses qui m'arrivent chaque jour, mais elle m'a touché plus profondément que toutes les autres parce qu'elle est venue tellement des profondeurs d'un esprit chercheur et d'un cœur compatissant. Je vais essayer de répondre au mieux à votre question. Cependant, je voudrais d'abord exprimer ma grande admiration pour vous, et pour toutes vos nombreuses sœurs courageuses, parce que vous consacrez votre vie à la cause la plus noble de l'homme : l'aide à ses semblables qui sont dans le besoin. Vous m'avez demandé dans votre lettre comment je pouvais suggérer de dépenser des milliards de dollars pour un voyage vers Mars, alors que de nombreux enfants meurent de faim sur cette Terre. Je sais que vous ne vous attendez pas à une réponse du genre "Oh, je ne savais pas qu'il y avait des enfants qui mouraient de faim, mais à partir de maintenant, je m'abstiendrai de toute recherche spatiale tant que l'humanité n'aura pas résolu ce problème". En fait, j'ai connu des enfants qui mouraient de faim bien avant de savoir qu'un voyage vers la planète Mars était techniquement réalisable. Cependant, je pense, comme beaucoup de mes amis, que voyager vers la Lune et éventuellement vers Mars et d'autres planètes est une entreprise que nous devrions entreprendre maintenant, et je crois même que ce projet, à long terme, contribuera davantage à la solution des graves problèmes auxquels nous sommes confrontés ici sur Terre que beaucoup d'autres projets d'aide potentiels qui sont débattus et discutés année après année, et qui sont si lents à produire des résultats tangibles. Avant d'essayer de décrire plus en détail comment notre programme spatial contribue à la solution de nos problèmes terrestres, je voudrais raconter brièvement une histoire supposée vraie, qui peut aider à soutenir l'argument. Il y a environ 400 ans, vivait un comte dans une petite ville d'Allemagne. Il était l'un des comtes bénins, et il a donné une grande partie de ses revenus aux pauvres de sa ville. C'était très apprécié, car la pauvreté était abondante à l'époque médiévale et il y avait des épidémies de peste qui ravageaient fréquemment le pays. Un jour, le comte rencontra un homme étrange. Il avait un établi et un petit laboratoire dans sa maison, et il travaillait dur pendant la journée afin de pouvoir se permettre quelques heures chaque soir pour travailler dans son laboratoire. Il a broyé de petites lentilles à partir de morceaux de verre; il a monté les lentilles dans des tubes, et il a utilisé ces gadgets pour regarder de très petits objets. Le comte était particulièrement fasciné par les minuscules créatures que l'on pouvait observer avec le fort grossissement, et qu'il n'avait jamais vues auparavant. Il invita l'homme à déménager avec son laboratoire au château, à devenir membre de la maison du comte, et à consacrer désormais tout son temps au développement et au perfectionnement de ses gadgets optiques en tant qu'employé spécial du comte. Les habitants de la ville, cependant, se sont mis en colère lorsqu'ils ont réalisé que le comte gaspillait son argent, comme ils le pensaient, dans une cascade sans but. "Nous souffrons de ce fléau", dirent-ils, "alors qu'il paie cet homme pour un passe-temps inutile !" Mais le comte est resté ferme. "Je vous donne tout ce que je peux me permettre", a-t-il dit, "mais je soutiendrai également cet homme et son travail, car je sais qu'un jour quelque chose en sortira!" En effet, quelque chose de très bon est sorti de ce travail, et aussi d'un travail similaire fait par d'autres à d'autres endroits : le microscope. Il est bien connu que le microscope a contribué plus que toute autre invention au progrès de la médecine, et que l'élimination de la peste et de nombreuses autres maladies contagieuses de la plupart des régions du monde est en grande partie le résultat d'études rendues possibles par le microscope. Le comte, en conservant une partie de son argent de poche pour la recherche et la découverte, a contribué bien plus au soulagement de la souffrance humaine qu'il n'aurait pu contribuer en donnant tout ce qu'il pouvait épargner à sa communauté pestiférée. La situation à laquelle nous sommes confrontés aujourd'hui est similaire à bien des égards. Le président des États-Unis dépense environ 200 milliards de dollars dans son budget annuel. Cet argent va à la santé, à l'éducation, au bien-être, à la rénovation urbaine, aux autoroutes, au transport, à l'aide étrangère, à la défense, à la conservation, à la science, à l'agriculture et à de nombreuses installations à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Environ 1,6% de ce budget national a été alloué à l'exploration spatiale cette année. Le programme spatial comprend le projet Apollo et de nombreux autres projets plus petits dans les domaines de la physique spatiale, de l'astronomie spatiale, de la biologie spatiale, des projets planétaires, des projets de ressources terrestres et de l'ingénierie spatiale. Pour rendre cette dépense pour le programme spatial possible, le contribuable américain moyen avec un revenu de 10 000 dollars par an paie environ 30 dollars d'impôts pour l'espace. Le reste de ses revenus, 9 970 dollars. Vous demanderez probablement maintenant : « Pourquoi ne prenez-vous pas 5, 3 ou 1 dollar sur les 30 dollars de l'espace que le contribuable américain moyen paie, et n'envoyez-vous pas ces dollars aux enfants affamés ? Pour répondre à cette question, je dois expliquer brièvement comment fonctionne l'économie de ce pays. La situation est très similaire dans d'autres pays. Le gouvernement se compose d'un certain nombre de départements (intérieur, justice, santé, éducation et bien-être, transports, défense et autres) et de bureaux (National Science Foundation, National Aeronautics and Space Administration et autres). Tous préparent leurs budgets annuels en fonction des missions qui leur sont assignées, et chacun d'eux doit défendre son budget contre un examen extrêmement sévère par les commissions du Congrès, et contre une forte pression d'économie de la part du Bureau du Budget et du Président. Le budget de l'Administration nationale de l'aéronautique et de l'espace ne peut naturellement contenir que des postes directement liés à l'aéronautique et à l'espace. Si ce budget n'était pas approuvé par le Congrès, les fonds qui lui sont proposés ne seraient pas disponibles pour autre chose ; ils ne seraient tout simplement pas prélevés sur le contribuable, à moins que l'un des autres budgets n'ait obtenu l'approbation d'une augmentation spécifique qui absorberait alors les fonds non dépensés pour l'espace. Vous vous rendez compte à partir de ce bref discours qu'un soutien aux enfants affamés, ou plutôt un soutien en plus de ce que les États-Unis contribuent déjà à cette très noble cause sous forme d'aide étrangère, ne peut être obtenu que si le ministère compétent soumet une ligne budgétaire article à cet effet, et si cet article est ensuite approuvé par le Congrès. Vous pouvez maintenant me demander si je serais personnellement favorable à une telle démarche de notre gouvernement. Ma réponse est un oui catégorique. En effet, cela ne me dérangerait pas du tout si mes impôts annuels étaient augmentés d'un certain nombre de dollars dans le but de nourrir des enfants affamés, où qu'ils vivent. Je sais que tous mes amis ressentent la même chose. Cependant, nous ne pouvions pas donner vie à un tel programme simplement en renonçant à faire des plans de voyages vers Mars. Au contraire, je crois même qu'en travaillant pour le programme spatial, je peux apporter une contribution au soulagement et à la solution éventuelle de problèmes aussi graves que la pauvreté et la faim sur Terre. Deux fonctions sont à la base du problème de la faim : la production de nourriture et la distribution de nourriture. La production alimentaire par l'agriculture, l'élevage de bétail, la pêche en mer et d'autres opérations à grande échelle est efficace dans certaines parties du monde, mais gravement déficiente dans de nombreuses autres. Par exemple, de vastes étendues de terres pourraient être bien mieux utilisées si des méthodes efficaces de contrôle des bassins versants, d'utilisation d'engrais, de prévisions météorologiques, d'évaluation de la fertilité, de programmation des plantations, de sélection des champs, d'habitudes de plantation, Le meilleur outil pour l'amélioration de toutes ces fonctions est sans aucun doute le satellite artificiel de la Terre. Faisant le tour du globe à haute altitude, il peut masquer de vastes étendues de terre en peu de temps; il peut observer et mesurer une grande variété de facteurs indiquant l'état et l'état des cultures, du sol, des sécheresses, des précipitations, de la couverture de neige, etc., et il peut transmettre ces informations par radio aux stations au sol pour une utilisation appropriée. Il a été estimé que même un système modeste de satellites terrestres équipés de ressources terrestres, de capteurs, travaillant dans le cadre d'un programme d'améliorations agricoles mondiales, augmentera les récoltes annuelles d'un équivalent de plusieurs milliards de dollars. La distribution de la nourriture aux nécessiteux est un problème complètement différent. La question n'est pas tant une question de volume d'expédition, c'est une question de coopération internationale. Le dirigeant d'une petite nation peut se sentir très mal à l'aise à l'idée de voir de grandes quantités de nourriture expédiées dans son pays par une grande nation, simplement parce qu'il craint qu'en plus de la nourriture, il puisse également y avoir une importation d'influence et de puissance étrangère. Je crains qu'un soulagement efficace de la faim ne viendra pas avant que les frontières entre les nations soient devenues moins conflictuelles qu'elles ne le sont aujourd'hui. Je ne crois pas que le vol spatial accomplira ce miracle du jour au lendemain. Cependant, le programme spatial est certainement parmi les agents les plus prometteurs et les plus puissants œuvrant dans ce sens. Permettez-moi seulement de vous rappeler la récente quasi-tragédie d'Apollo 13. Lorsque le moment de la rentrée cruciale des astronautes a approché, l'Union soviétique a interrompu toutes les transmissions radio russes dans les bandes de fréquences utilisées par le projet Apollo afin d'éviter tout interférences, et des navires russes se sont postés dans les océans Pacifique et Atlantique au cas où un sauvetage d'urgence deviendrait nécessaire. Si la capsule de l'astronaute avait atterri près d'un navire russe, les Russes auraient sans aucun doute consacré autant de soin et d'efforts à leur sauvetage que si des cosmonautes russes étaient revenus d'un voyage dans l'espace. Si les voyageurs spatiaux russes devaient un jour se trouver dans une situation d'urgence similaire, les Américains feraient de même sans aucun doute. Une production alimentaire accrue grâce à des enquêtes et des évaluations depuis l'orbite, et une meilleure distribution alimentaire grâce à l'amélioration des relations internationales, ne sont que deux exemples de l'impact profond du programme spatial sur la vie sur Terre. et je Je voudrais citer deux autres exemples : la stimulation du développement technologique et la génération de connaissances scientifiques. Les exigences de haute précision et d'extrême fiabilité qui doivent être imposées aux composants d'un engin spatial voyageant sur la Lune sont totalement sans précédent dans l'histoire de l'ingénierie. Le développement de systèmes répondant à ces exigences sévères nous a fourni une opportunité unique de trouver de nouveaux matériaux et méthodes, d'inventer de meilleurs systèmes techniques, de fabriquer des procédés, d'allonger la durée de vie des instruments, et même de découvrir de nouvelles lois de la nature. Toutes ces connaissances techniques nouvellement acquises sont également disponibles pour une application aux technologies liées à la Terre. Chaque année, environ un millier d'innovations techniques générées dans le cadre du programme spatial se retrouvent dans notre technologie terrestre où elles conduisent à de meilleurs appareils de cuisine et équipements agricoles, de meilleures machines à coudre et radios, de meilleurs navires et avions, de meilleures prévisions météorologiques et avertissements de tempête, de meilleurs communications, de meilleurs instruments médicaux, de meilleurs ustensiles et outils pour la vie quotidienne. Vraisemblablement, vous demanderez maintenant pourquoi nous devons d'abord développer un système de survie pour nos astronautes voyageant sur la Lune, avant de pouvoir construire un système de capteur de lecture à distance pour les patients cardiaques. La réponse est simple : des progrès significatifs dans la résolution de problèmes techniques ne sont souvent pas réalisés par une approche directe, Les vols spatiaux jouent sans aucun doute exactement ce rôle. Le voyage vers Mars ne sera certainement pas une source directe de nourriture pour les affamés. Cependant, cela conduira à tellement de nouvelles technologies et capacités que les retombées de ce projet à elles seules vaudront plusieurs fois le coût de sa mise en œuvre. Outre le besoin de nouvelles technologies, il existe un grand besoin continu de nouvelles connaissances fondamentales dans le domaine des sciences si nous souhaitons améliorer les conditions de la vie humaine sur Terre. Nous avons besoin de plus de connaissances en physique et chimie, en biologie et physiologie, et tout particulièrement en médecine pour faire face à tous ces problèmes qui menacent la vie de l'homme : faim, maladie, contamination des aliments et de l'eau, pollution de l'environnement. Nous avons besoin de plus de jeunes hommes et femmes qui choisissent la science comme carrière et nous avons besoin d'un meilleur soutien pour les scientifiques qui ont le talent et la détermination de s'engager dans des travaux de recherche fructueux. Des objectifs de recherche stimulants doivent être disponibles et un soutien suffisant pour les projets de recherche doit être fourni. Encore une fois, le programme spatial avec ses merveilleuses opportunités de s'engager dans des études de recherche vraiment magnifiques sur les lunes et les planètes, la physique et l'astronomie, la biologie et la médecine est un catalyseur presque idéal qui induit la réaction entre la motivation pour le travail scientifique, les opportunités d'observation passionnantes phénomènes naturels et le soutien matériel nécessaire pour mener à bien l'effort de recherche. De toutes les activités dirigées, contrôlées et financées par le gouvernement américain, le programme spatial est certainement l'activité la plus visible et probablement la plus débattue, bien qu'il ne consomme que 1,6 % du budget national total, et 3 pour mille (moins d'un tiers de 1 pour cent) du produit national brut. Stimulant et catalyseur du développement des nouvelles technologies et de la recherche en sciences fondamentales, il n'a d'équivalent dans aucune autre activité. A cet égard, on peut même dire que le programme spatial reprend une fonction qui, depuis trois ou quatre mille ans, était le triste apanage des guerres. Combien de souffrances humaines peuvent être évitées si les nations, au lieu de rivaliser avec leurs flottes de largage de bombes d'avions et de fusées, rivalisent avec leurs vaisseaux spatiaux voyageant sur la lune ! Cette compétition est pleine de promesses de brillantes victoires, mais elle ne laisse aucune place au sort amer des vaincus, qui n'engendre que vengeances et nouvelles guerres. Bien que notre programme spatial semble nous éloigner de notre Terre et nous diriger vers la lune, le soleil, les planètes et les étoiles, je crois qu'aucun de ces objets célestes ne recevra autant d'attention et d'étude de la part des scientifiques de l'espace que notre Terre. Elle deviendra une Terre meilleure, non seulement grâce à toutes les nouvelles connaissances technologiques et scientifiques que nous appliquerons à l'amélioration de la vie, mais aussi parce que nous développons une appréciation beaucoup plus profonde de notre Terre, de la vie et de l'homme. La photographie que je joins à cette lettre montre une vue de notre Terre vue d'Apollo 8 lorsqu'elle a orbité autour de la lune à Noël 1968. De tous les nombreux résultats merveilleux du programme spatial jusqu'à présent, cette image est peut-être la plus importante. . Cela nous a ouvert les yeux sur le fait que notre Terre est une île magnifique et très précieuse dans un vide illimité, et qu'il n'y a pas d'autre endroit où vivre que la fine couche superficielle de notre planète, bordée par le néant sombre de l'espace. Jamais auparavant autant de personnes n'avaient réalisé à quel point notre Terre est limitée et à quel point il serait périlleux de modifier son équilibre écologique. Depuis que cette image a été publiée pour la première fois, des voix se font de plus en plus fortes pour avertir des graves problèmes auxquels l'homme est confronté à notre époque : la pollution, la faim, la pauvreté, la vie urbaine, la production alimentaire, le contrôle de l'eau, surpopulation. Ce n'est certainement pas par hasard que nous commençons à voir les énormes tâches qui nous attendent à une époque où la jeune ère spatiale nous a fourni le premier bon aperçu de notre propre planète. Heureusement, l'ère spatiale ne nous offre pas seulement un miroir dans lequel nous pouvons nous voir, elle nous fournit également les technologies, le défi, la motivation et même l'optimisme pour entreprendre ces tâches avec confiance. Ce que nous apprenons dans notre programme spatial, je crois, confirme pleinement ce qu'Albert Schweitzer avait à l'esprit lorsqu'il a dit : « Je regarde l'avenir avec inquiétude, mais avec bon espoir. » Mes meilleurs voeux seront toujours avec vous et avec vos enfants. Très sincèrement vôtre, Ernst Stühlinger Directeur associé pour la science =-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=- Source : https://lettersofnote.com/2012/08/06/why-explore-space/0 point
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Bonjour a tous. Comme la question de l'organisation sur le terrain a été évoquée, voici ma modeste contribution si cela peut aider. Une sacoche banane aménagée avec de la mousse pour ranger ses oculaires ( plus d'autres bricoles) Pour un ES 24mm 68°, un APM 15 mm 65°, un Sky Optics 7mm 82°, et un futur Sky Optics 4 mm 82°. Les poches de devant me permet d'y loger une barlow et des filtres. Porté en bandoulière et roule ma poule. Avantages: mes oculaires sont toujours sur moi, sont a l'abris (buée, chocs ou autres ) et facilement accessibles. Inconvénients: nombre et taille d'oculaires limité. Si j'en échange un, peut être refaire tous ou parti de la mousse pour l'adapté. Merci a tous.0 point
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