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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 06/19/23 dans toutes les zones
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Bonjour à tous, Je suis comme vous tous, les perturbations météo actuelles me pèsent beaucoup. J’espère que nous allons faire quelque chose d’efficace pour que ce climat pourri ne s’installe pas définitivement ? Donc j’ai profité d’un séjour au col de Restefond (2700m) pour aller chercher les étoiles au dessus des orages. Vous trouverez ci-joint un compte rendu avec des remarques en rouge qui méritent des réponses de la part de l’équipe de Memstar. En espérant faire avancer le « schmilblick »….. A2Ksky Retour d'Expériences.pdf4 points
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DEUX JOYAUX DU CIEL D'ETE (OU D'HIVER AUSTRAL...) Bonjour à tous, Voici deux dessins effectués cette semaine au C11. Ce sont deux joyaux du ciel que j'aime voir et revoir sans cesse remis à l'ordre du jour. D'abord, Messier 5, splendide amas globulaire de la constellation du Serpent : le coeur de l'amas est dense et compact. Les chaînes d'étoiles se multiplient au fur et à mesure que l'on grossit. A 300x, ce fut sublime, certes, mais difficile à reproduire sur le papier, après une journée de travail !! J'ai donc opté pour un grossissement moindre : 164x Il est tard, alors, et le Sagittaire ne cesse de se rapprocher du zénith. Tel un rituel, à cette époque de l'année, je ne résiste pas à revoir cette fameuse nébuleuse dit du trèfle : 5 étoiles furent visibles au coeur de la nébuleuse. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui après un joli week end aux Makes, tandis que l'observatoire de Paris utilisait en live le télescope de 60cm du site, afin de visualiser...un astéroide ! De belles explications de la part du personnel de ce fameux site réunionnais. Et une petite photo du ciel éclatant au petit matin... A bientôt tout le monde ! Et bon ciel ! Gildas2 points
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Bonjour! Une belle période météo qui a le bon goût de se prolonger, avec une lunaison favorable, pour la recherche des objets du ciel profond... je n'ai profité que de deux belles nuits au mois de juin l'an passé pour découvrir les merveilles du Sagittaire , avec des conditions correctes d'observation. Une tentative au tout début du mois de juin cette année m'a plutôt déprimé, quand j'ai eu à l'oculaire une triste nébuleuse de la Lagune , toute palotte et délavée...😢 Et je décide que " je mérite mieux"!!!....mais il faut donc faire plus de route, pour s'eloigner au mieux possible du grand halo lumineux bruxellois... Une bonne heure de voiture , vers les Ardennes belges. m'amène à trouver un joli site assez bien dégagé , qui se mérite.... accès final via 500 mètres de route terreuse avec cratères lunaires... c'est ok en roulant doucement et la lunette 100ED est bien bordée et sanglée sur la banquette arrière dans son sac geoptik. (pas idéal par contre pour un télescope..) je m'installe, en appréciant le silence total de ce coin de campagne,la nuit tombe doucement, il faudra patienter avant d'espérer voir la voie lactée un 13 juin... Quelques passages de véhicules sur des routes proches en fin de soirée, pas d'éclairage public gênant ; deux lampadaires lointains s'eteindront de toute façon vers 23h30... La nuit s'epaissit, les amours rauques des chevreuils d'un petit bois voisin ont pris le relais des concerts batraciens du début du printemps. Je sursaute un peu au passage proche d'un grand oiseau de nuit... hululements lointains...la nature nocturne est à moi!.... J'ai décidé de privilégier donc la région du Sagittaire, et je suis surtout intriguée par une faible tâche blanche laiteuse , observée aux jumelles bas sur l' horizon , lors d'une soirée préalable de repérage. avec l'espoir que ce soit M 6 , un des grands amas ouverts au dessus de la queue du scorpion. En attendant la nuit la plus noire possible(vers 1h du matin ), je me fait un petit hors d'oeuvre de globulaires...( M 12, M5, M3,M13 et M92)... La voie lactée apparaît doucement,ainsi que le flocon lumineux du canard sauvage M11; je commence à distinguer deux bandes blanchâtres et avec petit tour d'inspection aux jumelles, le nuage M24, dévoile un fond un peu nébuleux, sous les " mouchetures étoilées"...somptueux! Comme tout devient plus facile avec un bon ciel!! Passage aux jumelles aussi sur M 51 et M104, galaxie du sombrero, qui file vers l'horizon ouest, elles sont bien visibles toutes les deux! C'est plutôt bon signe.. Je balaye maintenant l'horizon avec les jumelles pour retrouver ma tâche laiteuse...je n'ai pas trop d'espoir , vu la présence d'un horizon sud arboré.. Une fois repérée, il faut la retrouver dans le chercheur, moins lumineux que mes jumelles...je tâtonne, et j'y arrive!... je réalise que j'aurais dû abaisser le trépied de ma lunette! ...Je vais devoir observer sur la " pointe des pieds"...😉 Tant pis!... Je ne veux pas perdre ma précieuse tâche floue...et je passe à l'oculaire 24 mm.. C'est bien lui. !!...M6 l'amas du papillon !! Que je suis contente! .. je le reconnais, ayant bien potassé mon " Gilis", bible du ciel profond, en préparant ma soirée. Il n'est évidemment pas très spectaculaire à cette latitude, mais je suis heureuse de l' ajouter à mon tableau de chasse....( aux papillons...) Enhardie par cette belle découverte, pourquoi ne pas tenter M 7? Et là, c'est ma " nuit de chance".... Tâche blanche très vague plus bas juste au dessus des arbres aux jumelles. j'abaisse le trépied, la lunette est presque à l'horizontale, et je peux contempler Messier 7.... @Gildas974 avec sa Taka doit en avoir une vue beaucoup plus flatteuse dans son ciel austral....mais je suis contente de ce que j'arrive à voir dans mon ciel du nord!.... La " théière" du Sagittaire est bien visible sur l' horizon, le " pchitt" vapeur de M8 la lagune.. Je ne sais plus où " donner de ma lunette"...les Messiers défilent...les apprécier dans un bon ciel!!.. Je me sens mûre pour le marathon!!...😉 L'heure tourne hélas, j'ai eu le temps de refaire neanmoins tout le parcours de la lagune jusque M 16.. La voie lactée pâlit doucement ; je décide de traîner un peu pour admirer la magnifique conjonction du croissant de lune rosé,qui émerge de l'horizon vers 3h30, avec Jupiter. Un petit tour sur Saturne , qui monte dans le ciel et offre une image moins" turbulente": je suis frappée par le changement aussi important de l'inclinaison du plan des anneaux par rapport à l'an passé ; la division de Cassini se devine encore ,fin petit trait noir juste dans les anses... Et c'est la route du retour,... prudence bien sûr, même si une longue carrière de travail de nuit m'a donné une bonne aptitude à la vigilance et la résistance au sommeil... Quelle belle nuit!!... La plus belle de la semaine , j'en ai bien profité ! Me voici " calmée" pour un petit moment...😉 Maintenant les orages du sud peuvent venir !!!...1 point
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Bonjour, Sacré activité ce jour,... J'ai d'abord commencé avec le Quark Daystar sur la Bresser 150/1200 et ASI 432 MM et ensuite j'ai monté le Sol'Ex sur la TS 60/360 et ASI 178 MM, mais avec l'arrivée des nuages, j'ai pas eu le temps de peaufiner l'image et ça se voit. Mais ça permet quand même d'avoir une vision d'ensemble. Synthèse des meilleures prises avec 3 planches. Bon ciel à tous Philippe1 point
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Un jour ils finiront par expliquer que la Terre est plate justement parce qu'elle est ronde !1 point
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Salut, C'est parce que bcp sur le forum ont été formés comme moi à l'école ancienne et c'est normal vu la moyenne d'âge des astrams... Ceux qui ont débuté l'astronomie amateur voici 5 ans en utilisant uniquement des montures automatisées et pratiquant uniquement l'imagerie (il y en a quand même pas mal maintenant des certains clubs/assos) ne veulent pas forcément apprendre et connaître le ciel, mais juste imager et passer du temps à traiter leurs images (c'est un choix). De même que comme précisé, les matériels connectés ont trouvé leur public et c'est une autre pratique de l'astronomie amateur.1 point
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Ce genre de discours m'agace parce que c'est très exagéré. Par exemple quand le pointage automatique est arrivé, avec notamment la monture SkySensor, on en disait du bien et ça faisait rêver. À la grande époque où Meade puis Celestron ont démocratisé le pointage automatique, la plupart des gens n'avaient rien contre (on ne va quand même pas donner de l'importance à un ou deux hurluberlus qui disaient n'importe quoi). Dans le club où j'étais à l'époque, il y avait plusieurs personnes équipées de pointage automatique et jamais personne n'en a dit du mal. Sur les forums d'alors (je fréquentais fr.sci.astro à la fin des années 90, puis Skylink, puis Astrosurf à partir de 2002) il y avait des débats, c'est vrai, je me souviens de quelqu'un disant qu'utiliser un « goto », c'est comme aller au Mont Blanc en hélicoptère au lieu de faire tout le chemin... mais c'était vrai ! Il y a toujours des irréductibles, mais peu nombreux et, en général, ils parlent pour eux, ils ne généralisent pas. Pour l'arrivée de la CCD, pareil : ça faisait rêver (et moi le premier). Oui, la revue Astro Ciel avait tendance àenvoyer quelques piques (ils étaient à fond derrière la vidéo astro), mais c'était pas méchant. Ce qui a fait réagir avec ces nouveaux télescope (Unistellar, Vaonis...) ça a été la publicité tapageuse. Je ne me souviens pas avoir vu de messages dénigrant cette façon de pratiquer l'astronomie en général (par contre il y a des gens qui ont dit que ce n'était pas pour eux, mais ça c'est normal). Ce sont les publicités trompeuses qui ont alimenté de sacrés débats (« c'est équivalent à un télescope de 1 mètre de diamètre », « extraordinaire : on a détecté Pluton en pleine ville », etc.). Je trouve ça bien, les débats, surtout quand ça permet de contrer les discours trompeurs de la publicité. Mais ce qui m'agace le plus, c'est la technophilie abusive. J'ai lu, réellement, des gens nous expliquer que dans dix ou vingt ans, tout le monde utilisera ces appareils. Je n'aime pas qu'on décide à ma place de ce que je ferai plus tard. Et je sais que c'est faux car on parle de loisirs, donc de plaisir : il y a encore des gens qui aiment faire de la marche à pied ou du vélo (non motorisé), alors qu'on a inventé les voitures, et il y a encore des gens qui continuent à pointer à la main. Dans cinquante ans (si la civilisation ne s'est pas effondrée), il y aura toujours des gens qui utiliseront des télescopes classiques à la main parce que c'est ça qui leur fera plaisir. Et puis c'est souvent le discours un peu parano de certains défenseurs des télescopes connectés (« tout le monde était contre », « personne n'y croyait », etc.) qui braque, plus que les critiques de ces appareils. Pourquoi ramener ça ? Aujourd'hui, les télescopes automatisés d'Unistellar et Vaonis ont trouvé leur public, apparemment ils ont du succès dans le Monde entier. Bon, ça ne s'est pas encore démocratisé (argh le prix), mais ce n'est que le début. Bref : tout va bien, tout le monde se fait plaisir, et s'il faut relancer un débat, je suis prêt (j'aime bien les débats ).1 point
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Première lumière de ma toute nouvelle Hypercam 533 monochrome refroidie. Le temps d'exosition total est de 10min chrono pour 16sec unitaire. Darks et flats. Sans aucune retouche. M101 Puis en ciel hyper profond ( c'est pour ça que j'ai choisi cette cam) Abell 2151 à 500 millions d'années lumière Et enfin Abell 2065 de la couronne boréale à 1 milliard d'années lumière.1 point
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Lu bien sûr, et relue, toujours utiles les informations, pour moi c’est bon. Une idée, pourquoi pas un tuto sur YouTube. Maintenant j’aimerais que le soir le ciel s’éclaircisse …1 point
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Bonjour ! Enfin du beau et ça tombe bien pour mes premiers essais d'une modif Lunt 50 sur lunette 100/700. C'est finalement moins compliqué à monter que ce que je pensais et l'impression 3D permet de faire des bidouilles avant usinage de vraies bagues en alu ! Tout d'abord un soleil avec ma fidèle Lunt 60 + ASI174 histoire de ne pas être bredouille... Puis la première image de cette modif à la 174 au foyer Et les dernières images (de la session) avec barlow X2 + ASI 290 et crop pour éliminer les contours un peu flous.. Traitement AS3!, RS6 et Pixinsight Je m'auto-valide le truc, reste plus qu'à fignoler le montage un peu olé olé... Jean-Marc0 point
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Bonjour à tous je crois que je me suis déjà présenté à l’occasion j’espère ne pas me tromper j’ai procédé à l’essai du geoptik nadirus sans encodeur la précision me semble très bonne puisqu’elle est entre 30 et 36’’ (référence au diamètre lunaire) avec alignement sur une étoile utilisation sur un dobson 203 1200 oculaire 25mm important: bien horizontaliser la base !! Mon premier essai sans ce réglage donnait des résultats très mauvais a noter que le push to oriente toujours vers le bas de l’astre. Y a t il une cause particulière ? par ailleurs j’ai le nexus II avec ses encodeurs, j’hésite par flemme à l’installer. Savez vous si sa précision est meilleure ? le nadirus est tellement simple d’installation et d’usage petits problèmes avec l’alignement (sur une étoile) qui ad’ffiche des messages d’erreur et puis tout a marche je ne sais pas pourquoi mais je débute bonne année à tous paul0 point
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Escapade espagnole en vue de l’éclipse solaire de 2026 C’est le vendredi 9 juin, à 5h15 du matin, que nous décidons de prendre la route vers l’Espagne avec Denis, Joël, Chara et moi-même, afin de faire du repérage pour l’éclipse solaire totale de 2026. La zone de centralité allant d’ouest en est, d’Oviedo à Castello de la Plana, est visible sur la carte ci-dessous. L’éclipse totale se verra sur la zone entre les traits bleus, le maximum étant sur la ligne rouge. La préparation consiste à contacter tous les campings présents entre Burgos et Soria, lieux les plus proches de Bordeaux en terme de kilomètres routiers, en tentant de se rapprocher le plus possible de la ligne rouge. Le premier à nous répondre est le camping el Concurso près d'Abejar, à gauche de Soria. Les autres ont répondu un peu plus tard. Partis de Bordeaux en ligne directe par l'A63, il nous faut deux heures pour atteindre la frontière à Irun (Behobi) au Pays Basque. Une fois la frontière franchie, première pause à 7h15 pour un café et un changement de conducteur. Puis nous prenons la direction de San Sebastian car, ma première idée est d'aller à Burgos et de redescendre vers Soria. Cependant, le mail du camping d'Abejar me parut tellement sympathique que je décide qu'ils auraient la primeur de notre visite. On décide donc de dévier vers Logrono dans la région La Rioja. Puis direction Soria en Castillon-et-Leon avant de bifurquer juste avant vers la gauche en direction d'Abejar. A 9h45, nous faisons une halte dans une station service... la voiture a faim ! Puis nouvelle halte à 11h30 pour une pause café et casse-croûte. La région est très vallonnée, on a l'impression de monter et descendre en permanence. Denis est gêné car ses oreilles se bouchent. Nous passons je ne sais combien de tunnel dont le plus long fait 5 km de long. Nous montons jusqu'à une altitude de 1.700 mètres pour tomber sur des travaux de réfection assez importants sur des routes de stations de ski. Un ouvrier nous arrête et nous parle en espagnol. Il ne parle ni anglais, ni français. Je tente d'utiliser mon traducteur sur le téléphone, mais à cet endroit, pas d'internet. Notre premier contact avec un Espagnol et la barrière de la langue s'impose à nous brutalement. Mais l'ouvrier finit par nous faire comprendre avec des mots simples et des gestes, que la route était en travaux sur une sacré longueur et qu'il faut rouler doucement. Après l'avoir remercier, nous repartons tout doucement... impossible d'aller plus vite car, effectivement, la route est bien défoncée. De gros engins travaillent, parfois pour défoncer le bitume, parfois pour le refaire... et sur environ un kilomètre de distance. C'est avec soulagement que nous quittons cette zone bien chaotique et reprenons notre route. Peu de temps après, vers 12h30, nous arrivons au camping qui est assez simple à trouver. Pour moitié, il est rempli de mobilhomes et de caravanes qui stationnent à l'année. Certaines ont des auvents, la plupart des carports. Très peu sont occupés en ce début du mois de juin mais il y a quand même quelques vacanciers. L'autre moitié du camping se sépare en emplacement tentes et camping-car. Et puis, répartis ça et là, quelques bungalows en bois. Nous avançons vers l'accueil où une charmante jeune femme nous demande le but de notre visite. Joël, en utilisant la langue de Shakespeare, lui explique qu'on vient pour voir les logements que le camping peut nous proposer. Elle le comprenait mais on voit que son anglais est primitif. Je lui montre sur mon téléphone notre échange par courriel et elle semble nous remettre. Elle nous donne quelques papiers dont le plan du camping et nous montre deux rangées de bungalows tout au fond du site, du côté du camping appelé "le mirador". Elle désigne une dame qui va nous servir de guide pour aller les visiter. Nous grimpons alors en pente douce vers ce fameux mirador... quelques minutes de marche et voilà l'alignement des bungalows devant nous. Il y a en de plusieurs sortes mais ceux qui nous intéressent le plus, sont les 6 places. La dame ne parle ni anglais, ni français. Mais jusque là, nous n'avons pas beaucoup d'échanges verbaux, uniquement des gestes et des sourires. Elle nous fait visiter un bungalow qui nous convient parfaitement. Apparemment il y a en bien plus que ce dont nous avons besoin. Nous tentons de lui expliquer, via l'application de traduction, que nous souhaitons réserver pour dans 3 ans et lui en expliquons aussi la raison. Elle semble comprendre la démarche, nous dit que des observateurs d'étoiles viennent souvent chez eux car le ciel est très bon. La vue est imprenable ici, c'est vrai mais l'horizon ouest est bouché par de grands arbres. Alors elle nous montre un château d'eau au loin, plein sud, de l'autre côté de la route. Elle nous dit que c'est là que les observateurs des étoiles vont souvent. Puis un homme arrive en voiture. Il semble s'occuper de l'entretien. Mais en fait il s'agit du patron et, au miracle, il comprend un petit peu le français. Quand nous lui expliquons nous intention de réserver pour dans 3 ans, il nous demande de redescendre à l'accueil pour voir cela sur l'ordinateur. En quelques minutes, nous revoilà à l'accueil. Le patron nous explique en mi-français mi-espagnol qu'il peut faire la réservation. J'indique donc qu'il nous faut 7 bungalows de 6 personnes pour deux nuits, celle du mardi 11 et celle du mercredi 12 août 2026. Il faut répéter plusieurs fois, histoire de ne pas se tromper. Je lui tends une carte du club afin qu'il ait toutes les coordonnées. Il tente de nous expliquer que le prix indiqué aujourd'hui ne sera pas forcément le même dans 3 ans. Bien sûr on comprend. Il me tend alors un papier où notre réservation paraît en toutes lettres. Je l'avertis qu'il risque d'avoir d'autres demandes d'ici quelques mois pour la même raison. De ce fait, je souhaite payer un acompte et je dégaine la carte bleue. Mais il refuse. Il préfère attendre janvier 2026 pour ce genre de paiement. Par contre, il nous assure que les bungalows seront bien réservés pour notre groupe. Nous repartons rassurés concernant le logement. Maintenant il s'agit de voir où observer. Nous reprenons la voiture en direction de ce château d'eau. Il faut entrer dans le village d'Abejar et suivre le site touristique "Torre de Abejar". La route se transforme vite en chemin qui passe à travers un lotissement qui semble plutôt récent. On gare la voiture tout près du château d'eau. En allant vers l'ouest, nous constatons que la "Torre de Abejar" n'est plus que ruine éparse assez basse. L'image d'une ancienne tour se devine à peine. Par contre, de gros tas de bois sont entreposés de ci de là et quelques cabanons semblent être la demeure de meutes de chiens de chasses. Un homme arrive et commence à actionner la serrure d'un des cabanons. Avec Joël et Denis, nous l'approchons rapidement pour le questionner sur le lieu. Là encore, l'espagnol ne parle ni anglais ni français, alors nous dégainons l'application. Il est très accueillant et souriant, ce qui nous rassure sur la collaboration. On lui explique dans un premier temps ce que nous sommes venus faire ici. Nous lui demandons si le site est public ou privé. Il nous confirme que c'est bien un site public et touristique ouvert en permanence aux touristes, un peu comme le Mémorial de la Ferme de Richemont où nous observons habituellement. Après moultes remerciements, nous le saluons et il retourne aussitôt à ses occupations. De notre côté, nous faisons le tour du site et une fois derrière les tas de bois, on constate que l'horizon ouest est parfaitement dégagé. Quelques montagnes au loin mais rien de très haut ne seront pas gênantes. Avec l'application Stellarium qui s'adapte aussitôt au lieu, nous avançons le temps jusqu'au 12 août 2026 à 20h15. Nous sommes alors parfaitement rassurés... nous pourrons voir l'éclipse totale sur ce site. Nous continuons à explorer le plateau. Au nord, il y a le camping... on distingue bien les bungalows sous "le mirador". Ce site d'Abejar est l'idéal... nous n'avons pas besoin d'aller plus loin. A 14h15, nous commençons à avoir faim. Je vois sur Google Map qu'il y a une cafétéria juste en bas du village. Nous nous y installons à une table en terrasse car les chiens ne sont pas admis à l'intérieur. Joël et Denis entrent dans l'établissement pour faire leur choix. Puis, à mon tour, je vais passer commande. Au retour, quelques gouttes de pluie commencent à tomber. On se précipite alors avec nos couverts vers la terrasse couverte. A cette heure-ci, personne. Nous serons tranquilles. Nous prenons trois quarts heures pour nous restaurer tranquillement et refaire le point sur nos trouvailles en vu de l'observation de l'éclipse solaire. Un esquimau clôturera la pause. Nous repartons à 15h... nous avons 3h15 de route pour rejoindre la frontière française. Nous empruntons la nationale en direction de Soria, puis remontons au nord vers Pampelune. Nous quittons la Castille et traversons un petit bout de La Rioja où nous faisons la petite pause pour finir le thermo de café, donner la gamelle à Chara et changer de conducteur. Très vite, un panneau nous indique le changement de région... nous sommes en Navarre. Depuis quelques minutes, le paysage très vallonné a fait place à des étendues plutôt plates de terres cultivées entre blé et vigne. Au loin, des cumulo-nimbus gris nous montrent les voiles de pluie et des éclairs qui tranchent sur le fond sombre des nuages d'orage. Nous allons droit dessus, ce que nous confirment les voitures que nous croisons tous phares allumés. Et bien sûr, on n'y coupe pas. Très vite, nous nous retrouvons sous une pluie battante, éclairs et tonnerre se disputant la vedette. Nous réduisons la vitesse de 120 à presque 60 par moment... Cet épisode dure un petit moment, ce qui rallonge notre temps de route. Nous finissons par arriver à Pampelune et, très vite, tout proche de la frontière française à Behobi, un village "ventas" proche d'Irun. Il est presque 19h. Nous décidons de faire une pause repas. Mais avant, nous profitons des magasins encore ouverts pour acheter quelques spécialités du coin. Pour le dîner, nous allons chez Sergio, une petite brasserie que nous connaissons et où on mange bien et vite. A 20h15, nous voilà à nouveau en voiture... il nous reste deux heures de route qui seront faites d'une traite jusqu'à Bordeaux. Nous refaisons le plein de diesel au niveau de la Rocade et continuons sur l'A62 pour rejoindre la maison à quelques minutes. Joël y retrouve sa voiture et nous quitte avec la promesse de se revoir dès le lendemain pour une partie de pétanque et notre sortie astro. C'est donc bien fatigués que nous repensons à ce périple de plus de 1.000 km en Espagne, nous remémorant cette escapade espagnole en vue de l’éclipse solaire de 2026, avec en poche la promesse d'un logement et d'un site d'observation pour la quarantaine de membres de notre club AG33. Ci-dessous la vidéo résumant le voyage :0 point
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Je continue les essais aves mon " petit " mak 127, mon " vieux " Canon100D et le ciel profond. Ce soir, place à la belle M27. Plutôt content du résultat étant donné le setup. Je crois que pour améliorer encore ça, il faudra que j'investisse dans un nouveau tube et une caméra un peu moins datée ! A suivre. 200x15s + 400x5s + 40Flats / 40offsets / 200 darks. Malgré tout... Quel bruit !0 point
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Bonjour à tous, il y a trois jours, j'en ai profité pour viser NGC5907. Setup: ASI6200MC-Pro en Bin2x2 au foyer primaire de 3910mm du C14 Guidage ASI174mimi sur OAG ZWO Filtre L-PRO 100 poses de 120 Sec traitées sous PI Prétraitement WBPP avec 160 Darks, Bias et 100 Flats j'ai regardé les tutos de Jean-Baptiste Auroux ou j'ai appris énormément et j'ai modifié mon workflow de manière drastique. J'ai appris plein de choses, comme bien utiliser des process que j'utilisais déjà et j'en ai découvert bien d'autres. Tout c'est bien passé mais j'ai toujours des problèmes avec le bruit de FDC, mais je commence à comprendre pourquoi. J'ai jeté un œil sous les statistiques de Siril (merci Colmic) et en fait, je ne suis pas du tout aux 3 Sigma, en premier les stats d'une light: et les stats d'un offset: et je ne suis même pas à 2 pour le sigma! moi et la 6200, nous sommes encore en train de nous apprivoiser, mais faire des poses unitaires de 120 Sec ne suffisent vraiment pas, il faut que je passe au moins à 300 je pense. Voilà, je suis toujours ouvert à vos commentaires/conseils/suggestions a+ Serge0 point
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Ce qui m'inquiète le plus c'est cette histoire d'huile.. J'ai cette 294 depuis septembtre et j'ai pas encore fait la vidange..0 point
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Salut, Pour du lucky imaging , il faut mieux avoir une camera sensible , monochrome , meme si c'est possible avec certaines cameras couleurs. On peut tout tenter mais il faut mieux , en plus, un newton ouvert , f/d 4 , voir 5 , avec un peu de diamètre si possible A f/d 6 ou 7 , un petit diamètre et une camera couleur tu risques d'avoir des difficultés.0 point
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Ah, OK. oui, mais n'oublie pas que je suis à 4M de foc, donc le FDC va mettre beaucoup plus longtemps à monter je pense. En hyperstar, la c'est une autre histoire. Quoiqu'il en soit, quel est le problème de poser à 10 Sigma, tant qu'on ne crame ni étoiles, ni objets? Je me remets à rêver de mes 600 Sec de poses unitaires sur la 11000.🥰 Là y avait du signal c'était "le bon vieux temps" (bon du gradient aussi)! a+ Serge0 point
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déjà 4 ? mais c'est très bien si l'étagement est bon sur ton instrument ! Cela ferait même 5 avec un éventuel fort grossissement en plus, c'est plus que suffisant à mon sens. Je n'en utilise pas tant. Je ne vois donc pas vraiment ce qu'il y aurait à gagner avec 8, si tant est que les 4 existants offrent 4 nouvelles focales utiles (et non doublées) avec une barlow au coefficient multiplicateur favorable. Quelles pupilles de sorties t'offrent tes 4 oculaires actuels sur ton 200 f6 ? A f6, il serait intéressant d'avoir un oculaire autour de 24 à 32mm (en 31.75 ou en 50.8) pour offrir une pupille de 4-5mm (CP et lune grand champs), un autre autour de 12mm pour là encore observer le ciel profond et la lune à plus fort grossissement, un autre autour de 6mm (que tu as déjà avec ton morpheus) pour observer le ciel profond, la lune et les planètes, et pourquoi pas un 4mm environ pour pousser fort les meilleurs soirs sur les planètes, et régulièrement sur la lune si tu le souhaites. Bien sûr il peut y avoir des intermédiaires, mais l'essentiel pourrait être là. Bon choix0 point
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Salut, c'est un concept ou une théorie dont tu as besoin ? Generalement en SF, on prend un bout d'une théorie très exploratoire, on la deforme , on l'applique en dehors des limites ou elle est valide et, en avant Guingamp, on est sur Proxima du centaure en moins de temps qu'il ne faut à LaRochelle pour perdre une finale du Top 14 😁0 point
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très belle prise !! J'aime beaucoup le champ, très très sympas ! Bravo!0 point
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Je fais la mesure sur des images non traitées avec un rapport visé de 3,5. Ca va bien. C'est juste pour obtenir un temps minimal.0 point
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Dont une conséquence, qui me chagrine un peu, mais qui semble inévitable...la raréfaction des séances d'observation visuelle avec les instruments entre membres des clubs... J'ai peu de recul et d'expérience à ce sujet, et cela dépend aussi certainement des clubs, l'essor de l'astrophoto ( ce n'est pas une critique!...) doit aussi y contribuer; mais cela m'attriste un peu de constater que le " visuel" soit souvent discrédité ( on ne voit presque rien, il faut 200mm de diamètre minimum...etc)0 point
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Hello ! Et bien pour ma part, je n'ai toujours pas eu de ciel potable, hormis hier soir, et trop KO pour sortir le 400....0 point
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La nébuleuse de l'haltère au mak, c'est clair que c'est du sport !😄0 point
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Merci Steph 👍 Te file ça demain matin. Temps de pose unitaire : 120s chaque filtre. Pas fait plus long car guidage pas top du tout. Maintenant ça a l'air d'aller mieux. A confirmer dès la prochaine occasion. Filtre Ha Baader 30nm Filtre OIII Optolong 18nm On est donc loin des narrowband à 3nm 🤪 Mais le signal est là, pour le moment je teste avec ces filtres à la portée de ma CB. Merci JM, j'avais même pas remarqué sa présence 🤣 Faut dire pour ma défense que je découvre le monde des nébuleuses, étant les mois précédents plutôt concentré sur les galaxies et les amas 😋0 point
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C'est vrai que l'on ne peut rien contre l'évolution du matériel. Maintenant tout dépend ce que l'on veut pratiquer comme astronomie Notre premier matériel c'est notre œil, et je ressent toujours le même frisson, après plus de 50 ans de pratique d'astronomie, comme au premier jour, lorsque je contemple un ciel étoilé. Alors ceux qui prennent leur pied avec ce type de matériel (tout en un), tant mieux pour eux, mais ce n'est vraiment, mais vraiment pas mon truc et ma conception de l'astronomie d'amateur. Je dois être un vieux "con" rétrograde et passéiste, j'en suis conscient, moi qui suis complètement insensible à ce genre de machin (comparer ce truc avec un tube Takahashi, rien à voir). J'ai commencé la pratique de l'astronomie avec passion par petites touches qui étaient autant de découvertes valorisantes et merveilleuses : reconnaissance du ciel à l'œil, des constellations, des étoiles. Puis après passage aux jumelles avec des séances de joies qui restent encore gravées dans ma mémoire. Enfin utilisation d'un instrument (lunette et télescope, peu importe), et premières observations avec autant de bonnes surprises que d'échecs. Mais peu importe, j'étais encore plus motivé pour continuer. Mais je deviens trop volubile, au point d'en devenir lourd lassant, désolé, c'est la passion qui parle. Alors certes pour ceux qui ne jurent que par la technologie, ce type d'instruments leur correspond, au même titre que le dernier IPhone ou Samsung multi-écrans, multi-capteurs avec une puissance de calcul digne d'un gros ordinateur d'il y a quelques années. D'ailleurs, qu'est ce qui le plus valorisant, utiliser cet instrument ou tout est automatique et en appuyant sur un bouton on a l'image de la galaxie machin chose (avec une magnitude pas trop importante, quand même hein) ou alors une de ces merveilleuses images que l'on peut admirer sur ce forum (ou sur d'autres) ou leur auteur nous permet d'admirer leur très grand savoir faire (durement acquis je pense). Cette fois ci j'arrête, je suis sur que ma dernière remarque a été mainte fois citée depuis que ces ersatz de télescope existent. Oui on n'arrête pas le progrès et ce marché existe. Mais où est le plaisir de notre passion ? Pascal0 point
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Bonsoir Mon Cher DDS, le Savoyard, Merci pour ton message. J'espère qu'un webastram arrivera tôt ou tard (en tout cas avant Noël ) à résoudre enfin cette énigme. Roger le Cantalien.0 point
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Bonjour, Avec ce temps orageux c'est plutôt pourri, mais malgré un voile nuageux il y eu une trouée entre les nuages cet après-midi. Juste le temps de sortir le Sol'Ex mais pas la bazooka (dommage). Belle activité la-haut. ASI 178MM sur Sol'Ex monté sur HeQ5 Pro Acquisition SharpCap traitement INTI et PS Dans l'ordre : Disque plein en Ha, Protus, Image Doppler et en LB Bon ciel à Tous Philippe0 point
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bonsoir à tous, malgré les passages nuageux, j'avais tenté de faire une petite animation vers l'importante protubérance présente vers 17h .... et j'ai eu la surprise de voir qu'elle a disparu très rapidement ! Bon, c'est pas d'une grande qualité à cause des nuages (transparence fluctuante voir inexistante ... et donc perte aussi de l'autoguidage, bien sur) mais c'est quand même sympa de voir la rapidité de son évolution A la fs60 muni de son sm40 double stack, BF10, glasspath x1.7 et zwo178mm entre 17h02 et 18h32 HL Gif à 10 img/s ( 14 Mo ) a+ stéphane0 point
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Bon ça fonctionne à nouveau mais j'ai été obligé de vider l'ordi , réinstaller Windows et maintenant j'ai tous les logiciels à remettre. Je crois que Windows a été édité pour remplir les hôpitaux psy (un après midi pour réinitialiser).0 point
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SBS n'était qu'un label de distributeur. Par contre, quelle était la signification des lettres, cela reste encore un mystère. Pour savoir qui est le constructeur, il faut regarder s'il y a une lettre dans un cercle. A titre d'exemple (pris au hazard) : https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2201754820.htm . On voit sur le porte oculaire un "T" dans le cercle signifiant que c'est un Towa (au passage, je rappelle que Tanzutsu n'est pas une marque mais veut dire "tube court" en japonais. Towa avait sorti une gamme d'instruments avec un tube court à l'époque). Bon Ciel à toutes et tous !0 point
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salut les amis pas de NCN pour moi cette année ;nouveaux job nouvelle vie au plaisir de vous voir l'année prochaine.0 point
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l'eau ici.... coule quoiqu'on fasse. le mieux est de la guider et de ne rien laisser de sensible à moins de 10cm de la dalle. Plus bas dans le jardin c'est 30 cm 😅 Par contre ça sèche, chaque jour quasi toutel'année. Donc pare pluie respirant, 10cm ouverts en bas et grosse ventilation en haut. L'essentiel: pas d'eau directe ou condensée sur le matos (isolation du toit).0 point
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Mille fois oui ! Sauf à se considérer comme une machine, l'important, ce sont les gens. Vous allez rire mais mon ciel est superbe seulement j'y suis bien seul. Un très beau (le meilleur?) ciel : les NCN sans aucun doute. Un normal (ça va pas faire plaisir à quelques copains mais je suis sûr qu'il ne m'en voudront pas) : les NAT. Un pourri pour le CP : les ROS , normal c'est le Soleil. Mais à chaque fois, les amateurs d'astronomie sont là ! Les RAP : un morceau d'histoire ! Bon, il y en a d'autres : Astrociel (que je ne connais pas encore), les RAAGSO, les RPL et encore quelques uns que j'aurai l'occasion de fréquenter : chacun son tour ! Quelle chance nous avons.0 point
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Bonjour, Un moment que je n'avais rien posté sur ce fil. Quelques avancées sur les travaux de ce t300 voient le jours. Tout d'abord un baffle en plaque plastic de séparation de palette trouvé dans une benne chez un fournisseur de matériaux fixé à l'aide de boutons pressions collés sur l'anneau secondaire. Ensuite un passe filtre fait avec les restes de la plaque carbone achetée pour le support du secondaire. Structure en trois épaisseurs avec ressort de centrage pour maintenir les filtres dans la bonne position. Les trous ont été fait à la scie cloche de 44mm et un passage à la fraise de copiage et gabarit ont amené tout ça à 48 mm. Un passage de lime en biais vers l'intérieur permet le vissage du filtre sans avoir besoin de créer un filetage. Les filtres en deux pouces seront à demeure, pour l'instant un UHC et un OIII et dans l'avenir peut-être, un Hbeta. Ils pourront servir avec tout les oculaires sans avoir besoin de visser dévisser, bien pratique! Ne trouvant pas de formica pour les bandes de glissement et la base, je fais des tests sur du sable roulé 1mm noyé dans l'époxy qui ont l'air de donner de bon résultats. Je reviendrais poster quelques photos quand tout ça sera au point. Bon ciel Adrien0 point
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Maire, sur la dissymétrie de la structure triangulée accrochée en partie haute des tourillons, les avantages : - tu réduis la longueur de 4 des 8 tubes (sur version 8 tubes) ou encore mieux 4 des 6 tubes (sur une version 6 tubes). Ce n’est pas négligeable en terme de poids total ! - d'avoir des tubes plus court sur les tubes soumis à la compression (ceux de "devant) ce diminue le départ au flambage, utile dans le cas de tubes très fins. - tu augmentes sensiblement l'angle d'ouverture des "compas latéraux" et ce faisant, la triangulation est d'autant plus forte quant à la reprise des efforts >>> c’est plus rigide à la flexion naturelle de l'engin - enfin cet angle augmenté permet un bien meilleur accès au miroir primaire lors de sa mise en place (ce qui est mon cas car le miroir est transporté à part). - et pour la fine bouche, ça a une jolie gueule. les inconvénients : - ça oblige a avoir des tourillons bien foutus, rigides et bien contreventés, mais j’ai envie de dire c'est une condition à remplir quoiqu'il en soit pour une manipulation agréable - ça oblige à cogiter lors de la conception, le calcul des divers angles, la trigo, mais c'est bon pour les méninges - en effet les efforts de sont pas repris de façon homogène, mais est-ce une gène ? dans nos engins, on ne fait pas de vrai serrurier avec une gestion calculée de la déformée, on cherche le plus rigide possible et cette solution est une piste pour cela. Pour le flex rocker, tu as raison, c'est plus encombrant en largeur et ça doit être bien rigide. il faut bien cogiter pour en diminuer le diamètre au strict nécessaire. D'un autre côte on gagne en compacité de hauteur (important pour la hauteur du PO) car l'encombrement du primaire lors du mouvement en rotation permet de le faire passer au raz de la base, voire d'oser passer plus bas à l'intérieur de la rondelle que forme la base annulaire. Mais surtout la partie "flex" peut être réduite à un pouillème de rien du tout, ce qui est impossible avec un rocker standard avec un fond de rocker bien rigide ou repose la piste de frottement circulaire et le socles avec ses patins. C’est un choix et j'avoue que même à ce jour, je suis partagé entre ces 2 formules. Le câble, ben je trouve qu'à l'usage, c’est pas mal sur des diamètres jusqu'à 40cm. L'astigmatisme de pliure y est bien et facilement géré. Après c'est certain, il faut assurer ou gérer la rigidité de cet élément.0 point
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