Classement
Contenu populaire
Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 08/13/23 dans toutes les zones
-
Salut à tous, Voici une vue dans la constellation de Cassiopée, un groupe d'objets assez peu souvent réalisés du catalogue LDN (Lynds catalog of Dark Nebulae). Dans les cibles que l'espace nous propose, elles font partie des objets "difficiles" à révéler sous notre ciel. Il faut une bonne transparence, une lune faible ou absente et des temps de pose unitaire conséquents. Ce sont sans doute mes cibles préférées par leur manque de popularité, par la profondeur visuelle procurée et les motifs qu'elles nous proposent. Objets notables : LDN1357 LDN1355 LDN1358 PGC10828 Informations : Lieu / date : Ramillies (Belgique) - 09/08/2023 Constellation : Cassiopée Acquisition : 95 x 120 sec (03h10) Monture : Skywatcher EQ6R pro Tube optique : Celestron RASA 8 Caméra : ZWO Asi2600MC (gain 100 / -10°) Filtre : Aucun Accessoires : ZWO EAF - ZWO ASIAIR PRO Traitement : Siril - Pixinsight - Lightroom Bon ciel à tous7 points
-
WR 134 qui est une étoile variable située à environ 6 000 années-lumière de la Terre dans la direction de la constellation du Cygne. Elle fait cinq fois le rayon du soleil, mais en raison d’une température supérieure à 63 000 K, elle est 400 000 fois plus lumineuse que le Soleil. WR 134 expulse une partie de ces couches externes qui sont ensuite soufflées par le rayonnement intense et les vents stellaires rapides de l’étoile. L’éjecta est ensuite entré en collision avec la nébuleuse ambiante entourant l’étoile pour former cette espèce de disque (en bleu dans l’image) très caractéristique de WR 134. L’image ci jointe a été acquise dans des sites très peu pollués avec un filtre multi-bande Hydrogène alpha et Oxygène. : Antlia ALP-T Ha & OIII 5nm : 109x300" : ZWO Asiair Pro : Askar FRA600 f/3.9 : ZWO ASI2600Mc Pro : iOptron GEM45 : ZWO ASI290MM Mini & guide scope Omegon 50mm : Siril - PixInsight - Affinity - Paint Shop Pro : Cantal & Dordogne : Bortle 2.4 : 12 et 13 Août 2023 La version full ici https://flic.kr/p/2oVrNyr6 points
-
2 points
-
Selon la relativité restreinte, la vitesse de la lumière est la même, quelque soit l'observateur. Là, tu te places à l'extérieur du système, et tu vois à la fois l'étoile qui émet, et l’œil qui reçoit. Curieusement (en tout cas pour notre cerveau, la théorie, elle, est très claire,) si tu te places du point de vue de l’œil qui reçoit le photon, tu ne verras pas la même chose. En tout cas, l'évènement "le photon atteint l’œil" n'est pas simultané dans les deux points de vue. Petit exemple pour illustrer la relativité restreinte, c'est une vraie gymnastique pour notre cerveau 🙃 Imaginons que l'on est dans un TGV qui se déplace à 300km/h. Un individu part du fond du train vers l'avant et court à 10 km/h. Si une vache dans un pré regarde passer le train et observe l'individu courir, elle le verra se déplacer à 310km/h par rapport à elle-même. Imaginons ensuite qu'EDF a développé les centrales à fusion pouvant développer une énergie énorme et que les TTGV (trains à très grande vitesse) sont capables d'aller à 3.000 km/s. Une ampoule est allumée à t0 au fond du train qui fait 300 km de long. Selon le conducteur situé à l'avant du train (oui, il y en a toujours un, malgré les énormes progrès techniques supposés dans cet exemple, il a intérêt à avoir des réflexes 🤢,) il verra l'ampoule s'allumer t = d/v = d/c = 300/300.000 = 1 milliseconde plus tard. Selon la vache, entre t0 et t=1 ms, la lumière aurait parcouru "longueur du train" + ("déplacement du train pendant 1 ms") = 300km + v x t = 300km + 3.000x10^-3 = 303 km. Mais cela voudrait dire que la lumière aurait été à la vitesse de 303.000 km/s, ce qui est impossible selon la relativité restreinte. Du coup, pour la vache, elle voit le conducteur être éclairé par l'ampoule après une durée supérieure à 1 milliseconde. Il n'y a pas de simultanéité de l'évènement "photon qui arrive sur le conducteur" selon le point de vue de ce conducteur et celui de la vache. En fait, ce phénomène a été expliqué par une dilatation du temps et une contraction de l'espace dans la direction du mouvement du photon (axe du train,) mais pas dans les directions orthogonales (la direction de la vision de la vache par rapport à la direction du train.) Pour en revenir à ton exemple, imagine une étoile qui s'allume à 13,8 Gal de nous, au moment du Big Bang il y a 13,8 G années (on néglige l'opacité de l'Univers et d'autres éléments dans cet exemple.) Comment le photon pourrait-il mettre plus de 13,8 G années pour nous parvenir, c'est à dire avant le début du temps ? Si tu te places du point de vue d'un terrien, le photon a mis 13,8 G années pour arriver. Si tu te places dans un point de vue extérieur, sur un axe orthogonal à l'axe étoile-Terre, il faudra attendre environ (Edit) bien plus longtemps pour observer le photon faire le trajet 🤯2 points
-
bonjour a tous, j'ai profité d'une bonne éclaircie ce matin pour retourner sur jupiter. toujours au 127/1500 (ADC/barlowx2/iv-ir cut/224mc) , avec un essai un peu plus poussé dans winjupos. sur la photo on peu voir "Europe " qui pointe le bout de son nez derrière la géante. j'ai fais un petit gif sur l'apparition de Europe : bon ciel a tous !2 points
-
Ne retrouvant pas si j'avais déjà posté le document, je voici ou le revoici. Il permet de se créer une configuration open source pour l'astrophoto en déporté, avec un RPI4. Ca fonctionne aussi avec un mini-PC type Mele, avec la bonne version de l'OS Ubuntu-Mate. A noter, il existe des clônes du RPI4, dont certains avec un processeur Intel comme l'UA-4000. On dispose ainsi d'une solution plus compacte qu'un mini-PC type Mele, avec l'ouverture sur les OS Linux ou Windows. Vous pourrez ainsi piloté votre setup, en déporté, à partir d'un PC, d'une tablette ou d'un smartphone (pour ceux qui ont des petits doigts), avec Nomachine. Pour les néophytes de Linux, il n'y a rien de bien compliqué et je suis dispo pour répondre à toutes vos questions. Mon système_RPI_V2.pdf1 point
-
Salut, j'ai pas pu copier Jean-Marc la nuit dernière 😉alors j'ai essayé d'innover . J'ai réglé la rotation de la 6200 (à135° précisément) pour mon prochain projet: Une mosaïque de IC1805 et IC1848. Le truc de cool, si ça foire, c'est que j'aurai quand même Les deux nébuleuses sur leur tuiles dédiées. Du coup, une fois la caméra tournée sur le devant du C14, vu que j'errais du coté de Céphée, et que je ne l'avais jamais faite, j'ai pointé NGC7830 la nébuleuse du sorcier (le sorcier, je ne le vois pas trop mais bon). donc 86 subs avec la 6200 en bin2 de 240 Sec soit 5H 3/4 de pose. au 355mm ouvert à 1.9. le HFR était correcte. par contre, pour faire le premier platesolve, grosse galère avec ASTAP qui trouvait pas. Il a fini par réussir (poses de 2 Sec). Et lorsqu'il essaie de faire des platesolve sur les poses de 240Sec pendant la séquence, c'est systématiquement un échec (comme pour toutes mes autres séquences d'ailleurs). Si vous avez un tuyau, merci de m'en informer. place au crop de l'image: la full: et la straless qui montre pas grand chose en fait: a+ Serge1 point
-
1 point
-
La solution que j'utilise est avec grub, le bootloader du linux qui permet d'indiquer quel système charger au prochain boot, il n'y a donc pas besoin d'écran pour faire le choix. Le mode d'emploi, tout en root ou sudo, les " sont a enlever des commandes : - modifier dans /etc/default/grub la ligne GRUB_DEFAULT=0 par GRUB_DEFAULT=saved , activer avec update-grub - Passer la commande "grub-set-default 0" pour indiquer le boot de Linux par défaut. - la commande grub-reboot permet d'indiquer le système à démarrer au prochain reboot, c'est temporaire et ensuite il retourne au système par défaut. chez moi le Windows 11 est la troisième entrée dans le menu grub, donc "grub-reboot 2" indique de booter windows la prochaine fois. - ça ne change pas l'affichage du menu grub et le timeout, donc si on se trompe il est facile de choisir le bon système a la main après avoir branché un écran. - pour plus de simplicité faire un petit script avec ces deux lignes qui permet de se retrouver avec Windows: sudo /usr/sbin/grub-reboot 2 sudo /bin/systemctl reboot Ca demande évidement de toujours booter Linux en premier mais c'est rapide, ensuite un ssh sur le linux et on lance le script. C'est pas bien grave si comme moi on reste sous Linux 90% du temps.1 point
-
1 point
-
Salut à tous, De retour en région parisienne, j'ai profité de deux soirée sans nuages pour essayer de shooter pour ma première fois M31. 336 poses de 120 secondes retenues. 117 Flats 50 Darks 50 Offsets Traitement siril et pix. Une brute : Résultat : Je vous met le stack si jamais il y en a qui veulent se tenter à la traiter car avec autant de pose je ne suis pas content de moi, je pense qu'on peut faire largement mieux resultat.fit Bon ciel à tous.1 point
-
Bonsoir à tous C'est à la fois un projet mûri depuis plusieurs années qui se concrétise, et un rêve de gosse qui se réalise ; je vous présente mon tout nouveau LUcky-imaging DObson, alias LUDO Donc laissez moi tout d'abord vous présenter ce magnifique instrument et le concept qui se cache derrière Je suis mordu d'astro depuis très très longtemps, mais parmi toutes les possibilités de ce loisir formidable, jamais un domaine ne m'a autant fasciné que le "lucky imaging" en ciel profond. J'entrevois par cette technique d'imagerie à la fois un potentiel encore sous-exploité d'obtenir des images fantastiques, mais également un moyen pratique de s'affranchir de certaines contraintes. J'ai commencé dans ce domaine avec un T150/750 qui m'a donné entière satisfaction et plus encore, mais rapidement j'ai eu envie de pousser plus loin, beaucoup plus loin. La question se pose alors : Quel est l'instrument le plus adapté à cette pratique ? Petit rappel, le lucky imaging consiste à réaliser des photos en pose courte ( de quelques secondes au plus long, à beaucoup moins si possible ) afin de s'affranchir en partie de la turbulence atmosphérique en sélectionnant les meilleures images avant de les empiler. Pour du lucky imaging, il faut poser court. Pour poser court, il faut beaucoup de lumière. Pour de la lumière il faut du diamètre. Le plus possible. Pour du lucky imaging, nul besoin d'une monture équatoriale de compétition ; il suffit d'un suivi correct en alt-az puisque cela la rotation de champ ne pose pas de problème avec des temps d'exposition rapides et un alignement des images correct. Pour du lucky imaging, il est appréciable d'avoir un instrument transportable afin de profiter d'emplacements ou la turbulence atmosphérique est plus clémente. Pour du lucky imaging, il faut un instrument à l'optique et la mécanique de grande qualité afin de pouvoir obtenir le plus fin détail possible. J'ai un temps lorgné sur des diamètres intermédiaires... 250mm ? 300mm ? Mais finalement pourquoi ne pas viser plus haut ? Le concept est solide, et je me connais assez pour savoir que cette passion ne s'évanouira pas du jour au lendemain. Donc changement de plan et de catégorie : ce sera l'instrument d'une vie. Rapidement je me tourne vers Frédéric Géa ( Stellarzac Instruments ) pour la structure et conception générale, et vers Térence Pelletier ( Bigowlbinoscope ) pour les optiques. Après de longues heures passées au téléphone avec Fred pour réinventer le télescope parfait les caractéristiques finales de l'instrument sont établies : - Diamètre 560mm - Focale 2240mm - F/D=4 - Miroir primaire en quartz, épaisseur 38mm en ménisque sur barillet astatique 18 points - Miroir secondaire de 140mm - Obstruction 25% - Champ de pleine lumière 30mm - Motorisation azimutale, Stellarcat + Nexus-DSC - Porte oculaire motorisé TCF-LEO Tout ceci en fait un instrument extrêmement adaptable à mes besoins actuels et futurs. Il est évidemment compatible avec mon matériel d'acquisition actuel, à savoir les correcteurs de champ GPU x1, ASA x0.73, et la barlow correctrice APM x2.7, ainsi que les caméras QHY290M et QHY462C J'ai ainsi un échantillonnage de 0.36"/pixel avec le réducteur ASA, 0.27"/pixel avec le correcteur GPU, et 0.10"/pixel à la barlow. Avec mes caméras, le champ est assez étroit ; cependant, mon but avoué étant la haute résolution, j'avoue que ça ne me préoccupe pas plus que ça, même si cela amène quelques contraintes supplémentaires. Mais la sortie du foyer est confortable, et le tube est conçu pour pouvoir supporter un âne mort à l'oculaire donc j'ai de quoi voir venir si je veux faire évoluer le setup. Caméra plus large, dérotateur de champ, et plein d'autres joyeusetés qui me trottent évidemment dans la tête, mais pour l'heure, on va déjà essayer de pousser la bête avec ce que j'ai Question encombrement et déplacement, le tube rentre sans problème dans une voiture à coffre haut ( type scénic ) ; le principal souci pour le moment étant que je n'ai pas de voiture :D Donc ce tube restera un certain temps utilisé sur ma terrasse de petite ville, à moins de 100m d'altitude, avec une pollution lumineuse certaine mais au seeing parfois bon. Question orientation, ma terrasse me donne accès à toutes les cibles au nord jusqu'à une déclinaison de +20° environ. ça peu paraître "dommage" de ne pas avoir tout le ciel, mais j'estime avoir de quoi faire dans cette zone du ciel sans m'ennuyer pour quelques années au moins de toutes façons. Qui plus est, dans l'esprit de "lutte contre la turbu", on aime bien avoir les objets le plus proche possible du zénith ; donc les objets situés plus bas ne montent jamais très haut dans tous les cas. Et pour le planétaire, ce ne sera pas non plus pour tout de suite. Mais ce n'est pas mon domaine de prédilection de toute manière. Le télescope est arrivé chez moi il y a quelques jours, et murphy a été plus que clément puisque j'ai pu entamer un marathon avec neuf nuits complètes d'affillée ! C'est un vrai bonnheur à utiliser ! Le télescope est toujours hyper stable et respire le solide, soit tout le contraire des instruments que j'ai pu avoir auparavant Avec un peu de pratique niveau montage, si à 20h le tube est au chaud à l'intérieur et que je décide de sortir imager, à 21h je peux lancer les poses avec un tube collimaté et une motorisation opérationnelle ; et quand c'est fini, tout est plié en 15 minutes. Un régal Evidemment, un tube comme ça ne s'apprivoise pas non plus du jour au lendemain ; la période de pleine lune a été propice aux différents tests, réglages, et erreurs de débutant inévitables... avec en prime quelques tuiles, du genre une soudure qui lâche dans le boîtier du Nexus qu'il a fallu réparer, ou le viseur point rouge acheté pour l'occasion qui décide de ne plus fonctionner du tout après deux utilisations. Le pointage "à l'oeil" au T560, c'est une epérience enrichissante je ne dis pas... mais là il va vraiment falloir que je me retrouve un chercheur Mais malgré tout, les images que je tirais durant cette première semaine n'étaient pas à la hauteur de ce que j'attendais vraiment. Des images certes "pas mal", un signal monstrueux comparativement au temps passé par cible , surtout en considérant la pleine lune ;) mais question résolution, c'était entre mauvais et moyen. Pourtant, ni l'instrument ni la turbulence n'étaient en cause : en ajoutant la barlow, j'ai obtenu une résolution impressionnante sur le centre de m13 entre autres. Alors quoi ? que reste-t-il dans la chaine optique ? Le correcteur de champ évidemment ! Je ferai certainement un post dédié pour expliquer la chose en détail, mais après un peu de recherche, ( je découvre que la distance correcteur/capteur recommandée par les fabricants pourrait être trop faible pour mon usage. ) EDIT du 08/05 : La distance préconisée était finalement la bonne, mais le calcul de la distance sur mon montage était faux. Du coup mon correcteur était bien trop près du capteur quand même. Le ciel se dégage après plusieurs jours de temps couvert, et je peux vérifier mon hypothèse le soir même. Le résultat est immédiat, l'amélioration crève les yeux Bien que j'aie passé quasiment toute la nuit à déterminer les positions optimales pour mes différents correcteurs, j'ai tout de même gardé un peu de temps pour une véritable "première lumière" en fin de nuit. La lune se levait, et j'ai un peu galéré au traitement car je manque d'étoiles dans le champ pour aligner ; tout ceci est encore très perfectible sur beaucoup de points. Mais ça reste néanmoins un bon aperçu des possibilités de ce scope, et la première d'une longue série j'espère Voici donc le héron, couple formé par les galaxies NGC5394 et NGC5395, sur fond de pétouilles T560 à F2.9, QHY290M, 4214x500ms soit 35 mn retenues sur 1h30 de prise de vue totale. Image à 120% de la taille d'acquisition. La FWHM avoisine 1.3" au centre de l'image après empilement. Vive l'astro, et a très bientôt Romain1 point
-
1 point
-
1 point
-
Bonjour a tous, quelques news de l'astrowl box dont je viens de sortir une nouvelle version du logiciel interne qui améliore significativement la sensibilité du gain analogue qu'il est possible de modifier manuellement. La contrepartie c'est également une augmentation du bruit, il faut donc l'ajuster progressivement, mais dans le cadre du VA, ca permet de gagner nettement en détails sur les objets du ciel profond. Quelques exemples de vues obtenues directement avec la box sur M16, M17 et M13 prises avec une lunette apo de 130mm. Le gain par rapport a du visuel pur et incomparable, alors que M17 reste une tache grise diffuse allongée, avec le VA de la box en révèle tout de suite la structure, les couleurs. Idem sur M16 quasi invisible a l'oeil nu et encore je ne montre que les photos esthétiquement sympas, mais en poussant l'exposition et le gain on obtient quantités de details en quelques stacks, lz contrepartie c'est évidemment l'accroissement du bruit (mais en VA ca ne me choque pas). Sur certaines vues j'ai activé les filtres deconvolution Wiener ou Richardson, qui bruitent un peu les images mais ameliorent très nettement les détails et la ponctualité des étoiles.1 point
-
bonjour à tous, belle vues Stéphane , j'ai eu une turbu d'enfer , j'ai laissé en auto dès que j'ai vu ce filament passer et finalement à part 2 flares , pas terrible , pour les archives malgré une réduction de format et un forçage des niveaux , il m'en reste 2h qui vont finir à la corbeille longue à charger Paul1 point
-
Avec un disque NVME interne, c'est pas simple. Avec un SSD externe, dans le BIOS on démarre sur lui. S'il est absent on bascule sur l'EMCC interne.1 point
-
@julienESP @Petitprost Merci Tout à fait, c'est au filtre L1 point
-
Oui j'ai honte!😪 J'ai été inspiré par la prise de @krotdebouk (👍) postée hier et je l'ai honteusement copié cette nuit, en rajoutant NGC6946 dans le champ pour essayer de donner l'impression que l'idée venait de moi!😉 70 poses de 240 Sec au C14 Hyperstar. j'ai 2 version et mon coeur balance entre 2 version, vous me direz celle que vous préférez. La première, je l'aime bien parceque NGC6946 n'est pas trop saturée: La 2ème, je l'aime bien parceque on voit mieux les IFN Version Starless de la 2ème: Heureusement que c'est nuageux cette nuit, je vais pouvoir dormir. a+ Serge1 point
-
Je me suis mis sur Pix en mars dernier et pour bien comprendre la logique et la puissance du logiciel , j'ai suivi avec beaucoup d’intérêts les vidéos de Paul paradis et Christian Proulx deux canadiens qui expliquent en détail les différents process . Tuto très bien fait de Pascal Gouraud de la SAR de Rennes : https://public.joomeo.com/albums/6339573dc20741 point
-
platine vixen pour la v2 reçue ! c'est propre, et c'est pas cher ! moins de 30€ livré (en alu 7075 !) place aux tests aux NCN ! PS : la v2, c'est juste un prototype pour valider certains trucs, la vraie ça sera la v3, qui a vachement bien avancée cet été ... proto attendu pour fin septembre, stay tuned !1 point
-
Reprenons un peu 😅 Ce que j'ai écrit sur la relativité restreinte n'est pas faux, mais ce n'est pas l'explication à la question. C'est surtout pour illustrer que, en fonction du point de vue, on n'aura pas les mêmes résultats. Quand on parle d'observer un objet à 2 Gal, en général, on fait référence au temps, donc à la durée de voyage du photon. On observe bien l'objet tel qu'il était il y a 2 milliards d'années, durée de trajet de la lumière émise. A courte distance, (<1~2 Gal,) on est plus ou moins à la distance réelle, ou distance physique (que l'on mesurerait instantanément avec une très grande règle.) Au delà, l'expansion de l'Univers se fait en effet ressentir, la distance physique deviendra la distance comobile, car elle évolue avec le temps. On va en général utiliser plutôt le parsec comme unité de distance, et ses multiples. 2 Gal vaut environ 0,613 Gpc dans un univers statique. Mais à très grande distance, en prenant en compte notre Univers en expansion et la valeur de la constante de Hubble admise aujourd'hui, un objet qui a envoyé un photon il y a 2 G années serait à environ 0,630 Gpc au moment où il l'a envoyé. Le photon a bien voyagé pendant 2 G années, mais les distances étaient plus courtes alors (1 km d'aujourd'hui mesurait à l'époque ~973 m.) Il n'y a pas de contradiction, la lumière a été à la bonne vitesse, c'est les graduations sur la règle qui se sont allongées. On peut dire qu'en temps, l'étoile était située à 2 Gal de nous, et qu'en distance, elle était située à 0,630 Gpc. 2 Gal correspond à la distance propre du déplacement des photons. 0,630 Gpc correspond à la distance comobile physique et est plus grande que la distance comobile est de 0,613 Gpc. On peut aussi calculer que la luminosité de l'objet paraît être celle d'un objet situé beaucoup plus loin, et que sa taille apparente paraît être celle d'un objet beaucoup plus proche que s'il n'y avait pas d'expansion. A plus grande échelle encore, 13 Gal correspond à près de 4 Gpc en univers statique, mais 8,75 Gpc dans notre Univers en expansion. Le rapport n'est pas linéaire car l'expansion de l'Univers n'est pas constante : elle a ralentit, et maintenant semble accélérer, ce qui ne va pas arranger les calculs dans les milliards d'années à venir 🤓1 point
-
Bonsoir à tous! De bonnes conditions étaient annoncées à l'observatoire pour la nuit dernière, j'y suis donc monté pour imager.... nos chères gazeuses préférées J'ai commencé avec Saturne par un seeing franchement moyen, ça turbulait un peu et la transparence était bof, du coup image moyenne mais on s'en contentera:) Saturne: Puis je suis logiquement passé sur Jupiter, le seeing était pas trop mal compte tenu de l'élévation (27 degrés de mémoire), Voici une 1ere avec Ganymède: Ça s'est ensuite salement dégradé, grosse turbu, impossible de faire quoi que ce soit, alors pour m'occuper j'ai fait quelques captures en IR 685nm ...Et comme souvent de ce que j'ai remarqué, le seeing s'est amélioré dès 4h30 jusqu'à devenir franchement superbe Voila un aperçu du seeing que j'avais, en mono et couleur: ....Et sans vous faire languir d'avantage , voici les 3 plus belles images de la nuit...la dernière est probablement la plus belle Jupiter que j'ai faite.. 🥰 Comme d'habitude voici le planisphère des acquisitions de la nuit, les projections polaire, et l’animation Voila c'est tout pour aujourd'hui! 2 photos d'ambiance de la vue de l'observatoire et du mont blanc en bas, au petit matin quand je suis redescendu rappel du Setup: SC Meade 16" - 662mc/462mm, ADC PA MK3, TV PM 2x AS3! Astrosurface & Winjupos. Bon ciel à tous!1 point
-
Merci pour ce compte rendu. Contente pour vous. Je vous souhaite encore de beaux ciels pour vos vacances.1 point
-
Hello, Re-voilà la nébuleuse de l’Haltere (m27) prise la 1ere fois en juin 2023 tjrs à la caméra planetaire 462mc, mais en passant de 70x30sec(35mn) à maintenant 300x30sec (2h30) incluant 50 rejets sur erreur d’alignement. Les 2 clichés ici étant alors à comparer le gain en détails/résolution. Les 2 prises étant au gain adapté à 10dB. - Traitement Siril. - Asi 462mc+correction coma; tube sw150/750pds sur heq5 pro. Note: cible « re-choisie » pour entrer pil dans le cadre du petit champ de cette (bonne) caméra et avec suffisamment d’étoiles pour alignement... ➡️ importance du nombre de poses pour augmenter le SNR (gain proche de ~sqrt(nbr de poses)). ➡️ Le nbr de poses peut-être encore augmenté, mais il serait maintenant bien plus judicieux de prise à l’APN defiltré et avec filtre dual/tri-bands pour ce type d’objet qui plus est magnifique. Cordialement, David0 point
-
Super merci. Comme pour les miroir? Avec le tissu de l'intérieur vers l'extérieur? Enlever le surplus et avec la pointe d un essuie tout absorber les gouttes restantes? Pour le reste c'était la réponse que je voulais pas... mdrrr Mais tu as raison c'est pas comme les darks... ça va assez vite0 point
-
0 point
-
J'ai les boules de ne pas être présent cette année, vous me manquez tous, j'espère à l'année prochaine....0 point
-
Vous enquiquinez pas, MeMStar est là pour vous éviter des noeuds au cerveau 😉0 point
-
Bonjour Paul, C'est quand même de la belle imagerie,ça remue bien avec d'excellents détails👍 Jean Louis0 point
-
Merci pour ces réponses. Entre le retour de vacances de la famille et l’anniversaire de la fillote , je n’ai pas le temps de me concentrer sur tout ça mais dès que j’ai une minute, je viens me refaire des noeuds au cerveau…0 point
-
Dans le Guardian, un article sur les effets délétères sur l’homme du réchauffement, évidemment non exhaustif : - le corps refroidit en transpirant et en augmentant le flux sanguin périphérique. Cela conduit à une possible déshydratation, des troubles rénaux (reins sollicités et privés de sang) et des problèmes cardiaques (travail accru) ; - la pollution à l’ozone augmente à la chaleur et agresse les poumons ; - les changements en température, humidité et pluviosité propagent virus et autres pathogènes (dengue, Zika, chikungunya, choléra et autres troubles liés à l’eau polluée, et favorisent leurs vecteurs (moustiques, tiques) ; - troubles comportementaux, avec notamment une altération de la perception du risque ; - altération de l’effet de certains médicaments (notamment ceux contenant du lithium) ; - effets sociétaux : certaines activités économiques permettent à leurs pratiquants de s’abriter confortablement alors que d’autres ne peuvent échapper à une exposition à l’extérieur ; de même selon les pays l’exposition peut être radicalement différente, avec des risques de conflits évidents ; - plus inattendu, des piétons en Arizona ont été brulés au troisième degré par le bitume sur lequel ils marchaient… On peut espérer atténuer ces troubles par divers moyens, comportementaux (vêtements, hygiène, activités..), l’installation de refuges, des aménagements urbains, mais la seule vraie solution reste la réduction des émissions de carbone. Pour y parvenir, il est essentiel de voir la réalité, d’en parler, et d’alerter : les vagues de chaleur agressent tout le monde, vous aussi, quel que soit votre âge ou état de santé. Tous le contraire du programme d’un discours épinglé par le Monde, qui privilégie au contraire l’abandon de toute contrainte, et le recours à des solutions technologiques que repousse elle-même l’Académie des technologies.0 point
-
Et hop dans les favoris â faire ... Question : je suppose que ce type de nebuleuse sombre n'est pas envisageable avec un filtre Duo Band ? Merci0 point
-
0 point
-
T'ain... ça dépote ton C14 Hyperstar + 6200MC ! Joli champ, belle image et tu as bien fait de la faire Tout de suite les grands mots... Si tu ne tires pas trop fort sur les curseurs, ça se verra même pas. Sur la starless de ta v2 (la plus lumineuse), je tenterai un masque avec ACDNR (sur un clone) puis l'appliquer à la starless en inversé et Curves pour baisser un peu la luminosité de la galaxie. Puis toujours avec le masque, un coup de LocalHistogrameEqualization Ca a l'air de le faire sur la jpg !0 point
-
0 point
-
0 point
-
Bonsoir, Voici ma première photo avec un 200/800 skywatcher acheté il y à 6 ans 😅 On part sur 61*180s filtre l-Pro asi 2600 mc avec une azeq6 pro 31 DOF Prertaitement en drizzle Traitement : ABE,Image Solver, SPCC, BXT, NXT, EZstretch, SXT, traitement séparé des couches et recombinaison via Foraxxx sur pixinsight au niveau des couleurs je trouve de tout sur le net du coup j'ai fait à ma sauce Pour la full il faut cliquer dessus, la photo affichée éclate complètement les détails0 point
-
Je trouve cette question très pertinente ! Probablement parce que je me la suis également posée… Il suffit de se procurer 2 éléments : - un vaisseau qui aille plus vite que la vitesse de la lumière - un mega télescope. On se positionne à bonne distance de la Terre pour récupérer la lumière datant de l’époque qui nous intéresse pour voir une scène à notre convenance… La construction de la Tour Eiffel, la bataille de Waterloo, la capture de Vercingétorix… Et le tour est joué ! J’entends d’ici des fâcheux qui me rétorqueront que j’oublie une chose importante qui rend la chose impossible: « Et si ce jour là, il y avait des nuages…? »0 point
-
Oui, et je pense même qu'il y a une autre marque au matos rouge métallisé qui devrait se ressaisir..0 point
-
Merci @Fred_76 pour ce croa Voilà comment naissent les passions Certainement un moment grandiose et un souvenir impérissable pour cet enfant Je voudrais pas être à la place des parents: à Noël il va falloir sortir le carnet de chèques pour le gamin0 point
-
Bonjour Corinne, quel ciel magnifique! c'est quoi comme Bortle là ou vous étiez? Belle Voie lactée. Un peu trop de voitures et de gens pour l'astronome solitaire que je suis (sans compter l'obligatoire pollution sonore à défaut de lumineuse)😄 En tout cas, pleins d'instrument ou jeter un oeil et comparer, sympa!👍 a+ Serge0 point
-
0 point
-
Tiens, ça me rappelle encore que pas plus tard que la semaine dernière, un astram me disait qu'il allait vendre son C9/AVX avec tout le tralala pour l'imagerie car dans son club, on lui avait dit qu'il y avait que cela de vrai, que c'était facile l'imagerie, c'était plus comme 20 ans en arrière et super intéressant. Et je lui ai demandé s'il arrêtait l'Astro. Et il me répond : "Non, j'ai vraiment été très mal orienté par les gars du club qui ont répondu que par rapport à mon budget, mais au moins j'ai investi dans de bons oculaires aussi, je les garde et reprends juste un Mak 127 pour la Lune et les planètes et un eVscope 2. Passer des samedis après-midi complets et des soirées à traiter des images, c'est pas mon truc ". Pourquoi vouloir opposer les différentes pratiques de l'Astro alors qu'il y a justement tellement d'outils ajd pour se faire plaisir... Un télescope Unistellar ou une lunette Vaonis ont toute leur place à qq mètres d'un Dobson si les observateurs s'endentent bien et ne se gênent pas.0 point
-
0 point
-
Bienjoué monsieur Mickey , moi j ai craqué pour une caméra Zwo asi585mc et un Asiair mini je voulais faire de belles choses facilement et voilà le résultat , je crois bien que le smartphone c est fini pour moi , je vous souhaite à tous une bonne continuation et avec l avènement des nouveaux capteurs de smartphone à venir , l astrophoto au tel a un bel avenir j en suis sur .0 point
-
Première mosaic lunaire ! J'était pas loin 😅 Malgré tout je suis super content du résultat surtout pour les détails de certain cratère, pour les intéressés j'ai rec 7 vidéos de 30s avec mon s10e et un skywatcher nirvana 10mm couplé avec une barlow x2 (x150) et j'ai utilisé pipp et auto stackkert puis ICE pour la mosaic. Voila0 point
-
Re bonjour @Léoo Ce n'est jamais très facile de répondre à cette question car l'achat d'un accessoire relève bien souvent du subjectif. Je vais tout de même apporter mon avis. Le renvoi coudé est à mon sens une pièce maitresse sur un catadioptrique. Il assure la sécurité des accessoires montés dessus (bino, oculaires, filtres, barlow etc), doit permettre de changer d'oculaire aisément dans la nuit sans stresser de faire tomber quoi que ce soit, doit permettre le montage d'accessoires au coulant souhaité (parfois on a juste besoin de 31.75mm, parfois juste de t2, parfois de 50.8mm) et il doit pouvoir tourner sur lui même facilement, surtout si tu utilises une monture équatoriale. Le porte oculaire sur lequel le renvoi coudé est fixé est donc lui aussi une pièce maitresse, parfois même plus que le renvoi coudé lui même, car fixer un bon renvoi sur un mauvais porte oculaire remet en question tout ce qui est précisé ci-dessus. En parallèle de tout cela s'ajoute bien entendu la qualité de transmission du renvoi coudé, celle du porte oculaire à sa sortie, son type de construction (prisme ou miroir) et alors là, tu comprends qu'il devient encore plus difficile de répondre à ta question Je ne connais ni le porte oculaire, ni le renvoi coudé du mak 127, mais si je devais me questionner à leur sujet, je questionnerais les deux pour une question à la fois de sécurité et de confort (dont je t'ai déjà parlé plus haut). Changer un oculaire doit avant tout être un plaisir (surtout que tu en as deux) et non pas une source de stress. L'orienter aussi doit rester un plaisir. Si le PO du mak 127 est bon, alors oui changer le renvoi pour une version plus confortable, plus sécurisante, voire plus qualitative dans la transmission vaut le coup sans hésiter. Le renvoi, tu le manipules tout le temps sur ce genre de tube. Si le porte oculaire du tube est moyen (comme sur les SCT d'origine) alors il faut aussi penser à le faire évoluer lui, avant même le renvoi à mon sens, surtout si le budget est plus contenu. Une fois ta décision prise, alors on pourra te présenter ici de bons accessoires qui répondront à ton besoin ! J'espère ne pas t'avoir saoulé0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00