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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 09/22/23 dans toutes les zones
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Qu'est-ce que j'aime cette époque de l'année et la région du cygne quelque soit la focale ! C'est juste beau quelque soit l'endroit où on regarde... J'ai pointé ici sur NGC6871 un petit amas ouvert au milieu des nébulosités du cygne. On y voit la tulipe et un dauphin bleuté plonger 😌 4h30 en poses de 90s avec EDPH76, 2600 et L extreme en centre ville prétraitement Siril et finition Pix. Bonne plongée 🙂 Sam5 points
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Sortie dans le jardin le 14 septembre Fatigué de la journée, je n'avais pas envisagé vraiment d'observer, mais le bleu profond magnifique du ciel avant le coucher du soleil était irrésistible! J'ai donc préparé le score qui est resté sagement à se mettre à température. Je suis sorti vers 22h30 sous un ciel limpide, d'une grande transparence et stabilité....et toujours sans lampadaires!! (promis, c'est pas moi qui ai volé les câbles en cuivre de l'éclairage du quartier!!). J'ai donc commencé à observer l'anneau de M57, pour en détailler les couleurs : au 21mm j'ai donc un anneau rouge pourpre bien marqué en periphérien assez fin, qui s'estompe assez progressivement vers l'extérieur. Puis une transition couleur pomme granny vers un bleu profond central. La couleur parait très vive en vision légèrement décalée(5-10°) et s'estompe en vision directe. Les couleurs restent visibles au 13mm. Je n'ai pas perçu les lignes de la piscine. A 400x ce soir la centrale est très nette plus de 50% du temps. Voilà qui promet! Je me dirige vers le dragon pour observer NGC6503, spirale vue de 3/4, qui ressemble un peu à NGC253 en moins brillante et plus petite, avec du contraste, à 150 et 230x Puis NGC40 qui montre beaucoup plus de détails que le 20 aout. En fait elle semble complètement différente, on voit bien la forme de trognon de m27 ou 76, avec des renforcement radiaux (sans filtre) : Puis les dentelles qui sont somptueuses, que j'ai tenté de dessiner mais il faudrait y passer la nuit et détailler les zones petit à petit avec un plus fort grossissement (je suis resté avec l'ethos 21 qui permet de voir chaque dentelle quasiment en entier d'un seul regard! ) Enfin j'ai retenté d'observer NGC7479 que j'ai pu commencer à détailler mais je n'ai pas pu voir sa structure caractéristique avec son long bras filiforme. A refaire en montagne!!!! Le ciel m'a permis de profiter de Saturne et Jupiter avec des images fines et contrastées! Et puis de jeter un oeil à NGC253 qui va commencer à monter!! A 3h j'ai dû me résoudre à rentrer, c'est bien dommage vu le spectacle!2 points
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Salut! Premier retour vers m31 depuis la nouvelle lunette, et première tentative d’intégration de Ha, et bien c’est plus difficile que je ne le pensais pour que l’intégration soit propre! maintenant que je vois à peu près l’ensemble du process, je reprendrai tout à zéro avec quelque heures supplémentaires de la nuit de dimanche prochain 🤞🏻 d’ici là si vous avez des conseils sur le sujet, n’hésitez pas! (j’ai évidement déjà regardé quelques tutoriels là dessus) 94edph, asi2600mcp, Lpro and alpT filters, Heq5, Strasbourg bortle 82 points
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Bonjour à tous Voici la Bulle, captée au C8 début Septembre. Les infos: Celestron C8 + réducteur f6.3 Antares + reducteur 0.8x @ 1060mm soit f/5.2 Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Crayford Scopestuff + Zwo EAF mise au point auto Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage lunette 70x400, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 166 x 60s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix. une brute de 60s:2 points
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Bonjour à tous, Voici me première Saturne de l'année. Disons que c'est la première 🙂 C8 + ADC ZWO + ASI 462 MC sur EQG GOTO Acquisition FireCapture Gain 300 Expo 20ms 1500 img retenues sur 5000 Traitement Astrosurface + Gimp La couleur ca va mieux, merci @sebseacteam mais va falloir que je fasse mieux à l'acquisition parce qu'elle est un peu palotte Manuel2 points
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Bonjour ! J'avais envie de tester la nébuleuse du fantôme, c'est fait Bon, c'est plus dur qu'il n'y paraît et l'arrivée des nuages m'ont fait perdre une partie des mes brutes... Quamite du ciel pas dingue, une brume en altitude...pas mal de halos... bref, la voici qd même ! 50x300" en Ha 45' chaque RGB Askar fra300 et QHY183M preprocess siril/sirilic process pix Assemblage rgb et calibration spcc integration Ha avec couche R NoiseX HistoTransform StarX puis réduction gros halo via scripts colormask Traitement Ha avec blurX et NoiseX Histo Intégration LRGB Ajustements courbes réduction via starX et scripts starreduction voilà, a vous de jouer !;)2 points
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pour repondre à tes questions dans l'ordre: - oui la focale est la bonne 1250mm donc F/D 5. pas de pb pour les longeurs de tubes, normalement ils vont faire 92 à 95cm de long. - pour les tube carré des leviers. il faut une section carré de 8mm (ou de 10mm si tu trouve pas) et un truc à mettre dedans pour pouvoir bloquer la bille, sur les plans c'est un tube de 6 dans un tube 8. mais si tu passes section de 10mm tu n'as pas de pb de raideur et tu pourrais couler de l'époxy dans la zone pour bloquer la bille à la bonne hauteur. - pour la branche de l'araignée, le 2mm est surdimensionné mais ça ira, il faudra juste en tenir compte dans la position du miroir (même si tu ne verras pas la difference avec 1mm d'écart. - pour les triangles 2mm ça va faire le job. en fonction du process de fabrication et de l'alliage d'alu on a pas la meme raideur. - pour le passe filtre, l'impression 3D est le plus simple, sinon avec un plaque de plexi en 3mm ou 4mm ça marche, mais pas en alu. - le kineoptic est sans contestation la meilleur solution pour le strock250 meme si la demultiplication est un peu trop forte. par contre si tu l'achetes passe directement par les USA il est à 100$, en europe c'est n'importe quoi, ils le vendent à 235€ c'est de l'escroquerie, même avec la douane tu seras gagnant. - Pour les miroirs secondaires, il y a certes la qualité mais il faut aussi la bonne épaisseur ici 10mm sinon c'est le bordel sur la position de l'araignée et du PO. les miroir d'Antares sont très épais. - pour le support du miroir, les copains on répondu, il y a 15ans on est parti sur le l'alu; maintenant je le fais en impression 3D avec un couche de carbone de chaque coté, mais en collage de plaque de carbone ça sera aussi très bien. Pour les oculaires, il vaut mieux prendre des oculaires parafocaux, tu seras bcp moins embêter pour faire la mise au point, ça sous-entend de rester sur les memes modeles pour toute la serie, l'un des meilleurs rapport/qualité sont les explore scientific (24mm en 68° en base, un barlow parafocale et ensuite tu vois quels oculaires il faut pour avoir une bonne progression dans tes grossissements ) Yannick2 points
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Bon, Je me suis peut-être mal exprimé...je ne voudrais pas créer de polémique : un 450 apporte beaucoup sur tous les types d'objet...heureusement !! Cependant, il est possible de nuancer ! Lorsqu'on double le diamètre d'un instrument, on collecte quatre fois plus de lumière mais, en même temps, on grossit deux fois plus ( à pupille de sortie équivalente ) ce qui veut dire que les objets étendus ( nébuleuses, galaxies etc... ) occupent une surface 4 fois plus importante dans l'oculaire et, de fait, apparaissent avec la même brillance de surface : c'est bien pour cette raison qu'on ne se brûlera pas la rétine en observant la pleine Lune même avec un miroir de 10 m de diamètre ! Autrement dit, une galaxie n'apparaît pas quatre fois plus brillante dans un 500 que dans un 250 et, le plus souvent, les détails qui nécessitent la vision décalée dans le 250 continuent de n'apparaître qu'en vision décalée dans le 500 ! Mais, heureusement, ce n'est pas toujours le cas : en effet, plus on grossit et mieux notre oeil est capable de percevoir de légères différences de contraste ou, dû au gain en résolution, quelques détails autrement imperceptibles !! Et c'est là tout l'intérêt du gros diamètre...faire apparaître des détails insoupçonnés à plus petit diamètre comme les bras de certaines galaxies, de fines bandes d'absorption, des régions HII, etc... Mais, on voit bien qu'il y a là un effet de seuil : certains détails évidents seront tout aussi bien perçus dans un 250 que dans un 500, d'autres vraiment trop faibles ne seront visibles ni dans l'un ni dans l'autre, et parfois des détails un peu à la limite dans le 250 vont tout d'un coup apparaître de façon évidente dans le gros tromblon et complètement métamorphoser notre vision de l'objet ! quelques exemples pratiques : - M51 : sous un bon ciel dans un 250 on a presque l'impression d'apercevoir les bras et même le pont de matière entre les deux galaxies, c'est joli mais ça reste fugace...c'est plus une évocation. Dans le 450 on se prend vraiment une grosse claque : les bras sont là en vision directe et en forçant un peu on perçoit des nodosités dedans qui correspondent aux principales régions HII, il y a de minuscules étoiles visibles en surimpression, le "pont" est évident...C'est beau !! J'en ai presque pleuré de joie la première fois ! Vision complètement transfigurée de cette magnifique galaxie !! -NGC 4565 : magnifique dans un 250 avec la bande d'absorption déjà évidente lorsque le ciel est top ( bien stable ). Ben, elle est encore plus belle dans le 450 car tout est plus facile mais, au final, je vois juste la même chose en mieux...pas vraiment de détails supplémentaires car le principal est déjà là dans le 250...c'est beau mais ce n'est pas une redécouverte ! Donc, on peut dire que certaines galaxies sont métamorphosées mais d'autres pas forcément. Il y a aussi toutes les tachouilles qui restent des tachouilles à peine plus brillantes mais sans aucun détails même dans un 450. Et puis les galaxies et la plupart des nébuleuses restent très impactées par les conditions d'observation : comme je l'ai dit dans mon CROA, il ya des nuits ou je perçois les bras de NGC 6946 et d'autres où je n'ai droit qu'à une vague tache grise !! Pour les objets ponctuels comme les étoiles, par contre, il en va tout autrement : la source lumineuse restant concentré en un seul point, le gain en luminosité est bien proportionnel au carré du diamètre !! Si je double mon diamètre je vais vraiment gagner en magnitude limite et en résolution : l'effet sur les amas d'étoiles est assez stupéfiant ! Dans un 250, seuls les grands amas globulaires du catalogue Messier sont complètement résolus jusqu'au centre, beaucoup d'autres ne le sont qu'en périphérie ou n'apparaissent que légèrement granuleux et un grand nombres ne sont que des taches laiteuses un peu floues. Dans le 450 c'est une véritable transformation : ils sont tous résolus, même la plupart des NGC !! Et même ceux qu'on croyait bien connaître nous montre un nombre ahurissant de minuscules étoiles qu'on ne remarquait pas dans un instrument plus petit !! C'est donc pour cela que j'ai écrit que c'est sur les amas d'étoiles que le gain est le plus évident avec un 450 : ça marche à tous les coups !! Bien sur que j'ai pris de belles claques avec certaines galaxies ou même beaucoup de nébuleuses planétaires mais parfois il arrive de rester sur sa faim : contrairement aux AG, ce ne sont pas toutes les galaxies qui d'un seul coup se retrouvent transfigurées...Parfois la transformation est phénoménale...mais certaines n'en montrent guère plus, et d'autre sont toujours aussi avares d'un quelconque détail à se mettre sous la dent !! C'est donc pas toujours évident ! ceci dit, les galaxies qui ont quelque chose à montrer sont mes objets préférés et c'est surtout pour partir à la chasse aux détails galactiques que j'ai cassé ma tirelire pour me payer une galette de verre digne de ce nom ! Et je ne suis pas déçu pour l'instant : par exemple, je viens de me faire NGC 6503 dans la nuit de mardi et c'est la première fois que je notais un peu de structure, de nodosités, dans le coeur de cette belle galaxie du Dragon ! Bon ciel à tous, JC2 points
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Bonjour à tous Après les galaxies, retour avec une NP bien jolie je trouve. NGC 7048 est une Nébuleuse planétaire située dans la constellation du Cygne. Elle a été découverte par l'astronome français Édouard Stephan en 1878. D'après l'image Pan-STARRS7 DR1 Color, la parallaxe de l'étoile Gaia (satellite) 2164192930525717248 située au centre de la nébuleuse, donne une distance de 1 593 ± 815 pc (∼5 200 a.l.). Cette mesure est en accord avec celle de 1988, obtenu avec une méthode différente. Les 3 autres étoiles à proximité du centre ont des distances éloignées de la mesure de 1988. Compte tenu de sa distance et de son diamètre apparent, grâce à un calcul simple, NGC 7048 s'étend sur ∼1,8 a.l. (∼0,552 pc) environ. Les infos: SCT Meade 254/2500 + correcteur Antares 0.7x @1950mm Player One Neptune-c II imx464 monture HEQ5 kit courroie Rowan autoguidage lunette 60x240, Asi290mm / PHD2 acquisition NINA 367 x 30s gain 85 offset 20 Traitement Sirilic, Siril, pix. Une brute de 30s2 points
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Et voilà la suite de ma reprise en astro avec les grands classiques. Nord Amérique et le Pélican Les photos ont été prises à Hamois en Belgique le 10/09/2023. J'ai utilisé une pose totale de 100 minutes répartie en 20 intervalles de 5 minutes. J'ai utilisé une lunette apochromatique Skywatcher Esprit 120ED avec un correcteur-réducteur de champs x 0.77, ayant une focale de 647mm F5.4. J'ai également utilisé un filtre IDAS-LPS-P3 et un appareil photo Nikon Z7 non défiltré, monté sur une monture équatoriale Skywatcher AZ-EQ6 pro. Pour le traitement des photos, j'ai créé une version HOO pour les nébuleuses et une version RVB pour les étoiles. Pour la version HOO, j'ai utilisé la sortie HA pour la couche rouge, un Mix HA/OIII réalisé avec Pixelmat pour la couche verte, et la sortie OIII pour la couche bleue. J'ai utilisé les logiciels Siril, Starnet, darktable et GIMP sous Linux. Lien vers une plus haute résolution: https://lucnix.be/i.php?/upload/2023/09/10/20230910102911-b230fb0f-xx.jpg2 points
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J'ai franchi le pas ! Ayant le sentiment d'avoir fait le tour de mon (très bon) Mak SkyMax180, et limité dans la polyvalence, je cherchais depuis plusieurs mois le successeur. Au final, les stocks vides des revendeurs m'ont aidé à tenter ma chance sans casser la tirelire, en attendant la dispo tant espérée. Délais, prix, forums compulsés, mon choix se porte sur un Dobson 10" d'origine GSO, badgé TS (au passage, nickel au niveau du service, et du prix ...). Comme je ne suis pas encore fan de la monture Dob, j'ajoute les anneaux et la QA qui va bien, et le petit laser de collim. Un premier essai en visuel et monture Dob me donne une impression plus que favorable : j'ai vraiment l'impression d'en voir plus et mieux sur la Lune. En revanche, la photo à la cam planétaire, c'est pas ça ... Nouvel essai cette nuit avec des conditions potables mais nettement moins bonnes que celle de fin Août. Donc sans suspens je vous donne mes deux meilleures de la session (et de toutes mes images depuis 1998 : mais pourquoi j'ai attendu si longtemps !!!). Configuration : CEM60+10"GSO+Barlow Zeiss avec allonge (~3x?) + IrCut + ASI462 Traitement : 4000 images retenues sur 12000 traitées en intégralité avec AstroSurface en drizzle 200% réduite à 80% au final et une petite retouche cosmétique avec Photofiltre (désatiration de 50% du bleu). Je garde quand même le mak. Pour l'instant...1 point
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Elle est arrivée aujourd'hui. Le PO a pris un léger coup, j'ai redressé la tige, graissé, réglé la tension : le mouvement est régulier. Il y a de multiples baffles : (au moins 5) Bien entendu : inspection optique et nettoyage. Pour rappel : c'est le niveau apochromat (sauf la prologation vers le violet) réglé à la façon Zeiss des années 50 : ~ 480-644 raies Cadmium (à la place de FC hydrogène) au niveau diffraction limited. La correction par rapport à Conrady qui est 500-620 : elle est au-dessus à 0.88 de strehl (l/5 de 500 à 630nm au lieu de l/4 sur 500-620 pour les Conrady) Comparaison théorique avec focus raie D pour tous (recommandé constructeur) et ajout focus 595nm pour la TS65. La correction sur la plage visuelle dépasse la norme. (on doit conserver l/8 = 0.95 strehl près du pic de sensibilité à 555nm Le test sur le jardin : après quelques secondes, on comprend le plus par rapport à un achromat haut de gamme. C'est plus découpé dans les verts et bleus, le brun est plus réel. Globalement, l'impression de relief est plus présente. Ça me rappelle mon apo d'il y a 6 ans. C'est confortable pour l'oeil. x200 en terrestre sans problème, c'est même utile pour les détails. (poussée à 250x avec un TMB Burgess planetary 4mm : ça tient encore, là on atteint pareil que la Mizar 60/800 mais la gestion du chromatisme fait la différence) Impression générale : c'est un tank comme la Astro Optical Cp. M80. Elle est bien plus lourde que la Mizar 60-800. Le tube est roulé soudé, le pare-buée est massif (2mm épais) Le niveau de finition opto-mécanique est au-delà du nécessaire. Seule la crémaillère me parait un peu en retrait de ce que je connais de Tak mais celle-là est déjà pas mal du tout (similaire à Vixen dans le concept) Le tube a trois tailles en sortie : M43 en direct / M36.4 adaptateur / 24.5. On peut y mettre un coulant 1"1/4 / M36.4 (TS Optics) Le PO est bien aligné et le vissant M36.4 me permet d'y visser le laser made in Japan pour collimater l'objectif. Pour la cellule, la gestion de la dilatation est prise en compte. Optique : les verres sont débordés et noircis (pas d'alignement nécessaire). Le coup de chiffon pour enlever la poussière dans le tube et c'est pas mal du tout. Le chercheur : wow c'est une mini TS65 au niveau qualité. Montant dépensé pour ce tube : 425€ (pas d'anneau, pas de queue d'aronde) ------- PS : je suis atterrée, un cornichon sur Astrosurf me propose de l'acheter pour faire du solaire avec. Achèteriez vous expressément une TOA 130 pour faire ça ? Enfin bon, à y réfléchir, c'est que je connais un autre cornichon de haute volée qui l'utilise pour ça... Mmmm (6h +tard, jugement un peu rapide)1 point
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Bonjour à tous, Voici un cœur qui m'a permis d'essayer le duo caméra couleur sur lunette 80/400 ainsi que deux nouvelles méthodes sous Pix pour moi, WBPP pour générer le stack (fait en 54') et le traitement simple qui redonne de la couleur aux étoiles issues du filtre duo NB. Il y a 94 x 300" soit 7h50 sous réserve que WBPP ait tout pris le paquet de brutes puisque je n'ai rien trié avant, ce que je ne sais pas vérifier (rien dans FITSHeader). Traitement selon méthode " Bill Blanshan" avec les masques de couleurs car je n'ai pas été convaincu par le process qui en est découlé, NarrowBandNormalization. Pour les étoiles, le tuto YT est ci-dessous mais pour faire court, on récupère l'image des étoiles (starmask), SCNR vert à fond, inversion (Ctrl + I), re SCNR vert à fond, re inversion puis saturation et mixage starmask+starless. Je n'ai pas vérifié la rigueur scientifique de l'affaire.. Aperçu avec la petite NP Webo 1 Et voilou !1 point
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III- La nuit du bolide Seul, Sous le ciel, juste en-dessous ; Face à l'Univers, C'est cette sensation que je recherche ; Pas d'interfaces, Pas d’artefacts, Minimum matériel ; Aucune médiation : l'observateur et l'Univers ; Quel luxe. Privilège ! Une chouette hulotte pousse son cri de loin en loin. La nuit est levée. Il y a eu du vent en journée, mais il a cessé et une voie lactée opalescente s’étire paisiblement d’un horizon à l’autre. J’émerge de ma torpeur diurne, tel un diogène échappé de son tonneau, ou plutôt de sa tente, mal rasé et hâve, et rejoins presque furtivement mon instrument. Pour me réchauffer l’oeil après les nuages obscurs (cf. épisode précédent) je vais d’abord sur un objet brillant dans l’Aigle, NGC 6709. Un piquetis d'étoiles éclatant parcouru de chenaux sombres, qui rehaussent par contraste des étoiles alternativement bleues et oranges. Puis je passe dans la Flèche, rapidement (forcément) sur M 71, qui apparaît d’autant plus discret et peu dense qu’il est perdu dans un champ assez riche. Dans le Petit Renard, le Cintre, ou amas de Brocchi, étale sa dizaine d’étoiles sur tout le champ du 30mm (82°). Sue French, dans son “Celestial sampler”* y signale Struve 2521, un système quadruple : “Un instrument de 4” montre un troisième compagnon plus faible (magnitude 11), plus proche du nord-est ; la séparation est facile à 40x” (French, Sue, “Celestial sampler”, p. 127. Traduction… libre). Evidemment au 300, c’est plus facile que facile et, au nord nord-est de l’étoile principale, trois compagnons sont finement alignés. Ah, c’est bien joli ! Mais il y a surtout et bien entendu M 27, que je peux grossir ce soir. Elle emplit tout le champ du Nagler 5 et, avec le filtre OIII, c’est un plaisir toujours renouvelé. J’y distingue force nouveaux détails, et puis comme des extensions qui débordent du champ. Je repasse au Nagler 13, mais elles disparaissent. Champ ou grossissement, il faut choisir ! Il faudrait un Ethos 5, peut-être. Ah c’est toujours pareil. En attendant et pour une fois je choisis le grossissement, retour au Nagler 5, on a vu plus malheureux, et je me noie un très long moment dans cette splendeur. Le Cygne est accroché au zénith et j’ai envie de revoir la blinking dans les meilleures conditions. Faisant fi du trou du Dobson (qui m’avait déjà joué un tour, en 2018, sous d’autres cieux), je file vers l’aile gauche. Chemin faisant, je passe par M 29 pour y glaner, peut-être, une nouvelle vue. Bon, le quadrilatère d’étoiles bleutées ne montre rien de plus, alors… Je poursuis vers le nord-ouest et me réconforte avec la jolie teinte verte de la blinking. Mais, phénomène mystérieux, je n’arrive pas à la faire clignoter ce soir. J’ai beau alterner vision directe et indirecte, la centrale reste obstinément visible. Bigre : la blinking ne blinke plus. En revanche, elle exhibe un joli halo. Mais de blink, point. …J’y reviendrai d’autres nuits, et elle clignotera à nouveau. Etrange : ça devait être moi, forcément. Quoi qu’il en soit, son joli halo vert ressortira, lui, parfaitement bien à chaque fois sous ce ciel de montagne. Très jolies observations ! Tout à côté de Sadr, NGC 6910, un petit amas ouvert assez lâche en forme d’y. Il est surtout censé être noyé dans un nuage obscur, IC 1318, qui doit s’étendre à son sud. Kepple et Sanner m’ont mis l’eau à la bouche, ou plutôt à l'œil, avec une magnifique photo (“The Night Sky Observer’s Guide”, vol. II, p. 145*). Mais j’ai beau zieuter, décaler l'œil (et le bon) autant que je peux, aller et revenir : je n’observe rien de plus obscur que l’obscurité du fond de ciel. C’est le type de cible que je gardais pour un ciel noir et transparent, d’ailleurs à l’oeil nu celui-ci est resplendissant… Mais non. Qu’à cela ne tienne, je descends au long du cou du volatile pour trouver NGC 6888, le Croissant. La forme vaporeuse de croissant est non seulement bien visible mais de fines marbrures sont visibles dans sa structure, comme des filaments en arcs de cercles qui lui donnent de l’épaisseur, et même du volume. Je passe un moment à détailler mentalement chaque marbrure, chaque rayure. En insistant, de nouvelles fibres apparaissent, qui parcourent verticalement l’épaisseur de la structure, la nébuleuse gagne encore du volume et un effet de perspective m’apparaît alors. C’est une belle observation ! Je continue, remonte, tire et pousse mon dobson du bout des doigts. C’est un corps à corps, ou une danse. Oui, une danse. Danse, danse, petite déesse de verre, de métal et de bois !* J’arrive sur NGC 7000, North America : elle sort facilement, au 30mm accompagné du filtre OIII. Sa forme est bien visible, elle contraste nettement avec le fond de ciel. Au niveau du golfe du Mexique, en particulier, c'est évident : la nébuleuse obscure lui donne sa forme typique. En insistant, je vois des radicelles de fumée noire qui pénètrent les zones lumineuses. Belle observation à nouveau ! Curieux que j’aie échoué à distinguer IC 1318 (je ne m’en remets pas), alors que l’Amérique du Nord sort si facilement. Mais l’évidence est là, sous mon œil ébahi (mais décalé, tout de même) ! Puis M 39, l’autre Messier du Cygne. Encore un amas ouvert assez lâche, étendu, une vingtaine d'étoiles bleues et blanches. En raison de son amplitude, l’ensemble n’est sympathique qu’au plus grand champ possible, à saisir sur fond de voie lactée scintillante. Je file sur 61 Cygni, l’étoile de Piazzi, dite aussi “étoile volante” en raison de son déplacement très rapide, d’une part en raison de sa proximité (11 al.) au soleil, d’autre part du fait de son mouvement propre dans la galaxie, si j’ai bien compris. Facile à trouver, Sue French indique qu’il faut imaginer un quadrilatère avec Deneb, Sadr et Epsilon. A l’observation c’est une jolie double orange. La plus brillante est très légèrement plus rouge que l’autre qui arbore, elle, une nuance subtilement plus jaune. Jolie double, si on prend le temps d’en percevoir les nuances. Quelques degrés plus bas, en revenant vers Epsilon, Sue, toujours elle, indique Ruprecht 173. C’est un amas ouvert d’une soixantaine d’étoiles. Dans sa partie Est, une étoile jaune saute aux yeux et Sue m’apprend (je l’appelle par son prénom : nous sommes intimes maintenant) qu’il s’agit de X Cygni, une supergéante jaune pulsante qui passe de la magnitude 5,9 à 6,9 en un peu plus de 16 jours. J’ignore si elle est à son maximum mais elle ne doit pas en être loin, car effectivement elle claque furieusement avec le reste de l’amas ! Jolie et intéressante observation, à suivre dans le temps si possible. Bêtement, j'ignore Ruprecht 175, juste à côté. Bon apparemment c’est un petit truc anecdotique, en comparaison, mais quand même, c’est ballot. Ce sera pour une prochaine excursion, tiens il faut toujours se laisser des cibles. Enfin, ce n’est pas ce qui manque, hein, il y faudrait plusieurs vies d’observateur… Mais de derrière un grand arbre me parvient une voix enjôleuse… Ah mais oui, c’est Xavier, caché par son 500, qui m’invite à observer une comète (2023 E1 ?). La visiteuse est pâlotte mais belle, avec une petite chevelure et une queue discrète, naturellement orientée en direction contraire du soleil. C’est bien joli ! Je me paye ensuite de grands coups d’oeil gourmands sur NGC 6960 / 6992 : les Dentelles resplendissent sous ce ciel bien noir. Je les parcours longuement au 30mm et les détaille au 13mm. Evidemment, l’OIII est de la partie, il se doit de l’être d’ailleurs, et justifie ici pleinement son indispensabilité : les extensions sont longues, fines, et perceptibles même loin des zones évidentes. Sur la grande comme la petite Dentelle, c’est une surenchère de voiles arachnéens, d’extensions. Le Balais de la sorcière, le Triangle de Pickering : tout y est. Quel plaisir toujours renouvelé ! Après m’être rincé l’oeil longuement je passe dans la Lyre, juste sous Véga, pour revoir Zeta Lyrae (Nasr Alwaki I) C’est une jolie petite double très courue, une étoile blanche et un compagnon de couleur jaune qui se tient à bonne distance. Comme toujours sur les doubles et autres systèmes multiples, c’est notamment le contraste de couleurs qui rend l’observation esthétique. Et comme toujours en observation astronomique il faut se donner le temps d’apprécier les variations de couleurs, de densité, de forme et de structure sur les objets. Ces variations sont fines et ne se donnent qu’après une longue et patiente observation. C’est d’ailleurs la récompense de l’observateur patient ; le voyeur pressé restant, lui, dans l’ignorance. Et à propos de couleurs, je retrouve non loin T-Lyrae, la belle carbonée de la Lyre. A rechercher à 2 degrés à l'Ouest Sud-Ouest de Véga. Celle-ci arbore une très belle couleur rouge-cuivre, rouille, qui contraste fortement avec les étoiles alentour. Une de mes carbonées préférées, spectaculaire ! Je jette ensuite un bon coup d'œil sur l’inévitable M 57, obligatoire quand on est dans le coin. Vais-je, cette fois, en discerner la centrale ? L’ovale de fumée apparaît certes bien découpé sur son écrin noir d’encre, bleu-vert, avec son renforcement typique au niveau des anses. Mais la centrale restera, une fois de plus, invisible. Flûte et zut. Là encore j’espérais, en ciel de montagne… Mais la prude se dérobe une fois encore. Je prends M 56 au passage, petit lot de consolation. Le globulaire se défend, il est piqué, accroché au ciel comme un petit lustre de cristal. Mais j’ai mal aux lombaires, malgré la chaise de repassage. Je me redresse le dos et m’étire, nez en l’air et ne pensant à rien (comme souvent) lorsqu’un flash illumine le ciel, le sol et les alentours. Un trait de lumière fend le ciel en deux, Nord-Sud, un coup de sabre argenté ! Alors comme en écho une clameur monte du fond du terrain, une ovation, des applaudissements qui résonnent dans la nuit. J’ai l’impression d’être dans un stade, un cirque entouré de montagnes en ombres chinoises. L’ampleur de l’acclamation donne une dimension supplémentaire au présent, renforce le sentiment de vécu, ancre l’instant dans le réel. Rien ne remplace cela et rien ne le remplacera jamais. C’est l’émotion du présent : j’éprouve le sentiment d’exister au monde, d’y être et d’en être, puissamment. Une brise tiède caresse le visage. J’ai juste le temps d’ouvrir la bouche, une fumée verte et persistante s’étale déjà en zigzags vers le sud. Pour un peu je me serais attendu à ce que Xavier crie “lumière !”, le flash a illuminé le sol, mais non : je n’entends qu’un bruit de gomme. L’animal n’aura rien vu, absorbé qu’il doit être dans le dessin d’une nébuleuse obscure de magnitude 15 au moins. Cœur battant, il me faut du brillant après cela. Inutile de chercher des nébuleuses obscures, d’ailleurs je suis ébloui. Après un bref repos sur ma chaise de camping, je file sur M 13 et elle ne déçoit pas. Elle est magnifique ce soir, bien définie, fine et résolue jusqu'au 5mm. Je retrouve mes facultés d’observation nocturne, si je puis dire, sur NGC 6207, juste à côté. Discernée comme un ovale diffus au 24mm, confirmée au 13mm. C’est une brume ovale. Placée dans le même champ que M 13 la galaxie s’éteint, mais le contraste avec l’amas globulaire est saisissant : un lustre de cristal accompagé d’une brume lointaine, qui restitue la sensation d’espace, de perspective. Un vertige. Après M 13, M 92 en visite de courtoisie est toujours un peu décevant. Plus petit bien sûr, plus compact au centre et plus diffus sur les bords. Mais il a sa personnalité. Bien joli quand même ! Je repasse par Rasalgethi, toujours fine et superbe : une étoile blanc-bleutée tout à côté d’un compagnon plus brillant, orange doré. Enfin je retourne débusquer NGC 6210, la Tortue. L’animal timide resiste un moment à la montée des grossissements et reste longtemps stellaire, mais cède vers 300 fois pour montrer une très petite tranche de citron vert, floue sur les bords. Là-encore, c’est subtil et il faut y accorder du temps : les bords flous dévoilent quelques nuances de teintes, et peut-être de densité, mais uniquement à la longue, patiemment. L’Univers se dévoile à l’observateur attentif. Il reste caché au voyeur pressé. (A suivre : “Nuits publiques et jours indolents”, suite et fin.) *inspiré de Metallica : “Dance, little tin goddess, dance” in Metallica, “The Memory Remains”. * Bibliographie : TRUSOCK, Tom, “Small wonders”, Cloudy Nights ; FRENCH, Sue, “Celestial sampler”, Sky & Telescope Media ; KEPPLE (George Robert), SANNER (Glenn W.), “The Night Sky Observer’s Guide”, Willmann-Bell, Inc., 2002 5e édition. BURNHAM Jr., Robert, “Burnham’s Celestial Handbook”, Dover publications Inc., 1978. Bande-son : Metallica Scorpions Led Zeppelin Ibrahim Maalouf Niels Petter Molvaer1 point
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Salutations chaleureuses d'Italie, ceci est mon tout premier message sur ce forum que, jusqu'à présent, je fréquentais uniquement en tant que lecteur. Je suis ici pour vous demander un peu d'aide concernant un problème local important de risque de pollution lumineuse, qui concerne une région d'Italie qui par ailleurs est parmi les meilleures en matière de ciel étoilé. Gianluca Masi, un astrophysicien très présent dans les médias en Italie (il tient beaucoup à donner de la visibilité à son projet de télescope virtuel, qui en tout cas est une initiative très bien menée) et objectivement très engagé dans la défense de la qualité du ciel , a monté et lancé une pétition sur Change .org qui, au moment de la rédaction de cet article, ne dépassait que 3 180 signatures. LE LIEN VERS LA PÉTITION - - https://www.change.org/p/salviamo-il-cielo-più-stellato-d-italia-l-unico-rimasto-dall-pollution-luminoso JE RÉSUME L'ACTUALITÉ POUR CEUX QUI NE CONNAISSENT PAS LE LIEU - Une filiale de Wind, une grande entreprise qui s'occupe principalement de téléphonie mobile en Italie, a l'intention d'implanter 8 énormes parcs éoliens tripales (de dimensions inhabituelles : 200 m de haut, 150 m de diamètre) pour la production d'énergie éolienne, en Maremme, la région de Toscane très appréciée du tourisme le plus raffiné pour la beauté de son paysage, ses vins exceptionnels et la beauté architecturale de ses petits centres historiques étendus. Exactement, dans la commune de Manciano; Localité MONTAUTO, à proximité et à l'intérieur d'une zone protégée pour des valeurs naturalistes et caractérisée, pour des raisons à mon avis de réduite anthropisation et orographie, par une valeur SQM particulièrement élevée - selon les enquêtes continuellement mises à jour, ABSOLUMENT celle avec le plus bas IL de l'ensemble péninsule. En Italie, il n'existe de meilleurs sites qu'en Sardaigne, dans l'arrière-pays de la station touristique de Cala Gonone ou dans certaines zones dépeuplées du Gennargentu. MA PREMIÈRE IMPRESSION - "Eh bien, il faut s'affranchir des énergies fossiles, toute source renouvelable est bonne, qu'est-ce qui ne va pas ? C'est bien mieux qu'une centrale à charbon... ou qu'on nous laisse vendre par Orano - ex AREVA - un joli « Génération III+ EPR »" (ce qui s'est passé à Okiluoto et continue encore à Flamanville docet à ceux qui ont l'expertise technique pour le comprendre) LES PERPLEXITÉS DE CERTAINS - J'ai appris par des amis du GrAG (Groupe d'Astronomes Amateurs Galileo Galilei) qu'une très forte opposition locale au projet se développe, liée UNIQUEMENT à la SITUATION des installations. Et aux risques qui seraient associés aux problèmes d’IL induits. Je pense : "Ah oui, il y a toujours un feu rouge clignotant la nuit pour avertir les avions et les hélicoptères qui passent, ... eh bien, qu'est-ce que ça peut être ?" PETITE ENQUÊTE – J'essaie de contacter quelques amis qui ont une station d'observation à distance dans cette commune. En effet, en analysant les autres parcs éoliens déjà construits autour, quelque chose ne répond pas aux attentes. Dans ce cas, l'usine semble être de taille véritablement "industrielle"... Téléphonez au maire de Manciano. J'ai appris de lui que la municipalité, avec une décision très bipartite, s'est tournée vers un avocat de renom pour préparer, juste à temps (le délai légal était le 6 septembre de l'année dernière), quelques observations sur l'EIE (étude d'impact environnemental) présentée par l'entreprise... et dont la Municipalité a eu connaissance presque par hasard. La municipalité de Manciano semble avoir compris que, parmi les valeurs paysagères, urbaines et naturalistes de la zone, qu'elle partage évidemment dans une large mesure avec les municipalités voisines, il y a aussi la particularité d'un ciel moins soumis à l'IL qu'ailleurs dans la région. toute l’Italie péninsulaire. Oui. Étonnamment, la municipalité de Manciano considère le ciel beaucoup plus sombre que la moyenne comme un atout à préserver. Incroyable. Après cela, j'ai également parlé avec Gianluca Masi, mentionné par le maire, l'astrophysicien et vulgarisateur qui a ensuite lancé la pétition, qui - bien sûr - est partie prenante (il y a aussi un observatoire... et est le promoteur du Télescope Virtuel, qui initialement positionné ailleurs se trouve maintenant précisément à cet endroit... alors ok, disons qu'un conflit d'intérêt peut être émis dans l'abstrait) mais de manière sincère mais calme et rationnelle il ne discute pas avec moi comme l'habituelle dame aux chats romantique qui ne veut pas qu'un chenil soit déplacé pour les animaux errants sous un monument équestre important... Non, vraiment pas. Ses observations sont actuelles, documentées et non « idéologiques ». APPRENONS PLUS - Oui, le risque est réel, étant donné ce qui se passe dans d'autres systèmes, où en effet on a vu que non SEULEMENT les feux rouges de dégagement de charge sont installés, mais qu'il y a un flash blanc au sommet de la tour de support. , et puis les systèmes sont normalement éclairés avec des lumières LED de bas en haut... donc l'IL serait certainement là, et dans un endroit qui - maintenant - est resté, à l'exclusion de quelques points en Sardaigne (l'un est dans l'arrière-pays près de la célèbre station touristique de Cala Gonone où je vais SPÉCIFIQUEMENT quand je veux faire des observations profondes...) celle comme mentionné avec le ciel le plus sombre d'Italie. LES CONCLUSIONS - même en tant que partisan convaincu des énergies alternatives, et de caractère hostile à tout syndrome NIMBY, je vous invite à SIGNER cette pétition car elle n'est pas le résultat de l'habituel comité local inévitable qui s'oppose à presque tout autre que le simple maintien de le status quo. Dans les provinces rurales, en effet, il y a souvent de l'hostilité à l'égard de toute innovation, même une jardinière ronde au lieu d'une jardinière octogonale sur la place du village... mais le "DROIT LÀ ??" Cette fois, tout est là, je l'avoue. OÙ IL N'EST PAS POSSIBLE d'éviter l'installation (cela dépend beaucoup de la somme d'argent qui y est associée... qui est souvent la véritable justification de l'opération, voir la Sicile où d'immenses champs d'éoliennes ont été installés malheureusement à l'arrêt ...) une pression adéquate de l'opinion publique permettrait au moins de négocier les caractéristiques d'installation et de gestion des lumières. Par exemple, parmi les lumières rouges situées au sommet des pales, une seule doit être allumée par intermittence, pendant la durée d'un arc de 30° lorsqu'elle passe au sommet de son orbite. CECI N'EST NORMALEMENT PRATIQUEMENT JAMAIS MIS EN ŒUVRE. JE NE SAIS PAS SI Change.org est également connu en dehors de l'Italie, mais je le soupçonne. Pour rejoindre une pétition, la procédure est très simple. Vous cliquez sur le lien qui mène à la page d'ouverture de la pétition, lisez le texte (il y a à la fois une explication concise et une autre beaucoup plus analytique et approfondie), et si vous êtes d'accord, indiquez votre nom, prénom et email (votre nom et votre prénom peuvent être visibles en tant que signataire, mais si vous ne l'aimez pas, vous pouvez également être anonyme) et vous recevrez alors presque immédiatement un court e-mail avec un lien sur lequel cliquer. Cela sert évidemment à vérifier que les signatures sont toutes connues, de personnes réelles et volontaires (sinon n'importe qui pourrait signer cent signatures en utilisant des adresses email récupérées en ligne ou depuis son propre carnet d'adresses). Je vous suis sincèrement reconnaissant pour votre patiente attention, je sais que cela fait longtemps mais je comprends que le site en question est peut-être inconnu de la plupart d'entre vous. Je posterai à nouveau le lien https://www.change.org/p/salviamo-il-cielo-più-stellato-d-italia-l-unico-rimasto-dall-inquinamento-luminoso1 point
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Mais pourquoi se prendre la tête avec cet assistant qui fonctionne quand il en a envie? (avec ma cam, sur cinq essais, un coup il y arrive, un coup il sature, et le reste il n'y arrive pas, avec les même réglages à chaque fois). Fais les en manuel tes flat, tu regarde l'histo, tu reste entre 40 et 50% et tu as tes flats. 60 seconde d'expo pour un flat... y'a un soucis quelque part là.1 point
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@blesecq : le boitier se met en veille tout seul après 3 minutes une fois déconnecté Bon y a peu de chance qu'il reste connecté durant 1 mois, il y a donc autre chose. Est ce que le fonctionnement du bouton est correcte ? Peut être reste il enfoncé ? je pense à un problème sur le perçage ou sur le montage.1 point
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Moi j'ai acheté ma QHY 183M ici, début d'année... 0 pb, comme globalement tout ce que j'ai acheté ici.1 point
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Je le fais avec BlurXterminator dans Pixinsight et à la fin avec le script StarReduction de Bill Blanchan, le sorcier de PixelMath1 point
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Bonjour Adamckiewicz Bravo pour tes dessins notamment les dentelles qui retranscrivent bien la vision a l'oculaire Cdlt Pascal1 point
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Le genre de gars avec qui je n'ai pas envie de discuter, contrairement à Dave Trott que j'ai appris à apprécier. A propos de : KENKO Kenko s'est refait une identité après des mauvais déboires avec des sous-traitants pas bon lors d'une précédente diversification dans l'astronomie. Je suppose qu'Ed Ting s'appuie là-dessus pour la critique facile. Kenko est surtout connu dans le monde de la photographie pour les accessoires photos (filtres/doubleur de focale/macro) Ils ont décidé de fonctionner par fusion/acquisition depuis les années 80. Tokina s'est joint à eux (pour ceux qui connaissent un peu le monde de la photo) Maintenant, ils ont une spin-off pour l'astrophotographie : Oasis Studio et une marque commerciale qui tient la route depuis une trentaine d'années. Ça fait suédois mais c'est bien eux : BORG De toute façon, la griffe du circle K, ça ne s'obtient pas par hasard, il leur a fallu passer par le JIS (institut de contrôle qualité pour l'exportation). En général ceux qui ont survécus aux bouleversements dans l'optique des années 80 (arrivée du made in China) sont ceux qui en avait un peu dans le ciboulot. A propos de la lulu de @sqfab Ce n'est pas anodin, c'est une 60 / 710 Il y a une subtilité cachée là-dessous ! Les valeurs en #10 sont des designs originaux, ils viennent de Astro Optical. ( 710 / 910 ), le petit détail qui tue juste parque ce que les tubes n'avait pas assez d'intra-focale ; donc on a rallongé la focale de l'optique pour pouvoir utiliser des accessoires comme les prismes géants de de 32mm (en fixation M36.4) au lieu des petits prismes de 22mm. Con comme la Lune mais bon, dans le haut de gamme on sortait des oculaires Kellner et Erflé pour le grand champ. La maille c'est le tube qui ne permet que le 24.5mm en sortie. Regarder la plupart des lunettes de 80mm et vous verrez que les PO ont des tubes un peu plus gros genre M43 avec la sortie sur adaptateur M36.4 : ça évite le vignettage. Par la suite certains paramètres comme le 910 de focale surtout sont restés dans la tradition, et aussi parce qu'on ne change pas les cotes des pièces tous les 5 matins. Bref 60/710, c'est un bon design, il a un peu plus de bouteille que le 60/700, après savoir qui l'a façonné, je sais pas trop, mais c'est un investissement conséquent pour créer la chaîne de fabrication (quelques machines, des tests plates, ça va vite chercher dans les dizaines de milliers d'euros) donc il y a des chances que cela ait été fait à Tokyo, chez Astro Opt. Co.. On a des bonnes surprises parfois contrairement à Unitron qui est catastrophique sur la fin.1 point
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Merci @krotdebouk pour ce test. Il me semble que la comparaison entre mono et couleur pour l'imagerie en bande étroite est plus subtile. Pour de l'imagerie en bande large, l'avantage de la caméra mono vient clairement de la luminance. J'avais vu sur CN un calcul assez fouillé montrant qu'une caméra couleur est devant une caméra mono utilisée en mode RVB "pur" en termes de RSB. Donc pour profiter de l'avantage en sensiblité d'une caméra mono il faut faire du LRVB. Maintenant dans l'exemple discuté ici, disons qu'en quatre heures avec la caméra mono tu fais 2h de H-alpha et 2h de OIII. Tu as donc recueilli 50% du flux en H-alpha et 50% du flux en OIII (sur les 4h d'imagerie). Avec la caméra couleur, il faut regarder les deux raies séparément. Concernant le H-alpha, il sera recueilli pendant 4h sur les photosites rouges (1/4 des photosites). D'après les courbes de transmission des matrices de Bayer, environ 80% de la lumière va passer en H-alpha, donc au total tu te retrouves à capter de l'ordre de 20% du flux H-alpha. Clairement le capteur mono est devant. Concernant le OIII, il sera recueilli pendant 4h à la fois par les photosites verts (la moitié des photosites, environ 90% de transmission à cette longueur d'onde) et les photosites bleus (1/4 des photosites, environ 50% de transmission à cette longueur d'onde). Donc tout compte faits, de l'ordre de 55% du flux en OIII est détecté donc en théorie c'est un peu mieux avec la caméra couleur qu'avec la caméra mono pour le OIII. Je n'ai pas pris en compte la courbe de QE du capteur en supposant que c'est le même dans les 2 cas. Notons que si l'objectif c'est de gagner le match, il suffirait avec la caméra mono de poser plus en OIII qu'en H-alpha car l'avance en H-alpha est très confortable... Attention, je n'ai discuté que le RSB ici, concernant la résolution il n'y a semble-t-il pas débat.1 point
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Pour la feuille, il faut la coller une fois le support terminé. C'est un peu galère mais avec une lame de cutter neuve et un peu de soin, c'est propre.1 point
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Bonjour J'ai effectué les premiers essais la semaine dernière, avec un filtre Optolong Enhanced en 2" monté dans une RaF Zwo: - Trouver une étoile guide ne pose aucune difficulté - Le suivi une fois la mise en station réalisée se situe autour des 0,30" - 0,50" . Le bilan est donc positif. Ce filtre est en FWHM de 10nm; il faudrait que j'essaie avec un filtre en FWHM de 6nm pour confirmer cette bonne impression Bonjour Oui j'avais regardé cette vidéo, c'est ce qui m'a conduit à commander et recevoir cette caméra (réception en 3 jours après la commande !)1 point
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Bonjour , Avec la même configuration que la Bulle NGC7635, j'ai essayé de photographier M33, vaste galaxie , toujours aussi belle à regarder. La galaxie du Triangle, également appelée M33, est une galaxie spirale de type SA(s)cd appartenant au Groupe local et située dans la constellation du Triangle. Sans doute satellite de la galaxie d'Andromède, sa distance au Soleil est assez mal connue. Les mesures actuelles donnent une distance allant d'environ 0,73 Mpc (∼2,38 millions d'a.l.) à environ 0,94 Mpc (∼3,07 millions d'a.l.). C'est la troisième galaxie la plus massive du Groupe local, après la galaxie d'Andromède et la Voie lactée mais devant le Grand Nuage de Magellan. Avec une masse évaluée à 60 milliards de masses solaires, elle ne représente que 5 % de la masse de la galaxie d'Andromède, la matière noire constituant près de 85 % de cette masse. Cataloguée pour la première fois par Charles Messier en 1764, la galaxie du Triangle avait probablement déjà été observée auparavant, étant visible à l'œil nu lorsque les conditions s'y prêtent. Son étude astronomique remonte au moins au milieu du xixe siècle, puisque William Parsons, 3e comte de Rosse, avait, dès 1850, suggéré que sa structure présentait des spirales. M33 a été utilisée par Gérard de Vaucouleurs comme une galaxie de type morphologique SA(s)cd dans son atlas des galaxies. Les infos: Celestron C8 + réducteur f6.3 Antares + reducteur 0.8x @ 1060mm soit f/5.2 Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Crayford Scopestuff + Zwo EAF mise au point auto Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage lunette 70x400, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 167 x 60s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix. une brute de 60s:1 point
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Oui c'est ça, le filtre duo NB ne donne pas le SII mais avec un traitement basé sur les masques de couleur on peu obtenir un rendu couleur assez proche du SHO. Remarque très juste et oui j'ai conservé les brutes de la mono SHO. Je vais en refaire une image avec seulement 3h55 de Ha + 3h55 de OIII pour la comparaison mono/OSC.1 point
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Saturne, hier, sous une turbulence moyenne et une humidité de dingue. J'ai testé de baisser un peu la focale histoire d'être dans un meilleur échantillonnage sur les conseils de Christophe Pellier. Ben c'est pas mal mais je suis pas encore au niveau de certains ! RC 254 mm sur EQ6. zwo 290 mc, ADC zwo, Barlow Televue 2x.1 point
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Bonjour, Après le tour de chauffe du 05/09, j'ai remis ça le lendemain, le ciel a été bien plus coopérant, et j'ai de mon côté repris mes marques comme au bon vieux temps Matériel: Celestron C8 200/2000 Sur Heq5, avec les caméras Player One Neptune-c II 464, Mars-m II 462, QHY5III715c. Logiciels: Firecapture, AS3, DStation, Astraimage, Astrosurface C8 avec PO Neptune-c II 464 au foyer C8 + PO Mars-m II 462 au foyer Couche L Couche R Couche G Couche B Mix WinjupOS Et pour terminer, C8 avec QHY5III715c au foyer1 point
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Etalée sur 4 à 5 ans, en parallèle avec la construction du télescope standard SAF 200mm à f/D 7 (de facto de f6 à f/8) a été accompagnée de l'élaboration d'accessoires adaptés. En effet les oculaires classiques de Huyghens, Ramsden et même Kellner de l'époque supporte mal ces "courts" f/D Un certain Maurice Paul, expert technique et Jean Texereau, à l'époque (1949) secrétaire de la commission. "La bataille des orthoscopiques." Pendant ce temps là : "la barlow est utile." L'orthoscopique barlowté ! Réfracteurs, la correction de la barlow sur un objectif achromatique : n'apporte plus de correction couleur à f/15. M. Baudiffier rencontre malgré tout des difficultés avec les orthoscopiques, le secrétaire ouvre les spécifications de la série calculée à la maison Lemardeley l'ortho Abbe de l'époque : 41° de champ. 38° sont utilisables, 24° pour la précision. Et le prix ouch ! Les alternatives en cours, le plössl de M.Paul et les Ramsden ingénieux du commandant Silva. M.Pataud remonte d'autres difficultés à propos de l'orthoscopique. La colle d'époque est du baume du Canada. Validation de la barlow, résultats mitigés en projection oculaire : la courbure résiduelle de l'orthoscopique est faible mais présente. La fin de 3 ans de galère à propos des orthoscopiques, de plus en 1951, leur prix industriel a quasiment doublé ! Le centrage des oculaires lors du collage puis débordage en machine de précision : c'est moderne, parfait pour des doublets de plössl. Note : l'astigmatisme dans le plössl dépend de la focale. La série des 2" sera calculée différemment, plus proche du design original d'Albert König (relief d'oeil plus faible en % de la focale) Le Clavé : quand un pro s'équipe et pense à l'avenir. Le Clavé plössl en barlow : la combinaison planétaire de choix pour les focales sous 15mm, alors que l'ortho garde quasiment son champ, le plössl le dépasse et atteint les limites utiles pour l’œil ~ 22.5° hors d'axe DIOPTRIX !1 point
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Salut tout le monde !! ça y est, j'ai enfin eu le temps de mettre au propre les dessins réalisés lors des NCN 2023 au camping des Pradines !! Seulement 4 dessins pour quatre nuits complètes d'observation : le reste du temps je me suis simplement fait plaisir sur pas mal de cibles sans sortir les crayons ! Voici d'abord un joli couple avec un AG et une NP qui entrent tout les deux dans le champ du pano 24 : NGC 6712 et IC 1295 . L'année dernière j'avais dessiné la NP en gros plan mais j'avais aussi beaucoup aimé la vision de ces deux objets si différents dans le même champ et je m'étais promis d'y revenir.... c'est fait !! L'amas globulaire est déjà en partie résolu avec le 24 mm et la NP apparait comme une bulle diaphane avec le filtre OIII. Je trouve ce champ très intéressant . Bien sûr, l'AG a été croqué sans filtre alors que IC 1295 nécessite le OIII pour être bien visible ! T450 24mm ( 90 x ). Vu que l'atmosphère était plutôt stable, j'en ai profité pour observer pas mal de NP à fort grossissement. ça fait plaisir de dépoussiérer la Barlow 2x de temps en temps et de sortir l'oculaire de 5 mm. Sur la série, j'en ai dessiné seulement deux mais elles étaient toutes très intéressantes! Voici NGC 6891 dans le Dauphin, une très belle NP qui montre pas mal de détails avec 700 x et 900 x de grossissement !! les renforcements lumineux en forme plus ou moins d'étoile à quatre branches étaient perceptibles dans les trous de turbu mais un peu difficiles à placer avec précision. Bien sûr la vision à l'oculaire n'était pas aussi contrasté ni aussi nette mais j'ai trouvé que ça valait le coup de sortir la planche à dessin !! T450 Blw x2 + 7mm ( 650 x) et Blw 2x + 5mm ( 900 x ). Encore une autre NP de la constellation du Dauphin qui m'a montré pas mal de détails : NGC 6905. Toujours avec de forts GR en guettant les trous de turbu. J'ai noté des renforts de luminosités et de la structure qui lui donne un petit air de M27 !! Ce fut vraiment une très bonne surprise de cette semaine de folie !! T450 650x et 900x. Pour finir, je vous présente une dernière NP qui sort un peu des sentiers battus : il s'agit de Jones 1 dans Pégase, une nébuleuse planétaire d'assez grande taille, plutôt faible mais qui ressort assez bien dans un bon ciel avec l'aide d'un filtre OIII. C'était un petit défi de ces NCN que j'avais lancé à @Vakoran que je n'avais plus vu depuis de nombreuses années et que j'étais très content de retrouver aux pradines ! La première fois que nous nous étions rencontré, sur le mont Ventoux, nous avions dessiné de concert chacun notre version des petites dentelles puis nous avions comparé les résultats de nos efforts avec intérêt... je lui ai donc proposé de refaire de même avec une nouvelle cible... j'attends avec impatience sa version de Jones 1 dessiné avec son 600 !! Voici ma version au 450 : Je ne suis pas super content du résultat : une partie de la dynamique a été perdue au scannage qui a gommé les nébulosités les plus faibles que j'avais essayé de reproduire sur mon dessin original !! Le dessin a été fait essentiellement au Pano 24 mm avec un petit essai à l'Ethos 21 ( merci Hubert ) que je n'ai pas gardé bien longtemps. Certaines étoiles ont été " glimpsées " au 13mm mais la vision de la NP était rop sombre. J'aurai bien aimé un 16 ou 17mm mais je n'en avais pas sous la main ! T450 90x 110x et 170x. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui !! Dès que j'ai le temps je concocte un petit CROA pour vous faire part de l'ambiance extraordinaire de cette dernière édition des NCN !! J'ai déjà hâte de participer à la prochaine mouture et de retrouver les copains !! Bon ciel à tous, JC1 point
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Il y a le coulant et surtout le diaphragme devant la lentille, une sorte d'anneau posé juste devant (retourner l'oculaire pour le voir). Cet anneau délimite la surface optique exposée à la lumière. Cela sert d'abord à n'exposer que la partie optique que le constructeur considère qualitative, les bords étant en général plus difficile à polir à la forme voulue on les masque systématiquement. D'ailleurs à ce propos vous pouvez masquer les bords d'un miroir pour un télescope ou les bords de la lentilles frontale d'une lunette achromatique pour significativement améliorer le contraste. Ensuite ce diaphragme va délimiter précisément le champ du ciel qui sera visible derrière l'oculaire, on parle ici du champ de vision pas du champ apparent sur le ciel qui lui dépend aussi grossissement : Champ apparent = G x Champ ciel. Il est logique que sur un oculaire de coulant 1.25 pouce on ne pourra pas exposer plus que 31.75mm de la lentille et même un peu moins, plutôt 29mm en théorie, car il faut au moins décompter l'épaisseur de métal de la juppe de l'oculaire, bref c'est le principe donc il faudra nécessairement passer au coulant 2 pouce pour espérer gagner encore du champ supplémentaire ce qui explique le tableau donné plus haut. Enfin pour les courageux on peut calculer tout ça avec cette formule mathématique : Champ ciel (°) = 57.3 x Diaph / Focale Instrument. Certains constructeurs d'oculaire et notamment Televue donne la valeur de ce diaphragme appelé "Field Stop" en anglais pour tous leurs oculaires : https://www.televue.com/engine/TV3b_page.asp?id=214 Les critères de choix seront surtout ce que tu comptes observer avec, le confort de l'oculaire à l'usage, un champ apparent plus grand pour un effet immersif, la contrainte de poids selon l'instrument utilisé etc ... Pour aller plus loin si je remplace "Champ ciel" dans la formule précédente : Champ apparent (°) / G = 57.3 x Diaph / Focale Instrument Champ apparent (°) = 57.3 x (Diaph / Focale Instrument) x G Champ apparent (°) = 57.3 x (Diaph / Focale Instrument) x Focale Instrument / Focale oculaire Champ apparent (°) = 57.3 x Diaph / Focale oculaire On voit bien ici que le champ apparent est une caractéristique de l'oculaire qui ne changera donc pas avec la focale de l'instrument C'est un calcul approché car selon que l'oculaire possède ou non de la déformation de l'image vers les bord appelé distorsion de grossissement angulaire (le grossissement G n'est pas constant sur tout le champ) ce résultat peut être légèrement différent, il faudrait mesurer ce champ pour être exact mais cela dépasse déjà le cadre de la question de ce post ...1 point
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Bonjour à tous, Je partage avec vous une image de cette zone incroyablement colorée du ciel austral, prise en collaboration avec d’autres copains de l’association SADR Chili. Prise en remote depuis le ciel Borte 2 du nord du Chili, environ 8h de temps d’intégration total en LRVB avec une lunette de 127mm focale 780mm et camera QSI 583, sur une monture EQ8. NGC 2170 est une nébuleuse par réflexion poussiéreuse et une pépinière stellaire qui s'est formée il y a environ 8 millions d'années, située au bord du nuage moléculaire géant de formation d'étoiles Monoceros R2, à quelque 2 700 années-lumière dans la constellation de la Licorne. En fait, NGC 2170 n'est que le centre de la nébuleuse blanc-bleu à gauche, tandis que cette région de plus de 15 années-lumière de diamètre affiche un mélange de types de nébuleuse. Les zones bleutées sont des nébuleuses par réflexion, ainsi nommées parce qu'elles réfléchissent la lumière des étoiles chaudes proches. Les zones rouges sont des nébuleuses en émission et brillent parce que la lumière ultraviolette des étoiles proches excite l'hydrogène et d'autres atomes de gaz dans la nébuleuse, qui émettent alors leur propre lumière dans des couleurs spécifiques. Ce qui ressemble un peu à de l'encre noire répandue sur l'image sont des nébuleuses diffuses obscures, et ne sont visibles qu'à cause de la lumière qu'elles bloquent. Enfin sur le côté droit de l'image se trouvent NGC 2183 et NGC 2185, deux nébuleuses à réflexion encastrées dans les nuages moléculaires brunâtres. (Merci pour la description https://delsaert.com/2018/10/25/the-colours-around-ngc-2170/) Merci pour vos commentaires et bon ciel à tous!1 point
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Bonjour @Nanar et bienvenue sur le forum Un début de réponse peut-être ici: http://www.astrociel.net/materiel_astronomie.php As-tu à ta disposition le mode d'emploi de ton Meade LX 200?0 point
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Non, ça dépend principalement de l'obstruction centrale et de la qualité des miroirs. Un catadioptre comme un maksutov newton, (le correcteur est plein champ) est mieux corrigé couleur qu'un apochromat et même qu'une super-apo, on l'a surnommé apo-killer. Par contre c'est délicat, la collimation a du mal à tenir quand on le déplace en véhicule : sur mon MN68, le secondaire fait à peine 25mm. Il tient bien la comparaison face à une lunette TMB 152 f/8 (même diamètre, même focale)0 point
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Photo en longue pose d'un aspirateur avec une LED qui change de couleur sur le dessus : Quand votre sucette tombe dans les moutons de poussière : Je ne traduirait que la morale : "après vingt ans d'efforts, nous avons conditionné les gens à employer des mots de passe difficiles à retenir mais que les ordinateurs devinent facilement" Une femme peut-elle vous rendre millionnaire ? Oui ! Si vous êtes milliardaire. Au moment où Dale entra dans la clairière et découvrit, côte à côte, le monstre du Loch Ness, le yéti et Jackie Onassis, son appareil photo se coinça. Entreprise Big Bob de billes de roulements, bananes, patins à roulettes et cire pour le sol.0 point
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J'en ai entendu du bien... Ca fait du 1 340€ le kg au prix neuf ouille. Si seulement Televue était moins cher...0 point
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Merci @Astrokor pour toutes ces réponses, qui me rassurent un peu 👍🙂. Pour aliexpress c'est vrai que c'est intéressant, et ce sera ma solution de repli si je trouve pas (j'essaie d'acheter le plus local possible quand c'est faisable, mais c'est un choix personnel et pas toujours réaliste)0 point
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As-tu vu des images prises avec des focales aussi courtes que tu envisages ? À 300mm la courbure de champ devient assez extrême et 300mm est la limite du domaine d'utilisation du réducteur donnée par Starizona...0 point
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Bonsoir à toutes/tous ! Bon, depuis fin 2022 et mes débuts en Astrophoto, l'arrivée tardive de l'Intes en Mars....la période planétaire étant passée, j'ai donc capitalisé jusqu'ici sur le CP uniquement (et un peu de Lunaire évidemment !) Hier, me battant une nuit de plus avec la G11 (pour ceux qui suivent le feuilleton...), vers 0:00, avant de parquer la monture, je décide de pointer Jupiter, pour faire un tout premier essai ! Je n'ai même pas pris le temps d'enlever le réducteur et suis donc resté à 1500mm de focale, au foyer, avec la PlayerOne Ares-C. Le secondaire de l'Intes (MK66 / D=150) est pas au top de sa collimation, je l'ai vu sur des étoiles défocalisées il y a quelques jours mais trop pris par les soucis de monture pour l'instant, je vais m'y atteler prochainement... Pointage via NINA en 3 fois puis Firecapture. A l'écran, ça "danse sévère"... Mise au point rapide, je descends à 10ms, règle en conséquence le gain pour l'histogramme, pose une limite de 90s...et hop ... 1vidéo, puis deux autres. -> Dodo. Traitement ce jour avec PiPP (join des 3 SER en un SER global). Autostakkert, AP, sélection des 12% les meilleurs sur la courbe. Un coup de Wavelets dans Astrosurface, de RGB align, niveaux léger. Crop PS. Voilà, après les superbes images passées ici ces derniers jours, je vais pas faire le fier, mais c'est ma première donc je suis content d'avoir pu la faire ! Suis preneur des critiques car je pars de loin (Aucune idée de quel est le satellite, on peut le savoir avec l'heure de capture je suppose qq part ?) Bien à vous, bon ciel ! EDIT : Si je m'y suis bien pris, il s'agirait de IO à gauche donc ?0 point
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Sur ce point, idem, ce n'est pour moi pas un critère ni une contrainte... Que ce soit Couleur/mono: Si tant est que la caméra soit refroidie, les bias (offset) peuvant être évités en remplaçant par un bias théorique/synthétique (tout du moins pour des caméras comme la génération de la 183). LEs darks, on ne fait qu'une fois par an par exemple, bien faits, pour chaque temps de pose/température/gain. Pour les flats : Alors, perso, je ne démonte pas mon train optique et j'ai un correcteur DANS le tube. JE fais donc les flats QUE si je fais une rotation de caméra... Sinon, je le garde quelques semaines/mois aussi. Un train optique bien nettoyé sur chaque éléments, qui reste en place, pas de raison que des poussières arrivent par enchentement...0 point
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Bonsoir et merci à Yannick pour tes conseils. Pas d'inquiétude : sur la photo on le voit mal mais les deux écrous sous les leviers sont bien collés et permettent un mouvement fluide des tiges de collimation(vers le haut et le bas), je l'ai vérifié(sans le miroir c'est vrai). Pour la cage secondaire, j'ai pris du ctp de 8mm et elle n'est pas très lourde ( moins de 2kg), je la péserai demain. J'ai décidé de prendre un miroir plus léger pour mon 400mm et de bonne qualité: Astroréflect pour que l'ensemble du téléscope respecte mon objectif: avoir un instrument qui reste transportable, pas trop lourd, sous les 27kg et stockable dans une seule valise comme le strock 250. Je sais, cela représente un vrai challenge!😉 Les tourillons seront sûrement stockés à part. Pour le barillet, je n'ai pas choisi un astatique trêsvà la mode en ce moment mais un 18 points avec 2 leviers de collimation, fidèle que je suis aux principes du strock 250.😊 Pour ce qui est de mon espérience de bricolage avec le strock, non elle ne m'a pas découragé comme tu peux le voir Yannick puisque je récidive avec la création de sa version Strock 400mm en catégorie moins de 30kg j'espère!😃0 point
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