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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 10/26/23 dans toutes les zones

  1. Imagée en 2019 avec un ASA20 de Chilescope. Nouveau traitement. 12 poses de 1200s en OIII et 8 poses de 1200s en Ha. La full est ici : https://www.astrobin.com/full/399541/B/
    8 points
  2. Cycle de Céphée - Tome 2 UN DOMAINE TOURMENTÉ (Mosaïque FSQ106 - ASI6200) Si vous n'avez pas lu les précédents chapitres, voici le lien vers le début de ce récit : Chapt : 1 et 2 CHAPITRE 3 : LA GRANDE VAGUE La houle cosmique était à l’origine de la Grande Vague. Nul ne connait son âge, mais elle existait bien avant Gyulbudaghian et elle perdurerait probablement bien après lui. Depuis le sommet sur lequel il avait toujours été, il n’avait jamais pu observer l’ensemble de La Vague. Il pouvait seulement distinguer l’écume et la mousse qu’elle gênerait, en contrebas de la crête. Il discernait leur évolution, mais cela lui nécessitait de puiser dans ses souvenirs les plus lointains, car la vague évoluait à une toute autre échelle de temps que la sienne. D’autres visiteurs avaient pu lui décrire, avant nous, l’immensité de son monde. Il avait donc pu apprendre, qu’il était perché sur la crête de cette menaçante structure, et surtout, qu’il n’était pas seul à l’habiter. D’autres Êtres vivaient comme lui sur La Vague, certains nichés dans sa courbe, d'autres installés sur son épaule. Ces deux régions semblaient bien plus paisibles que la crête, si bien que la nature des objets qui les peuplaient différait de celle de Gyulbudaghian. Cependant, tous s'accordaient à dire que depuis ce sommet, il bénéficiait de la vue la plus spectaculaire. Il lui suffisait de concentrer son regard vers le lointain pour pouvoir distinguer la profonde beauté bleue sur laquelle La Vague semblait tranquillement déferler… CHAPITRE 4 : L’ŒIL DE CEPHEE Cette lueur bleue au loin serait probablement la prochaine victime de La Grande Vague, et nous devions l’avertir du danger qui s’abattait sur le domaine. A mesure que nous approchions de la lumière, la structure qui la portait dévoilait son immensité. Une gigantesque colonne de matière, donnant l’impression de pouvoir résister aux épreuves du temps. Ce piédestal avait lui aussi été le fruit de la houle cosmique, mais on ne pouvait s’empêcher de penser qu’il avait été volontairement érigé là, pour y déposer l’Œil de Céphée. La lumière gagnait en éclat, son bleu devenant de plus en plus profond. La lueur vive et paisible qui en émanait traduisait une étonnante quiétude. Comme l’Œil de Céphée voyait tout, il ne craignait rien, malgré le chaos environnant, il nous suffisait de nous éloigner encore un peu plus pour comprendre la raison de cette sérénité. CHRONIQUES DU SAVOIR L'Iris d’un bleu Rayleigh La nébuleuse de l’Iris brille du même bleu que notre ciel pour la même raison : La dispersion de Rayleigh. La dispersion de la lumière est le phénomène par lequel la lumière se répand lorsqu'elle interagit avec des particules ou des obstacles dans son chemin. Cette dispersion est plus efficace pour les courtes longueurs d'onde, c'est-à-dire pour les couleurs violet et bleu, par rapport aux longues longueurs d'ondes, telles que le rouge. En d'autres termes, lorsque la lumière traverse de petites particules ou des molécules de gaz, le bleu et le violet sont dispersées dans toutes les directions, tandis que les longueurs d'ondes comme le rouge, sont moins dispersées et continuent de se propager dans la direction initiale. La nébuleuse de l’Iris ainsi que notre atmosphère sont de parfait exemples de la manifestation de ce phénomène. J'espère que ces nouveaux chapitres vous ont plu, A tres vite pour le final ! Chapitre final ici : Malik
    6 points
  3. Bonjour à tous, De retour dans la Girafe avec un joli duo de 2 galaxies bien différentes encore. - NGC 2655 est une vaste galaxie lenticulaire située dans la constellation de la Girafe. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de (1 418 ± 2) km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 20,9 ± 1,5 Mpc (∼68,2 millions d'a.l.). NGC 2655 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1802. NGC 2655 est une galaxie LINER, c'est-à-dire une galaxie dont le noyau présente un spectre d'émission caractérisé par de larges raies d'atomes faiblement ionisés et elle présente une large raie HI. C'est une galaxie active de type Seyfert 2. Ce joli nuage cosmique s'apparente à une galaxie, mais il lui manque des bras bien définis pour être qualifié de galaxie spirale et le renflement rougeâtre d'une galaxie elliptique. En fait, cette galaxie se situe quelque part entre une galaxie spirale et une galaxie elliptique. C'est une galaxie lenticulaire. Les galaxies lenticulaires sont en forme de disque comme les galaxies spirales, mais il n'y a plus de périodes intenses de formation d'étoiles et elle contiennent donc comme les galaxies elliptiques des populations d'étoiles vieillissantes. Le noyau de NGC 2655 est extrêmement lumineux, ce qui lui vaut la classification de galaxie de Seyfert. Cette luminosité est probablement produite par la chute de matière dans le disque d'accrétion du trou noir supermassif central de la galaxie. La structure du disque externe de NGC 2655 semble beaucoup plus calme, mais sa forme est plutôt curieuse. Elle possède des lignes de poussière asymétriques par rapport à son centre, des bras de marée et des régions étendues d'hydrogène neutre gazeux. La dynamique complexe des queues d'hydrogène neutre observées dans le domaine des ondes radio et de queues observées en lumière visible suggère des fusions galactiques dans le passé. Des observations en infrarouge ont montré la présence d'un faible barre. NGC 2655 est le membre le plus brillant du groupe de NGC 2655, qui contient également les galaxies NGC 2591, NGC 2715, NGC 2748 de même que les galaxies UGC 4466, UGC 4701 et UGC 4714. - NGC 2715 est une galaxie spirale intermédiaire située dans la constellation de la Girafe. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 1 344 ± 2 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 19,8 ± 1,4 Mpc (∼64,6 millions d'a.l.). NGC 2715 a été découverte par l'astronome français Alphonse Borrelly en 1871. Les infos: Celestron C8 + réducteur f6.3 Antares @ 1400mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 151 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:
    3 points
  4. Bonjour à tous, Avec pas mal de retard, je vous présente quelques images traitées des NATS 2023 (=nuits astronomiques de Touraine). Il s'agit d'un rassemblement astronomique organisé par la société astronomique de Touraine à Tauxigny (37). Les rencontres ont lieu durant le mois de mai au moment de l'ascension. Cela fait 2 ans que je participe à cet évènement avec mon club (Le Gaac=groupement des astronomes amateurs courrièrois) et c'est toujours un régal niveau ambiance/matos/ciel. Qq images du site: Les collègues du club à l'apéro 😄: Les paysages nocturnes: Les 3 panoramiques ont été réalisés avec un canon 6D Astrodon + objectif sigma art 20mm ouvert à 1.8 + tête panoramique nodal ninja 6. Chaque pano comporte 15 à 20 tuiles. Pour chaque tuile, il s'agit d'une pose de 10 sec à 3200 iso (je débutais avec le sigma et les poses de 10 sec sont légèrement trop longues. 8sec est un meilleur compromis) L'assemblage a été réalisé avec le logiciel Autopano giga et le post traitement avec Lightroom. Passons au ciel profond: j'ai réalisé une version L-R(H)VB de M51 que l'on ne présente plus 😉. Images unitaires: - L : 189*3 min à gain 100 - H : 50*4 min à gain 100 - RVB : 20*3 min à gain 100 pour chaque filtre Instrument de prise de vue: Askar 107 PHQ (749mm de focale) Caméra d'imagerie: ZWO ASI 2600 monochrome+ Roue à filtres EFW 7*36 mm (L,R,V,B,S,H,O) Instrument de guidage: diviseur optique ZWO AOG M68 Caméra de guidage: ZWO ASI 290 mini Mise au point: ZWO EAF Monture: SkyWatcher AZ EQ6 GT Pilotage: ZWO Asiair pro Logiciels: PixInsight Un crop sur la belle: N'hésitez pas à vous balader dans la full; j'ai découvert pleins de pétouilles dans le fond du ciel. Bon ciel
    3 points
  5. Salut! une petite expérience que je partage ici 😁 Cela m'aura fourni une bonne torsion de cerveau, apprendre à se servir d'un logiciel juste pour un délire (after effect) n'a pas été évident, mais, voici un petit tour 3D dans l'univers de quelques unes des dernières photos que j'ai capturées depuis Strasbourg réalisé grâce au tutoriel de ShiveringCactus:
    2 points
  6. Bonjour Exoplanètes des mondes multiples France inter ce jour 26 oct 2023 https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-jeudi-26-octobre-2023-1029856
    2 points
  7. Merci @M16, c'est bien SH2-155 (c'est dans le titre 😉) Il y a bien du OIII mais le Ha domine. En faisant une extraction Ha et OIII dans SIRIL , l'image OIII est celle-là: Cela dit, c'est le traitement qui fait ressortir ce bleu normalement noyé par le Ha. J'ai juste fait dans SIRIL l'étalonnage des couleurs, neutralisation du fond de ciel, et ensuite étalonnage des couleurs sur nébuleuse. En faisant plusieurs essais de choix du cadre, zone et taille, j'ai choisi celle qui faisait ressortir le bleu en gardant le fauve du Ha. Ce n'est pas une version HOO, j'ai essayé mais je n'ai pas obtenu de bon résultats. Concernant la deuxième, j'ai tout de même refait une version en désaturant un peu le rouge, qui était un peu agressif, comme l'a dit @Celebrinnar Merci et bon ciel
    2 points
  8. Bonjour, Pour une meilleure visibilité nous avons déplacé ce post dans la rubrique matériel général Bien à vous la modération
    2 points
  9. hey, je suis pas mort ! commande passée cette semaine, wait for it la 8ème sera la bonne ?
    2 points
  10. Bonjour, J'ai profité d'une brève accalmie hier pour imager NGC 1530. Il s'agit d'une galaxie spirale barrée située a 115 millions d'années lumieres. Cette galaxie n'appartient a aucun groupe ou amas, elle est donc gravitationellement isolée. C'est par ailleurs une galaxie à faible brillance surfacique , ce qui m' a obligé a augmenter un peu les temps de poses unitaires. Newton 350/1400 sur eq8r , poses unitaires de 15 secondes avec une asi 294mm. 3h00 de luminance et 20 minutes par couche couleur
    1 point
  11. Quelqu'un reprendra-t-il enfin la suite de mes sujets annuels sur les éclipses (solaires et lunaires) de l'année suivante ? Bonsoir à toutes et bonsoir à tous , Savez-vous que j'ai posté il y a déjà quelque temps pas moins de six sujets sur Webastro concernant les éclipses (solaires et lunaires) de l'année suivante [en y évoquant même parfois les passages de Mercure devant le disque du Soleil] ? Il s'agissait des six sujets suivants : • “Les éclipses solaires et lunaires de l'année 2013” : https://www.webastro.net/forums/topic/103939-les-%C3%A9clipses-solaires-et-lunaires-de-lann%C3%A9e-2013/ ; • “Les éclipses solaires et lunaires de l'année 2014” : https://www.webastro.net/forums/topic/115284-les-%C3%A9clipses-solaires-et-lunaires-de-lann%C3%A9e-2014/ ; • “Les éclipses solaires et lunaires de l'année 2015” : https://www.webastro.net/forums/topic/128295-les-%C3%A9clipses-solaires-et-lunaires-de-lann%C3%A9e-2015/ ; • “Les éclipses solaires et lunaires de l'année 2016” : https://www.webastro.net/forums/topic/137575-les-%C3%A9clipses-solaires-et-lunaires-de-lann%C3%A9e-2016/ ; • “Les éclipses solaires et lunaires de l'année 2017” : https://www.webastro.net/forums/topic/147184-les-%C3%A9clipses-solaires-et-lunaires-de-lann%C3%A9e-2017/ ; • “Les éclipses solaires et lunaires de l'année 2018” : https://www.webastro.net/forums/topic/157938-les-%C3%A9clipses-solaires-et-lunaires-de-lann%C3%A9e-2018/ . Et puis, après six sujets consécutifs traitant de ce sujet, j'ai espéré qu'un autre webastram prenne le relais pour continuer la série annuelle en la traitant d'un manière différente, hélas malgré plusieurs appels sur le forum Webastro ce fut en vain… Aussi, je relance une nouvelle fois cet appel, en précisant à nouveau que je suis tout prêt à aider (par des messages privés) celui ou celle qui osera s'y atteler. Je précise que les quatre documents de base à consulter sont les suivants : • le site Internet du webastram français Xavier Jubier (alias “Éclipses” sur Webastro) “Cinq millénaires (-1999 à +3000) d'Éclipses Solaires” : http://xjubier.free.fr/site_pages/solar_eclipses/5MCSE/xSE_Five_Millennium_Canon.html ; • l'autre site Internet du webastram Xavier Jubier “Cinq millénaires (-1999 à +3000) d'Éclipses Lunaires” : http://xjubier.free.fr/site_pages/lunar_eclipses/5MCLE/xLE_Five_Millennium_Canon.html ; • le site Internet (hélas en anglais) des astronomes Fred Espenak et Jean Meeus “Five Millenium Canon of Solar Eclipses -1999 to +3000 (2000 BCE to 3000 CE)” : https://archive.org/details/NASA_NTRS_Archive_20070003587/mode/2up?q=Jean+Meeus ; • l'autre site Internet des astronomes Fred Espenak et Jean Meeus “Five Millenium Catalog of Lunar Eclipses : 1999 to +3000 (2000 BCE to 3000 CE)” : https://archive.org/details/NASA_NTRS_Archive_20090028006?q=Jean+Meeus . Alors ? Si le phénomène des éclipses solaires et lunaires vous intéresse, et que vous voudriez le vulgariser sur Webastro, n'hésitez pas à prendre la suite… Roger le Cantalien.
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  12. Ce n'est pas à la portée de tout mécanicien de faire ce genre d'hélicoïdaux, ils sont taillés précis. Les fonds de rails, ce sont des goutelettes de graisse transparente que j'ai mise. Quand c'est bien fait, ça ne s'encrasse pas beaucoup, il n'y a pas de morte zone sans contact et il faut mettre de la graisse fluide ou de l'huile pour les montres. En 50 ans, le chrome du tube PO a pas bougé. La tulipe avant chez Astro, c'est la cellule coupe-lumière la plus efficace que j'ai vu.
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  13. Kenko vs Towa Je pense aussi que Kenko est au-dessus de Towa, parfois avec des choix d'ergonomie et de formule optique pas bien expliqué mais bon... J'ai vu des réfracteurs anciens et des oculaires récents surtout. Un peu désappointée pour deux oculaires car ils passaient mal sur les vieux f/D moyen, par contre sur qualité apo et f/D long, top -> ils étaient conçus pour du réfracteur haut de gamme, muti-traités, formule optique récente. Royal c'est la gamme de Perl, je pense fabriquée par Astro Tokyo, parfois en version allégée par rapport à ce qu'ils faisait directement pour le Japon. Astro Tokyo Ce sont deux ingénieurs de Carton qui ont créé la spin-off, des passionnés d'astronomie (Carton fait d'autres choses, microscopie, mesure, binoculaires) Les matériels Astro, c'est 7kg pour un réfracteur de 80mm, ça surprend. Nikon et Pentax ont de la mécanique excellente qu'ils ont copié sur Astro, la norme et parfois rationalisé, refait l'aspect, simplifié. L'optique Astro, sur 3 réfracteurs qui me sont passés entre les mains c'est 😶. Parfois usé mais rien à modifier. La mécanique Astro, c'est pareil, c'est au-dessus, sans compromis. Le seul PO crémaillère qui m'a rappelé ça est un PO de FS152... Cosmétique : Astro fait barbare en apparence par rapport à Nikon et Pentax mais tout y est, avec le petit plus pour l'éternité. Un exemple. Pignon et Rail chez Astro : Matière : bronze spécial usinage, chromé. 10mm au lieu de 4 à 8mm, 8mm en haut de gamme chez Taka, Nikon, Pentax Rail plus rigide car plus épais : c'est chiant car il faut régler la tension mais ce sont des PO qui supporte plus de poids. 16 dents au lieu de 15. O o ? Ce sont les deux détails qui tue : toujours deux dents en contact sans ce qu'on appelle des interférences quand on construit des engrenages. Ceci limite le backslash (mais nécessite f/15 car le ratio manuel de démultiplication est un poil plus faible) Ça semble inutile de faire 16 au lieu de 15 mais il faut savoir qu'un rail de PO ça plie. La dent de plus c'est ce qui évite de pincer et permet une marge de contact plus large. Le PO a plus de force, grippe moins, ne cogne pas à l'utilisation ; il est souple même chargé.
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  14. Mais dis donc, tu serais presque un vrai "Morvandiau" ! Quand c'est couvert, c'est couvert ! Mais bon, c'est comme partout. A Pannecière, ils avaient eu la bonne idée de mettre des lampadaires boules sur toute la longueur de la digue. C'était la grande époque, au diable le gaspillage. Bien visible sur les photos vues "d'en haut", mais aussi depuis les alentours dès que ça diffusait un peu. Je viens de rechercher dans mes "X-Files"... Versailles en plein Morvan. Heureusement, dès qu'on a commencé à dire que cela serait peut-être bien de protéger le ciel du Morvan (DarkSkyLab - Sébastien Vauclair et al. sont passés par là aussi avec un énorme boulot de mesures, analyses, prescription) et avant que les grands dirigeants de notre pays annoncent l'année dernière que cela servait à rien de trop et mal éclairer la nuit, il avait été décidé "d'éteindre" ce lieu... Il reste toujours qq irréductibles (2 ou 3 factures annuelles d'électricité vont peut-être les calmer un peu...) mais globalement, la situation s'est vraiment améliorée.
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  15. (chipotage) Attention, Galilée a vu un truc autour de Saturne, mais n'a pas vu d'anneaux. Ni ses successeurs. Il me semble que c'est Huygens qui a été le premier à reconnaître des anneaux. (Ces sont des dessins de Galilée, Hévélius et Gassendi.)
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  16. Il y a parcouru 30° environ
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  17. La lune éclairait beaucoup mon coin, je voyait même les vaches dans le champ, de ce fait, les nuages étaient relativement clairs sauf le fameux "PAN" (eh je connais maintenant 😂) que j'ai vu car il était sous les nuages clairs, je l'ai donc distingué assez facilement.
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  18. Comme dit en face, j'étais présent à cette réunion. Le projet est vraiment chouette, les instruments attireront du monde ça s'est sure! Un 1m sous le ciel du Morvan, comment dire... ça va être de la pure folie mais pour cela il faudra que la météo soit clémente aux nouvelles lunes et malheureusement c'est un "petit" détail qu'il est impossible de maitriser mais gardon espoir! En plus ce projet est porté par des passionnés!! Wait and see...
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  19. Bonjour à toutes et tous, pour participer à la réflexion (j'ai deux enfants - 6 et 9 ans - et je m'occupe d'un groupe de jeunes au club astro de ma commune), j'aurais tendance à dire que tout ce qui est dit au-dessus est intéressant et que chaque enfant, chaque duo parent-enfant, est différent. Pour les jeunes de mon club, parmi le matériel qu'ils utilisent régulièrement (Dobson de table 100/400, lunette de 70/400, lunette de 70/700, mak 90, lunette de 102/1000, et Dobson 200/1200) le "meilleur choix pour offrir à Noël" c'est (étrangement, à mes yeux 😅) la petite 70/400. En gros, ils ne voient pas de différence évidente avec la version 70/700 niveau image et trouvent que la compacité et le sac à dos en font un objet facile à emporter, à manipuler et à utiliser. Ils apprécient aussi le renvoi à 45° qui redresse l'image et rend l'utilisation plus facile et utilisable de jour sur des cibles terrestres (avec les risques que cela comporte). Bref, c'est LEUR choix (7 jeunes sur les 10 de l'année dernière) mais ils préfèrent quand la lunette est sur un bon trépied et quand je mets un chercheur point rouge dessus. Ils préfèrent aussi regarder dans le 200/1200 lors des sorties avec le club mais, pour chez eux, pour aller en WE, ils préfèrent la petite 70/400... Perso, pour mes enfants, j'ai préféré partir sur un Dobson de table car, à mes yeux, la stabilité est importante mais les jeunes du club me font douter 🫣. Au final, il regardent surtout dans mon 150/1200, avec moi, et pas longtemps du tout (moins de 2 min).
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  20. Diffusion Rayleigh : les particules doivent avoir une taille très petite par rapport à la longueur d'onde (a << λ). Et l'intensité de la lumière diffusée est inversement proportionnelle à la longueur d'onde puissance 4 : I = kλ-4. De plus, la lumière diffusée est polarisée, ce que l'on peut vérifier sur le ciel bleu (largement exploité par les photographes).
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  21. Je pensais à l'utilisation du télescope, notamment au suivi d'un objet. Est-ce qu'une enfant de 8 ans peut le faire avec un dobson de 200mm (surtout si un tabouret est nécessaire) ? Honnêtement, je n'en sais rien, c'est une question que je me pose... Tout comme le dob' de table a ses inconvénients, comme l'a dit adamckiewicz (merci pour les photos ), le plus pratique est sûrement de le poser au sol : As-tu lu ce sujet ? : Il y a plusieurs pistes de réflexions intéressantes : - est-ce qu'une enfant de 8 ans sera "assidue" ? Est-ce qu'elle aura l'envie de passer plusieurs dizaines de minutes à l'oculaire ; ou est-ce que ce sera juste "oh, c'est chouette", et on reste 2 minutes à l'oculaire ? - il faut garder à l'esprit que c'est l'adulte qui devra mettre en place le télescope, c'est une contrainte (je pense au dobson 200mm), - il y a aussi les conditions météo (le froid), l'heure tardive suivant le moment de l'année... Bien sûr, il n'y a pas de "cas générique", chaque cas est particulier : ma première elfette s'est "éclaté" à regarder la lune dans une petite lunette achromatique sur trépied photo pendant des années, la fille de ma cousine s'est rapidement lassée de son dobson 150. Pour les enfants/ados, ça peut être une passion naissante, tout comme ça peut être une "envie du moment" (pour les adultes aussi d’ailleurs )... Si tu le peux, prends le temps de lire le sujet que j'ai indiqué : il y a plusieurs témoignages, qui peuvent "mettre le doigt" sur un point auquel on ne pense pas forcément..
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  22. Prems encore décidément , sympa encore ce champs galactique, belle prise Seb !
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  23. Cycle de Céphée - Tome 2 UN DOMAINE TOURMENTÉ (Mosaïque FSQ106 - ASI6200) Il y a de cela deux ans, Céphée m'ouvrait les portes de son royaume, me laissant capturer ses trésors, que je vous présentais dans : Les Joyaux de Céphée À l'époque, je n’imaginais pas que cette première mosaïque serait le point de départ d'une si longue quête. Aujourd'hui, elle constitue le premier volet d'un cycle que j’ai poursuivis dès la saison suivante. Aussi j’ai pensé que le thème du roman de science-fiction serait une judicieuse manière de relier ces images. Alors comme pour tout bon roman, j’ai façonné la présentation de cette image comme un récit, que je vous invite à explorer en cinq chapitres, au cours desquels l'énigme et l'émerveillement se dévoileront peu à peu… PROLOGUE Après nous avoir permis d'admirer ses Joyaux, Céphée nous convie, pour cette suite, à une excursion au cœur d'une contrée de son vaste domaine. Deux ans de périple le long de son bras, nous ont menés dans une région traversée par la Voie lactée, obscure et angoissante. Elle est peuplée d'objets qui semblent osciller perpétuellement entre ombre et lumière, créant une atmosphère pesante et oppressante. Ce second volet du récit se déroule dans un paysage brumeux et tourmenté que j'ai tenté d'illuminer à travers mon instrument, révélant des secrets qui, une fois dévoilés, pourraient nous hanter pour l'éternité. CHAPITRE 1 : PREMIERE RENCONTRE Nos premiers pas nous amènent à la rencontre d’une horde spectrale, menée par une figure que tout le monde connaît sous le nom du Fantôme de Céphée. Bien que souvent évoqué seul, il est aisé d'apercevoir à travers la brume, le cortège qui erre en ces terres. Les sillages laissés par cette lugubre troupe nous laissent presque deviner leur progression, une poursuite cosmique dans un chaos marécageux. Leurs trainées semblent chuchoter d'anciens secrets, tandis que les étoiles elles-mêmes feignent de se cacher, craignant de révéler les mystères qui se jouent ici... CHRONIQUES DU SAVOIR Globule Blanc Les Globules de Bok sont ces nombreuses petites taches noires que l’on peut observer dans les grands complexes nébuleux. Constitués de gaz et de poussière, leur densité élevée leur confère une teinte tres sombre et opaque, créant un contraste qui leur donne souvent l’air de flotter dans leur environnement. Ces objets sont des régions de formation stellaire, dans lesquelles naissent les protoétoiles. Celui qui nous intéresse dans cette région se cache dans la partie haute du Fantôme, au-dessus de VDB-141, une zone lumineuse de quelques secondes d’arc de diamètre. Catalogué CB230 (Clemens & Barvainis catalog of Bok globules, 1988), ce globule a fait l’objet d’études approfondies, dont l’enquête s'est notamment penchée sur la protoétoile CB230-A qu’il abrite, ainsi que sur le jet de Fe II qui lui est associé. L’objectif de ces études était de mieux comprendre les interactions entre les étoiles naissantes et leur milieu environnant. De par son stade d’évolution, et considérée comme un Jeune Objet Stellaire (YSO), cette protoétoile de faible masse en accrétion, émet dans l’infrarouge proche et moyen. Les relevés laissent également entrevoir la possibilité que deux noyaux tres proches (CB230-B1,B2) pourraient constituer un système triple avec la protoétoile principale CB230-A. Voici quelques figures de cette région relevée à travers le Telescopio Nazionale Galileo de 3.58 mètres à La Palma, capturées par le spectromètre NICS. Résultats des observations TNG/NICS de CB230 de l’émission H2 et [Fe II] (incluant l’émission continue) : Au centre, un zoom sur les objets détectés dans H2 au cœur de CB230, les contours permettent de mieux souligner l’émission la plus intense. La protoétoile est indiquée par A. À gauche, un gros plan du plus petit objet d'émission, qui contient clairement deux sources (B1 et B2). Le panneau de droite montre l'émission [Fe II] profilée (incluant toujours le continuum). Une nette différence est observée dans l'émission diffuse juste au nord de la protoétoile, par rapport à l'image H2 (panneau central) ; c'est la signature d'un jet. Un gros plan sur cette dernière figure, la soustraction du continuum permet de mettre en évidence les jets et les nœuds k1 et k2 dans CB230. CHAPITRE 2 : HARO SUR LE MARAIS Gyulbudaghian ! Voici le nom par lequel cet objet se présente à nous, nous souhaitant la bienvenue sur ces terres, et exhibant fièrement sa robe luminescente. Plus tard, nous découvrirons sa véritable nature, qu'il dissimule sous cette enveloppe fascinante en forme de boucle laiteuse. Il semble manifestement ravi de notre présence, nous indiquant la chance que nous avons de pouvoir le contempler. Il admet avoir croisé occasionnellement des visiteurs, mais il semble que c'est la première fois qu'il accueille quelqu'un durant une période si brillante. Apres nous avoir compté sa vie, à l’évidence tout aussi tourmentée que les étendues marécageuses qui l'entourent, il prit soudain un ton plus grave pour nous mettre en garde, nous exhortant à prendre nos distances pour mieux prendre conscience de la menace qui se profile dans la région. Gyulbudaghian, en faisait partie, mais il se trouvait impuissant face à cette réalité. Il y était lié par un destin inéluctable, et ne pouvait qu’observer l'inexorable avancée de cette menace, déferlant tranquillement à travers l'infini de l'espace. CHRONIQUES DU SAVOIR HH pour Herbig Haro La nébuleuse découverte par l’astronome Armen Gyulbudaghian est la partie lumineuse de forme triangulaire, au centre de l’image, d’où la boucle de matière semble jaillir. On lui associe l’étoile PV Cephei et l’objet de Herbig Haro HH-215. Les objets de herbig Haro, sont des émissions de gaz et de poussières se produisant lorsque de jeunes étoiles, éjectent de la matière à grande vitesse. Ils se forment lorsque ces jets de matière rentrent en collision avec le gaz et la poussière environnants. Ces régions de choc émettent de la lumière visible, de l'infrarouge et d'autres longueurs d'onde du spectre. Sur cette image nous pouvons distinguer l’etoile PV Cephei ainsi que les deux jets bipolaires caractéristiques des objets de Herbig Haro, On remarque que le jet nord, celui se dirigeant dans le sens de la boucle, est bien brillant, tandis que le jet sud, est obscurci par une nébuleuse sombre, lui donnant ainsi une apparence moins lumineuse. Cependant, la caractéristique la plus remarquable de cette nébuleuse est ailleurs. Gyulbudaghian et son objet de Herbig Haro, se distinguent par leur évolution dans une échelle de temps inhabituelle, pour les observateurs du ciel profond. Leur luminosité peut changer sur une période de plusieurs mois. Par conséquent, selon le moment ou les astronomes observent cette fascinante nébuleuse, ils peuvent la percevoir tres brillante ou quasiment insaisissable ! Pour illustrer cette particularité, voici une planche d’images de cet objet prises sur une période de plusieurs mois, puis pour finir une animation réalisée par Chris Deforeit, retraçant son évolution sur 22 ans. GYULBUDAGHIAN.mp4 C'est ici que ces deux premiers chapitres prennent fin, en espérant qu'ils vous ont plu, merci pour votre lecture ! La suite du récit ici pour les chapitre 3 et 4 : Malik
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  24. J'ai modifié le réglage du bandeau. Il devrait être moins intrusif.
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  25. Hello, Une image prise le 22 octobre pendant un peu moins de 5h en poses de 180s. Une petite fenêtre d'éclaircie dans cette période de grisaille en Normandie. Une lune à 50% mais pas trop gênante, surtout avec le filtre NBZ. Je vous propose deux versions, une classique et une avec des couleurs un peu type Hubble. Toujours à l'écoute de vos remarques et conseils, bon ciel Pascal 94 x 180 sec Quattro SW 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur starizona x0,75 Filtres IDAS NBZ Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – GIMP - Xidenoiser
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  26. bonsoir à tous, je continue de traiter mes vieilles acquisitions de début d'année : il s'agit donc de la nébuleuse du cône et de son voisinage ( arbre de noël, fourrure du renard, nébuleuse variable de Hubble (ngc2261) et tutti quanti ) prise le 25 et 26 Février dernier depuis ma Beauce. Bon, je suis toujours daltonien et j'ai donc toujours un doute sur le dosage du rouge .... surtout qu'il y en a partout! Atik460ex + filtres HaRVB astronomik + fs60 à f/4.2 sur ma GP autoguidage en // avec zwo178mm + zwo30F4 Ha 6nm : 33 x 300s en binning 1x1 R : 5 x 180s en binning 2x2 V : 3 x 180s en binning 2x2 B : 7 x 180s en binning 2x2 prétraitement imageviewCA traitements iris, siril, starnet, photoshop, noiseware A la taille d'acquisition : annotation Siril : a+ stéphane
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  27. Galilée a cru que Saturne était une planète triple : https://www.cidehom.com/science_at_nasa.php?_a_id=100 Extrait : Galilée lui-même fut très intrigué par l'aspect changeant de Saturne. Il découvrit les anneaux de Saturne en 1610. « Altissimum planetam tergeminum observavi », consigna-t-il alors en Latin : "j'ai observé que la planète la plus élevée est triple: oOo." Des satellites : c'était ainsi que lui étaient apparus les anneaux de Saturne, vus au travers de sa rudimentaire lunette. Mais il dut bientôt renoncer à comprendre ce qu'il avait observé lorsque, deux ans plus tard, les compagnons de Saturne disparurent. Les anneaux se présentaient maintenant par la tranche, et Galilée ne pouvait plus les voir. Par la suite, les allées et venues des anneaux de Saturne ont encore intrigué les chercheurs pendant de longues années, et ce ne fut qu'en 1656 que l’astronome Hollandais Christian Huygens découvrit la bonne explication.
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  28. J’ai un souvenir ému des nombreuses balades les soirs d’été au dessus de Montreuillon, perdu dans la campagne en aval de Panneciere. J’y ai beaucoup observé à l’œil nu et aux jumelle, un peu avec un 125mm. Le ciel y était superbe!!!!! Je pense que cela n’a pas beaucoup changé, et la météo est quand même globalement très bonne dans le coin. En été et en hiver aussi! Je suis très heureux que ce projet se fasse!
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  29. Reprenons calmement. 😀 Tout d'abord @emilien.pltr , qu'est ce qui te fait penser que tu n'utiliserais pas ton scope au maximum ? "l’impression que je n’utilise pas ses capacités au maximum" : c'est une impression, pas un fait. D'où vient-elle ? D'autre part, tu dis avoir eu ce télescope récemment. As-tu fait suffisamment d'observations depuis, sur différents types d'objets, pour en tirer cette conclusion ? Quel est ton niveau de pratique ? Sais-tu à peu près à quoi t'attendre avec ce type d'équipement, n'as-tu pas des attentes trop élevées (du style s'attendre à voir comme sur les photos, etc ...) A mon avis il faut se méfier des tentations d'achat prématurées, mais ce n'est que mon avis. Je suis aussi interpelé par la sémantique du sujet, "Matériel indispensable", alors que dans la description de ta configuration l'indispensable me semble déjà presque être là. Mais il faudrait que tu nous en dises plus sur tes problèmes, pour statuer sur l'"indispensable". On peut penser ensuite à du matériel en plus pour améliorer, pour plus de confort, etc ...D'ailleurs nous ne nous entendons pas tous sur la nature indispensable ou pas de ce que l'on te propose. Du coup je ne vois guère de matériel en plus indispensable, j'aurais dit un outil de collimation, mais cela est discutable d'après certains intervenants. Pour ne pas être HS, je ne me prononcerai pas sur un 200 f6, mais perso (d'ailleurs c'est signalé dans https://www.webastro.net/forums/topic/59324-comment-régler-son-télescope-avec-méthode/) sur 300 f4,5 un tel outil (même basique) me sert énormément en faisant gagner du temps. OK aussi pour un atlas, et un oculaire de plus courte focale pour grossir > 120 fois. Je souhaite m'attarder un peu sur le cas du chercheur. Le tien n'a pas l'air pratique, et je ne sais pas si ton expérience pourrait te permettre de trouver facilement les objets sans chercheur, actuellement à 48 X, ou même à 40 X avec un 30 mm. Encore une fois, le chercheur n'est peut-être pas indispensable dans certains cas, forte expérience, ou recherche d'objets majeurs déjà faciles à l'oeil nu : Double Amas, M31, Pléiades, Lune, planètes ... ou situés près d'une étoile jalon brillante. Par contre, j'en défie beaucoup de trouver telle petite galaxie dans les champs pauvres du Verseau, des Chiens de Chasse, de la Girafe ou même quelque amas perdu dans le Lézard, sans chercheur 😉😁 Et je ne suis pas sûr que se passer de chercheur soit une bonne habitude à prendre dans le cas d'un souhait de progression vers des objets de plus en plus faibles. Venant du gros chercheur optique 9x50 sur la 80ED, j'étais fort frileux en passant sur le Rigel au 300 (cercles rouges concentriques) au début, mais c'est un plaisir de facilité et d'efficacité au final. Ensuite je commence quasi tout le temps au Gr le plus faible, 56 X, et de là 170, 225 X, etc ...et ça le fait. Jamais tenté ce dont parle Bruno, rechercher direct à 300 X, mais ça me paraît quand même fort hasardeux au point rouge, OK Bruno parlait d'un chercheur optique pour cela. Tout de même, sacré dose de sang-froid et de précision, avec l'atlas ad hoc ! Quand je pers une cible qui file à près de 200 X ou plus, il me faut souvent repasser au 56 X pour la retrouver, notamment avec la fatigue on s'embrouille sur les configurations stellaires. Même à 96 X ça ne suffit pas toujours !
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  30. Salut, allé, un petit Icon for hire: " ready for combat, ready for rage" (comme moi 😁)
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  31. Bonjour, Il va falloir nous en dire un peu plus... Pour qui ? Pour où ? Avec un budget de quel ordre ? Il existe trop de réponses à cette question 😅
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  32. Merci @M16, @margarita, @Titophe et @Celebrinnar pour vos messages. c'est vraiment un chouette rassemblement. Pour les nordistes, le trajet est plus court que pour aller aux raps qui se déroulent à la même période. E t la météo est plus clémente aussi: on a pu cette année observer 3 nuits sur 4 alors que je crois que les raps étaient sous la flotte. pas mal occupé ces derniers temps par différents projets. Et j'ai oublié de poster ma dernière image de M13 que j'avais traité en juillet dernier (2h de L et 30min par filtre couleur): On a pu shooter 3 nuits: j'ai utilisé la 1ère pour finir le trio du lion et les 2 autres pour la luminance de M51. La couleur et le halpha ont été réalisés à mon retour dans le nord
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  33. Bonjour les astrams, Petit partage d'une juju sous malheureusement trop de turbulence, impossible de recontrôler le collimation au delà du centrage du donuts avec une barlow X2 à la caméra Du coup photo sans barlow compte tenu des conditions, une amélioration finalement dans les films pendant 4 mn c'est court, d'où une durée importante pour vérifier la qualité de chaque film Matériel C9 sur monture Omegon 500 goto (EQ5) camera Svbony IMX585 Pas digne d'un C9 mais je n'ai que trop rarement de jour avec une fable turbulence traitement AS3 , astrosurface, wavelet, deconvolution wiener légère j'ai fait une dérotation sur Deux images uniquement
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  34. oui il y a toujours quelque chose qui ne va pas
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  35. Je me suis re documentée et j'aime vraiment bien votre projet. Franchement, quand il y a quelques années, sans club d'astro (pour des raisons pratiques et perso) j'ai voulu me lancer dans l'achat d'un télescope, ça a été compliqué, car le budget était pas extensible, j'étais pas sure d'adhérer, je devais tout apprendre par moi-même. L'idée d'une location d'un engin de base (et évolutif), sur une monture azimutale donc a priori facile à manipuler (même si l'équatoriale c'est facile aussi) avec en plus des conseils, j'aurai signé de suite. Maintenant, ne regrette pas mon achat car je suis toujours avec ma belle lunette 90/900 chinoise avec laquelle je m'amuse bien, rapide à sortir et simple d'utilisation + quelques améliorations à la configuration de base. Le seul défaut de ma lulu à mes yeux, c'est que je ne peux pas partir en vacances avec, alors que je vais sous des ciels bien plus sympa que mon ciel pollué en vacances, et là encore ce télescope Sevun répond à une demande. ( Ceci dit, vu mon budget, pour les vacances, ça sera une simple achro courte.... un jour ) Bon courage pour votre aventure, et qui sait, peut-être un jour je louerai votre matériel...
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  36. Je me suis mal exprimé (ou on s'est mal compris ) : je parlais bien du suivi manuel. Est-ce qu'un enfant de 8 ans peut suivre seul un objet, manuellement, avec un dobson 200mm ? C'est juste une question que je me pose, n'ayant pas eu la possibilité de "tester" ce genre de télescope avec des enfants de cet âge...
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  37. je vois pas les choses tout à fait pareil.. a 8 ans l’enfant risque déjà d’avoir peur du noir tout seul dans le jardin… si y a déjà un jardin.. donc faut l’accompagner! ensuite 2 minutes par objet c’est énorme pour un enfant de 8 ans!!! Faut pas s’en offusquer ! Il va rester quelques secondes et c’est pas mal! Mais ce qu’il verra l’impressionnera et le passionnera….. ou pas!! Mes 3 enfants observent, ils ont commencé respectivement à 4, 6 et 8 ans. Ils restent pas longtemps à l’oculiste mais ils sont contents ils voient plein de choses! Je leur ai trouvé des carnets d’observation à remplir, ils adorent. Ça leur permet de garder une trace. Et comme ils dessinent à l’oculaire ça leur permet de rester plus longtemps et de voir plus de choses . Pour le matériel, oui le suivi est un énorme plus! Mais faut avoir les moyens ( initialement j’avais acheté un c8 sur monture motorisée pour faciliter les choses justement). Sinon papa ou maman fait le suivi ou aide au suivi ( avec le 400 ça m’arrive de faire le suivi sur la planète avec le chercheur pendant qu’ils observent. Maintenant les deux grands sont plus autonomes.
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  38. Mon utilisation sera uniquement en astrophotographie. J'ai trouvé des brutes prises avec l'Askar V dans les 6 configurations: https://drive.google.com/drive/folders/1ubwCfYcR4zmsV8xoHYDQkNdyTVqzYwr5?usp=sharing C'est comme si réducteur et extender n'étaient pas corrigés... Le résultat n'est pas terrible dans les coins en full frame. Même avec le capteur de l'Asi533MC Pro à mon avis ça ne passe pas...
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  39. Je serai toujours avec elle lorsqu'on l'utilisera, elle fait attention a ses affaires.
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  40. Comme je vais bientôt me lancer dans une première collim du C9, je vérifie que l’empreinte de mon tournevis est adaptée aux 3 vis du secondaire. Et puis tiens, voyons aussi les vis qui brident la lame 🙂 2 étaient totalement desserrées, les autres très moyennement serrées. Comme vous l’avez expliqué en p5 j’ai remis un petit coup… pas trop fort bien sûr. En inspectant le miroir secondaire à la lampe je vois une petite trace pas bien méchante. C’est le prétexte qui me manquait pour le sortir. Là j’ai halluciné : le gros écrou/bague qui tient tout n’était même pas un peu serré. Comme il a été dit, inutile de serrer ce truc mais faut au moins que ça se dévisse pas ! Au moins le précédent proprio était l’opposé d’un bourrin, j’aime autant ! Bon voilà, le secondaire est nickel et tout est remonté en douceur. J’ai bien fait de regarder avant de me casser la tête sur une collim qui tient pas 😉 C’était inattendu
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  41. La meilleure chose à faire pour contenir son budget, madame va comprendre ça
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  43. Je fais moi-même de l'astronomie sur balcon, et à mon avis, le plus dur, c'est d'avoir un suivi correct quand on ne peut pas viser la Polaire. En dehors de cela, il y a de quoi s'amuser, j'en rends compte sur un fil de discussion que j'ai ouvert pour partager mes expériences (trop rares en raison des obligations profesionnelles et de la météo).
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  44. Non c’est devissable, mais il faut appliquer une source de chaleur. Pour ma part (C9.25) le sèche-cheveux n’a pas suffi et j’y suis allé progressivement à la décapeuse (de loin !) tout en appuyant sur le baffle interne pour l’ovaliser et faire sauter la colle (car c’est collé sur les Fastar…). sinon pour la question plus haut : Starizona vend les mêmes joints que ceux inclus dans leur kit de conversion Fastar. C’est dispo chez TeleskopExpress. Si besoin, je filerai les instructions de montage que Starizona m’a données car il a un ordre bien précis à respecter pour ce fameux joint. EDIT: je précise le contexte : tout possesseur d'Hyperstar a fini par se retrouver à un moment ou un autre avec un secondaire qui tourne librement. La conception Celestron est assez pourrie, avec un unique joint en "papier" (plutôt carton gris chez moi). Le support Fastar du secondaire est en deux parties vissées l'une sur l'autre, l'extérieur est en métal, l'intérieur (d'un bloc, y compris le baffle conique du secondaire) en plastique et vient se visser sur la partie métallique en prenant en sandwich la lame de Schmidt. Le joint en papier est à l'extérieur, entre la partie métal et la lame. Le filetage est fixé, collé avec on ne sait pas trop quoi et ne peut pas se resserrer, donc du moment où ça commence à tourner, c'est fichu. Starizona ajoute donc un joint en sorbothane (très adhésif sur le verre !) qui vient se placer à la place du joint en papier, qui, lui, se retrouve déplacé à l'intérieur entre lame et baffle. Une fois remonté, ça ne bouge plus du tout.
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