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  1. Cycle de Céphée - Tome 2 UN DOMAINE TOURMENTÉ (Mosaïque FSQ106 - ASI6200) Si vous n'avez pas lu les précédents chapitres, voici les liens vers le début de ce récit : Chapt : 1 et 2 Chapt : 3 et 4 CHAPITRE 5 : CHAOS ET HARMONIE Le spectacle qu’offrait cette vue large du domaine éveillait autant d’angoisse que d’apaisement. La sérénité et le tourment s’entremêlaient sur ces terres, comme s’ils coexistaient depuis toujours, dépendant l’un de l’autre. Il était maintenant aisé de comprendre la quiétude de l’Œil de Cephée, lui qui voyait tout, était en mesure de comprendre, ce qui deviendrait bientôt pour nous une évidence. Ce paysage était régit par Le Chaos et L’Harmonie. L’Oeil demeurait indiffèrent devant la menace de cette Grande Vague, il savait que lorsqu’elle arriverait, ils échangeraient leurs tourments et leurs sérénités, dans la danse orchestrée par la houle. A toute échelle de temps et d’espace, le Chaos et l’Harmonie cimentaient cet univers ondoyant. Les Fantômes, volaient comme des vagues à travers d’autres vagues, Ghyubuldagian lui-même était un monde de flots niché sur une grande marée sombre. Elles étaient présentes partout, tout le temps, dans une infinie fractale, nous réalisions alors la réalité. Tous ce monde nichait probablement lui aussi sur la crête d’une Vague encore plus grande, qu’il nous était impossible d’imaginer… CLIQUER SUR L'IMAGE POUR ACCEDER A LA FULL : Afin de mieux rendre compte des proportions des objets dans leur environnement, voici un rappel des crops correspondants aux précédents chapitres : 1- VDB141 et CB230 2 - Gyulbudaghian et HH-215 3- LBN 468 4 - NGC7023 EPILOGUE Revenons à des sujet plus terre à terre après ce long voyage, voici les détails techniques de cette mosaïque. Il s’agit d’une composition de 3 panneaux, couvrant un champ de 7° par 3.9°. L’échantillonnage résultant est de 0.91 arc/sec pour une image de 360 Mpxl (j’ai à nouveau été bridé par le format tiff et son poids de fichier maximal). Les acquisitions ont été réalisées en itinérance, principalement à Valdrome, en Seine et Marne (sous un bon ciel pour la région parisienne), mais aussi en Espagne durant un séjour entre astro-copains. Matériel : AP Mach1 - FSQ106 Edx4 – Camera ASI 6200MM - Filtres Astrodon LRVB Temps de poses : 13h de luminance et 1h par couche couleur par panneau, soit un total de 48h environ, réparties sur 11 nuits. Traitement effectué sur : Pixinsight, AstroPixelProcessor, et Photoshop Encore un grand merci pour votre lecture, Et à bientôt pour de nouvelles aventures ^^. Malik
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  2. On se prépare au ciel d’hiver avec la grande nébuleuse d’Orion ! M42 est un vaste complexe gazeux évoquant un oiseau qui déploie ses ailes. Nébuleuse diffuse la plus brillante du ciel, cette pouponnière d’étoiles est vraiment fascinante : volutes de gaz, chenaux sombres et nuances colorées vous y envoûtent... : Optolong L- extrême : 30x30", 30x60", 40x120", 30x180" : Askar FRA600 f/3.9 : ZWO ASI2600Mc Pro : iOptron GEM45 : ZWO ASI290MM Mini : PixInsight - Photoshop : Lamure (69) : Bortle 4 : 03/10/2023 Le lien vers la full https://flic.kr/p/2pcP3fD
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  3. Les éclipses solaires et lunaires de l'année 2024 Ce sujet fait suite (après cinq années d’interruption dues au fait que personne n’a voulu, hélas, malgré plusieurs rappels de ma part, reprendre la suite de cette série) à mes six précédents sujets concernant les éclipses solaires et lunaires (voir : https://www.webastro.net/forums/topic/187352-quelquun-reprendra-t-il-enfin-la-suite-de-mes-sujets-annuels-sur-les-%C3%A9clipses-solaires-et-lunaires-de-lann%C3%A9e-suivante/ . Aussi, en espérant que cette fois-ci un webastram continuera enfin à continuer la série pour les années à partir de 2025, voici ce qu’il en sera pour les éclipses solaires et lunaires de l’année 2024 : L'année prochaine, en 2024, il n’y aura que quatre éclipses , le minimum possible : seulement deux éclipses solaires (une totale le lundi 8 avril 2024 et une annulaire le mercredi 2 octobre 2024) et également seulement deux éclipses lunaires (une par la pénombre le dimanche 25 mars 2024 et une partielle le mercredi 18 septembre 2024). 2024 sera donc une année “pauvre en éclipses” . Je signale, pour faire une légère soudure après les éclipses des six années 2013 à 2018, la situation du nombre d’éclipses entre 2019 et 2023 : • 1°) en 2019 il y a eu cinq éclipses : trois éclipses solaires (une partielle le dimanche 6 janvier 2019, une totale le mardi 2 juillet 2019, et enfin une annulaire le jeudi 26 décembre 2019) et deux éclipses lunaires, une totale et une partielle (le lundi 21 janvier 2019 et le mardi 16 juillet 2019. 2019 fut donc une année “moyenne en éclipses”. Mais, cerise sur le gâteau : l’année 2019 fut l’objet d’un passage de Mercure devant le disque du Soleil, le lundi 11 novembre 2019, passage partiellement visible en France et en Europe Occidentale, la fin du passage étant hélas invisible (voir : https://www.imcce.fr/lettre-information/archives/162). Le précédent passage de Mercure devant le disque du Soleil avait eu lieu le lundi 9 mai 2016 et le passage suivant aura lieu le samedi 13 novembre 2032. Le brillant calculateur astronomique à l’IMCCE (Observatoire de Paris) Patrick Rocher, (voir : https://copainsdavant.linternaute.com/p/patrick-rocher-11977519) a réalisé un gigantesque “Canon” des 993 passages de Mercure devant le disque du Soleil entre 1506 et 2499 : ( https://vt2004.imcce.fr/CDs/CD-VT-histoire/passage/html_passage/CanonMercure.html#P1618 ). Je rappelle qu'une année “riche en éclipses” en comporte six (dernier cas en 2009 avec 2 éclipses solaires et 4 éclipses lunaires ; prochain cas en 2020 avec 2 éclipses solaires et 4 éclipses lunaires). Enfin, il peut — très exceptionnellement — y avoir une année “très riche en éclipses” : sept éclipses dans une année civile !... Comment cela est-il possible ? Eh bien, vu que les deux “saisons d'éclipses” de chaque année sont espacées par 173,31 jours, il en résulte qu'une année de deux “saisons d'éclipses” vaut 173,31 * 2 = 346,62 jours ; donc il reste 365,25 - 346,62 = 18,63 jours pour arriver à une année civile (365 ou 366 jours). Si une éclipse (de Lune ou de Soleil) se produit dans les onze ou douze premiers jours de janvier il pourrait alors y avoir très exceptionnellement sept éclipses dans une année civile. La dernière année civile où il y a eu sept éclipses dans une année civile c'était en 1982. Cette année-là il y a eu trois éclipses de Lune et quatre éclipses de Soleil. La prochaine fois ce sera en 2038 : cette année-là il y aura quatre éclipses de Lune et trois éclipses de Soleil. • 2°) en 2020 il y a eu six éclipses : deux éclipses solaires (une annulaire le dimanche 21 juin 2020, et une totale le lundi 14 décembre 2020), et quatre éclipses lunaires, toutes quatre par la pénombre (le vendredi 10 janvier 2020, le vendredi 5 juin 2020, le dimanche 5 juillet 2020, et le lundi 30 novembre 2020). 2020 fut donc une année “riche en éclipses”. • 3°) en 2021 il y a eu quatre éclipses : deux éclipses solaires totales (une totale le mercredi 26 mai 2021, et une autre totale le samedi 4 décembre 2021) et deux éclipses lunaires, une totale et une partielle (éclipse totale le mercredi 26 mai 2021 et une éclipse partielle le vendredi 19 novembre 2021). 2021 fut donc une année “pauvre en éclipses”. • 4°) en 2022 il y a eu quatre éclipses : deux éclipses solaires partielles (une partielle le samedi 30 avril 2022, et une partielle le mardi 25 octobre 2022) et deux éclipses lunaires, toutes deux totales (le lundi 16 mai 2022 et le mardi 8 novembre 2022). 2022 fut donc une année “pauvre en éclipses”. • 5°) en 2023 il y a eu quatre éclipses : deux éclipses solaires (une hybride [annulaire-totale] le jeudi 20 avril 2023, et une annulaire le samedi 14 octobre 2023) et deux éclipses lunaires, une par la pénombre et une partielle (le vendredi 5 mai 2023 et le samedi 28 octobre 2023). 2023 fut donc une année “pauvre en éclipses”. Après ce bref rappel, voici la situation des quatre éclipses de 2024 : • 1°) L'éclipse de Lune par la pénombre le dimanche 25 mars 2024 ; saros lunaire n° 113 (grandeur dans la pénombre de la Terre : 0,9557 ; le diamètre apparent du disque de la Lune étant de 1,0000), éclipse lunaire non numérotée, comme toutes les éclipses par la pénombre, dans le Canon d’Oppolzer (voir : https://www.webastro.net/forums/topic/68620-le-quotcanon-der-finsternissequot-de-theodore-von-oppolzer/ ). Les circonstances de cette éclipse de Lune par la pénombre du dimanche 25 mars 2024 seront les suivantes d'après les calculateurs de la NASA : https://eclipse.gsfc.nasa.gov/LEplot/LEplot2001/LE2024Mar25N.pdf. •2°) L'éclipse totale de Soleil le lundi 8 avril 2024 ; saros solaire n° 139 (grandeur: 1,05656 ; le diamètre apparent du disque du Soleil étant de 1,00000), éclipse solaire n° 7686 dans le Canon d’Oppolzer. Les circonstances de cette éclipse totale de Soleil (entièrement visible depuis l'Amérique du Nord) du lundi 8 avril 2024 seront les suivantes d'après les calculateurs de la NASA : https://eclipse.gsfc.nasa.gov/LEplot/LEplot2001/LE2024Mar25N.pdf. A noter que cette éclipse totale de Soleil du lundi 8 avril 2024 sera sans doute une des plus diffusée en direct par les médias du monde entier depuis toujours (sur les écrans de télévision des chaînes d’information continues mais surtout grâce aux multiples sites Internet qui la suivront quasiment en continu pendant plusieurs heures) à cause de ceci : https://eclipse2024.org/2024_special.html et de cela : https://espacepourlavie.ca/leclipse-de-soleil-du-8-avril-2024 . Cette éclipse totale de Soleil du lundi 8 avril 2024 appartient au saros solaire n° 139 dans la numérotation de l'astronome hollandais George van den Bergh (1890-1966) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Éclipse_solaire_du_8_avril_2024 . Elle porte le n° 7886 dans le Canon d'Oppolzer. Cette éclipse totale de Soleil ne sera hélas pas visible en France métropolitaine, ni en Europe Occidentale… •3°) L'éclipse partielle de Lune le lundi 18 septembre 2024 ; (grandeur: 0,848 ; le diamètre apparent du disque du Soleil étant de 1,000). 4°) L'éclipse annulaire de Soleil du mercredi 2 octobre 2024 (grandeur : 0,93260 ; le diamètre apparent du disque de la Lune étant de 1,00000), éclipse solaire du saros n°144 (n° 7687 dans le canon d'Oppolzer). Et en 2025 ? Eh bien, il y aura quatre éclipses : deux éclipses partielles de Soleil (les 29 mars et 21 septembre 2025) et deux éclipses totales de Lune (les 14 mars 2025 et 7 septembre 2025). Mais pour cette année-là (et pour les suivantes) j'espère bien qu'un webastram continuera la série, à sa manière... Roger le Cantalien. Remarque : j'ignore pourquoi mais je n'arrive pas à poster correctement ce sujet... L'ordinateur de Webastro n'aime donc pas les éclipses ?
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  4. Je viens de refaire une retouche sur la couleur de mon image car je trouve que ça rendait pas trop la couleur que tout le monde fait sur ce beau couple :
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  5. J'ai pu profiter d'une petite trouée vers 21h.. enfin une trouée un peu moins nuageuse. Canon R7 + Tamron 150/600 @ 600 mm.
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  6. Ca mouline, ca mouline ! 5 exoplanètes de plus ce qui amène mon compteur à plus d'une trentaine d'observations pour le moment. On a donc dans cette mouture... HAT-P-65 b, située à 2 400 années lumière de nous, non loin de la constellation du Dauphin. Elle fait la moitié de notre Jupiter et tourne autour de son étoile en 2 jours et demi. WASP-114 b, dont je n'ai qu'une partie de la courbe photométrique se situe à 1 700 années lumière dans la constellation de Pégase fait presque 2 fois Jupiter en masse et à une révolution d'un jour et demi ! WASP-92, à 1 875 années lumière dans la constellation d'Hercule. Presque aussi grande que Jupiter, c'est aussi une "jupiter chaude" tournant en 2,2 jours autour de son étoile. HAT-P-32 b, à 943 années lumière dans la constellation d'Andromède est encore une Jupiter chaude faisant presque 2 fois Jupiter en taille et tournant en 2,2 jours autour de son Soleil. Kepler-17 b, située à 2 751 années lumière, dans la constellation du Cygne. Elle est un peu plus grande que Jupiter et tourne en un jour et demi autour d'une étoile un peu plus grande que la nôtre. Voilà donc pour le moment ! Ces courbes ont été prises avec un Newton 300 mm par 1 361 mm de focale, sur EQ8, avec une ASI1600MM et un filtre 'r SLOAN. Généralement, une centaine d'images à 120 sec et Gain proche de 1. Observatoire Tomastro.
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  7. Bonjour à tous, Alors le week-end passé j'avais fait un peu plus de six heures sur cette belle cible qu'est : IC59 & IC63. Pour l'image, j'ai utilisé ma TSA 120 avec la 2600MC et le filtre L-Pro et il y a 134 x 180s. Donc, voici le résultat que j'ai obtenu après 6h42 d'exposition :
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  8. Cette cible assez mythique me tenait à cœur de la faire en gros plan. Située en plein milieu de ma constellation préférée : Cassiopée, celle qui fait un W dans le ciel. C'est une nébuleuse en émission assez difficile à imager, je suis vraiment content du résultat... J'ai vraiment hâte de l'imprimer celle ci... IC 63 (à droite) également appelée le fantôme de Cassiopée est une nébuleuse diffuse très faible, elle est située à environ 550 années-lumière .Elle est accompagnée par IC 59 (à gauche) plus proche de Navi ou Gamma Cas, la grosse étoile qui est un peu plus en haut à gauche mais qui n'apparait pas dans le champ, mais on voit son "halo" bleu. 28h35min de pose en 4 nuits Dates de prise de vue : 6 octobre 2023 · 7 octobre 2023 · 8 octobre 2023 · 9 octobre 2023 Composition Ha RHaGB Equipement : TS-Optics N-AG12 Newton Astrograph carbone ZWO ASI6200MM Pro Sky-Watcher EQ8-R Pro Primaluce Lab SESTO SENSO 2 Guidage avec Lunette Sky-Watcher 90/900 ZWO ASI120MM Mini Images unitaires: Optolong Blue 2": 53×300,″(4h 25′) Optolong Green 2": 47×300,″(3h 55′) Optolong H-Alpha 3nm 2": 100×600,″(16h 40′) Optolong Red 2": 43×300,″(3h 35′)
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  9. Bonjour les amis, J'espère que vous allez bien. Je vous partage des photos prisent en macro et au microscope de ce que je pense être une araignée Zoropsis spinimana (https://fr.wikipedia.org/wiki/Zoropsis_spinimana). Macro : Prise de vue (objectif Sigma 100mm macro + Canon 5DmkII) : Image stackée à partir de 47 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f11 - temps de pose de 1/8 secondes - iso 800 Image stackée à partir de 62photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f11 - temps de pose de 1/8 secondes - iso 800 Image stackée à partir de 39 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f11 - temps de pose de 1/8 secondes - iso 800 Image stackée à partir de 41 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f11 - temps de pose de 1/8 secondes - iso 800 UPDATE : J'ai fait une erreur en fermant l'objectif Sigma à f11. J'ai certes gagné de la profondeur de champ mais j'ai perdu beaucoup de netteté ! La prochaine fois je fermerais à f4 qui est apparemment l'optimum de cet objectif pour la netteté : https://www.closeuphotography.com/sigma-105mm-os-macro-lens (voir les tests du centre plaquette de silicium pris à f2.8 / f4 / f5,6 / f8) Le plus grave est que je l'avais déjà lu et donc le savait ----> Il vaut mieux fermer à f4 pour la netteté et tant pis pour la perte de profondeur de champ, il n'y a qu'a prendre plus de photos à stacker par la suite. C'est l'âge certainement ! 🤪 Microscope (objectif 4x) : Prise de vue : Tête dessus : Image stackée à partir de 48 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 Tête dessous : Image stackée à partir de 71 photos dans Hélicon focus avec la méthode B - Rayon 8 et lissage 4 Arrière dessus : Image stackée à partir de 49 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 Arrière dessous : Image stackée à partir de 41 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 Amicalement, FRanck
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  10. Bonjour à tous quelques news de l'implémentation de cette modification / amélioration : Une reprise d'usinage ( deux méplats) sur la la pièce centrale qui guide la bille (point) ré-impression du support secondaire et du centre de l'araignée (en PET + 20% carbone) réinstallation du plat et du trait un peu de boulot, mais le résultat est satisfaisant, un bien meilleur réglage, plus précis et qui semble très stable. L'usage me confirmera tout ça. quelques photos :
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  11. Salut, "the eagle has landed"! 😁 Bon, la (petite) chinoise à droite est plus légère de 10Kg que la grosse américaine à gauche (comme quoi le riz fait moins grossir que le macdo) . Mais l'américaine se démonte en 2 parties de 18Kg et de 17Kg alors que la chinoise est d'un seul bloc de 25Kg. Si on calcule le prix/Kg, la chinoise est plus chère. J'ai bien fait de rehausser mon pier, mais au final, le tube sera moins haut sur l'EQ8 que sur la Titan. Côté performances, la monture à été testée par Pierre Astro et on est à 4"d'EP p-p sans encodeur (contre 12" p-p avec la Titan). Avec Encodeur, c'est encéphalogramme plat en labo. Donc, y a plus qu'à... Par contre pour ceux qui viendraient à lire ces lignes, "note à soit même" : la monture est livrée dans une grosse boîte à roulette. Plus adaptée aux tournées de musicos metalleux 🤘 comme @180Vision que le transport de nomades. Donc, si comme moi vous allez la chercher en avion de chasse, dites vous que louer un C15, c'est peut être moins rapide, mais plus adapté... Ça c'est joué à 5mm pour la rentrer dans le coffre du Me262... 😜 a+ Serge
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  12. Punaise c'est génial comme amélioration ! Autant je n'avais pas l'intention de couper les tiges en deux, autant maintenant j'hésite vu la simplicité du système...on verra 🙂. J'avais prévu d'installer le système avec le ressort, j'imagine que ça devrait le faire. Bon comme promis quelques photos 😀 dans l'ordre : les côtés longs du socle avec les poignées et les espaces pour les patins de téflon, les côtés courts de la valise, le disque de 10mm d'épaisseur qui donnera les haches une fois coupé en deux (j'espère que les motifs conviennent sinon je peux gommer et choisir autre chose, je me suis inspiré du logo de l'équipe de rugby d'Écosse que j'ai dispatché 😄), le disque avec les traçages pour retrouver le centre, les côtés longs du rocker prêts à être chantournés, et enfin mon super compas maison fait avec les moyens du bord mais super précis finalement 👌 Du coup j'ai une autre question avant l'assemblage de la valise : les côtes courts ont deux hauteurs différentes, une pour le rocker et une pour le socle. Cependant sur les réalisations que j'ai pu voir parfois les plus petites planches sont sur le socle et parfois c'est l'inverse. C'est pas précisé sur les plans mais sur la vue d'ensemble on dirait que ce sont les planches les plus larges qui forment les côtes courts du socle, c'est ce qu'il faut choisir ?
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  13. Les Super Plössl 40 mm font une quarantaine de degrés de champ apparent. Le site indique 52° parce que tous les autres font 52°. Sur ce modèle le texte descriptif (commun à tous les oculaires de la gamme) parle de 52° de champ apparent, mais dans les détails (spécifique à ce modèle) il est indiqué 44° : https://www.astroshop.de/fr/oculaires/oculaire-meade-super-ploessl-40mm-1-25-/p,47519
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  14. Oui, certains beaucoup de bruit et n'ont pas raison pour autant ni la méthode pour analyser correctement des matériels. Creuse un peu plus tu trouveras d'autres noms.
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  15. Au coulant 31,75 mm il est impossible d'avoir un oculaire de 40 mm avec 52° de champ apparent. Si f = focale de l'oculaire et A = champ apparent, le produit A x f maximal dépend du coulant : A x f = au maximum 1650 au coulant 31,75 mm A x f = au maximum 2700 au coulant 50,8 mm Le champ sur le ciel étant A / G = A x f / F, on voit que le champ maximum sur le ciel au coulant 31,75 mm est de 1650 / F. Pour le Maksutov 102/1300, ça donne 1°16'. Pas besoin d'avoir plus gros pour 99 % des observations, je trouve.
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  16. Bonjour, Ce qu'il faut voir, c'est qu'en astro, on grossit beaucoup. Et que le moindre tremblotement, la moindre vibration va être amplifiée. De plus, il y a un "temps d'amortissement", de "stabilisation de l'image", qui varie en fonction de la qualité de la monture. C'est une des raisons du succès des Dobson : ça permet d'avoir de gros diamètres sur une monture simple, fonctionnelle, et ça réduit considérablement le coût. Tu dis que la monture Dobson de table est encombrante, mais pour avoir un 150 x 750 sur équatoriale, l'encombrement est là également : il y a le trépied, la tête, le contrepoids... Quand ma première elfette a "quitté le nid", je lui avais proposé : "Bof, trop gros"... Et, en voyant le 150 x 750 de ma cousine, version "Dobson de table", je me dis qu'on reste dans l'instrument vite installé, contrairement au même instrument sur équatoriale. EDIT : et puis, mine de rien, si on regarde côté trépied + tête photo/vidéo, même en imaginant un tube court, va falloir vite aligner les brouzoufs (quel que soit le court du brouzouf, d'ailleurs )... et sans les mouvements fins. Revenons à nos moutons montures : - l'AZ pronto est une monture azimutale. Pour suivre un objet, il faudra tourner les 2 molettes (il faut imaginer que le déplacement apparent d'un objet dans le ciel fait un grand arc de cercle). Elle a des mouvements fins infinis sur les 2 axes, débrayables (en desserrant les freins, tu changes rapidement l'orientation de l'instrument, pour viser une autre partie du ciel). - la Starquest est une équatoriale. Il faudra (une seule fois) régler la latitude. Puis, à l'utilisation, orienter la monture vers le nord (à chaque fois). Elle a aussi les mouvements fins débrayables sur les 2 axes. Ensuite, on ne bouge plus le trépied, et on se sert des deux axes pour viser une partie du ciel. Conséquence : l'instrument ne sera pas dans la même position, mais plus souvent sur le côté. Avec un instrument enserré dans des colliers, on desserre les colliers pour faire tourner l'instrument. Là, il faudra que tu tournes le renvoi coudé. Mais le suivi se fait avec une seule molette. À noter également que pour l'équatoriale, il y a aussi le contrepoids, et qu'il faudra équilibrer la monture. ⚠️ Quand je parle d'orienter la monture au nord, faut pas s'imaginer quelque chose de compliqué : un simple "jeté de monture" (le nord, c'est par là) suffit pour du visuel (il faudra alors, sur un long suivi, tourner parfois la deuxième molette). ⚠️Pareil pour l'équilibrage, rien de compliqué. En reprenant l'image d'Astroshop, imagines simplement desserrer l'axe ajouté en rouge, et faire pivoter de 90°. Tu auras donc horizontalement d'un côté le tube, de l'autre le contrepoids. Pour équilibrer, tu déplaces le contrepoids le long de sa tige de support, de sorte que l'ensemble soit équilibré dans cette position. (Image © Astro-shop : https://www.astroshop.de/fr/telescopes/telescope-maksutov-skywatcher-mc-102-1300-starquest-eq/p,62884 ) Pour tout instrument, il y aura une phase d'apprentissage du ciel, des repères à trouver (on ne voit qu'une toute petite partie du ciel dans l'instrument). Comme je l'ai vu dire dans ce forum, c'est comme arriver dans une nouvelle ville. Pour se repérer, on utilise une carte, un GPS. Puis, on trouve ses propres repères. En astro, c'est pareil : on utilise des cartes (Pocket sky atlas, par exemple), un goto, des applications... ⚠️À CONFIRMER PAR UNE CONNAISSEUSE / UN CONNAISSEUR⚠️ (Ce qui, d’ailleurs, me permettrait de savoir si j'ai bien saisi les concepts. Merci d'avance ) Avec les formules de cette page : je trouve un champ réel maxi de 1,4° pour un Maksutov 102/1300. En prenant par exemple deux oculaires "Super Plössl ", champ apparent de 52°, ça me donne : - 1,28° pour un 32mm, - 1,6° pour un 40mm. Avec le 40mm, tu dépasses les possibilités de l’instrument (vignettage ? 🤔) ⚠️Je me répète, mais sur ce point, très humblement, c'est ce que je pense avoir compris. Attends l'avis de quelqu'un de plus qualifié pour confirmer ou infirmer... A+
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  17. Ils l'étaient ! C'est moi qui lui ai acheté son PST. Il suffisait de régler le Fabry-Pérot pour améliorer ce PST
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  18. Bonsoir, Une possibilité à laquelle je n'avais pas pensé: Si je met des pattes de fixation des tubes sur chacune des faces de ma cage secondaire, je pourrais choisir d'observer avec le PO à 0 degré ou à 45 🤩puisqu'il suffit alors de pivoter de 45 degré ma cage (dans le sens des aiguilles d'une montre ), les 2 positions devenant interchangea ngeables simplement en positionnant la cage sur les 4 autres pattes de fixation. Pour l'instant je pars sur un PO à 0 degré horizon, on verra à l'usage pour rajouter 4 autres pattes de fixation tubes. Comme quoi les choses les plus évidentes sont celles auxquelles on ne pense pas.🙄 Jean-Michel Bonne soirée C'est peut être de cela que tu voulais parler Adam lorsque tu m'a suggéré l'idée de doubler les supports pour pouvoir changer selon mes besoins, mais sur le coup je n'ai pas compris. Merci encore pour cette idée qui a fait son chemin cette après-midi😉
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  19. Tu as tout à fait raison Mon Cher Polorider. J'ai rectifié cette erreur. Il y en a sans doute hélas bien d'autres, car pour moi ce fut bien difficile de poster correctement ce sujet qui était modifié sans cesse par le très farfelu ordinateur automatique de Webastro !!!.... Roger le Cantalien.
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  20. Bonjour ! Cette lunette a un court F/D, elle aura donc du chromatisme à fort grossissement, autrement dit les images seront moins contrastées. Conséquence : c'est un instrument inadapté à l'observation planétaire, plutôt fait pour le ciel profond, et notamment le ciel profond à grand champ (dans les limites de son diamètre bien sûr). C'est très bien si tu as un accès à un site non pollué (à 30 km de Paris ça devrait être encore pollué). Tu ne peux pas envisager une lunette achromatique plus longue, par exemple une 90/900 ? Là le chromatisme serait quasi négligeable et l'instrument serait polyvalent. Il lui faudrait juste un sac adapté. Ce télescope est polyvalent ciel profond / planétaire (dans les limites de son diamètre bien sûr), c'est juste qu'il ne permet pas les observation à grand champ (genre Pléiades en entier). L'inconvénient principal, je trouve, c'est que le pointage des objets sera plus difficile, du moins au début (car ça s'apprend à l'usage). Ces deux instruments sont en fait complémentaires. Puisque ta fille aura son propre télescope, vous pourriez peut-être vous entendre pour choisir chacun l'un et l'autre ? Sous un ciel préservé de pollution lumineuse, je dirais que tu peux observer tous les objets de Messier et apparentés : http://www.astrosurf.com/bsalque/cmessier.htm (liste complète en bas de la page). Ce matériel chinois a une qualité correcte mais sans plus. Une bonne qualité optique est facile à obtenir sur les Maksutov (en gros parce que le miroir primaire est sphérique) et ils ont la réputation d'être bons. Je crois que c'est pareil avec les lunettes achromatiques longues (lentilles sphériques). Le chromatisme est gênant tout court. Beaucoup de gens croient que ça « décolore » les images (on voit un liseré coloré autour de la Lune, ce genre de chose). C'est vrai, et cet effet est visible autour des objets brillants. Mais le vrai inconvénient, c'est que ça diminue le contraste. Ça donne des images floues à fort grossissement, peu importe la luminosité de l'objet observé. Attention : dans la phrase précédente, « lumineux » signifiait « lumineux vu dans la lunette ». Exemple : la Lune, Jupiter, Saturne... Uranus ne sera pas lumineux dans une lunette de 100 mm, alors qu'à travers un télescope de 400 mm c'est un objet très lumineux. C'est « lumineux » dans ce sens-là. Mais peu importe : le chromatisme diminue le contraste de tous les objets, et ça se voit à fort grossissement. Je crois que c'est subjectif. La visibilité de M13 ou M42 ou re-M13 ou autre ne dépend pas du grossissement mais du diamètre de l'instrument. M13 et M42 sont visibles à faible grossissement où on les verra dans leur environnement stellaire, et à fort grossissement où ils pourront être détaillés. Mais 100 mm est trop faible pour résoudre M13 en étoiles. Par contre, M42 est intéressante à tous les grossissements même à petit diamète (c'est une exception !). Oui, ce sera juste. Mais les Pléiades, c'est juste 1 objet. (Bon, il y en a quelques autres dans le genre, par exemple Melotte 20...) Si tu as des jumelles, c'est l'instrument le mieux adapté pour les Pléiades. Oui, et je trouve que les gens abusent un peu : souvent, on dirait que les Maksutov sont faits uniquement pour les planètes (alors qu'ils ont un petit diamètre... )J'ai un très bon souvenir des nébuleuses d'été à travers un Maksutov 127 mm : ces nébuleuses (la Lagune, Tridide, Oméga, l'Aigle) rentraient toutes dans le champ (elles font moins de 1° si on ne compte pas les extensions réservées à la photo) et l'image n'avait pas grand chose à envier à celle vue à travers mon Dobson 200 mm.
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  21. C'est vraiment ce qu'il faut comprendre: Que ce soit parce que l’énergie facile va disparaitre ou à cause des conséquences climatiques (ou les deux en même temps, l'avenir est loin des trente glorieuses ou même de ces 20 dernières années. La préparation, à ces évolutions que les scientifiques annoncent, ont pour but d'amortir les conséquences. L'histoire dit aussi qu'à chaque fois où les personnes n'ont pas voulu bouger alors que des changements radicaux était annoncés, les changements de ces personnes ont été particulièrement durs. C'est la différence entre subir et s'adapter. La différence entre pauvreté et sobriété. L'un est subit l'autre est voulu.
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  22. bonjour à toutes et tous , la lune vue depuis la Réunion SW 114/900 et IPHONE 11
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  23. Bonjour à tous, Voici ma petite Saturne du 12 octobre, Pas mal de turbulence cette nuit là Toujours le même setup C8 + ASI462 + ADC ZWO + Filtre IrCut sur Eqg Goto Acquisition Firecapture Expo 28ms Gain 320 videos de 100s environ 1200 img/3800 Traitement Astrosurface + Gimp En montant l'expo et le gain, ça va mieux côté couleurs A+ Manuel
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  24. J'ai fait la libration de la super full moon du mois dernier J'ai surtout découvert LeiaPix..
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  25. merci Comme d'hab, j'ai fait aussi une version 2. De légères différences mais elle me plait un poil plus. a+ stéphane
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  26. Bonjour, Je vous emmène aujourd'hui faire un tour dans Pégase, pour y débusquer une galaxie noyée dans les IFNs. NGC 7497 est une galaxie spirale barrée située dans la constellation de Pégase. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 1 343 ± 26 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 19,8 ± 1,4 Mpc (∼64,6 millions d'a.l.)1. NGC 7497 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1784. Elle fut également observée par l'astronome britannique John Herschel en 1825. Les infos: Celestron C8 + réducteur f6.3 Antares @ 1400mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 29x 60s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 60s: Elle mériterait bien plus de temps, l'année prochaine surement.
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  27. Une photo d'une étoile en formation et la traduction googoléenne : James Webb de la NASA La sonde Webb de la NASA claque la sortie supersonique de Young Star Si nous pouvions prendre une photo de bébé de notre soleil, il pourrait ressembler à quelque chose comme ça. 👶 Dans cette image de Webb, on voit une étoile naissante avec des jets supersoniques de gaz jaillissant de ses pôles. Il n’a que quelques dizaines de milliers d’années ici, mais quand il grandira, il ressemblera beaucoup à notre Soleil. Les régions lumineuses autour des étoiles nouveau-nés, comme on le voit ici, sont appelées objets Herbig-Haro. Cet objet spécifique Herbig-Haro est appelé Herbig-Haro (HH) 211. À environ 1000 années-lumière de la Terre, c’est l’un des objets les plus jeunes et les plus proches de ce type. Les objets Herbig-Haro sont créés lorsque des jets de gaz provenant de ces étoiles naissantes forment des ondes de choc lorsqu’elles entrent en collision avec les gaz et la poussière environnants. La vision infrarouge sensible de Webb peut percer à travers le gaz et la poussière, capturant les émissions de chaleur des sorties de l’étoile et cartographiant la structure avec des détails sans précédent. Fait intéressant, les observations de Webb ont également montré que les sorties de cet objet sont plus lentes par rapport à celles des bébés étoiles plus développées. En savoir plus : go.nasa.gov/3Pb0xOg
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  28. Salut les astrams 😀, Voici une région étonnante située dans la Poupe que nous avons shootée avec notre setup en remote au Chili hébergé chez DeepSkyChile. Les acquisitions ont été réalisées l’année dernière de mars à avril. Un peu plus de 58h de pose ont été nécessaires pour obtenir suffisamment de signal pour composer cette image en LHa -RHaVB. Les détails d’acquisition sont dans le tableau ci-dessous. Pour bien profiter de la vue nous vous conseillons évidemment d’aller voir la full sur Astrobin : https://www.astrobin.com/full/qwg97y/0/ En espérant qu’elle vous plaira… Ciel clair à tous !! 😀 Marian, Jean-Mi, Gégé, Laurent et Dave Descriptif de l’objet : Une nébuleuse peut-elle engloutir une galaxie ? Tel un gigantesque ver cosmique, tel Galactus le dévoreur de mondes, CG4 semble vouloir engloutir la galaxie PGC21338. Il ne s’agit cependant que d’un effet de perspective complètement dû au hasard. CG4 n’est éloigné de nous que de 1300 AL, alors que la galaxie est à plus de 145 millions d’AL. CG4 est un nuage de gaz et de poussières, un globule cométaire. Ils sont généralement caractérisés par des têtes poussiéreuses et des queues allongées. Ces caractéristiques font que les globules cométaires présentent des similitudes visuelles avec les comètes, alors qu'en réalité ils sont très différents. Les globules sont souvent le lieu de naissance d'étoiles, et nombre d'entre eux présentent de très jeunes étoiles dans leur tête. La raison de la rupture de la tête de cet objet fait l’objet de plusieurs théories.
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  29. En effet, le Celestar "basic" a été mis sur le marché à partir de 1990 . (le "Deluxe" de 1996)
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  30. J'ajoute que, connaissant la qualité optique des Maksutov, je n'hésiterais pas une seconde face à une lunette achromatique à f/d 5. Sous réserve que le Maksutov soit collimatable (certains maksutov de petit diamètres ne le sont pas, ça a été signalé je crois dans un autre sujet).
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  31. avec un miroir fin tu ne pourras sans doute pas descendre les fixations , si la cage secondaire est un peu plus lourde peut etre que tu devras mettre un peu de plomb dans la CP, mais c'est pas bien grave. C'est encore un peu tot pour toi mais pour un passage en cabine ou un rangement plus compact, il est utile de couper les tubes. En 2005, nous avions monté des inserts et des tiges filetés pour raccorder les 2 demi-tubes. Aux nuits du Causse noir 2023 , nous avons découvert le strock250 d'Anthony Chambon dont les tubes sont liés avec un système décliné des raccords pneumatiques rapides. Il s'agit d'utiliser un raccord pour le verrouillage du tube et de mettre un jonc de 4mm pour le guidage, collé d'un coté et qui vient s'emmancher au travers du raccord de l'autre coté de 5cm. c'est très simple à faire et redoutablement efficace aussi bien sur la raideur que pour lors de l'installation. je suis en train d'ajouter une page sur le site avec les évolutions pertinentes. Yannick
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  32. Bon enfin un meilleur temps TS 80 mm sans barlow 23 images gardées sur 500 filtre ir/cut uniquement image X 0,8 soleil en entier crop 133%
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  33. Un article sur le sujet : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/jupiter-eruptions-plus-grand-volcan-io-dependent-autres-lunes-jupiter-59820/ Ne pas oublier toutefois que le principal facteur des déformations de Io , c'est l'attraction du monstrueux Jupiter. un autre document : https://www.cosmovisions.com/Io.htm Je ne sais pas s'il y a un document avec évaluation du "pourcentage" des effets des attractions causées par Jupiter, Ganymède, Europe et Callisto (dans une moindre mesure)..... mais cela doit pouvoir se calculer ..... Bon travail ! Note : (un peu HS ...mais pas trop) il faut des sondes spatiales pour aller étudier de près et cumuler des données. Les résultats des deux missions spatiales ci-dessous ne seront pas disponibles avant pas mal d'années mais devraient donner une flopée de données et matière à éclaircir/compléter nos connaissances du système jovien. Les instruments embarqués donnent une idée des objectifs scientifiques. ESA (sonde lancée le 13/04/2023 par Ariane 5) : mission JUICE ( Jupiter Icy Moons Explorer) centrée sur GANYMEDE- CALLISTO - EUROPE NASA : lancement de la sonde Europa Clipper prévu en octobre 2024 mission EUROPA CLIPPER centrée sur EUROPE et IO https://www.forum-conquete-spatiale.fr/t16557p150-mission-nasa-jpl-europa-clipper-oct-2024#489607 Le Fil (débuté en 2015) étant très long avec des modification importantes sur cette mission .... je donne donc l'adresse à partir des décisions finales. Assemblage de la sonde Europa Clipper Sauf imprévu la sonde sera lancée par une Falcon-Heavy avec étage supérieur "boosté"
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  34. trouvés ici: https://www.o-taket.com/atelier/84350-roulement-skf-689-2rs-d9x17-ep-5.html
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  35. ce n’a pas duré bien longtemps, le mak a dû rester un quart d’heure dehors grand max. pas de mise à température, rien. 5min après avoir fait ma série , il pleuvait. Ça va souffler sévère dans les prochain jours
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  36. Prems, elle est superbe bien définie et colorée, jolie galaxie, elle ressemble un peu à M101 ...
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  37. oui le résultat est plutôt sympa, en effet j'ai un décalage RVB, j'ai pas fait attention a ca. perdu l'habitude avec la météo , plus rien a ce mettre sous la dent 🤣
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  38. Pour Vixen j'ai une tout autre histoire...??? [Vixen, en tant que société à part entière, a été fondée en août 1969 et pour comprendre sa genèse, il est nécessaire de voyager plus loin dans le temps jusqu’aux dernières années 40 du siècle dernier. À l’époque, nous trouvons un petit artisan qui produisait des dispositifs optiques pour d’autres entreprises (en particulier des jumelles et des microscopes), ce qui répond au nom de Kosuke Tsuchida. Dans les 5 années qui suivirent 1949, il réussit à se démarquer par la qualité de ses produits et de son travail, En mars 1954, la Koyusha Corporation, située dans le quartier de Wakamatsucho à Shinjuku, est passée d’une entreprise artisanale à une entreprise à part entière. Depuis 1954, l’expansion a été continue et imparable, Afin d’élargir le marché, des succursales ont été ouvertes en 1957 par l’intermédiaire de tiers pour la vente directe aux États-Unis et en Europe. Les affaires marchent bien et en seulement trois ans, le Koyusha Corporation reçoit divers prix d’instituts japonais et du ministère de l’Économie et du Commerce faisant l’éloge de son fonctionnement commercial rationnel et de son organisation de vente unique. pour un prototype « typique » de petites et moyennes entreprises, ainsi qu’une prime spécifique à l’exportation. Les succès amènent l’entreprise à se développer et à Enfin, du moins en ce qui nous concerne, astronomes amateurs, en septembre 1966, la décision a été prise de commencer la production de petits télescopes et en novembre de la même année, avec un bref Annoncé dans un magazine d’astronomie de l’époque, une lunette de 60 mm est présentée. Les ventes sont inattendues et chez les passionnés Le nouveau nom a commencé à circuler, à tel point que, dès le début de l’année 1968, les gens ont commencé à réfléchir à ce à quoi devrait ressembler la nouvelle production des années 70, qui suit le design d’ouverture. Innovations, un Un nouveau design attrayant (qui deviendra un signe distinctif de la marque), une nouvelle mécanique et une certaine quantité de publicité deviennent le cheval de bataille de l’entreprise. En 1969, le nom de l’entreprise a été changé en « Vixen Optics Company LTD », et l’usine a déménagé de Wakamatsucho, Shinjuku, à Itabashi-Ku, Tokyo, avec la fondation d’une société parallèle qui a acquis, en 1970/71, le nom d’Atalas Optics. C’est un succès commercial basé sur le seul et unique Un produit de l’époque, la lunette 60/910, qui semble pourtant très appréciée des passionnés. Parmi les accessoires de ce premier télescope figurait celui qui a rendu l’instrument plus particulier que les concurrents, et c’est un oculaire nommé « E » avec une distance focale de 20 mm qui a fourni un grossissement d’environ 46x sur le neo Vixen. La dénomination fait référence à un schéma optique appelé « Erufure », avec un diamètre de barillet de 36,4 mm à visser sur la mise au point directe du porte-oculaire, ou avec un adaptateur pour l’amener à la norme de 24,5 mm pour Utilisez-le sur les diagonales. Cet oculaire a été créé spécifiquement pour ce télescope à partir de l’expérience accumulée au cours des années précédentes par les développeurs techniques dans la production optique du Koyusha Co.. mai 1976, la véritable transformation de la Vixen, qui d’une entreprise de taille moyenne est devenue un grand fabricant et exportateur non seulement d’optiques, parmi lesquelles Newtons a également commencé à être compté, mais aussi de montures de haute qualité telles que la série Polaris s’est développée à partir de systèmes mécaniques moulés sous pression, un système utilisé pour la première fois au Japon et capable de créer un grand nombre de « pièces » en peu de temps. Pour s’adapter à sa nouvelle réalité, Vixen achète un grande parcelle de terrain dans la région de Hongo Tokorozawa où se trouvait initialement la deuxième section de l’entreprise, Atalas Optics, qui y a construit la nouvelle usine. Au cours de cette période, nous estimons que le collaboration avec l’américain Celestron depuis le premier SC Celestron avait des accessoires « made in Japan » (comme des diagonales par exemple), bien qu’officiellement cette joint-venture a commencé en 1983 avec la création du Celestron Comet Catcher qui montait des porte-oculaires à tiroir à tiroir à déplacement Vixen, et la commercialisation d’optiques Celestron sur des montures Vixen. Cependant, les premières montures Polaris sont apparues plus tôt, dans le 1976, sur les catalogues à l’appui du beau Newton 100/1000 à miroir parabolique (dont l’un fait l’objet d’une reconstruction hi-tech sur ce site - voir rubrique « projets »). Au cours de cette période, les oculaires dans les catalogues sont également Nous commençons à voir les premières machines orthoscopiques au format 24,5 produites par Vixen, reconnaissables non seulement à leur bonne construction, mais aussi à l’incomparable V encerclé. Une curiosité peut-être peu connue concerne le motif de ces oculaires pour lesquels Vixen n’a pas utilisé le motif Or. De l’abbé mais que l’ou. Plossl (pas le Plossl symétrique normal que nous connaissons aujourd’hui, mais formé de deux doublets oculaires asymétriques qui offrent des images du plus haut niveau exemptes d’aberrations) sont toujours considérés comme des oculaires de référence orthoscopiques et qui, dans les années suivantes, ont également été proposés avec un barillet 31,8 millimètres. En 1981, il y a un article du professeur Shigeru (Scigheru), professeur astronome à l’Université de Tokyo et ancien membre de l’Observatoire astronomique national de Tokyo. Pour l’occasion, le Les instruments sont installés et photographiés sur la nouvelle monture « New Polaris », équipée d’une lunette polaire, et sur son évolution pour des charges plus élevées. es modèles présentés dans le catalogue de 1981 sont nombreux, mais parmi eux Nous tenons à souligner un instrument en particulier car il représentera, pendant au moins trente ans, un « classique instantané » au charme intemporel : le Vixen 102/1000M « Early Version ». Ceci Une lunette de 4 pouces, le summum de la production de Vixen, elle est née avec la cellule de lentille collimable (qui a ensuite disparu dans les versions ultérieures) et était disponible en 1000, 1300 et 1500 focales millimètres (nommés P102/1300 et P102/1500L : le « P » signifiant « Pulsar »). Très beaux sont les anneaux newtoniens visibles qui apparaissent dans l’image de l’objectif Vixen 102M, un caractéristique du projet de l’époque. Une autre nouveauté, peu connue mais très importante dans le développement de nouvelles conceptions optiques, était représentée par la présence d’une petite lunette de 70 mm. Équipé d’une lentille triplet à espacement d’air et défini comme « semi-apochromatique ». Le Vixen était connu sous le nom de SA70/600S, mais nous savons qu’il était également commercialisé sous le nom de TASCO 14V. Un spécimen rare est passé en revue sur ce site dans la section dédiée à tests instrumentaux. La richesse de l’offre Vixen comprenait également un Newton est définitivement structuré et est destiné à une haute résolution planétaire. Avec une ouverture de 15 cm. et un rapport focal de F8.6 le RP150/1300L et sa monture SATURN robuste (donné à titre indicatif pour une charge de travail maximale proche de 30 kg) sur colonne représentait certainement le fleuron de l’entreprise en 1981. L’économie matérielle ne faisait pas partie de la concept de l’époque et le poids total de l’instrument complet dépassait 53 kilogrammes]. La suite plus complète ICI
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  39. Qu'est ce qui te fait dire que tu t'adapteras à ce qui va arriver? Quels sont les arguments qui te permettent de penser ça? N'envisages-tu pas, à aucun moment, que tu ne puisses pas t'adapter, mais... disparaitre? Je trouve que tu es très sûr de toi. Un peu d'humilité que diable...
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  40. A tel point qu'il faut poster ses annonces en face
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  42. Peut être pas, mais on vois bien qu'il a une tête de fou quand même !
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Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
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