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  1. etoilesdesecrins

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/03/23 dans toutes les zones

  1. Salut, à l'autre bout de l'été, par rapport à mes récents dessins à la lunette, j'ai décidé à la fin de deux observations de traduire sur le papier la vision à l'oculaire du T300 de deux nébuleuses planétaires classiques, la Boule de Neige bleue NGC 7662 dans Andromède et la fameuse Saturn Nebula NGC 7009 du Verseau. Chacune des fois, après une observation un peu poussée de divers objets assez exotiques, cela m'a permis une agréable détente sur des objets plus faciles, plus spectaculaires, tout en passant des notes écrites en cours de soirée au dessin. Et notamment au T300, ce que je fais peu pour le moment. Presque au moment de rentrer, j'ai choisi des objets suffisamment lumineux pour ne pas passer encore mon temps à batailler avec d'infimes halos, mais pas non plus trop détaillés (à ce diamètre) pour ne pas y passer trop de temps. Ces deux NP ont donc été observées un peu (trop) rapidement, notamment NGC 7662 qui était au zénith, peu pratique à suivre. De toute façon par rapport à mes notes antérieures sur ces NP, je vois bien qu'il me manque un peu de détails et de ténacité dans l'observation, mais tant pis, c'est un début au 300 et je poste quand même. Notamment, les Gr sur ce type d'objets méritent d'être poussés (bien) plus. NGC 7662 : Pas de vent, pas de nuages, pas de lune, transparence bonne, turbulence moyenne. T 300 X 225 / X 225 OIII Couleur bleue assez saturée à faible Gr, encore bleu pâle ici. Assez grosse dimension apparente, nettement ovalisée. Assombrissement central évident ovalisé aussi, sinon unie, assez diffuse. Un halo périphérique léger est rapidement perçu, un peu comme un effet de défocalisation. Le gain OIII n'est pas flagrant. La centrale de mag 13.2 n'est pas vue. Une étoile proche à E de mag 13.8 contraste avec la nébuleuse. Les mags des étoiles les plus faibles représentées tournent autour de 14.3 - 14.5, ce qui est largement améliorable. NGC 7009 : Pas de vent, pas de nuages, pas de lune, transparence bonne, turbulence assez faible. T300 X 225 / X 270 / X 390 / X 225 OIII A < 100 X, la couleur bleu-vert turquoise tourne au vif et m'impressionne beaucoup ! Le champ est pauvre, on note 3 étoiles de mag 14.5 - 14.8 dans les environs, dont une assez proche au N. L'ovalisation est OSO/ENE avec un assombrissement assez moyennement marqué mais évident (un peu plus que sur le dessin). Côté OSO avec le filtre OIII je suis surpris par un halo certes vague mais assez flagrant, ce qui n'est pas trop relaté sur cet objet. Par contre, la difficulté des anses m'étonne, je sorts pourtant d'une soirée avec divers Arp pour le moins délicats. L'anse O finit par apparaître un peu (OIII), avec une extrémité vaguement plus marquée, mais l'anse E est plus délicate. Je dirais qu'il faut quasi connaître son existence. La centrale n'est pas vue, de mag 12.8 à 13.2 selon mes sources. Dans une observation antérieure je la mentionne visible VI5 à 390 X, à retenter... Voilà un objet qui me hantera toute la journée du lendemain, notamment grâce à sa fabuleuse teinte turquoise à faible grossissement. Un objet à fort impact. (Du coup, j'y suis revenu à la FC-100 un des derniers soirs de grosse lune, elle reste facile, la forme est encore très reconnaissable, mais la couleur est à peine bleu pâle et disparait en grossissant. Bien sûr les anses ne sont pas visibles, et l'assombrissement est perçu faiblement vers 120 - 150 X) A bientôt !
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  2. Hello, Voici un autre amas ouvert que j'aime beaucoup, E.T. ou le Hibou, il a 2 dénominations. NGC 457 (Caldwell 13), appelé aussi « amas de la Chouette » ou « E.T. », est un très jeune amas ouvert situé dans la constellation septentrionale de Cassiopée. Cet amas d'étoiles a été découvert par William Herschel en 1787. Il renferme quelque quatre-vingts étoiles et sa distance au Soleil est estimée à 2,429 ± 2 kpc (∼7 920 a.l.). Les dernières estimations donnent un âge de 21 millions d'années à cet amas. Sa taille apparente est de 20,0 minutes d'arc, ce qui, compte tenu de la distance, donne une taille réelle maximale d'environ 46 années-lumière. Ce très singulier amas apparaît comme une tache floue avec des jumelles 10×50 ou 8×40. On peut facilement le pointer avec une lunette ou un petit télescope. L'étoile φ Cassiopeiæ, située dans la même direction et près de NGC 457, forme un triangle avec les étoiles δ Cassiopeiae et χ Cassiopeiæ dans un chercheur 6×30 (voir l'image de DSS). Cassiopée étant une constellation circumpolaire, l'amas est observable toute l'année. Mais la saison la plus propice est cependant l'automne car c'est l'époque où il culmine dans le ciel. L'agencement des étoiles fait penser soit au rapace nocturne soit au plus célèbre des extraterrestres. Selon la classification des amas ouverts de Robert Trumpler, NGC 457 renferme plus de 100 étoiles (lettre r) dont la concentration est forte (I) et dont les magnitudes se répartissent sur un grand intervalle (le chiffre 3). Les infos: Newton 150/750 + réducteur de Coma @ 678mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 275 x 60s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 60s: Mêmes défauts visibles que pour le Double Amas
    4 points
  3. Le gain de netteté à f4 est perceptible sur les objets comme par exemple cette araignée, par contre la perte de profondeur de champs à f4 avec ce type d’objet qui ont beaucoup de profondeur de champs (à cause des pattes de l’araignée) génère plus d'artefacts de focus stacking dans les logiciels d'empilements, que ce soit avec Helicon ou avec Zerene, du genre des artefacts de transparence de certaines parties de l'avant plan ou encore de superposition incorrecte de certaines parties de l'arrière plan. Je vais dire que c'est le "prix à payer" pour un peu plus de netteté : Image stackée à partir de 115 photos dans Zerene Stacker avec la méthode PMax - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f4 - temps de pose de 1/15 secondes - iso 400 Version avec les artéfacts corrigés (ou plutôt atténués) dans Zerene Stacker : https://zerenesystems.com/cms/stacker/docs/videotutorials/retouching001/index Helicon fait la même chose au niveau des corrections d'artéfacts mais il faut que je test aussi. Je dois vous avouer que je ne suis pas très familiarisé avec les systèmes de corrections d'artéfacts des 2 logiciels de stacking. Par contre, je suis surpris d'avoir eu pratiquement pas d'artéfacts sur la version prise à f11 du post précédent (48 photos à stackées) par rapport à la version prise à f4 (115 photos à stackées) et je me demande si il ne vaut pas mieux fermer à f11 avec ce type d’objet de grande profondeur de champs quitte à perdre un peu en netteté. Amicalement, FRanck PS : j'oubliais : voici un test de l'objectif Sigma 100mm macro de l'excellent site "closeuphotography.com" : https://www.closeuphotography.com/sigma-105mm-os-macro-lens @ La Louche du Nord : Merci pour ton retour. J'avoue que ne suis pas vraiment fan non plus . . . voir un peu arachnophobe . . . et pourtant elles sont si mignonnes : J'en profite pour remercier tous les ami(e)s de WA pour leurs notifications. Ca fait toujours plaisir Comment vas tu cher Charles ?
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  4. Salut, Je suis pas sûr que je sois dans la bonne rubrique, mais ça reste de la science! Je pouvais quand même pas poster çà dans "matériel astrophotographique".😄 même si je veux le même! Je veux parler bien sûr du télescope Magellan. Explore the Design - Giant Magellan Telescope Magellan, c'est un télescope de 2100 tonnes et de 25M de diamètre qui nous donne un pouvoir séparateur théorique de 0.0048" d'arc.😘 Ce qui est intéressant, c'est la formule optique. Exit le Ritchey Chretien, là, ils ont choisi un Gregory mais je pense en connaitre la raison! Dans une formule optique grégory, le plan focal du primaire se trouve entre le primaire et le secondaire: Ce qui veut dire que si vous voulez observer une exoplanète en direct (au foyer secondaire), vous pouvez occulter l'étoile à la focale primaire. Avec ce télescope, on devrait donc être en mesure d'observer les premières exoplanètes en lumière directe! Fini donc les moyens de détection indirects comme les occultation etc. Mais me direz vous, quid de la turbulence atmosphérique qui rendent le pouvoir séparateur impraticable? Et bien, contrairement à l'optique adaptative du VLT sur les miroirs primaires, ici, c'est sur les secondaires que l'on applique les déformations pour corriger le front d'onde: la fréquence de déformation des miroirs est de 2kHz, ça va faire un sacré raffut sous la coupole! Le dernier miroir est en train d'être coulé et j'ignore le stade de finition des 6 autres (tant qu'ils nous les polisse à Lambda/20!). J'imagine même pas la taille de la chambre d'aluminure... Mais la première lumière de ce bousin promet d'être un moment d'anthologie! a+ Serge
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  5. Bonjour a tous, Je m'appelle Bernard,80 bougies en Janvier prochain et j'habite entre Lille et Lens. 20 après (2001 2004) l'époque des webcams etc, le virus est donc revenu. Il y a 6 mois j'achète sur le bon coin un 114/900, aussitôt transformé en Dobson (merci Christophe) et le trépied utilisé pour support d'un parallélogramme maison pour les jumelles. Je viens de faire l'acquisition d'un Dobson de table Bresser 150/750 pour la facilité de transport, la rapidité d'installation et aussi pour préserver le dos (et oui l'age est la) lol et que pour du visuel. Très heureux de me retrouver parmi vous Cordialement Bernard
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  6. Pour redresser tout, il faut un prisme d'Amici.
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  7. Hello, maintenant que les frimas s'installent, il est bon de de souvenir de ce bel été astro 2023. Voici quelques classiques croqués à la FC-100 en seconde partie de juillet en vacances depuis le ciel exubérant des Alpes du sud (entre Sisteron et Gap). Hélas il s'agissait de la transition entre un printemps pourri et l'été que l'on sait, c'étaient les premières réelles éclaircies mais avec pas mal de résidu nuageux, parfois un peu gênant sur certaines observations. NGC 6826 entre 92 X et 148 X et 148 X UHC. Sans lune, transparence B à TB et turbulence moyenne, au crépuscule finissant en attendant que le ciel se mette en place. A moins de 100 X, elle est petite, bleutée et quasi réduite à la centrale. Des bribes d'annularité sont perçues à 148 X. Cela est légèrement confirmé à l'UHC, avec une NP globalement plus nette et plus brillante. M 56, amas globulaire facile à voir dans la Lyre, mais difficile à résoudre et assez diffus. Même gamme de grossissements, même jour. A 123 X je note une très vague granulosité, mais malgré mes efforts pas vraiment de début de résolution. Je détecte une vague extension au NO, ce qui est confirmé sur photos par un tapis stellaire plus faible : La présence des nuages me laisse quand même détailler M28, amas globulaire quasi majeur du Sagittaire mais assez peu évoqué. La périphérie est très vaguement granuleuse à 148 X, et d'emblée la partie principale est allongée NE/SO. Avec attention et force vision décalée, je note des extensions diffuses au N, au SO et un peu à l'E. 2 faibles étoiles apparaissent vers le bord S. Enfin M92 dans Hercule est bien plus gratifiant à ce diamètre, en montrant déjà un bon début de résolution, du moins avec un peu de vision indirecte. L'arrivée de nuages diffus (lendemain par rapport aux observations précédentes) et la position quasi au zénith viennent perturber quelque peu l'observation, que je juge pas tout-à-fait aboutie. Néanmoins, à 92 X et 123 X la forme irrégulière avec le coin E plus marqué est évidente, ainsi qu'un halo se déployant au NO. Dans cette zone l'amorce de résolution est évidente même sans avoir pu pousser plus le Gr. J'ai noté avoir vu plus d'étoiles faibles en périphérie que représenté, le dessin ayant été interrompu en raison des conditions expliquées. La forme cométaire ou en éventail est assez curieuse. Bel amas qui en montre plus au-dessus de 150 X (j'avais noté lors d'une autre observation une résolution un peu plus évidente avec un centre granuleux à 185 X, mais image plus sombre). Je poursuis par M20 mais rapidement après le placement des étoiles du champ et du gros de la nébulosité, je dois m'arrêter à cause des nuages devenant de plus en plus épais. Par décence je ne montrerai donc pas le dessin, mais je détecte tout de même quelques traces d'irrégularités et une répartition de la masse nébuleuse assez conforme à la réalité. Voilà donc pour ce petit aperçu, apéritif de tout ce qui avait suivi ensuite ! Bon ciel à toutes et tous !
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  8. Salut Eric😊, intéressant ce post d'en face dans le manuel en Français: " Pour activer l'encodeur sur la version RH de l'EQ8, et bénéficier d'une précision de suivi optimale, vous devez impérativement initialiser puis étalonner la monture sur 1, 2 ou 3 étoiles. Les différentes procédures d'étalonnage sont décrites dans le manuel de la raquette de contrôle SynScan. Je n'ai que le manuel d'instruction en Anglais du Synscan, et aucune mention n'est faite qu'il soit nécessaire de construire un modèle de pointage (Gemini, sort de ce corp!) pour que l'encodeur soit en fonction. Je pense aussi qu'il y a confusion: les EQ8 ont été produites un temps avec des encodeurs absolus en DEC et RA. Ce n'était pas franchement une réussite et ils les ont abandonné sur les montures récentes dixit Pierro-Astro. Qu'il soit nécessaire de construire un modèle de pointage permet de calibrer les encodeurs absolus sur ces anciennes montures et autorise que le synscan sache ou l'on pointe même avec des mouvements manuels freins desserrés. Dans le cas du Renishaw, ce n'est pas un encodeur absolu et il se contrefiche que vous pointiez le gazon ou Bétegeuse. Il est juste là pour mesurer la vitesse de rotation de l'axe horaire et d'éliminer une éventuelle EP. Comme je l'ai mentionné plus haut, j'ai l'impression que la philosophie de l'EQ8 c'est d'avoir l'intelligence de la monture dans la raquette synscan, contrairement à d'autres montures ou tous les paramètres sont stockés sur la carte mère de la monture. Dans le cas qui nous intéresse, nous utilisons GS-server qui se contrefout d'un quelconque modèle de pointage. Il sait peut être calculer la réfraction atmosphérique d'où la seule utilité de devoir rentrer les coordonnées de l'observatoire en plus de déterminer la valeur de la vitesse de suivi "King" à un endroit du ciel donné. De toute manière, vu que nous utilisons le platesolve de Nina, même si on est à 0.5° à coté de la cible lors d'un goto, eh bien on s'en fout un peu. Le modèle de pointage (je ne connais que celui du Gémini qui corrige les flexions instrumentales, et petites erreurs de MES et mécaniques de la monture) n'est intéressant qu'en visuel pour ne pas passer la nuit complète à chercher la cible en spirale. Vous noterez au passage que GSS ne possède pas de bibliothèques d'objets. Tout ce qu'il fait, c'est pointer vers un jeu de coordonnées reçu de Nina ou de CdC point barre. Tout ce qui m'importe moi, c'est: Mesurer la qualité du suivi sans encodeur et sans corrections lors d'une séance d'assistant guidage PHD2 pour juger de la mécanique de la monture avec 25Kg qui pendouillent dessus. Mesurer la qualité du suivi avec la même méthode pour voir l'impact du feedback du Renishaw. tester les points 1. et 2. en mode imagerie avec PHD2 pour établir que le système de contre-réaction tolère bien les commandes d'ajustement de PHD2 De toute manière, en astrophotographie, j'ai plutôt une approche assez cartésienne. J'avais commencé lors de nos aventures de guidage respectives avec Julien @180Vision, moi sur la Titan, et lui sur sa G11. Je voulais procéder avec méthode aux essais d'algos et de paramètres de PHD2 (avec les précieux conseils de Michel @Colmic) plutôt que d'appuyer sur tous les boutons au hasard. Ca m'aura permis au final de trouver le meilleur algo avec les meilleurs paramètres pour la Titan. On verra comment ça se passe avec la Rh... De toute manière, j'aurais passé mon DUT avec Losmandy, mon Master avec Skywatcher. Pour peu que je puisse passer mon doctorat avec Astrophysics, je pourrais alors penser à ma reconversion en Docteur es Guidage et parcourir le pays (et le monde!) en venant résoudre les problèmes des astrophotographes en détresse...😇😂 De toute manière, il faudrait que tu fasses un petit sacrifice au dieu des tempêtes avant, Eric, (il est surement Breton), parce que là, on voit bien qu'il est un peu ronchon... a+ Serge
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  9. Bonjour, Changement de setup sur la monture, place au newton 150mm et à ses belles aigrettes. Direction le double amas de Persée, toujours chouette à photographier avec toutes ces couleurs d'étoiles différentes. Le double amas de Persée (ou simplement double amas) est le nom commun d'un ensemble d'amas ouverts visibles à l'œil nu, NGC 884 et NGC 869. Leur proximité apparente n'est pas totalement fortuite. Âgés respectivement de 116 et de 125 millions d'années, ils sont nés du même nuage interstellaire. Le premier contient beaucoup de jeunes étoiles de type spectral B, autrement dit des géantes, alors que le second est fait essentiellement d'étoiles B blanches ou d'étoiles M rouges en phase de supergéantes. Compte tenu de leurs dimensions (autour de 100 années-lumière chacun), environ 200 années-lumière séparent réellement ces amas. La lumière que nous recevons de ces deux amas est décalée vers le bleu. NGC 869 se rapproche en effet de la Terre à la vitesse de −39 km/s et NGC 884 à la vitesse de −45 km/s. Les Babyloniens, puis les Grecs de l'Antiquité, avaient déjà repéré cette « étoile nébuleuse » cataloguée pour la première fois en 130 av. J.-C. par Hipparque. En fait, cette tache laiteuse facilement visible à l'œil nu est constituée de deux amas d'étoiles en apparence collés l'un à l'autre. Ces deux amas n'ont pas été intégrés par Charles Messier dans son catalogue, bien que cet astronome ait sans doute connu leur existence. L'observation aux jumelles du double amas de Persée permet de contempler la richesse et la superficie de ce champ d'étoiles faibles. Un télescope de plus de 100 mm permet une plongée au cœur de cette ruche stellaire. Toutefois, un grossissement supérieur à 25 × empêche de voir le double amas en entier dans le même champ. Un instrument de 200 mm révèle des centaines d'astres (de la magnitude 8 à la magnitude 14) dans chacun des amas. Des différences de couleur se manifestent entre les étoiles qui sont devenues des supergéantes rouges et celles qui sont soit encore sur la séquence principale, soit qui sont devenues des supergéantes blanches ou bleutées. Selon la classification des amas ouverts de Robert Trumpler, les deux amas ouverts sont de type I3r. On y retrouve donc une forte concentration d'étoiles, un grand intervalle de répartition des magnitudes et plus d'une centaine d'étoiles. Les infos: Newton 150/750 + réducteur de Coma @ 678mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 167 x 60s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 60s:
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  10. Hey joli champs ... tu pourrais nous mettre la brute de sortie d'empilement pour m'amuser, je revois mes process Pixinsight en ce moment
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  11. Orion, le coeur, il y a quelques années 2019 je pense, gros dobson de 734mm dans le 04. Mon souvenir est encore vivace et revient à chaque fois que je pointe la nébuleuse (par exemple ça commence à être la période). J'ai déjà vu Orion dans un 400mm, ce n'est pas aussi impressionnant (mais ça l'est). Je retranscris pour inviter à qui pourra à offrir une vision dans un observatoire équipé d'aussi gros. (400 et +) Immersion avec un oculaire ethos (les étoiles étaient bien plus fines), ce n'est plus une photo mais une image travaillée sur la couleur et le contraste. (c'est ma façon de dessiner) L'impression de luminosité et de relief est mieux ressentie en ouvrant l'image dans un nouvel onglet et faire F11 plein écran avec zoom. Le piqué était bien meilleur, une vraie impression d'écarter les nuages pour accéder au trapèze parfaitement séparé et coloré, parmi les 6 une étoile franchement jaune et les autres blanches ou bleutées. On ressent bien la présence presque angoissante des poussières sombres, une impression de relief et de majesté en naviguant dedans. La forme générale laisse place à l'imagination.
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  12. Les éclipses solaires et lunaires de l'année 2024 Ce sujet fait suite (après cinq années d’interruption dues au fait que personne n’a voulu, hélas, malgré plusieurs rappels de ma part, reprendre la suite de cette série) à mes six précédents sujets concernant les éclipses solaires et lunaires (voir : https://www.webastro.net/forums/topic/187352-quelquun-reprendra-t-il-enfin-la-suite-de-mes-sujets-annuels-sur-les-%C3%A9clipses-solaires-et-lunaires-de-lann%C3%A9e-suivante/ . Aussi, en espérant que cette fois-ci un webastram continuera enfin à continuer la série pour les années à partir de 2025, voici ce qu’il en sera pour les éclipses solaires et lunaires de l’année 2024 : L'année prochaine, en 2024, il n’y aura que quatre éclipses , le minimum possible : seulement deux éclipses solaires (une totale le lundi 8 avril 2024 et une annulaire le mercredi 2 octobre 2024) et également seulement deux éclipses lunaires (une par la pénombre le dimanche 25 mars 2024 et une partielle le mercredi 18 septembre 2024). 2024 sera donc une année “pauvre en éclipses” . Je signale, pour faire une légère soudure après les éclipses des six années 2013 à 2018, la situation du nombre d’éclipses entre 2019 et 2023 : • 1°) en 2019 il y a eu cinq éclipses : trois éclipses solaires (une partielle le dimanche 6 janvier 2019, une totale le mardi 2 juillet 2019, et enfin une annulaire le jeudi 26 décembre 2019) et deux éclipses lunaires, une totale et une partielle (le lundi 21 janvier 2019 et le mardi 16 juillet 2019. 2019 fut donc une année “moyenne en éclipses”. Mais, cerise sur le gâteau : l’année 2019 fut l’objet d’un passage de Mercure devant le disque du Soleil, le lundi 11 novembre 2019, passage partiellement visible en France et en Europe Occidentale, la fin du passage étant hélas invisible (voir : https://www.imcce.fr/lettre-information/archives/162). Le précédent passage de Mercure devant le disque du Soleil avait eu lieu le lundi 9 mai 2016 et le passage suivant aura lieu le samedi 13 novembre 2032. Le brillant calculateur astronomique à l’IMCCE (Observatoire de Paris) Patrick Rocher, (voir : https://copainsdavant.linternaute.com/p/patrick-rocher-11977519) a réalisé un gigantesque “Canon” des 993 passages de Mercure devant le disque du Soleil entre 1506 et 2499 : ( https://vt2004.imcce.fr/CDs/CD-VT-histoire/passage/html_passage/CanonMercure.html#P1618 ). Je rappelle qu'une année “riche en éclipses” en comporte six (dernier cas en 2009 avec 2 éclipses solaires et 4 éclipses lunaires ; prochain cas en 2020 avec 2 éclipses solaires et 4 éclipses lunaires). Enfin, il peut — très exceptionnellement — y avoir une année “très riche en éclipses” : sept éclipses dans une année civile !... Comment cela est-il possible ? Eh bien, vu que les deux “saisons d'éclipses” de chaque année sont espacées par 173,31 jours, il en résulte qu'une année de deux “saisons d'éclipses” vaut 173,31 * 2 = 346,62 jours ; donc il reste 365,25 - 346,62 = 18,63 jours pour arriver à une année civile (365 ou 366 jours). Si une éclipse (de Lune ou de Soleil) se produit dans les onze ou douze premiers jours de janvier il pourrait alors y avoir très exceptionnellement sept éclipses dans une année civile. La dernière année civile où il y a eu sept éclipses dans une année civile c'était en 1982. Cette année-là il y a eu trois éclipses de Lune et quatre éclipses de Soleil. La prochaine fois ce sera en 2038 : cette année-là il y aura quatre éclipses de Lune et trois éclipses de Soleil. • 2°) en 2020 il y a eu six éclipses : deux éclipses solaires (une annulaire le dimanche 21 juin 2020, et une totale le lundi 14 décembre 2020), et quatre éclipses lunaires, toutes quatre par la pénombre (le vendredi 10 janvier 2020, le vendredi 5 juin 2020, le dimanche 5 juillet 2020, et le lundi 30 novembre 2020). 2020 fut donc une année “riche en éclipses”. • 3°) en 2021 il y a eu quatre éclipses : deux éclipses solaires totales (une totale le mercredi 26 mai 2021, et une autre totale le samedi 4 décembre 2021) et deux éclipses lunaires, une totale et une partielle (éclipse totale le mercredi 26 mai 2021 et une éclipse partielle le vendredi 19 novembre 2021). 2021 fut donc une année “pauvre en éclipses”. • 4°) en 2022 il y a eu quatre éclipses : deux éclipses solaires partielles (une partielle le samedi 30 avril 2022, et une partielle le mardi 25 octobre 2022) et deux éclipses lunaires, toutes deux totales (le lundi 16 mai 2022 et le mardi 8 novembre 2022). 2022 fut donc une année “pauvre en éclipses”. • 5°) en 2023 il y a eu quatre éclipses : deux éclipses solaires (une hybride [annulaire-totale] le jeudi 20 avril 2023, et une annulaire le samedi 14 octobre 2023) et deux éclipses lunaires, une par la pénombre et une partielle (le vendredi 5 mai 2023 et le samedi 28 octobre 2023). 2023 fut donc une année “pauvre en éclipses”. Après ce bref rappel, voici la situation des quatre éclipses de 2024 : • 1°) L'éclipse de Lune par la pénombre le dimanche 25 mars 2024 ; saros lunaire n° 113 (grandeur dans la pénombre de la Terre : 0,9557 ; le diamètre apparent du disque de la Lune étant de 1,0000), éclipse lunaire non numérotée, comme toutes les éclipses par la pénombre, dans le Canon d’Oppolzer (voir : https://www.webastro.net/forums/topic/68620-le-quotcanon-der-finsternissequot-de-theodore-von-oppolzer/ ). Les circonstances de cette éclipse de Lune par la pénombre du dimanche 25 mars 2024 seront les suivantes d'après les calculateurs de la NASA : https://eclipse.gsfc.nasa.gov/LEplot/LEplot2001/LE2024Mar25N.pdf. •2°) L'éclipse totale de Soleil le lundi 8 avril 2024 ; saros solaire n° 139 (grandeur: 1,05656 ; le diamètre apparent du disque du Soleil étant de 1,00000), éclipse solaire n° 7686 dans le Canon d’Oppolzer. Les circonstances de cette éclipse totale de Soleil (entièrement visible depuis l'Amérique du Nord) du lundi 8 avril 2024 seront les suivantes d'après les calculateurs de la NASA : https://eclipse.gsfc.nasa.gov/LEplot/LEplot2001/LE2024Mar25N.pdf. A noter que cette éclipse totale de Soleil du lundi 8 avril 2024 sera sans doute une des plus diffusée en direct par les médias du monde entier depuis toujours (sur les écrans de télévision des chaînes d’information continues mais surtout grâce aux multiples sites Internet qui la suivront quasiment en continu pendant plusieurs heures) à cause de ceci : https://eclipse2024.org/2024_special.html et de cela : https://espacepourlavie.ca/leclipse-de-soleil-du-8-avril-2024 . Cette éclipse totale de Soleil du lundi 8 avril 2024 appartient au saros solaire n° 139 dans la numérotation de l'astronome hollandais George van den Bergh (1890-1966) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Éclipse_solaire_du_8_avril_2024 . Elle porte le n° 7886 dans le Canon d'Oppolzer. Cette éclipse totale de Soleil ne sera hélas pas visible en France métropolitaine, ni en Europe Occidentale… •3°) L'éclipse partielle de Lune le lundi 18 septembre 2024 ; (grandeur: 0,848 ; le diamètre apparent du disque du Soleil étant de 1,000). 4°) L'éclipse annulaire de Soleil du mercredi 2 octobre 2024 (grandeur : 0,93260 ; le diamètre apparent du disque de la Lune étant de 1,00000), éclipse solaire du saros n°144 (n° 7687 dans le canon d'Oppolzer). Et en 2025 ? Eh bien, il y aura quatre éclipses : deux éclipses partielles de Soleil (les 29 mars et 21 septembre 2025) et deux éclipses totales de Lune (les 14 mars 2025 et 7 septembre 2025). Mais pour cette année-là (et pour les suivantes) j'espère bien qu'un webastram continuera la série, à sa manière... Roger le Cantalien. Remarque : j'ignore pourquoi mais je n'arrive pas à poster correctement ce sujet... L'ordinateur de Webastro n'aime donc pas les éclipses ?
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  13. TOUTES les études démontrent que la cause du réchauffement global réside dans les émissions de gaz à effet de serre. Mon premier post sur ce fil était précisément dédié à cette démonstration, et la page du GIEC consacrée aux causes est catégorique. L'aspect n'est pas "majoritaire" : il est exclusif. La variabilité naturelle n'est jamais à cette échelle de temps, et aucune autre cause n'est vraisemblable dans ce que nous vivons. Le mécanisme est parfaitement élucidé, et de fait assez aisé à identifier. Arrhenius au XIXème siècle avait déjà calculé à la main ces conséquences, en évaluant seulement les émissions de son époque. On ne s'adaptera pas. Des régions entières sont déjà difficilement habitables, du seul fait de la chaleur. Un individu jeune en bonne santé soumis à une température de 35°C à saturation en humidité meurt en six heures. Les migrations climatiques humaines sont déjà en cours. Les migrations animales et végétales ne pourront pas suivre le rythme. Le réchauffement induit des catastrophes contre lesquelles on reste impuissant, des tempêtes à la puissance décuplée, une montée des océans qui menace des millions d'individus, des inondations cataclysmiques, des sècheresses prolongées, des famines touchant tous les pays, des destructions inassurables... Encore une fois, il s'agit de faits scientifiquement établis, ce qui est facilement vérifiable sur le Net, dans la presse, ou dans les publications scientifiques.
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  14. Salut, pourquoi envisager de changer de tube ? Un newton 200/1000 est très performant en astrophoto, ça permet de détailler la plupart des objets du CP tout en étant assez rapide et la collimation n'est pas trop sensible. Surtout que tu as déjà de l'expérience avec donc la collimation ne doit pas être un souci. Vu ton budget "confortable" tu pourrais faire quelques améliorations : correcteur de coma performant si tu n'en as pas déjà, suivant la focale que tu souhaites obtenir (Starizona 0.75X, GPU 1x ou Paracorr 1.15x), bon PO à crémaillère (comme le Lacerta Octoplus), masque de chanfrein pour améliorer la forme des étoiles, budget complet de l'ordre de 1000€. Éventuellement, passage à une araignée plus solide, changement de tube par un tube carbone, repolissage du miroir, etc. Concernant la caméra, vu ton budget tu pourrais envisager une caméra monochrome qui a bien des avantages : bruit significativement plus faible à temps d'exposition total donné et meilleure résolution, plus de flexibilité dans son utilisation.
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  15. De toute façon, entre le prix du doublet et celui de la lunette en occasion, autant partir sur autre chose !
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  16. Oui c’est injuste et stupide. Mais ça peut éclairer des astram qui se posent la question de ce que peut apporter un oculaire haut de gamme télescope utilisé pour le test : dobson 150/750 maison collim vérifiée sur étoile. cible : m57 et double amas de Persée. champ apparent : 60° pour l’artesky, 68° sur le panoptic. poids : 200g pour l’artesky, 232 pour le panoptic. relied d’œil : 15mm pour le panoptic et 20 pour le artesky Bonnette souple pour le pano, bonnette semi rigide réglable par vissage pour le artesky. Les deux oculaires sont parfaitement confortables. Le relief d’œil de l’artesky est légèrement plus confortable pour le port de lunettes. couleurs : neutralité bonne dans les deux oculaires. Très légèrement jaune. contraste : le fond de ciel est un peu plus sombre dans le panoptic ( grossît aussi très légèrement plus) et l’anneau de m57 est légèrement plus contrasté par rapport à la zone centrale. courbure de champ : légèrement gênante sur l’artesky , quasi absente sur le panoptic. (Le newton donne un champ courbé surtout avec une focale courte) la coma et l’astigmatisme sont les defauts les plus marqués sur l’artesky. les étoiles sont déformées dès 15° du centre et montrent une grosse coma à 20-25°. Ceci est très inesthétique et fait perdre beaucoup d’informations (les étoiles se mélangent entre elles en périphérie) sur le panoptic la coma est présente mais à 30° du centre elle est au niveau de ce qu’on trouve dans l’artesky à 15°. voila la différence de prix est énorme et l’artesky est bien sympa pour son prix, tant pour la qualité d’image que pour son confort, essentiel pour bien débuter en astronomie . Le panoptic coûte le prix d’un petit télescope, mais il transfigure l’image qu’on en obtient. La différence ne se joue pas sur des nuances difficiles à percevoir Ces différences seront bien moins marquées sur un instrument à f/d plus long ( vérifié sur schmidt cassegrain, probablement vrai sur les lunette f/d autour de 8-10) . Il existe aussi l’alternative des explore scientific 24mm 68°, moins chers que le panoptic, réputé à peu près équivalent. Je l’ai pas alors je peux pas vraiment préciser bon ciel
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  17. Bonjour Un petit challenge d'observation diurne dans la matinée du 9 novembre 2023 puisque La Lune va occulter Vénus en plein jour aux alentours de 11h00. D'autant moins facile à observer que La Lune se présentera sous la forme d'un fin croissant âgé de 25.3 jours avec seulement 19% de visibilité. Vénus disparaitra dans le croissant éclairé et réapparaitra dans la partie à l'ombre. Mais un beau spectacle malgré tout pour les personnes qui auront la chance d'avoir un ciel dégagé ce jour là. Simulation Stellarium (sans atmosphère ) : Bon ciel et bonnes observations à vous
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  18. Ce qui compte il me semble c'est surtout la taille du balcon et son orientation. Si le balcon est minuscule une lunette ne fera pas l'affaire. Quand à l'orientation pareil il faut pouvoir voir des choses.
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  19. Beau spot avec de belles aigrettes ! Ce sont de sacrés yeux perçants 🦉
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  20. Je ne pense pas que ce soit un RC "classique". Voir la fiche technique de l'importateur France et donc à vérifier avec lui ou un revendeur de la marque : https://www.medas-instruments.com/fr/lunettes-completes/61-perl-alhena-70-700-az2.html Bon ciel.
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  21. J'aurais dû écrire "en mauvais plastique" 😉.
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  22. Hors sujet. Je ne comprends pas cet acharnement de principe contre les matières synthétique. J'usine beaucoup les "plastiques" ; je me souviens de cet observateur extraordinaire qui observait des franges d'interférences avec un dispositif de sa conception en ... Plastique. Plus récemment, un copain s'est équipé d'un matériel photo très performant et pourtant très léger pour un 600 ou 800 mm. Je le soupçonne tout en "plastique" (un opticien que les amateur admire depuis bien des lustres). Je ne m'oppose pas au précédant message, trop souvent justifié, mais bon, certaines lunettes (ou télescopes) trop courtes pourtant équipées de lentilles en verre ... Fin du hors sujet
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  23. Je connais pas la flèche ni la focale d'un miroir secondaire concave de ce Gregory mais je voudrais pas être les Techniciens qui vont les manipuler. A 2mm d'épaisseur, c'est une crêpe ! Du style:"chef, chef, je comprends pas, Pedro c'est assis dessus pour manger son sandwich et il est passé à travers !" 😜
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  24. Bonsoir, Eul'bienvenue din ch'forum. Le trépied ma lunette 90 x 660, achetée lors de mon "retour à l'astro" a aussi fini comme trépied pour un parallélogramme (mais pas "maison"). Très agréable, le parallélogramme. Et aussi quand on est plusieurs, de tailles différentes, pour observer. Bien que plus jeune (55 bougies fin novembre), c'est aussi ce qui m'avait freiné lorsque j'avais eu une possibilité de passer à un diamètre supérieur... Et puis... chacun/chacune à "sa" pratique de l'astro, et peut trouver du plaisir, de l'évasion, même avec de "petits" instruments (tout est relatif : quand j'ai commencé l'astro, c'était lunette de 60 ou 114/900). A+
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  25. Le redresseur fourni est un gadget en plastique (le long tube avec écrit "1.5X Erecting Eyepiece")... Ça, plus les oculaires de type Huygens avec leur champ de (au mieux) 40°, ça risque d'être difficile de s'en servir comme d'une longue vue 😅. J'aurais aussi tendance à me tourner vers une 70/700 en ajoutant un redresseur terrestre (de type prisme Amici).
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  26. N'oublie pas que, sans redresseur, l'image avec une lunette sera inversée haut/bas et gauche/droite.
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  27. Bonjour, Privilégier une 70/700 AZ plutôt que le modèle Bresser pour 2 raisons. Déjà la qualité optique et mécanique sont supérieures. De plus la focale plus courte est plus intéressante que ce soit le rangement, l'utilisation et de manière générale aussi en terrestre. Ces modèles en 70/700 existent chez Sky-Watcher (marque très connue) et Perl (marque française). Ces 2 derniers modèles sont identiques, seule la couleur du tube change... Compléter par une carte du ciel, de la Lune et un livre.
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  28. Tout à fait d’accord! Par contre observer à 20 ou 40x ( voire un peu plus sans doute) avec une petite lulu à travers une fenêtre ouverte est tout à fait raisonnable quand même . Surtout si ça caille pas trop dehors.
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  29. Bonjour @Lycanth Observer depuis une fenêtre est très déconseillé car tu aura beaucoup de turbulence due à la différence de température intérieur/extérieur. Il faudra observer sur le balcon, porte fermée Concernant le matériel, tu évoques la Lune et les planètes : si tu as un ciel pollué, c'est en effet une bonne approche. Du coup, une lunette type 70/900 sera sera bien adaptée !
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  30. très sympas cet amas !! Je me le met sur ma liste (pour quand il fera beau -_-)
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  31. Bonjour, Un sujet avec le même genre de demande : https://www.webastro.net/forums/topic/246519-premier-téléscope/ Vois-tu la Lune depuis ton balcon ? Comment est-il orienté (quelle "portion de ciel" est visible) ?
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  32. Dans l'article, j'indique quil 'y a un peu plus de 50% de bleu dans le OIII à 501 nm et plus encore à 496 donc , si le bleu sert à qqe chose, maintenant c'est à toi de voir si c'est opportun de l'utiliser: en effet cela dégrade un peu le RSB, mais pas autant que tu sembles t'en inquiéter
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  33. J'aime bien, faut vraiment y aller pour voir les défauts, belle image, les aigrettes donnent donnent vraiment un plus à l'image, j'ai vu le poste du Hibou au dessus je n'ai vu aucun défaut , chouette couleurs !!!
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  34. Ce n'était pas prévu au programme, mais la NASA a décidé de faire "survoler" (à 430 km) l'astéroïde Dinkinesh par la sonde afin de régler les instruments. Surprise : il s'agit d'un binaire ! https://www.nasa.gov/image-article/nasas-lucy-spacecraft-discovers-2nd-asteroid-during-dinkinesh-flyby/
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  35. Les cônes "bleus" de la vision photopique humaine sont également un peu sensibles à la couleur OIII. Mais on voit une couleur comme "verte" non pas quand le spectre ne contient aucune longueur d'onde qui excite ces cônes bleus (S), mais quand une couleur excite plus ces cônes verts. Mais les caméras (voir ci-dessus et ci-dessous) rendent en effet l'OIII 'plus bleu' que la vision humaine (sauf que pour la plupart des objets, si on observe l'OIII on utilise la vision scotopique qui est monochrome). C'est encore plus frappant pour le vert et le rouge, ou le décalage entre les spectres de sensibilité des cônes dits "rouges" (L) et "verts" (M) sont si petits qu'un petit décalage du aux différences génétiques rend 8% des hommes daltoniens.
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  36. Salut baba, je suis un débutant, mais jviens de m offrir une lulu 90mm. jette un oeuil la référence c est svbony sv48p. c est un doublet pas un truc ultra corrigé, mais 235eus livré. si t as déjà une monture
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  37. Bonjour Francheu, Merci pour ton message très sympathique. Moi aussi, lorsque le message que je veux poster est assez long, je le tape d'abord au traitement de texte, puis je le poste sur le forum. Autrefois ça ne posait aucun problème, mais depuis quelques mois cela devient merdique !.. Roger le Cantalien.
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  38. Excellent ces graphs! On voit bien la crise de 2008 et je pense que ca fera un peu la méme baisse avec la guerre en ukraine. Juste un leger biais. Les pays en développement investissent massivement dans des infrastructures ce qui gonfle leur bilan carbone par rapport a leur productivité. Nous on est plutot en amortissement et entretien des ces infrastructures C'est pourtant un constat quotidien en agricole : arbarbo en particulier, maraichage et méme grande culture cerealiéres.... t'as pas idée du nombre de cancers (y compris sur les enfants de ces agris) et ca en fait reflechir beaucoup. Ceux qui peuvent économiquement se lancer dans le bio tentent le coup mais se mettent en difficulté financière, d'autres arretent tout (pourtant pas évident pour un agri de lacher sa terre) pour faire autre chose. Je pense que dans la vieille europe on constate et on paye la croissance du passé et l'epuisement des ressources : gisements de pétrole et gaz de mer du nord qui tarissent, zones humide drainées pour en faire des pature et maintenant du maîs plus rentable (probleme de manque d'eau chronique et de pesticides dans l'eau potable par chez moi- ils ont du fermer plusieurs captages le mois dernier mais a coté ils y a la course en avant de sainte soline and co), manque de zones boisée et coupes fréquentes (pb de ruissellement, de feu et de secheresse de l'atmosphere)... Je ne pense pas que ce ''culte de gaia'' soit qu'une religion ésoterique mais un constat de la limites de nos ressources localement et de la juridiciarisation des atteintes a autrui (si ca peut couter cher les dirigeants font gaffe - contrairement a d'autres pays ou la justice est moins indépendante). Du coip un frein sur l'exploitation des ressources met aussi un frein a l'economie, qui est en plus accentué par la fuite des capitaux car il y a moins d'argent a se faire localement. Le meilleur modele politique pour une économie florissante c'est la dictature liberale. Les gens ferment leur gueulent et bossent, les dirigeants autorisent tout et n'importe quoi moyennant finance. Vous voulez quelques exemples de pays avec qui nous commercons basés sur ce modele redoutablement efficace? Asie, moyen orient, Afrique, amerique latine... il y en a plein! C'est ce que vous voilez pour la france? Il y a quelques parti politiques de chez nous qui ont un programme un peu dans cet esprit la. Cherchez dans les xtremes et dans ceux de la ruralité ca sera pas long...
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  39. Bonjour, Perso, j'ai remplacé mon setup en début d'année par une AM5 + 533MM, j'avais déjà l'Asiair et une 290MM mini sur lulu 61/250 pour le guidage. Je suis très satisfaite de mon setup, j'image en SHO et en LRGB suivant les cibles (et parfois les deux). Je te déconseille les astrographes à F/D court par construction ... car les pièces d'origine ne sont pas d'une qualité suffisante pour obtenir des résultats satisfaisants (à F/D de 4 ou en dessous, la collimation, le guidage et tous autres réglages vont devenir critique et sportif). Il y en a souvent en PA, les gens que je connais qui en ont eu, les ont revendu. La lulu Askar 500 est nouvelle et semble de très bonne facture, mais la résolution de ton setup sera dépendant aussi du choix de caméra et du dispositif de l'Askar que tu utiliseras. La résolution de ton setup doit être le double de celle de ton guidage si tu ne veux pas trop galérer (ou avoir trop de déchets). La première chose a changé pour faire de l'astrophoto, c'est la monture ... et l'AM5 est une très bonne monture, très facile à utiliser, très bon suivi RMS avec guidage (obligatoire). Je suis entre 0.3 et 0.7" RMS pour une résolution de setup de 1.25"/pixel. Pour la caméra, je te déconseille la 294MC, les flats sont galères à faire et l'Ampglow n'est pas négligeable. Je te conseillerai plutôt une caméra de dernière génération sans ampglow. Soit la 533 (MM ou MC) pour un budget contenu, soit une 2600 MC duo si tu as les coudées larges. C'est juste un avis pour nourrir ta réflexion.
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  40. Ou en Corée du Nord, pour apprendre ce que veut vraiment dire le mot "dictature" (sanitaire, bien sûr).
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  41. Pauvres bobos écolos des villes ! Obligés de faire des dizaines de kilomètres en vélo-cargo électrique avec leur dobson pour trouver un site acceptable !
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  42. J'assume ma "bêtise", aucun soucis. Ca me semble une absolue évidence..... Je n'ai pas de leçon d'empathie à recevoir. On a juste une échelle d'empathie très différente, c'est tout. Les "anxiétés à la mode des beaux quartiers" ont juste tout mon infini mépris. D'autres agriculteurs perdent leurs champs en bord de rivière parce que des associations écologistes toxiques s'arrogent le droit d'empêcher tout aménagement des rivières. Du vécu il y a quelques années en ce qui me concerne, merci l'"Allier Sauvage"... Albéric
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  43. Je partage ce wahouuu !!! Instantané. Je viens de suivre Io sortir doucement de devant Jupiter! Superbe! (Je me demandais ce que c'était cette tâche très blanche sur le bord de son disque !)
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  44. Bonjour, Tu analyses bien le pb toi-même... Et M31 comme tu le sais est un objet géant sur le ciel, plus de 4x le diamètre de Pleine Lune, et avec tes oculaires, tu as un peu plus que le diamètre de celle-ci, à savoir 1/2 degré, ce qui signifie qu'ils ne sont pas adaptés. Soit investir dans d'autres oculaires (vaste choix selon ton budget sans prendre des oculaires à 1 000e), soit : Les jumelles sont un instrument traditionnel pour M31, par exemple des 50mm pour rester dans du classique ou ensuite des 80 ou 100mm qui sont accessibles avec les conceptions chinoises actuelles (trépied obligatoire). Pour te donner une idée, quand je fais voir M31 à des amis ou parfois en animation, j'utilise une SW 80 ED de 600mm de focale avec un oculaire TVO Ethos 21. Grossissement : 28x. Champ résultant : plus de 3° et demie. M31 est en entier... Avec M32 et M110 aussi. Bon ciel.
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  45. Moi, j'ai arrêté de rester en dessous pour les compter quand j'ai fini par me prendre une fiente.
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  46. Aucun. Éventuellement une otarie, voir un T-Rex.
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  47. C'est clair et net, et si je vois que ça dure, je passerai peut-être à un 200 sur monture Dobson, on verra 😊
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  48. Pardon, j'aurai du le préciser dans mon post précédent... je me suis offert un petit Celestron en 127/1000 (starsense). Je sais que c'est pas terrible (surtout avec l'histoire de la barlow intégrée) mais ça reste une sacrée évolution par rapport à mon matos d'avant 😄
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  49. Je me permet de reprendre le dessin de @adamckiewicz qui me permet de bien tracer ce que je vois. Je trace la tête du T-Rex que je vois. Dessin origine: ce que je vois: On ne se moque pas
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  50. Une image du rase-mottes de la fronde gravitationnelles de Lucy par Debra Ceravolo, au Canada, sur Spaceweather. https://spaceweathergallery.com/indiv_upload.php?upload_id=189333
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