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Bonjour, J"ai decidé d'explorer le ciel de l'hemisphere sud lors des mauvaises saisons. Pour mon premiere essai je vous présente la galaxie du sculpteur. Il s'agit d'une celebre galaxie spirale intermediaire située a 10 millions d'années lumieres. C'est une galaxie à sursauts de formation d'étoiles, c'est-à-dire une galaxie affichant un très haut taux d'étoiles naissantes. Elle est physiquement associée au groupe de galaxies appelé Filament du Sculpteur (ou Groupe du Sculpteur) dont elle est le membre le plus massif. Le noyau de cette galaxie abrite probablement un trou noir supermassif d'une masse estimée à 5 millions de masses solaires Image prise en Namibie Telescope idk 20 ; 3400 mm de focale Camera FLI proline 16803 Poses unitaires de 5 minutes 2h de luminance 30 minutes par couche couleur. Ne pas hesiter a zoomer , il y a pleins de details dans la full4 points
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Bonjour tout le monde de Webastro, mon pseudo révèle facilement que je m'appelle Vincent...et le 35, ce n'est plus mon âge (je suis à mi chemin entre quadra et quinqua); mais ma région. bon, puisque je suis sur un forum astro, autant me présenter de façon astronomique.... dans un premier temps, j'ai découvert la mécanique céleste lors de mes étude de Marine marchande il y a plus de vingt ans. Eh oui, malgré l'ère des système de positionnement par constellation de satellites (GPS, cospas sarsat, peut être un jour Galileo ?) et de radionavigation (LORAN-C et DECCA); on nous enseignait encore la navigation astronomique, avec un bon vieux sextant, un compas et un chronomètre calée sur UTC....l'astro navigation est devenu une passion. j'ai passé des quart de nuit entier à faire des positionnement astro sur mon beau pétrolier... En plus de ça, quel ciel en pleine mer! c'est indescriptible....dommage qu'un navire, ben ça bouge...donc immortaliser le ciel est mission impossible, mais ces images gravées dans ma tête sont dans le top 3 des plus belle chose que j'ai vu dans ma vie. je ne sait pas si le ciel est aussi beau en montagne, mais en tout cas, perdu au milieu du pacifique, ça cartonne. Bizarrement, malgré le temps passée à faire des points astro, il ne m'était jamais venu à l'esprit de fouiller les entrailles du ciel avec un instrument, autre que des jumelles. lorsque j'ai changé de métier, il y a 3 ans, on ma offert une petite lunette 90/900 chinoise (je suis sur que vous avez deviné la marque...) qui m'a littéralement envouté lorsque j'ai observé Saturne pour la première fois. Voir cet objet et son disque qui semblait flotter en 3 dimensions dans mon oculaire m'a ému au larme (malgré mon petit instrument); et le virus attrapé... Ce virus m'a plongé dans une sorte de folie qui sans doute touche beaucoup des astronomes amateurs: la course au "Bigger is Better"; il me fallait absolument d'autres instruments... je me suis acheté un vieux C8 d'occasion et la vielle monture qui allait avec. une fois nettoyé et réglé, il s'est avéré encore bien vaillant. mais dans ma folie, il me fallait plus... Par Malheur ou Bonheur, je suis passé devant un "vide maison" d'une personne décédé. Je me suis arreté (alors que je ne vais jamais dans ce genre de vente). Là je suis tombé sur un bijou...un magnifique C11 sur une magnifique Monture Losmandy G11...pas pu résister mais c'était une erreur. Ce télescope m'a rendu encore plus fou! je passais mon temps à le regarder dans le garage, à l'astiquer, à vérifier la collimation presque tous les soirs, mais pas à observer...trop peur de l'abimer...(c'est irrationnel, non?) Bref, je ne l'ai sorti que 2 fois en 1 an, et c'était décevant, non pas a cause du matériel qui était très bon, mais a cause de moi, car j'étais plus fasciné par l'engin que par le ciel...en fait, je suis devenu un "psycopathe" des réglages...donc mes soirées de soi disant observation se transformait en nuit complète de "star test" et dixième de tour sur les vis de collim...j'ai donc complétement perdu le de vu l'objectif principal : observer. Un soir, je suis tombé sur la chaine YouTube "astronomie à la lunette" ou le monsieur semble s'éclater complétement avec sa petite lunette 70/900 Bresser Junior...et à dessiner ce qu'il voit dans l'oculaire. ça m'a fait un déclic, un bel instrument qui n'apporte pas de plaisir ne sert à rien. j'ai donc cédé mon beau C11 à un club astro de la région, ou il sera enfin utilisé à sa juste valeur! (et aussi pour le plus grand bonheur de ma chérie qui peut à nouveau mettre sa voiture au garage...) depuis, ben je me ballade avec ma petite lunette dans le coffre, et j'ai enfin retrouvé les plaisir de l'observation en toute simplicité...rouler jusqu'à un champ bien dégagé et poser ma petite lunette, ma petite lampe rouge et mes cartes du ciel! fini les prises de tête avec les câbles, les GO-TO et autre...le bonheur tout simplement! voilà, c'était juste pour partager mon expérience, qui m'a appris que la course au meilleur matos peu faire perdre l'essence de cette activité passionnante. (bon, quand même....peu pas m'empecher...je compte investir dans un MAK prochainement) à bientôt, Vincent2 points
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Bonjour à tous, C'est décidé😉 Prochaines dates des NCN 2024: du jeudi 1er août au dimanche 4 août. Nous revenons à une formule "classique" qui semble convenir au mieux à un grand nombre de participants. Nous allons travailler sur le portail HelloAsso d'ici la fin de l'année avec quelques modifications sur le règlement intérieur suite à l'expérience des NCN 2023. Il devrait ouvrir début 2024 pour les inscriptions... Bon ciel à tous et à l'année prochaine 🙂 JML SAM2 points
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Moi c'est oui. Ton ami c'est non. Mais est-ce que ça vient vraiment du télescope ? Je vais raconter un peu ma vie... Jeudi soir, en rentrant du boulot, je vois que le ciel est entièrement dégagé, je vois même déjà la Voie Lactée, alors je saute le dîner (plus tard) et je sors aussitôt mon Dobson 300/1200 (c'est un modèle plus léger que les modèles chinois) car je sais que la Lune se lèvera dans une heure, de plus il est prévu un temps couvert pour la nuit : ça ne va pas durer. Je le porte en un seul morceau, je n'attends pas la mise en température, je ne vérifie pas la collimation : pas le temps. Le but : faire un dessin du groupe de galaxies NGC 383 & Co que j'ai observé le mois dernier, mais sans le dessiner (par flemme). Pour ça il faut un ciel bien transparent. C'est le cas : la perturbation pluvieuse de cet après-midi a bien balayé le ciel. Par contre ça turbule bien (du coup inutile d'attendre une longue mise en température). Le groupe est situé entre Andromède et la tête nord des Poissons. Je décide de commencer rapidement par M31 à faible grossissement. Un grand classique, mais on voit bien les deux bandes sombres parallèles, ça confirme la bonne transparence. OK, j'ouvre la page d'Uranometria, je vois qu'il y a un amas ouvert non loin de M31 : un certain NGC 272. Ça alors, j'avais jamais entendu parler. Sûrement un « amas déclassé » (catalogué au 19è siècle, avant qu'on se rende compte que c'est juste un astérisme). Mais comme il est pas loin, j'y avais. Effectivement, ce n'est pas terrible. Il y a une étoile double à côté, c'est amusant. En prenant des notes, je me rends compte que le ciel est en train de se recouvrir. Je sais que je ne dessinerai pas le groupe NGC 383. J'inspecte rapidement l'étoile double pour chercher une couleur (non, les deux composantes sont blanches), je passe l'amas au fort grossissement (beuh, les étoiles sont empâtées). Puis plus rien. Zut, le ciel est complètement couvert, ça a été rapide. J'ai tout remballé et je suis allé manger. Durée de la séance d'observation : 20 minutes. Il me semble que c'est ça, ton but. Pourquoi, pour moi, un Dobson 150 ou 200/1200 est vite sorti ? Bon, j'ai un 300/1200 plutôt léger, donc c'est comparable (encombrement, poids). − Parce qu'il est stocké contre la porte qui mène au jardin. Devant, j'ai une partie dallée de 5×5 mètres qui donne sur le sud et l'est (pour voir le nord et l'ouest, je dois m'avancer dans le jardin, mais je ne le fais pas si ce n'est pas indispensable). Donc je porte le Dobson sur 5 mètres au plus. En un seul tenant. C'est assez lourd, mais pas assez pour me dissuader, pourtant je ne suis pas costaud (il doit être un poil plus lourd qu'un 200 mm chinois quand même). De plus, il fait 1m20 de focale, donc il passe la porte quand je le porte (de justesse). Pas besoin de me baisser. S'il faisait 1m50, ce serait plus compliqué. − Parce qu'il n'y a rien à monter, rien à régler (bon, quand on a le temps, on peut vérifier la collimation, ça vaut le coup, mais comme je ne l'emmène pas en rase campagne et que je le porte juste sur quelques mètres, il se décollimate très lentement). Est-ce que tu peux te permettre de trimballer un 150/1200 (c'est encore moins lourd) sur quelques mètres ? Ça dépend comment c'est fait chez toi. Ce n'est pas forcément pareil que chez moi ou chez ton ami. Normalement, sauf problèmes de dos disons, tu peux porter un Dobson 150/1200. Le problème n'est pas là, c'est s'il y a des marches, s'il faut le porter sur une longue distance, etc. Ce qui vient du télescope, c'est qu'il te faut un télescope qui se porte en un seul morceau (ou deux au pire ? mais sans équilibrage). Ça pourrait être une petite lunette ou un petit Maksutov, mais attention qu'une monture, surtout avec contrepoids, ça pèse aussi. Attention avec le trépied, il faudra le replier pour passer la porte. Bref, je ne trouve pas évident que c'est plus facile qu'un Dobson 150/1200, à part le poids. Quand je vois la photo : Eh bien ça me semble très simple : on dispose le tube à la verticale, on se place du côté opposé à l'oculaire et au chercheur (pour ne pas buter dessus) et on soulève l'ensemble en le tenant par les "trous" de la monture (*). Quelques mètres à pieds, on pose, c'est prêt. C'est ce que je fais avec mon 300/1200, sauf que le 150/1200 ne pèse que 16 kg. (Si tu as les moyens du 200 mm, attention qu'il sera peut-être moins facile à transporter (la preuve : ton ami). Celui de la même marque fait 21 kg.) (*) Attention, sur les Sky-Watcher il n'y a pas de prise sur la monture. J'ai moi aussi des "trous" sur la monture, sans ça je serai sobligé de transporter en deux morceaux. On ne peut pas nier qu'un Maksutov 127 mm sur monture azimutale est nettement plus léger. Ce que je dis, c'est plus pour faire comprendre que, néanmoins, le Dobson 150 mm reste transportable facilement et permet des observations rapides à la sauvette. Comme il est moins cher, c'est une possibilité à ne pas écarter. (Tu devrais peut-être essayer de transporter le 200/1200 de ton ami pour te faire une idée...)2 points
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Les Plossl sont très bons mais peu pratiques en dessous de 12 mm (le placement de l'oeil n'est pas toujours évident car il faut le coller contre l'oculaire) donc, en plossl, je dirais un 25 et un 12 mais la différence avec les "super" (avec une formule qui ressemble à des Reversed Kellner de ce que j'ai lu) fournis n'est pas flagrante (surtout pour le 25) donc ce n'est pas urgent. Pour compléter les oculaires fournis, l'achat d'un oculaire confortable en dessous de 10 mm est effectivement à privilégier à mon avis aussi. Un 6 ou 7 confortable coûte quand même une grosse soixantaine d'euros (les Super Plossl WA de SkyWatcher ont de bons retours, je n'en ai pas encore testé...) au minimum. Un redresseur SW/Perl coûte une grosse quarantaine d'euros donc, rien qu'avec un oculaire et un redresseur, on est au dessus de 100€ 😉. (Remplacer le 10 par un plossl de 12 sera éventuellement intéressant plus tard).2 points
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La nébuleuse SH2-132, dénommée la nébuleuse du Lion pour sa ressemblance avec cet animal terrestre, est une nébuleuse étendue dans la constellation de Céphée. Elle est distante d’environ 10400 années-lumière de la Terre et son diamètre couvre plus de 250 années-lumière. ⚠️ J'ai ici volontairement obscurci certaines zones pour bien mettre en évidence ce lion stellaire 😁 Re-processing de 76 x 300s (10-2022) avec mon Askar Fr600 f/9 et filtre Antlia Alp-T2 points
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Bonjour! Je me décide à rajouter sur ce post mes observations avec ma lunette 100ED, pour le moment...car avant de changer éventuellement de diamètre, je profite de mon changement de ciel!... Et me voici repartie sur ma " route des étoiles" , fin août, après une longue période d'abstinence cause météo... Je me rend dans la " botte du Hainaut", ma France natale n'est pas très loin...une heure de voiture, en quittant Bruxelles ,dans de bonnes conditions. Je gagne du temps à l' arrivée en évitant une route défoncée avant d'arriver à " mon coin"...😉 ( je reste d'ailleurs assez évasive sur l'endroit exact...les bons coins astro, c'est comme les coins de pêche ou de chasse aux champignons...) Plusieurs belles journées avec un ciel bleu " coronal" me laissent espérer de bonnes conditions nocturnes. Arrivée vers 22h30; surprise par la tombée de la nuit par rapport au mois passé et par la voie lactée qui apparaît déjà... Pour la première fois, je dois m'éclairer un peu pour installer mon matériel ! Il fait beaucoup plus noir que d'habitude et mes espérances sur la bonne transparence du ciel cette nuit se confirment...je constate aussi que la turbulence est quasi inexistante...un ciel "figé"... c'est en visant Saturne , vers 0h, guère haute pourtant sur l'horizon, que je réalise que l'image est suffisamment fine au 6mm, pour tenter .mon grossissement maximal 225x soit 2,25xD avec le delite 4mm. Et ça passe très bien! C'est pourtant un oculaire qui ne sort pas très souvent..pour les doubles et parfois la lune.J' ai déjà eu des images planétaires exploitables,sans plus, mais là, je retrouve la même finesse que dans le délos 6. !l'image est juste un peu plus sombre. Je l'ai beaucoup observée l'an passé, mais c'est la première fois que je la vois ainsi!e A 225x , proche de l'opposition, Saturne " nage" assez vite dans le champ de 60 degrés...l'anneau ressort en 3 D, Cassini est parfaitement visible ainsi qu'une bande nuageuse toute en finesse... c'est beau!! ..je reste longtemps dessus, mais me force à la quitter puisque j'ai tout de même fait cette route surtout pour le ciel profond ! je ne me lasse pas d'apprécier la voie lactée...pour la première fois dans mon ciel de Belgique, je distingue des " structures"...le nuage de l' écu ressemble en effet à une " fraise" ( merci Bruno!)M8 la Lagune bien visible à l'oeil nu ainsi que le nuage de M24 . La voie lactée étant habituellement dégradée au dessus de l'horizon, je parviens à discerner néanmoins pour la première fois le grand nuage du Sagittaire. Aux jumelles,M6 , M7 , sont encore visibles en début de nuit bas sur l'horizon. Horizon nord est, un dôme de pollution lumineuse tout de même ( résidu de Bruxelles, ou la ville de Charleroi?) Toutes les étoiles du chariot de la petite Ourse sont bien visibles, Cassiopée s'élève ainsi que le carré de Pégase ; j'ai déjà vu à l'oeil nu la galaxie d'Andromède ainsi que le double amas, mais jamais aussi bien que cette nuit! Certainement le plus beau ciel depuis que j'observe... Il doit certainement y avoir de meilleurs spots au fin fond des Ardennes...mais je dois tenir compte aussi du trajet. Le temps passe si vite...beaucoup de fébrilité autour de la lunette...avec un ciel pareil, je veux profiter de tout!!!😉 Je compte aussi tester ma dernière acquisition, un oculaire 33mm Swan William Optic. Pas vraiment indispensable car j'apprécie beaucoup le ES 24 mm en 68 degrés, très confortable, mais j'espère un peu plus de champ, afin de mieux apprécier les grands amas ouverts. Et c'est sur la galaxie d'Andromède qu'il va me permettre d'apprécier l'étendue du halo!! que je peux enfin évaluer dans ce beau ciel... ça traverse tout le champ de l'oculaire...enfin je le vois ! M110 que je voyais jusqu'à présent comme une faible tâche blanchâtre est très bien visible en VD et il me semble même distinguer son noyau. Cet oculaire a tendance à rendre le fond du ciel plus clair, mais dans ces bonnes conditions de ciel noir, je ne regrette pas mon achat, même si je remarque que les étoiles en bord de champ ne sont pas très propres. Je vais découvrir avec lui NGC7243 , amas ouvert de la constellation du lézard, ça grouille d'étoiles dans ce secteur.... Je fête mon " nonante huitième"😉 Messier en découvrant M77, dans la Baleine, constellation que j'identifie pour la première fois. La galaxie est facile à repérer et assez brillante. Un passage sur la petite dentelle , que j'ai plus de mal à observer que la grande; avec l'UHC, la partie au dessus de l'étoile 52 est très bien visible et lumineuse, mais le " balai de la sorcière" plus évanescent... je me plonge ensuite avec délice dans le double amas de Persée qu'on ne présente plus...toujours ce ciel figé et ses étoiles en tête d'épingles sur fond de ciel noir... A 28x l'oculaire 33 mm évoque plus l'amas vu aux jumelles et je préfère le 24 mm à 37x . NGC7789 , rose de Caroline,est somptueux dans le Baader morpheus à 72x.. J'ai le temps d'apprécier dans ce beau ciel nombreuses de mes cibles préférées.. 3h du matin, l'humidité arrive, mon chercheur s'embue, le quickfinder reste fidèle au poste...tentation de profiter des 3 amas du Cocher, déjà bien visibles en enfilade,traversant la constellation couchée sur l'horizon. Et je peux terminer par Jupiter , qui peut m' éblouir maintenant...bien que pas très haut sur l'horizon, l'image est fine, légèrement ondulante.... Quel bonheur d'avoir pu profiter de cette nuit magnifique ! Les températures clémentes renforcent aussi le confort de l'observation... Me voici " rassasiée" pour un petit moment! Jusqu'à la prochaine !!😉 Merci de m'avoir lue , il y a tout de même de belles choses à voir dans le ciel de Belgique !!1 point
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1. Introduction Utiliser un ordinateur portable pour l'astrophotographie peut parfois être pénible et compliqué. Sur le terrain, vous devez vous soucier de la durée de vie de la batterie, des longs câbles reliant tous les accessoires (caméra, focuser, monture, roue à filtres, autoguidage...), des pilotes et de la compatibilité, etc. Cela peut rapidement devenir difficile. Une bonne alternative consiste à utiliser un Hub USB attaché à la monture, mais cela ne résout qu'un tiers des problèmes mentionnés ci-dessus. Afin de me sortir du pétrin, j'ai trouvé une solution légère, portable, fonctionnelle et bon marché pour tout équipement d'astrophotographie. Notes : J'ai attaché le Raspberry Pi au télescope en utilisant du velcro, ça fonctionne plutôt bien ! Ne pas oublier les attaches de câbles pour accrocher tout cela au tube optique et limiter ainsi le ballotement s'il y a du vent. 2. Équipement nécessaire Tout d'abord, nous supposerons que vous avez un tube optique, une monture GoTo, une caméra (APN ou astro) et une caméra de guidage. C'est tout ce dont nous avons besoin pour configurer un mini-ordinateur capable de gérer tous ces périphériques. Il est possible d’ajouter plus d’accessoires, notamment une roue à filtre, un focuser électronique, etc. Pour notre système, nous utiliserons : Raspberry Pi 4 avec boitier, dissipateurs thermiques et carte Micro SD (minimum 32Go) Batterie externe USB ayant une capacité d'au moins 15,000mAh et une sortie de 2.5A minimum Câble spécifique pour connecter la monture à la Raspberry Pi 4 (typiquement EQMOD pour une monture Skywatcher par exemple) GPS USB pour obtenir la localisation précise du lieu où le télescope se trouve (j'utilise un Vk-172, mais le Vk-162 est doté d'une meilleure antenne et est également compatible). Comme vous pouvez le constater, cela coûte environ 120€, bien moins cher qu’un ordinateur astro dédié fonctionnant sous Windows avec des logiciels commerciaux et nécessitant une grosse alimentation 12V. Note : Vous pouvez économiser un peu d'argent si vous possédez des résistances chauffantes USB pour vos tubes optiques comme celles-ci. En effet, l’achat d’une batterie externe USB d’une capacité supérieure à 10 000 mAh (disons +20 000 mAh) vous permet d’alimenter la Raspberry Pi et vos résistances chauffantes USB pendant une nuit. Et c'est plus pratique que d'avoir de longs câbles partant de votre batterie AGM 12V jusqu'au télescope en mouvement. Voir Consommation d'énergie mesurée du Raspberry Pi 4 pour plus d'informations. 3. Logiciel On va mettre Raspberry Pi OS sur la Raspberry Pi 4. Il s'agit d'un OS open-source basé sur Linux. Nous installerons des logiciels d’astronomie, notamment Kstars et Ekos (bibliothèque INDI), que nous utiliserons principalement. 3.1 Installation de Raspberry Pi OS Premièrement, vous pouvez obtenir l'image de Raspberry Pi OS depuis ce lien : https://www.raspberrypi.org/downloads/raspberry-pi-os/ Ensuite, si vous êtes sous Windows, téléchargez la dernière version de Etcher à partir de ce lien : https://www.balena.io/etcher/. Enfin, obtenez la version gratuite de Winrar pour décompresser le fichier image : https://www.win-rar.com/start.html?&L=0. Maintenant que nous avons terminé l’installation des logiciels, voyons comment installer Raspberry Pi OS sur la Raspberry Pi 4. Décompressez le fichier d’extension .xz téléchargé ci-dessus avec WinRar. Insérez simplement votre carte Micro SD (à l'intérieur de l'adaptateur pour le format SD) dans la fente pour carte SD de votre ordinateur. Lancez Etcher, sélectionnez le fichier d’extension .img précédemment décompressé, sélectionnez le lecteur de votre carte SD et cliquez sur Flash! Attendez la fin du processus ... La vitesse d'écriture dépend de votre carte Micro SD (classe 10 ou supérieure est un bon choix pour une utilisation avec Raspberry Pi). Une fois le process terminé, éjectez votre carte SD de votre ordinateur et insérez-la dans la Raspberry Pi 4. Note : Certains des logiciels cités ci-dessus existent également pour les distributions MacOS et Linux. 3.2 Installation des logiciels INDI, Ekos et Kstars Pour installer INDI, Ekos et Kstars, assurez-vous que votre Raspberry Pi est bien connecté à Internet et suivez les étapes : Ouvrez un terminal de commande en appuyant sur CTRL + ALT + T ou en faisant un clic-droit sur le Bureau puis en sélectionnant "Ouvrir dans un terminal". Entrez les commandes suivantes : wget -O - https://www.astroberry.io/repo/key | sudo apt-key add - sudo su -c "echo 'deb https://www.astroberry.io/repo/ buster main' > /etc/apt/sources.list.d/astroberry.list" sudo apt update Ensuite, une fois la MAJ finie, vous pouvez installer INDI avec la commande: sudo apt install indi-full gsc Enfin, pour installer Ekos et Kstars : `sudo apt-get install indi-full kstars-bleeding`. Tous les logiciels principaux ont été téléchargés et installés ! Source : https://indilib.org/get-indi/download-rpi.html Astrometry.net pour le Platesolving Afin d’obtenir le contrôle total de votre équipement astrophotographique, vous souhaiterez peut-être effectuer ce qu'on appelle le Platesolving. Si vous ne savez pas ce que c'est, voici une courte définition : Le Platesolving est une technique qui mesure avec précision le point de visée du télescope en prenant une image, puis en utilisant diverses techniques de correspondance de motifs, fait correspondre les étoiles de l'image à un catalogue d'étoiles donné. En sachant approximativement où le télescope est dirigé et la focale de l'image capturée, les algorithmes de platesolving peuvent calculer le centre de l’image avec une précision inférieure à la seconde d'arc. Si vous êtes loin de chez vous ou que vous ne pouvez pas utiliser Internet pour votre séance d'imagerie, vous devrez télécharger localement le catalogue d'étoiles sur votre appareil pour que le Platesolving fonctionne en hors-connexion : Ouvrez un terminal de commande en appuyant sur CTRL + ALT + T ou en faisant un clic-droit sur le Bureau puis en sélectionnant "Ouvrir dans un terminal". Normalement, astrometry.net devrait déjà être installé. Vous pouvez vérifier en entrant cette commande : sudo apt-get install astrometry.net Ensuite, récupérez les fichiers d’index à partir de cette page: http://data.astrometry.net/4100/. Je vous suggère de les télécharger à partir de votre ordinateur de bureau et de transférer les packages ultérieurement sur votre Raspberry Pi via une clé USB ou tout autre support de média externe. Sinon, vous pouvez ouvrir un terminal et choisir un chemin de destination, puis taper : wget http://data.astrometry.net/4100/index-4107.fits pour chacune des images. Copier les fichiers sur le bureau de votre Raspberry Pi dans un dossier appelé "Platesolving_files". Copiez le contenu de ce dossier dans le dossier spécifique où astrometry.net va chercher les fichiers de platesolving : sudo cp /home/pi/Desktop/Platesolving_files /usr/share/astrometry/ Tous les fichiers requis pour platesolve en hors connexion sont maintenant installés ! Par défaut, Ekos envoie une image sur le serveur astrometry.net. Veillez à bien modifier les paramètres en sélectionnant "offline". Sources : https://www.ccdware.com/help/ccdap5/hs670.htm ; https://indilib.org/about/ekos/alignment-module.html Appareil photo réflexe Cette sous-section vise à installer les pilotes requis si vous souhaitez utiliser un reflex numérique non reconnu directement par Ekos. Dans mon cas, je n’ai pas pu contrôler mon Nikon D3300 sous Windows malgré toutes les tentatives effectuées avec de nombreux logiciels (Sequence Generator Pro, BackyardNikon, APT Astrophotography Tool, etc). J'ai trouvé un pilote appelé gPhoto pour Linux disponible ici dans lequel vous pouvez trouver tous les appareils photo reflex numériques compatibles. J'ai également pu trouver un bon tutoriel qui m'a permis de l'installer sur le Raspberry Pi 3. Vous avez juste à suivre ces instructions : Install libgphoto2 and gphoto2 from source on Raspberry Pi GPS Si vous utilisez le Vk-162 ou le Vk-172, procédez comme suit : Branchez le GPS sur le port USB du Raspberry Pi. Ouvrez un terminal de commande en appuyant sur CTRL + ALT + T ou faites un clic droit sur le bureau et sélectionnez "Ouvrir dans le terminal". Installer le package gpsd : sudo apt-get install gpsd. Pour voir sur quel port le GPS est connecté, tapez : ls /dev/tty*. Lors du branchement / débranchement du GPS, certaines adresses telles que /dev/ttyACM0 or /dev/ttyACM1 devraient apparaître et disparaître . Notez-les. Maintenant, vous devez configurer le fichier GPS par défaut. Tapez sudo pico /etc/default/gpsd and replacez le champ DEVICES="port obtenu à l'étape 4" tel quel. Appuyez sur CTRL + X pour quitter et enregistrer les modifications en appuyant sur Y lorsque vous y êtes invité. Toujours dans le terminal de commande, tapez : service gpsd restart. Enfin, pour savoir si le GPS fonctionne, regardez si le voyant vert clignote et tapez : cgps -s, vous devriez voir les informations actuellement reçues par le GPS. Le GPS doit maintenant fonctionner ! Vous pouvez également regarder cette vidéo où l'auteur procède de manière similaire: https://www.youtube.com/watch?v=tQz8Fo5u7Lc&t=820s Note 1: À l'intérieur, le GPS peut ne pas trouver le signal. Je vous recommande de faire ça dehors. Note 2: Je branche toujours le GPS sur le même port USB afin de conserver le même fichier par défaut. Sinon, je devrais probablement répéter les étapes 4 et 5 à chaque fois que je le branche sur un autre port USB. 3.3 Mise en place Kstars et Ekos Je ne vais pas expliquer en détail comment configurer Ekos pour une utilisation générale avec votre équipement, car il existe de nombreux bons tutoriels en ligne. Voici une liste : Daté mais excellent tutoriel pour utilisation et configuration générale : https://www.youtube.com/watch?v=wNpj9mNc0RE (seule l'interface a été modifiée) Cette liste de lecture explique chaque module et son utilisation: https://www.youtube.com/playlist?list=PLn_g58xBkqHuPUUOnqd6TzqabHQYDKfK1 Une courte session live qui explore quelques modules et fonctionnalités: https://www.youtube.com/watch?v=3uwyRp8lKt0 La documentation officielle propose des tutoriels: https://www.indilib.org/about/ekos.html Note : Pour des sujets spécifiques, vous pouvez rechercher sur le forum officiel INDI, ou demander de l'aide sur les groupes Facebook... GPS Pour utiliser le GPS Vk-162 ou Vk-172 dans Ekos, procédez comme suit (à l'issue de l'étape 2.2): Assurez-vous que le GPS est correctement connecté au Raspberry Pi (voir l’étape 2.2). Lancez Kstars, accédez à Settings > Configure Kstars > INDI et sélectionnez GPS Updates Kstars sous Time & Location updates. Assurez-vous que Time et Location sont également cochés. Cliquez sur Apply et OK. Maintenant, afin de l'ajouter à votre profil Ekos, vous devez modifier votre profil Ekos et, dans Auxiliary, ajoutez GPSD. Lorsque vous démarrez INDI, vous devriez voir quelque chose comme ceci dans la section GPSD: Note : Si vous cliquez sur GPS dans la section Refresh, les coordonnées seront mises à jour. 3.4 Configurer le Raspberry Pi pour une utilisation "bureau à distance" VNC Sur le terrain, vous ne pourrez peut-être pas disposer d'un moniteur de bureau, d'un clavier, d'une souris, etc. Mais vous pouvez utiliser votre ordinateur portable ou votre smartphone pour contrôler la Raspberry Pi avec Connexion réseau virtuelle. Bien pratique en hiver, de rester dans la voiture à l'abri du froid et de pouvoir contrôler son matos durant la session d'acquisition en mode, le tout sans-fil ! Nous utiliserons RealVNC, qui est gratuit et facile à configurer. Vous pouvez obtenir l'application RealVNC Viewer pour n'importe quelle plateforme ici: https://www.realvnc.com/fr/connect/download/viewer/ Voyons comment installer RealVNC Server sur la Raspberry Pi: Accédez à cette page et téléchargez le fichier: https://www.realvnc.com/en/connect/download/vnc/raspberrypi/. Déplacez-le sur le bureau de votre Raspberry Pi, ouvrez un terminal et exécutez sudo dpkg -i name_of_package.deb. Une fois terminé, si vous exécutez vncserver, une connexion VNC sera établie à partir du Raspberry et vous donnera l’adresse IP. Avec votre autre appareil (smartphone, ordinateur portable ...), accédez à l'application VNC Viewer, puis ajoutez la connexion Raspberry Pi avec l'adresse IP ci-dessus et le mot de passe de session. Vous devriez pouvoir contrôler la Raspberry à partir de votre autre appareil sans aucun fil ! Note : pour vous connecter au VNC, assurez-vous que les deux appareils sont connectés au même réseau. Hotspot Si vous ne disposez pas d'une connexion Internet, la Raspberry peut créer son propre point d'accès WiFi. Vous pouvez procéder de la sorte pour créer le Hotspot. Vous pouvez également définir la connexion en mode automatique. Désormais, lorsque la Raspberry démarrera, il créera automatiquement un réseau sans fil personnel. En connectant votre smartphone ou votre ordinateur portable à ce point d'accès WiFi, vous pouvez utiliser le VNC et contrôler facilement la Raspberry Pi. Se connecter à un réseau WIFI/Ethernet disposant d'une connexion internet Mettre à jour la Raspberry Pi avec sudo apt update Installez network-manager : sudo apt install network-manager-gnome Désactivez les services dhcpcd : sudo systemctl stop dhcpcd + sudo systemctl disable dhcpcd Redémarrez la Raspberry Pi avec sudo reboot -h now Configurez les connexions en cliquant en haut à droite sur le nouvel icône du gestionnaire de réseau. Ajoutez un réseau en cliquant sur le bouton + Sélectionnez le type Wifi Sélectionnez le mode Hotspot Redémarrez et les changements devraient être effectifs Vous remarquerez que même si vous êtes connecté au Hotspot, vous ne pouvez pas utiliser VNC car le service doit être démarré à partir du Raspberry Pi lui-même. Ce que je recommande, c’est d’abord de vous connecter à votre Raspberry en SSH, puis de démarrer le service VNC. Installez PuTTY si votre deuxième appareil est un ordinateur portable Windows ou JuiceSSH s'il s'agit d'un Android. Connectez-vous au hotspot Raspberry Pi et obtenez son adresse IP (par défaut : 10.42.0.1) Entrez l'adresse IP dans PuTTY. Une fois connecté, entrez votre identifiant et votre mot de passe. Ensuite, lancez vncserver. Vous pouvez maintenant ouvrir VNC Viewer et contrôler votre Raspberry Pi! 4. Workflow habituel Connectez tous vos équipements au Raspberry Pi (DSLR, caméra de guidage, GPS, support ...). Démarrez la Raspberry Pi. Il créera automatiquement son propre Hotspot. Connectez votre PC ou votre smartphone au Hotspot. Lancez le client SSH sur votre appareil et connectez-vous au Raspberry Pi. Démarrez le serveur VNC à partir de SSH. Connectez votre appareil au VNC. Lancez Kstars et démarrez votre session d'imagerie !1 point
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Hello, Voici un autre amas ouvert que j'aime beaucoup, E.T. ou le Hibou, il a 2 dénominations. NGC 457 (Caldwell 13), appelé aussi « amas de la Chouette » ou « E.T. », est un très jeune amas ouvert situé dans la constellation septentrionale de Cassiopée. Cet amas d'étoiles a été découvert par William Herschel en 1787. Il renferme quelque quatre-vingts étoiles et sa distance au Soleil est estimée à 2,429 ± 2 kpc (∼7 920 a.l.). Les dernières estimations donnent un âge de 21 millions d'années à cet amas. Sa taille apparente est de 20,0 minutes d'arc, ce qui, compte tenu de la distance, donne une taille réelle maximale d'environ 46 années-lumière. Ce très singulier amas apparaît comme une tache floue avec des jumelles 10×50 ou 8×40. On peut facilement le pointer avec une lunette ou un petit télescope. L'étoile φ Cassiopeiæ, située dans la même direction et près de NGC 457, forme un triangle avec les étoiles δ Cassiopeiae et χ Cassiopeiæ dans un chercheur 6×30 (voir l'image de DSS). Cassiopée étant une constellation circumpolaire, l'amas est observable toute l'année. Mais la saison la plus propice est cependant l'automne car c'est l'époque où il culmine dans le ciel. L'agencement des étoiles fait penser soit au rapace nocturne soit au plus célèbre des extraterrestres. Selon la classification des amas ouverts de Robert Trumpler, NGC 457 renferme plus de 100 étoiles (lettre r) dont la concentration est forte (I) et dont les magnitudes se répartissent sur un grand intervalle (le chiffre 3). Les infos: Newton 150/750 + réducteur de Coma @ 678mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 275 x 60s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 60s: Mêmes défauts visibles que pour le Double Amas1 point
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Jolie prise. Elle n'est pas simple celle ci1 point
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Hello à tous, En 2020 je suis passé d'une TITAN à une EQ8-RH. J'ai encore ma TITAN + Gemini 2 que je vais bientôt mettre en vente. J'ai gardé la TITAn le temps de me faire la main avec l'EQ8-RH et voir comment elle se comportait sur 2 ou 3 ans. OK, lorsque j'ai reçu mon EQ8-RH de chez PierroAstro, j'avais la doc française réalisée par Optique Unterlinden. Elle stipulait que pour mettre ne fonction l'encodeur en RA il fallait faire l'alignement sur 3 étoiles par la raquette. Grosse inquiétude du fait que j'allais utiliser le câble Eqmod avec GS Server pour piloter la monture. J'ai téléchargé la doc originale en anglais de l'EQ8-RH, absolument rien concernant cet alignement 3 étoiles par la raquette pour mettre en fonction l'encodeur RA. J'ai pris contact directement avec Sky-Watcher USA et je leur ai exposé les faits lu dans la doc française et l’absence de cette procédure pour mettre en route l'encodeur Renishaw. Le retour de SW USA a été rapide et il m'a été confirmé que l'encodeur se mettait automatiquement en route à l'allumage de la monture sans aucune procédure. Depuis que j'ai mon EQ8-RH je n'ai fais aucune procédure, même sous GS Server, pour mettre en route l'encodeur RA et mon guidage est toujours resté dans un une plage inférieur ou égale à 0.5" en RMS en fonction des conditions de ciel. Sur GS Server, le mode Encoders, à mon avis ne concerne absolument pas l'encodeur RA Renishaw de l'EQ8-RH. D'ailleurs la fonction est au pluriel "Encoders". Les anciennes EQ8 possédaient des encodeurs de position mais apparemment ils posaient des problèmes et SW a préféré les retirer sur les nouvelles EQ8-R et RH. A mon sens se sont ces encodeurs là et pas du tout l'encodeur de l'EQ8-RH. Si bien que je n'ai jamais coché cette fonction sous GS Server. J'utilise l'EQ8-RH avec mon Newton ASA 300 f/3.62 avec une Moravian G4-16000 ou mon RC 10" TS Special Series f/6.4 (1625mm) avec une ZWO 2600MM. Le premier graphique c'est une suivi lors des premières nuits avec l'EQ8-RH, GS Server et mon Newton ASA. L'autre graphique est d'octobre de l'année dernière lors de mes premiers essais avec mon RC 10" à f/6.4 sur NGC891 :1 point
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Ça n'est pas rassurant. Pour observer les planètes au plus haut, il faut pouvoir pointer vers le sud. Pour observer la Lune lorsqu'elle est visible le soir, il faut pouvoir pointer le sud et l'ouest (si la Lune est visible le soir à l'est, c'est qu'elle est plein, donc pas intéressante ; mais les croissants de Lune avec la lumière cendrée, c'est à l'ouest si on observe le soir). Si on se met à l'extrémité du balcon situé à l'est, on peut pointer vers le sud ? Après, effectivement on peut toujours faire des observations par la fenêtre, mais plutôt à faible grossissement.1 point
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Tu avais bien compris les principes. Sans renvoi coudé ou redresseur, l'image est inversée. Avec un renvoi coudé à miroir (90°), droite et gauche restent inversées. Avec un redresseur terrestre à prisme (45°), l'image est redressée dans les deux sens. De plus, sans l'un ou l'autre, tu auras donc l'image inversée, et tu risques même de ne pas pouvoir faire la mise au point. Ceci dit, on trouve des renvois à 90° où l'image est redressée dans les deux sens, comme le célébrissime "Kuenboule". (J'ignore si c'est le cas avec celui livré avec la Perl ou la Skywatcher...) (Image © Le Gnou : https://www.webastro.net/forums/topic/167104-lastro-cétait-mieux-avant/#comment-2585162 ) C'est pas fabuleux, mais ça suffit pour débuter. L'avantage d'un redresseur terrestre, c'est aussi son angle de 45°. C'est plus agréable à l'usage, notamment si la lunette est à l'horizontale. Comme @Skywatcher707 : Ça te permettra déjà de voir si la lunette sera plus utilisée en astro ou en terrestre, quelles seront tes préférences en astro, etc. Petits "trucs" au passage : - en utilisation longue-vue, tu auras moins de champ (portion de ciel ou de paysage visible) qu'une vraie longue-vue, - pour la Lune : le mieux est lorsqu'elle est en croissant ou en quartier, et observer le long du terminateur (la démarcation entre l'ombre et la lumière). C'est là où il y a le plus de contraste, - ne jamais viser le soleil, ou même près du soleil (un faux mouvement, et on peut se retrouver le soleil à l'oculaire).1 point
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Salut Seb ,magnifique champ , bravo !1 point
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Ce qui compte il me semble c'est surtout la taille du balcon et son orientation. Si le balcon est minuscule une lunette ne fera pas l'affaire. Quand à l'orientation pareil il faut pouvoir voir des choses.1 point
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Mention pour @polorider : Avec la 1.10.0, les objets sont enfin en Fr (et non plus en chinois) dans l'Atlas du ciel (lorsqu'on choisi Fr bien sûr comme langue par défaut) Par contre, certaines villes sont encore en chinois dans "voisinage"1 point
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Bonjour Mon Cher Mon Cher Polorider, le Savoyard, Je savais très bien que tu avais ouvert une discussion à propos de l'occultation prochaine de Vénus par la Lune le jeudi 9 novembre 2023 au matin (la preuve c'est que j'y étais intervenu : https://www.webastro.net/forums/topic/245898-occultation-de-vénus-par-la-lune-le-9-novembre-2023/?do=findComment&comment=3102382 ), mais j'ai profité hier de la très récente parution de “La lettre d’information de l’IMCCE” n° 206 [ voir : https://www.imcce.fr/lettre-information/archives/206 ] pour y remettre une couche !... Je reconnais que j'aurais dû citer ta première intervention sur ce sujet et te présente toutes mes excuses pour ne pas l'avoir fait... Roger le Cantalien.1 point
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Salut les astrams 😀, Voici une région étonnante située dans la Poupe que nous avons shootée avec notre setup en remote au Chili hébergé chez DeepSkyChile. Les acquisitions ont été réalisées l’année dernière de mars à avril. Un peu plus de 58h de pose ont été nécessaires pour obtenir suffisamment de signal pour composer cette image en LHa -RHaVB. Les détails d’acquisition sont dans le tableau ci-dessous. Pour bien profiter de la vue nous vous conseillons évidemment d’aller voir la full sur Astrobin : https://www.astrobin.com/full/qwg97y/0/ En espérant qu’elle vous plaira… Ciel clair à tous !! 😀 Marian, Jean-Mi, Gégé, Laurent et Dave Descriptif de l’objet : Une nébuleuse peut-elle engloutir une galaxie ? Tel un gigantesque ver cosmique, tel Galactus le dévoreur de mondes, CG4 semble vouloir engloutir la galaxie PGC21338. Il ne s’agit cependant que d’un effet de perspective complètement dû au hasard. CG4 n’est éloigné de nous que de 1300 AL, alors que la galaxie est à plus de 145 millions d’AL. CG4 est un nuage de gaz et de poussières, un globule cométaire. Ils sont généralement caractérisés par des têtes poussiéreuses et des queues allongées. Ces caractéristiques font que les globules cométaires présentent des similitudes visuelles avec les comètes, alors qu'en réalité ils sont très différents. Les globules sont souvent le lieu de naissance d'étoiles, et nombre d'entre eux présentent de très jeunes étoiles dans leur tête. La raison de la rupture de la tête de cet objet fait l’objet de plusieurs théories.1 point
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Orion, le coeur, il y a quelques années 2019 je pense, gros dobson de 734mm dans le 04. Mon souvenir est encore vivace et revient à chaque fois que je pointe la nébuleuse (par exemple ça commence à être la période). J'ai déjà vu Orion dans un 400mm, ce n'est pas aussi impressionnant (mais ça l'est). Je retranscris pour inviter à qui pourra à offrir une vision dans un observatoire équipé d'aussi gros. (400 et +) Immersion avec un oculaire ethos (les étoiles étaient bien plus fines), ce n'est plus une photo mais une image travaillée sur la couleur et le contraste. (c'est ma façon de dessiner) L'impression de luminosité et de relief est mieux ressentie en ouvrant l'image dans un nouvel onglet et faire F11 plein écran avec zoom. Le piqué était bien meilleur, une vraie impression d'écarter les nuages pour accéder au trapèze parfaitement séparé et coloré, parmi les 6 une étoile franchement jaune et les autres blanches ou bleutées. On ressent bien la présence presque angoissante des poussières sombres, une impression de relief et de majesté en naviguant dedans. La forme générale laisse place à l'imagination.1 point
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Dans ma quête d’un set-up nomade léger et raisonnablement grand angle, je tente de passer la barre des 1,25’’ sans trop prendre de poids. Ça passe par l’utilisation - du réducteur de focale - d’un tiroir à filtre 2’’ - d’un coudé T2 d’ouverture 34mm - d’une bague T2 - M48 avec un oculaire 2’’ pas trop lourd, vissé sur la bague M48. Ça me permet de maintenir le chemin optique au plus court, autour de 100mm. C’est important pour éviter de diaphragmer le scope avec le réducteur. Et pas besoin d’acheter un PO 2’’ pour un seul oculaire. Ce que me dit un test rapide: j’arrive à voir tout le champ sans vignettage apparent, mais le positionnement de l’oeil est délicat. L’oculaire a une ouverture de 31,8mm, pas beaucoup moins que le coudé. Donc si l’oeil est trop près de l’oculaire ça vignette fort. Je me tâte de prendre un omegon SWA 26mm pour voir si c’est plus confortable. J’y gagnerais en poids aussi.1 point
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Salut salut, Qualité vintage selon constructeur ? Ouh là ça, c'est un vaste sujet, tellement vaste que l'on pourrait en faire des dizaines de pages😁. On va démarrer par le début l'apport de source qui est nécessaire, @Eadfrith a complètement raison l'industrie japonaise, c'est un vaste foutoir de petites entreprises qui se tiennent par la barbichette avec derrière d'énorme mastodonte comme Nikon, pentax etc... Pour les sources : - CN n'est pas le meilleur réservoir, on peut y lire beaucoup d'ânerie sans aucune vérification,a contrario certains membres sont des valeurs sûres notamment bomberman, stew44, pawpaw et j'en oublie d'autres. Au passage, un très bon article à lire de PAWPAW sur le constructeur GOTO: https://www.cloudynights.com/articles/cat/articles/goto-optical-responds-to-takahashi-with-a-wave-of-offerings-for-1976-r3393 Encore un autre très bon article de Stew44 sur l'entreprise GOTO et son fondateur: https://www.cloudynights.com/topic/586722-seizo-goto-san-another-great-innovator/ Les meilleures sources sont du côté du Japon sur le site du yumarin, les Japonais sont très méticuleux dans leurs enquêtes allant jusqu’à se déplacer pour vérifier les informations. De plus, ils possèdent beaucoup de littérature (malheureusement en japonais😒) qui leur permettent de corroborer les renseignements recueillis. Depuis l'année dernière, le site a migré vers une nouvelle plateforme beaucoup plus lisible. Hiroki a fait un très bon travail sur la nouvelle plateforme, l'ensemble des informations de l'ancien site n'a pas pu migrer et reste consultable sans ajout ou modification possible. Le BBS reste l'endroit où vous pouvez trouver les différents échanges, un moteur de recherche (difficile à utiliser). La traduction est nécessaire, traduire le site vers l'anglais est souvent de meilleure qualité que vers le français. Le lien de l'ancien site ⇒ https://yumarin7.sakura.ne.jp/ Le lien vers le BBS => https://yumarin7.sakura.ne.jp/telbbsp/joyfulyy.cgi Pour naviguer, il faut aller en bas de page et cliquer sur les numéros des "articles". Le lien vers le nouveau site => https://forum.furusco.com/ Voilà pour la partie utilisation du site du yumarin et sur le nouveau forum. Ce forum est "la" bible pour celui qui recherche des informations sur nos vieux tubes tant les articles y sont nombreux. Pour ceux qui sont courageux, je vous encourage fortement à lire l'enquête extrêmement détaillée sur astro optique LTd aka astro tokyo, perl royale etc .... Cette enquête est un fantastique voyage à travers l'industrie japonaise, on y croise kenko, asahi optical ( futur pentax), takahashi, etc.. au travers de la création de la marque jusqu'à la "quasi fin" de celle-ci. Lire les topics permet de comprendre que l'optique japonaise des années 50-80 est avant tout un assemblage de micro atelier et d'un système de sous-traitance très bien organisé avec a la tête un petit groupe de personne travaillant non pas seul, mais main dans la main ( selon l'enquête astro optique comptait au minimum 15 sous traitant). Quand a Astro optical ltd, cette société fût créée par shusuke Kojima personnage qui ne vient pas de chez carton, mais qui a fait ses armes chez Goto, pentax et probablement un des personnages qui a participé a façonné l'industrie de l'optique japonaise grand public que l'on connait maintenant. Il a également participé à orienter la fabrication de lunette non pas vers le marché intérieur ( les astro tokyo sont proportionnellement rares au Japon) mais vers le marché extérieur en créant une multitude de marques uniquement destinée à l'export, perl royal en est une parmi d'autres. La société a un passé plutôt chaotique avec des fermetures, réouvertures, licenciement, grève durement réprimés. Le lien principal de l'enquête (en 11 parties): https://forum-furusco-com.translate.goog/viewtopic.php?t=4&_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr Concernant Showa, il n'y a pas énormément de sources dessus, il faudrait que je demande à Hiroki plus d'information. Une des seules sources occidentale qui existe, c'est sur CN avec un article sur la 100mm F/10. https://www.cloudynights.com/articles/cat/user-reviews/telescopes/100mm-110mm-refractors/showa-100mm-f10-sd-apo-r1161 Voilà pour la première partie de réponse.1 point
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C’est ça!! savoir que la lumière que l’on observe en provenance de la galaxie d’andromede date de Lucy, et que pendant son chemin jusqu’à nous l’être humain a eu le temps d’évoluer du stade d’australopithèque à l’homo sapiens, d’inventer les pierres taillées, le feu, la roue, de construire des pyramides et des fusées pour aller sur la Lune….. et des télescopes Les rares photons qui nous parviennent du quintet de Stephan sont vieux de 270 millions d’années !! Je crois que les diplodocus n’avaient pas encore commencé à brouter les prairies de notre bonne vieille planète!! Savoir que le petit rond de fumée de m57 est vu tel qu’il était avant le début de l’empire romain, probablement à l’époque où étaient rédigés l’Iliade et l’Odyssee…. Savoir que l’expulsion de cette enveloppe de gaz stellaire a debuté il y a 6 ou 8000 ans, et qu’un photon mettrait 2 ans pour aller d’un bord à l’autre de ce petit anneau…. C’est tellement vertigineux!!!!! Quand on observe les dentelles du cygne et que l’on se dit que c’est dans un tel cataclysme que le Soleil est né et avec lui un anneau proto planétaire bourré de fer, de carbone, d’oxygène, d’or etc… qui nous a donné naissance, on se met à imaginer que qui pourrait être en train de se jouer la haut… Savoir qu’avant Vesto Slipher et Hubble on n’avait pas idée de la distance réelle des « nébuleuses spirales » comme les superbles m31 et m51, et pas idée de leur nature, ça aide à prendre conscience de la compréhension du monde que la science nous donne à apprécier. Quand on observe le triplet du lion et qu’on sait que le « hamburger » et deux fois plus loin que M66 et 65, ça fout littéralement le vertige!!!!! Je pense souvent à Slipher qui a pris conscience de la taille de l’univers et du déplacement des galaxies en tournant la petite molette de son appareil à mesurer le décalage spectral…. Quand j’observe tous ces objets je suis vraiment bouleversé. Par leur beauté intrinsèque, et par ce que cela dit de l’univers et de nous meme!1 point
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Une photo d'une étoile en formation et la traduction googoléenne : James Webb de la NASA La sonde Webb de la NASA claque la sortie supersonique de Young Star Si nous pouvions prendre une photo de bébé de notre soleil, il pourrait ressembler à quelque chose comme ça. 👶 Dans cette image de Webb, on voit une étoile naissante avec des jets supersoniques de gaz jaillissant de ses pôles. Il n’a que quelques dizaines de milliers d’années ici, mais quand il grandira, il ressemblera beaucoup à notre Soleil. Les régions lumineuses autour des étoiles nouveau-nés, comme on le voit ici, sont appelées objets Herbig-Haro. Cet objet spécifique Herbig-Haro est appelé Herbig-Haro (HH) 211. À environ 1000 années-lumière de la Terre, c’est l’un des objets les plus jeunes et les plus proches de ce type. Les objets Herbig-Haro sont créés lorsque des jets de gaz provenant de ces étoiles naissantes forment des ondes de choc lorsqu’elles entrent en collision avec les gaz et la poussière environnants. La vision infrarouge sensible de Webb peut percer à travers le gaz et la poussière, capturant les émissions de chaleur des sorties de l’étoile et cartographiant la structure avec des détails sans précédent. Fait intéressant, les observations de Webb ont également montré que les sorties de cet objet sont plus lentes par rapport à celles des bébés étoiles plus développées. En savoir plus : go.nasa.gov/3Pb0xOg1 point
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Je ne sais pas qui joindre pour expliquer que webastro n'informe plus des publications d'Éric Simon depuis le 20 octobre C'est le sujet ça ce passe la haut. En revanche sur son site l'activité continue et ses publications sont toujours passionnantes0 point
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Bonjour Vincent! La bienvenue sur le forum ! Quel passionnant parcours de vie et riche témoignage teinté d'humour... Je crois qu'il y a encore beaucoup d'adeptes....😄 Ha ha....attention..." psychopathe du matériel"... C'est inguérissable....0 point
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Peut-être aussi @Sharp8 devrait-il fixer un budget. Au départ, on était sur 400€, et avec le Mak sur AZ5, on arrive à 620€. https://www.astroshop.de/fr/telescopes/telescope-maksutov-skywatcher-mc-127-1500-skymax-127-az-5/p,55152 En prenant en compte le Dobson cité par @'Bruno (350€) et une petite lunette genre Travelscope (pour avoir un instrument léger pour les éventuels déplacements) (110€), on arrive à 460€. Ce qui laisse encore 160€ (si on considère le budget du Mak sur AZ5) pour d'éventuels accessoires, ou un meilleur trépied pour la lunette... https://www.bresser.de/fr/Astronomie/Telescopes/BRESSER-Messier-Telescope-planetaire-6-Dobson.html https://www.astronome.fr/lunettes/2981-lunette-celestron-travel-scope-70.html À voir si le suivi à mouvements fins est un critère important ou pas... @Caius : J'ai l'AZ pronto avec le trépied version tubulaire ( https://laclefdesetoiles.com/montures-azimutales/5380-monture-azimutale-sky-watcher-az3-pronto.html ) Elle est donnée pour une capacité de charge de 3 kgs (le poids du Mak 127 est de 3,6 kgs). Pour l'utiliser avec une ED 72x 420 ( avec les accessoires, selon l'oculaire 2,65 kgs à 2,74 kgs*), j'ai l'impression d'arriver à la limite de la tête de la monture : moins de "souplesse" en tournant les molettes, un peu de "saccade". Les questions que je me pose avec un instrument plus lourd : - est-ce que le système de blocage fonctionnera toujours aussi efficacement ? - est-ce qu'on ne risque pas d'user prématurément la tête ? 🤔 * Lunette 2 kgs / Réducteur 100 grs / RC 200 grs / Chercheur 120 grs / Oculaire 230 grs (zoom) ou 320grs (7mm)0 point
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Tiens à propos de gabarits : j’ai une pièce avec pas mal de découpes à faire : j’ai fait le tracé sur papier millimétré, et collé sur au stick uhu sur le contre plaqué : facile pour les découpes et percages! j’avais fait pareil pour les pièces à faire en plusieurs exemplaires ( triangles de barillet en carbone…)0 point
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Le best du top du must du grab'n'go : ( https://www.astroshop.de/fr/kits/kit-astromedia-newton-reflecteur-telescope/p,1328 ) "Ooooooh, merci le gnou" Bon, je taquine, je plaisante, hein. Là encore, chacune/chacun aura SA définition du "grab'n'go". Mon "ressenti" personnel, c'est qu'il y a plusieurs paramètres : - le poids - la distance - le nombre de voyages nécessaires. Petit vécu perso : les montures sont dans la véranda, les instruments dans la maison. Si j'observe de chez moi : 1er ensemble : 150 x 750, monture équatoriale EQ5 1° sortir la monture 2° sortir et installer le contrepoids 3° sortir et installer le tube, faire l'équilibrage. Monture + trépied : ± 10 kgs Contrepoids : 5 kgs Tube : ± 5 kgs Là, on n'est pas dans le "grab'n'go" comme je l'entends : 3 voyages, 20 kilogs en tout... 2ème ensemble : lunette achro 90 x 660, monture Vixen Porta II 1° sortir la monture 2° sortir et installer la lunette Monture + trépied : ± 6kgs Tube : ± 2,5 kgs Là, c'est du "grab'n'go" comme je l'entends : 2 voyages, moins de 9 kilogs en tout. Après, c'est sur une très courte distance. 3ème ensemble : lunette ED 72 x 420 + AZ pronto (en version avec trépied tubulaire) Comme j'aime à l'appeler : le "Lunornithoscope" (lulu dédiée à l'observation de la Lune et des Zolis Noiseaux). Là, c'est du "grab'n'go" que l'on peut utiliser sur une plus grande distance, la monture dans une main, la lunette dans l'autre. Monture : ± 4 kgs Tube : ± 2 kgs Mais un Mak 127 et une Vixen Porta II, il faudra aussi 2 étapes, à moins de pouvoir laisser le Mak sur la monture (est-ce conseillé ?). Et l'ensemble pèse 9,3 kgs. Bouger le tout en une fois ? Huummm... le risque d'un "faux mouvement" n'est pas à exclure. Si tu cognes la monture, c'est moins grave que de cogner le tube... Maintenant, un Dobson 150 x 750 ou le modèle indiqué par @'Bruno sont, de mon point de vue, "grab'n'go" : 2 voyages (voire 1), pas trop lourd... Bien d'accord. C'est pour ça que j'avais dit plus haut : "Là, je pense qu'il faut que tu "te poses", et que tu prennes le temps de réfléchir, et bien définir les contraintes."0 point
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Je crois qu'on s éloigne de plus en plus du sujet et des critères , à la prochaine page on conseillera un 400 avec une planche à roulette . L hiver avec un enfant qui va tenir 20 minutes grand max il faut aller sur de la simplicité et du léger. S il faut marcher un peu en rando il faut éviter l encombrement et le poids. On est sur un débutant , le choix d un matériel simple est à privilégier. On parle de possibilité de transport en sac a dos a la montagne , il ne va pas se trimballer la base d un Dobson en rando .... Si les cibles sont la lune voir des planètes faciles à viser un petit mak sur AZ reste polyvalent et un diamètre de 100 donnera déjà pas mal de plaisirs . Sinon reste de bonnes jumelles , voir de bonne taille avec un trépieds photo selon ce qu on veut observer.0 point
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Il ne pèse QUE 16 kg... Voilà, pour moi c'est beaucoup trop lourd et mon cher et tendre ayant aussi des pbmes de dos il a interdiction de porter plus de 15 kg. Effectivement tout est une question de capacité personnelle, de configuration de jardin ou balcon, de ce qu on veut faire et où on veut le faire... Mais par contre @'Bruno, très beau récit ❤️. Moi je fais souvent pareil avec ma lunette, sortir à l'arrache même pour pas longtemps (même si j'ai pas osé saturne mercredi soir juste avant la tempête alors que pareil beau ciel après une grosse pluie, ça aurait pu être génial... Et je passe la porte avec mon trépied 😉) .0 point
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Eric, Ça à l'air chouette Prism... Pourquoi tu fais des poses de juste 2 Sec plutôt des poses de 5 secondes pour essayer de moyenner la turbu au max ? Personne n'est parfait ! a+ Serge0 point
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Bonjour, Je me trouvais dans le même cas que vous, mais je suis en ville, donc pollution lumineuse, j' ai opté pour un Meade ETX 90 RA ( qui n'existe plus mais on trouve l'équivalent en SW.. ) Vite sorti pour une observation de 5 MN pour se faire plaisir. Peu d'entretien et facile d'utilisation, pas contre limité sur le ciel profond ( quelques Messier), par contre sur la Lune avec un redresseur ( pour se repérer facilement avec un atlas) un vrai régal. Puis je suis passé au Nextar 5 127 goto, plus lourd mais avec un pieds de table( ancien modèle), et plus de ciel profond accessible par beau ciel et loin des lumières...un vrai régal. Pour le Dobson commepour d'autre Newton attention il faut maitriser la collimation, Le dobson c'est assez encombrant sauf le type Strok transportable, mais à monter et régler sur place ( 15 mn au mini). L'avantage que j'ai sur les copains équipés de télescopes plus volumineux, c'est que je regarde le ciel beaucoup plus souvent qu'eux .....Effectivement la contrainte du transport et de la manutention, du réglage , du temps passé à la recherche des cibles (en manuel) est un frein aux observations de courtes durées. Voilà modestement mon avis de gros flemmard..0 point
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On se prépare au ciel d’hiver avec la grande nébuleuse d’Orion ! M42 est un vaste complexe gazeux évoquant un oiseau qui déploie ses ailes. Nébuleuse diffuse la plus brillante du ciel, cette pouponnière d’étoiles est vraiment fascinante : volutes de gaz, chenaux sombres et nuances colorées vous y envoûtent... : Optolong L- extrême : 30x30", 30x60", 40x120", 30x180" : Askar FRA600 f/3.9 : ZWO ASI2600Mc Pro : iOptron GEM45 : ZWO ASI290MM Mini : PixInsight - Photoshop : Lamure (69) : Bortle 4 : 03/10/2023 Le lien vers la full https://flic.kr/p/2pcP3fD0 point
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Pour du planétaire ou lunaire grossir 100 fois ça peut être sympa quand même donc un oculaire de 7mm. Ton grossissement max sera 140 fois donc 5 mm mais c'est rare d'arriver au grossissement max donc je resterai pour débuter sur un oculaire de 7mm qui viendra compléter ceux de 10 et de 20 mm. Après si tu veux faire de l'observation terrestre il y a bien les oculaires zoom 7 21 mm mais sur la qualité de ces oculaire je passe mon tour j'ai jamais essayé0 point
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Cette cible assez mythique me tenait à cœur de la faire en gros plan. Située en plein milieu de ma constellation préférée : Cassiopée, celle qui fait un W dans le ciel. C'est une nébuleuse en émission assez difficile à imager, je suis vraiment content du résultat... J'ai vraiment hâte de l'imprimer celle ci... IC 63 (à droite) également appelée le fantôme de Cassiopée est une nébuleuse diffuse très faible, elle est située à environ 550 années-lumière .Elle est accompagnée par IC 59 (à gauche) plus proche de Navi ou Gamma Cas, la grosse étoile qui est un peu plus en haut à gauche mais qui n'apparait pas dans le champ, mais on voit son "halo" bleu. 28h35min de pose en 4 nuits Dates de prise de vue : 6 octobre 2023 · 7 octobre 2023 · 8 octobre 2023 · 9 octobre 2023 Composition Ha RHaGB Equipement : TS-Optics N-AG12 Newton Astrograph carbone ZWO ASI6200MM Pro Sky-Watcher EQ8-R Pro Primaluce Lab SESTO SENSO 2 Guidage avec Lunette Sky-Watcher 90/900 ZWO ASI120MM Mini Images unitaires: Optolong Blue 2": 53×300,″(4h 25′) Optolong Green 2": 47×300,″(3h 55′) Optolong H-Alpha 3nm 2": 100×600,″(16h 40′) Optolong Red 2": 43×300,″(3h 35′)0 point
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J’en ai une toute neuve ! dont j’ai retiré l’annonce sur le grenier pour la vendre avant les fêtes de fin d’année.. je l’avais acheté pour équiper mon studio en saisonnier mais vu comment les locataires de passage ne sont pas très soigneux, j’ai préféré ne pas leur mettre à disposition cette petite lulu. bref , oui en effet pour revenir à la question initiale : je pense également que cet instrument est parfait pour débuter. petite , légère,facilement maniable de bon résultat sur la lune et le terrestre franchement, pas besoin de prisme d’amici. voir les vidéos de cette lulu sur YouTube par exemple celle ci :0 point
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Attention, sur ce point, Baader a une bien curieuse manière de calculer les chemins optiques sur ces diagonaux. Par exemple, sur mon Baader T-2 Maxbright Mirror Diagonal, je mesure 53.5 mm et sur leur site, il est indiqué 43 mm. L'explication de cette différence vient que Baader ne tient pas compte de la profondeur des filetages, ce qui dans la pratique n'est en général pas réalisable. Pour le calcul du chemin optique, il vaut mieux faire ces mesures en partant de l'extérieur.0 point
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Salut Seb, Très jolie, mais on voit qu'elle est pas haute dans le ciel celle là. Je suis à Bezier a attendre 10H pour récupérer ma nouvelle monture... Je te prends quelque chose ? 😁 Un petit RC de 250? a+ Serge0 point
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