Aller au contenu

Classement

  1. sebseacteam

    sebseacteam

    Membre


    • Points

      6

    • Compteur de contenus

      14516


  2. fdudu

    fdudu

    Membre


    • Points

      4

    • Compteur de contenus

      2336


  3. Eguzkiarte

    Eguzkiarte

    Membre association


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      3363


  4. Archer92

    Archer92

    Membre


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      1244


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/08/23 dans toutes les zones

  1. Bonjour, Voici la nébuleuse du Cocon, dans le Cygne. Décidément cette région du ciel est très riche en objets du ciel profond. Bien pratique aussi vu son placement au zénith. IC 5146 est composé d'une nébuleuse en émission et un amas ouvert situés à environ 4 000 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne. Il a un diamètre d'environ 15 années-lumière. Elle se trouve près du bord Est de la constellation, près de celle du Lézard, en plein dans la Voie lactée, à une heure en AD de la Nébuleuse de l'Amérique du Nord. Elle est située à l'extrémité de la nébuleuse obscure Barnard 168 (de). Elle est également une zone de formation d'étoiles. Les infos: Newton 150/750 + réducteur de Coma @ 678mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 40 x 180s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 180s:
    5 points
  2. 2 petites et faibles possibles NP : StDr 167 & 174 Xavier Strotner et Marcel Drechsler ont découvert 2 possibles NP situées dans le Triangle Austral. Nous avons essayé de les imager, elles sont très faibles puisqu’elles n’apparaissent aucunement sur des brutes de 20minutes en bande étroite. Après 30h en Ha et OIII il est possible de les voir apparaître, les 2 sont très proches. StDr 167 est une NP confirmée (PN-G : 323.3-06.9) pour laquelle un spectre déjà été réalisée par Pascal Le Dû, elle a un diamètre de 1.2 minute d’arc. Elle a une forme de cercle crénelé et n’est vsible qu’en OIII StDr 174 est plus grande mais plus diffuse et elle émet en HA et OIII la résultante fait qu’elle apparaît gris bleuté et n’a pas une forme vraiment bien définie (comme des trainées). Vue qu’elle très faible aucun spectre n’a encore pû être effectué pour confirmer sa nature. Sa taille approximative est de 7.5 x 5 minutes d’arc. Nous vous présentons le champ complet, avec un crop en starless en version B pour mieux les identifier. Le traitement n’a pas été facile et nous avons choisi d’essayer de ne pas surtraiter afin de leur conserver leur aspect « naturel ». Full & Details Astrobin : https://astrob.in/full/kwwrw5/0/
    2 points
  3. Hello, les jumelles sont arrivées il y a une semaine, et j'ai enfin eu 15 minutes dégagées hier soir pour un premier essai sur le ciel. C'était vraiment histoire de tester, mais sans plus car je n'avais pas beaucoup de temps devant moi. le premier ressenti, c'est que la stabilisation, çà change la vision dans des jumelles. Alors certes, ce n'était pas encore parfait, mais en position debout, sans aucun appui, on peut déjà observer calmement. Je comprends mieux la remarque de @Alain_G après coup, x18 doit effectivement être limite. 1er pointage sur Jupiter : disque bien évidemment résolu, et 3 satellites parfaitement visibles. Je n'ai pas réussi à dissocier Io et Europe, et ne sais pas lequel j'ai vu donc. Mais Io étant très proche de sa planète, je pense que c'est lui qui m'a échappé. J'ai d'abord eu une impression désagréable de chromatisme, mais après recalage de la mise au point, çà restait visible mais très léger. Sachant que les planètes ne sont pas la cible de prédilection avec cette optique, ce ne sera pas gênant. Saturne Ensuite : là aussi pas de surprise, disque résolu et les anneaux perceptibles car on sait qu'ils sont là, mais pas plus, le grossissement est trop faible. Bon évidemment passage obligé par M31, mais je ne me suis pas arrêté plus que çà, sans même chercher à voir si je pouvais distinguer M110 et/ou M32. D'ailleurs est ce possible à ce diamètre ??? Et enfin, les champs étoilés : M45 : magnifique. Etoiles piquées, des couleurs variées avec les étoiles environnantes, du bonheur pour la retine. Même topo sur Melotte 20 : le grand "V" de l'amas saute aux yeux dès que l'image ne gigote plus, avec là encore des étoiles oranges dans le champ qui magnifient l'observation. Pour finir, un petit passage sur le double amas (que j'ai eu du mal à trouver car déjà assez haut) et j'avais encore du mal avec la ligne de visée 😄 Ca tape moins dans les yeux que les 2 amas précédents mais j'ai les lampadaires du lotissement dans le coin de l'oeil et ma vision nocturne n'est donc pas top. Bref, un premier galop très prometteur à très vite confirmer. Je note un jeu d'accus à mettre sur ma liste de courses car j'imagine la frustration de se retrouver sans piles, et donc sans stabilisation, en plein milieu d'une session. Reste à voir si l'engouement de l'observation à si petit diamètre persistera pour justifier le prix d'achat, mais franchement, bel outil que ces jumelles, qui même en diurne sont terribles pour reluquer le gibier dans les vignes en face de chez moi (la voisine n'était pas là 😜) Le plus dur débute, apprendre à observer
    2 points
  4. Bonjour les amis, Pour finir avec cette araignée , la voici au banc macro : La face : Image empilée à partir de 210 photos dans Helicon Focus avec la méthode C et lissage à 4 - Objectif Sigma ouvert à f3.5 et réglé sur l'infini - Temps de pose 1/40 s à 200 iso - objectif microscope Lomo 3.7x La face de trois/quart : Image empilée à partir de 232 photos dans Helicon Focus avec la méthode C et lissage à 4 - Objectif Sigma ouvert à f3.5 et réglé sur l'infini - Temps de pose 1/40s à 200 iso - objectif microscope Lomo 3.7x Les mandibules : Image empilée à partir de 169 photos dans Helicon Focus avec la méthode C et lissage à 4 - Objectif Sigma ouvert à f3.5 et réglé sur l'infini - Temps de pose 1/40 s à 200 iso - objectif microscope Lomo 3.7x La face : Image empilée à partir de 154 photos dans Helicon Focus avec la méthode C et lissage à 4 - Objectif Sigma ouvert à f3.5 et réglé sur l'infini - Temps de pose 1/20 s à 200 iso - objectif microscope Nikon 10x Amicalement, FRanck
    2 points
  5. Salut aux accros des grosses jumelles à oculaires interchangeables ! J'avais pensé un moment appeler mon post : "Enfin la vraie vérité vraie sur les filtres anti-chromatisme". Mais ça faisait un peu "too much"... De 70 mm à 150 mm, coudées à 45° ou 90°, en version achromatiques ou à verres ED, le choix des jumelles à oculaires interchangeables est assez varié. Que ce soit chez APM, chez Bresser/Explore Scientific, TS, Vixen. Il y a aussi Fujinon mais les oculaires ne sont pas interchangeables. A défaut de pouvoir se payer les onéreuses versions à verre ED faible dispersion, les modèles pompeusement nommées "semi-APO" (de simples doublets achromatiques en fait), restent quand même une excellente alternative pour l'observation astronomique (ciel profond / lunaire). D'autant plus que le filtrage permet de réduire en partie le différentiel entre versions Achro et ED (ou entre la dénomination "semi-APO" et "APO"). Sachant que la plupart de ces jumelles ont un rapport F/D de 5.5, plus on monte en diamètre, plus le chromatisme sera présent : de discret sur les 70/400 à très présent sur les grosses 150. Après il faut aussi savoir relativiser, le choix de jumelles en observation astronomique est généralement dédié à l'observation du ciel profond en grand champ à faible grossissement, rarement pour faire du planétaire à fort grossissement. Éventuellement un coup d’œil à la Lune de temps en temps pour le plaisir. Chacun à sa tolérance propre au chromatisme mais il faut penser qu'en grand champ en ciel profond, dans la mesure où l'on observe des objets et des étoiles faiblement lumineux, le chromatisme reste au final très discret. Par contre pour la Lune, très lumineuse et très contrastée, là le chromatisme se révèle au maximum (limbe, terminateur et intérieurs de cratères). Les jumelles à oculaires interchangeables sont pourvus par défaut d'oculaires de 18 à 20 mm. Mes Kepler BT100 30x100 sont elles dotées de base d'oculaires UFF 18 mm APM soit un grossissement 0.3xD. Concernant le test/collimation de ces jumelles, j'ai déjà posté ces 2 sujets : A 0.3xD de grossissement, pour observer le ciel profond, franchement le filtrage du chromatisme n'a pas d'intérêt. Pas besoin de perdre inutilement de la lumière. Évidemment, là je ne parle pas de filtrage spécifique type rehaussement de contraste (type UHC, O3, etc), uniquement la chasse au chromatisme. Avec les oculaires APM 10 mm, à 55x soit 0.6xD, là par contre le chromatisme devient nettement plus sensible. Pour grossir sur les amas glo, amas ouvert ou M42, je laisserais encore sans filtre, ça passe encore. Par contre pour aller flâner du côté de la Lune, là ça vaut le coup de filtrer. Au-delà de 0.6xD, filtrage de mise. En plus du jeu de filtres jaunes, je me suis donc sacrifié pour la communauté et j'ai investi dans un jeu de filtres "Fringe Killer" Baader et un jeu de "Semi-APO" Baader afin de les évaluer. J'ai cherché un moment sur les forums mais difficile d'avoir un avis clair et tranché sur l'utilité et l'efficacité réelle de ces filtres. (j'espère juste que ce sacrifice ultime me vaudra un modeste mausolée Pyramide en granit et marbre de 50 mètres de haut au moins... Plus qu'à lancer une cagnotte Leetchi.. A vot' bon coeur"!) Donc j'ai maintenant 3 paires de filtres à comparer : - Filtres jaunes basique Kepler, déjà testés : https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/marques/kepler/accessoires-kepler/filtres-colores-pour-observation-visuelle_detail - filtres "Fringe Killer", https://www.pierro-astro.com/baader/41-augmentation-du-contraste-filtres-de-correction-couleur-visuels-et-photographiques/filtre-baader-anti-frange,coulant-31,75mm-m28_detail - filtres "semi-Apo", https://www.pierro-astro.com/baader/41-augmentation-du-contraste-filtres-de-correction-couleur-visuels-et-photographiques/filtre-semi-apo-minus-violet-plan-parallele-filetage-standard-31-75-mm_detail Les oculaires de test sont les APM 10 mm UFF. Donc grossissement 55x. Ces derniers temps les cieux n'étant pas du tout favorables, j'ai dû me contenter de cibles terrestres lointaines faute de mieux. Premier constat cinglant et coûteux, en les comparants côte à côte, puis avec les jumelles, un filtre jaune léger et un filtre type "Fringe Killer" ont quasi-exactement la même dominante jaune. Idem pour le faible assombrissement de l'image, non différentiable visuellement entre les deux. Le chromatisme est fortement réduit et disparait même quasiment quand on place les yeux correctement et ce, dans les deux cas. Au prix bien sûr du jaunissement de l'image. Donc entre un filtre à 15 Euros l'unité et un filtre "Fringe Killer" à 90 Euros, ayant une efficacité équivalente, je vais le dire de manière facilement compréhensible : le "Fringe Killer" est juste une vraie "couillonnade". N'en achetez pas ! Passons maintenant au cas des filtres "semi-Apo". Comparé au filtre jaune et au filtre "Fringe Killer", la légère dominante jaune-vert est nettement plus neutre et plus discrète. Il "bouffe" par contre un peu plus de lumière mais ça reste très raisonnable. Pour observer la brillante Lune, franchement cette perte de lumière importe peu voir va dans le sens du confort visuel à faible ou moyen grossissement. Je n'ai pas pu encore vérifier sur la Lune mais en terrestre en tout cas c'est plutôt convaincant. En conclusion, on élimine d'office le "Fringe Killer" bien trop cher pour ce qu'il est. Donc le choix final se fera entre le filtre jaune clair basique et le filtre "semi-APO". L'un a le prix pour lui et le second le rendu des couleurs bien plus neutre. Faite votre choix... Ajout observation du 19/11/2023 : J'ai enfin pu tester les filtres sur la Lune ce soir malgré la présence de cirrus. Sur un croissant très proche du 1er quartier. On voyait aussi la faible lumière cendrée malgré les nuages. Pour commencer, je confirme que je n'arrive pas à différencier les simples filtres jaunes des onéreux "Minus Violet" ou "Fringe Killer". Donc ma conclusion ne varie pas, pour un résultat visuel équivalent, les onéreux "Fringe Killer" n'apportent rien de plus Là c'est avec les oculaires de 10 mm APM UFF (55x). Ces deux types de filtre donnent une dominante jaune sensible mais éliminent bien le chromatisme, tel que les liserés bleus et magenta au limbe et les légers reflets magenta des cratères vers le terminateur . Reste un liseré vert plus ou moins visible selon le placement de l’œil et la position de la Lune dans le champ. Si yeux et cibles sont correctement centrés, il disparait même. Et je confirme aussi que les plus efficaces sont les "Semi-Apo" avec un rendu visuel nettement plus neutre. Reste une petite dominante jaune/vert visible. Il assombrissent un peu l'image mais sur la Lune à 55x, et même avec les cirrus, c'est finalement plus confortable visuellement, les yeux sont moins éblouis. La correction chromatique est du même niveau que celui des filtres jaunes et des"Fringe Killer". Et on retrouve là aussi un liseré vert plus ou moins visible selon le placement de l’œil et la position de la Lune dans le champ. J'ai aussi jeté un oeil vite fait à Saturne. Jolie petite miniature flottant dans le champ accompagnée de Titan. Albéric
    1 point
  6. Saturne prise le 10 Octobre 2023 au télescope Ritchey-Chrétien 254 mm. Il s'agit que de la couche RVB, composition de 6 images sous Winjupos. 6 vidéos de 90 sec dont j'ai gardé 12% des meilleurs clichés dans chaque vidéos donc. Pour se faire, j'ai utilisé une ASI290MC, Barlow Televue 3x et ADC Zwo. Traitement sous AS3!, Astrosurface et Lightroom5. La version 495 nm et r' SLOAN arrivent, ce n'est que la couche couleur pour le moment.
    1 point
  7. Bonjour à tous, SH 2-174 se situe dans la constellation de Céphée à une distance de 980 années-lumière. Elle est très faiblement lumineuse avec une magnitude de 14,74. SH 2-174 est une des plus anciennes nébuleuses planétaires qui est de plus inhabituelle car la naine blanche (PK 120+18.1) ne se trouve pas au centre de la nébuleuse. Cette asymétrie est due à l'interaction de la nébuleuse planétaire avec le milieu interstellaire qui l'entoure. La full : https://www.astrobin.com/zybt6i/
    1 point
  8. Bonjour, je viens de regarder dans mes archives personnelles (album photos du temps de l'argentique) et de numériser une de ces dernières. Elle date de 1999. Photo réalisée en 1999 sur de la pellicule kodak Gold de 400 ISO avec un reflex Vivitar V3000S avec un objectif de 50 mm à fd 4 et une pose de 1 heure. , Qu'en pensez vous ?
    1 point
  9. Très belle image avec un traitement très réussi permettant de faire ressortir les nuages de poussières sombres, tout en maîtrisant le bruit. Bravo !
    1 point
  10. Bonjour, Un joli duo à vous présenter ce matin, une galaxie bien connue, NGC6946 Firework et un amas ouvert dans son voisinage, NGC 6939. NGC 6946, aussi nommée la galaxie du Feu d'artifice (ou Caldwell 12), est une galaxie spirale intermédiaire relativement rapprochée et située dans la constellation du Cygne. Elle a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1798. Le surnom de galaxie du feu d'artifice donné à NGC 6946 n'est pas dû au hasard, cette galaxie étant le siège de « fréquentes » supernovas, dix y ayant été observées jusqu'à ce jour, depuis 1917. NGC 6946 est l'une des galaxies les plus prolifiques du ciel en termes de taux de supernovas, soit environ 10 fois le taux de la Voie lactée. Ce qui est encore plus remarquable est que notre Galaxie comprend le double d'étoiles par rapport à NGC 6946. Outre les explosions stellaires qui y ont été observées, 89 nébuleuses présentant un spectre caractéristique d'un résidu de supernova y ont également été détectées. NGC 6939 est un très vieil amas ouvert situé dans la constellation de Céphée. Il a été découvert par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1798. Les infos: Newton 150/750 + réducteur de Coma @ 678mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 69 x 180s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 180s:
    1 point
  11. Salut, félicitations pour ton achat et merci pour ce petit retour d'expérience 😉. Tu vas te régaler avec ça ! J'ai les 10x42 IS et c'est déjà génial alors j'imagine avec les tiennes 😯. Fais-moi confiance y'a de quoi s'éclater avec des jumelles, y'a qu'à voir les nombreux CROAs aux jumelles Fais-nous part de tes futures observations 🙂. Alexis
    1 point
  12. Belle image! J'aime bien le cadrage qui laisse voir les traces de fumée de la boule de feu lancée (enfin c'est ce que je vois 😵‍💫). 👍👍🙂
    1 point
  13. J'avais un peu oublié l'existence de ce sujet ... 😅 Depuis le temps où j'avais ouvert ce sujet, je n'ai utilisé mon mak que pour du planétaire (donc avec un champ réduit et pas d'étoiles en bord de champ) ou sur quelques objets de ciel profond qui nécessitent une focale plutôt grande (souvent avec peu d'étoiles brillantes dans le champ). Pour tout le reste (donc la majorité de mes prises photo), j'utilise mon newton 150/750. Je n'ai donc plus vraiment été confronté au problème ... J'en suis resté à ce que j'avais mis dans mon post du 01/08/2021 et le commentaire d'optic unterlinden que j'avais indiqué. Je n'ai pas osé ouvrir mon mak pour tenter d'ajouter du mat à différents endroits (peinture, feutrine, etc ...), mon usage en photo étant plutôt limité (en comparaison de ce que je fais avec mon newton). Le seul test que j'ai fait était de changer ma bague d'adaptation pour l'APN (comme le suggérait Colmic un peu plus haut), mais le problème avait persisté ... En tout cas merci pour les vidéos et les divers commentaires, de voir que l'on n'est pas tout seul dans cette situation "rassure" un peu sur l'utilisation que je pouvais en faire. Ca commence à ressembler à un défaut lié à la marque (mon mak 150 est un Skywatcher, ce qui semble être le point commun de tous ceux qui ont ce soucis ..........).
    1 point
  14. Quelques images... Et en situation:
    1 point
  15. J'ai eu ce genre de problème sur mon gros dob ouvert à 3. J'ai botté en touche la possibilité de mettre une glissière à filtre devant le porte oculaire: vignetage, filtres plus haut dans le chemin optique qui abaissent la qualité si ils sont mal surfacés, plus grosse prise à la bué. En mono grand champ (éthos 21 à 13), j'ai inséré une roue à filtre manuelle entre le corps optique et le tunable top. ca passe "raz du'c" pour l'ethos 21, qui est de très loin l'oculaire qui rentre le plus, en position A. j'ai du fraisé l'épaisseur de la roue pour avoir la bonne distance de back focus. Pour les autres oculaires, il doit être possible d'être moins "Mad max", et de garder l'intégrité de cette pov roue à filtres qui n'a rien demandé à personne. Il doit être possible de la greffer au corps optique du paracorr avec la bague TV vers M48. (reste à trouver une solution coté aval, quitte à ne pas employer le tunable top. En bino, planétaire lunaire et ciel profond, comme le back focus n'est pas un problème, il est possible d'insérer la roue à filtre entre la barlow et les oculaires/tête bino. Tourner le carousel d'un doigt tout en observant l'objet sans avoir à aller mettre la main dans le noir devant le PO est d'un confort dont on ne peut plus se passer!
    1 point
  16. Bonjour voici les images prises le 5 novembre depuis la Guadeloupe avec une lunette ls50 et une asi178m
    1 point
  17. Un cycliste échoue de nombreuses fois à un test Captcha pour n'être pas parvenu à trouver les images comportant des feux de circulation Voilà pourquoi il ne faut pas emballer la nourriture dans des journaux : Tu sais, Bjorg, il n'y a rien de tel que d'avoir en main une bonne masse d'armes bien costaude - tu cherches juste une excuse pour écrabouiller quelque chose
    1 point
  18. Une belle tête de vainqueur ! Un champion du monde
    1 point
  19. C'est un classement que tu fais selon tes critères. Comment pourrais tu inclure dans ce classement les déchets issus de la production d'électricité via la combustion des combustibles fossiles ou nucléaires par exemple? Dans ces deux cas auxquels tu peux associer les énergies renouvelables, le problème de la production de déchets est systémique propre aux fonctionnements de nos sociétés. Nous utilisons massivement de l’énergie qui génère des déchets. Le déchets ménagers "endémique (par définition, qui affecte une population de manière habituelle en parlant de certaines maladies, de certains fléaux) est aussi systémique: Consommer et produire des déchets implique de consommer de l'énergie. L'un résulte de l'autre Bref, les déchets ménagers sont liées à notre mode de vie et la consommation d'énergie. Moins (ou mieux) consommer entraine mécaniquement moins de déchets ménager et moins de demande d'énergie. C'est donc issu de choix sociétaux systémiques, choix à la fois individuels et collectifs. Bref, cibler un déchet en particulier, c'est oublier complétement ces aspects systémiques dont les déchets que sont les GES conduisent au réchauffement climatique et dont les conséquences retomberont sur les individus et les sociétés. Que l'on reste immobile ou pas, les changements de société auront lieu. Vu les freins actuels, les changements seront brutaux.
    1 point
  20. bonjour a tous, voici la prise de hier soir. énormément d'humidité dans l'air (résistance chauffante a fond) , mais le ciel était correct...sans plus 😅 toujours avec le même matos sur le 127 (barlow x2,adc,filtre uv-ir,asi 224mc) bonne journée a tous
    1 point
  21. Certainement, mais on ne se rendait compte de ces choses la....qu'une fois la photo développée😒
    1 point
  22. Bonjour, Voici un petit diaporama de quelques astrophotos au smartphone (sauf les deux dernières Jupiter.), dont j'ai également composé la musique. https://youtu.be/e-aicavS-bw?feature=shared
    1 point
  23. Vraiment superbe et quel boulot. Bravo
    1 point
  24. Le gain de netteté à f4 est perceptible sur les objets comme par exemple cette araignée, par contre la perte de profondeur de champs à f4 avec ce type d’objet qui ont beaucoup de profondeur de champs (à cause des pattes de l’araignée) génère plus d'artefacts de focus stacking dans les logiciels d'empilements, que ce soit avec Helicon ou avec Zerene, du genre des artefacts de transparence de certaines parties de l'avant plan ou encore de superposition incorrecte de certaines parties de l'arrière plan. Je vais dire que c'est le "prix à payer" pour un peu plus de netteté : Image stackée à partir de 115 photos dans Zerene Stacker avec la méthode PMax - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f4 - temps de pose de 1/15 secondes - iso 400 Version avec les artéfacts corrigés (ou plutôt atténués) dans Zerene Stacker : https://zerenesystems.com/cms/stacker/docs/videotutorials/retouching001/index Helicon fait la même chose au niveau des corrections d'artéfacts mais il faut que je test aussi. Je dois vous avouer que je ne suis pas très familiarisé avec les systèmes de corrections d'artéfacts des 2 logiciels de stacking. Par contre, je suis surpris d'avoir eu pratiquement pas d'artéfacts sur la version prise à f11 du post précédent (48 photos à stackées) par rapport à la version prise à f4 (115 photos à stackées) et je me demande si il ne vaut pas mieux fermer à f11 avec ce type d’objet de grande profondeur de champs quitte à perdre un peu en netteté. Amicalement, FRanck PS : j'oubliais : voici un test de l'objectif Sigma 100mm macro de l'excellent site "closeuphotography.com" : https://www.closeuphotography.com/sigma-105mm-os-macro-lens @ La Louche du Nord : Merci pour ton retour. J'avoue que ne suis pas vraiment fan non plus . . . voir un peu arachnophobe . . . et pourtant elles sont si mignonnes : J'en profite pour remercier tous les ami(e)s de WA pour leurs notifications. Ca fait toujours plaisir Comment vas tu cher Charles ?
    1 point
  25. Bonjour les amis, J'espère que vous allez bien. Je vous partage des photos prisent en macro et au microscope de ce que je pense être une araignée Zoropsis spinimana (https://fr.wikipedia.org/wiki/Zoropsis_spinimana). Macro : Prise de vue (objectif Sigma 100mm macro + Canon 5DmkII) : Image stackée à partir de 47 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f11 - temps de pose de 1/8 secondes - iso 800 Image stackée à partir de 62photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f11 - temps de pose de 1/8 secondes - iso 800 Image stackée à partir de 39 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f11 - temps de pose de 1/8 secondes - iso 800 Image stackée à partir de 41 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 - Objectif Sigma 100mm macro ouvert à f11 - temps de pose de 1/8 secondes - iso 800 UPDATE : J'ai fait une erreur en fermant l'objectif Sigma à f11. J'ai certes gagné de la profondeur de champ mais j'ai perdu beaucoup de netteté ! La prochaine fois je fermerais à f4 qui est apparemment l'optimum de cet objectif pour la netteté : https://www.closeuphotography.com/sigma-105mm-os-macro-lens (voir les tests du centre plaquette de silicium pris à f2.8 / f4 / f5,6 / f8) Le plus grave est que je l'avais déjà lu et donc le savait ----> Il vaut mieux fermer à f4 pour la netteté et tant pis pour la perte de profondeur de champ, il n'y a qu'a prendre plus de photos à stacker par la suite. C'est l'âge certainement ! 🤪 Microscope (objectif 4x) : Prise de vue : Tête dessus : Image stackée à partir de 48 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 Tête dessous : Image stackée à partir de 71 photos dans Hélicon focus avec la méthode B - Rayon 8 et lissage 4 Arrière dessus : Image stackée à partir de 49 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 Arrière dessous : Image stackée à partir de 41 photos dans Hélicon focus avec la méthode C et le lissage à 4 Amicalement, FRanck
    1 point
  26. Hello, Voici un nouveau traitement d'une image de Saturne obtenue à Liège le 22.08.23 au smartphone Huawei P10 Plus sur oculaire de 4 mm, et Dobson Explore Scientific 305.
    1 point
  27. bonjour a tous, j'ai profité d'une bonne éclaircie ce matin pour retourner sur jupiter. toujours au 127/1500 (ADC/barlowx2/iv-ir cut/224mc) , avec un essai un peu plus poussé dans winjupos. sur la photo on peu voir "Europe " qui pointe le bout de son nez derrière la géante. j'ai fais un petit gif sur l'apparition de Europe : bon ciel a tous !
    1 point
  28. Je voudrais parler d'un atlas que je trouve excellent, mais que je n'ai pas vu décrit sur ce forum. L'Interstellarum Deep Sky Atlas. Cet atlas existe en réalité en 4 versions : - deux langues : en allemand, édité par Oculum, et en anglais co-édité par Cambridge et Oculum, - et deux déclinaisons : la version "Desk" en papier, et la version "Field" en plastique. Un descriptif très complet se trouve ici : http://www.deepskyatlas.com/ Je possède la version Field en allemand (aujourd'hui épuisée), et la version Desk en anglais : Caractéristiques générales : - dimensions de l'atlas : 28 x 28 cm, reliure à spirales - poids : 1045g pour la version Field, 1400g pour la version Desk - 144 doubles planches en couleurs + 29 agrandissements de zones très denses - échelle 1.5 cm par degré (à peu près le double du Sky Atlas 2000) - étoiles jusqu'à la magnitude 9.5 - tracé des constellations (comme sur le PSA ) - 14835 objets du ciel profond (dont 9599 galaxies, 508 groupes de galaxies, 117 amas de galaxies, 1903 amas ouverts, 530 nébuleuses, 755 nébuleuses planétaires, 526 nébuleuses obscures…) - prix : environ 80€ la version Desk, et 180€ la version Field (du moins officiellement). Quelques singularités : - la caractéristique la plus marquante est la classification des objets du ciel profond en quatre catégories, selon le diamètre requis pour les observer : 100mm, 200mm, 300mm, ou plus de 300mm. Plus l'objet est facile à voir, et plus son contour et son nom sont épais, et plus sa couleur est intense. C'est vraiment très intuitif : au premier coup d'œil on sait si un objet est difficile ou au contraire s'il fait partie des immanquables. Le seul atlas à ma connaissance qui emploie le même procédé est le Star Guide 2000.0. Je trouve cette innovation très pratique. - Les nébuleuses à émission et les nébuleuses à réflexion sont représentées avec des couleurs différentes. - les nébuleuses à émission comportent une lettre indiquant le meilleur filtre à utiliser pour les observer : U pour UHC, O pour OIII, H pour Hβ. - l'atlas comporte aussi 2950 étoiles doubles, repérés avec un tiret indiquant la direction de la composante la plus faible. Les étoiles multiples peuvent ainsi avoir plusieurs tirets. La longueur et l'épaisseur du tiret donnent aussi une indication grossière sur la séparation et l'écart de magnitude des composantes. C'est un procédé semblable à celui employé sur le Millenium Star Atlas, qui me semble bien plus judicieux que le traditionnel symbole de l'étoile barrée. Les étoiles doubles sont par ailleurs nommées, et pas anonymes comme sur d'autres d'atlas. - les grilles de coordonnées sont assez resserrées, avec en moyenne une ligne par degré, ce qui permet de se repérer facilement quand on cherche un objet par ses coordonnées (je pense aux astéroïdes ou aux comètes par exemple). - 371 étoiles avec exoplanète sont aussi repérées, mais là franchement on est dans le gadget, vu qu'aucun observateur ne les verra jamais. Sans compter que cette liste est aujourd'hui totalement obsolète… J'avoue acquérir des atlas astronomiques plus par désir de collection que par nécessité pratique. J'utilise aussi SkySafari Pro, et par bien des aspects cette application surpasse n'importe quel atlas papier. Mais les atlas imprimés conservent quand-même leur intérêt pour leur uniformité de présentation. De plus, ils m'ont toujours fasciné par la beauté de leurs planches remplies d'étoiles et de symboles. De ce point de vue, l'Interstellarum Deep Sky Atlas est certainement le plus bel atlas que je possède. La qualité d'impression est parfaite. Feuilleter ses pages colorées en plein jour est un véritable régal pour les yeux ! Une autre de ses qualités est la très grande clarté de sa présentation. A aucun endroit il ne donne l'impression de fouillis, et il reste étonnamment lisible quelle que soit la région observée. D'un point de vue esthétique, il me semble difficile de faire mieux. Description des différentes versions : Les versions anglaises et allemandes sont quasiment identiques. Même sur la version en allemand, la plupart des noms sur les cartes sont en anglais, et pour les noms en allemand leur compréhension ne pose souvent pas de problème, comme pour "Orionnebel" par exemple. Les deux pages d'introduction sont certes en allemand, mais leur contenu est identique à celui du site deepskyatlas.com, donc on ne perd rien si on ne lit pas cette langue. La version Field se veut très novatrice par l'emploi de matériaux plastiques. Elle est conçue pour être invulnérable à l'humidité, comme le montre cette image : La couverture est assez rigide et semble très résistante. Les pages sont en matériau dénommé Polyart, dont le toucher est intermédiaire entre le papier et le plastique. C'est une sensation un peu étrange, avec un côté soyeux difficile à décrire. Elles sont fines et légères, ce qui permet de réduire significativement le poids de l'atlas. En principe, on peut écrire sur les cartes avec une encre soluble dans l'eau, et effacer ensuite les annotations d'un coup d'éponge. Je n'ai pas testé cette propriété… La version Desk est d'une facture tout à fait classique pour un atlas, et évoque un Pocket Sky Atlas sous stéroïdes. La couverture cartonnée est plus épaisse que celle du PSA. Les pages sont épaisses et relativement rigides, et ressemblent à du papier glacé sans reflets (je ne sais pas si je suis clair). Elles sont toutefois un peu moins épaisses que celles du PSA. Malgré son appellation "de bureau", cette version est tout à fait apte à affronter les nuits étoilées . Quelle version choisir ? On pourrait penser, indépendamment du prix, que le summum représente l'édition de terrain. Or pour posséder les deux, je trouve l'édition de bureau nettement meilleure. D'abord la couverture de l'édition de terrain est trop rigide, elle ne repose jamais à plat comme on peut le voir sur cette image : Car un des avantages de la reliure spirale, c'est de pouvoir retourner complètement les pages, de façon à réduire le format de l'atlas. Dans ce cas, voilà ce que ça donne : La rigidité de la couverture rend l'opération malaisée sur la version de terrain, et le repli n'est jamais total, ce qui rend l'emploi peu agréable. A l'usage, cette opération n'est pas pratique. Au contraire, la version de bureau se replie très naturellement et sans efforts, des rainures sur la couverture ayant été prévues pour cela. On peut donc très aisément tenir l'atlas d'une seule main quand il est ainsi replié. Le format raisonnable de l'atlas permet par exemple d'orienter facilement les cartes pour correspondre à la vision à l'oculaire. Autre défaut de la version de terrain, je trouve que la préhension des pages pose problème. Cette espèce de plastique étrange a du mal à accrocher aux doigts, et il faut souvent s'y prendre à plusieurs fois pour ne tourner qu'une page. C'est assez difficile à expliquer, mais je n'ai jamais été à l'aise avec cette sensation tactile. C'est peut-être une question d'habitude… La version de bureau ne semble pas poser pas de problème particulier, on retrouve la sensation bien connue du papier . Je dis "ne semple pas", parce que j'ai acquis cette version récemment, et je n'ai pas encore eu l'occasion de l'utiliser sur le terrain, mais je l'ai quand-même testée de diverses façons et mon avis est nettement plus favorable. Globalement, la manipulation de la version de bureau est plus agréable, les pages plus rigides laissent une meilleure impression de qualité et tournent plus facilement. Autre enseignement tiré de l'expérience, lors d'une soirée par conditions venteuses les pages en plastique n'ont pas arrêté de tournoyer, en raison de leur souplesse et de leur légèreté, ce qui s'est avéré assez pénible. Je suis à peu près certain que dans les mêmes conditions les pages de la version de bureau seraient restées en place, du fait de leur poids plus élevé et de leur meilleure rigidité. Enfin, un petit détail irritant concerne la légende sur la version de terrain. Il s'agit d'une fiche imprimée recto verso qui s'insère dans une pochette à l'intérieur de la couverture. En manipulant l'atlas, cette fiche tombe à chaque fois. (Peut-être que ce petit problème a été corrigé sur la version en Anglais ?). Pas de souci sur la version de bureau, puisque la légende est imprimée sur la couverture : Mon avis est tout simplement que la version Desk, contrairement à son appellation, est préférable pour le terrain. La version Field est peut-être intéressante si on laisse l'atlas ouvert toute la nuit, posé sur une table et exposé à la rosée, mais ce n'est pas ma façon de procéder. La version Desk est déjà assez chère comme cela. Cela dit, au vu de la qualité de la réalisation, son prix me parait amplement justifié, et je sais que ce sera désormais mon atlas préféré. Enfin pour info, il y a parfois de bonnes affaires sur ebay .
    1 point
  29. L’intérêt de l’intégration d’un systeme goto Skywatcher proposé par Arp83 résidera j’imagine dans le prix, car un système Stellarcat + Nexus, ce n’est pas donné, ça doit tourner aux alentours de 3000 euros…….
    0 point
  30. Surprise sur les premieres images d'Euclid...
    0 point
  31. Oui, il y a aussi le site d'Alain Gérard. Pendant longtemps ma bible a été les 4 volumes des Splendeurs du Ciel Profond de L. Ferrero, mais hélas plus édités en tant que tels. Y a eu aussi les vintage Nébuleuses et Galaxies de Brunier et La Revue des constellations, quand j'avais la L60 dans une autre vie. Gilis utilisait plus la L60 que le 115, et opérait certes en montagne mais aussi dans des conditions plus moyennes. Son bouquin est certes une référence, mais il reste dans les classiques et manque peut-être un peu de challenge pour cette gamme d'ouverture. A la FC-100 en effet, sortie sous un ciel très pur, on va assez au-delà. D'ailleurs je ne sais pas s'il fait encore de l'astro, pas l'impression qu'il soit sur les forums. Bien sûr un atlas est indispensable en complément, le PSA bien entendu mais surtout l'excellentissime IDSA pour plus de diamètre, une oeuvre d'art à mon goût. Mais sûrement dépassé en quantité de data par toute la flopée de logiciels qu'on doit avoir maintenant sur smartphone, je suis bien technophobe une fois la tête sous les étoiles 😉
    0 point
  32. Ca aura été long et difficile, mais ça y est enfin : PONTIVY, sous préfecture du centre-Bretagne, environ 15.000 habitants, pratique enfin (à titre expérimental... !) depuis le début de ce mois de novembre l'extinction nocturne. A partir de 22H 00 pour une bonne partie de la commune, seul ce qu'ils appellent l'hyper-centre restera totalement "illuminé" (c'est le mot de la maire...), allez savoir pourquoi... C'est un excellent début mais d'une part ce n'est qu'expérimental et il faudra donc transformer l'essai ; d'autre part, malgré mes interventions répétées, rien n'est fait à l'égard des commerces qui ne respectent pas la réglementation. Nous avons donc gagné une bataille, mais pas la guerre. Le combat continue et je suis tenace 😉
    0 point
  33. Hello les gens 👋 (inspiré par ce sujet : https://www.webastro.net/forums/topic/246815-avis-sur-télescope-mizar-1501400-sur-eq4/ ) 🎶 Mizar, Mizar C’est aux débutants astrams Que t’es vendu, sans état d’âme Mizar, Mizar, Tu nous montres des jolis fûts Mais à la fin, on l’a dans l’… Mizar, Mizar Quand je vois certaines montures Je pense à "instrument d’torture" Mizar, Mizar En voyant certains oculaires Envie de t’les mettre dans le derrière Mizar, Mizar Quand tu mets un miroir sphérique C'est bien merdique pour de l'optique 🎶 (refrain) Le diamèèèètre N’est pas la seule choooose Il faut bien d’autres chooooses Convenons-en Convenons-en ! © Coluche (ou presque )
    0 point
  34. Mais je pensais utiliser ASTAP avec la fonction F4 pour visualiser le tilt
    0 point
  35. De mon côté, je réalise aussi le pré-traitement des brutes sous SiriL, bien plus rapide que Pix. Et quand on a plusieurs sessions pour une même image, avec le petit utilitaire Sirilic qui pilote le pré-traitement de SiriL, c'est très simple à réaliser. On lance l'outil et, le temps d'un café accompagné d'un carreau de chocolat, c'est fait. Reste que pour le traitement lui même, passer par Pix permet de peaufiner davantage le résultat car il y a plus d'outils disponibles, notamment la suite BlurX, NoiseX, etc... même si Siril fait de mieux en mieux en intégrant de plus en plus de fonctionnalité.
    0 point
  36. Une superbe matinée. Pas même un petit mouton dans le ciel. Puis, un petit troupeau d'agneaux qui arrive en catimini l'après-midi suivi de près par de plus gros moutons . J'étais parti pour me faire une série complète du Soleil sur toute la plage des longueurs d'onde accessible. C'était sans compter sur un cumulo-nimbus isolé qui m'a pris à revers. Le matos a fini au car-wash avant de rentrer prématurément. Bref, 3 images quand même avant la douche, respectivement en UV, Cak et Gband...
    0 point
  37. http://glangl1.free.fr/Liste-Ifba.html Je viens de retrouver un des liens vers la marque ...
    0 point
  38. Bienvenue à toi et bon retour en astro. Oui le matos évolue sacrément. Pour notre plus grand bonheur et pour alléger nos comptes en banque 😜
    0 point
  39. Je rejoins 180vision sous pix les temps de traitements sont horribles ! Tu dépasse l'heure et sous siril en moins de 10min c'est fait Et le "pire" (pour pix) meilleur résultat sous Siril Je crois d'ailleurs que c'est Seb qui indique commencer sous Siril pour finir sous Pix..... Heureusement que Blur X est sous pix......😉 Mais bon j'imagine qu'il y a peut etre des paramétrages a améliorer ? Pour ton PC tu as vu que tu peux faire un benchmark sous pix ? Tu as possibilité de voir sous pix de quelles config sont issus les meilleurs scores et de voir ou tu te situes. (je pense que ca doit etre le lien de Seb, je n'ai pas pris le temps de vérifier) Pour ton PC il faut quand meme faire gaffe parfois certains Euros en plus peuvent tout changer, mais aussi ne pas servir a grand chose. Je pense que la RAM est vraiment importante, fais attention aux possibilités d'extensions possibles ou non a ce niveau. Idem parfois tu as possibilité d'ajouter ou non par la suite un autre SSD Ce qui est bien c'est que pour les CPU et les CG tu a pleins de Benchmarks dispos.... Pour les SSD ils parlent d'usure plus rapide, mais en rentrant dans le détail sur le site de certains fabricant j'ai pu lire qu'ils pensent que ce problème se posera après que tu ai besoin de changer ton PC....... 61Mo pour la 6200, j'aurais cru plus ? On est a 50Mo sur la 2600.
    0 point
  40. Bonjour les amis J'espère que vous allez bien . Pour ma part j'ai eu des hauts et des bas Fdudu , mais cela repart , superbes les images de ton araignée vraiment de la grande qualité beaucoup de travail aussi , c'est un plaisir de voir ces images . C'est l'automne le paradoxe est que je sème ...... c'est ici du Colza pour l'hivers les premières feuilles poussent . Une feuille primaire est présentée en couleur naturel et l'autre en négatif l'objectif du microscope est de 4X au microscope
    0 point
  41. Dak merci pour l'info 🙂. Et c'est mieux que sous la semelle 😄. En ce qui me concerne jpeux pas m'empêcher de les attraper pour les relâcher dehors, jsui pas prêt de les prendre en photo 😅. Bonne continuation ! Alexis
    0 point
  42. Je trouve tes photos géniales, j'adore! Petite question par simple curiosité : tes bestioles tu les trouves déjà mortes ou tu t'en charges ? Et comment ? 🙂
    0 point
  43. Merci pour la réponse, j'ai contacté Oliver, et je lui ai déjà envoyé, j'espère l'avoir bientôt, merci et salutations Manuel.
    0 point
  44. TOUTES les études démontrent que la cause du réchauffement global réside dans les émissions de gaz à effet de serre. Mon premier post sur ce fil était précisément dédié à cette démonstration, et la page du GIEC consacrée aux causes est catégorique. L'aspect n'est pas "majoritaire" : il est exclusif. La variabilité naturelle n'est jamais à cette échelle de temps, et aucune autre cause n'est vraisemblable dans ce que nous vivons. Le mécanisme est parfaitement élucidé, et de fait assez aisé à identifier. Arrhenius au XIXème siècle avait déjà calculé à la main ces conséquences, en évaluant seulement les émissions de son époque. On ne s'adaptera pas. Des régions entières sont déjà difficilement habitables, du seul fait de la chaleur. Un individu jeune en bonne santé soumis à une température de 35°C à saturation en humidité meurt en six heures. Les migrations climatiques humaines sont déjà en cours. Les migrations animales et végétales ne pourront pas suivre le rythme. Le réchauffement induit des catastrophes contre lesquelles on reste impuissant, des tempêtes à la puissance décuplée, une montée des océans qui menace des millions d'individus, des inondations cataclysmiques, des sècheresses prolongées, des famines touchant tous les pays, des destructions inassurables... Encore une fois, il s'agit de faits scientifiquement établis, ce qui est facilement vérifiable sur le Net, dans la presse, ou dans les publications scientifiques.
    0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.