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OrionWidefield Bercées de poussières cosmiques et d'hydrogène brillant, les pépinières stellaires de la constellation d'Orion La sombre nébuleuse de la tête de cheval et la brillante nébuleuse d'Orion sont des vues cosmiques contrastées. A la dérive à 1 500 années-lumière dans l'une des constellations les plus reconnaissables du ciel nocturne. La nébuleuse familière de la tête de cheval apparaît comme un nuage sombre, une petite silhouette entaillée contre la longue lueur rougeâtre en bas à gauche. Alnitak est l'étoile la plus à l'est de la ceinture d'Orion et est considérée comme l'étoile la plus brillante à gauche de la tête de cheval. Au-dessous d'Alnitak se trouve la nébuleuse de la flamme, avec des nuages d'émission lumineuse et des voies de poussière sombres spectaculaires. La magnifique région d'émission, la nébuleuse d'Orion (alias M42), se trouve en haut à droite. Immédiatement à sa gauche se trouve une nébuleuse à réflexion proéminente parfois appelée Running Man. Des vrilles omniprésentes d'hydrogène gazeux incandescent sont facilement repérables dans toute la région. Données fournies par la plateforme d’imagerie à distance "Telescope Live" Takahashi FSQ-106ED (386 mm) f/3.6, situé à l'IC Astronomy Observatory (Espagne) en novembre 2022. Données en SHO (SII 15x300s, Ha 15x300s, OIII 15x300s) Ttraitement Siril, Pixinsight, Photoshop3 points
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La nébuleuse des Têtards du sud Cette énorme nébuleuse diffuse, également connue sous le nom de GUM 37 est située dans la constellation sud de Carina à une distance de 9 485 années-lumière. Son centre est situé à environ 1 470 années-lumière du système solaire. La nébuleuse de Gum est une rémanence, probablement toujours en expansion, d'une ou plusieurs supernovas, survenues il y a quelques millions d'années. En haut au centre se trouve à peine visible l'amas ouvert NGC 3572 et un "globule photo-évaporant", initialement considéré comme une nébuleuse planétaire. Données fournies par la plateforme d’imagerie à distance "Telescope Live" télescope de 61 cm CDK24 à l'observatoire d'El Sauce (Chili) en janvier 2023. 36x600s en SHO. Siril, Pixinsight, Photoshop La version full ici https://flic.kr/p/2pfMMCL2 points
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Bonjour , Je poursuis mes tests avec la Posseidon-C de chez Player One cette fois-ci sur cette nébuleuse que j'avais pas encore eu l'occasion d'imager . Ce fut compliqué hier soir avec une météo qui s'est dégagé vers 20h00 mais avec des passages nuageux par moment imposant des interruptions , bref pas une nuit des plus cool mais c'est ça aussi la passion ! La Nébuleuse de l’Étoile Flamboyante (IC405) est une grande nébuleuse qui a l’apparence d’un nuage de gaz épars et pâle. Certaines de ses structures sont semblables à celles de la Nébuleuse du Voile dans le Cygne. Elle est illuminée par l’étoile AE du Cocher. J'ai pu au total effectuer 50 poses de 180sec . Askar FRA 400 Posseidon-C Filtre Antlia ALP-T Prétraitement manuel Siril Traitement RVB PIX avec la couche Ha comme Luminance Je tacherai de faire d'autres poses dés que la météo sera plus clémente , pas certain vu la période de l'année . Eric2 points
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Salut à tous, j'ai décidé de prolonger la vie de mes astrophotographies par un petit concept vidéo ou nous pouvons voyager ensemble dans une de mes photos et en apprendre plus sur les objets qui la compose. Si la section n'est pas appropriée ou que le contenu ne vous semble pas pertinent, je peux supprimer sans soucis. Voici les deux premières réalisation : Voyage 1 - M78 et LDN1622 Voyage 2 - Le zoo de l'espace Bon ciel à tous !1 point
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On en a parlé récemment dans un autre post sur WA. En revanche, on est plus dans le compact. https://www.webastro.net/forums/topic/246686-mak-102-skywatcher-ou-achro-102500/?do=findComment&comment=3111716 https://www.leboncoin.fr/sport_plein_air/2425731502.htm1 point
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Bonjour à tous, On ne présente plus IC 1805, la nébuleuse du Coeur. Cette nébuleuse en émission présente un attrait indéniable à cause de sa forme. Elle est située à 6 500 années-lumière dans la constellation Cassiopée. Un amas ouvert d’étoiles massives (plus de 50x la masse du Soleil) se trouve en son centre et est catalogué Collinder 26 et Melotte 15. C’est ce groupe d’étoiles qui irradie la masse d’hydrogène ionisé et de poussière sombre. A noter également, en bas à droite de l'image, la présence à proximité d’une petite nébuleuse planétaire particulièrement intéressante et esthétique WeBo1, bien visible avec un filtre OIII. WeBo 1, également connu sous le nom de PN G135.6+01.0, est ainsi nommée d'après ses découvreurs Ronald F. Webbink et Howard E. Bond. Trois choses sont surprenantes à propos de cette PN : la forme circulaire de l'anneau (au lieu d'une sphère), la région interne transparente, et l'étoile centrale de couleur orange (au lieu de bleue ou blanche). Cette étoile a été déterminée par spectroscopie comme étant une étoile froide à baryum. On pense que cette étoile est le compagnon binaire d'une étoile plus massive de la branche géante asymptotique (AGB). L'étoile AGB est devenue une naine blanche et n'est plus visible pour nous. Ce système binaire a une période de rotation de 5 jours. La full: https://www.astrobin.com/83nxn9/1 point
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Merci à tous pour toutes les infos que vous partagez ici j'ai beaucoup appris! J'arrive un peu tard mais je voudrais faire mon retour d'expérience sur la collimation de mes APM 100mm, pour nuancer et peut-être résumer ce qui a été dit dans ce fil à ce propos @fdudu@nico78@adonf@Subwoof J'ai utilisé mes jumelles (sans option collimation) pendant quelques temps, avec une légère gène à 117x (ES 4.7), puis une pause / déménagements, puis j'ai repris quelque mois après, avec cette fois un mal de tête instantanné à 117x sur la Lune pour tous ceux qui ont regardé. J'entreprends donc la collimation, avec comme conseillé ici un outil à objectifs à 20€ sur Amazon. L'outil reçu, je dévisse la bague n°1 à droite, mais impossible pour la jumelle de gauche, même à plusieurs en forcant comme des ânes. APM m'envoie gentillement l'outil prévu exprès qui est plus efficace (je dois leur renvoyer ensuite), ce qui me permet de débloquer enfin les 2 côtés. Pour la suite j'ai utilisé leur outil mais j'aurais pu utiliser l'outil à objectifs ou même un ongle. Je fais ma collimation sur une tour parisienne à 2km qui a une lampe rouge allumée sur le toit constamment (vers le 104 pour ceux qui veulent essayer ), pas de soucis particuliers à 117x, j'ai même fait un logiciel pour faire une collimation assistée et me dire de combien tourner chaque bague, mais ça peut être fait sans, à tatons. Je fais différents essais, j'enlève les oculaires, je les remets, je vérifie la collimation, etc. Petit à petit je remarque que : les 2 ES 4.7mm ne sont pas parafocaux (il faut refaire la mise au point de 1 ou 2mm si on échange les oculaires), mais c'est pas très grave, le foyer peut entrer ou sortir légèrement en faisant 1 ou plusieurs tours de bague, peut être utile pour la photo ou pour compenser la différence de position foyer des 2 oculaires, les yeux/le cerveau corrigent en partie le défaut de collimation, donc la mesure du décalage doit se faire yeux et cerveau reposés regard au loin, puis en s'approchant des oculaires petit à petit, à environ 5cm, dès qu'on voit les deux lampes ou étoiles artificielles on "imprime" le décalage avant que le cerveau ne compense, on peut aussi fermer un oeil puis l'autre pour jauger le décalage. le "jeu" des oculaires (serrés ou pas) dans les porte-oculaires est très grand (je dirais une conséquence de 1' d'arc quand on les pousse de travers), plus grand que la précision de la collimation à 117x: je fais une collimation aux "petits oignons" (disons à 10" près) qui permettrait de pousser à 200 ou 300x, j'enlève les oculaires et je les remets ou je les échange ou même je pousse un peu les oculaires, ça tue la collimation qui redevient ~100x (ok pour les 117x mais en grossissant plus ça ne marchera pas), parler de collimation à un certain grossissement est une métrique subjective, qui dépend de la sensibilité de chacun à un décalage (surtout vertical), je préfère parler de collimation à X minutes ou secondes d'arc près. tout ça est relativement facile, je peux même fignoler la collimation avec l'ongle sur la bague 3 même sans enlever la bague 1 (en la desserant de 5mm), non les objectifs ne tombent pas même quand on enlève la bague 1 complètement, ils sont attachés dans leur monture excentrique. à 117x en planétaire, on a encore de la marge, si on a une bonne monture à fourche, je pense que le grossissement de 137x ou 150x doit être parfait! J'en conclus les points suivants : ça ne sert à rien de prendre une option collimation (à plus de 100x), c'est comme demander à Skyvision de collimater parfaitement le dobson serrurier avant de l'envoyer pour m'éviter de tourner les 3 vis de collimation. Le transport ou le changement d'oculaire annihilera ce qui dépasse 100x. Après, s'ils font d'autres optimisations que tourner les montures excentriques des lentilles, pourquoi pas. une fois la collimation faite, elle sera stable pour un moment à environ 100x ou peut être même 150x si vous n'êtes pas très sensible à la décollimation, mais pas plus. Pour grossir au maximum, à 200/300x sans soucis de fusion et sans être caméléon, 2 options: soit faire la collimation à chaque fois, directement avec les oculaires qui vont être utilisés sans les toucher ensuite, soit jouer sur le "jeu" des oculaires comme fait @Subwoof ou élastiques ou autres bricolages ça peut aussi aider de mettre toujours le même oculaire du même côté, orienté et serré de la même façon. mesurer le décalage sur un bord de champ (par exemple en mettant le lampadaire tout à gauche à la limite du bord gauche d'un oculaire et en regardant dans l'autre oculaire où se trouve le lampadaire), ou utiliser un réticule (méthode proposée dans ce fil), donnent des mesures fausses car les porte-oculaires ne sont pas parfaitement parallèles, et les oculaires ne sont pas parfaitement parallèles dans leur porte-oculaire. La méthode qui fonctionne et d'utiliser directement nos yeux/cerveau "au repos" et à distance des oculaires. Pas besoin de faire le dernier réglage sur le ciel, une cible à 1 ou 2km suffit, si ça n'est pas parfait sur le ciel ensuite, c'est la faute du jeu dans le positionnement des oculaires. Pour une collimation parfaite sur une cible proche (<1km), compenser la parallaxe (strabisme convergent) en visant 12cm de décalage horizontal divergent.1 point
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M'en parle pas... Tu verrais ce qu'il tombe par ici... ça donne pas envie de sortir, même couvert avec la belle capote de @jld371 point
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Une info du 13/08/2013 Mais merci pour l'info Publié le 13/08/2013 à 18:16, mis à jour le 14/08/2013 à 07:571 point
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Et ce principe suffit à faire un bon choix sans se prendre la tête. Il y a prise de tête quand il y a un excès d'exigences ou une recherche du choix 100 % optimal. Mais pour débuter, je trouve qu'une lunette 90/900, un 130/900, un Dobson 150 ou un Maksutov 90 (à budgets proches) sont tous de bons choix. Pour débuter, on n'a pas à chercher l'optimum, un instrument de découverte à bon marché mais correct répondra à la demande quelle que soit sa configuration. Au pire il faudra s'y habituer, mais on est justement dans une phase d'apprentissage.1 point
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C'est le modèle Chinois... Du Vixen, mais sortant du même endroit que le matériel SW (que la 70/900 à la 90/900). Le seul existant encore dans le commerce. Le modèle Japon en PJ. Autre optique avec PO en 50,8mm Vixen. Dépend aussi ce qu'on met comme oculaires derrière... C'est à mon avis bcp plus compliqué que cela et aussi "affaire de préférence personnelle". Comme bcp d'astrams, perso, je possède différents types de matériels (Newton, SC de différents diamètres, lunettes classiques et Apo) sur différentes types de montures (Eq. allemandes, azimutales... Manuelles, Go-To...). Je n'utilise les lunettes que dans certains cas ; je n'aime pas trop regarder à une certaine hauteur dans le ciel, avec le nez dans le trépied et la tête juste au-dessus du sol, même avec le trépied monté au max sauf l'été quand il fait chaud et pas de rosée au sol... Pb qui n'arrive pas avec un Newton. Ensuite, on reste limité en diamètre avec une lunette (toujours les lois de l'optique et surtout le diamètre...), difficile en visuel de taper du NGC xxxx. Et une lunette de 900 de focale, restera toujours plus encombrante à déplacer/ranger qu'un petit Mak... Mais la lunette, tu la sors dehors et t'observes sans attendre 1h ou même 3h comme avec certains télescopes. Pas de collimation à réaliser sur les modèles récents (elle est faite en usine)... Et, la lunette, ça reste la lunette, sympa en lunaire, planétaire, solaire... C'est quasiment pour cela que je m'en sers et pour des animations en rapide et/ou nomade. Toujours les "pour" et les "contre".1 point
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Bonjour à tous, Je crois bien que j'ai pas mal de chance en ce moment car j'enchaîne les sorties les unes après les autres ce qui d'habitude n'arrive pas souvent ! Mardi 19 septembre, après une semaine assez pourrie et même quelques orages dans la matinée, la couverture nuageuses se déchire subitement pour laisser place à un ciel bien propre, d'un bleu profond ! je n'en crois pas mes yeux ! ça ne pouvait pas tomber mieux : je ne bosse pas le mercredi ! Un petit tour sur Météoblue me confirme que l'éclaircie devrait tenir au moins jusqu'au lendemain soir donc, dès la rentrée du boulot, je monte immédiatement le DOB dans le champ juste devant la grange. Le ciel est fantastique ! Les orages récents ont bien nettoyé l'atmosphère qui est d'une limpidité rare. Et, contrairement à toute attente, la turbulence est faible...très faible...je devrais me régaler ! Mais, comme tout ne peut être parfait, je note quand même tout de suite la très forte humidité : en fait, l'herbe est encore mouillée des dernières pluies lorsque j'installe le tube ( sur une bâche bien sûr ). Pour ceux qui ne connaissent pas le magnifique département de la Creuse, je précise : c'est toujours humide habituellement mais, lorsqu'il vient de pleuvoir dans les jours précédents, là c'est carrément dégoulinant !!! Je hais l'humidité, c'est mon pire cauchemar : tout devient beaucoup plus pénible à gérer ! Faut faire gaffe en permanence aux oculaires et penser à remettre les bouchons, faut protéger les chercheurs au maximum, les marches de l'escabeau deviennent glissantes, les filtres se couvrent de buées en 5 minutes si on les laisse sur le passe-filtre, les pages de l'atlas se gondolent et se collent entre elles...surtout, le temps nous est compté !...quand la buée touche le secondaire c'est cuit !! Et pour cette raison, la soirée fut bien courte malheureusement! Ce n'est que vers 22H30 que je rejoins le tube qui prend le frais depuis déjà un bon moment : la jupe est ruisselante d'eau, j'ai intérêt à ne pas perdre trop de temps ! Je monte les 2 chercheurs pour un alignement rapide. D'habitude cela ne prend que quelques secondes : je pointe approximativement une étoile assez brillante avec le Quickfinder, je la retrouve habituellement dans le champ du chercheur optique et du 24mm puis je n'ai plus qu'à centrer tout ça. Ben là, je deviens fou !! Je m'y reprends à plusieurs fois...je n'arrive pas à retrouver mon étoile de référence dans mes optiques...je cherche autour...Nada! J'enrage...j'y passe plusieurs minutes : à la fin je pointe Véga qui est l'astre le plus brillant que je puisse trouver depuis ma position et que je ne peux pas rater...RIEN! C'est alors que je me rends compte que j'ai mal enfoncé le Quickfinder sur son support et qu'il vise à plus de 10° de ma cible...quel boulet ! Bon, puisque le tube pointe maintenant sur la Lyre, ma première cible sera M57 : Classique parmi les classiques et pourtant ce n'est pas souvent que je la vise celle-là...peut être justement parce que j'ai l'impression de la connaître par coeur : c'est un tort! Avec de bonnes conditions elle est vraiment sublime. Au 24mm déjà elle est bien jolie même si je n'y perçois aucune couleur et on reconnait bien le "rond de fumée", mais c'est en poussant le grossissement qu'on en prend plein les mirettes! En ce moment, j'enchaîne les soirées avec des conditions de seeing exceptionnelles et une fois de plus j'ai le plaisir de pouvoir sortir la barlow de la valise! A 500x, la vision est merveilleuse : l'anneau, épais et très brillant, est texturé avec des zones plus lumineuses que d'autres et il donne presque une impression de volume et il se prolonge par deux "anses" beaucoup plus diffuses. Les nébulosités au centre, plus sombres, sont filamenteuses. Je note plusieurs étoiles en surimpression mais surtout...Je commence à glimpser l'étoile centrale : elle apparaît puis disparaît, plusieurs fois par minutes, parfois pendant plusieurs secondes! Finalement je pousse à 900X avec le 5mm/Barlow et l'image reste encore belle et la centrale est là en permanence ! Ce n'est pas la première fois que je la vois, toujours à fort GR et avec une turbulence faible...et ça fait toujours quelque chose ! C'est mon premier "Whaou" de cette magnifique nuit ! Par contre, vu qu'on sort de l'été, j'ai pas encore bien repris mes habitudes anti humidité : absorbé dans cette belle vision j'ai laissé le 13mm sans capuchons sur le haut de l'escabeau...Pas Glop !! J'en suis quitte pour le rentrer au chaud et m'en priver une bonne 1/2 heure en attendant qu'il soit de nouveau utilisable! Vu les bonnes conditions atmosphériques, autant que j'en profite avec des cibles bien choisies pour en tirer tout le potentiel : direction le Dragon pour tenter " L'Oeil de Chat ", NGC 6543. Bien plus petite que la précédente, cette NP bien connue claque bien dans le 24 mm, avec cette fois une teinte verte notable et une centrale très brillante. Pour la première fois ( mais j'avoue ne jamais l'avoir vraiment cherchée avant ) je note la présence d'une très faible nébulosité juste à côté qui doit correspondre à IC 4677. Je me concentre cependant sur 6543 et je monte rapidement dans les GR. Au début, la clarté de l'étoile centrale est un peu gênante pour bien percevoir la structure et je ne vois qu'une espèce de grosse "amande" gazeuse entouré d'un halo diffus un peu plus faible. Mais avec 500X de grossissement, la vision change : l'éclat de la centrale est un peu moins prégnant et de la structure commence à apparaître. On dirait comme deux coquilles d'escargot imbriquées l'une dans l'autre et tournant dans le sens opposé...difficile à décrire. Finalement, c'est avec 900x que le tout devient vraiment visible et assez impressionnant...la structure est complexe, c'est beau !! Ce n'est que la seconde fois que j'ai la chance de l'observer avec autant de détails...c'est mon second "Whaou" de la soirée ! Bon ben je viens déjà de passer 1h15 sur seulement deux objets et le chercheur optique est déjà mort ! Tout est dégoulinant d'eau : télescope, table, mallette, escabeau...d'ailleurs j'ai déjà failli me casser la binette ! Je me hâte donc vers ma prochaine cible, après avoir récupéré mon 13mm, qui sera une galaxies afin de profiter de la bonne transparence de l'atmosphère aujourd'hui. Je retourne donc faire un petit tour sur NGC 6946 : par rapport à ma dernière tentative, y a pas photo! Là où je n'avais qu'une vague tache grisâtre, il y a une dizaine de jours, se déploie sous mes yeux ébahis une magnifique spirale vue de face! Pas besoin de forcer, les bras sont là en vision directe, faibles mais assez évidents qui s'enroulent tout autour! J'en compte d'abord quatre puis un cinquième plus discret qui apparait en vision décalée ! Elle est grande et prend une bonne partie du champ du 13mm. Le noyau, pas très dense, est visible comme un léger renforcement lumineux. La vision décalée me permet de noter quelques renforcements lumineux dans les bras principaux...C'est le "Whaou" N°3 ! Tant qu'à faire, je vise une seconde galaxie : NGC 6503 dans le Dragon. Et je me rends compte que c'est la toute première fois que je m'y essaie avec le 450 ! Je suis obligé d'utiliser mon 28mm pour faire du cheminement d'étoile vu que le chercheur coudé a été mis KO par la buée...c'est moins pratique mais je m'en sors pas mal et la cible est facile à trouver : elle est quand même bien brillante pour une galaxie. Elle est vue de côté mais pas exactement par la tranche et elle claque bien dans ce ciel bien noir même si elle est proche d'une étoile assez éclatante pour être un tantinet gênante. Au premier abord, on voit surtout le coeur bien brillant de la galaxie mais on se rend assez vite compte qu'il est prolongé des deux côtés par un halo plus diffus. Elle n'est pas symétrique, un des bords étant plus épais et plus arrondi que l'autre, qui est plus effilé avec un halo qui continu bien plus loin et qui se termine lui aussi en pointe. On pourrait s'arrêter là mais il y a encore du détail à glaner en poussant un peu plus le GR : vers 200x, le coeur, qui semblait lisse, commence à montrer une structure granuleuse ! à 320x et 450x c'est évident : il y a des grumeaux, des renforcements lumineux...on dirait NGC253 en moins évident !! J'adore ces galaxies qui se dévoilent petit à petit lorsque le ciel est bon...et voilà...quatrième "Whaou" d'affilé ! Après m'en être mis plein les yeux, je décide de retourner du côté de Céphée pour essayer de terminer le programme d'observation entamé la semaine précédente. Je commence à bien galérer avec les cartes! J'ai découpé les pages de mon atlas que je garde sous pochettes plastique ce qui me permet de n'emporter sur le terrain que celles qui me sont utiles pour la soirée. Mais les pochettes sont maintenant recouvertes de buée et d'eau et je ne peux plus lire à travers ! Je suis obligé de sortir les pages qui se gorgent d'eau et se gondolent dès que je les poses quelques secondes sur une quelconque surface...et mes lunettes s'embuent toutes les deux minutes !! J'arrive quand même, tant bien que mal, à pointer ma cible suivante, NGC 7354, une NP dans la constellation de Céphée. Elle est petite mais pas stellaire car elle apparaît déjà comme un minuscule disque grisâtre dans le 24mm. En grossissant elle prend une forme légèrement étirée donc pas tout à fait circulaire. C'est une petite pastille toute grise entouré d'un très faible halo diffus avec 320X de grossissement. Je ne discerne pas l'étoile centrale, elle semble d'un éclat homogène sur toute la surface du petit disque. Je ne pousse pas plus loin...pas beaucoup de détails mais c'est une vision sympathique et je ne l'avais jamais observé. Je glisse en redescendant de l'escabeau et me prend un gadin : heureusement sans mal pour le dob mais assez douloureux pour mon genoux ! Le Quickfinder est tout embué lui aussi mais au moins je peux l'essuyer avec mon chiffon à lunettes car la vitre sur laquelle se projette la mire n'est pas aussi fragile que la lentille du chercheur optique...mais je dois maintenant passer un coup de chiffon dessus toutes les 5 minutes ! J'ai laissé le 24mm sans surveillance et il est mort lui aussi ! Il me reste le 28mm pour le grand champ et la recherche mais ça me gonfle de devoir passer du coulant 2" au 1,25" régulièrement. Je décide de tenter une seconde NP dans la même constellation, NGC 7139, mais, au passage, je fais un petit arrêt sur NGC 7129 pour comparer avec la vision de la semaine précédente : cela confirme la grande amélioration de la transparence entre les deux soirées ! Les nébulosités autour des étoiles de l'amas sont très facilement visibles alors que je ne les avais qu'à peine soupçonnées la dernière fois ! Bon, ça casse toujours pas des briques : l'amas est toujours aussi peu intéressant même avec ses 4 ou 5 étoiles nimbées d'un faible halo nébuleux ! Je passe donc à la NP qui ne se trouve pas bien loin, NGC 7139...Ben je la cherche encore !! Pas trouvée même après de longue minutes à arpenter la zone au 28mm ! J'abandonne car ça devient galère...Je retenterai une autre fois. Je pars à la recherche de quelques amas que j'avais délaissés ou oubliés la semaine précédente comme NGC 7510 par exemple...mais je fais "chou blanc" !...quelque chose cloche ! Je passe rapidement sur M52 et je constate qu'il apparait bien fade et ne ressort pas bien...C'est une vision assez terne de ce pourtant très brillant amas ! Bon, pour en avoir le coeur net, je jette vite fait un coup d'oeil à Saturne : je vois bien la planète avec ses magnifiques anneaux mais là aussi c'est une vision atténuée et bien fade! D'ailleurs elle apparaît presque grise, sans nuances, comme si j'utilisais un filtre polarisant ! Allez ! J'éclaire avec mon briquet l'intérieur de la cage du secondaire et je constate, comme je m'y attendais, que le miroir est complètement recouvert de buée !! Fini le CP ! J'avoue que, un bref instant, j'ai caressé l'idée de tirer une rallonge depuis la grange et d'aller chercher le sèche-cheveux de Madame JCCO...mais je me suis vite ravisé en imaginant la tête de ma chère et tendre, réveillée en sursaut, me découvrant au milieu de la nuit en train de farfouiller dans le placard de la salle de bain attenante à notre chambre !! Ce qui est marrant, c'est que les planètes sont tellement brillantes qu'on peut encore les observer avec un secondaire tout embué : j'arrive encore à choper des détails dans les bandes nuageuses de jupiter à 320x ! Bon, je range vite fait la valise, les cartes, la table et la chaise. Je laisse le 450 dehors...Il aura le temps de bien sécher au soleil avant que je le plie le lendemain Je suis super content de cette magnifique soirée même si la séance a dû se terminer prématurément : pas beaucoup d'objets observés mais de sacrées belles images gravées sur la rétine avec ce ciel de compet ! C'était certainement ma dernière séance pour cette lunaison vue la météo annoncée pour les jours à venir. RDV d'ici quelques semaines, si les conditions sont bonnes, pour un prochain CROA d'automne. Merci de m'avoir lu, JC1 point
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Bonsoir à tous !! Je vous propose ma version de la nébuleuse de l'Iris (NGC7023) dans Céphée. Il s'agit de mon plus gros projet à ce jour. J'ai passé 3 nuits dessus (du 7 au 9 octobre dernier) Et j'ai bien fait car j'ai du jeter la moitié d'une nuit à cause de nos amis les nuages. Après des tests d'autoguidage, je suis partie sur des poses de 80 secondes. Je plutôt content du résultat car je n'ai jeté "que" 25% des poses (j'ai fait un tris sur la rondeur à 80%) Par contre niveau traitement, ça a été une vrai bataille. Pour une raison inconnue sirilic a refusé de traiter l'ensemble. j'ai donc du tout faire en manuel. Rajouter à ça une série de flat ratée (ne pas faire de flat sur le ciel s'il n'est pas assez lumineux. Les étoiles peuvent apparaitre et le résultat est .... voila quoi) et j'ai bien galéré. Le setup : K70 et TS60/360 sur star adventurer Autoguidage FMA135 et ASI178mc 780 images de 80 secondes à 800 iso pas de filtre. Traitement sous SIRIL starnett et GIMP Pour une première, sur une cible pas simple, je suis content du résultat même si j'espérais peut être une peu mieux avec 13h de signal. Les cibles avec nébuleuses sombres ne sont vraiment pas simple à traiter. Je suis particulièrement friand de tous conseils et critiques pour ce type de projet et cette photo en particulier !! Restez couvert !!☂️0 point
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Hier soir les conditions n'étaient pas top avec de nombreux passages de nuages et un ciel un peu voilé. Mais 3 semaines sans sortir mon matériel, cela n'était plus tenable ... J'ai donc tenté quelques prises de vues sur juju, toujours avec la lunette askar 150/1057 + barow x3 et cette fois la caméra asi 533. Qu'en pensez-vous ?0 point
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Le FWS et la FAA ont donné leur accord pour le test ce vendredi, 7h heure locale, ou 13h UTC, ou 14h en France métropolitaine 🤩 Pour la bande-annonce : Espérons un vol plus long que le dernier0 point
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Bon je viens d'essayer un truc super simple, apres avoir galéré avec mon cheche.. J'ai pensé tout d'un coup aux anciens appareils photographiques et l'espèce de tissus qui recouvrait la tête pour être dans le noir pour prendre la photo... C'est ça l'idée! Avec quoi? Le plus simple, un tee shirt noir! On met le tee shirt autour de l'oculaire au niveau du col et on passe la tête dedans pour observer. C'est simple, super efficace et ça coute rien si on a un tee shirt noir 😉0 point
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Bonjour, Attention à la longueur et encombrement d' une lunette de 910 mm de focale...qui ne me semble pas très adéquate pour de l' observation terrestre ?...0 point
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Albéric, tu es aussi bon contre l'éolien que charpy contre le nucléaire : des arguments sentimentaux sans intérêt. Pourtant je n'encaisse pas l'éolien qui pourrit les nuits rurales.0 point
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Encore une fois c'est totalement mensonger d'en conclure que les eoliennes tournent au diesel. Les chiffres sont dans l'article. La companie avant 1200 eoliennes, 60 ont eu une déconnection et étaient en danger technique du fait de cette deconnection. Elles ont éte alimentées par des génerateurs 6h par jour pendant quelques semaines ( pour maintenir liquide l'huile hydraulique en la réchauffant legerement et probablement pour s'orienter face au vent et être ainsi en sécurite). Ca n'a rien a voir avec consommer du diesel pour faire tourner les pales pour faire du vent. Les puissances mises en jeu en mode ''survie'' et en mode ''production electrique'' ne sont en rien comparable. C'est vraiment l'annecdote, la rubrique ''chien écrasés'' de l'écologie. Pareil sur les 4000l d'huile perdue.... ca me rapelle un appel de total qui disait avoir une perte importante sur une cuve de toluene dans la plus grande rafinerie de france. J'ai plus les chiffres en tete mais c'etait un probleme de l'ordre de la dizaine ou centaine de m cube, sur un produit autrement plus toxique qu'une huile minerale... Et combien de litres sont aussi perdus dans chaque station service chaque jour entre les gouttes, les débordement, les fuites de cuves, l'évaporation, sans meme parler des pertes à la source au niveau des forages et allez faire un tour du cote de la cuve ''huile moteur usagée'' de votre décheterie.... le seul VRAI probleme huileux c'est l'industrie pétroliére. Certes c'est bien domage de perdre 4000l d'huile sur des eoliennes mais monter ca en épingle c'est vraiment du détournement d'attention des vrais problémes.0 point
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Oui parfaite et je m'en contente bien depuis 1985 😉 C'est l'avantage d'aucune électronique et de la remettre chaque soir dans un étui solide. Je suis assidu quand ça m'intéresse et ne change pas d'objet toutes les minutes. Le marathon de Messier c'est pas pour moi...0 point
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Super!!!!... La lulu doit être de bonne qualité... et l'observateur est déjà assidu....0 point
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Là, je te donne ma solution: tu mets la zique à fond!🤘 a+ Serge0 point
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Des dizaines d'années durant, j'ai observé le CP sous des ciels merveilleux. Revenu en France, j'ai mon domicile dans un endroit fort convenable (acquis pour motif astro). Et j'ai redécouvert après quelques années, l'astre ultime , celui qui pourtant me mit le pied à l'étrier : la Lune . Exit les tonnes de carburant pour se déplacer tout comme le simple tourisme (ne m'en voulez pas s'il vous plait) , j'ai décidé de ne plus me contenter de voir ; je veux comprendre (chez moi, modeste ouvrier, il y a de l'ouvrage). J'ai toujours mon joli ciel mais comme j'ai l'occasion parfois de le dire : j'observerai notre satellite, avec succès, au jardin des plantes ou place de Jaude. Comprenez ce que vous voudrez mais de ma fenêtre , on observe en fonction de son ciel d'abord, de ses envies ensuite. Sinon on s'adapte (souvent, c'est déplacement).0 point
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quel modèle? La barlow est possiblement trop loin dans le PO, du coup ton foyer n'est pas atteignable. Essaies en reculant la barlow.0 point
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Bonjour deja, tu es surexposé!!! Tu devrais diminuer le temps de poses si tu vises Jupiter. Mais le plus simple serait de viser une étoile pour dégrossir ta mise au point0 point
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Ok c’est parlant tout ça la petite 72ed pour les randonnées et l’utilisation en terrestre. la 80ed usage orienté astro à domicile et un peu de terrestre ça et là en même temps ça me parait bien logique tout ça la 72ed possède de série le ds et la valise ce qui est intéressant pour le transport pour moins de 400€ (mon budget max neuf) je n’achète plus d’occasion les télescopes pour une raison personnelle..0 point
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Salut les amateurs de planètes ! Je suis vraiment à la bourre, c'est sûr... Mais nous y voilà quand même... Donc voici 3 images de la fameuse nuit du 1er octobre, avec de bonnes conditions de stabilité. C'est fait avec mon 300 Orion Optics 300/1600 sur monture LXD 750. Cliquer sur les images pour les afficher à taille maximale. Le détail est indiqué sous chaque image. A noter, elles sont réduites à 90% Albéric0 point
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- Docteur , je viens vous voir parce que j'ai des pertes de mémoire ! - Depuis quand ? - Depuis quand quoi ?0 point
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Lune du 8 novembre 2023. Surface éclairée : 25 %, lunaison : 24,5 jours Matériels utilisés canon 1000D et lunette perl étudiant 50/600. Vitesse : 1/200ème, fd 19,44 et 1600 ISO Moon of November 8, 2023. Illuminated surface: 25%, lunation: 24.5 days Materials used canon 1000D and perl student 50/600 telescope. Speed: 1/200, fd 19.44 and ISO 1600 #romanssurisere #astronomie #astronomy #astrophotographie #astrophotography #lune #moon Voilà une nouvelle série de photos de la lune.0 point
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Saint-Lys, Saint-Lys du Marion parlez, Ah Saint-Lys à vous, Bienvenue Saint-Lys bienvenue terminé ...0 point
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Elle ne sera pas à l'abri. Dès qu'il y aura un coup de vent, ne serait-ce qu'une rafale à 60 km/h, l'ensemble est balayé du toit et se retrouve par terre avec les panneaux bois cassés...0 point
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Alors je ne sais pas où tu vis mais pour te dire moi je ferais des nuits blanches et des journées d'angoisses à l'idée de laisser mon telescope dehors sur le toit en cas d'intempéries... Même malgré des trucs soi disant étanches je ne serais vraiment pas en confiance. Mais c'est mon côté stressée de la vie 😂 jai peut être tort mais ça vraiment jamais je ne le ferai. Même ta monture sans abri juste sous une bâche... Franchement je ne sais pas...0 point
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Amha c'est tout à fait exact, on a tendance à orienter vers le télescope/lunette qui nous donne satisfaction.....en devenant vite hors sujet ( par rapport à la question, à l'age, au budget etc...) Bien, bien compliqué le choix d'un premier instrument......Un principe pour moi, ne pas investir trop mais prendre du bon matériel ( bon rapport qualité prix, se limiter en accessoires si cela dépasse le budget initial)pour pouvoir le revendre au cas ou il ne corresponde pas aux conditions d'observations.... Acheter d'occasion à un astronome amateur, ou dans un club, ( éviter LBC pour un premier achat si on est vraiment débutant,) on a alors, le conseil, et entre passionnés, il y a peu de risque de tomber sur une daube.0 point
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Salut, Une 80ED (SW/Orion), c'est bien et passe-partout. Mais si en plus du budget de la 80ED tu rajoutes la même somme (au minimum) pour une monture azimutale, un RC à miroir et des oculaires adaptés. Donc une 80ED, c'est le budget du tube x2 pour les accessoires. Bon ciel.0 point
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Ce n'est pas du populisme, non ! Ca n'est plus du populisme à partir du moment où le politique incriminé fait le contraire de ce qu'il prône... C'est juste confronter l'idéologie aux faits réels... Albéric0 point
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Tu m'étonnes ! Aller je propose de planter des éoliennes de 150 m de haut à l'Elysée, à Matignon, du côté de l’Assemblée Nationale et juste à côté des résidences principales, secondaires de nos politiciens et politiciennes "verts" . Ca devrait leur faire grand plaisir, non ? Ils seront d'accord, j'en suis certain, c'est pour sauver la planète.... Albéric0 point
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Un petit dob de table, un tabouret, un petit Tupperware avec3 -4 oculaires et un laser de collim. Le pied! Vite sorti, vite rentré, ça se déplace dans le jardin pour éviter les arbres etc en fonction des cibles . On observe assis. On pose la boîte d’oculistes par terre à portée de main. J’adore!!0 point
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Bonjour, En triant la bibliothèque au boulot je suis tombé sur ce petit livre : Assez ancien mais fort intéressant, et très bien écrit. A la page 32, il est question de déterminer l'heure locale en regardant la position de la Grande Ourse voici les explications : J'ai essayé avec le 4/05 et une "aiguille" affichant 03h00 sur le "cadrant" 24h. La date est 1 mois et 28 jours après le 6 mars donc 3h52 à retrancher (1mois x2 + 28jours x4) donc 3h - 3h52 = -0h52min, auquel j'ajoute 24h : 23h08 temps local, donc 01h08 (+2h heure d'été) temps légal, et ça colle, la gymnastique mentale n'est pas facile (additionner et soustraire des heures, avec les changements de signes etc, quand on n'est pas matheux c'est pas simple) mais c'est un bon exercice ! Du coup, cela me fait penser à ce que l'on m'a dit lors de mon (bref) passage à l'observatoire des baronnies provençales (et que je n'ai pas compris), concernant la coordonnée d'ascension droite (en heures-minutes donc). On nous a montré un moyen de déterminer, connaissant cette coordonnée (AD), l'heure réelle (locale/légale du lieu d'observation) de culmination d'un objet. Or depuis, je n'ai pas pu retrouver ce calcul et j'aimerais bien le mettre en pratique un peu comme celui que je viens de vous présenter. Si ça parle à quelqu'un, je veux bien un peu d'aide 😇0 point
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Salut à tous, Le voyage numéro trois est disponible... Rendez vous dans la grande ourse pour naviguer dans la zone de M81 et M82 ! Bon ciel à tous0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00