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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 12/06/23 dans toutes les zones
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SH2-164 C’est sur une région bien peu imagée car peu lumineuse que nous avons jeté notre dévolu… (Wikipedia)Sh2-64 (également connue sous le nom de Westerhout 40, W40 ou RCW 174) est une nébuleuse en émission visible dans la queue de la constellation du serpent. Bien que peu connue, c'est l'une des régions de formation d'étoiles les plus proches du système solaire. Sh2-64 est situé dans la partie orientale de la constellation, à environ 3° nord-est de l'étoile η Serpentis et à une très courte distance angulaire de l'étoile 60 Serpentis (en), de magnitude apparente 5,39. Sa lumière filtre à travers une fente dans le grand complexe de nébuleuses sombres qui composent le Rift de l'Aigle, au point qu'aucun champ d'étoiles de fond n'est observable à proximité. À cause de ce filtre, la nébuleuse ne peut être observée optiquement avec aucun instrument amateur. Cependant, elle peut être identifiée sur des photographies à longue exposition prises à l'aide de filtres appropriés. La période la plus propice à son observation dans le ciel du soir se situe entre juin et novembre. N'étant qu'à 2° de l'équateur céleste, il peut être observé indistinctement depuis toutes les régions peuplées de la Terre, ne restant invisible que depuis les zones entourant immédiatement le pôle nord. C'est une grande région H II qui fait partie d'une importante région de formation d'étoiles, associée à la source radio brillante W40, d'où proviennent des étoiles de grande masse. Malgré cela, en raison de son fort assombrissement par le Rift de l'Aigle, elle est restée une région très peu étudiée pendant des années. La nébuleuse reçoit le rayonnement ionisant de certaines étoiles jeunes et massives de classe spectrale B1V, désignées par W40 OS1a, W40 OS2a et W40 OS3a, toutes entourées d'un disque protoplanétaire dense1. Les estimations sur sa distance sont d'environ 400 pc (∼1 300 al)2 ou au plus 600 parsecs (1 960 années-lumière)1. Dans les deux cas, l'emplacement de la nébuleuse tombe sur le bord intérieur du bras d'Orion, en correspondance avec les nuages denses de poussière non éclairée constituant le Rift de l'Aigle. Les études de rayons X menées par le télescope spatial Chandra ont permis d'identifier 194 sources de rayons X presque certainement associées à W40, coïncidant avec autant de jeunes objets stellaires. Les étoiles de la pré-séquence principale identifiées dans cette région sont au nombre d'environ 600 et sont regroupées en un très jeune amas ouvert de forme sphérique profondément immergé dans les gaz du nuage et fortement obscurci par les bancs de poussière du Rift. L'âge des composants de cet amas ne dépasserait pas un million d'années, bien que celui-ci puisse contenir des étoiles d'âges différents. En particulier, on pense que 6 de ses 8 étoiles les plus massives font partie d'une deuxième génération plus jeune, ce qui conduit à l'hypothèse d'un prolongement des processus de formation des étoiles de grande masse3. Les composants stellaires identifiés par rayons X ont une masse supérieure à 0,2 M☉. Parmi ceux-ci, 90 % ont une masse inférieure à 2 M☉ et 7 ont une masse supérieure ou égale à 10 M☉. L'étoile la plus massive est W40 OS2a, avec une masse de 10 M☉3. Les trois étoiles ionisantes forment une petite association OB. Certaines des sources de rayonnement infrarouge les plus remarquables de la région ont été répertoriées par l'IRAS et portent les initiales IRAS 18288-0207 et IRAS 18288-01584. À celles-ci s'ajoute la source RAFGL 21775. Le noyau le plus dense de toute la région coïncide avec un nuage moléculaire catalogué comme TGU 279-P7. Il existe un peu de réflexion en avant-plan, sous la partie lumineuse, difficile à bien faire ressortir. Aucun signal n’est détecté en Vert et OIII L’image est en LHa-HaRGB Full et details Astrobin : https://astrob.in/eij7xh/0/2 points
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bonjour a tous j'ai profité d'un temps relativement clair pour imagé cette nuit. j'ai pointé ma lunette sur 2 cibles, voici la première avec la rosette. mon guidage ma une fois de plus fait des misères 😅, je devais avoir un souci au niveau de l'équilibrage et/ou une histoire de câble (alimentation de l'asiair). après de l'autre coté du méridien sur M42 ca passait beaucoup mieux. 30X180sec 82ed/l'enhance/294mcpro/avx DOF bon ciel a tous2 points
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Bonjour à tous, Nous sommes heureux de vous présenter la première image de la team NFR (Northern France Remote): Elle est le fruit d'un projet un peu fou lancé au printemps dernier lorsqu'un collègue du club astro @Micka62 m'a annoncé vouloir envoyer son matos en remote pour bénéficier d'un temps de ciel plus dégagé que ce que nous avons dans le nord. Je pensais réserver ce lointain rêve à ma retraite 😅 et puis je me suis dit que l'occasion ne se représenterait peut-être pas. On a donc décidé de mutualiser le matériel et d'envoyer une askar 107 phq à focale native (749mm)/ asi 2600 monochrome avec filtre LRVBSHO antlia/ do avec asi 220 mini/ monture EQ6-R/ eaf/boite à flats mécanique/ pegasus et mini pc mele. Grâce à cette mutualisation, j'ai pu conserver un setup dans le nord avec l'achat d'une fra 400 d'occase (j'ai gardé mon azeq6 et ma 2600 mono). Montage du matos: On a un peu transpiré pour installer les filtres dans la RAF 😅 (le prix des antlias 3nm pique un peu quand même): Il a fallu 6 mois de préparation, de prise en main logicielle et matériel avant d'envoyer notre setup en Espagne chez Pixelskies. Nous étions plutôt nomade avec nos setups respectifs dans le nord de la France (on utilisait l'asiair) et il a donc fallu prendre en main le setup avec nina/phd guiding. Une fois les tests réalisés (heureusement qu'ils se sont faits durant l'été quand je vois la météo en ce moment 😩), nous sommes passés par un transporteur pour éviter d'aller directement sur le site ( Pixelskies propose un forfait pour le montage bien moins onéreux qu'un voyage): Le matos monté là-bas début novembre: On a fait poser une petite asi 120 pour voir le positionnement de la lunette/ monture en direct même si le site est pourvu d'une all sky pour le ciel: Place à la première image! Il s'agit d'un grand classique du ciel d'automne: M33 ou la galaxie du triangle. Nous vous présentons une version L-R(H)V(O)B(O) En tout, environ 105h de prise de vue ont été faites durant le mois de novembre (en comparaison, j'ai dû sortir une nuit dans le nord 😭). Cela nous a permis une sélection des unitaires (une première pour moi car quand on vit dans le nord, on stacke tout 😆) et de ne garder que 60 heures. La full: Quelques crops de régions intéressantes: La full visible ici en meilleure qualité: https://www.astrobin.com/users/JulienCadena/ Exifs: Askar 107PHQ / Asi2600MM / Monture EQ6r Antlia 3nm Narrowband H-alpha 36 mm: 216×300,″(18h) Antlia 3nm Narrowband Oxygène III 36 mm 174×300,″(14h 30′) Antlia Blue 36 mm: 80×180,″(4h) Antlia Green 36 mm: 80×180,″(4h) Antlia Red 36 mm: 80×180,″(4h) Antlia Luminance 36 mm: 368×180,″(18h 24′) A bientôt pour une nouvelle image, Julien Cadena et Mickael Coulon2 points
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IC 443 également connue sous le nom de nébuleuse de la méduse est un rémanent de supernova situé dans la constellation des Gémeaux. De taille angulaire importante (soit une fois et demi le diamètre apparent de la Lune), et assez lumineux, il fait partie des rémanents de supernova les plus étudiés, une des raisons étant qu'il représente un prototype de rémanent interagissant avec le milieu interstellaire environnant. Sa distance est d'environ 5 000 années-lumière de la Terre. Re-process : Antlia ALP-T Ha & OIII 5nm / SII / Optolong L-Pro : 108x300" (Ha & OIII), 31x300" (SII) : ZWO Asiair Pro : Askar FRA600 f/3.9 : ZWO ASI2600Mc Pro : iOptron GEM45 : ZWO ASI290MM Mini & guide scope Omegon 50mm : Siril - PixInsight - Photoshop : Env. Lyon : Bortle 5.9 : 19-20/07 et 10/08 2023 Le lien vers la full https://flic.kr/p/2og8UMQ IC443_108x300s_HAO_31x300s_SII_07-08-09022023_FB.tif2 points
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Bonjour a tous Continuant mes essais avec la ZWO120MM Mini faute de mieux pour l instant ! Voici un essai prise avec le C8 (orange des années 80) et une barlow televue 2,5X J ai eu aprés un début de soirée avec beaucoup de turbulence qui c est ensuite bien amélioré et meme devenir exellent avec une image qui se "fige " par moment . Bon il y a encore du travail .... Bons cieux a vous1 point
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Ah... celle là... elle vaut le détour. Je sais pas pour ceux qui sont habitués des images de Saturne mais elle me plait bien. Réalisé le 9 septembre 2023. Issue de 13 vidéos de 90 sec. J'ai gardé 18% des meilleurs clichés. Le traitement s'est fait sous AS!3, Astrosurface, Winjupos et une petite touche sous Lightroom. Le plus compliqué est de bien traiter l'image et de trouver la bonne recette, la plus équilibrée. Là... rien que de voir la division d'Encke (le petit liseré noir de chaque côté des anneaux)... ben je peux presque dire que c'est ma meilleure Saturne ? A force d'avoir les yeux sur l'écran, je sais plus mdr Je crois que j'ai eu la main lourde sur les curseurs non ? Ritchey Chrétien 254 mm sur EQ6 (à peine surchargée), ASI290MC + ADC Zwo + Barlow 3x Televue. Original après traitement de base Traitement 1 Traitement 2 Traitement 31 point
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il faut coller l'axe des leviers pour ne pas les perdre tout simplement. 2 clous suffisent pour faire de l'anti-rotation des triangles , je ne parle pas de la tete des clous mais de la partie en dessous . Yannick1 point
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Hello, Quelques nouvelles : ça avance, à vitesse d'escargot mais le chantier progresse. Le barillet est quasi terminé 😀👍. Des photos : D'abord les leviers, faut faire rentrer des tubes carrés (pleins car pas trouvé de creux) de 6mm dans du 8mm, ponçage sportif à la lime Quand la barre a bien maigri ça rentre tout seul ou presque Plus qu'à repercer à 3mm et insérer un p'tit tube laiton de 2mm de diamètre interne pour les axes L'excès est limé et j'ai confectionné un axe avec un tube en laiton de diamètre extérieur 2mm ( mais il paraît qu'il faut de l'acier alors je peux encore changer) Ça tourne super bien, très fluide. Perçage d'un trou pour loger la bille de 5mm, à 3,2mm de profondeur. J'en déduis que ça doit dépasser de 1,8mm... Puis charcutage de l'extrémité de la barre et confection d'un écrou à insérer, avec une tête bombée. Ça c'est fait 🙂. Reste à insérer des bouts de tube en laiton dans la planche. C'est vrai que ça se coupe vachement bien au cutter 👌. Les pièces sont rayées et collés à la super glue Et ce qui dépasse est meulé à la Dremel Plus qu'à faire la place pour les leviers. J'ai percé au forêt de 8mm et pas 9 pour garder une toute petite marge au cas où le trou ne serait pas centré La scie à chantourner a repris du service. Pour creuser les emplacements des axes j'ai préféré transformer un p'tit tournevis en ciseau à bois, j'ai pas été convaincu par la Dremel sur ce coup là Le levier doit dépasser de 1 mm à l'horizontale, ça m'a l'air bon au bout d'un fastidieux moment de creusage de la planche 😓 Ça commence à ressembler à qqch, mais il manque les triangles Pour ça j'ai sorti la grosse plaque d'alu épaisseur 2mm et contre percé à l'aide du barillet pour avoir les trous exactement avec les mêmes écarts Y'a encore de quoi faire quelques Strocks de plus 😄 Découpage grossier puis précis des triangles à la scie à métaux Et voilà un barillet complet 😉 J'ai percé les triangles au forêt 2mm, je trouve que les clous ont un peu de jeu... jsais pas si il faudrait un trou plus ajusté au diamètre des clous 🤔. Si besoin je decouperai des bouts de tube laiton de 1mm de diamètre interne pour réduire les ouvertures. Et pour le plaisir, et aussi pour vérifier que ça fonctionne et que les hauteurs sont bonnes un p'tit test avec le vrai faux miroir en CTP Le forêt de 5mm passe tout juste, et frotte légèrement à l'opposé des vis. Mais peut être qu'avec la colle époxy sous les billes ça va rehausser juste ce qu'il faut ...🤞 Voilà pour l'instant rien n'est collé j'attends validation avant. Petites questions au passage : les axes des leviers faut les coller ou pas ? Parce que c'est écrit que oui mais j'ai lu dans une discussion que non car le poids du miroir suffit à caller tout ça... Et aussi je lis partout qu'il ne faut conserver que deux pointes sur 3 d'un triangle : on parle des angles des triangles ou des pointes des clous ? Et pourquoi ? Voilà si tout est OK je m'occupe des cales, taquets et loquets demain, et aussi des coins de la caisse. À bientôt ! Alexis1 point
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Pour les pièces pas trop grande l'utilisation de la machine de mise sous vide alimentaire, ça marche très bien. Yannick1 point
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Slt ! Alors oui je vais tester sur les galaxies quand je pourrais… au vu des quelques vidéos qui traînent. Les résultats sont très encourageants sur des galaxies comme le triangle où on voit bien l’hydrogène ressortir également Andromède. là ce soir j’ai un ciel de dingue comparé à ce qui était prévu ! jei tente la nébuleuse du têtard IC 410. 1 min à 3200 iso … Il est vrai que je veux plus tenter de faire les nébuleuse en priorité avec ce filtre dans un premier temps 😜 Mais je testerai sur les galaxies, promis Bonjour, alors le traitement tout ce qu’il y a de plus basique sous SIRIL 👌 j’ai traité l’image « classiquement » en rvb… mais c’est vrai qu’il serait intéressant de séparer les couches 👌 encore une fois, je testerai ça pour voir la différence quand j’en aurai le temps ! voila1 point
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Bravo Mon Cher Ney, le Nantais, J'ajoute un petit supplément : tu aurais pu indiquer que la réforme dite "grégorienne" du pape Grégoire XIII fut décrétée par la bulle "Inter Gravissima", signée le sixième jour des calendes de mars de l’an 1581 (24 février 1581), dont les deux points principaux furent : * suppression de dix jours dans l'histoire du monde : le jeudi 4 octobre 1582 (calendrier julien) sera suivi du vendredi 15 octobre 1582 (calendrier grégorien) ; * suppression du caractère bissextile à trois années séculaires (c'est-à-dire dont le millésime se termine par deux zéros) sur quatre. En pratique si les deux chiffres de gauche du millésime étaient divisibles par quatre (ainsi 1600, 2000 et 2400) l'année séculaire continuerait à être bissextile comme dans le calendrier julien, mais s'ils ne l'étaient pas (ainsi 1700, 1800, 1900 et 2100) l'année n'aurait que 365 jours et non 366 comme dans le calendrier précédent. Le deuxième point de la bulle "Inter Gravissima" ne posa aucun problème… En revanche, le premier point fut unanimement rejeté par tous les états du monde, sauf trois : l'Italie, l'Espagne et le Portugal, et c'est tout !… Donc seulement les trois états très catholiques d'Europe, et leurs colonies. Tous les autres pays, les pays de rite orthodoxe, de rite protestant, et les pays mixtes comme la France n'ont pas suivi le souverain pontife. Pour eux le 4 octobre 1582 a bien été suivi du 5 et non du 15 octobre 1582... Les clercs catholiques de France étaient bien ennuyés, certes le Saint-Père leur demandait d'avancer brusquement le calendrier de 10 jours, mais non le roi de France qui était leur supérieur hiérarchique direct en vertu du Concordat de Bologne en 1516. Quand allaient-ils célébrer Noël ? le 25 décembre ou dix jours plus tôt ? Fort heureusement une ordonnance du roi de France Henri III du 3 novembre 1582 décida que le lendemain du lundi 9 décembre 1582 serait le mardi 20 décembre 1582. Cette année-là l'Avent n'eut donc que deux dimanches au lieu des quatre habituels et Noël fut célébré dès le 15 décembre, selon le calendrier julien. Avec le ralliement de la France la réforme grégorienne gagna du terrain, d'autres états s'y rallièrent peu à peu : aux Pays-Bas les provinces catholiques le firent le lendemain du 14 décembre 1582, où ils fêtèrent Noël ; en 1584 pour les provinces catholiques de Suisse et d'Allemagne ; en 1586 en Pologne et en 1587 en Hongrie. Les provinces protestantes d'Allemagne, des Pays-Bas et de Suisse n'adoptèrent le nouveau calendrier qu'en 1700, et enfin en 1752 ce fut le tour de la Suède et surtout de la Grande-Bretagne et ses colonies. Donc les États-Unis d'Amérique, indépendants depuis le 4 juillet 1776, n'ont toujours connu que le calendrier grégorien, dont ils sont le pays le plus ardent défenseurs. Ce n'est qu'entre 1918 et 1927 que les pays de rite orthodoxe (Bulgarie, Grèce, Russie, Turquie, Yougoslavie) ont adopté le calendrier grégorien, mais uniquement pour les usages civils. Pour les fêtes religieuses ils conservent leur vieux calendrier julien. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, en 1945, les autres états du monde (les états asiatiques, africains, arabes et Israël) ont eux aussi adopté, plus ou moins officieusement, le calendrier grégorien pour leurs relations commerciales et diplomatiques. Il est bon de le savoir, car tout projet de réforme de calendrier (ainsi le fameux "calendrier perpétuel" cher à Camille Flammarion), risquerait d'entraîner de nouveau une grave cacophonie dans la manière de compter les jours au niveau des différents pays de la planète. Il a fallu plus de trois siècles pour que le calendrier grégorien soit reconnu comme calendrier international, SURTOUT NE BRISONS PAS CE TRÈS FRAGILE CONSENSUS INTERNATIONAL ACTUEL. La place est libre pour une nouvelle énigme. Roger le Cantalien.1 point
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Bonjour Roger, C'est bien de l'Avent du calendrier chrétien romain que j'ai parlé dans ma réponse. Aujourd'hui nous ne connaissons que son déroulement réformé par le Concile Vatican II qui s'est tenu au milieu du XX ième siècle (c'est si loin déjà !). C'est maintenant le temps de l'attente de ce qui va advenir. Avant cela la période de l'Avent était également comme le Carême une période de jeûne et d'abstinence, on ne se mariait pas à ce moment là par exemple. Pour répondre à la deuxième partie de l'énigme, c'était en 1582, année où nous sommes passés du 9 au 20 décembre le temps d'un tour d'horloge. C'est à ce moment là que dans le royaume de France fut mis en place le passage du calendrier julien au calendrier grégorien toujours en service. Pour cela il s'avérait nécessaire de "rattraper" 11 jours que nous avions pris comme retard eut égard à la position de la Terre sur son orbite et se recaler avec les saisons. Le mois de décembre ayant été amputé de presque deux semaines, disparurent avec elles deux des quatre dimanches de l'Avent. Il n'y en eut donc exceptionnellement que deux cette année là, le Levavi et le Rorate. Accessoirement c'est aussi à cause de cela que la révolution russe dite d'octobre se célèbre maintenant le 1er novembre. En effet au moment de ladite révolution en 1917, le calendrier julien, toujours imposé par l'Église orthodoxe était encore en service officiellement. Avec 15 jours de retard, les événements révolutionnaires eurent lieu en octobre du calendrier julien et maintenant célébrés le 1er novembre du calendrier grégorien, le communisme ayant en apparence laïcisé l'État, mais en apparence seulement. (poursuivre serait bien sûr hors sujet et charte). Ney1 point
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Pour les personnes intéressées par le sujet, le suivi des satellites Starlink en direct, ici: https://satellitemap.space/?constellation=starlink#1 point
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Bonjour tout le monde ! Bon, en ces temps de disette de ciel clair...j'avais eu un créneau le 22-11 pour tenter la nébuleuse de la Méduse, une partie de la nuit dégagée mais avec un voile souvent présent. J'ai donc sorti le combo FRA300 / HEQ5 / QHY183M. Petite session Ha + R/V/B. Malheureusement, les nuages + rafales de vent ont eu raison de mon temps d'intégration initialement prévu autour de 80x300...descendu à 35x300" après élagage Malgré tout, les images conservées ne sont pas d'une résolution top mais j'ai fait avec. Couches RVB autour de 15x90" chacune au finale (pas suffisant non plus...) Gradient assez présent, y compris sur la Ha, de façon inhabituelle (mais nuages passant oblige + Lune) Pré-traitement Siril/Sirilic puis tri à la fin manuel de la séquence... Traitement Pix: Alignement des toutes les images entre elles. Traitement de la luminance en Ha d'un coté : BlurX -> GraXPert AI -> NoiseX -> HistoTransform Traitement halos de deux grosses étoiles(cf plus bas) Un peu de Curves StarX (etoiles + unscreen) Masque Luminance ACDNR pour accentuation ShrapMask sur certaines zones de transition Réduction légère du bruit Pixel Math pour Ha finale Pour le RVB: Combinaison RVB Solver + SPCC Extraction R/V/B LinearFit avec la Ha (dupliquée brute) Pixel Math pour assemblage HaRVB BlurX pour halos NoiseX HistoTransform Traitement halos (cf plus bas) Convolution LRGBCombination Edit : j'ai fait une réduction méthode v3 de Bill Ajustement PS sur l'image LHaRVB Pas pu faire grand mieux en terme de résolution mais suis content de l'avoir sortie quand même. N'hésitez pas pour vos retours/critiques, comme d'hab ! EDIT : Sections "halos Lien en référence -> https://digitalstars.wordpress.com/2019/10/27/tutorial-how-to-eliminate-star-halos-in-pixinsight/ Bon, du fait des couches de brumes en outre, j'ai récupéré d'affreux halos sur les deux grosses étoiles J'ai trouvé une méthode sur le net (il faut que je vous poste le lien), avec une technique de masquage "disque". C'est pas "magique" mais on limite les dégâts ! Ci-dessous avant/après sur l'étoile de gauche, pour ceux que ça intérresse (deux halos au départ) (Traitement de celle de gauche )1 point
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NGC 2736 – Pencil nebula NGC 2736 est un rémanent de supernova située dans la constellation des Voiles à environ 815 années-lumière de la Voie lactée. C’est la partie la plus Lumineuse du grand rémanent des Voiles La longueur de la nébuleuse du Crayon est d'environ 5 années-lumière et elle est une partie du rémanent des Voiles. Ce rémanent est situé près du pulsar des Voiles, pulsar provenant de la supernova qui a donné naissance au rémanent il y a environ 11000 ans. La luminosité du rémanent provient de régions denses de gaz qui sont entrées en collision avec l'onde de choc de la supernova. Au fur et à mesure que l'onde de choc se déplace dans l'espace de droite à gauche dans l'image du télescope spatial Hubble, elle compresse les gaz en les chauffant. Initialement, les gaz sont chauffés à des millions de degrés, mais il se refroidissent ensuite et ils émettent alors de la lumière. Les couleurs des régions de la nébuleuse fournissent des renseignement sur le processus de refroidissement. Certaines régions sont encore si chaudes que les émissions sont dominées par les atomes d'oxygène ionisés, qui brillent en bleu sur l'image. D'autres régions se sont refroidies davantage et elles sont visibles en émettant du rouge dans l'image. Ces émissions proviennent des atomes plus froids d'hydrogène. La couleur indique donc la température du gaz. La petite tâche rouge sous la nébuleuse est PK 266 +00.1, après avoir été prise pour une candidate NP c’est finalement une étoile à émission de ligne (surement Ha) : Ve 6-22. Le traitement fut assez difficile car nous avons décidé de faire une image en utilisant les 3 couches du SHO et les 3 couches du RGB et les gradients furent difficiles à gérer. Nous avons effectué de nombreux essais de traitements san sen être réellement satisfaits, cette dernière version ne nous satisfait pas pleinement mais nous avons décidé de nous arrêter là. La Luminance est issue des données Ha-OIII et Luminance. Les couches NarrowBand ont été ajoutées sous Photoshop au RGB. Full & details Astrobin : https://astrob.in/mllv9a/C/1 point
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LDN 858 Nous voilà dans une vaste zone de nébuleuses sombres dans la constellation du Cygne. Certaines cibles bien connues se trouvent à proximité, comme la nébuleuse sombre 858 de Lynd, mais également la nébuleuse lumineuse 174 de Lynd, la nébuleuse de la Tulipe (Sh2-102), à signaler sur sa droite l'onde choc bleuâtre générée par Cygnus X1 (le premier trou noir identifié) et Wolf-Rayet 134, le tout au milieu d'une nébulosité merveilleusement complexe du Cygne. Données fournies par la plateforme d’imagerie à distance "Telescope Live", Takahashi FSQ-106ED situé à l'Observatoire d'astronomie IC (Espagne.) 25/08, 23 et 29/09 2023 30x300" Ha, 30x300" SII, 30x300" OIII Traitement Siril, Pixinsight, Photoshop La version full ici https://www.flickr.com/gp/btc-photographie/UAUiJe3EiV1 point
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Quelques propositions à des tarifs différents : 25mm : Artesky 25mm 60° : 78e explore scientific 24mm 68° : 170e explore scientific 24mm 82° (2” !) : 286e (apm 20mm 100° : 309e) 10-12mm : artesky 12mm 60° : 78e (hyperion 10mm 68° : 130e discutable…) explore scientific 11mm 82° : 170e (apm 9mm 100° : 279e) 5mm : artesky 5mm 60° 78e explore scientific 4,7mm 82°: 165e (apm 5mm 110° : 279e) je serais plutôt d’avis de rester en 1,25" pour garder un budget et un poids raisonnable. De toute façon un 24mm 68° offre déjà un champ réel énorme sur ce télescope1 point
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Si on part sur 3 oculaires, les focales de 25(24)mm , 10mm et 5mm sont une bonne base de réflexion. (pupilles de sorties de 5, 2mm et 1mm pour des grossissements allant de 40, 100 et 200x. le champ : plus c’est large mieux c’est dans l’idée mais c’est pas impératif. 60° est un champ devenu très banal mais déjà pas mal confortable. 68° c’est top ! Il n peut augmenter à 82 voire 100° mais il ne faut pas le faire au détriment de la qualité. Pour le 24/25mm on est limité à 68° si on veut rester en 1.25” ( pour le porte oculaire et pour les filtres) en gammes : les explore scientific 68° et 82° sont excellents. Les artesky N-ed et équivalents 60° sont très bien surtout pour les focales plus petites que 25mm sur un télescope ouvert à fd5. les apm 100° sont superbes mais ils sont plus lourds. Sur une monture équatoriale çà doit pas poser trop de soucis.1 point
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Salut tous, Petit retour sur l'observation de cette éclipse un peu hors norme. Pour rappel, il s'agit d'un problème à trois corps. Les deux amants enlacés, et le mari jaloux, qui observe la scène de loin. L'étoile est donc triple et composée, à la base, d'une binaire de type contact produisant des variations ellipsoidales de faible amplitude (0,06mag), avec une troisième étoile orbitant "au large" et susceptible de produire épisodiquement des éclipses plus profondes. Ce n'est qu'en 2013 qu'une telle éclipse, qui était supputée depuis longtemps, a été observée pour la première fois, presque par hasard. En tout cas, sans réelle systématisation. Ces éclipses sont assez profondes et faciles à observer (0,5 mag) et ont lieu par paires : éclipses primaire/secondaire, séparées par quelques mois, le schéma se répétant ensuite identique à lui-même tous les 704 jours. Eclipses complexes à prédire et à analyser, aux courbes tordues et toujours différentes, car la configuration change sans cesse. A chaque occurrence, c'est une semaine d'intensité et de suspence, pour l'observation d'un phénomène qui n'est pas totalement cerné, qui s'étale sur trois jours pleins. La période est encore incertaine, et l'on ne sait pas véritablement quand va débuter l'éclipse, ni quelle en sera la profondeur, même si la prévision est globalement bonne désormais. Il y a souvent un décalage de plusieurs heures et quelques dixièmes de magnitude. Le début de l'éclipse sera-t-il visible depuis l'Europe, ou plutôt depuis les Amériques ? Il n'y a, hélas pas d'observateurs avérés dans la sphère Asie-Pacifique. Qu'en sera-t-il de la fin ? Les observations corroboreront-elles la courbe présumée ? Aura-t-on seulement un peu de ciel ? J'observe les éclipses de b Per depuis 2015 ; ma petite contribution de colibri, quand ça veut bien question météo. Cela se produit systématiquement en hiver ou en automne, même si, forcément, un lent décalage dans le temps a lieu, qui ramène progressivement le phénomène de l'hiver vers l'automne, et dans un futur encore lointain, le ramènera de l'automne vers l'été. En jeu : la caractérisation des étoiles de ce système à trois corps, et l'amélioration des orbites. Cette année, au programme, caractériser le plus précisément possible le début et la fin de l'éclipse, et en particulier, confirmer ou non la présence d'un petit "dip", signature d'une ultime occultation rasante susceptible de se produire une nuit après le dernier grand creux. Bon, voilà pour la théorie et les enjeux. Assez de blabla, on passe aux actes. Actes ? Quels actes ? Ambiance. Cela fait pratiquement un mois et demi que le pays voit défiler perturbations sur perturbations, et que ses habitants ont les pieds dans l'eau. Et ce n'est guère mieux dans nombre d'autres pays en Europe. Il va falloir se battre encore une fois, comme d'habitude. La photométrie est un sport de combat. Alors on met en station, on bache, et on attend. Un tour dehors tous les quarts d'heure, histoire de surveiller l'état de la couverture nuageuse, histoire de débusquer le moindre trou dans la couette épaisse. Meteoblue n'a pas toujours la précision requise pour ce genre d'activités un peu subversives, et la nuit, on le sait bien : tous les chats sont gris et les images satellitaires IR n'ont pas grande utilité. L'éclaircie que tu vois arriver depuis un moment ne vient pas, elle passe à cinquante kilomètres de là, tandis que le nuage que tu vois là, sur l'écran ouaté de ton PC ne correspond à rien. En réalité, il existe un décalage de trente minutes entre le satellite et ton vrai ciel, et quand ça défile à 140 km/h en altitude, bien malin celui qui pourra dire quand le rideau s'ouvrira. Tes pieds dans les pantouffles, bien au chaud devant ton ordi tout gavé de nuages, quand le ciel est étoilé au-dessus de ton scope, qui attend. Alors, à la première étoile visible dans un creux du nuage, tu pointes, et tu enclenches les poses en mode auto pour la nuit complète, si possible. Réveil en milieu de nuit pour renverser la monture au méridien, ou pour bacher, selon. Pour vérifier que la bache est encore en place, aussi, certains soirs, parce qu'avec des rafales à 80 km/heure, on ne sait jamais. Tu dors moyennement, quoi. Mais c'est pour la science, alors tout baigne. Un petit bout d'observation en Espagne, rien ici, deux heures en Italie, et puis ça se bouche, relais aux States. Une soirée qui promet d'être calme en vallée du Rhône, trois heures de gagnées sur le gris, puis les cirrus qui avancent jusqu'à tout recouvrir. Meteoblue t'avait promis la nuit entière. GRRRrrr. Demain, il pleut. Couvert sur la Côte Est, là-bas de l'autre côté de la grande mare ; heureusement, en Caroline du Nord, ça passe, et ça prend le relai. Meteoblue qui t'avait promis encore, cet autre jour, une soirée correcte pour se faire pardonner de ses sautes d'humeur de la veille, t'octroyant au moins un petit morceau du gâteau pour te remercier de ta patience légendaire de photométriste mouillé. Toute une soirée rien que pour toi, le ciel, le vent et le froid mordant à moins deux (bagatelle), qui te coupe les doigts (tu n'as pas droit aux gants, ce serait hors-jeu et pas assez amusant) sous les étoiles d'hiver, moins cinquante ressenti, et puis quoi ? Le sourire aux lèvres. Te voilà contraint à trente minutes de mesures seulement, juste trente petites minutes, une éclaircie, tic tac tic tac, un poil juste derrière la fin du bleu de la fin d'après-midi, dans ces instants incertains où le jour le dispute encore à la nuit. Maigre récolte. Trente minutes seulement, avec une cible à peine au-dessus des arbres, en théorie encore trop basse sur l'horizon pour se défaire des contingences atmosphériques et être correctement mesurée, bien noyée encore dans le grand bleu, comme si le vent qui fait bouger le tube de la lunette toutes les minutes, tu as chronométré, toutes les minutes, c'est bien ça, et la présence de la Lune presque pleine à trente degrés de là, ça n'était pas encore assez pour une photométrie de précision. Meteoblue qui s'est encore planté, qui t'avait promis la soirée complète, ne l'oublions pas, la soirée complète, complète, et ne te donne à grignotter que trente minutes de bonheur. Car oui, il s'agit de bonheur à l'état pur. C'est un fait incontestable. Ce froid si intense. Tu as vérifié sur l'image satellitaire : ce soir c'est pour ta pomme. C'est toi le roi des étoiles, et t'as intérêt à pas te louper. Tes collègues observateurs en Allemagne, en Espagne, en Italie sont dans la mouise ; ça ne se dit pas, mais oui, ce soir c'est pour ta pomme. Ce sont tes observations, sinon rien. Hahaha ! Ce que l'Ego peut être faible parfois ! Chronique d'une soirée d'observations ordinaires. Cela pourrait s'intituler ainsi. C'est ce soir que ça commence. Pratiquement la soirée la plus importante, en plus. Caractériser le début de l'affaire. Quelle ironie. Dans la précipitation, tu n'as pas appuyé sur le bon bouton, et ta pose photographique, qui aurait dû stopper à 180 secondes, est encore enclenchée au bout de près de cinq minutes, tandis que tu bats le pavé pour te réchauffer les orteils. Tic tac tic tac. Trente minutes. Tu n'as que trente minutes. Tu ne le sais pas, bien évidemment, mais le couperet tombera bientôt. Fort heureusement, tu t'aperçois de ta bévue suffisamment à temps. Tu n'as non seulement pas perdu ta première pose, car, avec 300 secondes au lieu de 180, ça passe encore côté saturation du capteur, vu que tu as prévu une marge, et que l'étoile est encore très basse, et donc moins brillante, mais en sus, tu as évité la catastrophe. Imagine : une unique pose de trois heures, hors séquenceur. Aucune donnée exploitable, sous un ciel parfaitement étoilé. L'erreur du débutant ; le cauchemar ; ça t'arrivait dans les temps anciens, mais plus maintenant. Cela devient plus rare, disons. Des comètes s'en souviennent, en tout cas : images grillées, forcément. Pas de quoi être fier ni fanfaronner sur les réseaux. Ça et puis le sélecteur qui reste bloqué à 12800 iso au lieu de 100 : cuisant également, on ne peut plus. Et puis l'APN que tu n'as pas eu le temps de remettre à l'heure avant le début de la manip. La précipitation, toujours. Deux secondes de décalage. Pas méchant ; ça se compensera avec une soustraction sous Excel. Faudra juste penser à y penser. Trente minutes. Tic tac. Tic tac. Déjà les nuages reviennent sur l'horizon nord, avec ce foutu mistral qui emporte tout. Dans cinq minutes, ce sera de nouveau bâché. Au doigt mouillé. Et froid. La poisse. Meteoblue s'est encore planté, qui avait promis la soirée complète. L'aventure est dans le ciel. Dommage qu'on ne soit pas plus nombreux sur ce coup-là, tu te dis. Dommage. La prochaine fois, sûrement que ce sera mieux. Quelques mois seulement à attendre. Christophe La cible est l'étoile brillante, en haut à droite du losange. Le champ fait deux degrés de large. Une courte pose à 12800 iso, en début de séquence, pour vérification du pointage. Les autres étoiles du champ seront utilisées pour effectuer la photométrie comparative. L'image est défocalisée pour éviter la saturation du capteur. Lever de pleine Lune encapuchonnée. La photométrie est un sport de combat. Jupiter et la pleine Lune. La courbe de lumière obtenue, en V et TG (couches vertes, tous observateurs confondus - source AAVSO). On distingue assez bien la variation ellipsoidale dans la partie de gauche de la courbe, et l'évolution du phénomène, à droite. A comparer avec l'évolution prévisionnelle plus bas. La courbe brute, toutes longueurs d'ondes observées (AAVSO) Pas mal de différences entre le prévisionnel et l'observation, il semble bien, cette fois. Une image brute.1 point
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Bonjour à tous, Ce groupe de galaxies se compose de M65, M66 et NGC3628 (la galaxie du Hamburger, très photogénique, je trouve ). On commence à voir les extensions de M66 et NGC3628. Elles ne sont pas toutes seules, le champ complet ( https://telescopius.com/pictures/view/172291/deep_sky/M/65/galaxy/by-tof_astro ): 81x180s, ASI2600MC pro, TS 76EDPH f/4.5 (f = 342mm), filtre L-Pro, champ = 3°56' x 2°38' / échantillonnage = 2.26 arsec/pix, AZ-EQ6.0 point
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J'ai utilisé un process de traitement de mon cru. Pas sûr de sa pertinence. Je rencontre Tournesol lundi prochain pour un cours particulier.0 point
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J'ai capturé ça en mars 2022. Je galérais tellement avec le traitement des galaxies que j'avais laissé ça au chaud...0 point
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Un super projet !! Bravo !! Et cette première image est magnifique !! Vivement la suite !!0 point
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Bonjour, (papotage ) J'ai rencontré les mêmes "problèmes" avec la 72ED. En astro : en testant avec un renvoi coudé 50,8, certains oculaires ne "passaient" pas. En ornitho/terrestre : le redresseur peut aussi influer. Je viens de faire un test vite fait (MAP avec même oculaire, sur même cible, œuf corse ), avec ces deux redresseurs : (Images © Optique Unterlinden : https://www.telescopes-et-accessoires.fr/redresseur-terrestre-45-sky-watcher-3175-c2x30328889 & L'astronome : https://www.astronome.fr/accessoires/2748-redresseur-terrestre-baader-45-au-coulant-3175mm.html ) 1er cas : MAP à 22mm 2ème cas : MAP à 13mm Sur des instruments où la plage de mise au point est "courte", ça peut "changer la donne"... A+0 point
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J'ai trouvé mon bonheur. Si cela peut servir à d'autre, le logiciel "Carte du ciel" calcule automatiquement crépuscule astro, lever de lune et en déduit les plages de nuit noire. On peut donner n'importe quel coordonnées géographiques d'observation et exporter les données sur n'importe quelle plage de jours. Voici le lien : https://www.ap-i.net/skychart/fr/start0 point
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C'est le contraire: Sur la longue vue le foyer est un peu trop rentré pour que ça passe sur tous les oculaires.0 point
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BRAVO, il faut oser faire ce pas pour bénéficier d'une perspective de nuits claires à gogo ... Ca donne envie ... Superbe image, on attend la suite ...0 point
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Bonjour @polorider, Roger n'a pas encore validé la réponse, cependant je pense que c'est la réponse qu'il attend. Cela a été un peu la "dawa" quand même ! Car tous les États n'ont pas appliqué la réforme au même moment. il y a eu ça et là de gros conflits sur l'application de contrats. je pense à l'échéance d'une dette ou d'un remboursement. selon que le contrat avait été établi à date fixe et que cette date tombe dans l’intervalle éliminé pour le rattrapage, il y a eu bon nombre de débiteurs qui ont fait valoir que la dette était épuisée puisque la date n'existait plus. La gestion des réseaux d'abbayes aussi a eu quelques difficultés. Quand la maison mère se trouve dans un territoire en calendrier grégorien alors que plusieurs satellites se trouvent toujours en territoire à calendrier julien, cela créait beaucoup de tension entre les abbés. Pour revenir à Stellarium et finalement à tout processus qui relève d'une date ou d'un calendrier, je crois (mais cela est à vérifier) que toutes les dates antérieures au passage julien à grégorien ont été recalculées. Ney0 point
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La tête au Nord, les pieds au Sud, rien de tel pour l'astro Félicitations à cette nouvelle team qui va nous faire baver, je le sens, quand je vois le temps chez les ch'tis en ce moment0 point
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Salut, Pour le mode auto,la monture de mon CPC est toujours pointée vers l'est.Lorsque que je lance starsense auto, les deux autres pointages sont le sud et l'ouest.Pour ce dernier pointage la caméra est génée par le mur mitoyen avec le voisin.La caméra dirige la monture vers la portion de ciel accessible à peu près à une cinquantaine de degrés.Et ça depuis que j'utilise cette caméra,pas de problème. Penser à la fonction User autoalign,au fil d'une année vous rajoutez des points d'alignements,jusqu'à 10.Parmi ces points d'alignements j'ai pris 3 points entre 60 et 80°,utiles pour des pointages près du zénit.Le mode User auto align améliore grandement la précision des pointages. Voir ce post avec les interventions de Michael Swanson et Noah4x4:https://www.cloudynights.com/topic/661084-starsense-alignment-points-additional-help/page-2 Jean Louis0 point
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Bonsoir, Le faux membre louisrossi23 est précipitamment parti sous l'effet d'un coup de pied lancé d'une main sûre pour tenter d'exercer ses talents d'arnaqueur dans l'espace interstellaire. Merci de ne pas donner suite s'il vous a contacté, et merci aux membres qui nous ont prévenus. La Modération0 point
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Salut, après presque deux mois de disette j'ai ressorti le Newton sans trop de conviction la nuit de samedi à dimanche, la météo n'était pas au top et la lune bien présente mais l'envie trop forte 🙂 La galaxie NGC 1161 est une intéressante galaxie lenticulaire dans la galaxie de Persée à environ 90 millions d'a.l. qui présente un anneau de poussière bien marqué autour de son noyau. Elle forme un couple visuel esthétique avec la spirale barré NGC1660 située à environ 113 millions d'a.l. En tout j'ai pu sauver cinq heures de luminance avant l'arrivée des nuages avec une turbulence très variable donnant une FWHM de 2.3" sur la luminance et quelques voiles d'altitude. Les réflexes s'étant un peu émoussés j'ai fait une grosse boulette avec la couche rouge (poses de 25sec au lieu de 60sec) que j'ai rattrapé en mixant avec les autres... au final ça ne se voit pas trop Voici le résultat (clic droit pour la full) Une version recadrée Et enfin la luminance annotée Bonne soirée, Dan Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 ASI183mm (0,66"/pix) Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 300*60sec à gain 110, -10 °C Chrominance 25*60sec à gain 110, -10 °C par couche G et B, 25*25sec pour la couche rouge 🫢 Turbulence médiocre (FWHM médiane 2,3" après empilement), pollution lumineuse de l'IdF, lune à 60%, voiles d'altitude0 point
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Si tu parles bien de la SV406P , oui sans aucun doute ! J en ai une sur un trepied manfrotto léger , bluffante en ornitho. j ai pu observer le tout premier envol d un jeune vautour fauve en Drôme en juillet, à 60x sur son lointain perchoir 😊 Et bien plus légère et moins encombrante à mettre en œuvre qu une ed80. j ai la ts 80/560 lanthane aussi, qui est plus lourde à installer et nécessite un trepied.plus costaud ( je l avais prise pour mixte astro et ornitho). La sv ne démérite pas face à elle ( juste le champ un poil moins large, un poil...) A 60x tu as encore envie de grossir vu l image. Donne très bien sur la lune , mais pas vraiment testé autre chose en astro a ce jour. Je pense que j avais testé mon baader 8-24 markiii dessus...de mémoire il ne passe pas , 😔 donc comme dit @chinois02, oculaires à tester avant d investir... Nb J ai aussi acheté la petite caméra sc001 dédiée , autour de 120 euros ( mais elle semble avoir augmenté) ...elle est tres sympa pour ornitho, pilotée avec smartphone et compacte.0 point
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...et en plus le prix est en baisse... et en plus le "trépied n'est pas en bon état". Bein faut juste enlever un 0 tonton0 point
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