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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/10/24 dans toutes les zones

  1. Salut, voici un souvenir de ma dernière séance d'observation, le 18/12 dernier déjà, par très bonnes conditions si ce n'est une turbulence notable, mais un long créneau et une douceur remarquable pour la saison. Hélas un croissant de lune était encore présent en début de soirée, mais que faire ? ne boudons pas un ciel clair en cette saison. Le 300 était de sortie, avec d'abord ces deux dessins de NP, puis du planétaire avec une assez jolie Jupiter et du ciel profond avec quelques Arp et autres Hickson dans l'Eridan notamment. Mais pour commencer, je profite du Cygne encore un peu haut et du crépuscule pour contempler une nébuleuse planétaire contrastée et brillante, NGC 7027 (mag 8.5, taille 18'" X 11"). Je place d'abord les étoiles les plus lumineuses, puis je complète au fur et à mesure de l'avancée de la nuit. Bien entendu sa détection ne pose aucun souci, elle était déjà visible facile, allongée à la 80ED et montrait déjà ses 2 lobes à la FC-100 X 148. Ici à 170 X le bleu reste pâle et peu prononcé, elle réagit peu en Hbeta et fort en OIII. Le dessin est un ensemble d'éléments perçus à 170 X et 270 X La séparation en 2 parties est évidente, celle au NO plus grande présente un coin plus brillant très marqué, presque ponctuel. Le bord contigu est plus droit et régulier que l'autre. Avec attention dans cette partie on note une vague condensation longitudinale, voire des irrégularités, mais peu sures et non représentées ici. L'autre partie est plus diffuse, moins franche. Elle est moins large, ce qui donne un aspect un peu en biseau à cette NP. Le tout baigne dans un léger halo, qui pourrait présenter des irrégularités un peu en pointes radiales, à confirmer. Il y a une énigme sur ce dessin, que j'ai préféré laisser par honnêteté : la petite étoile touchant presque le coin en haut à droite de la NP ne figure pas sur photo ! Là je suis bien embêté, mais sur photo on distingue assez facilement une condensation quasi ponctuelle du halo externe à peu près à ce niveau, ce qui pourrait sauver la mise ...la turbu aura créé la confusion et fait le reste ! Donc, un bel objet mais à détailler à forts diamètre et grossissement, et les soirs de faible turbulence bien sûr. Une transparence un peu dégradée n'est pas gênante, sauf pour le halo externe, vu l'éclat de la NP. Avec un peu d'éclairement rétinien en plus on pourrait même attraper un peu de couleur supplémentaire. Voici ensuite une NP d'hiver, le même soir, dans le Taureau déjà assez haut : NGC 1514 (mag 10.8 et 2' X 1,5'). Pâle et étendue, son aspect contraste avec la précédente. Mes notes aux lunettes de 80 et 100 mm ne montrent (et encore, avec filtre) qu'un vague halo diffus autour de la centrale, qui est facile. Sans filtre, c'est encore plus ténu, voire rien n'est visible à 80 mm sous ciel moyen. Ici, par contre, elle est plus apparente sans filtre mais c'est surtout à l'OIII qu'elle se révèle. A 56 X OIII elle est contrastée, presque brillante mais fort peu détaillée. J'ai préféré les vues à 96 X OIII et 170 X OIII pour un compromis entre assez de luminosité (éviter un gros pâté trop diffus noyé dans le ciel) et faire ressortir les irrégularités d'éclats. Pas une mince affaire, car la bougresse reste pudique même à 300 mm ! Bien entendu la centrale de mag 9,4 est fort brillante, et une zone sombre se creuse facilement autour d'elle. La NP n'a plus l'aspect graduellement diffus et aux limites mal définies qu'elle arbore à la lunette, non, ses limites sont plus tranchées notamment le côté ONO qui présente un curieux arrondi faisant presque penser à un bras spiral de galaxie. Le bord opposé est moins brillant, moins marqué. On note avec attention aussi 2 zones diamétralement opposées plus marquées, l'une allongée radialement. Enfin, plus difficilement apparait le chenal sombre qui court à peu près de la centrale vers le bord, globalement vers le S. Ce n'est qu'une amorce de la complexité des zones sombres apparaissant sur photo, ces dernières à ce diamètre semble être un peu éclipsées par, au contraire, les 2 grosses zones plus marquées déjà évoquées. Donc, un objet qui se dévoilera logiquement sous un ciel bien pur, et un gros diamètre. Voilà voilà, en espérant des ciels juste clairs bientôt - et pas trop froid !
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  2. Anecdocte : une réflexion que m'avait fait un jour un collègue au taf "finalement, les plus cools des collègues, c'est ceux qui écoutent du hard, du punk, du métal..."
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  3. faut faire comme moi, faut plus consommer ! 😁 Blague à part, c'est se faire du mal que de regarder les prix 10-15 ans en arrière (même 3 ans), surtout si on couple cela aux salaires 🙂😒 Mais bon, y (de plus en plus) plus malheureux que nous sur cette pauvre Terre
    2 points
  4. Hello, le même soir que l'observation de mes deux NP d'été et d'hiver - voir autre post - j'ai aussi profité de Jupiter, d'une part en début de soirée vers 18 h, et de l'autre vers 21h30. Je rappelle que la turbulence était modérée mais tout de même présente, induisant de longs moments d'images floues le temps que cela se stabilise. Bien entendu les dessins ont été faits dans ces trous de turbulence, il fallait alors mémoriser le maximum de détails pour ne pas faire traîner trop ...Jupiter tourne vite, et les Arp et Hickson attendaient aussi ! Donc voilà, j'ai déjà eu de plus belles images, mais le 300 était de sortie, Jupiter bien haute, ç'aurait été dommage de ne pas en profiter. T 300 X 170 T 300 X 170 / X 225 On note toujours cette zone bistre remarquable, qui tranche au N, et qui contient quelques détails dans les hautes latitudes. idem, les petites bandes secondaires se chargent d'irrégularités, les NEB et SEB ne sont que complexe de spots, de barges, de zones plus claires, le tout garde une texture bien granuleuse. Elle sont parfois bien soulignées par un bord plus net, plus ou moins sinueux. Les formations inter-bandes sont d'un bleu-gris ardoise assez remarquable, tranchant avec le brun brique des bandes, et sont ornées de détails plus ou moins subtils. Même si avec cette turbu c'est difficile d'aller chercher plus de détails dans les détails, ils sont plus nombreux qu'à la FC-100 avec le même type de conditions, le disque est plus garni et complexe, et surtout les couleurs sont plus prononcées. Bon ciel à vous !
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  5. Salut les bricolos, Étant confronté aux soucis de glissement du train optique(correcteur maxfield+d5300) avec le focuser monorail, avant de le remplacer j'ai tenté de lui donner une dernière chance en effectuant quelques modifications. Le but étant d'augmenter significativement la friction entre le rail et l'axe métallique. Suffisamment pour gérer un correcteur de coma et un reflex de manière générale. 750gr pour le maxfield et le d5300 pourvu de la bague d'adaptation... Augmentation de la taille du palet presseur afin d'avoir une plus grande surface d'action sur l'axe métallique. Ajout d'un roulement+bagues d'adaptation afin de garder l'axe en position du côté sans la démultiplication. Il n'y a rien par défaut pour l'alignement de l'axe, abberant.. Au lieu de placer le moteur directement en sortie d'axe comme précédemment, ajout d'une démultiplication pour avoir plus de couple. 16/56 dents je dois recompter j'en ai essayé pas mal la poulie imprimée sera sans doute remplacée par un modèle alu quand j'ai l'occasion d'en commander une .. ça fait le boulot pour tester. Pour la fixation du moteur, j'ai fais un remix d'un fichier dispo sur thingiverse lien: https://www.thingiverse.com/thing:3612668 J'ai gardé l'anneau qui se place autour du tube de focuser, le reste a été remodelisé selon mes besoins (moteur nema17, fixation imprimée 3d au lieu d'une cornière en alu). La commande du moteur est effectuée par le driver focuser 1 du contrôleur Onstep placé un peu plus loin. Dès que la météo est propice,je refais un test d'autofocus et je vous fais un retour. Les fichiers 3d vont suivre pour ceux qui voudraient experimenter Car hormis ce défaut, je n'ai aucun jeu ni tilt sur le focuser, vraiment dommage ce défaut. cordialement
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  6. Je continue mes découvertes recentes du ciel profond, apres orion et la rosette, je suis passé la semaine derniére sur IC 443. Cette fois ci j'ai fait des poses de 180sX 80 (pas encore de suivi ...) avec DOF et traitement Siril +photoshop . Toujours avec ma FRA 400 avec reducteur de champ, camera ASI 2600 couleur. J'ai toujour du mal a traité correctement et séparement, la nébuleuse , les étoiles et le ciel profond ...
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  7. Salut, Bien, voici l'objectif de la nuit dernière, les pléiades en début de nuit n'étaient qu'une diversion Toujours le même setup: C14 en hyperstar ASI6200 en Bin1x1 HFR=2.5 Guidage avec une FRA300 en // et une ASI174MM Traitée sous Pix de A à Z Guidage 0.3"RMS sur les 2 axes avec l'EQ8-Rh 58 poses de 240 Sec à gain 101 soit 3.9Hrs. Même traitement que pour les pléaides GraXpert Résolution astro + photometric color calibration BlurX montée d'histogramme standard NoiseX J'ai du peinturlurer un peu à cause d'un gros reflet (mais je vous dirai pas ou😁). C'est pénible pour ça les SCT...😡 Ca regorge de détails cool, il y a même des galaxies! le canasson: Moi, j'aime bien les ondes de choc: Vos commentaires sont les bienvenus a+ Serge
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  8. Encore une soirée inespérée le 3 janvier, le ciel se découvrant un peu, j'ai mis le score à refroidir dehors... à 23h30 je peux enfin profiter de temps libre. Le ciel est découvert, je monte l'ensemble pour observer Jupiter. Mais la turbulence n'est pas d'accord, alors je m'oriente vers M42. Un peu de pollution lumineuse ne gêne pas trop. Finalement je m'attarde dessus et décide de tenter un dessin. J'y suis resté 1h30 en profitant des couleurs très marquées ce soir!...mais en reproduire les nuances est malheureusement une tâche bien au dessus de mes capacités... Voilà ce que j'ai pu décortiquer du coeur de M42, de 80 à 230x au T400.
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  9. Si tu n'aimes pas les guitares : Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=uT3SBzmDxGk ...ou encore (flute, harpe batterie) : Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=rXpfrytK_uo
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  10. L’amas du Cobra royal C’est en mars 2023 que j’ai pointé cet objet du ciel profond qui pourrait faire pâle figure aux côtés de sa grande sœur M44 dans la constellation du Cancer. L’amas d’étoiles ouvert M67 a pourtant des caractéristiques originales, à l’image de son surnom de l’amas du Cobra royal ! Catalogué NGC 2682, sa distance au Soleil est estimée à 2.700 années-lumière, et son âge entre 3 et 5 milliards d’années, ce qui en fait l’un des plus vieux amas ouverts connus, ceux-ci ayant généralement tendance à se disperser avant d’atteindre cet âge. Certains calculs tendent à montrer que M67 pourrait continuer à exister en tant qu’amas pendant encore 5 milliards d’années. Il y a plus de 100 étoiles semblables au Soleil et de nombreuses géantes rouges. On estime qu'il y a plus de 500 étoiles dans cet amas. Les âges et la présence importante d'étoiles semblables au Soleil dans cet amas sont à la base d'une hypothèse faisant de M67 l'amas ouvert dans lequel serait né le Soleil. Cependant, des simulations numériques ont montré que c'est très peu probable. M67 ne contient pas d'étoiles de la séquence principale plus chaude que celle de classe F à l'exception de quelques trainardes bleues car les étoiles plus brillantes ont déjà quitté la séquence principale lors de leur évolution stellaire. L’amas abriterait aussi quelques 200 naines blanches. Son surnom de « Cobra royal » vient probablement de sa ressemblance avec la tête du serpent venimeux du même nom. En bas à gauche de M67, on remarquera le discret amas ouvert NGC 2678 qui comprend beaucoup moins d’étoiles mais dont on repèrera facilement les deux étoiles dominantes à aigrettes. Photos prises le 20 mars 2023 à Allons (47) – Canon 7D défiltré partiel au foyer d’une lunette Skywatcher 100 ED sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto ni autoguidage). 102 poses de 60 s – ISO 3200 – 25 DOF – Siril et Toshop. (cliquez sur l’image pour voir la full)
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  11. Impressionnant. Bravo 🤩
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  12. Je crois surtout qu’il y a eu une époque assez courte où le matériel était assez abordable ( mais c’est pareil pour des choses basiques comme la viande qui a toujours été chère et rare depuis le début de la civilisation , sauf dans les 40 dernières années….)
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  13. j'essaie de rentabiliser les 3 nuits dispo tous les 3 mois
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  14. Voir le poste de fcouma C'est la 80ED qui était de sortie avec la PO Artemis-c 294 Disons que Dimanche soir et Lundi soir c'était compliqué, mise à jour de NINA v3.003 bêta qui a bien merdouillé. J'ai pu quand même faire M45 comme il faut. M42 est à jeter. Donc hier am, réinstallation de NINA V2.3 et ça a marché tip top de 18H30 à 6H15 environ. M31, IC434 tête de cheval + Flamme, trio du Lion M65/66/NGC3628 dans la boîte avec un beau signal. Temps hyper sec, pas de givre par -7°C. Ce soir c'est plus costaud encore: M33/Collinder 69/M42/NGC4438 chaine de Markarian. Restera Jeudi soir jusqu'à minuit peut être avec M1 le Crabe en poses courtes. Après c'est rideau jusqu'à je ne sais pas quand.....
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  15. houlà ça devient compliqué tout ça... Mais n'oublions pas: Lao Tseu Astronogeek à dit: Ne laissez personne vous dicter vos loisirs.
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  16. DE JUPITER AU NUAGE DE MAGELLAN Bonjour à tous, Une semaine riche en observation sous des cieux généreux ! Les bas de l'île commencent à avoir sérieusement chaud mais à 800mètres d'altitude, une petite laine ne serait pas de trop aux abords de minuit. C'est agréable, reposant même... J'inaugure le bas avec Jupiter prise en photo jeudi dernier. Enfin une stabilité à peu près convenable. J'ai déjà vu mieux mais cela faisait longtemps que je n'avais pas pu croquer ainsi une de nos géantes gazeuses. Le même soir, j'ai revisité un classique du ciel de Décembre : M42 mais surtout le fameux Trapèze. E et F apparaissent alors avec une facilité déconcertante, la hauteur de la constellation dans le ciel réunionnais aidant sans doute beaucoup : Hier soir enfin, après un petit vin rosé savouré sur la terrasse, je décide de contempler la sublime Tarentule. Autant dire que cela reste une simple esquisse : il faudrait de longues heures pour reproduire toutes les nuances. Cette nébuleuse se situe dans notre galaxie voisine : le Grand Nuage de Magellan. Un autre univers donc ! On est à plus de 160 000 années lumière de la Terre tout de même ! Bon samedi soir à tous et bonnes fêtes qui approchent ! Gildas
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  17. Sublime ! Un grand bravo ! Le niveau des détails et les couleurs sont remarquables.
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  18. Tu lances pas mal d'interrogations sur la façon dont on pratique l'astronomie amateur. Certains ne jurent que par le visuel pur (dont je fais(ais) partie), d'autres par l'astrophoto et encore d'autres par l'astrophoto remote (pilotage de telescopes à distance). Chacun voit midi à sa porte. Perso, je ne comprends pas la pratique de l'astrophoto remote, ça me dépasse, on est proche d'une pratique professionnelle, au chaud chez soi, sans aucun contact avec le ciel nocturne. On capture des images prises à des milliers de kilomètres et on passe des heures à les traiter. Je pense que le plaisir est là et dans le fait que notre situation géographique présente des limites en qualité du ciel. L'astrophoto réalisée avec ton matériel dans ton jardin est pratiquée par pas mal de monde avec des beaux succès. En planétaire pas besoin de s'exiler à l'autre bout du monde pour chercher le ciel le plus pur et le plus noir. Perso, me trimballer un maximum de matériels (ordi, caméra, câblage à foison, table pour poser tout ça ...) en plus du telescope, de la monture, ... et passer des heures à traiter des images, ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. Sauf que... eh bien en visuel force est de constater que certaines cibles (surtout du ciel profond) sont décevantes (enfin c'est mon expérience), même sous un ciel bien noir et avec un diamètre conséquent, on tombe sur des tachouilles grisâtres. D'où l'idée, que je trouve génial, d'utiliser la sensibilité des capteurs CMOS, mais dans un format tout en un (avec des traitements automatisés et sans la contrainte de trimballer plein de matériels) pour accéder à ces objets. Alors évidemment, difficile de rivaliser avec les images réalisées par nos amis de l'astrophoto, car ils font des prises de vue de plusieurs heures et passent encore plus d'heures à traiter leurs images, mais on arrive déjà à accéder aux couleurs des nébuleuses, aux structures des galaxies, à des myriades d'étoiles dans les amas, quasi impossible d'accès en visuel pur. Sans parler des astronomes amateurs, comme moi, qui sont sous un ciel pollué par la lumière artificielle. J'ai fait partie des premiers à adopter l'eVscope avec enthousiasme et mes premières sorties ont été une vraie révélation. Cela dit rapidement j'ai été déçu par la limite du matériel, surtout que j'avais chez moi des tubes de plus grand diamètre. C'est ce qui m'a amené à travailler sur un système tout embarqué comme l'eVscope, mais que tu pourrai brancher sur ton matériel d'astronomie. Ce qui a amené à la sortie de l'Astrowl Box (je te laisserai chercher des infos sur ce site ou sur le site officiel si tu veux plus d'infos www.astrowlbox.com). Mais pour en revenir à ta question d'origine sur le fait qu'on voit le vrai ciel. Je te confirme que l'image obtenue n'est formée qu'à partir des photons collectés par ton telescope, il n'y a aucune superposition d'image provenant d'autres sources. D'ailleurs si un avion passe dans le champ du telescope, il fera une belle trainée sur ton image. Quant aux traitements appliqués automatiquement à l'image, si ils sont mal dosés, ils peuvent effectivement la déformer, créer des artefacts, ... C'est tout l'art du dosage de ce type de traitements.
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  19. Bonjour, Un amour frustré 😉 désolé. Mais si un avion atterrit il peut y en avoir plusieurs les uns derrière les autres. D'une façon générale ne jamais oublier le rasoir d’Ockham : les solutions qui mobilisent un minimum de nouvelles hypothèses sont souvent les meilleures.
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  20. Bon au vu de la réponse de Michel je tente autre chose : Une "auto" lentille gravitationnelle au sein d'un système stellaire multiple. Avec un objet très dense passant devant la principale. Genre naine blanche ? Merci pour ce teasing.
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  21. La nébuleuse des spaghettis C'est un vestige de supernova catalogué "Simeis 147" et "Sh2-240", les filaments de gaz incandescent de cette énorme nébuleuse couvrent près de 3 degrés soit 6 pleines lunes dans le ciel. Situé dans la constellation du taureau, il est âgé d'environ 40000 ans et se situe à environ 3000 années lumières de notre terre. Une image difficile en acquisition car cet objet très large et très faible est également difficile à traiter pour sortir la couche OIII qui est souvent noyé dans la couche Ha alors qu'il révèle de très beaux détails. Pour réaliser cette image, j'ai donc associé deux traitements issus de deux setup me permettant d'obtenir un fond de ciel de qualité mais également de bien mettre en évidence les couches Ha, OIII et SII avec un nombre de poses conséquents (15h30) Setup 1 - Takahashi FSQ-106ED f/3.6 situé à l'Observatoire d'astronomie IC (Espagne.), données "Telescope Live" Caméra QHY 600M Pro 30x300s en SHO les 19-20 novembre & 15 décembre 2023 Setup 2 - Askar FRA600 f/3.9 situé en région Lyonnaise. Caméra Asi 2600MC Mosaïque de deux panneaux (Antlia ALP-T Ha & OIII 5nm) 154x300s du 13 au 20 Février 2023 Traitements Siril - Pixinsight - Photoshop La version full ici https://flic.kr/p/2prtKWa
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  22. Une excellente analyse de l'inutilité l'utilité d'observer le ciel avec un eVscope... En suivant ton raisonnement pas la peine d'aller installer des scopes partout sur La Terre: comme ceci a déjà été dit des centaines de foi dans ce forum et ailleurs, autant s'installer confortablement dans un canapé avec une tablette connectée à internet et mâter des photos du JWST ou de Hubble (tu auras de biens meilleures images que de n'importe où sur Terre), Comme dit plus haut je pense que tu devrais partager ton analyse avec le support technique d'Unistellar, ça pourrait peut-être les intéresser? A peu de choses près oui ça existe déjà: https://fr.welcome.astrobin.com/sponsors-and-partners/alnitak-remote-observatories https://www.youtube.com/watch?v=rEyALKFbmGE (de notre ami @CDLC) Impossible de répondre: ta question est biaisée puisque dans l'eVscope c'est une vraie image du ciel que l'on observe. Pas forcement, regarde par exemple cette belle image vivante et dynamique Capture de Vision Amplifiée faite par mes soins en aout 2023
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  23. Il n'y a pas d'activité économique légale qui rapporte plus que la recherche pétrolière, à part le trafic d'armes -pour sa partie légale-. En supposant que Pouyanné soit pleinement conscient du problème climatique (ce qui est douteux) ses actionnaires, fonds de pensions ou d'investissement, mettent leur argent là où cela leur rapporte le plus, dans le minimum de temps. Les couts induits par les catastrophes sont supportés par les assureurs, ou la collectivité, pas par les compagnies pétrolières. Certains pensent pouvoir faire pression selon le principe du "name and shame". C'est oublier que la majeure partie du marché pétrolier est alimenté par les compagnies d'Etat. Des Etats dont la ressource unique est la rente pétrolière, vu que la rentabilité du secteur pétrolier assèche les investissement dans tout autre domaine (la "maladie hollandaise"). Il s'ensuit qu'il est illusoire d'attendre du système économique actuel qu'il s'autorégule pour faire face au réchauffement qui menace le monde. Pour ce qui concerne TOTAL, sa communication est habile, mais pas à l'abri de contestations.
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  24. En fait, à partir du moment où on accepte de regarder dans un écran (et pas un oculaire optique) et si le but de l'evscope est de limiter le contact avec l'instrument (on le pose en 2 minutes top chrono et puis on n'y touche plus physiquement, pas de réglage, il fait tout tout seul et on peut même simplement le poser dans son jardin et le piloter dans son salon au chaud via le WiFi), alors pourquoi ne pas aller plus loin et "dématérialiser", faire disparaitre le télescope? Une compagnie comme Unistellar pourrait investir dans un certain nombre télescopes (ferme de télescopes) qu'elle placerait aux 4 coins du monde où l'observation est au top (Saint-Véran, Chili,...). Les utilisateurs ne devraient plus acheter un télescope physique mais simplement s'abonner à une application smartphone. De là, ils peuvent réserver une plage horaire sur un téléscope placé à l'endroit de leur choix et le piloter à distance via Internet, exactement de la même façon qu'ils le feraient si le télescope était dans leur jardin. La pollution lumineuse est un problème résolu vu que le télescope est déjà dans un endroit optimal, plus besoin de me déplacer pour avoir un Bortle 4 ou 3, j'ai accès au meilleur ciel quand je veux. A ce moment là, plus aucune contrainte physique du tout, il ne faut même plus porter les 10 kg. Je peux regarder dans mon télescope de n'importe où, de chez moi mais aussi dans ma voiture, dans le train, à la pause de midi au boulot, dès que j'ai un moment de libre en fait. Comme les télescopes sont placés un peu partout dans le monde, plus de contraintes jour/nuit. Je peux utiliser un télescope à l'autre bout du monde à midi pour moi. Je peux donc faire de l'astronomie en pleine journée. Niveau prix: Au lieu d'acheter le télescope à 5000 euros, l'utilisateur a accès à un télescope pendant une heure pour par exemple 10 euros. Ca, c'est de la démocratisation et pouvoir donner accès au plus grand nombre. La compagnie pourrait même offrir plusieurs tailles de télescopes et faire payer en conséquence la location. Et pour les gens qui seraient nostalgiques de l'oculaire pour l'immersion, la compagnie pourrait vendre en option un oculaire électronique WiFi. Cet oculaire, je peux le transporter n'importe où dans ma poche et je peux regarder dedans dans une position confortable dans un fauteuil ou même allongé dans mon lit. Ce genre de produit existe-t-il peut-être déjà? Un télescope traditionnel à miroirs apporte un avantage par rapport à ce scénario, c'est qu'on a accès à l'image "en direct" du ciel. L'image sera plus vivante, dynamique. Mais quel est l'avantage de l'evscope par rapport au scénario ci-dessus vu qu'on accepte de regarder au travers un écran et qu'on n'a pas la "vraie" image du ciel? Merci d'avance.
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  25. Oui mais en rando faut pas trop alourdir le sac.... Pour quelqu'un qui débute et qui devrait normalement être sous un bon ciel (à moins de randonner de ville en ville), il me semble que les jumelles (10 X50 par exemple) sont plus adaptées. Ce ne sont pas les mêmes possibilités mais ça ne fera jamais double emploi le jour où on achète un télescope. En ce qui concerne la fragilité, c'est sûr qu'il faut leur éviter des chocs, un prisme déréglé c'est franchement désagréable, mais si on fait un peu attention il ne devrait pas y avoir de problème. Le matériel que tu proposes est intéressant, surtout pour quelqu'un qui ferait en même temps de l'observation animalière, mais le trépied à transporter est un peu encombrant. De plus la visée à 45° n'est pas géniale en astro. (Les jumelles sont sympas aussi en observation animalière). Le budget est aussi sensiblement supérieur avec la longue-vue et quand on commence mieux vaut tester avec un budget limité que partir sur du plus cher qui risque de rester dans un placard si on se lasse. Ce n'est qu'un point de vue personnel. Cordialement, Claude
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  26. L'année 2023 a explosé tous les records précédents : on a atteint les +1.48°C par rapport à l'époque préindustrielle. On est donc à proximité immédiate des fameux +1.5°C, limite qui sera très vraisemblablement atteinte dans les douze prochains mois. (Pour une raison mystérieuse, cette image piquée au Guardian ne fournit pas la légende : la première barre de l'histogramme est 1940, la dernière 2023 ; les fines lignes claires sont les +0.5, +1 et +1.5°C) Le delta par rapport à la dernière année record (2016) atteint 0.17°C. Chacun des jours de 2023 a été au moins 1°C au dessus de ceux de la moyenne 1850-1900 : (même source et même pb que la figure précédente : il s'agit du graphe quotidien de 2023, la ligne pointillée figurant 1°C au dessus de la moyenne 1850-1900 et les fines lignes claires 0.5°C) Cette année a vu des incendies géants au Canada, des vagues de chaleur marines destructrices, une fonte record de la banquise antarctique, des inondations catastrophiques. Pour autant, l'importance du réchauffement correspond aux prévisions. Andrew Dessler, professeur à la Texas A&M University commente ; “Every year for the rest of your life will be one of the hottest [on] record. This in turn means that 2023 will end up being one of the coldest years of this century. Enjoy it while it lasts.” ("Chaque année de notre vie sera la plus chaude jamais connue. Ce qui signifie que 2023 sera une des plus fraiche du siècle. Profitons en.")
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  27. ça dépend aussi si tu baisses les tons clairs lors du traitement Pour le miroir, c'est du GSO censé être "trié", j'ai eu aussi du skywatcher 200mm et ce dernier est moins bon c'est net Pas de masque de chanfrein C'est moins bon que du miroir artisan mais c'est pas mal quand même Prochaine étape : soit faire repolir, soit racheter des miroirs chez ZEN J'ai baissé les tons clairs :
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  28. Bonjour à tous et à Francheu en particulier, avec un grand merci à lui... La présentation de 144P/Kushida donnait envie... Alors voilà vite fait en 9 minutes de poses cumulées de 10s à la lunette guide (100/880) du 400.... LiveStacking sur SharpCap. Les deux petites étoiles proches sont à 15,3..... Elle se trouvait à une dizaine de minutes à l'ouest de la position indiquée par C2a Nous essaierons la semaine prochaine de faire une photométrie plus sérieuse et peut-être un spectre... JL
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  29. Merci, j'espère que ca pourra en aider d'autres. Voiçi les fichiers 3D. astrofocusermonorailnema17v10.obj astroroulementfocus v10.obj
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  30. Avec un peu plus de peps, c'est mieux: a+ Serge
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  31. Salut tous, Petit retour sur l'observation de cette éclipse un peu hors norme. Pour rappel, il s'agit d'un problème à trois corps. Les deux amants enlacés, et le mari jaloux, qui observe la scène de loin. L'étoile est donc triple et composée, à la base, d'une binaire de type contact produisant des variations ellipsoidales de faible amplitude (0,06mag), avec une troisième étoile orbitant "au large" et susceptible de produire épisodiquement des éclipses plus profondes. Ce n'est qu'en 2013 qu'une telle éclipse, qui était supputée depuis longtemps, a été observée pour la première fois, presque par hasard. En tout cas, sans réelle systématisation. Ces éclipses sont assez profondes et faciles à observer (0,5 mag) et ont lieu par paires : éclipses primaire/secondaire, séparées par quelques mois, le schéma se répétant ensuite identique à lui-même tous les 704 jours. Eclipses complexes à prédire et à analyser, aux courbes tordues et toujours différentes, car la configuration change sans cesse. A chaque occurrence, c'est une semaine d'intensité et de suspence, pour l'observation d'un phénomène qui n'est pas totalement cerné, qui s'étale sur trois jours pleins. La période est encore incertaine, et l'on ne sait pas véritablement quand va débuter l'éclipse, ni quelle en sera la profondeur, même si la prévision est globalement bonne désormais. Il y a souvent un décalage de plusieurs heures et quelques dixièmes de magnitude. Le début de l'éclipse sera-t-il visible depuis l'Europe, ou plutôt depuis les Amériques ? Il n'y a, hélas pas d'observateurs avérés dans la sphère Asie-Pacifique. Qu'en sera-t-il de la fin ? Les observations corroboreront-elles la courbe présumée ? Aura-t-on seulement un peu de ciel ? J'observe les éclipses de b Per depuis 2015 ; ma petite contribution de colibri, quand ça veut bien question météo. Cela se produit systématiquement en hiver ou en automne, même si, forcément, un lent décalage dans le temps a lieu, qui ramène progressivement le phénomène de l'hiver vers l'automne, et dans un futur encore lointain, le ramènera de l'automne vers l'été. En jeu : la caractérisation des étoiles de ce système à trois corps, et l'amélioration des orbites. Cette année, au programme, caractériser le plus précisément possible le début et la fin de l'éclipse, et en particulier, confirmer ou non la présence d'un petit "dip", signature d'une ultime occultation rasante susceptible de se produire une nuit après le dernier grand creux. Bon, voilà pour la théorie et les enjeux. Assez de blabla, on passe aux actes. Actes ? Quels actes ? Ambiance. Cela fait pratiquement un mois et demi que le pays voit défiler perturbations sur perturbations, et que ses habitants ont les pieds dans l'eau. Et ce n'est guère mieux dans nombre d'autres pays en Europe. Il va falloir se battre encore une fois, comme d'habitude. La photométrie est un sport de combat. Alors on met en station, on bache, et on attend. Un tour dehors tous les quarts d'heure, histoire de surveiller l'état de la couverture nuageuse, histoire de débusquer le moindre trou dans la couette épaisse. Meteoblue n'a pas toujours la précision requise pour ce genre d'activités un peu subversives, et la nuit, on le sait bien : tous les chats sont gris et les images satellitaires IR n'ont pas grande utilité. L'éclaircie que tu vois arriver depuis un moment ne vient pas, elle passe à cinquante kilomètres de là, tandis que le nuage que tu vois là, sur l'écran ouaté de ton PC ne correspond à rien. En réalité, il existe un décalage de trente minutes entre le satellite et ton vrai ciel, et quand ça défile à 140 km/h en altitude, bien malin celui qui pourra dire quand le rideau s'ouvrira. Tes pieds dans les pantouffles, bien au chaud devant ton ordi tout gavé de nuages, quand le ciel est étoilé au-dessus de ton scope, qui attend. Alors, à la première étoile visible dans un creux du nuage, tu pointes, et tu enclenches les poses en mode auto pour la nuit complète, si possible. Réveil en milieu de nuit pour renverser la monture au méridien, ou pour bacher, selon. Pour vérifier que la bache est encore en place, aussi, certains soirs, parce qu'avec des rafales à 80 km/heure, on ne sait jamais. Tu dors moyennement, quoi. Mais c'est pour la science, alors tout baigne. Un petit bout d'observation en Espagne, rien ici, deux heures en Italie, et puis ça se bouche, relais aux States. Une soirée qui promet d'être calme en vallée du Rhône, trois heures de gagnées sur le gris, puis les cirrus qui avancent jusqu'à tout recouvrir. Meteoblue t'avait promis la nuit entière. GRRRrrr. Demain, il pleut. Couvert sur la Côte Est, là-bas de l'autre côté de la grande mare ; heureusement, en Caroline du Nord, ça passe, et ça prend le relai. Meteoblue qui t'avait promis encore, cet autre jour, une soirée correcte pour se faire pardonner de ses sautes d'humeur de la veille, t'octroyant au moins un petit morceau du gâteau pour te remercier de ta patience légendaire de photométriste mouillé. Toute une soirée rien que pour toi, le ciel, le vent et le froid mordant à moins deux (bagatelle), qui te coupe les doigts (tu n'as pas droit aux gants, ce serait hors-jeu et pas assez amusant) sous les étoiles d'hiver, moins cinquante ressenti, et puis quoi ? Le sourire aux lèvres. Te voilà contraint à trente minutes de mesures seulement, juste trente petites minutes, une éclaircie, tic tac tic tac, un poil juste derrière la fin du bleu de la fin d'après-midi, dans ces instants incertains où le jour le dispute encore à la nuit. Maigre récolte. Trente minutes seulement, avec une cible à peine au-dessus des arbres, en théorie encore trop basse sur l'horizon pour se défaire des contingences atmosphériques et être correctement mesurée, bien noyée encore dans le grand bleu, comme si le vent qui fait bouger le tube de la lunette toutes les minutes, tu as chronométré, toutes les minutes, c'est bien ça, et la présence de la Lune presque pleine à trente degrés de là, ça n'était pas encore assez pour une photométrie de précision. Meteoblue qui s'est encore planté, qui t'avait promis la soirée complète, ne l'oublions pas, la soirée complète, complète, et ne te donne à grignotter que trente minutes de bonheur. Car oui, il s'agit de bonheur à l'état pur. C'est un fait incontestable. Ce froid si intense. Tu as vérifié sur l'image satellitaire : ce soir c'est pour ta pomme. C'est toi le roi des étoiles, et t'as intérêt à pas te louper. Tes collègues observateurs en Allemagne, en Espagne, en Italie sont dans la mouise ; ça ne se dit pas, mais oui, ce soir c'est pour ta pomme. Ce sont tes observations, sinon rien. Hahaha ! Ce que l'Ego peut être faible parfois ! Chronique d'une soirée d'observations ordinaires. Cela pourrait s'intituler ainsi. C'est ce soir que ça commence. Pratiquement la soirée la plus importante, en plus. Caractériser le début de l'affaire. Quelle ironie. Dans la précipitation, tu n'as pas appuyé sur le bon bouton, et ta pose photographique, qui aurait dû stopper à 180 secondes, est encore enclenchée au bout de près de cinq minutes, tandis que tu bats le pavé pour te réchauffer les orteils. Tic tac tic tac. Trente minutes. Tu n'as que trente minutes. Tu ne le sais pas, bien évidemment, mais le couperet tombera bientôt. Fort heureusement, tu t'aperçois de ta bévue suffisamment à temps. Tu n'as non seulement pas perdu ta première pose, car, avec 300 secondes au lieu de 180, ça passe encore côté saturation du capteur, vu que tu as prévu une marge, et que l'étoile est encore très basse, et donc moins brillante, mais en sus, tu as évité la catastrophe. Imagine : une unique pose de trois heures, hors séquenceur. Aucune donnée exploitable, sous un ciel parfaitement étoilé. L'erreur du débutant ; le cauchemar ; ça t'arrivait dans les temps anciens, mais plus maintenant. Cela devient plus rare, disons. Des comètes s'en souviennent, en tout cas : images grillées, forcément. Pas de quoi être fier ni fanfaronner sur les réseaux. Ça et puis le sélecteur qui reste bloqué à 12800 iso au lieu de 100 : cuisant également, on ne peut plus. Et puis l'APN que tu n'as pas eu le temps de remettre à l'heure avant le début de la manip. La précipitation, toujours. Deux secondes de décalage. Pas méchant ; ça se compensera avec une soustraction sous Excel. Faudra juste penser à y penser. Trente minutes. Tic tac. Tic tac. Déjà les nuages reviennent sur l'horizon nord, avec ce foutu mistral qui emporte tout. Dans cinq minutes, ce sera de nouveau bâché. Au doigt mouillé. Et froid. La poisse. Meteoblue s'est encore planté, qui avait promis la soirée complète. L'aventure est dans le ciel. Dommage qu'on ne soit pas plus nombreux sur ce coup-là, tu te dis. Dommage. La prochaine fois, sûrement que ce sera mieux. Quelques mois seulement à attendre. Christophe La cible est l'étoile brillante, en haut à droite du losange. Le champ fait deux degrés de large. Une courte pose à 12800 iso, en début de séquence, pour vérification du pointage. Les autres étoiles du champ seront utilisées pour effectuer la photométrie comparative. L'image est défocalisée pour éviter la saturation du capteur. Lever de pleine Lune encapuchonnée. La photométrie est un sport de combat. Jupiter et la pleine Lune. La courbe de lumière obtenue, en V et TG (couches vertes, tous observateurs confondus - source AAVSO). On distingue assez bien la variation ellipsoidale dans la partie de gauche de la courbe, et l'évolution du phénomène, à droite. A comparer avec l'évolution prévisionnelle plus bas. La courbe brute, toutes longueurs d'ondes observées (AAVSO) Pas mal de différences entre le prévisionnel et l'observation, il semble bien, cette fois. Une image brute.
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  32. Salut Subwoof, Tu as une valise de malade ! En tout cas merci pour tout tes retours ! Pour bien faire, ce serait vraiment cool de faire un tableau de synthèse de tous les oculaires testés avec leurs caractéristiques (focale, grossissement, champ, piqué, poids, etc) et ce qu'ils valent (qualité de correction du champ, dominante de couleur, confort d'observation, etc). Albéric
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  33. Vu aujourd'hui dans Ouest France : Le site officiel : https://festivaldelaterreauxetoiles.fr/ Ney
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  34. Nouvelle version, mais toujours les halo sur les étoiles !!
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  35. Du côté des vikings, les excellentissimes jumeaux : Les jumeaux et les jumelles : Albéric
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  36. Ta phrase est à double sens, je ne sais pas dans quel sens choisir, j'hésite. Je sors aussi tiens ! 😅
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  37. Haaa, parceque tu as tout un Harem en plus!🥰 Quand tu auras démonté Brigitte, et que tu en monte une autre, prends des photos stp!😁
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  38. +1 pour la première version. C'est bien là l'essentiel!😉 Et c'est en jouant avec le traitement, qu'on trouve celui qui mène aux images qui nous plaisent. a+ Serge
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  39. Très jolie capture !! Il est très sympas cet amas. C'est dommage qu'il se fasse trop souvent voler la vedette par son voisin
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  40. Hello, C'est parti pour les photos d'ambiance des setup Sur monture HEQ5 kittée courroie Rowan: Newton 150/750 + Player One Artemis-c 294 Celestron C8 203/2000 en train de flatter Meade 10" 254/2500 Lunette Skywatcher 80ED (80/600) Lunette Bresser 150/1200 Objectif Lune, ready to launch....3...2....1....ignition....and lift off !!!!! Configuration solaire avec prisme de Herschel Lacerta Comparaison de taille : Avec le C8 Avec le Newton 150/750 Avec la 80ED Plus modeste: Altaïr 183c + objectif Tamron 28/75mm Oui je vous cède la place d'ici demain soir promis. Je remballe le bivouac pour traiter les images au coin du feu Rectification mon Colonel, c'était pas ma guerre mon C8, plutôt mon canif 80ED
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  41. Salut, des jumelles, assurément, si le cahier des charges concerne le sac à dos 😉 Sinon une petite lunette style 80ED sur monture azimuthale. J'avais des 10X50 comme jumelles mais un peu lourdes pour la rando quand le moindre gramme compte, mes 8x42 actuelles sont plus compactes et légères. Et inutile de dire que même hors rando, elles sont du trajet, et peuvent être utilisées comme ça 10-15 min après le repas familial, pour une petite observation dans la Voie lactée avant de se coucher. Voire à mettre autour du cou en balade familiale l'été sous les étoiles
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  42. Il faut un bon suivi, comme en astrophoto, donc en manuel non et même une table équatoriale ne sera probablement pas assez précise (à voir) pour le ciel profond. Pour le planétaire, la table équatoriale doit suffire, car les images sont à courte pause et prises en rafale.
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  43. Eh oui, et on les regardait avec dédain comme on regarde aujourd'hui le matériel chinois. Depuis, on a une meilleure estime des fabrications japonaises de l'époque (en grande partie quasi-artisanales), et ce qui de nos jours est fait au Japon est considéré à la hauteur de ce qui serait fait en Allemagne (même Zeiss sous-traite chez eux) ou chez nous.
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  44. Au menu en ce moment même, ça a l'air prometteur 😉
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  45. Oui, les séquences étaient programmées avec le mode Plan de l’ASIair. Le seul inconvénient à ce jour avec ma monture (une Losmandy G11 équipée d’un gemini2) est la mauvaise gestion du retournement au passage du méridien (si quelqu’un ici a une astuce qui fonctionne je suis preneur). Du coup je fais attention à ne pas programmer des sessions au delà du méridien, et je fais le passage en manuel avant de relancer une nouvelle séquence d’acquisition.
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  46. 0 point
  47. @Hoth Serge Zaka : C'est quelqu’un que j’aimais suivre, sur ce réseau, avant que ledit réseau ne soit repris par un milliardaire eugéniste(1) & adepte de théories fumeuses(2)... Malheureusement, nous sommes à une époque où un André Bercoff, un Pascal Praud, etc. ont autant de "poids" que des centaines/milliers de scientifiques. Nous ne sommes pas à une époque de science, mais une époque de croyances. Croire que l'humanité n'impacte pas l'environnement. Croire que la techno nous sauvera. Croire que l'on aura toujours assez de matériaux. Croire que l'énergie sera toujours abondante. Croire que nous n'avons pas besoin de la biodiversité. Croire que le système dominant est le meilleur. Croire que l'économie pourra suivre une courbe exponentielle... Bref. (1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Eugénisme#États-Unis (2) https://www.lepoint.fr/monde/les-pyramides-n-ont-pas-ete-baties-par-des-aliens-l-egypte-a-musk-02-08-2020-2386432_24.php
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  48. Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=Etzg3tMPXHg Meilleurs vœux à toutes et tous.
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