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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/12/24 dans toutes les zones
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Bonjour à tous, Comme beaucoup d'entre vous je crois j'ai profité de la première nuit claire depuis des lustres pour sortir le matos qui commençait à prendre la poussière. Pour cette nuit sans lune j'ai décidé de viser NGC1333 dans la constellation de Persée avec ma lunette Askar FRA400 et son réducteur (focal résultante de 280mm). J'avais déjà visé cette nébuleuse avec mon newton mais je voulais essayer de la shooter avec un champ plus large pour attraper les nombreuses nébulosités qu'il y a autour. Askar FRA400 + réducteur 0.70x Caméra ASI2600MC + filtre UV/IR cut Monture Ioptron CEM40 Guidage avec un diviseur optique et une caméra ASI290mm Pilotage avec un Asiair Pro Traitement Pixinsight 139x180s: J'ai prévu le cadrage pour pouvoir éventuellement ajouter un panneau en direction de LBN749 et faire une mosaique. On verra si le temps s'y prête. Nico6 points
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Salut, une nuit dégagée sous la nouvelle lune ce n'était pas arrivé depuis des lustres. Malheureusement elle n'a pas tenu toutes ses promesses, avec une turbulence forte et l'arrivée des nuages à 1h du mat. J'ai pu en tirer quatre heures de luminance sur la discrète galaxie NGC2403 dans la Girafe à l'ASI183mm, que j'ai combiné avec 5h de luminance et 3x40min de chrominance prises en 2022 avec la caméra précédente (ASI1600mm). Avec le matériel habituel (newton 200/800 Zen sur AP900) depuis mon jardin à 20km de Paris. Cible pas évidente car située du "mauvais" côté (acquisitions commencées pile dans l'axe de la Tour Eiffel....) Voici le résultat (clic droit pour la full) : Bonne journée, Dan3 points
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Salut à tous, Comme dans de nombreuses autres passions c'est souvent l'investissement et la résilience qui vous font faire de grandes choses. Après avoir cumulé moins de 10h de sommeil en 3 jours, après avoir bravé les nuits de - 5 à -9 degrés je suis vraiment fier de vous présenter ma dernière réalisation. "La lanterne cosmique" Voici une zone regroupant beaucoup d'objets intéressants (catalogues LBN,LDN,Barnard,IC...),(voir annotations). J'ai accumulé 11h19 de capture sur cette vue (autant que la durée de mon sommeil) 😉 Les longs temps de pose effectués avec mon optique à F/D 2, couplé au fait que j'ai pu descendre facilement mon capteur à -20° (la température des nuits aidant) donne sans doute ma plus belle image à ce jour ! Objets notables : Ic348 LBN749 LDN1470 ... Lieu / date : Ramillies et La Fosse (Belgique) - du 09/01/2024 au 12/01/2024 Constellation : Persée Acquisition : 11h19 (65 x 300 sec + 118 x 180 sec) Monture : ZWO AM5 Tube optique : Celestron RASA 8 Caméra : ZWO Asi2600MC (gain 100 / -20°) Filtre : Aucun Accessoires : ZWO EAF - ZWO ASIAIR PRO Traitement : Siril - Pixinsight - Lightroom Grand format et informations : https://www.astrobin.com/full/uz9nkv/0/ Bon ciel à tous !3 points
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Une belle nuit est annoncée ce soir (11 janvier), alors malgré la fatigue, je sors la caisse du primaire prendre la température au cas où… A 23h je sors enfin installer le matériel . Malgre le ciel relativement stable, je suis très gêné jusqu’à minuit par le lampadaire qui me rend décidément la vie dure…. je décide de me concentrer sur ngc1514 après avoir vu le très beau dessin de @etoilesdesecrins ! la nébuleuse est très facile à repérer, avec un OIII cependant, sinon elle reste invisible. Elle se présente donc un peu comme NGC40 mais moins esthétique parce que moins visible et moins bien délimitée de prime abord. La centrale n'est pas centrée. En observant plus en detail, on voit apparaitre une structure un peu lobulée. Avec l'UHC, on distingue enfin un peu mieux une nébulosité périphérique, surtout en regard des deux zones plus brillantes. Je la dessine en tâtonnant un peu entre les grossissements ( j’ai du mal à grossir entre la turbulence et la perte de lumière) . La nébuleuse est assez faible, contrastant avec sa centrale très brillante malgré le filtre, rendant la vision décalée assez inefficace. Le lampadaire finit par s’éteindre, améliorant formidablement l’observation. Puis ma table équatoriale bipe pour avertir de la dinde sa course ( chronométrée ce soir, à 1h08). Cela permet de saisir le télescope afin de garder la nébuleuse dans le champ pendant que la table se remet en position de départ et redémarre, tout cela en autonomie. C’est fort agréable à l’usage! le dessin est un peu faussé par le scan qui fait disparaître la très faible nébulosité centrale. Il n’est pas retouché après l’observation, le papier tient bon malgré les conditions et permet de travailler à peu près proprement. Je me repose ensuite en contemplant la nébuleuse d’orion en binoculaire, ce que j’avais boudé à tord lors de ma dernière sortie. Puis je me tourne vers l’eskimo , bien décidé à lui tirer le portrait en le voyant de prime abord très contrasté ce soir! Mais un voile de brume est venu gâcher la fête…je range rapidement l’éclateriez, complètement recouvert de givre, mai le secondaire sans aucune trace de buée2 points
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Voilà un petit dessin que je ressort des cartons de septembre (le 14) . Une observation de l'amas Pegasus 1. Je voulais le compléter dans un ciel plus sombre que celui de mon jardin, mais ce ne sera pas pour cette année... A gauche NGC 7623 au centre en haut 7619, en bas 7626 tout en bas 7631 Dobson 400mm avec ethos 21 (88x) et 13mm (150) Il manque du monde...... Sur les conseils de serge vieillard j'ai utilisé du papier plus adapté, j'espère avoir un peu plus de nuances ...2 points
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Hello, dessins retouchés pour corriger notamment la dominante jaune, mais on dirait que le passage sur les forums altère le dessin, le salit un peu ...il vaut donc mieux les regarder avec du recul par rapport à l'écran, c'est plus réaliste de ce qu'on a à l'oculaire2 points
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Encore une soirée inespérée le 3 janvier, le ciel se découvrant un peu, j'ai mis le score à refroidir dehors... à 23h30 je peux enfin profiter de temps libre. Le ciel est découvert, je monte l'ensemble pour observer Jupiter. Mais la turbulence n'est pas d'accord, alors je m'oriente vers M42. Un peu de pollution lumineuse ne gêne pas trop. Finalement je m'attarde dessus et décide de tenter un dessin. J'y suis resté 1h30 en profitant des couleurs très marquées ce soir!...mais en reproduire les nuances est malheureusement une tâche bien au dessus de mes capacités... Voilà ce que j'ai pu décortiquer du coeur de M42, de 80 à 230x au T400.2 points
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Hello, le même soir que l'observation de mes deux NP d'été et d'hiver - voir autre post - j'ai aussi profité de Jupiter, d'une part en début de soirée vers 18 h, et de l'autre vers 21h30. Je rappelle que la turbulence était modérée mais tout de même présente, induisant de longs moments d'images floues le temps que cela se stabilise. Bien entendu les dessins ont été faits dans ces trous de turbulence, il fallait alors mémoriser le maximum de détails pour ne pas faire traîner trop ...Jupiter tourne vite, et les Arp et Hickson attendaient aussi ! Donc voilà, j'ai déjà eu de plus belles images, mais le 300 était de sortie, Jupiter bien haute, ç'aurait été dommage de ne pas en profiter. T 300 X 170 T 300 X 170 / X 225 On note toujours cette zone bistre remarquable, qui tranche au N, et qui contient quelques détails dans les hautes latitudes. idem, les petites bandes secondaires se chargent d'irrégularités, les NEB et SEB ne sont que complexe de spots, de barges, de zones plus claires, le tout garde une texture bien granuleuse. Elle sont parfois bien soulignées par un bord plus net, plus ou moins sinueux. Les formations inter-bandes sont d'un bleu-gris ardoise assez remarquable, tranchant avec le brun brique des bandes, et sont ornées de détails plus ou moins subtils. Même si avec cette turbu c'est difficile d'aller chercher plus de détails dans les détails, ils sont plus nombreux qu'à la FC-100 avec le même type de conditions, le disque est plus garni et complexe, et surtout les couleurs sont plus prononcées. Bon ciel à vous !1 point
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On n'y croyais plus mais oui le ciel s'est montré dans l'ouest. J'ai pu avancer (un peu) dans mon programme hivernal. Ma situation fait que pour les cibles de l'hiver, je dois travailler sur plusieurs nuits car les fenêtres sont courtes entre les obstacles. J'ai donc une séquence NINA qui attendait depuis... je ne sais plus avec 4 cibles par nuit et je pensais y passer au moins une dizaine. J'ai donc joué sur M45, IC434, NGC2335 et autour de IC417 avec la 76EDPH et la 2600 + filtre Altair HO 4nm. Il manque donc pas mal de temps de pose. J'ai pu récupérer des images du 16/12 sur Orion et la mouette. Pour le champ autour de IC417, c'est 45min à peine car les nuages sont arrivés. Mais j'ai orienté différemment pour ne pas prendre l'étoile flamboyante comme d'habitude mais aller plutôt chercher les amas ouverts comme M38. Je trouve que ce champ devrait être sympa mais va falloir y mettre bcp plus de temps. Ca donne une idée. Les images c'est juste pour donner un intermédiaire et poster autre chose que de conneries 😉 M45 (environ 2h) : bon, moi je n'y arrive pas, les nébulosités sans filtre et en ville, bah ça veut pas IC434 (j'arrive à presque 5h). Avec 76mm, on n'a pas le détail du C14 à F/2 🙂 . J'ai eu un souci de couches Ha et OIII donc je suis passé par RGB et donc mes étoiles sont moins fines et il reste du halo via les couches G et B... NGC2335 : cible très basse pour moi (voir autre post) mais j'ai pu cumuler 3h depuis). J'aime bien cette nébuleuse Et autour de IC417, juste 45min pour voir ce champ assez sympa je trouve. J'espère pouvoir en ajouter a+1 point
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Impressionnant en effet. Je ne sais pas trop à quoi est dû le violet mais c'est beau 😎1 point
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Une sage devise...que devraient peut-être appliquer ceux qui décrètent de façon un peu arbitraire " qu'on ne voit rien dans un petit diamètre"...et que je suspecte être déçus en ayant débuté même avec un gros " bouzin"...1 point
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Je fais de la musique depuis ... Longtemps ... J'ai dû faire mon premier concert vers 1975 . J'adore la musique, c'est une grande partie de ma vie, et bien, sincèrement, si j'étais jeune, ce n'est sûrement plus ça que je ferais. Ce milieu, dans lequel je trempe encore, ne me fait plus rêver depuis bien longtemps. Ce n'est plus qu'un miroir aux alouettes et un jeu de dupes. Bien sûr, ça l' été à d'autres époques mais à l'heure actuelle, c'est la norme. Bonne chance à ceux qui y croient encore un peu.1 point
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Ah c'est mon premier vrai instrument avec lequel j'ai totalement débuté il y a plus de 20 ans maintenant ! Un newton tasco 114/900... Bordel je me souvient encore, je l'avais eu pour noël, et quand j'avais vu la bête que c'était par rapport aux jouets que j'avais eu auparavant, du haut de mes 13 ans j'étais le plus heureux du monde Il a pris sa retraite il y a 10 ans quand j'ai eu du matériel plus sérieux. Il est maintenant exposé dans mon appart au chaud, et je l'avais ressorti il y a pas longtemps sur la lune. J'ai été surpris de voir à quel point on la voit bien encore malgré une collimation aux fraises et un primaire pas très propre ! Et les miroirs sont assez qualitatif, ce sont des petits newton qui marchent vraiment très bien ! Il faudrait que je nettoie le primaire un jour pour la forme quand même... En plus j'ai encore tous les accessoires et oculaires d'origine, je n'ai rien perdu. Je n'oublierais jamais mes premières observations avec mon grand père qui m'a tellement appris sur l'astronomie, la lune, les planètes, andromèdes, orion, les pléïades etc... c'était vraiment impressionnant de voir ça à l'époque depuis mon jardin dans un petit tube d'à peine plus de 10cm de diamètre et 2 miroirs C'est vrai que c'est déroutant parfois, tant c'est rare d'en voir autant ! C'est là que tu te dis que tu vas en prendre plein les yeux1 point
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très belle image !! La caméra est peut être très bien, mais le traitement lui rend vraiment justice! Bravo1 point
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Très agréable ce tableau de nébuleuses ! Traité en douceur en plus. Bon ciel Vincent1 point
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Bonjour @tga94, La lune est un excellent sujet de début .... et de fin aussi ! Une vie entière d'astronome ne suffit pas à sa découverte. Je vous propose d'installer sur votre ordinateur un logiciel libre " L'Atlas Virtuel de la Lune" vous le trouverez ici : http://ap-i.net/avl/fr/download Cet outil va grandement vous faciliter la préparation de vos observations ainsi que les apprentissages sélènes. Si l'envie astrophoto vous attire, il vous est tout à fait possible de réaliser vos premiers clichés au smartphone derrière l'oculaire. Cela s'appelle la digiscopie http://www.digiscopie.info/Digiscopie-pratique/Digiscopie avec smartphone.htm . Sur notre forum vous avez aussi le sujet traité avec beaucoup de détails. C'est ICI Ney1 point
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Formidable conteur et vulgarisateur d'images astro! Sans parler de la qualité des photos! 👏👏 Bravo1 point
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Tu es un artiste car on devines bien ces structures derrière un 400 (et même plus) et puis le trapèze est parfaitement fidèle à la réalité visuelle, ABCDEF sont bien positionnées ! Sinon je parlerai plus de drapées ou de volutes par endroit car c'est une impression de continuité sans rupture où la gradation des couleurs est en pente douce. Je me demande si tu voyais aussi ces petites (minuscules) étoiles rouges vifs étalées derrière la nébuleuse, chez moi elles clignotaient au grès des mouvements de la turbulence, je trouvais l'effet très esthétique, un peu comme une guirlande de Noël. Je me souviens par contre que je grossissais un poil plus.1 point
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Oui le diamètre apporte énormément les couleurs sont moins saturées que sur le dessin mais si je dessature ça les ternit alors qu’en vrai elles sont très riches et nuancées … c’est bien plus beau à l’oculaire!! Et c’est pas de discrètes teintes difficiles à percevoir, c’est vraiment une très franche coloration!!! j’ai trouvé une photo que j’ai retouché pour rendre ce qu’on voit à l’oculaire, sauf que le rouge est moins perceptible en vrai ( les capteurs sont très sensibles sur le rouge, notre œil plus sur le vert)1 point
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Une description en français, sur le site de L'Astronome : https://www.astronome.fr/telescopes/3411-celestron-origin.html1 point
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KIC 12254688 et le mystère du Self-Lensing Pulse (Illustrations et graphs : NASA, ou tirés des papiers cités) Et donc, en ce début d'année, aux cieux fortement arrosés, il faut trouver à s'occuper. Quoi de plus gratifiant, dès lors, que d'aller faire un petit tour du côté de chez Tonton Arxiv, histoire de voir s'il n'y aurait pas un peu de nouveauté à se mettre sous la dent. Tonton Arxiv, dont on sait qu'il est le tenancier de ce petit troquet à l'ambiance feutrée où pas mal de scientifiques over the world aiment à venir causer boutique à l'occasion. Très vite, un papier attire notre attention, dans la section Astro-ph.SR, une arrière-salle un peu tranquille, dévolue à l'astrophysique solaire et stellaire, loin de l'agitation coutumière aux grands salons cosmologiques. The First TESS Self-Lensing Pulses: Revisiting KIC 12254688, par Nicholas M. Sorabella et al, sousmis le 03 01 2024. https://arxiv.org/abs/2401.01477 Rien de véritablement révolutionnaire en soi : des courbes de lumières tirées des bases de données du satellite TESS, l'une de nos marottes du moment. Encore des courbes de lumières. Toujours des courbes de lumière. Comme si la connaissance pouvait perfuser au travers des colonnes de chiffres, dans un tableau Excel, ou assimilé. Même s'il n'y a pas loin d'un petit exploit dans la performance des auteurs de ce papier, qui ont su extraire d'infiniment subtiles informations de presque rien (graphs ci-dessus), ce n'est pas grand chose que tout ceci, il faut en convenir. Deux petits blips lumineux à peine discernables, dans un fatras de points aléatoirement disposés en nuages. De tous petits rehauts, équivalents à un millième du flux lumineux disponible, autant dire presque rien. Mais TESS est le satellite spécialiste de la chose, des courbes de lumière difficiles et des transits d'exoplanètes qu'il faut savoir tirer du presque néant, alors pourquoi pas, après tout ? D'autant que l'objet KIC 12254688, une binaire constituée d'une étoile de type spectral F2 associée à une naine blanche, a déjà été observé par le passé – et perdu de vue depuis - par Kepler, le précurseur en la matière, l'autre fameux télescope spatial, découvreur de planètes extra solaires, arrivé en fin de mission en octobre 2018. Car oui, ce n'est que cela en définitive, le papier de Sorabella et al, et cela aurait pu s'intituler : on a retrouvé KIC 12254688 ! On passera sur les détails (l'histoire est passionnante malgré tout, qui peut se consommer en tant que telle), car là n'est pas le principal, après tout. Non, ce qui achoppe, c'est plutôt ça : mais qu'est-ce donc que ces petits blips lumineux qui ont été observés à l'aide de Kepler et de TESS, dans la courbe de KIC 12254688 ? Et à quoi correspondent exactement ces self-lensing pulses dont il est question dans le titre du papier, dont, pour être tout à fait honnête, personne, ou si peu, n'a jamais entendu parler. Les creux, les trous, dans les courbes de lumière, on connait. Mais les bosses ? Petit retour forcé par le comptoir de chez Onc' Arxiv, histoire de voir ce qui pourrait bien tomber dans notre escarcelle, en tapant le mot clé « self-lensing ». Très peu de choses, en fait : trente cinq références seulement, un chiffre ridicule, comparé à d'autres (essayez « exoplanet », ou « galaxy »), dont assez peu se rapportent réellement à notre sujet, et dont les deux plus anciennes correspondent à de courts articles théoriques, en date d'août et septembre 1994, signés Andrew Gould, à l'époque publiés dans l'Astrophysical Journal. Eux-mêmes extrapolations de travaux précédents de Alcock et Gould, notamment, publiés entre 1989 et 1994, et basés sur une hypothèse publiée par André Maeder, Université de Genève, en 1973. Autant dire que le sujet n'est pas particulièrement neuf. On trouve ensuite, dans la liste retournée par Onc'Arxiv, ce papier signé Hajime Kawahara et al, publié en janvier 2018, qui est cité dans la biblio du papier de Sorabella et al, et ayant servi de base aux études des courbes de lumière de KIC 12254688 au travers de TESS (2024) : Discovery of three self-lensing binaries from Kepler https://arxiv.org/abs/1801.07874 dont l'abstract dit tout ou presque : We report the discovery of three edge-on binaries with white dwarf companions that gravitationally magnify (instead of eclipsing) the light of their stellar primaries, as revealed by a systematic search for pulses with long periods in the Kepler photometry. We jointly model the self-lensing light curves and radial-velocity orbits to derive the white dwarf masses, all of which are close to 0.6 Solar masses. The orbital periods are long, ranging from 419 to 728 days, and the eccentricities are low, all less than 0.2. ./... Traduction auto (un peu arrangée en presque vrai français qui se lit) : Nous rapportons la découverte de trois binaires se présentant de profil, avec des compagnes naines blanches qui amplifient gravitationnellement (au lieu d'éclipser) la lumière de leurs étoiles primaires, comme le révèle une recherche systématique de pulses à longues périodes au travers des courbes photométriques de Kepler. Nous modélisons conjointement les courbes de lumière à self-lensing et les orbites obtenues grâce à des mesures de vitesses radiale, pour en dériver les masses des naines blanches, qui sont toutes proches de 0,6 masses solaires. Les périodes orbitales sont longues, allant de 419 à 728 jours, et les excentricités faibles, toutes inférieures à 0,2. ./... Un autre papier signé Masuda, Kawahara et al, encore, en date d'août 2019, signale l'identification formelle en tant que self-lensing d'une quatrième étoile, déjà citée dans le papier précédent, mais pour laquelle il était demeuré un certain nombre d'incertitudes : Self-lensing Discovery of a 0.2M⊙ White Dwarf in an Unusually Wide Orbit Around a Sun-like Star https://arxiv.org/abs/1907.07656 Ce qui porte à cinq, en tout et pour tout, le nombre de systèmes stellaires à self-lensing connus, contre huit annoncés dans un post précédent (il y avait des faux positifs et des redondances dans les listes dans les papiers de Kawahara et al). Ceci en comptant le tout premier d'entre-eux, observé et publié par Ethan Kruse et Eric Agol en 2014 : KOI-3278: A Self-Lensing Binary Star System https://arxiv.org/abs/1404.4379 Alors, nous y voilà. KOI-3278. L'origine de tout. KOI, mis pour « Kepler Object of Interest ». Le satellite Kepler, encore. Et qu'avons-nous là, au final, après lecture de cet autre papier ? Un fascinant système, tiré de nombreuses pages de théorie, extirpé d'obscures équations. Les études montrent, compte tenu des connaissances actuelles de l'évolution stellaire, qu'une demie douzaine de systèmes de type « self-lensing » doit être trouvée dans le champ visé par Kepler (115 degrés carrés) en définitive, et c'est finalement ce qu'on a trouvé. KOI-3278. Un objet exotique, considéré pendant un temps comme pouvant abriter une ou plusieurs planètes, d'où sa présence sur la liste of interest, avant qu'il ne soit étudié plus en détail. Un objet qui présente la particularité de montrer une courbe de lumière plate exhibant alternativement, tous les 42 jours, un creux très léger mais bien marqué, pouvant faire penser à un passage de planète, suivi par un petit pic de luminosité non moins discret mais tout aussi réel, identique à ceux brandis par KIC 12254688, et inexplicable celui-ci. Un mystère d'illogisme, à moins de faire appel aux théories d'Einstein, et de constater, une fois de plus, que ce qui avait été prédit de longue date peut être observé. Ainsi, dans le cas de KOI-3278, une naine blanche (0.6 M⊙) semble orbiter circulairement autour d'une étoile de type G (1.04s M⊙, une étoile ressemblant fortement au Soleil, donc), qui disparaît derrière l'étoile primaire en créant un petit creux dans la courbe de luminosité, un creux de nature identique à ceux que l'on observe dans les cas les plus classiques de binaires à éclipses, et puis qui « ploie » la lumière de la primaire et l'amplifie, lorsqu'elle vient à transiter en devant de sa surface, en créant une petite bosse dans la courbe, une sorte de minuscule flash ne se produisant pas chez les binaires à éclipses normales. Creux et bosses représentant environ un millième de la luminosité totale du système. L'amplification de la lumière par la naine blanche est due à la très forte densité de la naine, étoile en fin de vie, de masse relativement importante, mais de faible diamètre. Une demie masse solaire dans un volume de taille de la Terre. Le système KIC 12254688 est assez similaire : une naine blanche (0.56 M⊙) orbite en un peu plus de 418 jours autour d'une étoile plus massive (1.37 M⊙), de façon un peu plus excentrique, ce qui ne permet pas d'observer les creux. Reste les flashs. Les trois autres systèmes observés par Kawahara et al présentent les caractéristiques suivantes (tableau). *** KIC 12254688 - Position 2000 : 19h17 29.72 +50d 56 03.63 Savoir si de si faibles variations de lumière peuvent être observées depuis le sol (par des amateurs ?) est sujet à débat, à minima. Et la balance pencherait même assez largement vers le non. Quoi qu'il en soit, l'observation de transits d'exoplanètes toujours plus pointus d'année en année montre que les amateurs ne sont dépourvus ni de ressources, ni d'inventivité ou de courage, même s'il s'en faut sans doute d'un ordre de grandeur pour que ce soit faisable à l'heure actuelle. Peut-être avec des instruments associatifs de grand diamètre, ou en ayant accès à un miroir professionnel ? Voici déjà, en attendant, de quoi contenter leur éventuelle curiosité. KIC 12254688 est la moins inabordable de ces self-lensing stars, dont on doit pouvoir retrouver d'autres traces dans le « matériel » TESS, dans de futurs « secteurs », ce qui représenterait déjà un joli challenge, si l'on en juge de par le papier qui a initialement attiré notre attention sur Arxiv. Il faut dire qu'on est quelque part en bout de logique s'agissant de la stratégie déployée sur TESS. Les instruments n'ont qu'un diamètre de 10 cm (certes à F1.4), contre 95 cm sur Kepler ; quant à l'échantillonnage, on est à 21 '' par pixel sur TESS, contre 4'' sur Kepler, ce qui n'est pas aussi discriminant, dans les secteurs particulièrement fréquentés de la Voie Lactée. Il y a contamination par d'autres étoiles proches des cibles (et pas que). D'où les difficultés rencontrées par Sorabella et al. Les seules étoiles brillantes étaient initialement considérées comme atteignables par TESS (magnitude inférieure à 13). On descend désormais à la magnitude 21 sur certaines zones, mais le SN n'est pas au même niveau, évidemment. Il faudra rechercher des flashs d'une durée proche d'un jour, si l'on veut se faire plaisir, ayant une intensité comprise entre 1 et 2.5 millièmes de flux dans la plupart des cas. S'agissant de KOI-3278, la durée des phénomènes sera proche de 0.3 jour, avec une intensité à la hausse ou à la baisse proche de 1.2 millièmes de flux. Cela ressemble malgré tout à un joli challenge. En attendant, quant à traîner pour un moment encore au bar, du côté de chez Tonton Arxiv, bière pour tout le monde ! Bons cieux, C Post-Scriptum : Une recherche systématique de self-lensing stars, sur le ciel en son entier, est actuellement menée au travers des data obtenues par le Zwicky Transient Facility (ZTF). On est là sur une optique de 122 cm de diamètre - il s'agit de l'ancien grand Schmidt de 48'' du Mont Palomar, en fait, réhabilité et upgradé en 2017 pour accueillir des caméras modernes. Les poses sont très courtes, 30 secondes, échantillonnées à 1'' par pixel, qui permettent de descendre au-delà de la magnitude 20. Les données de 2018 ont permis d'identifier 19 candidats qualifiés de « plausibles ». Mais en l'occurrence, tout est contenu dans ce que l'on entend par « plausible ». A y regarder de plus près : on est très au-delà du millième de flux en sus, bien au-delà, trop au-delà. la forme des flashs est plus que douteuse il est pour l'instant impossible de trouver une périodicité quelconque pour aucun des caandidats détectés. C'est tout le problème de l'identification des faux positifs. Kawahara et al insistent, notamment, sur la forme des bosses qui doivent présenter une montée et une descente très abrupte, et un plateau. Les auteurs du papier (Allison Crossland et al) supputent d'éventuelles étoiles éruptives. Kawahara et al, ci-dessus. Crossland et al, en dessous. Cette première étude/tentative est néanmoins considérée comme une étape nécessaire vers quelque chose de plus abouti. On veut bien le croire. Il ne fait aucun doute qu'en cherchant, on finit toujours par trouver, même si cela doit prendre du temps. A Pilot Search for Gravitational Self-Lensing Binaries with the Zwicky Transient Facility Allison Crossland et al, nov 2023 https://arxiv.org/abs/2311.17862 Affaire à suivre. A nos optiques 😉 KOI-3278.mp4 Simulation du self-lensing pulse de KOI-3278. (Eric Agol)1 point
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Ca y est, début des soldes ! Pierro Astro : https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/soldes Optique Pro : https://www.optique-pro.fr/a,Lagerabverkauf=Ja Promo Optique : https://www.promo-optique.com/fr/4269-soldes Albéric1 point
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ça dépend aussi si tu baisses les tons clairs lors du traitement Pour le miroir, c'est du GSO censé être "trié", j'ai eu aussi du skywatcher 200mm et ce dernier est moins bon c'est net Pas de masque de chanfrein C'est moins bon que du miroir artisan mais c'est pas mal quand même Prochaine étape : soit faire repolir, soit racheter des miroirs chez ZEN J'ai baissé les tons clairs :1 point
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Boudiou.... fabuleux spectacle...tout de même, un grand diamètre...... On voit vraiment les couleurs à peu près comme cela?... Je trouve ça plus beau et émouvant qu'une astrophoto...( mais je suis très " visuelle"...)1 point
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Bonjour à tous Ca y est, la lunette Takahashi FC100DF est bien arrivée ce matin après une commande faites chez Optique-Unterlinden le 28/12 Premier retour : Le colis pèse son poids, et je comprends pourquoi. O-U m'avait bien spécifié que la lunette serait parfaitement protégée (voir photo), et de se fait il y a en tout 3 cartons bien épais et bien rigide, avec des cales en polystyrène + des copeaux qui protègent la lunette comme il se doit. Quasiment aucun risque qu'elle soit abimé donc Déballage de la bête, et... qu'est ce qu'elle est magnifique on a de suite une impression de solidité et de qualité des qu'on la regarde et qu'on la prend en main. Même si le pare-buée n'est pas rétractable, elle reste assez compact je trouve (voir photo) 3.5kg nue, qui monte vite à quasi 4.1kg (j'ai pesé l'ensemble) avec le collier, la platine et le petit chercheur point rouge. Je n'ai pas pris le chercheur Takahashi, j'ai beaucoup plus d'aisance à viser avec un bon chercheur point rouge qu'un chercheur grossissant. Le porte oculaire est costaud, plus que celui de la FC100DC qui n'est qu'en 31.75mm. Celui-ci, est en 50.8mm. La crémaillère est robuste, sans le moindre jeu, et je trouve qu'elle manque juste un poil de fluidité ce qui pourrait occasionner des tremblements à fort grossissement, mais j'imagine que ça se fera avec le temps. Il n'y a pas de RC encore car je ne l'ai pas reçu, ni de tête bino. Avec tout ça + une paire d'oculaire on sera autour des 5kg, ce qui est déjà pas mal pour une lunette de 100mm Exit du coup les petites monture ALT AZ bien pratique type porta II, AZ4 etc... Ce sera une monture Giro ercole mini qui fera parfaitement l'affaire que je monterai dessus. J'en avais une il y a quelques années avec une Skywatcher 100ED, qui à une focale plus longue et quasi le même poids que la FC100, et ça passait sans le moindre problème. C'est vraiment une superbe monture et assez légère en plus. J'ai commandé aussi une valise Skywatcher (celle de la 100ED), pour y mettre la lunette avec tous ses accessoires dedans (bino, GP + une barlow peut être, une ou deux paires d'oculaires, hélioscope, et en laissant fixé sur la lunette si je peux : le RC et le chercheur ce qui devrait être possible car la FC100 est plus courte que la Skywatcher) . Le but est d'avoir que 2 choses à trimballer pour être le moins encombré et pour être le plus grab and go possible : La mallette avec tout dedans + la monture avec son trépied que je laisserais fixé dessus. Je ferai un CROA bien détaillé quand j'aurais reçu tout le matériel au complet (et quand il fera beau surtout), car il me manque encore la tête bino, et surtout la monture. Le renvoi coudé avec ses accessoires et un glasspath de x2.6 devraient arriver fin de cette semaine normalement1 point
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Bonjour 👋, Hier je suis allé photographier M42 à l'APN (Nikon D5000) mais j'ai quelques soucis pour l'empilement. D'habitude j'arrive à utiliser DSS mais la j'ai un message d'erreur que je ne comprends pas. J'importe mes Bruts et mes Dofs et lorsque j'empile, j'aperçois un message m'indiquant qu'une seule photo sera empilée parce que il ne détecte pas les étoiles etc. Cela dit, j'ai changé plusieurs fois la sensibilité de détection des étoiles et cela ne marche quand même pas. En allant regarder mes bruts, j'ai vu que les photos étaient noir dans l'onglet visualisation DSS. Cependant, lorsque je les ouvres dans windows, cela marche parfaitement. Quelqu'un à t'il déjà eu ce problème et comment est ce que je peux le régler ? Cordialement0 point
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La monture est une Altaz. Giro Ercole (pas mini). Il suffit de serrer le frein ça ne bouge pas d’un poil. C’est une monture très basique et très solide.0 point
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Oui merci à Francis pour son calme, sa tolérance, et surtout cette belle photo... D'ailleurs je regarde les tubes carbones 200/800 , 7.5kg pour une HEQ5 ca passerait avec une PO Artemis 294MC ...0 point
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😄. Tout est dans le titre 😉 : canon 10x42, stabilisées.0 point
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surtout que dans le vrai Metal réellement sombre comme le Doom ou le Black s'adressant à un public bcp plus restreint que celui du Metal d'étudiant,il est ultra difficile de retirer des gains. Du coup,ce genres de branches extrêmes sont peuplés que de purs et vrais passionnés plutôt que des posers à la c.ns.....(je parle des musiciens et du public et pas des pompes à fric intermédiaires) un mal pour un bien (?)0 point
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Oui, peu de gens connaissent les méandres de tout ça, y compris le copinage pour les festivals chez les programmateurs, et j'en passe. Déjà qu'un auditeur lambda n'imagine pas combien peut coûter une production musicale (prod / mixage / mastering /pressage / distribution)...alors les coulisses du reste0 point
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Tu peux acheter une queue d’aronde plus longue. C’est pas très cher et ça te permettra de te mettre sur le point d’équilibre.0 point
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Pas uniquement. Il faut réinitialiser complètement la MemStar quand il y a un plantage. Et la seule façon de le faire aujourd’hui c’est de retirer les piles. D’où l’intérêt de l’interrupteur.0 point
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Bonjour, C'est pour vous présenter Tenmon un nouveau programme, écrit par l'astronome amateur Dušan Poizl, destiné à visionner des images au format FITS et XISF. Il est publié sous GPL3, et comme il est intéressant pour ma propre utilisation, je l'ai traduit en français. Vous pouvez le télécharger pour Windows et Linux depuis: https://gitea.nouspiro.space/nou/tenmon/releases Le code source, très simple à compiler sous Linux, est disponible depuis: https://gitea.nouspiro.space/nou/tenmon/ Voici les caractéristiques succinctes, le menu Aide donne plus de détails. FITS et XISF entier 8,16 bits et flottant 32 bits Images JPEG et PNG Fichiers CR2 RAW Utilisation de la même fonction d'étirement que PixInsight Dessin accéléré OpenGL Indexer et rechercher les données d'en-tête FITS XISF Marquer rapidement les images, puis copier/déplacer les fichiers marqués Convertir FITS <-> XISF Convertir FITS/XISF -> JPEG/PNG Statistiques des images, médian, min, max Arborescence des fichiers La fonctionnalité qui me plaît particulièrement est l'indexation dans une base de donnée des en-tête FITS/XISF qui permet ensuite de facilement retrouver des fichiers en faisant une recherche sur n'importe quel mot-clé de ces en-têtes. J'ai ainsi indexé plus de 20000 de mes images brute et il m'est enfin facile de retrouver quelque chose la dedans.0 point
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Salut les astram, C'est bien vu, les réponses 😉 Bonne réponse collégiale ! Charpy, une sphère de Dyson ? Why not, après tout. Un exemple célèbre où l'hypothèse avait été avancée, de façon plus ou moins sérieuse, est l'étoile de Tabby, dont je causais dans le tout premier post de cette série. https://arxiv.org/pdf/1609.03505.pdf https://arxiv.org/pdf/1606.08992.pdf Toutefois, c'est bien l'hypothèse avancée par Denis (et Michel ? Bénéfice du doute hahaha ) qui est privilégiée pour l'instant. Je poste un cro sur le sujet dans un moment. Double tournée de caramels mous pour tout le monde !0 point
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Salut, Tu ne dois pas faire de l'astronomie depuis 30 ou 40 ans comme certains du forum (certains même 50 ans) pour sortir cela ou alors je t'invite à fortement te pencher sur l'évolution du matériel justement depuis les années 80/90 que ce soit pour l'optique, les montures et leur électronique et les accessoires - par exemple un Nagler Type 1 en comparaison à des Ethos... (Voir sur WA le Club Vintage, ce qui permet au passage de remercier celles et ceux qui ont participé et continuent à archiver les différentes docs fournisseurs et tarifs, il y a des milliers de pages de documentation à feuilleter... @staffy et al...). C'est un peu comme si tu nous disais qu'il n'y a pas eu d'évolution entre une Clio génération 1 à, aller 50 000 Frs (7 700 Euros en traduction littérale, qui ne correspondent au final à rien) et la Clio de 2023 (regarde le prix en neuf). Enfin, ce n'est pas l'objet du post... 🙂0 point
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Excellent ! oui c’est un nagler 22 mm. J’ai ça c’est très agréable à utiliser !!!! Et très qualitatif Par contre pour observer Jupiter faudra grossir plus un dobson en prêt, de 250mm, c’est super!!0 point
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Ouais je sais pas je suis dubitatif sur le rapport qualité/prix du truc et surtout sur le type de client ciblé. Je ne doute pas que le truc fonctionne et que c'est convivial. Mais si t'es vraiment passionné par le survey tu tapes dans du matos meilleur et plus cher, et si tu es débutant tu mets pas 4000 dolards la dedans.0 point
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C’est très très intéressant vraiment! Comme j’ai une pareille lunette (Merz 102/1640), j’ai fait la même expérience: les oculaires modernes donnent les résultats excellents avec une vieille lentille.0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00