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  1. sebseacteam

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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/14/24 dans toutes les zones

  1. Bonjour à tous, Suite de la tournée des classiques de l'hiver, avec un passage dans Orion et sa célèbre tête de chwal. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 51 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s: Bon Dimanche
    4 points
  2. Bonjour à tous, Voici une nouvelle constellation: le Taureau. Il s'agit d'une mosaïque de 3 tuiles réalisée avec mon Sigma 50mm ouvert à f2.5 et mon Canon2000D défiltré partiel. Il y a 2h par tuiles (3x120x60s): J'ai eu quelques soucis au traitement. Il faisait tellement froid lors des acquisitions que mon masterdark habituel n'était plus en phase avec mes lights et la soustraction des darks a laissé du banding sur mes images. Il faudrait que je refasse des darks pour ces températures négatives. J'ai également repris le traitement de certaines des autres constellations pour essayer d'harmoniser un peu la qualité. N'hésitez pas un jeter un oeil. Nico
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  3. la rosette en Halpha durant l'éclaircie de jeudi soir avalon M-Zero + FRA300 + asi294mm bin 1 + filtre astrodon 3nm pose de 3 min, durée 6 h pas de traitement lourd, juste blurXtermnator et montée histo en attendant la prochaine éclaircie pour le S2 et O3
    2 points
  4. Salut tout l'monde, Ces deux dernières nuits je me suis attaqué à la nébuleuse de l'âme pour la première fois. Elle rentre au chausse pied, mais je trouve le rendu quand même très bien. J'ai fais deux nuits de 160*180s, soit 320 prises, mais je n'ai finalement gardé que 120 poses par nuit du fait de la dégradation des brutes avec la cible trop basse dans le ciel. Askar 65phq / asi 533mc pro / altair 6nm
    2 points
  5. Salut les observateurs à 2 yeux, Bon il faut le reconnaitre la "diamétrite aigüe" ne s'applique pas d'aux gros dobsons... Après l'expérience avec les Kepler BT100, il faut dire que la tentation était grande de passer encore au-dessus... Et je me suis laissé tenter par une offre très difficile à ignorer, fin 2023 chez Bresser, une magnifique paire de jumelles de 120 mm BT120 "refurbished" (reconditionnée), à 60% du prix neuf le plus bas. C'est une version de base, achromatique (pompeusement qualifiée de "semi-APO") et coudées à 45°. Dommage, malgré une cuvée exceptionnelle de 5 pages de divers matériels reconditionné Bresser/Explore Scientific qui fondait à vue d'oeil, pas de version coudée à 90°. Tant pis, je ferais avec. J'ai un peu attendu avant de faire des tests, la météo n'ayant pas aidé et je voulais aussi les collimater correctement pour les pousser un peu en grossissement. Bien sûr sur des 120 mm achro à F/D 5.5 le chromatisme va monter assez vite donc inutile de chercher à grossir trop. Donc mon côté je me suis fixé comme limite des oculaires de 5 mm (132x) munis d'un filtre "semi-Apo" pour le Lunaire, ça me suffira. Pour la monture, j'ai juste réutilisé celle que j'avais déjà fabriqué pour les Keple de 100 mm. COLLIMATION : Comme pour les BT 100 Kepler, les BT120 Explore Scientific ont des objectifs montés sur des excentriques comme moyen de collimation. Par contre la différence est qu'il faut démonter 2 bagues sur les BT120 au lieu d'un seule sur les BT100 pour accéder au réglage. Il faut d'abord retirer les 2 bagues devant l'objectif servant d'arrêt pour les caches anti-buée. Sur cette bague il y a 2 petits trous et, en théorie, il faut un outil spécial pour la desserrer. Ne l'ayant pas sous la main, j'ai donc improvisé : il suffit de récupérer 2 clous de 2 mm de diamètre (de mémoire) avec les pointes recoupés proprement. Ils rentrent de justesse, c'est parfait, bien les pousser au fond. Avec un plat en acier ou en alu dépassant de chaque côté, il suffit de l'utiliser comme levier pour dévisser la bague. Pour la suite, pas le choix, il faut un outil spécial. Ayant gardé l'outil générique de provenance Amazon déja utilisé pour les 100 mm, je l'ai réutilisé : https://www.amazon.fr/dp/B00J5F73GA/ref=pe_27091421_487030221_TE_SCE_dp_3 Par contre il est trop court d'origine pour des objectifs de 120 mm. J'avais sous la main une tige stub de 5 mm de diamètre et il me suffisait juste de couper 2 morceaux plus long (de 120 on passe à 150mm de long). La rigidité est encore suffisante mais "il faut tout". Prendre soin soin de n'utiliser que les vis à tête hexagonale pour bien serrer les mâchoires avec une clé et éviter tout risque de "riper". De plus bien ajuster avec soin l'écartement des mâchoires pour un minimum de jeu, les bagues étant souvent bloquées, il faut tenir très fermement les jumelles et l'outil. Pousser sur l'outil tout en dévissant la bague de maintien pour éviter tout risque de dérappage. C'est assez "viril", plus que pour les Kepler 100, car on manque de bras de levier. J'y suis arrivé sans casse mais maxi-stress pendant l'opération ! Reste à dévisser la bague, retirer ensuite la rondelle de calage et on arrive enfin à l'excentrique (à ne pas confondre avec avec la bague maintenant les lentilles qui elle est de plus petit diamètre !) : On peut désormais passer à l'étape collimation à l'aide de l'outil utilisé précédemment. Sur mon exemplaire l'un des excentriques était difficile à tourner donc là encore rester bien concentré pour éviter la cata ! Je me suis inspiré de ces documents et fait la collimation de jour avec des oculaires de 5 mm en visant de grandes antennes distantes de 15 km environ. https://nimax-img.de/Produktdownloads/53076_Collimation_instructions_APMAPOBino_Version_1_3.pdf http://r2.astro-foren.com/index.php/de/10-beitraege/02-ed-optiken-halb-apos-und-frauenhofer-systeme/677-b045-02-how-to-collimate-a-apm-100-bino http://r2.astro-foren.com/index.php/de/10-beitraege/02-ed-optiken-halb-apos-und-frauenhofer-systeme/522-b045-01-apm-fernglas-100mm-ed-apo-doppelbilder-zentrierung Google Trad est votre ami.. En notant la position de départ des objectif de chaque côté et en les tournant comme indiqué dans le second lien, on finit à force par "sentir" l'effet des réglages. C'est déroutant au début mais on s'y habitue. J'ai fait les réglages en déplaçant le regard à l'horizontale d'un oculaire à l'autre. Avec un peu d'entrainement on détermine vite ce qui ne va pas entre les deux images. Ensuite remonter les bagues en serrant "suffisamment" mais pas non plus comme un bourrin. Sur ces Explore Scientific 120, j'ai au final bien amélioré la collimation (suffisante à 33x, mais pas à 132x). Maintenant ça fusionne correctement avec les oculaires de 5 mm. inutile d'aller plus loin, le grossissement maxi de 132x est bien suffisant pour des modèle achromatiques ! OBSERVATION : Jeudi puis vendredi, malgré le froid (petite bise bien fraïche) et un ciel un peu laiteux (présence du halo de Bourges/ Saint Florent et quelques éclairages proches). Allez hop, sortie des jumelles et en avant la ballade céleste ! Observations faites avec les BT 120, les 2 oculaires fournis de base, des Explore Scientific 20 mm 62° (33x), sans filtre. Fond de ciel un peu laiteux, dû à la pollution lumineuse. * Les Pléiades M45 : magnifique spectacle ! Tout le monde rentre dans le champ, * Le Double amas de Persée : très impressionnant, ça fourmille d'étoiles, on s'y perd littéralement ! * M42 Nébuleuse d'Orion : la claque une fois les yeux bien habitués au noir ! Le grand oiseau se déploie sur à peu près 1/4 du champ. Un spectacle fascinant, on distingue les différences d'homogénéité lumineuse de la structure de la nébuleuse, impossible de décrocher. Les 4 étoiles du trapèze sont bien séparées même si ça tubule un peu. * M31 / M32 / M110 : la fameuse M31, la galaxie si frustrante habituellement... C'est la plus belle vision que j'en ai eu jusque là ! Attention, elle reste toujours frustrante, pas de détails évidents, un noyau bien brillant mais elle se déploie sur tout le champ. M32 saute aussi aux yeux alors que M110 est visibla mais plus discrète. * M81/M82 : les deux galaxies entrent facilement dans le même champ. Certes plus petites que M31 mais franchement plus intéressantes je trouve. Là aussi le spectacle est fascinant, difficile de décrocher. J'ai ensuite testé 2 oculaires APM 10 mm 60° UFF, sans filtre sur M42 et M81/M82: le ciel est bien plus noir, le contraste est un peu meilleur mais on perd bien sûr en luminosité de surface. Au vu de la qualité de mon ciel (côté pollution lumineuse) et si je met de côté la grande M31, je pense que le compromis idéal en CP serait des oculaires de 15 / 16 mm et de 60 / 70° de champ. Que ce soit avec les 20 mm ou les 10 mm, sans filtre, franchement, le chromatisme ne se voit pas sur ces cibles peu lumineuses. Après, avec les 10 mm et sur des étoiles très brillantes et surtout sur des planètes brillantes comme Jupiter, là évidemment il apparait clairement sous la forme d'un halo magenta / bleu / rouge. Justement je suis allé faire un tour du côté de la famille Jupitérienne avec les oculaires de 10 mm (66x). En effet, le halo est bien visible. J'ai utilisé 2 filtres jaune clair, ça aide beaucoup, une grosse partie du halo disparait, l'image de Jupiter est plus contrastée, les principales formations sont visibles. Je n'ai pas testé cette fois les filtres "semi-APO", on verra une autre fois. Je voulais aussi faire une comparaison entre les oculaires ES 20 mm 62° livrés de base avec les BT120 et les oculaires APM 19 mm 65° UFF livrés de base avec les BT100 Kepler. Le champ est légèrement plus grand pour les APM, le piqué est je trouve légèrement meilleur au centre des ES 20 mm mais par contre les bords de champ sont sensiblement mieux corrigés sur les APM 19 mm. Donc, après réflexion, les APM 19 mm seront dès aujourd'hui attribuées aux 120 mm Explore Scientific. Et je pense aussi équiper les oculaires de 10 mm avec des filtres "semi-APO" pour l'observation lunaire. Du côté du poids et encombrement, Évidemment les 120 mm sont plus lourdes et encombrante que des 100 mm mais cela reste "raisonnable" pour qui veut pouvoir aller observer à la campagne ou à la montage. AJOUT DU 15:01:2024 : Test ce soir sur la Lune (croissant du 4e ou 5e jour), toujours avec les Explore Scientific BT120 . * Oculaires APM 10 mm 60° UFF (66x) + filtre semi-APO Baader : quel spectacle ! On en "prend plein les mirettes". Le croissant bien brillant (presque trop) et aussi la lumière cendrée en entier dans le champ. Franchement difficile de décrocher du spectacle... Dans la lumière cendrée on peut même voire les grandes configurations sous une forme "fantomatique" et c'est très sympa ! On a aussi la sensation d'une sphère (même si c'est juste une sensation vu la distance de Sélène). Ca turbule un peu mais ça croustille de cratères. Globalement la couleur est naturelle, pas de dominante vraiment évidente et il reste un peu de chromatisme (liseré vert sur le limbe). * Oculaires Célestron X-Cel-LX 10 mm 60° UFF (132x) + filtre semi-APO Baader : là la Lune ne tient plus entière dans le champ, donc on doit se balader. Bien sûr l'image est moins lumineuse et c'est à mon avis ce qui fait que la dominante due au filtre (légèrement jaune-vert) est plus évidente. On perd aussi en contraste et le chromatisme est plus présent. L'image reste encore belle mais pour moi c'est la limite de grossissement "raisonnable" pour la version achromatique. AJOUT DU 19/01/2024 : Test des oculaires Explore Scientific 8.8 mm 82° J'ai refait un essai ce soir. J'avais oublié (comment est-ce possible ?) que j'avais 2 oculaires Explore Scientific 8.8 mm 82° sous la main. La Lune a désormais dépassé le premier quartier... Avec les Jumelles BT120 ça donne un grossissement de 75x exactement, donc un peu plus qu'avec les APM 10 mm. En plus le champ est très généreux et la Lune passe largement, ce qui permet de facilement la suivre. Avec les filtres Semi-Apo Baader vissés aux oculaires, une fois la mise au point faite, déjà on se prend une bonne claque ! L'énorme boule cratérisée brillante flotte devant mes yeux, légère turbulence... Comme il fait totalement nuit l'image est particulièrement lumineuse et contrastée. Le chromatisme est plus sensible que ma précédente session du 15/01 avec les 10mm. Il faut dire que ma précédente observation était faite en fin de journée alors qu'il ne faisait pas totalement nuit. Et ça joue beaucoup sur la perception du contraste et du chromatisme ! J'ai eu la sensation de retrouver un chromatisme assez équivalent à celui de la lunette achro Bresser AR 127 L / 1200 à grossissement équivalent. Donc F/D 5.5 + filtre versus F/D 9.4 sans filtre. Cela dit, franchement, on oublie vite ce point de détail et on profite de parcourir l'image croustillante de fin détails. Difficile de s'arracher du spectacle mais il le faut bien pour rédiger ce mini-CROA... CONCLUSION (modifiée le 19/01/2024) : Je voulais aussi faire une comparaison entre les oculaires ES 20 mm 62° livrés de base avec les BT120 et les oculaires APM 19 mm 65° UFF livrés de base avec les BT100 Kepler. Le champ est légèrement plus grand pour les APM, le piqué est je trouve légèrement meilleur au centre des ES 20 mm mais par contre les bords de champ sont sensiblement mieux corrigés sur les APM 19 mm. Donc, après réflexion, les APM 19 mm seront dès aujourd'hui attribuées aux 120 mm Explore Scientific. Et je pense équiper les oculaires les ES 8.8 mm 82° avec les filtres "semi-APO" pour l'observation lunaire. Ces oculaires sont vraiment parfaitement adaptés, grossissement de 75x, le chromatisme reste encore raisonnable et le champ permet de suivre confortablement le globe lunaire. Du côté du poids et encombrement, Évidemment les 120 mm sont plus lourdes et encombrante que des 100 mm mais cela reste "raisonnable" pour qui veut pouvoir aller observer à la campagne ou à la montage. Albéric
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  6. Hello, le même soir que l'observation de mes deux NP d'été et d'hiver - voir autre post - j'ai aussi profité de Jupiter, d'une part en début de soirée vers 18 h, et de l'autre vers 21h30. Je rappelle que la turbulence était modérée mais tout de même présente, induisant de longs moments d'images floues le temps que cela se stabilise. Bien entendu les dessins ont été faits dans ces trous de turbulence, il fallait alors mémoriser le maximum de détails pour ne pas faire traîner trop ...Jupiter tourne vite, et les Arp et Hickson attendaient aussi ! Donc voilà, j'ai déjà eu de plus belles images, mais le 300 était de sortie, Jupiter bien haute, ç'aurait été dommage de ne pas en profiter. T 300 X 170 T 300 X 170 / X 225 On note toujours cette zone bistre remarquable, qui tranche au N, et qui contient quelques détails dans les hautes latitudes. idem, les petites bandes secondaires se chargent d'irrégularités, les NEB et SEB ne sont que complexe de spots, de barges, de zones plus claires, le tout garde une texture bien granuleuse. Elle sont parfois bien soulignées par un bord plus net, plus ou moins sinueux. Les formations inter-bandes sont d'un bleu-gris ardoise assez remarquable, tranchant avec le brun brique des bandes, et sont ornées de détails plus ou moins subtils. Même si avec cette turbu c'est difficile d'aller chercher plus de détails dans les détails, ils sont plus nombreux qu'à la FC-100 avec le même type de conditions, le disque est plus garni et complexe, et surtout les couleurs sont plus prononcées. Bon ciel à vous !
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  7. Bonsoir tout le monde J'ai donc trouvé il y a quelques semaines une monture azimutale ancienne, probablement une Manent, pour porter ma Grand Mère Bardou Le mouvement en azimut est beaucoup trop fluide et j'ai démonté l'engin pour voir ce qui pouvait clocher. Et j'avoue que je suis perplexe : la mécanique est magnifique mais j'ai l'impression qu'il y a beaucoup trop d'éléments filetés imbriqués pour l'usage, simple, d'une telle monture. Et qu'en plus il manque une putain de rondelle pour juste freiner le mouvement en azimut Quelqu'un a-t-il déjà eu l'occasion de démonter une telle monture ou de savoir comment cela fonctionne à l'intérieur? Eventuellement, j'essaiera de faire un roman photo avec les divers (très nombreux) éléments ; ça pourra aider Merci et bons cieux à tout le monde
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  8. Si des amateurs sont intéressés par la collimation de ce type de jumelles ou par un test d'une version 120 mm avec objectifs achromatiques, 'c'est ici : Albéric
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  9. Voilà le roman photo. Je suis en contact avec quelqu'un qui a eu deux Manent et peut être m'apportera-t-il des réponses. Sur la photo, la pièce 1 est en haut, et la 5 en bas En fait, lorsque je visse à fond l'écrou (pièce 3 sur la photo) sur l'axe de la fourche (pièce 1), la pièce 2 a du jeu. vu la qualité de l'usinage, je ne crois franchement pas à un jeu involontaire. Peut être manque-t-il une rondelle quelque part... A moins qu'il faille jouer sur la hauteur de la butée au fond de la pièce 4 qui semble devoir retenur une petite bille à la base de l'axe de la fourche. Mais ça me semble franchement tordu comme solution. Actuellement, je ne vois pas à quoi sert cette putain de pièce 4... Donc soit il manque une rondelle, soit quelque chose m'échappe... J'espère ne pas vous avoir ni perdu ni lassé! Bon ciel
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  10. Comparatif Astrocooker, je viens de tester avec de gauche à droite : Stack Seestar + amélioration sur l'ipad / Astrocooker en lui donnat directement le fit stacked de SIRIL / Version SIRIL (FWHM 85%) + Topaze + Camera Raw Aucune image n'a été recadrée Y'a pas photo comme on dit C'est trop lissé sur Astrocooker
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  11. Très belle prise en effet !
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  12. ne change surtout pas ton 300 alors! Ce sont des choses dont il faut être bien conscient et prendre au sérieux lors du choix! et peut être qu’après un 300, un 500 marquerait plus le gap!
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  13. aucune idée ? 🛰 c’est la 2em fois que je vois passer ce groupe de satellites J’ai pensé à starlink aussi mais il me semble qu’à la suite d’une forte activité solaire, le train starlink avait été endommagé voir détruit (sauf erreur de ma part) il se peut que ce soit un groupe de nouveaux satellites starlink la photo prise au tel n’est pas comme si j’avais shooté à l’apn c’est plusieurs satellites et pas un seul comme on pourrait l’imaginer avec une exposition de plusieurs secondes ça aurait été un long trait avec un apn
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  14. Je te remercie beaucoup je vais suivre conseils , j'ai jamais fait attention ni pour la trame ni pour la saturation des étoiles 🙏🙏🙏🙏🙏🙏👍👍
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  15. Magnifique le nb lui vas si bien
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  16. Salut Seb Bien joué comme d'hab. Belles couleurs, ça croustille ! J'adore ! Bon dimanche à toi
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  17. De bien belles couleurs pour ce grand classique de l'Hiver ! Bon ciel Vincent
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  18. Très chouette cette version. C'est vrai qu'en RGB, y a de belles nuances de couleurs qu'on perd en HOO...
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  19. Pfiouuuu! Magnifique! Trop beau les détails quand on se promène dans le full! Super naturel le traitement du coup. J'aime beaucoup. Hâte de voir la suite.
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  20. Les filaments sur le sommet de la "tête" sont magnifiques! Je recadrerais pour enlever les bords un peu sale dû à l'alignement Peut-être un peu trop d'anti-bruit? Je trouve le FDC et les parties faibles de la nébuleuse un peu trop lisse ou avec des aplats qui ne semblent pas naturel?
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  21. Bonjour à tous, Vincent Heidelberg, de la chaîne Stardust, vient de sortir un nouveau documentaire sur Apollo 11 de quasiment 2h00!! Absolument magnifique ! La mission vue sous d'autres angles ! C'est pas du réchauffé! À voir absolument ! Voici le lien:
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  22. Très belle, traitement doux et belles couleurs 👍👍😄
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  23. Hello Serge, Alors pourquoi un correcteur sur mon RC. Le RC 10" que je possède est un modèle spécifique de chez TS, c'est une série spéciale déclinée en 10" et 12" ( https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/info/p13981_TS-Optics-10--f-6-4-RC-Telescope-with-Corrector---Carbon-Truss-Tube.html ). De meilleures optiques, un PO 3" TS hyper costaud qui remplace celui de GSO d'origine et le fameux correcteur 3". Correcteur qui ne fait pas que correcteur, c'est un correcteur/réducteur de focale 0.8x spécial pour RC (qui est aussi vendu à l'unité chez TS : https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/info/p17588_TS-Optics-RC-0-8x-Corrector-Reducer-for-Ritchey-Chretien---big-sensors---M68-connection.html ). Ce qui ramène le f/8 d'origine de mon RC à un f/6.4 . Le correcteur/réducteur RC 0.8x permet de gérer jusqu'au capteur 24x36. Alors certes il y a chez TS un réducteur 0.67x pour RC mais qui ne fait pas correcteur et ne permet de gérer jusqu'au format APS-C ( https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/info/p8932_TS-Optics-2--CCD-Reducer-0-67x-for-RC---flatfield-telescopes-up-to-f-8.html ). Enfin tout ça pour dire que mon RC est un véritable RC même avec son correcteur/réducteur 😁. Oui tu peux utiliser les deux photos que tu as cité. J'ai différents setup si cela t'intéresse : J'ai donc les deux "gros" tubes, le Newton ASA 300 f/3.62 et le RC 10" f/6.4, la TeleVue NP101is modifiée FLI ATLAS par VERTEX, avec la grosse monture EQ8-RH. J'ai une petite ASKAR FRA300 que j'utilise sur ma nouvelle monture harmonic drive Pegasus Astro NYX-101. L'ASKAR et le RC utilisent ma ZWO 2600MM Pro. Le Newton ASA et la TeleVue NP101is utilisent ma Moravian G4-16000 (CCD 36x36) Florent
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  24. Bonjour Monsieur @Mac Murphy, Soyez le bienvenu sur WebAstro. Aussi légitime qu'elle puisse paraitre, voilà une question à laquelle il est pratiquement impossible de répondre tant les possibilités de combinaisons ne sont pas dénombrables tout autant par la diversité des matériels proposés que par l'infinie multiplicité des possibilités d'assemblage. Ceci d'une part. D'autre part, votre question est bien trop ouverte ou trop généraliste pour pouvoir vous donner une réponse qui un tant soit peu, ait du sens. Rien qu'un seul critère sur les oculaires, 1,25" ou 2" auraient déjà pu restreindre le champ de la réflexion, mais il y en a tant d'autres. La réponse de @Skywatcher707 allait bien dans ce sens, à savoir que si vous souhaitez avoir une vue exhaustive des possibilités, il n'y a à ce jour pas beaucoup d'autres possibilités que de les essayer toutes. Pour la majorité ici nous avons essayé une dizaine ou une vingtaine de combinaisons pour un instrument, mon voisin une vingtaine d'autres, car par habitude, connaissance, pratique il a une démarche différente. Ce sera aussi votre cas à l'avenir, forcément. En réalité la réponse à votre question, c'est vous qui la trouverez en lisant les sujets de ce forum, et plus particulièrement les sujets épinglés dans chaque rubrique qui ont été placées là à l'attention de personnes comme vous qui êtes en recherche. L'astronomie n'est pas un fastfood avec un menu qui s'affiche sur un écran où il ne reste plus qu'à cliquer pour être servi. Cela ne marche pas du tout comme cela. Nous sommes tous passés par une période très frustrante j'en conviens, où il a fallu beaucoup lire, en ne comprenant que peu très souvent, puis essayer sur le terrain, se confronter à d'autant plus d'échecs que la compétence était encore essentiellement en devenir. Et encore, là je vais faire le vieux que chaque jour je deviens un peu plus, "de mon temps" internet n'existant pas, les publications étaient plutôt rares, davantage encore si vous habitiez la campagne. Avec les écrits de Camille FLAMMARION, de Pierre BOURGES, de Jean TEXEREAU et autre Christian BUIL plus tard, nous avions fait le tour de ce qui était disponible. Les clubs étaient tout aussi rares. Nous avons retroussé les manches, mangé notre pain noir, et puis de proche en proche, découverte par découverte nous avons progressé. Alors au lieu d'invectiver, faites comme nous, attelez vous à la tâche et vous verrez, les compétences viendront. Oubliez donc le principe de la question/réponse immédiate, ce n'est pas tout à fait cela l'Astronomie amateur. Par contre dès que vous aurez lu et découvert telle ou telle technique, vous aurez alors des questions beaucoup plus précises sur tel ou tel point particulier à poser. Vous verrez alors fleurir de nombreuses réponses parfois très pointues à partir desquelles vous aurez de nouvelles questions avec de nouvelles réponses qui à leur tour déclencheront encore d'autres questions. Ce sera à cet instant que le Forum prend tout son sens et chacun se mobilise pour l'autre. Encore serait-il utile à chacun de connaitre la marque et le modèle de ce que vous avez acquis et cerise sur le gâteau l'endroit où vous l'avez acheté. Il est certes trop tard maintenant, mais une recherche sur ce forum vous aurait informé qu'il ne vous était pas nécessaire de changer tout le porte-oculaire. Lacerta produit un kit spécifique aux instruments SkyWatcher qui permet d'implanter le vernier démultiplicateur et améliore significativement le fonctionnement du porte-oculaire. Une autre fois pour autre chose peut-être. Belle vie d'astronome à vous. Ney
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  25. Merci Dauphin!😊👍 Aaaaah, ça fait un bien! Au programme M81 pour tuer le temps puis M42 tant que ça tient...😬 c'est pas un seeing de ouf mais elle est encore basse... a+ Serge
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  26. Hello, dessins retouchés pour corriger notamment la dominante jaune, mais on dirait que le passage sur les forums altère le dessin, le salit un peu ...il vaut donc mieux les regarder avec du recul par rapport à l'écran, c'est plus réaliste de ce qu'on a à l'oculaire
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  27. Wikipedia donne déjà pas mal d'informations sur ce télescope US (en commençant par les deux noms qui servent à le désigner : celui mettant à l'honneur Vera Rubin (astronome qui a inventé la matière noire) et celui initial LSST) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Observatoire_Vera-C.-Rubin Il est en construction au Chili, et a un miroir primaire de grande taille (8, m) : Etat des travaux en 2019 On donne 2025 comme année prévue pour son entrée en fonction.
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  28. Voici une carte vœux pour vous souhaiter à tous une excellente année 2024
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  29. C'est fait, je viens de commander l'ES400!
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  30. Voici un lien qui m'a bien aidé à comprendre:
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  31. Merci pour les retours positifs. J'ai complétement changé ma manière de traiter à la suite de visionnage des tutos de la chaine youtube Photon Millenium de @Jean-Baptiste_Paris, dont je remercie et salue l'immense travail fourni sur sa chaîne. En gros j'ai laissé tomber GHS, que je pensais maîtriser un peu, et je suis passé à HistogramTransformation qui me permet d'obtenir un meilleur résultat, mieux équilibré. L'utilisation de Blurx expliqué par Jean-Baptiste rajoute un gros plus. J'ai également mis en oeuvre sa mise en place d'une couche de luminance sur une couche de chrominance légèrement floutée. La remise des étoiles unscreen avec pixelmath et sa formule bien particulière. J'ai également mis au placard la saturation des couleurs (j'en abusais clairement...)
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  32. @polorider Merci pour ce partage 👍 Jolie soirée d'observations. Pas cool pour les glaciers éclairés la nuit !!!! J'aime bien ton champ de galaxies 🥰 , ainsi que la nébuleuse Running Man. Au fait, tu es passé en v3.0 ou bien tu es resté en v2.5 ?
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  33. "Suis le lapin blanc, Néo" Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=WANNqr-vcx0
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  34. C'est drôle, sur le coup j'ai cru que c'était un poulailler la baraque délabrée au premier plan ! 😆😁
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  35. Je préfère la première aussi, plus punchie au niveau luminosité. Y'a du signal et de beaux détails. Les couleurs c'est un choix perso et ça dépend de ses intentions: obtenir quelque chose d'esthétique, d'artistique, plus scientifique, etc. Points négatifs (corrigeables au traitement?): étoiles trop saturées et une trame verticale et horizontale trop visible (Siril corrigera ça très bien). Le plaisir avant tout ! Comme la chantait Boris Vian, On n'est pas là pour se faire engueuler! La nébuleuse d'Ori-flamme?
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  36. Voici ce que j'ai reçu ce jour et qui a répondu à mes attentes. Et qui pourra servir aux débutants : Dans mon cas, j'ignorais la subtilité qui différenciait le mode visuel du mode photo.
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  37. Je préfère celle ci (la même idée mais sans le horrible 😄)
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  38. Salut tous, Petit retour sur l'observation de cette éclipse un peu hors norme. Pour rappel, il s'agit d'un problème à trois corps. Les deux amants enlacés, et le mari jaloux, qui observe la scène de loin. L'étoile est donc triple et composée, à la base, d'une binaire de type contact produisant des variations ellipsoidales de faible amplitude (0,06mag), avec une troisième étoile orbitant "au large" et susceptible de produire épisodiquement des éclipses plus profondes. Ce n'est qu'en 2013 qu'une telle éclipse, qui était supputée depuis longtemps, a été observée pour la première fois, presque par hasard. En tout cas, sans réelle systématisation. Ces éclipses sont assez profondes et faciles à observer (0,5 mag) et ont lieu par paires : éclipses primaire/secondaire, séparées par quelques mois, le schéma se répétant ensuite identique à lui-même tous les 704 jours. Eclipses complexes à prédire et à analyser, aux courbes tordues et toujours différentes, car la configuration change sans cesse. A chaque occurrence, c'est une semaine d'intensité et de suspence, pour l'observation d'un phénomène qui n'est pas totalement cerné, qui s'étale sur trois jours pleins. La période est encore incertaine, et l'on ne sait pas véritablement quand va débuter l'éclipse, ni quelle en sera la profondeur, même si la prévision est globalement bonne désormais. Il y a souvent un décalage de plusieurs heures et quelques dixièmes de magnitude. Le début de l'éclipse sera-t-il visible depuis l'Europe, ou plutôt depuis les Amériques ? Il n'y a, hélas pas d'observateurs avérés dans la sphère Asie-Pacifique. Qu'en sera-t-il de la fin ? Les observations corroboreront-elles la courbe présumée ? Aura-t-on seulement un peu de ciel ? J'observe les éclipses de b Per depuis 2015 ; ma petite contribution de colibri, quand ça veut bien question météo. Cela se produit systématiquement en hiver ou en automne, même si, forcément, un lent décalage dans le temps a lieu, qui ramène progressivement le phénomène de l'hiver vers l'automne, et dans un futur encore lointain, le ramènera de l'automne vers l'été. En jeu : la caractérisation des étoiles de ce système à trois corps, et l'amélioration des orbites. Cette année, au programme, caractériser le plus précisément possible le début et la fin de l'éclipse, et en particulier, confirmer ou non la présence d'un petit "dip", signature d'une ultime occultation rasante susceptible de se produire une nuit après le dernier grand creux. Bon, voilà pour la théorie et les enjeux. Assez de blabla, on passe aux actes. Actes ? Quels actes ? Ambiance. Cela fait pratiquement un mois et demi que le pays voit défiler perturbations sur perturbations, et que ses habitants ont les pieds dans l'eau. Et ce n'est guère mieux dans nombre d'autres pays en Europe. Il va falloir se battre encore une fois, comme d'habitude. La photométrie est un sport de combat. Alors on met en station, on bache, et on attend. Un tour dehors tous les quarts d'heure, histoire de surveiller l'état de la couverture nuageuse, histoire de débusquer le moindre trou dans la couette épaisse. Meteoblue n'a pas toujours la précision requise pour ce genre d'activités un peu subversives, et la nuit, on le sait bien : tous les chats sont gris et les images satellitaires IR n'ont pas grande utilité. L'éclaircie que tu vois arriver depuis un moment ne vient pas, elle passe à cinquante kilomètres de là, tandis que le nuage que tu vois là, sur l'écran ouaté de ton PC ne correspond à rien. En réalité, il existe un décalage de trente minutes entre le satellite et ton vrai ciel, et quand ça défile à 140 km/h en altitude, bien malin celui qui pourra dire quand le rideau s'ouvrira. Tes pieds dans les pantouffles, bien au chaud devant ton ordi tout gavé de nuages, quand le ciel est étoilé au-dessus de ton scope, qui attend. Alors, à la première étoile visible dans un creux du nuage, tu pointes, et tu enclenches les poses en mode auto pour la nuit complète, si possible. Réveil en milieu de nuit pour renverser la monture au méridien, ou pour bacher, selon. Pour vérifier que la bache est encore en place, aussi, certains soirs, parce qu'avec des rafales à 80 km/heure, on ne sait jamais. Tu dors moyennement, quoi. Mais c'est pour la science, alors tout baigne. Un petit bout d'observation en Espagne, rien ici, deux heures en Italie, et puis ça se bouche, relais aux States. Une soirée qui promet d'être calme en vallée du Rhône, trois heures de gagnées sur le gris, puis les cirrus qui avancent jusqu'à tout recouvrir. Meteoblue t'avait promis la nuit entière. GRRRrrr. Demain, il pleut. Couvert sur la Côte Est, là-bas de l'autre côté de la grande mare ; heureusement, en Caroline du Nord, ça passe, et ça prend le relai. Meteoblue qui t'avait promis encore, cet autre jour, une soirée correcte pour se faire pardonner de ses sautes d'humeur de la veille, t'octroyant au moins un petit morceau du gâteau pour te remercier de ta patience légendaire de photométriste mouillé. Toute une soirée rien que pour toi, le ciel, le vent et le froid mordant à moins deux (bagatelle), qui te coupe les doigts (tu n'as pas droit aux gants, ce serait hors-jeu et pas assez amusant) sous les étoiles d'hiver, moins cinquante ressenti, et puis quoi ? Le sourire aux lèvres. Te voilà contraint à trente minutes de mesures seulement, juste trente petites minutes, une éclaircie, tic tac tic tac, un poil juste derrière la fin du bleu de la fin d'après-midi, dans ces instants incertains où le jour le dispute encore à la nuit. Maigre récolte. Trente minutes seulement, avec une cible à peine au-dessus des arbres, en théorie encore trop basse sur l'horizon pour se défaire des contingences atmosphériques et être correctement mesurée, bien noyée encore dans le grand bleu, comme si le vent qui fait bouger le tube de la lunette toutes les minutes, tu as chronométré, toutes les minutes, c'est bien ça, et la présence de la Lune presque pleine à trente degrés de là, ça n'était pas encore assez pour une photométrie de précision. Meteoblue qui s'est encore planté, qui t'avait promis la soirée complète, ne l'oublions pas, la soirée complète, complète, et ne te donne à grignotter que trente minutes de bonheur. Car oui, il s'agit de bonheur à l'état pur. C'est un fait incontestable. Ce froid si intense. Tu as vérifié sur l'image satellitaire : ce soir c'est pour ta pomme. C'est toi le roi des étoiles, et t'as intérêt à pas te louper. Tes collègues observateurs en Allemagne, en Espagne, en Italie sont dans la mouise ; ça ne se dit pas, mais oui, ce soir c'est pour ta pomme. Ce sont tes observations, sinon rien. Hahaha ! Ce que l'Ego peut être faible parfois ! Chronique d'une soirée d'observations ordinaires. Cela pourrait s'intituler ainsi. C'est ce soir que ça commence. Pratiquement la soirée la plus importante, en plus. Caractériser le début de l'affaire. Quelle ironie. Dans la précipitation, tu n'as pas appuyé sur le bon bouton, et ta pose photographique, qui aurait dû stopper à 180 secondes, est encore enclenchée au bout de près de cinq minutes, tandis que tu bats le pavé pour te réchauffer les orteils. Tic tac tic tac. Trente minutes. Tu n'as que trente minutes. Tu ne le sais pas, bien évidemment, mais le couperet tombera bientôt. Fort heureusement, tu t'aperçois de ta bévue suffisamment à temps. Tu n'as non seulement pas perdu ta première pose, car, avec 300 secondes au lieu de 180, ça passe encore côté saturation du capteur, vu que tu as prévu une marge, et que l'étoile est encore très basse, et donc moins brillante, mais en sus, tu as évité la catastrophe. Imagine : une unique pose de trois heures, hors séquenceur. Aucune donnée exploitable, sous un ciel parfaitement étoilé. L'erreur du débutant ; le cauchemar ; ça t'arrivait dans les temps anciens, mais plus maintenant. Cela devient plus rare, disons. Des comètes s'en souviennent, en tout cas : images grillées, forcément. Pas de quoi être fier ni fanfaronner sur les réseaux. Ça et puis le sélecteur qui reste bloqué à 12800 iso au lieu de 100 : cuisant également, on ne peut plus. Et puis l'APN que tu n'as pas eu le temps de remettre à l'heure avant le début de la manip. La précipitation, toujours. Deux secondes de décalage. Pas méchant ; ça se compensera avec une soustraction sous Excel. Faudra juste penser à y penser. Trente minutes. Tic tac. Tic tac. Déjà les nuages reviennent sur l'horizon nord, avec ce foutu mistral qui emporte tout. Dans cinq minutes, ce sera de nouveau bâché. Au doigt mouillé. Et froid. La poisse. Meteoblue s'est encore planté, qui avait promis la soirée complète. L'aventure est dans le ciel. Dommage qu'on ne soit pas plus nombreux sur ce coup-là, tu te dis. Dommage. La prochaine fois, sûrement que ce sera mieux. Quelques mois seulement à attendre. Christophe La cible est l'étoile brillante, en haut à droite du losange. Le champ fait deux degrés de large. Une courte pose à 12800 iso, en début de séquence, pour vérification du pointage. Les autres étoiles du champ seront utilisées pour effectuer la photométrie comparative. L'image est défocalisée pour éviter la saturation du capteur. Lever de pleine Lune encapuchonnée. La photométrie est un sport de combat. Jupiter et la pleine Lune. La courbe de lumière obtenue, en V et TG (couches vertes, tous observateurs confondus - source AAVSO). On distingue assez bien la variation ellipsoidale dans la partie de gauche de la courbe, et l'évolution du phénomène, à droite. A comparer avec l'évolution prévisionnelle plus bas. La courbe brute, toutes longueurs d'ondes observées (AAVSO) Pas mal de différences entre le prévisionnel et l'observation, il semble bien, cette fois. Une image brute.
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