Classement
Contenu populaire
Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 01/30/24 dans toutes les zones
-
3 points
-
Salut les Astram! Je vous presente une petite nebuleuse planetaire... NGC 1514 est une nébuleuse planétaire située dans la constellation du Taureau, à environ 800-1520 années-lumière de la Terre. Elle a été découverte par William Herschel en 1790, qui la décrivit comme "une nébuleuse très singulière, qui ressemble à une étoile de la huitième magnitude, avec une atmosphère légèrement lumineuse, d'un diamètre de 2’. En effet, en lumière visible, la nébuleuse apparaît comme une boule de cristal, avec une étoile au centre, en fait, c'est un système binaire à longue période, d'approximativement neuf ans, qui a été révélé par des observations spectroscopiques récentes. L'étoile la plus chaude est la naine blanche qui a donné naissance à la nébuleuse. Elle a une température de surface de plus de 80 000 K, et émet un rayonnement ultraviolet qui ionise le gaz de la nébuleuse, le faisant briller. L'étoile la plus froide est une étoile normale, qui a une température de surface d'environ 10 000 K, et qui est plus massive, plus lumineuse et plus éloignée que la naine blanche. Elle a été enrichie en éléments lourds par le transfert de matière de la naine blanche lorsqu'elle était sur la branche asymptotique des géantes, avant de perdre son enveloppe. NGC 1514 présente une structure complexe et variée selon la longueur d'onde à laquelle on l'observe. En lumière visible, NGC 1514 est généralement cataloguée comme une nébuleuse ronde ou légèrement elliptique, avec une apparence amorphe et grumeleuse composée de nombreuses petites bulles. En infrarouge, le satellite Wise a mis en évidence la présence de deux anneaux de poussières qui entourent la boule de cristal. Ces anneaux sont invisibles en lumière visible, car ils sont noyés par l'éclat de l’étoile centrale. Ils sont probablement le résultat de l'interaction entre le vent stellaire de la naine blanche et le compagnon , qui crée des ondes de choc et des turbulences dans le milieu interstellaire. Et c'était le but de ma "mission", de détecter ces anneaux ! on ne rigole pas au fond !http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/biggrin.png j’ai utilisé un filtre IR850 et ma caméra Neptune imx464 ( elle possède une sensibilité élevée dans les infrarouges) pour tenter de voir ces anneaux… tel un gamin qui croit au père noël !http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/smile.png En utilisant des spectres et des images optiques à haute résolution, les astrophysiciens ont pu modéliser la nébuleuse à partir des cartes de position-vitesse de la ligne [O III]. Ils ont identifié plusieurs structures : une coquille externe sphérique, une coquille interne déformée par des protubérances, avec des bulles symétriques. Ils ont estimé les vitesses d'expansion et les âges cinématiques de ces structures, qui sont similaires pour la coquille interne et les bulles (environ 4000 ans), mais plus élevés pour la coquille externe (environ 5400 ans). Ils ont également proposé une structure en forme de tonneau pour expliquer les anneaux infrarouges, mais sans données cinématiques pour la confirmer. La structure de NGC 1514 témoigne de l'importance des binaires dans la formation et l'évolution des nébuleuses planétaires. Ces objets célestes sont souvent le résultat de l'interaction entre deux étoiles, qui modifient leur structure, leur rotation, leur masse et leur composition. Les binaires peuvent aussi influencer la morphologie et la chimie de la nébuleuse, en créant des jets, des disques, des lobes ou des anneaux. NGC 1514 pose un défi pour les modèles de formation des nébuleuses planétaires, car elle présente une symétrie sphérique, alors qu'on s'attend à ce qu'une binaire crée une nébuleuse asymétrique. De plus, la masse de la naine blanche est supérieure à celle d'une étoile typique, ce qui suggère qu'elle a subi un processus de fusion nucléaire inhabituel. Enfin, la nature et le rôle du compagnon restent à éclaircir, car il pourrait s'agir d'une coïncidence de position, et non d'un membre du système binaire. J’ai la chance d’avoir plusieurs caméras avec chacune des caractéristiques propres… La Saturn (imx533) est une caméra NB, elle possède un pic de sensibilité vers le vert/bleue, parfait pour faire de l’ OIII. J’ai utilisé l’Halpha sur cette même caméra pour le côté pratique... et faire du halpha avec ma couleur… C'est compliqué. La Uranus (imx585c) m’a servi pour la couleur, elle possède un bruit de lecture extrêmement bas ce qui est parfait pour les courtes poses. Et ensuite la Neptune(imx464) pour l’infrarouge 850, son pic de sensibilité est à 850 ! (+90%). C’est clair qu’il faut optimiser chaque détail…Le bruit de lecture est le bruit qui domine dans le domaine des courtes poses, c’est lui qui fera la différence au-delà du bruit photonique, donc comme le gain est élevé , ma dynamique s'effondre alors, il faut choisir, le capteur est plus susceptible de choper un poil de signal ! Après, c’est évident que pour une détection optimale de ces anneaux (la raison du choix de cette cible) ,il aurait fallu utiliser un filtre plus profond mais mes temps de poses unitaires aurait plus conséquents… Mon matériel ne me permet pas de faire de la longue pose… Je tenterai de nouveau cette cible avec un filtre IR1200 en poussant à 4-5s et je verrai bien. Ha oui, les Darks sont primordiales en poses courtes si vous ne voulez pas que votre PC hurle ou explose (20000 images (9mo)en mode rejet il faut 25h) …en somme 2h max. Matériels habituels : TN 300mm F4 orion (eq6) camera PlayerOne Saturn,Uranus et Neptune. filtres: Saturn imx533M: Oxygen:2sx4h+1sx2h Halpha:2sx4h Uranus imx585C color: 2sx5h Neptune imx484 Infrared ir850: 2sx4h Logiciels: Sharcap Pipp Siril Astrosurface Photoshop Aladin Ouf le speech est fini ! NGC 1514 en R (halpha+IR+R), V (OIII+V), B (OIII+B). C'est con, mais c'est pour être précis😁 et une planche de démonstration entre les différents filtres utilisés et les fameux anneaux par WISE: A+ dans le bus dirait ma fille!😄2 points
-
Il n'est possible de répondre à cette question qu'en définissant bien quel type d'astrophotographie vous souhaitez réaliser. Vous n'ignorez pas qu'il y a en première approximation deux grandes familles : 1) L'astrophotographie du ciel profond. Comme l'a bien montré @'Bruno quatre réponses plus haut, sans suivi motorisé, et de préférence avec un dispositif équatorial, en astrophoto du ciel profond les temps de pose autorisés vont être de l'ordre de la fraction de seconde. Même si un gros diamètre récolte bien plus de photons, nous serons toujours très significativement en dessous de la limite inférieure de captation pour avoir un résultat satisfaisant. Sans suivi motorisé même moyen, oubliez réellement l'astrophoto du ciel profond. 2) L'astrophotographie planétaire. Dans ce cas, même si un suivi motorisé est toujours préférable, il vous sera toujours possible d'obtenir un résultat satisfaisant car le temps de pose sera en fraction de seconde. mais cela ne vous exemptera pas d'assurer un suivi manuel durant la minute ou les deux ou trois minutes que prendra la captation. En effet autant en ciel profond la pose unitaire exige un temps significatif qui se mesure en seconde au moins, autant en planétaire, la pose unitaire est en fraction de seconde mais répétée des centaines voire des milliers de fois. En réalité la captation, faite par Firecapture par exemple, résultera en un film de 3 à 5 mille images ou plus prises en continu sur des temps mesurés en minutes. Toute la durée de la prise de vue, le télescope doit resté braqué précisément sur la cible. Si par un moyen motorisé cela ne pose pas de soucis, le faire à la volée devient particulièrement "sportif" comme il est décrit ici par @Julooo : La confusion dans votre esprit, et ceci est tout à fait normal quand on aborde la discipline, est de considéer que l'astrophoto, comme la photo terrestre ordinaire, se fait en une seule prise ou quelques prises de vue. En astrophoto, les prises de vue doivent se faire par dizaines voire centaines en monochrome en ciel profond avec des poses longues de 30 secondes à quelques fois 300 secondes ou davantage selon la performance de la monture. Par opposition, astrophoto planétaire se fait en pose courte mesurée en 1/10 de seconde mais répétée des milliers de fois. Dans les deux cas un post traitement s'impose avec en particulier le processus d'empilement qui permet "d'additionner" les prises de vue individuelles. Nous pourrons y revenir plus tard. Ney2 points
-
Hello, avant hier une soirée étoilée, et une prise de 5 h sur le sujet. La pleine lune a un peu perturbé les prises surtout après le retournement au méridien car le PO s'est retrouvé en face du rayonnement lunaire. Le temps de mettre un cache et c'est reparti. Pré traitement sur SIRIL et traitement en RVB sur pix. 99 x 180s Lacerta 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur starizona x0,75 Filtres IDAS NBZ Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight - GIMP J'espère vos commentaires et conseils, merci d'avance Pascal2 points
-
2 points
-
Bonjour @entreplume Éternel raisonnement en Astronomie que de rechercher un compromis entre plusieurs pratiques afin d'optimiser la dépense. Ce qui peut être vrai dans d'autres activités et encore je ne suis pas sûr, ne se peut pas en astronomie. L'instrument universel ou évolutif n'existe malheureusement pas pour nous si vous voulez faire du haut niveau. Prenons un autre exemple, le cyclisme. Un vélo de route, un VTT, un vélo de cross, un vélo de BMX sont vraiment très très différents les uns des autres et personne ne gagnera le Tour de France avec un BMX. pourtant ce sont bien deux vélos. En astronomie c'est un peu la même chose, à chaque activité spécifique, Visuel, astrophoto planétaire, astrophoto du Ciel profond, astrophoto à grands champs, il vous faudra un matériel adapté si vous recherchez le haut niveau de qualité. En faisant des concessions ou en acceptant une qualité finale moindre, effectivement la spécialisation du matériel peut être moindre. En astrophoto, un élément discriminant est le rapport Siganl/Bruit de tout le train optique. Le signal étant très faible, il faut en effet combattre toutes les sources de bruit, ou alors en changeant de stratégie accroitre le signal significativement. C'est ce que l'on fait en augmentant le diamètre de l'instrument. La conséquence immédiate et très très coûteuse est qu'il faut alors augmenter la capacité de charge de la monture, et là les prix croissent de manière exponentielle avec leur capacité d'emport. C'est de cette stratégie entre autre qu'est né le lucky imaging en augmentant significativement le signal, c'est à dire en augmentant nettement le diamètre de l'instrument, le temps de pose se raccourcissait tout aussi nettement permettant alors d'avoir une monture nettement moins précise, un Dobson pouvait même suffire en photo planétaire et avec un très gros diamètre en ciel profond.. Cependant même pour une monture Dobson il est nécessaire de motoriser, qui plus est sur les deux axes. Des astram très créateurs ont inventé la table équatoriale, ce qui ne nécessite plus qu'un seul moteur d'entrainement et permet un suivi équatorial. Un seul moteur veut dire une seule source d'erreurs de suivi, contre deux avec deux moteurs, c'est donc un gain significatif. Il reste alors à estimer la différence de budget. Un télescope Dobson motorisé entraine un surcoût de 700 à 1 000 € en fonction du diamètre par rapport au même instrument non motorisé (Pierro-astro). Une table équatoriale DIY coûte de 200 à 300 € selon sa taille et ses équipements. La table équatoriale permet aussi de concserver son télescope sans modifications et de s'en servir comme tel en visuel pur. Ney2 points
-
⚡️La nébuleuse du petit renard ⚡️ La caractéristique la plus frappante de la nébuleuse NGC6820 est la colonne (ou pilier) qui pointe vers l’amas ouvert NGC 6823 qui se trouve au centre de l’image. L’amas ouvert est âgé d’environ 2 millions d’années. Il est principalement constitué par beaucoup d’étoiles jeunes et lumineuses. Autour de l’amas, il y a beaucoup d’autres piliers. Cet ensemble, les piliers et l’amas, représente la nébuleuse NGC6820. Ces énormes piliers de gaz et de poussière se sont formés lorsque les gaz et poussières en expansion ont été érodés par le rayonnement des étoiles proches. 🕶 : Antlia ALP-T Ha & OIII 5nm ⏱ : 43x300" 🚨 : ZWO Asiair Pro 🔭 : Askar FRA600 f/3.9 📷 : ZWO ASI2600Mc Pro ⚙️ : iOptron GEM45 🎯 : ZWO ASI290MM Mini & guide scope Omegon 50mm 💻 : Siril - PixInsight - Paint Shop Pro 🌍 : Dordogne 🌈 : Bortle 2.5 📅 : 15 Août 2023 La version full ici 👉 https://flic.kr/p/2oXTmox2 points
-
Bonjour tout le monde Je connais une dame qui habite Lorient, qui est à la retraite et émerveillée devant la voûte céleste. Mais malheureusement n'a jamais pu observer dans un télescope. Je lui ai bien indiqué le club Sterenn à Quéven, mais elle n'a pas de voiture. Si quelqu'un de Lorient observe en ville (par exemple), ou fait partie du club Sterenn, se serait sympa de pouvoir lui faire découvrir les principaux objets de nos émerveillements dans un télescope. Si @Traou Mad passe par ici Merci d'avance. N'hésitez pas à me contacter. Bon ciel Pat1 point
-
Oui, ces images sont fantastiques... Il y a quand même quelque chose qui me gêne un peu dans l'apparence générale (mais c'est peut-être à cause de mon âge et de mon tempéramment pinailleur 😄 ) : le choix des (fausses) couleurs est très très très différent de ce que j'ai l'habitude de voir, et les images me font plus penser à des tabeaux peints à l'acrylique "flashy" qu'à des images montrant une réalité d'intérêt astrophysique. Les nuages de poussière (et de gaz, même si le texte ne le dit pas !) qui émettent en infrarouge sont représentés en rouge - orange - jaune. Plus ou moins inconsciemment, mon cerveau de Terrien interprète cela comme "très chaud, tellement chaud que c'est incandescent". Et d'ailleurs le commentaire parle bien de "poussière incandescente". Or, sauf erreur de ma part, si ces poussières sont détectées dans l'infrarouge moyen, c'est parce que leur température est de l'ordre de quelques dizaines de Kelvins ! Donc, on est plutôt au rayon "surgelés" qu'au rayon "rôtisserie".... 😁 Tout ceci étant dit, ça ne m'empêche pas d'admirer ces images, et de réaliser que les "vieilles" photos dans le visible ne montraient pas toute cette matière interstellaire, ce qui ne donnait pas une juste idée de la composition des galaxies. Merci pour le partage !1 point
-
Dernière démarque ! https://www.telescopes-et-accessoires.fr/déstockage2024 Albéric1 point
-
Pour la différence de prix je prendrais plutôt la grande taille. Mais la petite marche aussi si la place que cela prend est importante, tout est question de savoir si le rayon du cercle des patins teflon est sufisamment petit. Faut demander à Astrothingy et donner les rayons intérieur/extérieur, ils se feront un plaisir de mettre des patins qui vont sous l'anneau. Le rayon extérieur du cercle en dessous du 'rocker box' ne doit pas dépasser 265 mm pour la petite version.1 point
-
Je doute que tu y trouves une différence à l'oeil, c'est un peu la loterie en prime (enfin c'est rare aussi de tomber sur la pire des bouses fabriquées avec les pieds), globalement pour débuter ils seront tous à égalité. Essaye plutôt d'orienter ton choix vu le tarif sur certains critères annexes , démultiplication, chercheur etc.. Pour finir achète plutôt en France, La clé des étoiles (toulouse), Pierro astro (Béziers), etc..1 point
-
Pour un T400 la Sumerian est quand même très très légère. Plutôt ça: https://www.astrothingy.de/1 point
-
très joli résultat !! l'image finale est très réussi ! J'ai l'impression de voir mes brutes :') obligé de faire un résolution astro pour vérifier que je suis bien sur ma cible ...1 point
-
1 point
-
1 point
-
très joli !! j'aime bien le traitement des couleurs. Pour le cœur, si tu fais ton traitement avec SIRIL, avec l'étirement d'histogramme, tu as un curseur pour protéger les hautes lumières. Bien dosé, ça devrait t'aider à faire ressortir le coeur sans le cramer1 point
-
Très jolie prise, même remarque, vu que tu as des poses de différentes durée, le coeur devrait pouvoir ressortir, je vais attendre de voir le traitements de @Archer92 Perso sur une 533 j'ai un offset synthétique et je me passe même des darks, je continue à faire des flats par contre. Bon ciel1 point
-
1 point
-
1 point
-
1 point
-
trop bien ! maintenant il va falloir déterminer lequel prendre si tu en veux toujours un, mais avec les conseils ici, tu auras un instrument utilisable et fonctionnel1 point
-
Pas mal tes brutes pour vérifier le pointage🤣 Beau challenge surtout que tu y as passé la nuit !1 point
-
toujours très sympas ce champs Et très bien traité !1 point
-
Si le rayonnement n'arrive qu'aujourd'hui, c'est surtout parce que la taille de l'univers a considérablement augmenté entre temps. Le trajet à faire était peut-être petit au départ, mais il s'est rallongé en cours de route.1 point
-
bonsoir à tous, voici 2 images réalisées au milieu du mois de janvier à la lunette Esprit100ED (500 de focale) avec une 2600mc. pour les Pléiades j'ai empilé 67images de 300s avec traitement Pixinsight et pour la Rosette 65x300s. Pour le traitement j'ai utilisé pour la première fois GraXpert, il à l'air de bien fonctionner et facilite grandement la tache. bonne soirée à tous Patrick1 point
-
Bonjour à tous, en deux nuits dont une avec un ciel assez voilé (pour la version HOO), j'ai pu faire un portrait en duo de M81 et M82 avec mon C8 Edge HD. C'est deux incontournables galaxies d'hiver ne sont pas si faciles à traiter. J'ai d'abord fait une version RVB (150x3mn soit 7h30) puis, la seconde nuit, une version HOO (51x5mn soit 4h15). Ensuite, j'ai mixé les deux versions en non linéaire (50 % RVB, 50 % HOO). Je trouve le résultat assez sympa. Au passage, j'ai remplacé l'extraction de gradient DBE (dans PixInsight) par GraXpert 2.2.2. Le résultat est nettement meilleur avec un respect plus important des détails sur les galaxies. Détails techniques : - C8 Edge HD - Monture Celestron CGX - Mise en station QHY PoleMaster - Guidage ZWO120MM parallèle+ PHD2 - Focuseur Pegasus FocusCube 0 - Pilotage monture et Séquenceur : NINA - Prise de vue par caméra ZWO ASI 2600 MC PRO (gain 101, Température - 10°C, Offset 50) - Lights 150x180s (filtre L-Pro, RVB), 51x300s (filtre Antlia HaOIII, HOO), 50 DOF - Empilement et prétraitement SIRIL - Traitement GraXpert, PixInsight, BlurXterminator et Noise Xterminator - Post-traitement Luminar NEO1 point
-
1 point
-
1 point
-
1 point
-
1 point
-
1 point
-
1 point
-
CLIM dans le message plus haut de charles43..... est en fait SLIM (acronyme de Smart Lander for Investigating Moon) le nom donné par la JAXA à son alunisseur qui s'est effectivement posé "cul par dessus tête" Les raisons de cet alunissage original " upside down" https://www.nasaspaceflight.com/2024/01/slim-landing/ Et explication via YouTube0 point
-
0 point
-
0 point
-
Merci ! T'es au top. Je dois travailler mes traitements, mon guidage se stabilise peu à peu, c'était mon comment dire... Quand je fais le traitement j'ai l'impression d'avoir l'épée de Damoclès au dessus de ma tête. Salut l'ami Comment procèdes tu pour les offsets synthétiques ?0 point
-
0 point
-
Pour moi il y a deux situations : observer assis à côté de ma table de camping : je ne bouge pas, c'est reposant ; observer debout : c'est fatigant, il faut faire des pauses de temps en temps. Mais quitte à observer debout, je trouve qu'un escabeau est pratique. C'est parce que j'utilise un atlas (un livre), prends des notes et fais des dessins, j'ai donc besoin d'appuyer l'atlas et la planche à dessin sur quelque chose : sur le haut de l'escabeau. En fin de compte, un escabeau, c'est pratique. D'ailleurs avec le Dobson 495 mm je l'utilise en permanence alors qu'il est n'est nécessaire qu'au-dessus de 50° de hauteur (mon télescope a 2m de focale et je mesure 1m70). Quant à observer depuis un escabeau, je ne vois pas la difficulté. Il faut bien le positionner, question d'habitude. C'est reposant : je m'appuie dessus, je me couche dessus en fait (à la verticale). Mais il faut le déplacer tout le temps, c'est ça qui n'est pas pratique. Au final, rien ne vaut l'observation assis : la table de camping à gauche, avec l'atlas et les notes, l'oculaire à droite. Je serais sur un fauteuil, ce serait à peine mieux...0 point
-
0 point
-
Les serruriers sont indexés et orientés, le secondaire se retrouve très près de sa dernière position. J'ai déjà pointé un astre en urgence juste après le montage, et peaufiné la collim plus tard. Si le télescope ne prend pas la route entre 2 sorties, ça ne m'étonnerait pas qu'une collim soit superflue... Je ne me suis jamais chronométré, mais je dirais 10 ou 15mn... Je prends mon temps. Sujets déjà abordés dans ce sujet +1. Je n'utilise que les 2 premières marches pour le zénith, et je m'accoude comme au bar 😁 Je te conseille de lire ce sujet, où on a dérivé sur le 5000 point
-
mais le FRP maintenant c'est chaud à trouver . J'ai dû me rabattre sur le formica, ca colle un poil plus.0 point
-
Bonjour, Je continue la tournée des classiques hivernaux. J'ai eu la chance de pouvoir caser le fameux trio du Lion. Il rentre nickel avec la lunette 80ED. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 74 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:0 point
-
Toujours chouette le trio ! Belle image. Je l'avais faite avec la 72 l'année dernière... Vais voir avec la 103 j'espère bientôt.0 point
-
Si tu peux annuler la vente, et si tu peux encore patienter un peu afin de rallonger le budget, je trouve que ce télescope est très bien pour un petit budget : https://www.bresser.de/fr/Astronomie/BRESSER-Messier-Telescope-planetaire-6-Dobson.html0 point
-
En dehors de ce qu'a relevé shibon, j'aime beaucoup ! Superbe nébuleuse obscure. Bon ciel Vincent0 point
-
0 point
-
Bonjour, Mieux que les chaines Youtube ou Tiktok, voici une cible bien adaptée à la focale de la 80ED: la fameuse chaine de Markarian. La chaîne de Markarian est un ensemble de galaxies appartenant à l'amas de la Vierge. Elle doit son nom à Benjamin Markarian qui a découvert qu'elles étaient animées d'un mouvement commun. La chaîne comprend huit galaxies : M84 (NGC 4374), M86 (NGC 4406), NGC 4477, NGC 4473, NGC 4461, NGC 4458, NGC 4438 et NGC 4435. D'autres galaxies sont visibles dans le champ de vision mais ne font pas partie de cette association. Cette chaine est située au centre de l'amas de la Vierge, dont fait partie le Groupe local, où se trouve la Voie Lactée, notre galaxie. Il est situé dans la constellation de la Vierge et son diamètre angulaire est d’environ 8 degrés carré. Il comporte entre 1 300 et 2 000 galaxies, dont quelques-unes sont visibles avec un instrument amateur. Sa distance précise quant à la Terre de l’amas est mal connue ; une distance moyenne d’environ environ 20 Mpc (∼65,2 millions d'al) soit environ 65 millions d'années lumières est communément admise. L’amas est un agrégat irrégulier d’au moins trois sous-amas visuels centrés sur les galaxies M87, M86 et M49. Le plus important est celui centré sur M87, avec une masse approximative de 1014 M☉, ce qui est environ un ordre de grandeur plus élevé que les deux autres. L’amas est un mélange hétérogène de galaxies spirales et elliptiques. Actuellement, on suppose que les galaxies spirales sont distribuées en un filament allongé, environ dont la longueur est quatre fois plus grande que sa largeur. Les galaxies suivantes se trouvent dans l’amas de la Vierge : M49, M58, M59, M60, M61, M84, M85, M86, M87, M88, M89, M90, M91, M98, M99, et M100. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 38 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:0 point
-
J'ai eu en main ou possédé des 450-500mm Dobson Factory, Taurus et SkyVision. Dans tous les cas, la terminologie ultralight n'est pas adaptée, ce sont des télescopes lourds et encombrants. Les trois, pour leur prix, sont biens mais pour des raisons différentes. Je confirme ce qui est dit plus haut, quand on a goûté un miroir d'artisan on ne peut revenir en arrière. Mieux vaut attendre, économiser pour acheter un bon miroir quand on veut monter en diamètre et qu'on n'a pas immédiatement les moyens. Je répète aussi que la qualité du ciel est le facteur essentiel : la turbulence, la visibilité au sud, la pollution lumineuse... Le rapport F/D n'est pas déterminant, même pour les observations planétaires, il vaut mieux un bon miroir à F/D 3.5 qu'un miroir moyen à F/D 5. Il y a tjs eu sur les forums de longs débat sur le bon rapport F/D et le bon diamètre pour l'observation planétaire en fonction de la qualité du ciel. Pour l'avoir vécu, une super soirée avec un grand diamètre sur Jupiter, saturne, ça ne peut pas se décrire facilement... 🙂 Le rapport F/D, on peut aussi l'envisager en tenant compte de la qualité de ses oculaires, personnellement avec un F/D 4 je n'utilise pas de paraccor avec mon Nikon 12.5 (oculaire cher) ou mon APM xwa 7. Par contre, je ne peux utiliser le xwa 20. L'achat d'un paraccor (très cher) peut en partie résoudre la problématique des oculaires. Enfin, le rapport F/D c'est aussi la question de l'accessibilité au PO, j'avoue qu'une petite échelle ce n'est pas agréable, elle n'est jamais bien disposée, vous êtes souvent en équilibre, gêné par les montants. Mais comme subwoof c'est souvent l'opportunité au niveau du prix qui influence votre choix : dans mon cas un SV 500 F/D 4. J'ai vu et manipulé un Taurus 500 F/D 4, c'est bien conçu. J'avais une opportunité pour en acheter un d'occasion mais je n'ai pas été convaincu par le miroir, un Orion optics, pas une production Taurus, parce que son propriétaire ne voulait pas un F/D 4.2. c'est un excellent rapport Q/P. Je trouve les mouvements sur patins teflon mieux que les roulements des SV. J'avais contacté Taurus il y a 2 ans pour un 600 car ils ont déjà construit un 600 F 4.5. Pour un un F/D <4, ils me proposaient un miroir Hubble optics. Leur devis de base était à 12000 euros. Mon choix s'est arrêté sur un SV 500 de démonstration avec Argo navis pour un peu plus de 12000 euros. C'est beaucoup mais moins que le prix neuf de 2023/4 ! C'est un bel objet, tout métal et carbone, mais pas dénué de critiques à mon sens. C'est pas facile à équilibrer, on doit utiliser le frein qui appui directement sur le tourillon. celui-ci est marqué et probablement déformé le disque nylon censé contenir le serrage se déformant. Seuls les possesseurs de SV peuvent surement comprendre ce que je dis... J'ai bien aimé les 2 Dobson factory que j'ai possédés, c'est plus simple, le bois c'est joli. Mais il semble que certains clients récents de P. Desveaux ont été mécontents de ce qu'il produit. C'est dommage... Autre élément, le mien n'est jamais démonté. Il est stocké sur mon lieu d'observation à la campagne, pas sur mon lieu de résidence. C'est un élément à prendre en compte : déplacement ? monté, démonté ? stocké au chaud, à température ambiante ? Des petits détails qui allongent la mise en oeuvre du télescope et peuvent rebuter quand se pose la question d'aller observer... JJ0 point
-
0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+02:00