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Bonjour à tous, je débute dans le monde de l'astrophoto (un peu moins d'un an...) J'apprends un peu plus à chaque session (même si elles sont rare avec la météo française de nos jours) et je n'ai pas le temps de me rendre dans un club pour m'améliorer alors si des âmes charitables peuvent me conseiller sur la façon de faire mes acquisitions et le traitement je suis preneur 😉😅 Mes 3 premières photos (enfin les 3 premières à peu près potables) M42 (58×180s) Ic434 (33×600s) M45 (42×300s) Le traitement est vraiment pas terrible (et je ne suis pas encore au point) j'ai l'impression que le correcteur intégré de ma fra400 génère beaucoup de halo sur les etoiles brillantes (ou mon APN ?) Traitement sur Siril et un peu de retouches sur lightroom pour réduire le bruit et rehausser les couleurs FRA400 f/d 5.6 Canon 600d defiltré partiel Monture celestron advanced gt Lunette guide 50/180 et asi120mm Asiair mini4 points
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La référence pour l'estimation du réchauffement climatique réside dans les niveaux "préindustriels". Cette convention renvoie à la période 1850-1900, surtout du fait que les bateaux n'ont commencé à mesurer systématiquement les températures de surface de la mer à cette époque. Selon une étude parue hier dans Nature, le développement industriel a commencé en réalité vers le milieu du XVIIIème siècle, avec des effets mesurables dès le tout début du XIXème. Le signal traditionnel déduit des mesures de températures est en fait biaisé, entre autres par la variabilité propre aux températures de surface, par les approximations des mesures d'époque, et par les éruptions volcaniques qui à cette période masquaient le réchauffement anthropique. La publication propose une objectivation basée sur un nouvel outil : le rapport strontium/calcium dans le squelette d'une éponge des Caraïbes, d'une très longue durée de vie. Cette mesure permet une nouvelle estimation fine des variations de température sur une durée de 300 ans. Ce changement de référence indique qu'en réalité le réchauffement d'origine anthropique est déjà actuellement de 1.7°C, soit un demi degré de plus que les estimations actuelles, et que les deux degrés réels seront atteints dès la fin de cette décennie.4 points
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UPDATE 2 du 04/07/2024: IMPORTANT: Si vous avez déjà installé l'ancienne version du driver ASCOM, il faut d'abord le désinstaller via l'utilitaire de desinstallation des programmes Windows. UPDATE 1 du 02/07/2024: Pour répondre à la demande d'un astram du forum, j'ai repris une très grande partie du développement de ce projet. La demande initiale était simple: ajouter la prise en charge d'un anémomètre, d'un pluviomètre et d'un détecteur de gouttes. Le pluviomètre et l'anémomètre m'ont été chaleureusement offert par le demandeur afin de pouvoir tester en vrai les différents codes. Ces deux capteurs proviennent du site Lextronic: - Le pluviomètre: https://www.lextronic.fr/pluviometre-a-godet-27641.html - l'anémomètre: https://www.lextronic.fr/anenometre-a-sortie-reed-27644.html - Capteur de gouttes: 1) Afin de me simplifier la vie, j'ai repris l'architecture du code de l'ESP32. J'avais initialement construit un firmware où tout était dans le même fichier. J'ai du coup créé les fichiers .CPP et .h pour chaque capteur et chaque fonctionnalité. Cela permet une maintenance plus facile et l'ajout de fonctionnalités plutôt facilement. 2) La mise à jour du firmware de l'ESP32 peut maintenant se faire via une mise à jour OTA (over ther air). Dans le cadre d'une station météo c'est plus pratique puisque dans de nombreux cas celle ci sera alimentée par un panneau solaire et donc bien loin du port USB. Sur la page web qui affiche les données des divers capteurs, un bouton en haut de la page permets d'accéder à la page de mise à jour de l'ESP32. Arès avoir sélectionner le fichier .bin crée par l'IDE arduino ou autre IDE, puis cliqué sur le bouton "Mise à jour", une barre de progression se remplie. Une fois fini un message de succès apparait pour confirmer l'upload. En cas d'erreur un autre message d'echec apparait. Une fois le telechargement sur l'ESP32 terminé, un bouton "retour vers l'acceuil" apparait sous la barre de progression. 3) L'adresse IP fixe de l'ESP32 doit être renseignée dans le fichier "WIFI.cpp" et les SSID et mot de passe wifi doivent être renseignés dans le fichier "variablesWIFI.cpp". Ces données sont utilisées dans le cas de la mise à jour par OTA mais aussi dans la gestion "cachée" des pages web. Sans rentrer dans le détails cela permet de rendre dynamique les variables nécessaires afin que les infos utilisées dans l'ESP32 soient réutilisées par les pages web. Cela évite d'avoir à modifier les fichier html pour y modifier les adresses IP. Tout est automatique dorénavant. 4) La gestion en économie d'énergie a été améliorée. Initialement il n'y avait pas de gestion d'énergie. Sur cette version, après 5 minutes d'inactivité, l'ESP32 se met en mode "Modem Sleep" (le WiFi et le Bluetooth sont donc désactivés). Ce n'est pas le mode d'économie le plus avancé (il aurait fallu pour cela mettre un "Deep Sleep") mais le "reveil" de l'ESP32 serait bien plus délicat. Une activité est soit une requete de la page web soit une requete du driver NINA. Donc, si aucune requête arrive à l'ESP32, celui ci rentre en "Modem Sleep". L'ESP32 arrête toutes les lectures des capteurs. Si une nouvelle requête est faite alors l'ESP32 reprends sa routine durant 5 minutes. A chaque nouvelle requête le timer de 5 minutes se remet à 0. Cela garantie une économie d'énergie ceratine ainsi qu'une plus grande longévité des capteurs puisque, ce projet se destinant à une météo astro, il va de soit que les requêtes ne seront que peu fréquentes en cas d'inutilisation prolongée à cause de la météo ou tout autre évenement :). 5) NINA communique avec l'ESP32 grâce au driver MeteoESP32 Setup V2.exe que je joins dans ce post -> ajout des paramètres anémomètre et pluviomètre. 6) Je recommande de laisser la gestion du Safety Monitor à l'execllent driver "Environment Safety Monitor" ici: https://www.dehilster.info/astronomy/ascom_environment_safetymonitor.php Cela permettra une gestion bien plus pointue sur cet aspect que mon premier driver joins ici. Je le laisse pour les gens curieux qui veulent voir comment est fait un driver ascom en utilisant le projet. 7) Mise à jour de la page index.html. Couleurs retravaillées, ajout de la date et de l'heure, ajout du bouton pour la mise à jour par OTA, ajout de la version actuelle sur l'ESP32 en bas de page. Diverses modifications du code notamment pour integrer la gestion dynamique des adresses IP. Pour tester le projet, je joins le fichier esp32AstroV4.0.0finale.zip Il y a tous les codes dedans. Pour la partie web j'utilise un IDE arduini 1.8.X car le plugin "sketch upload data" ne fonctionne pas avec les versions 2 et plus. Telechargement ici:https://github.com/me-no-dev/arduino-esp32fs-plugin/releases/ Pour les librairies il suffit de les récupérer depuis le gestionnaire de librairie de l'IDE. Bien astronomiquement à vous, Olivier MeteoESP32 Setup V2.exeesp32AstroV4.0.0finale.zip Fin UPDATE 1 du 02/07/2024 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Bonjour à tous, Voilà de cela plusieurs années j'ai fais un rêve. Construire un observatoire. Pour y parvenir j'ai mis en route pleins de petits projets qui sont plus ou moins finis, le dernier grand pas étant l'abris en lui même..... arf.... un jour Mais à dire vrai, il y eu en parallèle du rêve de la conception d'un abris, la réflexion sur la facilité de la création d'un driver de type ASCOM. Moi qui ne suis pas ingénieur, me lancer dans la programmation était sommes toute difficile. Puis, quelques années plus tard, de petits modules facilement programmables sont apparus: les arduino. Aujourd'hui il existe énormément de variantes mais j'ai le plaisir de "jouer" avec cela depuis quelques années maintenant. Sans être expert, le langage C++ me fait un peu moins peur. Encore loin de la création d'un projet ASCOM j'ai par la suite participé à divers projets et j'ai de mon coté personnalisé certains petits projets notamment sur INDI, le ASCOM Linuxien, qui m'ont permis de touché un peu au code HTML (le code pour la création de page web entre autre), javascript ou CSS. Le temps passe, l'idée toujours en tête, mais voilà....une révolution a commencé il y a de cela quelques mois: l'IA générative. Pour les autres, ChatGPT. Cet outil, oui oui c'est simplement un outil, permet de faire des choses remarquables, comme aider à la réalisation d'un driver ASCOM!! Je m'explique: Il y a quelques années, j'avais réalisé un boitier météo pour Linux, basé sur une solution existante nommée Weatherradio. Le principe est simple: un arduino sur lequel étaient branchés les capteurs suivants: - un BME280 de chez Velleman: il s'agit d'un petit module permettant de connaitre la température ambiante, la pression atmosphérique, l'humidité relative, et par quelques petites formules, le point de rosée. - un TLS2591 chinois: un capteur de luminosité (en lux) extrêmement sensible qui, par simple calcul, permet de connaitre la qualité d'un site, le fameux SQM. Je vous laisse aller voir sur le net, mais en gros, on peut facilement comparer deux sites en mesurant la "noirceur" du ciel. - un MLX90614 chinois: c'est un capteur de température infra rouge (les fameux thermomètres à distances pour enfant, ceux qui sont en rupture de stock depuis la COVID 19 😕 ), capteur qui permet donc de mesurer la température du ciel, et au moyen d'une formule tirée du boitier AAG Cloudwatcher, la quantité de nuages dans le ciel. En gros si le ciel est chaud c'est qu'il y a des nuages, s'i lest plus froid il n'y a pas de nuages et donc il fait beau. Bon c'est assez empirique mais après quelques réglages cela sera assez précis. J'y reviendrais. Ce petit monde donc était connecté à un petit arduino nano, qui est dans l'obligation d'être connecté à un port USB du pc pour communiquer toutes les mesures transmises. Sans rentrer dans les détails, j'avais installé le firmware weatherradio dessus et tout allait bien. Mais voilà, le temps est passé et la révolution en marche. J'ai acheté un module arduino, enfin pas vraiment arduino, mais on va rester simple, qui s'appelle un ESP32. Petite carte électronique donc qui permet de faire la même chose que l'arduino nano, donc d'y connecter des capteurs, mais il offre surtout deux avantages supplémentaires en plus de sa puissance de calcul: - il offre une connectivité sans fil, donc parfait pour le mettre loin de tout sur une petite batterie solaire (à venir), - il offre une mémoire flash sur laquelle on peut y programmer un serveur web. Ca devient très intéressant. Concrètement, que cela veut il dire: Ce petit module permet d'installer à l’intérieur de sa mémoire différents fichiers (un peu comme sur un pc) et il peut par la sorte générer des pages internet. Pages que l'on peut visiter depuis n'importe quel périphérique disposant d'un accès internet et connecté sur le même réseau wifi que celui du module. A partir de la, on peut afficher les valeurs des capteurs sur une page web. Vous commencez à sentir le truc 8-) Je me suis donc dit, si avec ce petit module si puissant, un peu d'IA qui offre une aide génialissime et beaucoup d'envie, je me lançais dans la création de mon premier driver ASCOM pour une station météo Astro. Attention, ici je ne fais pas de suivi météo comme les stations du commerce, même si en réalité cela est tout à fait possible avec ce module ( quand je vous dit qu'il est puissant ce machin ^^) Tout feu tout flamme, je me lance dedans. ChatGPT offre une aide précieuse. On peut lui demander à peu près tout et j'avoue que sans cet outil je n'y serais surement pas arrivé. Il connait tous les langages de programmation et pour peu qu'on sache l'utiliser c'est extrêmement puissant. Après plusieurs heures à triturer les codes C++ de l'arduino et C# d'ASCOM le résultat tombe. Ça fonctionne aux petits oignons. Donc, petit résumé de la chose: J'ai un ESP32 sur lequel sont branchés plusieurs capteurs. les valeurs mesurées sont renvoyées sur une page internet générée par l'ESP32. Le driver ASCOM que j'ai conçu permet, via NINA par exemple, d'envoyer une requête internet (basiquement il ouvre une page internet sans que vous le voyez) et reçois les valeurs de la page web. Le drivers traite l'info et NINA affiche les valeurs. Enfin, dans un soucis d’esthétisme, j'ai crée une interface sur la page internet avec des petites gauges affichant les valeurs. Les valeurs sont rafraichies toutes les 10 secondes. On peut changer cela facilement dans le fichier script.js qui accompagne le code HTML de la page internet. Mais ce que je souhaitais avant tout, c'était de pouvoir paramétrer quelques valeurs importantes que je vais exposer juste après, sans avoir besoin de rebrancher l'ESP32 à l'ordinateur et de renvoyer une mise à jour du firmware de l'ESP32. Petite explication. Le module MLX90614, comme je l'évoquais plus tôt, est un module qui sert à mesurer la température d'une portion de ciel. Si il y a des nuages ou non, la température mesurée (via le capteur infrarouge) va en être modifiée. Le but ici n'est pas d'expliquer comment cela fonctionne car cela alourdirait inutilement cette page déjà bien remplie ^^. Le truc, c'est que la valeur brute mesurée n'est a elle seule pas suffisante pour être pertinente. Le fabriquant du boitier AAG cloudwatcher, qui dispose du même module, a mis en ligne dans sa notice les équations qui permettent de corriger la valeur mesurée par le capteur. En gros, à la valeur mesurée, on doit appliquer une correction que l'on va soustraire à la valeur brute. On obtiendra une valeur corrigée. Le problème, c'est que cette correction peut varier en fonction des saisons. En gros, la valeur de correction à appliquer sera différente si on regarde la température du ciel en hiver ou en été. L'équation qui génère la valeur de la correction est constituée de 7 coefficients sur lesquels ont peut agir. On comprends dès lors que pour éviter de devoir modifier les valeurs des coefficients en dur dans le firmware de l'ESP32 et ne pas avoir à recharger le firmware tous les x temps, il me fallait trouver un autre moyen. Et l'ESP32 permet cela assez facilement!! J'ai créé un fichier dans la mémoire de l'ESP32 dans lequel sont stockés ces coefficients. Ensuite, (merci ChatGPT) dans le code de la page web j'ai généré un formulaire dans lequel on peut à la volée donner de nouvelles valeurs aux différents coefficients. Ces valeurs sont donc stockées en dur sur l'ESP32 et elles ne seront ainsi pas perdues même après un reboot de l'ESP32 (panne d’électricité par exemple, ou batterie à plat ^^). C'est donc depuis la page web générée par l'ESP32 que l'on peut modifier les valeurs facilement en fonction des saisons. Un vrai bonheur. Voilà, je suis arrivé au terme de ce petit projet qui m'aura permis de toucher du doigt plusieurs domaines: - l'apprentissage sur un module ESP32 que je ne connaissais mais que je vais réutiliser pour d'autres sujets que l'astro (pour 3€ les 2 modules sur Ali.... ce serait dommage de ne pas le faire), - apprentissage de l'outil ChatGPT pour obtenir les résultats souhaités, - apprentissage de divers langages: HTML, javascript, C# et d'autres!! - démystification de la création d'un driver ASCOM que je croyais réservé à une élite d'ingénieur en informatique, du moins pour des projets simples Petit plus!!! En plus d'un driver méteo je vous propose le driver Safety Monitor qui se connecte aussi sur le même module afin de savoir si les conditions météo sont favorables, mis à part le vent que je n'ai pas intégré. Aussi, je vous propose de partager mon travail afin que chacun puisse soit s'y essayer ou s'en inspirer. je fourni: - l'executable du driver météo pour NINA en tant qu'ObservingConditions, MeteoESP32 Setup.exe - l'executable du driver météo pour NINA en tant que Safety Monitor, SafetyMonitorESP32 Setup.exe -le firmware ESP32 avec son repetoire pour la partie WEB, esp32Astro firmware.rar -les projets visual studio pour ceux qui veulent aller plus loin ou integrer de nouvelles fonctionnalités comme un anémomètre par exemple. visual studio - MeteoESP32Driver.rar visual studio - SafetyMonitorESP32.rar Voilà, j'espère avoir pu partager avec vous quelques petits choses. Je répondrais aux questions, s'il y en a, A très vite Olivier @bemoBonjour, je sais que cela fais maintenant très très longtemps que j'avais promis ce driver!! il est enfin là... vaut mieux tard que jamais PS: Un grand merci aussi à @Raphael_OD et @Antiath sans qui je n'aurais tout bonnement pas essayer non plus!! des conseils avisés et utiles!!! un grand merci3 points
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Bonjour Sur une idée originale de notre ami @Goofy j'ai demandé à mon eVscope de me montrer un objet que l'on ne voit pas souvent: le JWST. Avec une magnitude apparente d'environ 16 il est donc accessible avec un eVscope (donné jusqu'à magnitude18). Le JWST se trouve dans la constellation des Gémeaux. On peut trouver ses coordonnées équatoriales sur le site du JPL :https://ssd.jpl.nasa.gov/horizons/app.html#/ Capture de vision amplifiée de 32 minutes (pour avoir une image plus grande: clique droit, ouvrir l'image dans un nouvel onglet): Le déplacement du JWST est dû au fait qu'il est inséré sur une orbite autour du point de Lagrange L2. Il parcourt cette orbite en six mois à une vitesse d'environ1km/s. Sa distance avec le point de Lagrange varie entre 250000 et 832000 km, tandis que celle avec la Terre oscille entre 1,5 et 1,8 million de kilomètres. https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Webb_(télescope_spatial) CROA de @Goofy : https://www.webastro.net/forums/topic/249122-installer-un-filtre-de-bande-sur-un-unistellar/?do=findComment&comment=3127586 2024bch : une supernova récemment découverte ( le 29/01/2024) par Patrick Wiggins, Université de l’Utah (États-Unis). Elle est située dans la galaxie NGC 3206 (distance environ 63 millions d'AL) dans constellation de la Grande Ourse: Paramètres de cette supernova ici: https://www.rochesterastronomy.org/sn2024/sn2024bch.html ou encore là : https://www.wis-tns.org/object/2024bch Merci pour votre passage par ici, bon ciel à vous2 points
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Bonjour les gens, En réalité cela ne va pas changer grand chose par rapport aux prévisions déjà établies. + 1,5°C par rapport à la référence de la fin du XIXième siècle ou + 1,7°C par rapport à la référence du milieu du XVIIIième siècle nous conduit aux mêmes dérives si entre ce deux références la température n'a évoluée que de 0,2°C. C'est juste un changement de repère orthonormé où Ox est le temps et Oy est la variation de température moyenne de la planète. Le problème reste cependant entier. La Californie nous montre une tendance à la bipolarisation de son climat pourtant maritime et déjà évoquée plus haut dans le sujet : des étés chauds et secs avec comme conséquences des incendies géants, des hivers froids et humides avec comme autres conséquences des inondations. El Niño a sûrement une contribution dans la situation cette année. Il n'en demeure pas moins que la tendance bipolaire commence à être lisible dans la durée. Ce qui est inquiétant, est de constater que l'océan perd de plus en plus son rôle d'intégrateur pour réguler les amplitudes météorologiques. Est-ce alors à penser que les facteurs jouant ce rôle sont maintenant saturés. A l'image d'un condensateur qui "aplatit" des courbes de variations, qui une fois chargé sans décharge à suivre ne joue plus son rôle, nos océans sont bloqués dans un état chargé, les calories stockées sont un facteur, le pH en réduction à l'acide carbonique en est un autre. Outre les conséquences météorologiques consécutives aux évolutions climatiques, la biodiversité marine est en mutation. L'acidification et l'accroissement de température des eaux de surface ont des conséquences déjà sensibles analysées par satellites, (attendons les premières valeurs mesurées in situ,) sur les populations de crils ou de plancton, bases alimentaire de toute la chaine du vivant maritime dont l'organisation va être bouleversée. Seuls les plus adaptatifs survivront. Il est vraiment désolant de lire encore ce qui était sans doute vrai il y a 50 ans : https://www.un.org/fr/climatechange/science/climate-issues/ocean qui nous dit que tout va bien, et que d'autres messages comme : https://www.greenpeace.fr/oceans-recifs-coralliens-victimes-rechauffement-climatique/ qui nous disent que tout va mal, D'autres organismes impliqués* par les conséquences tentent d'analyser un peu plus froidement, mais aussi de se verdir, et maintenant bleuir l'image : https://www.banquemondiale.org/fr/news/feature/2022/02/08/what-you-need-to-know-about-oceans-and-climate-change Pas facile de se faire une idée précise, sauf qu'à lire et relire les rapports du GIEC, il n'y a plus de doute que la fête sera pour plus tard, bien plus tard. Il y est question, sans plus de remise en cause, que désormais nous ne retrouverons un équilibre climatique que dans 800 à 1 000 ans. Qui parmi les citoyens a déjà intégré cette notion ? Bien peu je crois. Ney * : Une image pour mesurer la différence entre être impliqué et être concerné est celle de l’œuf au bacon du petit déjeuner. La poule est concernée, le cochon est impliqué !2 points
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On en revient à ce que Danjon & Couder appelle le tautochronisme : l'aberration sphérique. Entre nous, il ne faut pas faire confiance à Vladimir Saçek qui n'a rien compris sur le sujet... cf https://www.telescope-optics.net/achromats.htm Ce qu'il faut montrer sur le réfracteur de Lick (36", 914mm, formule optique officielle, publiée dans Sky & Telescopes) Note : j'ai pas l'officielle du Clark de Flagstaff. de 546 à 595nm : c'est piqué, ça atterrit dans le spot de ce gigantesque réfracteur, on peut exploiter la résolution sur cette plage de couleur quand le temps le permet. (ici, imaginez 1500x sur cette plage de vert à orange) Et si on grossit moins, la concentration des couleurs augmente A x750 : de 535 à 605nm x500 pour de 525 à 615nm, c'est une plage très utile, il faut quand même filtrer le rouge et le bleu défocalisé autour sinon ça baigne dans la lumière violette, mais la tache rouge de Jupiter par exemple est très piquée et surtout, le flux est immense, on perçoit fortement les couleurs. C'est technique pour s'en servir, il ne faut pas juste y planter un oculaire de 40mm sans rien avec... Mais imaginer que vous souhaitez faire des extractions de bandes couleurs, c'est tout à fait possible. La spectroscopie était (et revient depuis 2023) une utilisation principale de ces réfracteurs (Lick et Yerkes) (en fait spectro-photographie par bande pour être précis) cf https://ecuip.lib.uchicago.edu/multiwavelength-astronomy/optical/tools/04.html About Yerkes restoration (2022) : https://www.grainger.com/know-how/inspiration/kh-video-yerkes-observatory https://youtu.be/MbGxz7K1C7g?si=iTcrjAHi0blqaJC5 About reuse (2023) of Yerkes refractor (spectroscopy and illumination measurement) :1 point
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c’était juste pour illustrer Après sans trop digresser, c'est pas dit du tout que ça ne passe pas sur un 127. Sur le C6/réducteur, le 24/68 passe bien, ce qui revient à mettre un pano 40 en natif. Le C6 est un pur 1"25 pourtant, mais avec l'oculaire si loin du diaph, tout passe sans vignette gênante. Largement de quoi se repérer et se balader. La raison pour laquelle le 38/70 passe sans encombre notable sur le 150 qui est la quasi copie du 127.1 point
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détrompe toi c’est pas evident d’avoir un superbe résultat comme ça! Mais fonce, tu y prendras goût!! Et de toute façon tu prends pas de risque! Je pense bien oui ! promis j’essaye de dessiner gribouiller cette année vous donnez envie avec tous vos dessins. Sauf que je fais beaucoup moi s de sorties que vous j’ai l’impression et si le ridicule ne tue pas effectivement je ne prends os trop de risques 😅1 point
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Et objectifs presque atteints ! La soirée avait pourtant mal commencé, avec ma motorisation qui refusait de fonctionner. J'utilise un powerbank 5V avec un transfo qui me permet une tension de sortie variable entre 5V et 12v, pour alimenter ma motorisation en 6V. Jusque là ça fonctionnait très bien mais hier j'ai eu toutes les difficultés du monde à régler la tension de sortie (chaque pression sur le bouton du câble incrémente de 0,2V), cette dernière restant bloquée à 5V... Même en atteignant les 6V la raquette refusait de fonctionner et la diode orange refusait de passer au vert... J'ai perdu une grosse demie heure à tenter de régler le problème, en vain. J'ai fini par débrayer les moteurs et me suis servie de la monture en manuel seulement. Le hic, c'est qu'avec tout ce temps perdu, Cassiopée était descendue trop bas sur l'horizon, en bonne partie masquée par la maison du voisin... Loupé pour NGC 457 ! J'irai voir la chouette une autre fois. Je commence donc par rechercher M50 aux jumelles d'abord : j'imagine une ligne entre Procyon et Sirius, il se trouve à peu près à mi chemin, à peine plus proche de Sirius. Il est bien visible aux jumelles et le pointage au chercheur se fait assez facilement (la technique du laser dans le chercheur est un gain de temps phénoménal, et peut-être encore plus efficace que le chercheur point rouge...). M50 est appelé "l'amas du cœur" sur Stellarium, et à l'oculaire je comprends pourquoi ! Ses étoiles principales, de 8ème et 9ème magnitudes, forment le contour d'un cœur ou d'un papillon. Quelques dizaines d'étoiles sont résolues et cet amas très graphique, assez intéressant, m'occupe un bon moment à divers grossissements. Il est ensuite temps de chercher M48, amas ouvert que je n'étais pas parvenu à localiser lors d'une soirée précédente aux jumelles. Plutôt que de partir à l'arrache, j'ai étudié un peu les cartes dans la journée, et le cheminement est simple : Gomeisa et Procyon, qui forment la constellation du Petit Chien, définissent une ligne droite. En prolongeant vers le bas cette ligne de 3x la distance entre ces deux étoiles, on tombe sur un petit trio d'étoiles de magnitudes 5 à 3, formation très remarquable au chercheur. Arrivé là, il suffit de partir à 90° dans le sens horaire de la ligne droite utilisée précédemment et d'une longueur égale au Petit Chien, pour tomber sur M48. Avec ce cheminement, je tombe dessus du premier coup en quelques minutes. L'amas est assez peu dense et relativement étendu. Je n'y remarque rien de particulièrement remarquable (bizarre comme phrase). Le temps file, les Gémeaux sont au zénith et avant que leurs pieds ne retombe derrière le mur de ma terrasse, il est temps de retourner vers M35 pour tenter de trouver NGC 2158 signalé par @joker0247 un peu plus haut. Ce dernier le qualifiait de "discret"... Effectivement, pour être discret, il l'est ! 😄 Je l'ai bien repéré mais malgré y avoir insisté un peu à divers grossissements, en vision directe et indirecte, il est resté une tâche floue et je n'ai résolu aucune étoile de cet amas. J'en ai tout de même profité pour contempler encore M35, encore plus beau que la veille 🥰 Dernier de ma liste, M67, amas ouvert dans la constellation du Cancer. Je constate que le ciel est effectivement bien plus transparent que la veille (malgré un vent plus présent, ou peut-être grâce à lui ?) : M44 est visible à l’œil nu ce soir. Pour trouver M67 c'est très simple : partant de M44, il suffit de suivre la pince gauche du crabe (en bas) qui termine par deux étoiles proches : l'amas est juste un peu sur la droite. A l'oculaire il a une forme très intéressante : je lui trouve des contours un peu similaires à M1 vu dans un (très) grand diamètre, une sorte de forme de crabe ou de croissant. Cela fait de longues minutes que je le détaille quand soudain : l'image gagne d'un coup, presque instantanément, de meilleurs contrastes ! Il est minuit et l'éclairage public vient de s'éteindre. Je lève la tête et le nombre d'étoiles dans le ciel a facilement triplé ! Quelle beauté. Je retourne sur M67 en profiter encore un peu mais tout de même la fatigue se fait sentir. Orion est parti se cacher derrière la colline voisine, tandis que le Lion est en train de prendre de la hauteur. "Rhaaa je finirais bien par une petite galaxie quand même... Je vais voir le Triplet ? Non je ne connais pas assez bien leur repérage je vais y passer trop de temps et je suis crevé... Tiens, mais c'est la Grande Ourse là tout là haut ?!" Je tourne rapidement le télescope au nord, prolonge la diagonale Phecda-Dubhe et tac : M82 puis M81 apparaissent, assez faiblement, mais ça va, elles sont toujours là, je peux aller me coucher 😊 Les musiques qui ont accompagné mes observations de ce weekend : https://youtu.be/R1oN2jxSFrc?si=eR8mTDF01A5oZSGf Caoilfhionn Rose - Awaken https://youtu.be/o5MdcURuXao?si=VRF-OhH9AzaINqzG Hania Rani - Ghosts https://youtu.be/3GALJl6Y16w?si=PItDvSlBO368dNPr Air - Live at Niemeyer Space (pour la 2398 fois 😄) Merci de m'avoir lu !1 point
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Merci pour l'info complètement passée à la trappe.. J'avais mis ça du temps de ma 2600 mono et Ideal QE curve pour la 294MC. Je corrige puisque je suis passé à une unique IMX571 couleur !1 point
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Attention, il s'agit d'une traduction automatique : elle n'est pas parfaite ! Le texte original en anglais mentionne "glowing dust" que l'on peut traduire aussi par "poussière rougeoyante" : c'est plus approprié Concernant le "style" des photos imposé par la com' de la NASA, ce sera toujours un sujet de discussion ! Je vais prendre l'exemple de la galaxie M 66, alias NGC 3627 L'image prise par Webb avec l'instrument MIRI : Voici l'image brute, sans le traitement de choc : idem avec l'instrument NIRCAM : Et maintenant avec Hubble : Faites votre choix !1 point
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Oui, ces images sont fantastiques... Il y a quand même quelque chose qui me gêne un peu dans l'apparence générale (mais c'est peut-être à cause de mon âge et de mon tempéramment pinailleur 😄 ) : le choix des (fausses) couleurs est très très très différent de ce que j'ai l'habitude de voir, et les images me font plus penser à des tabeaux peints à l'acrylique "flashy" qu'à des images montrant une réalité d'intérêt astrophysique. Les nuages de poussière (et de gaz, même si le texte ne le dit pas !) qui émettent en infrarouge sont représentés en rouge - orange - jaune. Plus ou moins inconsciemment, mon cerveau de Terrien interprète cela comme "très chaud, tellement chaud que c'est incandescent". Et d'ailleurs le commentaire parle bien de "poussière incandescente". Or, sauf erreur de ma part, si ces poussières sont détectées dans l'infrarouge moyen, c'est parce que leur température est de l'ordre de quelques dizaines de Kelvins ! Donc, on est plutôt au rayon "surgelés" qu'au rayon "rôtisserie".... 😁 Tout ceci étant dit, ça ne m'empêche pas d'admirer ces images, et de réaliser que les "vieilles" photos dans le visible ne montraient pas toute cette matière interstellaire, ce qui ne donnait pas une juste idée de la composition des galaxies. Merci pour le partage !1 point
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Pour ceux qui aiment les belles images de galaxies : Qui veut des belles images de galaxies ? (images cuisinées avec du Webb et du Hubble) https://webbtelescope.org/contents/media/images/2024/105/01HM9KGGP1EWFFSRRSKR8NZGWZ?news=true traduction automatique : Cette collection de 19 galaxies spirales de face du télescope spatial James Webb en lumière proche et moyenne infrarouge est à la fois écrasante et impressionnante. « Les nouvelles images de Webb sont extraordinaires », a déclaré Janice Lee, scientifique du projet pour les initiatives stratégiques au Space Telescope Science Institute de Baltimore, dans le Maryland. « Ils sont époustouflants, même pour les chercheurs qui étudient ces mêmes galaxies depuis des décennies. Les bulles et les filaments sont résolus jusqu’aux plus petites échelles jamais observées, et racontent une histoire sur le cycle de formation des étoiles. La caméra NIRCam (Near-Infrared Camera) de Webb a capturé des millions d’étoiles dans ces images. Les étoiles plus anciennes apparaissent en bleu ici et sont regroupées au cœur des galaxies. Les observations MIRI (Mid-Infrared Instrument) du télescope mettent en évidence la poussière incandescente, montrant où elle se trouve autour et entre les étoiles – apparaissant dans des nuances de rouge et d’orange. Les étoiles qui ne se sont pas encore complètement formées et qui sont enfermées dans du gaz et de la poussière apparaissent en rouge vif. Les images haute résolution du télescope Webb sont les premières à montrer de grandes coquilles sphériques dans le gaz et la poussière avec des détails aussi exquis. Ces trous peuvent avoir été créés par des étoiles qui ont explosé et sculpté des régions géantes dans la matière interstellaire. Un autre détail qui attire l’attention ? Plusieurs noyaux de galaxies sont inondés de pointes de diffraction roses et rouges. Ce sont des signes clairs que ces galaxies peuvent avoir des trous noirs supermassifs actifs centraux ou des amas d’étoiles centraux. Ces galaxies spirales constituent le premier grand lot de contributions du télescope Webb au programme PHANGS (Physics at High Angular resolution in Nearby GalaxieS), qui comprend des images et des données existantes du télescope spatial Hubble de la NASA, de MUSE du Very Large Telescope et de l’Atacama Large Millimeter/submillimeter Array (ALMA). Grâce aux images du télescope Webb, les chercheurs peuvent maintenant examiner ces galaxies dans l’ultraviolet, le visible, l’infrarouge et la radio. Quelques unes : M66 NGC 1433 NGC 4321 NGC 6281 point
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😥😥 https://mars.nasa.gov/news/9540/after-three-years-on-mars-nasas-ingenuity-helicopter-mission-ends/ Après trois ans sur Mars, la mission de l’hélicoptère Ingenuity de la NASA prend fin L’hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA, qui a marqué l’histoire, a terminé sa mission sur la planète rouge après avoir dépassé les attentes et effectué des dizaines de vols de plus que prévu. Alors que l’hélicoptère reste debout et en communication avec les contrôleurs au sol, les images de son vol du 18 janvier envoyées sur Terre cette semaine indiquent qu’une ou plusieurs de ses pales de rotor ont été endommagées lors de l’atterrissage et qu’il n’est plus capable de voler. Conçu à l’origine comme une démonstration technologique pour effectuer jusqu’à cinq vols d’essai expérimentaux sur 30 jours, le premier aéronef sur un autre monde a opéré depuis la surface martienne pendant près de trois ans, a effectué 72 vols et a volé plus de 14 fois plus loin que prévu tout en enregistrant plus de deux heures de temps de vol total. « Le voyage historique d’Ingenuity, le premier avion sur une autre planète, est arrivé à sa fin », a déclaré l’administrateur de la NASA, Bill Nelson. « Cet hélicoptère remarquable a volé plus haut et plus loin que nous ne l’aurions jamais imaginé et a aidé la NASA à faire ce que nous faisons de mieux : rendre l’impossible possible. Grâce à des missions comme Ingenuity, la NASA ouvre la voie à de futurs vols dans notre système solaire et à une exploration humaine plus intelligente et plus sûre vers Mars et au-delà. La NASA discutera de la mission Ingenuity lors d’une conférence téléphonique avec les médias aujourd’hui Ingenuity repère l’ombre de sa pale de rotor endommagée : Après son 72e vol le 18 janvier 2024, l’hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA a capturé cette image en couleur montrant l’ombre de l’une de ses pales de rotor, qui a été endommagée lors de l’atterrissage.1 point
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Une nouvelle image d'Uranus, cette fois avec l'instrument NIRCAM : https://esawebb.org/images/weic2332a/ Traduction automatique : Cette image d’Uranus prise par la caméra proche infrarouge NIRCam montre la planète et ses anneaux avec une clarté nouvelle. L’image du télescope Webb capture de manière exquise la calotte polaire nord saisonnière d’Uranus, y compris la calotte interne blanche brillante et la bande sombre au bas de la calotte polaire. Les sombres anneaux intérieur et extérieur d’Uranus sont également visibles sur cette image, y compris l’insaisissable anneau Zêta, l’anneau extrêmement faible et diffus le plus proche de la planète. Cette image du télescope Webb montre également 9 des 27 lunes de la planète. Ce sont les points bleus qui entourent les anneaux de la planète. Dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir de 2 heures, ce sont : Rosalind, Puck, Belinda, Desdemona, Cressida, Bianca, Portia, Juliette et Perdita. Les orbites de ces lunes partagent l’inclinaison de 98 degrés de leur planète mère par rapport au plan du système solaire. Une journée sur Uranus dure environ 17 heures, la rotation de la planète est donc relativement rapide. Il est donc extrêmement difficile pour les observatoires dotés d’un œil aiguisé comme Webb de capturer une image simple de la planète entière – les tempêtes et autres caractéristiques atmosphériques, ainsi que les lunes de la planète, se déplacent visiblement en quelques minutes. Cette image combine plusieurs expositions plus longues et plus courtes de ce système dynamique pour corriger ces légers changements tout au long du temps d’observation une superbe version annotée : Sans annotation :1 point
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Concernant ce comparatif Hubble / Webb, le communiqué de la NASA apporte des précisions : https://www.nasa.gov/missions/webb/the-crab-nebula-seen-in-new-light-by-nasas-webb/?utm_source=TWITTER&utm_medium=NASAWebb&utm_campaign=NASASocial&linkId=244916778 À première vue, la forme générale du reste de la supernova est similaire à l’image de longueur d’onde optique publiée en 2005 par le télescope spatial Hubble de la NASA : dans l’observation infrarouge de Webb, une structure nette de filaments gazeux duveteux en forme de cage est représentée en rouge-orange. Cependant, dans les régions centrales, les émissions des grains de poussière (jaune-blanc et vert) sont cartographiées par Webb pour la première fois. D’autres aspects du fonctionnement interne de la nébuleuse du Crabe deviennent plus importants et sont vus plus en détail dans la lumière infrarouge capturée par Webb. En particulier, le télescope Webb met en évidence ce que l’on appelle le rayonnement synchrotron : une émission produite par des particules chargées, comme les électrons, qui se déplacent autour des lignes de champ magnétique à des vitesses relativistes. Le rayonnement apparaît ici sous la forme d’une matière laiteuse ressemblant à de la fumée dans la majeure partie de l’intérieur de la nébuleuse du Crabe. Cette caractéristique est un produit du pulsar de la nébuleuse, une étoile à neutrons en rotation rapide. Le puissant champ magnétique du pulsar accélère les particules à des vitesses extrêmement élevées et les amène à émettre des radiations lorsqu’elles s’enroulent autour des lignes de champ magnétique. Bien qu’il soit émis dans tout le spectre électromagnétique, le rayonnement synchrotron est observé avec un niveau de détail sans précédent avec l’instrument NIRCam de Webb.1 point
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Assurément ..... çà fait tache ..... au vu de nos préoccupations de ne pas salir une planète qu'on veut explorer. Mais à moins de ne jamais rien y envoyer qui se pose .... il n'y a que des sondes restant en orbite pour acquérir des données et accessoirement des fonds d'écran lointains pour ceux qui apprécient les paysages. Mars : Atmosphère très peu dense, vitesse d'arrivée d'une sonde (c'était pour ExoMars 2022 mais valable pour toutes) L'atmosphère même ténue freine. Puis on tente de freiner encore avec des parachutes qui se déploient, un parachute de 15 m (extrait par un pilote de 1,5 m) qui doit se déployer en premier, puis celui de 35 m (avec aussi un pilote d'extraction) Il faut protéger ce qui doit se poser (pour Perseverance, bouclier thermique* "au cul" et capot blanc** .... qui couvrait le dessus) pour supporter les vitesses, le choc thermique, les balancements. Il y a des instruments fragiles, des caméras, des moteurs etc ..... * Heatshield ** Backshield Et dans le cas d'un rover à déposer il faut arriver à vitesse quasi nulle au sol (qui est souvent pierreux) donc un système de précision pour la dépose finale (sky-crane avec retro-fusées pour les rover Curiosity et Perseverance de la NASA, atterrisseur avec retro-fusées - tel que c'était prévu - pour Exomars 2022). Donc toutes les préoccupations et les émois écolos peuvent s'entendre bien sûr .... mais il faut aussi savoir prendre en compte le problème du début à la fin. Ce qui peut rassurer certains, c'est que ExoMars 2022 ne décollera pas (la collaboration avec les russes qui fournissaient le lanceur Proton et l'atterrisseur Kazachok a été bloquée ... et cela parait définitif vu le contexte) et il ne décollera probablement jamais et n'entrera donc probablement jamais dans l'atmosphère martienne donc pas de pollution - fut-elle minimalisée - du sol : Ouf quel soulagement ! Mais .... sur le forum Webastro tout cela est connu .... pour peu qu'on suive les Fil des missions martiennes dans la partie Astronautique (ou Actualités) PS : l'Europe (ESA) n'a réussi pour le moment en terme d'atterrissage sur Mars qu'à crasher Schiaparelli en 2016 ...... c'était un démonstrateur ... d'atterrissage .... qui a montré que ce n'était pas encore au point .... mais on apprend des erreurs. Il reste heureusement la sonde TGO qui orbite toujours la planète et envoie des données. Prochaine tentative ..... un jour peut-être ????1 point
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Salut, La nuit dernière, j'ai étrenné mon tout nouveau réducteur 0.7 reçu hier sur NGC 2146 qui donne une focale résultante de 2737mm soit F/D 7.7. Je pense que ça commence à faire beaucoup trop de lentilles sur le chemin optique (lame de Schmidt->Primaire->correcteur EdgeHD-5 lentilles du réducteur), mais ça marche bien. J'ai pris 30 poses de 240 Sec et j'ai arrêté les frais quand ça a commencer à se dégrader: J'avais prévu de basculer sur M65 en 2ème partie de nuit, mais du coup j'ai fermé boutique. Donc 30 images, j'ai refait des Flats (réducteur oblige) avec ma boite à Flats, mais j'ai complétement zappé de refaire des Dark-Flats de la durée correspondante. Du coup, les Dark-Flats sont de 4 Sec alors que les Flats sont de 2.5 Sec. Pas que ça ait l'air de faire grosse différence. Traitement habituel: WBPP & Drizzle" GraX SPCC BlurX GHS NoiseX Sat Une fois n'est pas coutume, je vous donne la crop avant: la full: et la version annotée: Vos commentaires sont les bienvenus. @dauphin-joyeux, que pense tu de celle là? a+ Serge0 point
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Salut à tous ! Cela fait un moment que je traine sur le forum à chercher des informations sans jamais passer le cap, alors voilà je m'inscris Je suis du Gers, là où il fait bon respirer et surtout où le ciel est à peu près potable (quand il fait beau). J'ai toujours aimé regarder les étoiles et ai découvert par hasard il y a 5 ans que n'importe qui pouvait prendre en photos des galaxies et autres objets du ciel profond !! Vous n'imaginez pas ma surprise ce jour là, surtout en découvrant qu'un vieux reflex entrée de gamme pouvait suffire. (j'ai découvert ensuite les joies de la complexité du matériel, des réglages, du traitement spécifique etc...). Mais après m'être cassé les dents plusieurs sorties en haut d'un col montagneux, à me geler les rubignolles et de pas parvenir à lancer un suivi suite à 2h d'installation, ca y est , c'est bon, c'est du plaisir (bon ca fait un moment, maintenant, j'ai tardé à m'inscrire) ! Je maitrise donc maintenant le materiel en ma possession (je pense, on apprend toute sa vie ), et j'ai donc en ma possession : Monture SW HEQ5 Pro Goto Newton SW 200/1000 PDS Reflex Canon 1000D et 6D défiltrés partiels Correcteur de Coma TS Optics GPU ASI 120 min Monochrome (pour l'autoguidage, récemment achetée, pas encore testée) Chercheur SW 9x50 Ecran à Flats imprimé 3D avec ma Creality Ender 3 Oculaires Explore Scientific 82° 8,8mm et 4,7mm Mon intérêt principal à vous rejoindre sur ce forum c'est : Apprendre de nouvelles techniques (comme l'autoguidage, le live stacking, HDR, etc... mais je ferai des sujets dédiés). Obtenir de la part des membres des critiques constructives pour me permettre d'améliorer mes photos (je ne cherche pas les likes, plutôt à m'améliorer. Par exemple je trouve que je manque de saturation ou de couleurs naturellement à la fin du process Pixinsight sans retouche Photoshop) Avoir votre avis sur du materiel pour améliorer mon setup (par exemple quel serait le meilleur filtre pour mon 6D, je vais fouiller le forum et trouver !) Partager le peu de connaissances que j'ai accumulé si possible ! Je traite sous Pixinsight en suivant les tutos extremement qualitatifs de Monsieur Jean-Baptiste Auroux, j'ai essayé de sortir les informations purement APN même si les tutos sont axès CCD. Il me reste à apprendre encore les étapes sur Photoshop pour les fignolages, mais je prends mon temps (et j'en ai pas beaucoup). Voici, pour le plaisir de vos premiers commentaires, ma prise de M42. Merci de l'accueil !0 point
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Bienvenue Belle M42 non cramée 😄 Je vois que les nuages se dissipent devant @Chuck_Novice0 point
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Une limite à X150 en planétaire/lunaire avec du chromatisme quoique l'on en dise. Nous n'avons pas tous le même niveau d'exigence... Je préfère moins de diamètre avec une image propre et en préservant mon budget0 point
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Jolie déterrage de post ! J'espère qu'en 8 ans l'auteur aura eu le temps de choisir sa voie d'étude !0 point
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Salut @Chuck_Novice merci pour ta présentation et bienvenue sur le forum . En plus avec une superbe photo de M42 toute en douceur... J'adore0 point
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Because I'm worth it!😋 J'ai trop souffert de la météo après l'achat de l'EQ8-Rh. Surtout, un pied à coulisse ça aide pour mesurer qu'on est au bon backfocus et go Toujours en lien avec la météo, il faut arriver à un certain niveau de désespérance. Après, on devient comme les c*ns, on ose tout. Si seulement c'était si simple... C'est toute une technique qui va au delà du caleçon: Bon, j'ai fais une 2ème version pour corriger les étoiles (un effet secondaire du réducteur je le crains) en séparant étoile et starless en linéaire et en faisant des montées d'histo séparées. Je suis pas trop sûr car j'ai fait ça comme Julien @180Vision en remote à partir de mon écran de PC portable tout cracra au taf (entre midi et 2...🥳). Vous me direz si c'est mieux ou pas. a+ Serge0 point
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Il y a la même confusion que sur Astrosurf : pour faciliter le suivi et le repérage, ce n'est pas de champ apparent qu'on a besoin, mais de champ réel sur le ciel. Un grand champ apparent apporte un côté spectaculaire, une vision panoramique, immersive, ce genre de chose. Mais si le grossissement est fort, le champ réel restera petit et les objets défileront vite. Inversement, avec un oculaire de 40 mm de focale on aura le champ réel sur le ciel maximal possible, mais avec un petit champ apparent (à cause du coulant). N'empêche que cet oculaire aidera au repérage (grâce à son champ sur le ciel).0 point
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Ouf, ta fille n'y est pour rien 😉 Perso je pense que c'est une bonne idée de garder les étoiles de la meilleur nuit. Voila comment je procéderais: Faire un empilement global des 2 nuits. En parallèle faire un empilement de la meilleure nuit. Aligner les 2 images empilées si l'image de référence n'est pas la même. Faire un starless de l'empilement global et récupérer les étoiles sur l'autre empilement Combiner le starless et les étoiles Pour une image de galaxie comme celle là, cela devrait bien fonctionner0 point
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Une bien jolie image!! j'aimerais tant pouvoir imager....si j'habitais loin de cette belle Normandie plutôt couverte un leger bruit qui peut surement être enlevé sans perte de détails. J'imagine que le detecteur dont tu fais reference c'est un vieux post que j'avais fais avec Bemo il y a de ça quelques années!! J'ai fini le driver Météo et je viens de finir le driver SfetyMonitor. Je vais publier ici l'ensemble du projet dans les heures à venir. j'en profite pour te remercie à nouveau j'espère voir de belles images comme celles ci bientot0 point
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De mémoire déjà à la 80ED y avait quelques irrégularités à la surface, je ne voudrais pas passer pour un mytho en disant aux 10 X 50 ... bref faut que je relise mes notes et surtout que j'y revienne ...peut-être prévu s'il y a encore des ciels clairs pas froids dans les semaines qui arrivent. Oui c'est ce qu'on dit pour le versus 300 / 400 plaine et montagne. En tous cas, je suis monté sur les plateaux sauvages de Haute-Loire ce week-end, pas pour l'astro mais j'avais emmené les 8X42 quand même histoire de tuer un peu Murphy car il y a eu un soir parfait et l'autre à 80 %. J'ai beau connaître le différentiel d'avec mon ciel classique qui n'est déjà pas mal, la claque en sortant de la bagnole en arrivant là bas n'en était pas moins forte ! Quand j'y emmène une de mes lunettes, ou bien dans les Alpes du sud, même topo, on a l'impression de faire un bond en avant de diamètre ! Du coup, j'en suis à 5 sorties là sur la semaine glissante 😆0 point
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Sur le RPI4, c'est Kstars-Ekos qui tourne. Et on dispose de plusieurs solveur: - Interne à Kstars, local avec les index de astrometry.net. - Astrometry.net en local ou en ligne. - Astap en local. - Watney en local. Pour le solveur interne et Astrometry.net, il existe une procédure de chargement des index dans les options du module d'alignement. Pour Astap, il faut installer l'exécutable et le fichier d'index depuis le site. Idem pour Watney. Perso j'utilise le solveur interne sans soucis. La documentation de Kstars est dispo sur ce site, dans la rubrique Logiciels.0 point
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Ça arrive... Ça m'est d'ailleurs arrivé récemment, lors du déstockage Unterlinden. Tous les copains fonçaient vers Colmar : Image © https://s-obeit-et-r-agit.blogspot.com/2019/04/gnou.html ...et moi, j'me suis paumé en route à cause de ce patin d'merle* de GPS qu'a planté. On n'a pas des vies faciles. 😬 * "Le Gnou, vous avez une amende d'un crédit, pour infraction au code de moralité du langage."0 point
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y a quand même un truc qui cloche non? Réducteur reçu hier chez Serge , utilisable de suite, et sans les 3 semaines de temps pourri?0 point
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Bonjour tout le monde!😊 une des prises de la nuits dernière NGC1530 à la focale native du C14 de 3910mm. Empilement de 24 poses de 240Sec (j'en avais 31 mais j'en ai oublié d'en sélectionner 7) . Pré-traitement WBPP GraX SPCC BlurX GHS Sat La nuit était magique: la couche était à 100M en dessous de chez moi et m'isolait complétement des lumières parasites de la vallée. A partir de 23H avec l'extinction des lampadaire, le ciel était bien noir.😍 Je pense qu'on devait pas être loin de Mag 5 en visuel. Et, pendant que j'admirais le spectacle un bolide à fendu le ciel, et quel bolide! la lumière de ce météore allant d'Est en Ouest était si vive qu'elle à éclairée l'observatoire et le jardin d'un vert intense pendant une brève seconde. elle a également laissée une trainée incandescente dernière elle. C'était magnifique! Celle ci je pense à du toucher le sol en Haute Savoie... Bref, je disgresse , je disgresse, voici l'image: la version annotée: J'ai pourtant le catalogue DR3 mais ça veut pas noter toutes les étoiles... On doit pas être loin de Mag 20 je pense. Bien. Autre chose à dire à ceux qui me taquinent (et à qui je leur rend bien) avec ma focale de 4 M.... Ta Da! j'ai dorénavant un réducteur de focale sur le bousin que j'étrenne ce soir en ce moment même: a+ Serge0 point
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Oui, c'est vrai. C'est pour ça reste ici et attend mon prochain fil, car je suis en train de me soigner...😁 a+ Serge0 point
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Unistellar a annoncé qu'il vont améliorer le traitement DDT, mais toujours pas d'un DDT optionnel. Je préférai quand c'était sans DDT. Avec le DDT il faut travailler différemment et s'adapter, surtout sur des intégrations très longues (ce qui n'est pas l'emploi d'un eVscope 2, plus fait pour du visuel amplifiée avec des courtes intégrations). Par exemple, hier j'ai fait de la longue VA sur M94 et aussi pour détecter le JWST. Malgré la présence du DDT (et bien sûr sans filtre) cela passe encore. -------- La galaxie Messier 94 (ou NGC 4736), surnommée " l'Œil de Crocodile", est située dans la constellation des Chiens de Chasse à environ 16,7 millions d’années-lumière de nous. Son cœur est extrêmement brillant. C’est une galaxie spirale à sursauts d’étoiles, c’est-à-dire qu’elle présente un taux de formation de nouvelles étoiles exceptionnel par rapport aux autres galaxies. NGC 4736 a été découverte l'astronome français Pierre Méchain en 1781. Apprenant la découverte de son ami, Charles Messier a déterminé sa position et l'a incluse dans son catalogue deux jours plus tard. ------- Observation du télescope spatial James Webb Space Telescope (JWST) avec l'eVscope2, le 4 février 2024 à 21h14 LOC (20h14 TU). Le JWST est au point de Lagrange L2 à 1,5 millions de km de La Terre. Son déplacement sur le fond d’étoiles (de l'ordre de 1 minute d'arc sur cette intégration de 63 minutes), outre son mouvement orbital autour du point de Lagrange, il est du en plus aux effets de parallaxe engendrés par la rotation de la Terre et sa révolution autour du Soleil. Sa magnitude apparente varie en fonction de son orientation par rapport à l’observateur sur la Terre. La magnitude apparente moyenne est de l'ordre de mV +16. Le télescope JWST a été lancé par une fusée Ariane 5 le 25 décembre 2021 depuis la base de Kourou en Guyane française. Il a été placé après un transit d'un mois, en orbite autour du point de Lagrange L2 du système Soleil-Terre, situé à 1,5 million de kilomètres de la Terre, du côté opposé au Soleil. Ce télescope spatial pèse environ 6173 kg et fait 6,50 m d'envergure pour une superficie de 25 m². J'ai récupéré les éphémérides concernant le JWST depuis le site du "Jet Propulsion Laboratory" (JPL): https://ssd.jpl.nasa.gov/horizons/app.html#/ J'ai réalisé ensuite un pointage Goto de l'eVscope en utilisant les coordonnées équatoriales RA/Dec J2000 issue de ces éphémérides: "Le 04-FEV-2024 | 20h14 TU | RA 07h 11m 19s / Dec +14°56'55" | constellation des Gémeaux" Je n'étais pas sûr de voir ce satellite d'une magnitude actuelle de l'ordre de +16 environ. J'ai intégré pendant un peu plus d'une heure (de 21h14 loc à 22h17 loc) afin de pouvoir mettre en évidence son déplacement sous forme d'une traînée, sachant qu'il se déplace peu. Au final, je l'ai détecté. C'est la petite traînée d'environ 1 minute d'arc dans l'encadré de cette capture 🙂0 point
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Il n'y a pas de recule sur la suppression des pesticides puisque depuis 3 ans la vente et l'utilisation de ceci est en forte hausse, tout ça n'est que du blabla de part et d'autres. La France est a peine derrière l' Espagne sur leurs utilisations et ces deux pays sont ceux qui en utilise le plus en Europe. Même en bio le cuivre et le souffre sont en augmentation. Il ne devrait pas y avoir de question a ce poser sur la préservation de la biodiversité mais seulement des réflexions sensé d'un coté comme de l'autre pour trouver des solutions. Mais je pense que l'humain n'en est plus capable et court a sa perte.0 point
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ça c'est du optimisé en terme d'encombrement! Gérer le regard, la cloture, l'entrée de garage sans y mettre de support, gérer aussi le chien, bravo!0 point
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Comme je l'ai dis dans ma présentation, je me débrouille en tournage et fraisage... Ici une bague M54 mâle réduit M42 mâle taillés masse.. alu série 7075... Et divers bague M42 mâle/femelle.. Pourquoi carré ??? Au départ c'était pour faciliter la fabrication.. A l'arrivée, la personne qui les utilisent adore car tellement plus facile pour viser et deviser.... 👌 Qu'en pensez vous?0 point
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Instrumental qui me vient souvent en mémoire... (le titre ? ) Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=TydZ4NAXMic0 point
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Et hop une nouvelle image : https://esawebb.org/images/potm2312a/ Le vaste amas de galaxies SDSS J1226+2152 dans la constellation de la Chevelure de Bérénice déforme les images des galaxies lointaines en arrière-plan en traînées et en taches de lumière dans cette image du télescope spatial James Webb. Il s’agit d’un exemple spectaculaire de lentille gravitationnelle, un phénomène qui se produit lorsqu’un objet céleste massif tel qu’un amas de galaxies déforme l’espace-temps et fait dévier le trajet de la lumière des galaxies plus lointaines, presque comme si une lentille monumentale le redirigeait. Cette image provient d’une série d’observations scientifiques précoces avec Webb. L’une des galaxies à lentilles les plus remarquables de ce riche champ est nommée SGAS J12265.3+215220. Sur cette image, il s’agit de la galaxie la plus interne, juste au-dessus et à droite de la galaxie centrale. Celui-ci se trouve bien au-delà de l’amas de premier plan en distance, ce qui nous donne une vue de la galaxie environ deux milliards d’années après le Big Bang. Les astronomes utilisent maintenant ce trésor très attendu de galaxies brillantes à lentille gravitationnelle du télescope Webb pour explorer la formation d’étoiles dans les galaxies lointaines. Tout comme leurs homonymes optiques, les lentilles gravitationnelles peuvent grossir et déformer les galaxies lointaines. Cela permet aux astronomes d’observer les détails les plus fins des galaxies qui seraient généralement trop éloignées pour être clairement résolues. Dans le cas de SGAS J122651.3+215220, la combinaison de l’effet de lentille gravitationnelle et des capacités d’observation sans précédent du télescope Webb permettra aux astronomes de mesurer où et à quelle vitesse les étoiles se forment, ainsi que de mieux comprendre les environnements qui favorisent la formation d’étoiles dans les galaxies à lentilles. Au milieu de ce spectacle spectaculaire de lentilles gravitationnelles, une ménagerie de galaxies spirales et elliptiques de toutes formes et de toutes tailles entoure l’amas de galaxies. Les instruments infrarouges sensibles du télescope Webb se sont avérés prodigieux pour repérer des galaxies lointaines dans l’obscurité de l’espace. Aucune des minuscules piqûres d’épingle dans la parcelle de ciel capturée ici n’est une étoile : chacune d’entre elles est une galaxie. La variété des couleurs des petites galaxies sombres nous donne des indices sur ce que nous voyons : beaucoup de galaxies blanches plus pâles remonteront à la période de formation d’étoiles intense connue sous le nom de midi cosmique, environ deux à trois milliards d’années après le Big Bang, tandis que les quelques petits systèmes orange et rouge datent probablement d’encore plus tôt dans l’histoire de l’Univers. Petit zoom :0 point
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