Aller au contenu

Classement

  1. 180Vision

    180Vision

    Membre


    • Points

      12

    • Compteur de contenus

      3055


  2. jackbauer

    jackbauer

    Membre


    • Points

      7

    • Compteur de contenus

      4282


  3. Forest69

    Forest69

    Membre


    • Points

      4

    • Compteur de contenus

      262


  4. BHM

    BHM

    Nouveau Membre


    • Points

      3

    • Compteur de contenus

      11


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 02/11/24 dans toutes les zones

  1. Bonjour tout le monde ! Désolé pour le jeu de mots Lyonnais en premier lieu Bon, j'avais fait deux sessions de la Rosette les 16 et 20 Janvier dernier, en SHO, pas traité depuis Voici donc ma version tardive... Prise à la FRA300 + QHY183M (sur EQ6R). Filtres Ha/SII/OIII Environ 65x300" en Ha (5h40) 25x300" SII et OIII à peu près (2h) Pré-traitement Siril / Sirilic Traitement Pix Staralign sur Ha + DynamicCrop des 3 GraXPert, BlurX, NoiseX sur chaque Clonage Ha et mise de coté Traitement SHO HistoTransform manuel sur chaque, sans trop tirer StarX pour étoiles de chaque couche (+tard) ChannelCombination S/H/O Calibration via NarrowBand Calibration Ajustement des couleurs par ColorMasks Désaturation de 3-4 zones "bleues" via PS (tampon couleur) Retour pix SPCC sur les étoiles PixelMath avec l'image SHO Convolution pour adoucir les transition Traitement Ha (luminance) Histo transform manuel pas trop poussé StarX GHS sur la Starless pour étirement final Masquage de la rosette via ACDNR HDTransform sur un clone (layer 9) + mixage à 25% (75% de la Ha d'origine) (masqué) DarknessstructureEnhance (Masqué) Intégration Starless + Stars LRGBCombination Ajustements PS (noirs, luminance du mélangeur de couche pour ressortir qq zones) Vibrance + désaturation Et voilà ! En "à coté", une capture écran du STF de la Ha brute d'empilement (Drizzle x2 pour info) Le TIFF LZW 16bits brut arrive aussi, comme convenu avec @Raphael_OD (le FITS fait 379Mo et je n'ai pas la fibre...:) ) ! (crop 100% central)
    10 points
  2. Extraordinaire !! Quand Percy fait de l'astronomie : "...Le 8 février le rover Perseverance a observé Phobos, la plus grande lune de Mars, passant devant le Soleil et a capturé l'événement avec sa caméra Mastcam-Z. Ce film montre le transit en temps réel (environ 38 secondes) à l'aide de 57 de ces images, alignées, mises à l'échelle et nettoyées..."
    6 points
  3. Les dragons de l'Autel Les formes sombres aux contours brillants qui traversent la poussiéreuse NGC 6188 couvrent des dizaines d'années-lumière. Cette nébuleuse en émission se trouve près du bord d'un grand nuage moléculaire, habituellement sombre, situé dans la constellation sud de l'Autel, à environ 4 000 années-lumière de distance. Nées dans cette région il y a quelques millions d'années à peine, les jeunes étoiles massives de l'association Autel // OB1 incorporent des formes fantastiques dans le paysage, et dynamisent la lueur nébulaire avec des vents stellaires ainsi qu'un rayonnement ultraviolet intense. La récente formation d'étoiles a probablement été déclenchée par des explosions de supernova et les vents stellaires en résultant, provenant d'anciennes générations d'étoiles massives, qui ont balayé et comprimé le gaz moléculaire. Au bas de l'image, la nébuleuse par émission NGC 6164, également créée par l'une des étoiles massives de type O de la région, rejoint NGC 6188 sur cette toile cosmique. Semblable à de nombreuses nébuleuses planétaires, la nébuleuse NGC 6164 est entourée d'une enveloppe gazeuse symétrique et d'un faible halo autour de son étoile centrale brillante, près du bord inférieur. Ce champ de vision d'une largeur impressionnante s'étend sur plus de 2 degrés (quatre pleines lunes), ce qui correspond à plus de 150 années-lumière à la distance estimée de NGC 6188. Cette magnifique image grand champ illustre l'émission des atomes de soufre, d'hydrogène et d'oxygène dans les tons rouge, vert et bleu. Données fournies par la plateforme d’imagerie à distance "Telescope Live", Takahashi FSQ-106ED situé à l'Observatoire d'astronomie IC (Espagne.) 40x300s Ha + 40x300s SII , 40x300s OIII, en Juillet 2023 & Janvier 2024 Traitement SHO Siril, Pixinsight, Photoshop La version full ici https://flic.kr/p/2pxBytG
    4 points
  4. Il en aura fallu, des hasards improbables, pour que cette image soit. Cela fit un gros boum, un peu comme une bombe et tous les disjoncteurs, dans un vaste rayon, sautèrent à l'unisson. Heureusement pour moi, j'étais à ma fenêtre et cet électrolyte voulut bien m'ignorer. Certains chassent longtemps et l'orage et l'éclair, j'ai eu la chance insigne que l'un d'eux vienne à moi
    3 points
  5. Bonjour Roger, Alors allons-y. Une année tropique est composée d'un nombre décimal de jours, 365,2422 jours, ce que n'accepte pas un calendrier où le nombre de jours d'une année est forcément un nombre entier. En l'état le calendrier prendrai de l'avance au rythme d'un peu moins d'un jour tous les quatre ans sur la position réelle de la terre sur son orbite. Nécessité est donc de corriger cela. Pour ce faire, la partie décimale "D" de l'année tropique a été approximée avec la formule suivante : D = 1/4 - 1/100 + 1/400 = 0,2425 valeur proche à 1,3 0/00 (pour mille) près donc acceptable à l'échelle humaine. Cette expression fractionnaire se traduit alors dans les faits par le fait que une année peut être bissextile à condition que : 1) elle soit divisible par 4 (contribution du terme + 1/4) 2) qu'elle ne soit pas divisible par 100 (contribution du terme - 1/100) trois occurrences pour l'instant dans notre calendrier : 1700, 1800, 1900. 3) à moins qu'elle ne soit divisible par 400 (contribution du terme + 1/400) deux occurrences pour l'instant dans notre calendrier : 1600 et 2000. Aussi si une année est divisible par 4 et par 100, mais pas par 400, elle ne sera pas bissextile. Il se passera alors 8 ans entre deux 29 février successifs. Les natifs de cette date seront alors privés d'un anniversaire pourtant bien plus rare que pour le commun des mortels. Ce furent les cas en 1700, 1800 et 1900. La prochaine fois sera en 2100. Ney Édit : Remarque : Ces trois divisions s'entendent avec dividende entier et reste nul.
    2 points
  6. Merci Roger pour cette belle version 🙂 Pour les fans de Metal de ce post, voici sur une thématique proche de celle de la chanson de Dylan, God was never on your side par Motorhead et son inoubliable Lemmy
    2 points
  7. T Coronae Borealis (T Crb). Une étoile qui explose tous les 80 ans ? Le comportement de cette étoile intrigue, et c'est le moins qu'il y ait à en dire, depuis près de 160 ans. La nova la plus brillante de l’ère moderne, qui est entrée en éruption en 1866, puis en 1946, devenant ainsi visible à l’oeil nu, tel un nouveau diamant dans la constellation de la Couronne Boréale, en atteignant la magnitude 2, s’apprête-t-elle à « exploser » de nouveau en 2024 ? Un certain nombre d’indices le laissent à penser, et pas mal d'astrophysiciens sont même prêts à parier leur chemise là-dessus. LC en 1945-46. AAVSO La reconstitution et l'analyse de la courbe de lumière, adaptée aux standards actuels en V et en B, à partir de plus de 100 000 mesures de magnitude effectuées entre le milieu du dix-neuvième siècle et 2013, archivées dans la littérature astronomique, et à partir de dizaines d'autres milliers de points récoltés dans les data de l'AAVSO sur les deux dernières décennies, associées à une compréhension désormais plutôt bonne de l'évolution stellaire, ont permis de mettre en évidence un large faisceau de présomptions dans le comportement de l'étoile … qui amènent à la grande question de l'année, en quatre mots : pétéra, ou pétera pas ? Si tel est bien le cas, la star de l'année, le feu d'artifice qui remportera tous les Oscars à la prochaine cérémonie, ce sera elle, comme en 1987, la fameuse supernova du Grand Nuage de Magellan. Un point détaillé sur cette étoile, sur ce fil : Les derniers articles parus dans la sphère scientifique ne tablent plus sur le fait qu'il y ait explosion de la nova à terme, mais sur celui de poser la date à laquelle cela va se produire. En voici quelques-unes : Munari et al. (2016) : éruption en 2025.5±1.3 Luna, Sokoloski, Mukai et Kuin (2020) : éruption en 2026±3 Maslennikova,Tatarnikov et al (2023) : éruption en janvier 2024 Schaefer, Kloppenborg et Waagen (2023) : éruption en 2024.4±0.3 (soit entre le 6 février et le 11 septembre 2024) La dernière alerte en date est donc celle émise par l'AAVSO, qui annonce l'apparition de la nova le plus vraisemblablement ce printemps. Mais quand ? Dans le semaine qui vient ? La nuit prochaine ? En mars ? Ou sera-ce plutôt en septembre ? L'année prochaine ? Va savoir, René. https://www.aavso.org/news/t-crb-pre-eruption-dip LC AAVSO. Le creux en W, synonyme de l'arrivée de l'éruption. Je surveille l'étoile depuis début janvier à chaque occasion. Ça se fait bien avec une simple paire de jumelles, et à l'oeil nu, bien sur. Elle est visible, ou elle ne l'est pas. Avec des 10x50, on voit très bien la zone où elle est située, sous un ciel moyen, mais sans apercevoir l'étoile, actuellement vers mag 10. En revanche, elle est très bien vue dans une paire de jumelles 11x70. La constellation est visible en seconde partie de nuit pour l'instant, mais elle se lève chaque jour un peu plus tôt, et la situation s'améliore rapidement avec les semaines qui passent. En imagerie, on a bien l'étoile (à magnitude 10) avec un objectif de 50 mm en deux minutes de pose à 5.6. La définition est suffisante pour des images souvenir, mais insuffisante pour produire une photométrie correcte à cette éclat. Par contre, si le feu d'artifice devait advenir, le champ serait correct pour avoir de bonnes étoiles de comparaison (ne pas oublier de défocaliser largement pour éviter la saturation des étoiles) Pour obtenir des informations rapidement, et presque en temps réel, la solution, est de s'abonner aux forums de l'AAVSO. La BAA dispose également d'une mailing-list d'alerte sur Groups.IO : https://groups.io/g/baavss-alert L'AFOEV a peut-être aussi un système d'alerte rapide, et un système de messagerie pour ses membres, mais je l'ignore. Dans tous les cas, si cela explose : taïaut ! La phase d'éruption ne dure que très peu de temps. En 1866 et 1946, on n'a pas pu apercevoir la phase de montée en éclat, et la décroissance en luminosité, une fois le maximum atteint et l'étoile découverte, s'est faite au rythme d'environ une demie magnitude en moins par tranche de 24 heures. En une semaine, plus ou moins, la nova n'était plus visible à l'oeil nu. Il apparaît néanmoins qu'une surveillance étroite de l'étoile dès à présent, dans la continuité de ce qui se fait depuis plus d'un siècle, et très important pour la connaissance du phénomène. Y aura-t-il d'autres signes avant-coureurs que ceux que l'on a détectés a posteriori sur les courbes de lumières datant des années 1940 ? Des soubresauts dans les jours, les heures précédent l'éruption ? Des fluctuations pendant la montée en éclat, au moment du maximum ? Pendant la redescente ? Les spectroscopistes seront à l'évidence aux premières loges pour produire des documents d'une importance capitale pour la compréhension des mécanismes stellaires à l'oeuvre. Pour ma part, le jour J, je n'hésiterai pas à poser trois ou quatre jours de repos et à traverser le pays pour avoir une trouée dans la couche nuageuse, si nécessaire. Il s'agit clairement du phénomène astronomique d'une vie. Après avoir largement étudié les courbes de lumière depuis 1866, malaxé du marc de café en quantité, et questionné un plat de tripes à la graisse d'uru, je tablerais volontiers sur la période allant du 05 au 20 avril 2024 pour l'éruption, si la courbe de lumière est à ce point reproductible d'une éruption à l'autre. Qui vivra verra;-) Je propose qu'on utilise ce fil pour partager des infos, des alertes, et des observations. Bonne chasse à la nova, Bons cieux, Christophe Cartes de champs, avec magnitude pour estimation visuelles (AAVSO)
    1 point
  8. Salut, Sortant de plusieurs séances d’observations récentes de ciel profond au T300, je voulais faire un petit retour sur quelques nébuleuses qui m’ont intrigué ou intéressé. Cette fois-ci, c’était au tour de Orion et du Cocher, constellations majeures d’hiver hébergeant beaucoup d’amas mais aussi de nébuleuses. Alors, non, désolé, celles que je vais présenter ne sont pas du M42, ni du M57, elles demeurent un peu (bien !) plus faibles. J’ai appris avec le temps à apprécier les nébuleuses Van den Bergh (VDB). Ce sont des nuages de gaz illuminés par une étoile, brillant souvent par réflexion, et donc sur lesquelles l’usage d’un filtre n’aide quasiment pas. Visuellement, c’est souvent faible et ténu à ce diamètre mais l’on peut avoir de belles surprises. Elles se présentent comme un voile léger entourant une étoile d’éclat intermédiaire, souvent dans les mv 10 environ. Le problème est de confondre ce halo avec celui créé par des optiques présentant un peu de buée, ou un ciel un peu humide et diffusant. Si optiques et ciel sont propres, le truc est de comparer le halo autour de l’étoile en question, avec le halo d’une autre étoile de même éclat dans le champ ou pas trop éloignée. S’il est plus marqué, on a de fortes chances d’avoir détecté la nébuleuse. Voici un site assez intéressant pour comparer ce que l’on voit avec la réalité photo, agrémentée de quelques commentaires astrophysiques : http://www.emilivanov.com/CCD Images/Catalog_VdB.htm Je peux ainsi citer VDB 35, VDB 40 ou VDB 48 entre autres dans Orion, VDB 65, assez facile, dans le Cocher, quasi vue en vision directe, autour d’un joli petit triangle, VDB 27 dans le Taureau, assez facile aussi, ovalisée voire d’aspect cométaire si votre ciel est bon …ou le diamètre instrumental suffisant ! Je conseille aussi, via le prétexte VDB 92 et VDB 95, une incursion dans l’immense nébuleuse IC 2177, de saison, à la limite du Grand Chien et de la Licorne. Complexe, elle contient aussi des amas d’étoiles. Une observation un peu extrême, toujours dans Orion : les objets Herbig_Haro 1 et 2, à environ 5’ S de NGC 1999. Cette dernière n’est déjà pas réputée parmi les classique, mais avec HH1 et HH2 on entre dans une toute autre dimension de difficulté ! Il s’agit de filaments nébuleux témoins de la naissance d’étoiles. J’ai confirmé à 225 X au moins l’un des deux, à la position correcte sans la connaître précisément lors de l’observation. C’est un très faible patch nébuleux uni d’environ 30’’ max vu au mieux 25 % du temps en vision oblique. J'espère ne pas m'être trompé car je n'ai pas trouvé la mv de ces objets, pour vérifier la cohérence de l'observation. A ce régime la proche NGC 1999 fait office de phare gênant, aussi je n’ai guère observé son « trou de serrure ». Le second objet HH proche m’est apparu de façon très incertaine, difficile à localiser, d’ailleurs j’ai noté son emplacement un peu à côté de la réalité. Ces soirées ont été placées aussi sous le signe de nombreuses nébuleuses Sharpless, souvent redoutablement faibles et peu contrastées, étendues, et plus dédiées à la photo. Contrairement aux VDB, l’emploi d’un filtre y est souvent efficace et même nécessaire. J’y ai essuyé plusieurs échecs, Sh 2-257 dans Orion m’est apparue à 96 X OIII comme un vague halo assez bien visible en VI, avec des limites assez étendues mais plus faibles, probablement visuellement assez complexe. Sh 2-241 dans le Cocher s’affiche aux côtés de VDB 65, déjà évoquée plus haut. Elle n’est pas trop difficile malgré un aspect diaphane, comme chez beaucoup de Sharpless. Toujours dans le Cocher, il faut être persévérant pour apercevoir la fantômatique, l’ectoplasmique silhouette de la grande Sh 2-230, quasi dans le même champ que le prestigieux M38 et son collègue NGC 1907. Elle semble réagir au Hbeta, mais franchement 300 mm semble être le diamètre minimal nécessaire, à moins d’observer sous un ciel d’exception. Je l’ai trouvée moins extrême à 96 X Hbeta qu’à 56 X Hbeta. C’est une sorte de halo en bandeau autour d’un trio stellaire, mieux détecté en bougeant le tube, comme souvent dans le cas de plages étendues à contraste très faible. Elle se prolonge assez bien au N du trio d’étoiles, je l’ai notée finalement assez intéressante, pour un objet aussi extrême ! En entracte de ces pâleurs fantômatiques, je me suis offert quelque repos oculaire sous la forme d’amas ouverts, mais toujours dans les catalogues exotiques. Après quelques Teutsch plus ou moins sympathiques dans le Cocher, je dégotte une belle surprise avec Topler 2, que je trouve superbe et spectaculaire (même si, je sais, ce n’est pas M38 …) L’un des fleurons de ces soiréess, le seul objet qui restait inobservé sur mes listes du Cocher, et pour cause, est Abell 8. Les Splendeurs de Laurent Ferrero attribuent à cette faible nébuleuse planétaire la mag de 15.7 ! Pire encore, le site de Bertrand Laville, observateur des plus pointus et cadors s’il en est, lui donne 16.6 ! Tant pis, en fin d’observation du 31/01 dernier, je n’y crois guère mais elle reste non tentée sur mes listes. Le Cocher est au zénith, c’est bien transparent, c’est le moment de tenter. Avec uniquement la précision de l’IDSA, à 96 X OIII je remarque rapidement une présence floue vers l’emplacement prévu. A 170 X OIII, je confirme, l’objet est seulement faible sans plus, visible 50 % du temps environ. C’est une assez grosse masse floue à 2’ O d’une étoile de mag 11, mal définie, probablement ronde sans détails, aux limites mal définies. Mais je note rapidement une nodosité ou un point plus brillant vers le bord SE. Il s’avère qu’il s’agit probablement d’une étoile, dont le filtre OIII perturbe un peu le ressenti de l’éclat, que j’estime à mv 14 environ. Selon certaines sources, je vérifierai par la suite que cette étoile en bord de nébuleuse est donnée à mv 13,5. Cette étoile qui se retrouve tout-à-fait sur les photos valide absolument l’observation, s’il était besoin, car la présence floue ne faisait déjà aucun doute ! Au final, belle surprise, j’estime le rendu visuel de cette NP bien moins difficile que les mag annoncées plus haut, je pense peut-être à mv 13.5 – 14. Il faut dire que ses dimensions de 1’ environ la rendent optimalement détectable à ma configuration instrumentale, par expérience (assez grosse mais point trop, pour garder un certain contraste et éviter la dilution dans le ciel environnant). A noter aussi que, connaissant les mag 15.7 annoncées, je m’étais blindé et préparé à affronter un objet extrême, au seuil de mes possibilités. On ne trouve pas énormément de CR de cette observation, il faut aller chercher chez les cielextrémistes Yann Pothier, Bertrand Laville, Uhwe Glahn, ce site (http://www.deepsky-visuell.de/Projekte/AbellPN_E.htm) ou Fabrice Morat. Ce n’est pas la première fois que je bénéfice de bonnes surprises sur des Abell annoncées très faibles. Du coup, je m’étais interdit celles à partir de mag 15.5 – 16 env, mais elles vont réintégrer mon champ des possibles ! J’avoue avec le temps de plus en plus d’intérêt et d’ »affection » pour ces NP Abell, à fort caractère, même si leur faiblesse ne leur permet pas hélas d’afficher beaucoup de détails à mon diamètre. Enfin, je finirai par une découverte intéressante, et assez facile, une belle surprise, Kohoutek 2-1 dans le Cocher. Observée le 05/02, je la décèle déjà relativement facilement à 96 X OIII alors que le ciel se voile sérieusement avant le repas. Assez faible et pâle, elle est toutefois assez bien visible, VI2 (75 % du temps en vision décalée), quasi collée à une étoile mag 11-12. Elle est étendue avec des limites peu marquées. A 170 X OIII je note une étoile très faible sur le bord O, la nébuleuse est très diffuse, peut-être orientée N/S. A 56 X OIII, elle regagne un peu de contraste, vue son étendue apparente. Après le repas, miracle absolu : les voiles nuageux ont totalement disparu et le ciel est d’une grande transparence ! Je reviens sur cet objet avec donc un peu de gain visuel. A 96 X OIII c’est la meilleure vision, elle est remarquablement déployée au SSO de l’étoile mag 11, et semble légèrement irrégulière, peut-être y a-t-il des zones sombres ? Je note 2 ou 3 étoiles très faibles sur les bords. Voilà, la difficulté avec ces objets un peu en-dehors des boulevards c’est que je n’ai pas beaucoup d’infos avant l’observation, ce qui accroît encore leur difficulté, ne sachant pas trop à quoi m’attendre. Souvent, il n’y pas grand-chose à voir, ça restera juste une recherche de passage, mais parfois on a droit à quelques surprises, non pas que l’objet soit spectaculaire, mais un de ses aspects nous interpelle. Surprise, comme l’astronomie sait en réserver …
    1 point
  9. Bonjour, De passage sur Webastro, je signale à ceux que l'étude de la lune intéresse que je viens de mettre en ligne un document pdf de 60 pages consacré aux différentes hypothèses émises depuis le XIX siècle sur l'origine de la lune, les variantes et évolutions de ces hypothèses jusqu'aux années 2020. La littérature scientifique étant essentiellement anglosaxonne, ce document peut combler un vide dans la langue de Molière. Le pdf comporte de nombreux liens (accès aux revues et autres sites documentaires, bibliographie et indexation d'un grand nombre d'auteurs cliquables, quelques vidéos et animations). Pour ceux qui sont inscrits sur Astrosurf, je l'ai mis en téléchargement ICI. Pour les autres, c'est sur mon site Google Drive, ICI - avec une mise à jour détaillée du sommaire comme vous voyez sur l'image ci-dessous. Amitiés à la communauté d'astrams. Claude
    1 point
  10. Salut, voici une petite Jupiter croquée le 25/01/2024 à la FC-100 DF, mise en place à 123 X et détails à 148 X. Transparence jugée très bonne mais pleine lune se levant, et turbulence assez faible (je m'étonne avec le recul de n'avoir donc pas grossi plus). Ce dessin a été l'occasion de tester du papier Canson lavis technique en 160, plus confortable et glissant certes, mais j'ai eu quelque souci avec l'accroche aux crayons Faber Castell bruns pour les bandes. A suivre ... Pas mal de détails dans les bandes équatoriales, toujours sous forme de boursouflures, de spots sombres, débordant souvent sur le disque. Un feston grisâtre (le bleu ardoise est très difficile à ce diamètre) se montre légèrement au N de la GTR. Cette dernière m'a surpris par sa pâleur : le orange se détache à peine du disque. Par contre les contours de la GTR semblent très marqués et complexes, bien soulignés, avec un point plus contrasté juste à l'E. On note assez facilement 3 ou 4 bandes secondaires, ainsi qu'un très fin réseau dans la partie N peut-être composé de bandes à la limite de la perception, bref le tout mal résolu présente un fond un peu plus sombre. En comparant avec les photos de l'Alpo Japan Jupiter de cette date, on voit des similitudes mais aussi des divergences, peut-être liées à la limite instrumentale ou ...à l'observateur ! Par exemple, l'enroulé autour de la GTR se détache plus de cette dernière par endroit, et une bande au S de celle-ci est plus franche. Les 2 petits spots sombres juste à l'O de la GTR apparaissent en fait comme des limites de zones blanches sur la photo, zones blanches qui ne me sont que très rarement accessibles à la lunette. Enfin, je m'interroge sur la longueur peut-être exagérée des 2 "festons" bruns partant au N de la NEB, ces derniers étant très réduits sur les photos. Bref, cette autocritique incite à toujours plus de prudence et d'objectivité, à passer plus de temps sur la chose, et de saisir si possible les trous de turbu pour voir si on peut grossir plus, afin de confirmer ou pas tel détail.
    1 point
  11. Très beau bravo!
    1 point
  12. Superbe duo que je ne connaissais pas. Abell 31 (connue également sous la dénomination sh2-290 après qq recherches) est splendide 👍 Merci pour la découverte 😉
    1 point
  13. Merci JM ! Pour @Raphael_OD, c'est une "brute" d'empilement, uniquement ouverte dans Pix et enregistrée en TIFF, sans rien faire, mais pas une "brute unitaire" par contre.. Voici le lien, si c'est pas ce qui est attendu, il me dira ...mais avec ma connexion à base de...rien...compliqué un upload de 380Mo https://drive.google.com/file/d/1HfmBuLr3jukMKlJ8GT9IrIj_uEenIQXh/view?usp=sharing
    1 point
  14. Du coup, je fais un tour dans les archives de ma jeunesse un énervée ... En réponse à Girlschool : L7 qui a sévit de 1985 à 1996, Reformé en 2014 et de passage au Hellfest 2015 Puis 2 groupe qui m'ont fait entrer dans la fusion hard, rap, funk ... Urban Dance Squad Puis Fishbone qui pouvais passer de : à ça : une vrai folie en concert!
    1 point
  15. L'Ethos 21 (le seul Ethos que je possède !) est clairement supérieur au N22T4 que ce soit en terme de neutralité, de transparence. Après, c'est pareil, je suis pas "neutre dans l'histoire" vu que j'utilise de manière systématique le Paracorr 2 sur mes Dobs ou ceux des copains et encore une x avec le 21, c'est totalement corrigé en bord de champ. On entre aussi sur les paramètres habituels... Taille et masse de l'oculaire et aussi sur du matériel compact et léger, prise en compte de l'équilibrage, de la capacité de charge du PO... Le N22T4 est pas léger non plus face à un XW20. Sommes jamais contents, faudrait tout avoir !
    1 point
  16. La question est surprenante. Même si l'astronomie est antérieure au domaine de la microscopie, les progrès de l'instrumentation pour l'infiniment petit a toujours été critique. En microscopie il s'agit de diagnostique, en astronomie, c'est plus (pour le visuel j'entends), du spectacle et moins de l'observation sur critères précis. (dédoublement d'étoiles, recherche d'objets connus). Les conditions d'utilisation du microscope optique (*ou des optiques diverses en condition favorable terrestre), en particulier l'observation binoculaire est dédiée à la recherche de détails sub-micronique (*respectivement à séparation de l'ordre de la seconde d'arc) . Le grossissement est limité par la diffraction. Rappel sur l'oeil Les enjeux en diagnostic vital (médecine) ne sont pas opposables à ceux de l'observation astronomique. A un tel point que dans les conditions particulières d'un objet éclairé et immobile, d'une position confortable de l'observateur et qui va examiner avec un temps bien moins critique ; une optique insuffisante sera rejetée. Les concepteurs font le nécessaire pour les appareils critiques pour optimiser les optiques jusqu'au performances nécessaires à atteindre la limite de la diffraction. La codification des performances des chaînes optiques est bien connues. En particulier, depuis les années 1980, les japonais (Olympus/Nikon) ont décidé de l'interopérabilité des accessoires en microscopie sur pression de l'organisme de normalisation. ( on reprochait à Zeiss, Leitz & autres de vendre des solutions fermées ) Voici, en exclusivité, une analyse critique des niveaux de performance des chaînes optiques en microscopique. Il va de soit que l'oculaire qui n'en est qu'un élément doit faire mieux. Quand on sait que l'oculaire d'astronomie est conçu pour un piqué de 5' d'arc en bord de champ, ça permet de comprendre pourquoi un Scidmore/Bertele WA 17mm 56° est nettement plus piqué sur son champ qu'un panoptic 68°. 3 niveaux de qualité de système optique de microscopie. Optique de faible grossissement type loupe binoculaire en minéralogie Assistance de l’œil pour la reconnaissance des formes. Colorimétrie standard. Système d'analyse pour utilisation occasionnelle : action de centrage à 40% du champ nécessaire. Typique des instruments de contrôle d'objets pour lesquels la couleur est un facteur principal. Système de haute qualité, large correction couleur, avec un meilleur champ confortable de 70% Pour utilisation continue en analyse de l'inconnu. Diagnostic biologique. On notera que la bande couleur est catégorisée F'C' 480-644 3' d'arc en astronomie c'est similaire au seuil 0.21 (orange). Il va de soit que l'oculaire pris individuellement fait mieux.
    1 point
  17. Souvenirs... un label (Black Dragon), des groupes découverts grâce à ce label... Heir Apparent Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=faSvAMi6uDU Manilla Road (Mark Shelton 😢 ) Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=zFbmMPQooO8 Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=HclKd2bE-pA Et, pour faire plais' à @BlackSamedi, et parce que cet album fut "une claque", l'est toujours, fait partie de ces albums qui font découvrir d'autres "univers musicaux" (voir aussi : https://www.webastro.net/forums/topic/30146-quest-ce-que-vous-écoutez-comme-zic/page/260/#comment-3124335 ) Candlemass Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=UZjuzPU9UE4 Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=JGYnx2m09pQ
    1 point
  18. Me voilà avec un peu de dacalage, répète sur Paris et retour il y a 40mn Bon, alors je partagerai ma Rosette d'ailleurs demain et je mettrai une brute si tu veux (ou deux, mais quoiqu'il en soit ma fra300... Aucun pb, propre, bien construit et j'utilise un eaf pegasus. La zone de mise au point est sensible et courte mais en réduisant le pas, nickel... Question lotteries, je n'en sais rien mais si ces gammes on des soucis, alors beaucoup de lunettes du marché aussi hormis taka peut être.... Je referai le choix en tout cas.! J'ai une 103apo avec x1... Super bien construit et soigné, ne reste qu'à tester... Je notifier irai pour les iimage demain
    1 point
  19. Document téléchargé, prêt à bouquiner : Merci Claude pour tout ce travail !
    1 point
  20. Il y a mieux avec une raquette : Focus cube 2 et focus cube zéro de chez Pegasus Astro . En plus et comme le sesto senso2 c’est européen et pas chinois
    1 point
  21. Au plus près de notre étoile en HD avec cette merveilleuse lunette Askar de 185 mm équipé d'un étalon PST Fabry Perot prototype de 2004 , barlow 2.5 x televue et camera player one
    1 point
  22. J'y connais rien mais je trouve ce fil très intéressant j'apprends plein choses, merci pour le partage !
    1 point
  23. Prenons un poteau en béton C25/30 de 20 cm de côté, et 1 m de long, si on lui applique une charge horizontale de 25 kg en tête, il se déplacera (flèche) de 0.02 mm avec un angle de 6" environ. Si je ne me trompe pas dans mes calculs, un ensemble de 4 tiges filetées M10 de 20 cm de long, séparées de 10 cm, soumis à la même charge horizontale en tête aura une flèche de 0.006 mm avec un angle de 10" environ : plus que le poteau en béton ! Si tu utilises des tiges M12 de même longueur, la flèche sera de 0.003 mm et l'angle sera de 5", autant que le poteau en béton. Mais si tu utilises des tiges M8 de 5 cm de long, ce qui est largement suffisant pour mettre la platine de niveau, la flèche sera de 0.0002 mm et l'angle de 1", soit un gain x 40 sur la flèche et x 10 pour l'angle par rapport aux tiges M10 de 20 cm de long . Tu vois qu'il est plus important de raccourcir les tiges filetées au strict nécessaire que d'augmenter leur diamètre. Cela dit des tiges M8 sont vite tordues pendant la mise en place, il est donc préférable de prendre plus gros. Bref, prendre des tiges M10 à M14, peu importe, mais pas plus longues que ce qui est nécessaire pour mettre la platine à l'horizontale. 5-6 cm environ devraient suffir largement. Les armatures métalliques dans le poteau doivent être au moins à 4 cm de profondeur pour la protection contre la corrosion des armatures. Les tiges filetées seront positionnées à l'intérieur du ferraillage pour qu'une partie soit enfoncée de 30 x le diamètre nominal de la tige dans le béton (généralement on prend 60x mais c'est pour une tige lisse et une charge à la rupture, on en est loin). Pour le béton prendre du C25/30 de préférence au C15/20. Eviter les bétons sans indication de la classe de résistance (genre ceux de PRB ou Leroy Merlin). Attention à bien doser l'eau selon la fiche du fournisseur, mettre trop d'eau rend peut être le béton plus fluide et facile à mettre en oeuvre, mais ses caractéristiques s'effondrent. Par exemple avec le béton prédosé Gedimat Performance Pro C25/30, il faut 2,8 litres d'eau par sac de 25 kg, avec le Weber béton renforcé 350 C25/30, il faut 2,5 litres par sac de 25 kg. Si vous avez peur que le béton ne soit pas assez fluide pour être mis en oeuvre, je vous conseille de mettre un peu de superplastifiant, tout en réduisant un peu la quantité d'eau (en retirant env. 0,2 à 0,3 litre par sac de 25 kg). Par exemple il y a le ParexLanko 314, pas cher, il faudra en mettre 1 dose (max) par sac de 25 kg de béton (vérifier la fiche fournisseur). Vous n'oublierez évidemment pas de bien vibrer le béton... Je recommande de faire des chanfreins à tous les angles du poteau pour éviter des blessures sur les angles vifs et l endommagement du béton sur ces points faibles. Une simple baguette de section triangulaire 25x25 placée dans le coffrage suffit.
    1 point
  24. Encore un "océan" dans le système solaire ! https://www.observatoiredeparis.psl.eu/presence-d-un-jeune-ocean.html Présence d’un "jeune" océan sous la couche de glace de Mimas C’est confirmé ! Mimas, l’une des petites lunes de Saturne, renferme un océan global d’eau liquide sous sa surface glacée. Plus surprenant : l’apparition de cet océan remonterait à moins de 15 millions d’années. Cette découverte issue de travaux dirigés par un astronome de l’Observatoire de Paris – PSL au sein de l’Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides (Observatoire de Paris – PSL / CNRS / Sorbonne Université / Université de Lille) parait dans la revue Nature, le 8 février 2024. Elle pourrait faire de Mimas la nouvelle cible à privilégier pour l’étude des conditions d’apparition de la vie dans le Système solaire. Une vidéo en français :
    1 point
  25. Monter l'helicoil avec un outil de pose... Une bonne vue une dremel une vis M2.5 et un peu de patience... C marche aussi.. 😁😉 ça ce bricole très bien... Dans l'idéal il faut placer le filet rapporté a quelques dixième en dessous de la face de montage... Un petit coup sec pour casser l'entraîneur et c'est tout.... C'est juste un rappel donc je suis dispo si besoin de plus de détail.... 😉😉 Bonne journée à tous.... Ici le trou fait 5mm de profondeur donc j'ai monté un filet rapporté M2.5x1.5D
    1 point
  26. Hello, Je vous propose une image grand champ dans la constellation de Céphée, incluant notamment la nébuleuse du requin LDN1235 et de nombreuses autres nébuleuses des catalogues LDN et LBN Imagée avec la lunette Askar FMA 180 Pro, la 2600 mono et les filtres LRGB Antlia Pro. Pilotage des sessions à l’aide de l’Asiair. Malgré la petite focale On y trouve également de nombreuses galaxies, dont PGC67671 bien visible. Côté acquisition, 14h de pose réparties ainsi : 10h30 en luminance (125 x 300s) 1h15 pour chaque filtre RGB (15 x 300s). J’ai encore un gros souci de backfocus avec cette lunette, que je ne suis pas sur de pouvoir résoudre car à 55mm je suis trop proche, et à 55,5mm, je suis trop loin. Ça laisse plus beaucoup de marge de réglages. C’est dommage car le champ offert à cette focale est plutôt sympa à exploiter. La full est sur ma page astrobin : https://www.astrobin.com/yzziaq/ Bon dimanche
    1 point
  27. UPDATE 2 du 04/07/2024: IMPORTANT: Si vous avez déjà installé l'ancienne version du driver ASCOM, il faut d'abord le désinstaller via l'utilitaire de desinstallation des programmes Windows. UPDATE 1 du 02/07/2024: Pour répondre à la demande d'un astram du forum, j'ai repris une très grande partie du développement de ce projet. La demande initiale était simple: ajouter la prise en charge d'un anémomètre, d'un pluviomètre et d'un détecteur de gouttes. Le pluviomètre et l'anémomètre m'ont été chaleureusement offert par le demandeur afin de pouvoir tester en vrai les différents codes. Ces deux capteurs proviennent du site Lextronic: - Le pluviomètre: https://www.lextronic.fr/pluviometre-a-godet-27641.html - l'anémomètre: https://www.lextronic.fr/anenometre-a-sortie-reed-27644.html - Capteur de gouttes: 1) Afin de me simplifier la vie, j'ai repris l'architecture du code de l'ESP32. J'avais initialement construit un firmware où tout était dans le même fichier. J'ai du coup créé les fichiers .CPP et .h pour chaque capteur et chaque fonctionnalité. Cela permet une maintenance plus facile et l'ajout de fonctionnalités plutôt facilement. 2) La mise à jour du firmware de l'ESP32 peut maintenant se faire via une mise à jour OTA (over ther air). Dans le cadre d'une station météo c'est plus pratique puisque dans de nombreux cas celle ci sera alimentée par un panneau solaire et donc bien loin du port USB. Sur la page web qui affiche les données des divers capteurs, un bouton en haut de la page permets d'accéder à la page de mise à jour de l'ESP32. Arès avoir sélectionner le fichier .bin crée par l'IDE arduino ou autre IDE, puis cliqué sur le bouton "Mise à jour", une barre de progression se remplie. Une fois fini un message de succès apparait pour confirmer l'upload. En cas d'erreur un autre message d'echec apparait. Une fois le telechargement sur l'ESP32 terminé, un bouton "retour vers l'acceuil" apparait sous la barre de progression. 3) L'adresse IP fixe de l'ESP32 doit être renseignée dans le fichier "WIFI.cpp" et les SSID et mot de passe wifi doivent être renseignés dans le fichier "variablesWIFI.cpp". Ces données sont utilisées dans le cas de la mise à jour par OTA mais aussi dans la gestion "cachée" des pages web. Sans rentrer dans le détails cela permet de rendre dynamique les variables nécessaires afin que les infos utilisées dans l'ESP32 soient réutilisées par les pages web. Cela évite d'avoir à modifier les fichier html pour y modifier les adresses IP. Tout est automatique dorénavant. 4) La gestion en économie d'énergie a été améliorée. Initialement il n'y avait pas de gestion d'énergie. Sur cette version, après 5 minutes d'inactivité, l'ESP32 se met en mode "Modem Sleep" (le WiFi et le Bluetooth sont donc désactivés). Ce n'est pas le mode d'économie le plus avancé (il aurait fallu pour cela mettre un "Deep Sleep") mais le "reveil" de l'ESP32 serait bien plus délicat. Une activité est soit une requete de la page web soit une requete du driver NINA. Donc, si aucune requête arrive à l'ESP32, celui ci rentre en "Modem Sleep". L'ESP32 arrête toutes les lectures des capteurs. Si une nouvelle requête est faite alors l'ESP32 reprends sa routine durant 5 minutes. A chaque nouvelle requête le timer de 5 minutes se remet à 0. Cela garantie une économie d'énergie ceratine ainsi qu'une plus grande longévité des capteurs puisque, ce projet se destinant à une météo astro, il va de soit que les requêtes ne seront que peu fréquentes en cas d'inutilisation prolongée à cause de la météo ou tout autre évenement :). 5) NINA communique avec l'ESP32 grâce au driver MeteoESP32 Setup V2.exe que je joins dans ce post -> ajout des paramètres anémomètre et pluviomètre. 6) Je recommande de laisser la gestion du Safety Monitor à l'execllent driver "Environment Safety Monitor" ici: https://www.dehilster.info/astronomy/ascom_environment_safetymonitor.php Cela permettra une gestion bien plus pointue sur cet aspect que mon premier driver joins ici. Je le laisse pour les gens curieux qui veulent voir comment est fait un driver ascom en utilisant le projet. 7) Mise à jour de la page index.html. Couleurs retravaillées, ajout de la date et de l'heure, ajout du bouton pour la mise à jour par OTA, ajout de la version actuelle sur l'ESP32 en bas de page. Diverses modifications du code notamment pour integrer la gestion dynamique des adresses IP. Pour tester le projet, je joins le fichier esp32AstroV4.0.0finale.zip Il y a tous les codes dedans. Pour la partie web j'utilise un IDE arduini 1.8.X car le plugin "sketch upload data" ne fonctionne pas avec les versions 2 et plus. Telechargement ici:https://github.com/me-no-dev/arduino-esp32fs-plugin/releases/ Pour les librairies il suffit de les récupérer depuis le gestionnaire de librairie de l'IDE. Bien astronomiquement à vous, Olivier MeteoESP32 Setup V2.exeesp32AstroV4.0.0finale.zip Fin UPDATE 1 du 02/07/2024 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Bonjour à tous, Voilà de cela plusieurs années j'ai fais un rêve. Construire un observatoire. Pour y parvenir j'ai mis en route pleins de petits projets qui sont plus ou moins finis, le dernier grand pas étant l'abris en lui même..... arf.... un jour Mais à dire vrai, il y eu en parallèle du rêve de la conception d'un abris, la réflexion sur la facilité de la création d'un driver de type ASCOM. Moi qui ne suis pas ingénieur, me lancer dans la programmation était sommes toute difficile. Puis, quelques années plus tard, de petits modules facilement programmables sont apparus: les arduino. Aujourd'hui il existe énormément de variantes mais j'ai le plaisir de "jouer" avec cela depuis quelques années maintenant. Sans être expert, le langage C++ me fait un peu moins peur. Encore loin de la création d'un projet ASCOM j'ai par la suite participé à divers projets et j'ai de mon coté personnalisé certains petits projets notamment sur INDI, le ASCOM Linuxien, qui m'ont permis de touché un peu au code HTML (le code pour la création de page web entre autre), javascript ou CSS. Le temps passe, l'idée toujours en tête, mais voilà....une révolution a commencé il y a de cela quelques mois: l'IA générative. Pour les autres, ChatGPT. Cet outil, oui oui c'est simplement un outil, permet de faire des choses remarquables, comme aider à la réalisation d'un driver ASCOM!! Je m'explique: Il y a quelques années, j'avais réalisé un boitier météo pour Linux, basé sur une solution existante nommée Weatherradio. Le principe est simple: un arduino sur lequel étaient branchés les capteurs suivants: - un BME280 de chez Velleman: il s'agit d'un petit module permettant de connaitre la température ambiante, la pression atmosphérique, l'humidité relative, et par quelques petites formules, le point de rosée. - un TLS2591 chinois: un capteur de luminosité (en lux) extrêmement sensible qui, par simple calcul, permet de connaitre la qualité d'un site, le fameux SQM. Je vous laisse aller voir sur le net, mais en gros, on peut facilement comparer deux sites en mesurant la "noirceur" du ciel. - un MLX90614 chinois: c'est un capteur de température infra rouge (les fameux thermomètres à distances pour enfant, ceux qui sont en rupture de stock depuis la COVID 19 😕 ), capteur qui permet donc de mesurer la température du ciel, et au moyen d'une formule tirée du boitier AAG Cloudwatcher, la quantité de nuages dans le ciel. En gros si le ciel est chaud c'est qu'il y a des nuages, s'i lest plus froid il n'y a pas de nuages et donc il fait beau. Bon c'est assez empirique mais après quelques réglages cela sera assez précis. J'y reviendrais. Ce petit monde donc était connecté à un petit arduino nano, qui est dans l'obligation d'être connecté à un port USB du pc pour communiquer toutes les mesures transmises. Sans rentrer dans les détails, j'avais installé le firmware weatherradio dessus et tout allait bien. Mais voilà, le temps est passé et la révolution en marche. J'ai acheté un module arduino, enfin pas vraiment arduino, mais on va rester simple, qui s'appelle un ESP32. Petite carte électronique donc qui permet de faire la même chose que l'arduino nano, donc d'y connecter des capteurs, mais il offre surtout deux avantages supplémentaires en plus de sa puissance de calcul: - il offre une connectivité sans fil, donc parfait pour le mettre loin de tout sur une petite batterie solaire (à venir), - il offre une mémoire flash sur laquelle on peut y programmer un serveur web. Ca devient très intéressant. Concrètement, que cela veut il dire: Ce petit module permet d'installer à l’intérieur de sa mémoire différents fichiers (un peu comme sur un pc) et il peut par la sorte générer des pages internet. Pages que l'on peut visiter depuis n'importe quel périphérique disposant d'un accès internet et connecté sur le même réseau wifi que celui du module. A partir de la, on peut afficher les valeurs des capteurs sur une page web. Vous commencez à sentir le truc 8-) Je me suis donc dit, si avec ce petit module si puissant, un peu d'IA qui offre une aide génialissime et beaucoup d'envie, je me lançais dans la création de mon premier driver ASCOM pour une station météo Astro. Attention, ici je ne fais pas de suivi météo comme les stations du commerce, même si en réalité cela est tout à fait possible avec ce module ( quand je vous dit qu'il est puissant ce machin ^^) Tout feu tout flamme, je me lance dedans. ChatGPT offre une aide précieuse. On peut lui demander à peu près tout et j'avoue que sans cet outil je n'y serais surement pas arrivé. Il connait tous les langages de programmation et pour peu qu'on sache l'utiliser c'est extrêmement puissant. Après plusieurs heures à triturer les codes C++ de l'arduino et C# d'ASCOM le résultat tombe. Ça fonctionne aux petits oignons. Donc, petit résumé de la chose: J'ai un ESP32 sur lequel sont branchés plusieurs capteurs. les valeurs mesurées sont renvoyées sur une page internet générée par l'ESP32. Le driver ASCOM que j'ai conçu permet, via NINA par exemple, d'envoyer une requête internet (basiquement il ouvre une page internet sans que vous le voyez) et reçois les valeurs de la page web. Le drivers traite l'info et NINA affiche les valeurs. Enfin, dans un soucis d’esthétisme, j'ai crée une interface sur la page internet avec des petites gauges affichant les valeurs. Les valeurs sont rafraichies toutes les 10 secondes. On peut changer cela facilement dans le fichier script.js qui accompagne le code HTML de la page internet. Mais ce que je souhaitais avant tout, c'était de pouvoir paramétrer quelques valeurs importantes que je vais exposer juste après, sans avoir besoin de rebrancher l'ESP32 à l'ordinateur et de renvoyer une mise à jour du firmware de l'ESP32. Petite explication. Le module MLX90614, comme je l'évoquais plus tôt, est un module qui sert à mesurer la température d'une portion de ciel. Si il y a des nuages ou non, la température mesurée (via le capteur infrarouge) va en être modifiée. Le but ici n'est pas d'expliquer comment cela fonctionne car cela alourdirait inutilement cette page déjà bien remplie ^^. Le truc, c'est que la valeur brute mesurée n'est a elle seule pas suffisante pour être pertinente. Le fabriquant du boitier AAG cloudwatcher, qui dispose du même module, a mis en ligne dans sa notice les équations qui permettent de corriger la valeur mesurée par le capteur. En gros, à la valeur mesurée, on doit appliquer une correction que l'on va soustraire à la valeur brute. On obtiendra une valeur corrigée. Le problème, c'est que cette correction peut varier en fonction des saisons. En gros, la valeur de correction à appliquer sera différente si on regarde la température du ciel en hiver ou en été. L'équation qui génère la valeur de la correction est constituée de 7 coefficients sur lesquels ont peut agir. On comprends dès lors que pour éviter de devoir modifier les valeurs des coefficients en dur dans le firmware de l'ESP32 et ne pas avoir à recharger le firmware tous les x temps, il me fallait trouver un autre moyen. Et l'ESP32 permet cela assez facilement!! J'ai créé un fichier dans la mémoire de l'ESP32 dans lequel sont stockés ces coefficients. Ensuite, (merci ChatGPT) dans le code de la page web j'ai généré un formulaire dans lequel on peut à la volée donner de nouvelles valeurs aux différents coefficients. Ces valeurs sont donc stockées en dur sur l'ESP32 et elles ne seront ainsi pas perdues même après un reboot de l'ESP32 (panne d’électricité par exemple, ou batterie à plat ^^). C'est donc depuis la page web générée par l'ESP32 que l'on peut modifier les valeurs facilement en fonction des saisons. Un vrai bonheur. Voilà, je suis arrivé au terme de ce petit projet qui m'aura permis de toucher du doigt plusieurs domaines: - l'apprentissage sur un module ESP32 que je ne connaissais mais que je vais réutiliser pour d'autres sujets que l'astro (pour 3€ les 2 modules sur Ali.... ce serait dommage de ne pas le faire), - apprentissage de l'outil ChatGPT pour obtenir les résultats souhaités, - apprentissage de divers langages: HTML, javascript, C# et d'autres!! - démystification de la création d'un driver ASCOM que je croyais réservé à une élite d'ingénieur en informatique, du moins pour des projets simples Petit plus!!! En plus d'un driver méteo je vous propose le driver Safety Monitor qui se connecte aussi sur le même module afin de savoir si les conditions météo sont favorables, mis à part le vent que je n'ai pas intégré. Aussi, je vous propose de partager mon travail afin que chacun puisse soit s'y essayer ou s'en inspirer. je fourni: - l'executable du driver météo pour NINA en tant qu'ObservingConditions, MeteoESP32 Setup.exe - l'executable du driver météo pour NINA en tant que Safety Monitor, SafetyMonitorESP32 Setup.exe -le firmware ESP32 avec son repetoire pour la partie WEB, esp32Astro firmware.rar -les projets visual studio pour ceux qui veulent aller plus loin ou integrer de nouvelles fonctionnalités comme un anémomètre par exemple. visual studio - MeteoESP32Driver.rar visual studio - SafetyMonitorESP32.rar Voilà, j'espère avoir pu partager avec vous quelques petits choses. Je répondrais aux questions, s'il y en a, A très vite Olivier @bemoBonjour, je sais que cela fais maintenant très très longtemps que j'avais promis ce driver!! il est enfin là... vaut mieux tard que jamais PS: Un grand merci aussi à @Raphael_OD et @Antiath sans qui je n'aurais tout bonnement pas essayer non plus!! des conseils avisés et utiles!!! un grand merci
    0 point
  28. C'était un jour torride d'été caniculaire, j'étais dans le désert. Mon chapeau et mes bottes m'avaient été volés. Depuis longtemps déjà ma gourde était vidée, je sentais peu à peu que je m'évaporais. Maudissant le soleil qui, perçant mes cheveux, faisait bouillir mon crâne, dans un ultime défi, je brandissais mon arme. Visant l'astre au zénith, je vidais mon chargeur mais mon bras lourd et sec tremblait comme un mirage et un seul de mes coups atteignit cette étoile. Depuis lors on peut voir sur cette toile jaune la blessure profonde que je lui infligeais.
    0 point
  29. Sunday, jour du Soleil ! Faut-il encore ne pas le manquer par ces journées aussi nuageuses. Juste une ouverture étroite entre 16 et 16:30. L'occasion de jeter un oeil sur la grande menace du moment, AR 3576, et surtout, de dégainer le petit dernier Antlia Ha 3 nm. Pas de protus en vue cette fois ( je reviens à la fi sur cette anecdote ), mais il m'a bien aidé à contrer le mauvais seeing en haute résolution. C'est nettement au-dessus du vert mais bon, quand le seeing ne veut pas, il ne faut pas non plus s'attendre à des miracles... Je reviens brièvement sur mon observation visuelle du 9 février faite avec l’Antlia 656/3 nm. J’ai observé pile dans les moments où une violente éruption de classe X3-4 démarrait sur le bord S-O. Il était entre 14:00 et 14:30. Je voyais nettement se détacher un nuage de plasma à cet endroit ( en haut à gauche dans l’oculaire 10 mm de mon newton ). Ça n’a duré que 2-3 mins avant le retour des nuages mais c’était net bien que sombre. Ce problème de transmission de la lumière d’ailleurs oblige à l’utilisation d’une feuille astrosolar photo densité 3.8 et de réaliser l’observation à l’ombre d’un vêtement opaque pour que la pupille d’oeil se dilate un peu. Je n’ai pas réussi à réobserver la moindre protu dans ces conditions ni hier ni aujourd’hui. Sachant que les protus pullulent à cette période, j’imagine que celle que j’ai vu sans ambiguïté devait être exceptionnelle. Un sacré coup de pot pour cette inauguration. Une observation qui m’amène enfin à une conclusion positive sur ce type de filtre bande large qui n’est pas destiné au solaire de base. Plus qu’à attendre une autre opportunité pour cette fois vous apporter des preuves en images…
    0 point
  30. Superbe! Finesse des détails, piqué et douceur des modelés sans parler des couleurs bien reproduites. En un mot: bravo 👍
    0 point
  31. Deux beaux objets, avec une nébuleuse qui présente de splendides couleurs ! Compliquée la météo, comme l'année précédente ... Bon ciel malgré tout ! Vincent
    0 point
  32. Hello, Je suis moi même un grand amateur d'objectifs photos en astro mais je pense qu'au delà d'une certaine focale (je dirais environ 200mm), et même si certains téléobjectif peuvent faire de superbes photos du ciel, on est quand même bien loin de ce que pourra donner une lunette apo dédiée. La comparaison des images sur astrobin ou telescopius par exemple est révélatrice de cela et les objectifs ne peuvent tout simplement pas rivaliser pas avec les lunettes en terme de piqué, de chromatisme et surtout en terme de correction sur les bords. Pour le piqué il est, certes, possible d'améliorer les choses sur un objectif photo en fermant le diaphragme mais non seulement on perd alors en vitesse mais on récupère aussi des figures de diffractions parfois envahissantes et disgracieuses (surtout quand la focale augmente). L'argument sur le nombre et la qualité des lentilles est je pense largement contrebalancé par le fait que les lunettes ont des formules plus simples conçues uniquement pour proposer les meilleurs performances à l'infini. Comme tu le dis, pour un usage 100% astro, il faut mieux se tourner vers une lunette. Le prix sera plus faible et le résultat sera meilleur.
    0 point
  33. Le meilleur instrument est celui qui sort le plus
    0 point
  34. 127; 150 et 180 ... Deux mondes ! Les premiers jouent approximativement dans la même cour, entrent alors en considération l'âge et surtout les capacités physiques de chacun. Si le 127 se manoeuvre avec "deux doigts", le dernier réclamera les deux bras. Le reste se cantonne dans l'argutie technico subtile que seuls les pointilleux exigent
    0 point
  35. Bonsoir, Je garderais le 127 pour son côté rapidité de mise en œuvre et compacité. Et mettrais de l'argent de côté pour un plus gros diamètre plus tard.
    0 point
  36. Bravo, c'est ciselé et la palette de couleurs lui va bien : jolie rosette ! Je crois que c'est plutôt une brute (ou les 3 SHO) que @Raphael_OD voudrait voir
    0 point
  37. Un télescope qui fait de la résistance...
    0 point
  38. 0 point
  39. Merci @Sobiesky pour cette "version". 🙏 Toujours présent... dans ma salle à manger. Bon dimanche à toutes et tous.
    0 point
  40. Au pire il te faudra un nez M42/2" : Que tu glisses dans le porte oculaire. Sur le filetage qui ressort tu y visses ta bague d'apn. Mais je pense que tu as déjà ce qu'il faut avec ton adaptateur sur la photo. Regarde s'il ne peut pas se dévisser.
    0 point
  41. Bonsoir à l'équipe, Difficultés pour charger les pages, aujourd'hui à 17h53...
    0 point
  42. Bienvenue, peut être que bien connaître notre va te permettre de comprendre que l'astrologie est basée sur du sable, les constellations composés d'étoiles qui ne se trouve pas à la même distance , donc Saturne dans le cancer est juste un repérage mais aucune information tangible ne peut en être déduit Sans compter la précession des équinoxes
    0 point
  43. Bonjour, et bon week-end, Ma Chère Catherine, Je suis désolé d'apprendre que ta fille (à ce propos, quel âge a-t-elle ? et en quelle classe est-elle ? ) est passionnée d'astrologie. Propose-lui de regarder mon ancienne énigme dans le cadre du QAC (Quizz Alternatif Convivial) de Webastro : https://www.webastro.net/forums/topic/181392-quizz-alternatif-convivial-la-résurrection/?do=findComment&comment=2792130 . Fort heureusement le webastram Oncle Dom a numérisé la version du “Que Sais-je ? n° 508” (première édition parue en 1951 aux “PUF” [Presses Universitaires de France]) du très sérieux astronome Paul Couderc ici : http://oncledom.cluster1.easy-hebergement.net/paranormal/astrologie/couderc/couderc.htm . J'espère que ta fille, après avoir lu ce “Que Sais-je ? n° 508” de l'astronome Paul Couderc changera un peu sa “passion” pour l'astrologie. Roger le Cantalien.
    0 point
  44. Bonjour Sur une idée originale de notre ami @Goofy j'ai demandé à mon eVscope de me montrer un objet que l'on ne voit pas souvent: le JWST. Avec une magnitude apparente d'environ 16 il est donc accessible avec un eVscope (donné jusqu'à magnitude18). Le JWST se trouve dans la constellation des Gémeaux. On peut trouver ses coordonnées équatoriales sur le site du JPL :https://ssd.jpl.nasa.gov/horizons/app.html#/ Capture de vision amplifiée de 32 minutes (pour avoir une image plus grande: clique droit, ouvrir l'image dans un nouvel onglet): Le déplacement du JWST est dû au fait qu'il est inséré sur une orbite autour du point de Lagrange L2. Il parcourt cette orbite en six mois à une vitesse d'environ1km/s. Sa distance avec le point de Lagrange varie entre 250000 et 832000 km, tandis que celle avec la Terre oscille entre 1,5 et 1,8 million de kilomètres. https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Webb_(télescope_spatial) CROA de @Goofy : https://www.webastro.net/forums/topic/249122-installer-un-filtre-de-bande-sur-un-unistellar/?do=findComment&comment=3127586 2024bch : une supernova récemment découverte ( le 29/01/2024) par Patrick Wiggins, Université de l’Utah (États-Unis). Elle est située dans la galaxie NGC 3206 (distance environ 63 millions d'AL) dans constellation de la Grande Ourse: Paramètres de cette supernova ici: https://www.rochesterastronomy.org/sn2024/sn2024bch.html ou encore là : https://www.wis-tns.org/object/2024bch Merci pour votre passage par ici, bon ciel à vous
    0 point
  45. Premières photos solaire avec la Lunette de 185 mm Apo Askar équipé de son filtre ERF de 180 mm et mon étalon PST Prototype fabry Perot Halpha + Barlow 2x et camera Player one 7 février 2024
    0 point
  46. snif un bon clip de nu-métal que tu aimes pour te faire oublier tout ça! (HUMOUR DOOM) moi,j'ai commencé à aller mieux quand j'ai tué et mangé mon psychanaliste
    0 point
  47. Tout le monde a sous estimé le potentiel. Mais je pense que c'est vrai aussi pour Vaonis et Unistellar. Unistellar en est à 10 000 télescopes vendus. Ca calme ! Et dans les 2 cas les entreprises ont beaucoup embauché.
    0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.