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Je déprime depuis 2 mois que le mauvais temps persiste 😭! alors je fais encore appel aux données de TélescopeLive 😊 La nébuleuse du Crayon NGC 2736, un magnifique objet de l'espace lointain dans la constellation Vela. Se déplaçant à environ 644 000 km/h, on pense qu'il a été formé à partir d'une onde de choc du plus grand Vela Supernova Remnant il y a environ 11 000 à 12 300 ans. Il réside à environ 815 années-lumière. La nébuleuse du Crayon mesure environ 0,3 année-lumière de long et est composée de gaz ionisé, principalement de l'hydrogène, qui émet de la lumière dans les parties rouge et bleue du spectre. La nébuleuse est éclairée par le rayonnement d’une étoile proche, qui ionise le gaz et le fait briller. On pense que la forme de la nébuleuse est le résultat de l’onde de choc de l’explosion de la supernova interagissant avec le milieu interstellaire environnant. Données fournies par la plateforme d’imagerie à distance "Telescope Live", Takahashi FSQ-106ED situé à l'Observatoire d'astronomie IC (Espagne.) 24x600s Ha, 24x600s OIII, 24x600s SII en mars & avril 2023 Traitement SHO Siril, Pixinsight, Photoshop La version full ici https://flic.kr/p/2pzfDLN6 points
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https://www.memstar.fr/memstar-dans-le-ciel-et-espace-de-fevier-mars-2024/ Je ne l'aurai jamais imaginé il y a 32 ans quand j'ai lu mon premier Ciel et Espace !5 points
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Memstar fonctionne avec un telescope "qui n'est pas à pat". Il peut donc fonctionner sur une table équatoriale arrêter. Que ce soit pour l'installation sur 4 étoiles ou pour la recherche. Le problème est le suivi. il n'est pas fait pour et le mouvement de suivi est à la limite de la détection. Il a tendance donc a dérivé de quelques degrés au fur et à mesure du suivi. A la fin de la course de la table, il suffirait de le repositionner avec la fonction Aligner Azimuth et c'est reparti. Ce sont ici des résultats préliminaires que nous peaufinons pour une utilisation sur table eq.2 points
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Un long serpent s'étire de la petit tache solaire de ce 18 février 2024 ! je trouve cette protubérance très photogénique malgré un fort mistral et de la turbulence, un très beau relief avec beaucoup de résolution Refracteur 185 mm APO Askar - Fabry Perot optimisé PST de 2004 , barlow 2x et camera player one IMX 4291 point
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Le Gilis à 40 euros, je trouve quand même que ça fait un peu cher. Le livre est bien mais on a facilement les infos à ce jour... Sur amazon ou autre, c'est du délire et ils ne se vendent pas je pense1 point
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Désolé Roger, veuillez m'excuser d'avoir tardé à vous répondre. La réponse complète demande en effet un gros travail d'analyse des calendriers. pour mémoire : La recherche faute de temps n'est peut-être pas exhaustive, cependant voici un premier inventaire des années contenant 53 mardis en ne commençant ni par un mercredi, ni par un jeudi : Tout d'abord les années bissextiles : Les années commençant par un lundi : Au deuxième millénaire à partir de la mise en service du calendrier grégorien : XVIIIe siècle : 1720 • 1748 • 1776 XIXe siècle : 1816 • 1844 • 1872 XXe siècle : 1912 • 1940 • 1968 • 1996 Au troisième millénaire : XXIe siècle : 2024 • 2052 • 2080 XXIIe siècle : 2120 • 2148 • 2176 XXIIIe siècle : 2216 • 2244 • 2272 XXIVe siècle : 2312 • 2340 • 2368 • 2396 Les années commençant par un mardi : Au deuxième millénaire à partir de la mise en service du calendrier grégorien : XVIIIe siècle : 1704 • 1732 • 1760 • 1788 XIXe siècle : 1828 • 1856 • 1884 XXe siècle : 1924 • 1952 • 1980 Au troisième millénaire : XXIe siècle : 2008 • 2036 • 2064 • 2092 XXIIe siècle : 2104 • 2132 • 2160 • 2188 XXIIIe siècle : 2228 • 2256 • 2284 XXIVe siècle : 2324 • 2352 • 2380 Ensuite les années communes commençant par un mardi, qui contiennent donc nécessairement 53 mardis : Au deuxième millénaire à partir de la mise en service du calendrier grégorien : XVIIIe siècle : 1709 • 1715 • 1726 • 1737 • 1743 • 1754 • 1765 • 1771 • 1782 • 1793 • 1799 XIXe siècle : 1805 • 1811 • 1822 • 1833 • 1839 • 1850 • 1861 • 1867 • 1878 • 1889 • 1895 XXe siècle : 1901 • 1907 • 1918 • 1929 • 1935 • 1946 • 1957 • 1963 • 1974 • 1985 • 1991 Au troisième millénaire : XXIe siècle : 2002 • 2013 • 2019 • 2030 • 2041 • 2047 • 2058 • 2069 • 2075 • 2086 • 2097 XXIIe siècle : 2109 • 2115 • 2126 • 2137 • 2143 • 2154 • 2165 • 2171 • 2182 • 2193 • 2199 XXIIIe siècle : 2205 • 2211 • 2222 • 2233 • 2239 • 2250 • 2261 • 2267 • 2278 • 2289 • 2295 XXIVe siècle : 2301 • 2307 • 2318 • 2329 • 2335 • 2346 • 2357 • 2363 • 2374 • 2385 • 2391 Toutes ces années correspondent bien à la réponse que j'ai donnée à votre énigme qui demandait la règle qui détermine les années à 53 mardis, mais ne répondent pas à la définition que vous en proposez. Vous pouvez vérifier tous ces résultats un à un. Si l'année 2024 est selon votre expression "un loup" en matière de calendrier, avec l'information ci dessus nous avons en réalité toute une meute. La règle du Chevalier DELAMBRE n'est pas acceptée par l'Union Astronomique Internationale pour des raisons qui lui sont propres et que j'ignore. Mais en réfléchissant un peu, on peut comprendre cette noble institution. Rappelons-nous les fondamentaux du calendrier grégorien et plus particulièrement sa définition des jalons d'une année ainsi que sa définition de la durée d'une année. Le calendrier grégorien repose sur une répétition à l'identique d'une période de 400 ans. Voilà pourquoi une année tout calcul ainsi fait dure 365,2425 jours. Or la mesure précise de cette durée est de 365,2422 jours. Cette différence devra un jour être "casée" quelque part. Le calendrier grégorien est certes un calendrier solaire mais dont la base de temps, l'année donc, est donnée par la durée vernale. Ce choix a éloigné de fait les concepteurs de l'époque de la vérité astronomique, l'année tropique, qui pourtant commençait à poindre. Cependant cette définition ne pouvait être autre en 1582 puisque le principe géocentrique de l'Univers était le seul admis officiellement. Les dirigeants laïcs s'en fichaient un peu, beaucoup même, les dirigeants cléricaux y tenaient tout particulièrement. Et comme les premiers détenaient leur pouvoir des seconds, personne n'a contesté la chose jusqu'à ce qu'un certain Nicolas COPERNIC en 1513 défende une autre vision de notre système solaire. (Ici je fais une pause pour rappeler aussi la mémoire de Aristarque de SAMOS qui fut le réel tout premier scientifique à avoir imaginé notre système solaire comme héliocentrique mais sans pouvoir imposer cette vue, nous étions au IIIe siècle avant J.C.) Revenons aux bases de notre calendrier. Il repose sur le durée d'une année vernale. Or nous savons aujourd'hui que notre base de temps n'est pas l'année vernale mais l'année tropique. Cette année tropique est 15 secondes plus courte que l'année vernale. Donc chaque année nous introduisons au moins cette erreur. Aussi plutôt que de chercher à corriger les dérives de notre calendrier parti sur une base fausse, je pense que les institutions en charge apporteront un jour un correctif algorithmique au calendrier lui-même. C'est une action lourde, très lourde politiquement et économiquement. Et comme la différence est pour l'instant ténue, je pense que c'est la politique du MSSO* qui prévaut. Nous avons aussi une autre source de décalage en comparant l'écoulement du temps calendaire avec le temps astronomique. En ne prenant que le système à deux corps Terre/Lune, (la réalité est un système à trois corps beaucoup plus complexe à résoudre. Ce troisième corps pourtant le plus massif est le Soleil) à cause du transfert d'énergie afin de conserver le moment cinétique du couple, la Lune s'écarte de nous à raison de 3,8 cm par an. Ceci a pour effet de ralentir la Terre d'environ 0,9 seconde par siècle. En 1 000 ans cela fait 9 secondes de décalage en 2 000 ans 18 secondes entre l'écoulement du temps calendaire et l'écoulement astronomique. Là ce seront tous les mécanismes des montres qu'il faudra changer, ou inventer un jour universel du temps en plus une fois pour recaler le calendrier avec le temps astronomique. Bref tout ceci pour dire que le calendrier grégorien, s'il est précis à l'échelle d'une vie humaine, présente des défauts sur le long terme. Aussi, puisque vous me demandez un avis et le voici, plutôt que de prévoir des corrections à 2 ou 3 000 ans, je pense qu'il vaudrait mieux créer une évolution de notre calendrier plus proche de la réalité astronomique que nous maitrisons bien dorénavant. Mais cela c'est une autre histoire. Ai-je complètement répondu à votre attente ? Ney1 point
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Je le laisse personnellement sur la boite à miroir. Mais en effet, si on a plus qu'un télescope...1 point
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c’est pour ça qu’il serait intéressant de fabriquer un support qui permettrait de fixer précisément le boîtier sur le télescope d’une session à l’autre. Un peu comme on le fait avec un chercheur. Mais la forme du boîtier ne permet pas cela facilement (à moins de faire des trous dedans).1 point
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Même sur *une* étoile. L'alignement initial avec 4 étoiles est pour déterminer l'axe optique du télescope par rapport à l'orientation du boitier. Il faut le refaire uniquement si cela change (par une collimation différente où après avoir désolidarisé le boitier du télescope).1 point
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Pour ton premier point, la crise K/T est bien moindre en ampleur que celle du Permien : or je compare ici leur intensité. Sur la durée, il est clair qu'elle a été instantanée au moins localement, mais pas partout (ci-dessous). Pour tirer une idée de l'impact environnemental -à venir- on n'a évidemment pas d'élément pour l'actuel, qu'il faudrait comparer à la récupération "rapide" après la météorite -300 000 ans quand même - un instantané pour le géologue. Par ailleurs, les effets de la chute en milieu marin ne sont pas du tout homologues de ce qu'on vit. Au crétacé la vie a brutalement disparu localement avant de revenir 30 000 ans après sur les lieux, mais les faunes terrestres ont été bien moins impactées. Rien à voir donc avec ce que nous infligeons aux espèces qui nous approchent. Sur le second point, l'hybris souvent convoqué est sujet à discussion. D'abord, le culturel a toujours été historiquement très fragile, comme le prouvent les longues et brillantes civilisations soudainement disparues : romaine, égyptienne, chinoise, Maya, Hittites, etc... Bien entendu, nous croyons la nôtre bien plus robuste. Les autres le croyaient aussi. On évoquera au fil de l'eau les troubles à attendre en cas d'éruption solaire impactant nos communications. Les conséquences de l'irruption d'un tsunami dans une centrale nucléaire ont été une réelle surprise. Un simple virus, forme inférieure de vie, a mis à genoux notre brillante économie en quelques jours. On passera pudiquement sur les probabilités de destruction par nos propres efforts de guerre. Et quoi qu'on en pense, nous restons dominés par le biologique. La plupart des cultures sur lesquelles repose notre alimentation sont des sélections au patrimoine générique réduit. Il a suffit d'un champignon pour détruire tous les platanes du canal du midi : que se passerait-il si un agent pathogène détruisant subitement nos céréales ? Les oliviers méditerranéens sont ainsi une source d'inquiétude. La masse de vertébrés actuellement la plus importante est celle de nos élevages : des virus les frappent périodiquement. Si ça devient grave, on mangera quoi ? Quel avenir aurait eu notre civilisation si le COVID avait eu une létalité de 90% ? Improbable ? Voire. Enfin je ne saurais m'abstenir d'évoquer un fil voisin dont je suis également coupable. Homo sapiens est biologiquement adapté à une zone de confort de 25°C. Au-dessous, on a froid, ce qu'on peut combattre culturellement par des vêtements, du feu... etc... Au-dessus, on transpire -tant qu'on peut- A partir de 35°C à saturation, la transpiration devient physiquement impossible. Il existe certes des solutions culturelles, mais bien plus malaisées à mettre en oeuvre que contre le froid. Or les températures moyennes calculées ne reflètent pas l'amplitude de la variation. Il fait actuellement 27°C au Maroc -en hiver. C'est supérieur aux moyennes de juillet...1 point
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Avec le solaire, les lésions ne sont pas douloureuses. Par contre, elles sont définitives ! D'où l'intérêt de vérifier avant de le mettre en place que le filtre n'est pas (micro)percé. Il faut aussi veiller à ce qu'il ne s'envole pas avec un coup de vent. Et dernière vérification, bien faire attention qu'il s'agit d'un filtre adapté pour l'observation et non pour la photographie. Ces derniers laissent passer 15 fois plus de lumière qu'un filtre pour l'observation ... beaucoup trop pour nos yeux.1 point
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Bonjour @Bill24, Je suis rentré dans deux boites successives comme technico-commercial en informatique. En effet l'air y était bien plus pur. J'ai pris un plaisir immense à concevoir les schémas informatiques des réseaux locaux pour des dizaines d'entreprises. C'était à l'époque, fin des années 80, une activité qui démarrait dans les entreprises qui jusque là ne connaissait que la grosse informatique centralisée, IBM, Bull, Vacs et autres pour les grosses boites et rien pour pour les moyennes ou les petites boites. L'emploi du temps c'était par exemple : Siège de la Gendarmerie trois jours, Bouygues le lendemain, TF1 toute la semaine suivante, un grossiste en peinture ensuite ou des studios de tournage TV, le Tribunal militaire aussi ainsi que tous les Palais de justice de la région parisienne.. Ce fut une époque riche en expériences et en rencontres très fructueuses. De plus le business roulait tout seul, la difficulté était de faire face à la demande, et pour notre entreprise de trouver des gens qualifiés. Ah un dernier point, un salaire sans commune mesure avec celui d'un jeune chercheur. Nous avons pu acheter une maison, mon épouse a pu arrêter momentanément son travail pour les enfants, nous étions très heureux. Après nous nous demandons encore pourquoi nos chercheurs partent à l'étranger ? (comme les derniers nobélisés français, tous hors de nos frontières) Ney1 point
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Il semble évident qu'il y a une différence entre les données équatoriales ( asc. droite & déclinaison) et les données alt-azimutales ( azimut & altitude). C'est un problème de Trigo spherique. Dans les années 60 avant le Goto (... d'autres diront avant JC.....), nous apprenions à trouver les objets en utilisant les cercles divisés des montures. Pour Memstar il suffit sûrement d'utiliser les formules de transformation pour passer d'un système à l'autre. A suivre.1 point
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"Environ", pour la facilité de pointage quand aux indications dur l'écran. Il est bien en mesure de voir que si on bouge en azimut on bouge également un peu en altitude avec le télescope sur une table équatoriale; il ne voit pas les axes eux-même, juste le changement de l'orientation du MemStar.1 point
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Attiré par la promo actuelle à 2100 euros, je me suis dit que ce n'était pas un gros risque et je me procuré ce Dobson il y a un petit mois. Le but n'étant pas de faire de la haute résolution planétaire mais d'avoir un "entonnoir à photons" pour y mettre un OVNI-M, donc à grossissements faibles à moyens. Comme j'avais lu les 34 pages de ce fil 😂 (merci aux intervenants !), je savais à quoi m'attendre. Ca n'est pas du haut de gamme mais je trouve qu'on en a pour son argent, avec un instrument fonctionnel dès le départ même s'il mérite quelques améliorations. La chose la plus urgente à régler a été de coller des patins glissants dans la boîte inférieure, qui n'est pas bien carrée, pour éviter les frottements du rocker et les petits soubresauts quand une tête de rivet passe par une bordure. J'ai fait un gabarit en papier pour placer les patins à des endroits où ça frottait mais hors de la trajectoire circulaire des têtes de rivets. Autres améliorations inspirées de ce fil : le changement des ressorts de collimation d'origine qui sont trop mous, la mise en place d'un boulon pour fixer la barre à contrepoids par l'extérieur, ainsi que l'ajout d'une grande coupelle de pot de fleurs pour protéger le primaire (pas facile à trouver celle-là !). Et changement des molettes de fixation de la cage secondaire, qui sont maintenant femelles et qui viennent se fixer sur des vis mises à demeure sur la cage, ce qui facilite le montage et le démontage de la cage quand on est seul. Et changement des patins teflon sur les freins (ils se sont décollés). Côté transport je suis rassuré aussi, ça n'est pas plus pénible que le tube du C14 en attrapant le rocker par les haches. La dernière modif (hier) a consisté à remonter la cage secondaire de 23 mm, par des genres d'entretoises en alu (je pourrai passer une photo). Je pense que le secondaire n'est pas surdimensionné à la base, et la modif permet d'élargir le champ de pleine lumière (c'est comme si j'avais un secondaire 5 mm plus large). Evidemment le foyer est avancé d'autant par rapport au PO, mais je n'avais pas de problème de ce côté là, étant obligé avec mes oculaires de les reculer pour atteindre la mise au point. Un essai en campagne il y a une semaine avec l'OVNI-M ne m'a pas déçu : la tête de cheval dans toute sa splendeur, M42 qui déborde de partout (presque) comme une photo, les nodosités sombres dans la rosette, les filaments du crabe, les spermatozoides de IC410, la méduse de IC443, les structures de California, le coeur et l'âme, les satellites d'Uranus, les structures dans M82...😍1 point
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Je viens de recevoir la chaise de repassage, je trouve que l'assise est un peu haute mais il me suffira de percer quelques trous supplémentaires pour arranger ça. 10€ pour sauvegarder mes vertèbres, ça m'a l'air d'un bon investissement. 👍1 point
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Non le boîtier ne pilote rien. Il mesure juste des inclinaisons et les renvoie à l’application sur le téléphone qui indique avec des flèches sur l’écran s’il faut déplacer À LA MAIN ou avec une raquette (si monture motorisée) le télescope à droite/gauche haut/bas pour aller sur la cible. Le principe de base est que la monture soit une alt-az.1 point
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Je me disais aussi que ce n’était pas une image aussi bien réussie que d'habitude par notre seb avec seulement 55 minutes de pose . . . . . . je plaisante ! Bien sûr. Encore une superbe image : champ immersif, netteté impeccable, rendu des couleurs cohérent, etc. Encore bravo seb 👍1 point
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"Le littéraire sans culture scientifique est un âne, le scientifique sans culture littéraire est un boeuf "1 point
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Bonjour David Mener de front deux activités comme l'astrophoto et le visuel dès le départ: pas simple. Ce sont deux activités complémentaires mais par certains aspects très différentes! Je n'ai pas de Dobson ( j'ai un Newton) mais je crois qu'il est possible de faire de l'astrophoto avec un Dobson. Sauf erreur avec une table équatoriale. astr'Au dobson en parle sur sa chaîne youtube. Dans cette voie je crois qu'il est nécessaire d'avoir un dérotateur de champs aussi. Avec Un Newton ou une lunette on rencontre d'autres soucis: Faire le bon choix de diamètre par exemple cela implique une monture qui tienne la route ( en visuel les exigences ne sont pas les mêmes qu'en astrophoto). Est ce que ça va être en nomade ou en poste fixe ( pour savoir comment on va alimenter le matos par exemple) Est-ce qu'on veut faire du ciel profond ou du planétaire. Ce n'est pas les mêmes modèles de caméra Si Newton, correcteur de coma (ciel profond). appareil photo ou caméra? Si caméra, vers quelle marque? Si Bresser, je ne suis pas sûr que l'ASIAIR fonctionnera par exemple. Dans ce cas il sera plutôt privilégié NINA, ASTAP, éventuellement Carte du ciel, PHD2, GSS je pense. La nécessité d'un focuser se fera sentir pour la mise au point. Il ne faudra pas oublier d'utiliser une méthode rigoureuse pour la collimation d'autant plus si le FD est petit. Des bandes chauffantes seront nécessaires. De la buée sur les miroirs ou la lentille et adieu les jolis bruts. Va falloir sérieusement s'occuper de vérifier s'il y a du tilt sur le Newton. Dans le cas d’utilisation de NINA un petit Pegasus (pas obligatoire mais bien pratique) peut être un bonne solution pour gérer l'alimentation les câbles etc... Il existe d'autres systèmes. Un pc pourrait avoir son utilité pour gérer le setup. Dans le cas de l'asiair on simplifie un peu les choses mais le système paraît plus restrictif pour le choix de la marque de caméra: ZWO. Et donc par extension focuser de la même marque. Ah oui aussi, bien mettre en adéquation la caméra imageuse, la caméra et la lunette guide. On rentre dans le domaine de l’échantillonnage. Une boite à Flat. Enfin viendra le moment de mettre tout ce petit monde au diapason et vogue la galère pour les premiers bruts!... Au final viendra le moment de faire le traitement et un choix des logiciels: SIRIL, PIXINSIGHT etc... S'en suivra de vérifier si le PC est bien adapté (certains logiciels ont besoin d'un configuration velue). Sans oublier de penser à calibrer les couleurs de son écran. Voici un peu les questionnements que tu risques d'avoir pour envisager l'astrophoto. J'ai juste commencé à aborder le sujet car il y a d'autres domaines à explorer pour construire son setup d'astrophoto. C'est une discipline très exigeante sans oublier que cela peut couter beaucoup d'argent.... Te faire accompagner pourra t'éviter beaucoup d'erreurs et des achats inutiles ( un club d'astro te rendra sûrement de grands services). Se cantonner au visuel au départ peut être une bonne école pour se familiariser et éviter de brûler les étapes. Il y a moyen de s'émerveiller en visuel. Bon ciel! Yann1 point
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Bonjour @Sobiesky, J'ai très bien connu Charpak du temps où il trainait encore ses savates, et je fais soft, dans les couloirs des labos de recherche. En fait Georges CHARPAK, et nous lui devons cela, a le premier mis au point expérimentalement la chambre proportionnelle à dérive multi-fils dans les années 1950, pas la Chambre à bulles. Jusque là c'était principalement ce type de dispositif qui servait de détecteur de particules avec de très nombreuses limitations puisque seules les particules chargées, et à conditions d'être dans une gamme précise de valeur de la rigidité magnétique, étaient mesurées et de façon imprécise. En France cette chambre à bulles était connue sous le nom de Mirabelle. Avec la chambre à dérive proportionnelle, le nombre de particules détectables a considérablement augmenté, et surtout la précision de leurs caractéristiques, permettant de mieux comprendre le noyau car plus en capacité d'inventorier tous les éjectas du résultat de collision dans un accélérateur. Parmi les modèles les plus aboutis de chambres à dérive des années 1980, le détecteur 4 pi stéradians baptisé Diogène était mon "bébé" sur lequel j'ai veillé jour et nuit près d'une dizaine d'années. Composé de dix chambres à dérive, il permettait de "voir" en trois dimensions les trajectoires de tous les débris de collision d'ions lourds que nous provoquions en sortie du cyclo-synchrotron Saturne et de son injecteur Mimas. Ney1 point
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Ah oui, les astrophysiciens n'observent pas dans un télescope, ils analysent des images, et ça peut être passionnant. Mais je ne parlais pas de ça, je parlais des (relativement) nombreuses occasions de quitter son bureau, comme les congrès (souvent à l'étranger).0 point
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Le es 20mm il n’est pas urgent de le changer… que lui reproches tu? A cette focale et champ, un paracorr sera un gros plus par contre. Pour les focales plus courtes, ce sera moins important. desolé de te casser ta gamme, mais je pense qu’on peut la simplifier oui Bon sûr la qualité est sans doute différente, mais nikon ne propose pas de 21mm. Tu peux aussi prendre un es 24mm 82° ou penta xw23mm 85° pour compléter le nikon 17….0 point
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Tout est parti d'une image de télescope qui pointe le sol, je le concède, pas si rigolote et pas si étrange. Ça va finir par importuner les amateurs qui viennent ici chercher ici ce qui devrait s'y trouver. Et puis la modo qui rôde, implacable Va falloir aller papoter ailleurs 😉 Roger...0 point
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Oui il vaut mieux se poser et réfléchir à chaque nouvelle étape, pour bien faire les choses dans l'ordre. Et puis j'ai déjà atteint mon plafond de boulettes jusqu'à présent 😅 Pour l'instant la livraison du miroir primaire est toujours prévue pour le mois d'Avril, ce qui me laisse le temps de finir la partie bois ce mois-ci, et tout le mois de Mars pour m'occuper de l'araignée et du support du miroir secondaire. À vue de nez je pense qu'une première lumière fin Mai-début Juin devrait être envisageable 🤞0 point
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Je confirme. Déjà que la monture du Nexstar 8se bloblote avec un C8......😕 Cette monture est plus orientée Mac 127.0 point
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Merci pour cette super info et les explications, je sens que je vais me régaler avec cet outil! En fait j'utilisais la version en ligne directement sur leur site et cet outil n'avait pas l'air d'etre dispo.. du coup j'ai téléchargé le logiciel et tout est bien là. 👍 Pour le prix (26€) ça valait pas le coup de m'en priver, c'était un peu un "ajout de panier" quand j'ai commandé mon filtre UHC. Ca me fera toujours un truc en plus à tester et le jour ou je me déciderai à investir dans des oculaires plus qualitatifs, j'aurai au moins un peu de "vécu" sur lequel m'appuyer pour choisir mes focales. 🙂0 point
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Un PN très très faible. Nous pensons qu’il s’agit de la deuxième image détaillée du PK 210+03.1 (PN G210.0+03.9), qui a été cataloguée sous le nom de We 2-34 en 1977. La base de données des nébuleuses planétaires HASH rapporte qu’il s’agit d’une vrai PN très très faible en forme d’anneau et que les spectres confirment la présence de Ha et de NII. Sa taille est de 230 ». c’est vraiment très très faible... vous pouvez voir la brute 50hours Ha dans la version C. Après 20 heures d’OIII, il est impossible de discerner une trace d’OIII. Nous n’avons pas été en mesure de détecter le progéniteur de l’étoile bleue. Nous n’avons pas trouvé d’autre documentation à ce sujet. Nous avons essayé de ne pas le rendre trop lumineux, c’est vraiment faible.... voir la brute 50hours en vB. Full&Details in Astrobin : https://astrob.in/o5ftcu/0/0 point
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Réparation pour consommation anormale des piles effectué en une semaine envoie compris. Un SAV de pro.😉0 point
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