Classement
Contenu populaire
Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 04/14/24 dans toutes les zones
-
Salut, et bon réveil à ceux qui dormaient😃! Je vous livre ça pour aller avec vos croissants chauds., NGC4535 dans la Vierge de cette nuit. Il fallait avoir le cœur bien accroché pour sortir un truc cette nuit avec ces p****n de voiles nuageux. petite photo pour ambiancer le sujet: et ça a été ça toute la nuit.🤬 C'était plutôt bien parti en début de nuit jusqu'à minuit avec un HFR à 5 et un suivi à 0.6". J'ai du pauser la séquence pour reprendre à 02:00 pour cause de voiles nuageux trop épais, et, à la reprise, le seeing était parti en sucettes avec un HFR de 7 et un suivi à 1.1". En début de nuit ici, l'air chaud de la vallée remonte au sommet de la montagne à l'Ouest, se refroidi pour redescendre au petit matin. Et vu qu'à 02:00 on vise vers la montagne... Du coup, j'ai fais une manip intéressante, j'ai intégré les 27 poses avec le HFR de 5, les 21 poses à 7, et également fais une intégration de la totale: on voit nettement la différence entre les poses à 5 et 7, mais l'intégration de toutes les poses sont bien aussi. Voilà pour la différence entre un HFR de 5 et un HFR de 7. Donc, l'image est le résultat de l'empillement de 47 poses de 240, au foyer du C14 sur ASI6200, guidage par OAG-L avec une ASI174MM Grax SPCC passage en Starless pour retouches de peinture. repassage en mode objet + étoiles avec pixelmath EZstretch GHS Curves NoiseX Sat version annotée, on descend vers Mag 20.5 comme d'hab. et un petit crop pour les presbytes. J'aime bien la petite galaxie en haut à gauche, elle ressemble à celle au voisinage de M51... Bref, l'archétype de la galaxie de type SABc. Dites moi ce que vous en pensez. a+ Serge7 points
-
Salut, je suis franchement surpris du résultat vu que le ciel était bien voilé cette nuit (point bleu): Ca rend cette image quasi miraculeuse. Prochaine étape: l'astrophotographie sous-marine...🤪 Intégration de 49 poses de 240 Seconde en début de nuit (pas de retournement eu méridien) au foyer du C14 EdgeHD sur EQ8-Rh avec l'ASI6200 OSC+IR-Cut. Guidage a 0,7" RMS avec une ASI174MM poses de 5 Secondes. Je voulais faire une autre cible après 01:00 mais le ciel était vraiment trop cracra. Traitement: GraX SPCC BlurX EZstretch GHS passage en starless pour un peu de peinture sur reflets. compositage starless+stars avec pixelmaths Sat Bill's star reduction V1 place aux images: je suis très surpris d'être à Mag 20 malgré les conditions: un petit crop? Comme quoi, même à travers une purée de pois on arrive à faire quelque chose. Ca peut donner de l'espoir aux astrophotographes Vénusiens. Vos avis sont les bienvenus. a+ Serge3 points
-
Bonjour, Voici un filé d'étoiles autour du Rocher de l'Arbois, au sud d'Aix-en-Provence, le 10/04/2024. Empilement avec Sequator pour le ciel et Photoshop pour le paysage (car Sequator fait des bizarreries sur les paysages) de 90 poses de 30s avec un Canon R6 mk II à 1600 ISO, objectif Sigma 14 mm f/1.4 Art ouvert à f/2.2. A+ Fred3 points
-
Prise vendredi 12/04/24, Galaxie pas si facile, car très basse sur l'horizon, et toute petite. M104, également connue sous le nom de galaxie du Sombrero, est une galaxie spirale située dans la constellation de la Vierge, à environ 28 millions d'années-lumière de la Terre. Cette galaxie doit son surnom à son apparence distinctive qui ressemble à un large chapeau mexicain. Petit crop pour en plus Exifs : 80x120s à 800iso DOF (20 chacune) + Autoguidage Lunette 60mm Canon 60D Défiltré SW Quattro 250P et EQ6 r pro Traitement Siril + PS Le 13/04/24 un ciel laiteux, mais que cela ne tienne, on voit quand même les étoiles, donc s'est repartie pour une cible bien connue : M81 et M82, La galaxie de Bode et du Cigare. Exifs : 145x120s à 1025iso DOF (20 chacune) + Autoguidage Lunette 60mm Canon 60D Défiltré + CLS SW Quattro 250P et EQ6 r pro Traitement Siril + PS Faite à Ronsenac (Charente) depuis mon jardin2 points
-
Salut à tous ! Deux nuits que moyennement pourries et c'est la fête ! Juste de quoi voir ce que donne un bricolage 3D, un masque pour faire des aigrettes sur ma lunette SW Esprit 80/400 + Poseidon-C (IMX571).. et de voir que j'ai des réflexes d'acquisition qui sont partis en 6 mois de disette. Il faut faire du dithering par exemple puis quand on en fait il faut qu'il soit conséquent.. Melotte 111 pour le premier test. Trop de focale pour lui, à refaire à l'occasion Suivi du triplet du Lion, cropé 16x9 pour raison esthétique Et pour finir, le masque à aigrettes de technologie d'avant garde orientable angulairement Je croise les doigts pour cette nuit, 3 en 4 jours ça serait juste dingue !!2 points
-
Bonjour tout le monde, Cela faisait des mois que je n'avais pas sorti le télescope. Le mauvais temps, un planning intense au boulot... et la naissance de mon p'tit boy m'ont tenus éloignés de l'oculaire Les choses commençant en prendre un tournure engageante, tant au niveau du ciel que des "Pampers Baby-Dry Master +", j'ai pu tout doucement songer à reprendre quelques observations. Pour ce faire, il fallait d'abord que je règle le problème d'alimentation de ma monture : j'utilisais une batterie externe 5V avec un adaptateur USB 5V vers 3V à 12V, pour alimenter mes moteurs avec les 6V réglementaires. Seulement, lors de ma dernière sortie, impossible d'alimenter la raquette. Après discussion avec un collègue ingénieur : c'est certainement que la motorisation tire trop de courant eu égard à la piètre qualité des composants de mon transfo USB (j'ai payé ça quelques euros...). Il m'a donc fourni une batterie 6V, et hier en fin d'après-midi j'ai préparé tout ça. J'ai soudé le câble qui va bien, contrôlé le bon fonctionnement de ce dernier (si vous voyiez la tronche de mes soudures...), installé la monture sur la terrasse, nettoyé les oculaires... Dès 21h, me voilà donc dehors prêt pour un rapide tour sur la Lune le temps que la nuit tombe. A 150x l'image est très belle... que ça m'avait manqué ! 🥰 Le soleil découpe des ombres saisissantes et fait surgir le relief lunaire, quel régal. Les conditions me semblent bonnes, et je passe rapidement à un audacieux 400x de grossissement. L'image ondule lentement, ma terrasse rayonnant la chaleur qu'il a fait dans la journée (une fournaise au soleil), mais l'image reste bien nette et très contrastée. Je me promène un peu le long du terminateur et m'attarde particulièrement sur Mare Nectaris, superbe formation avec ses cratères effondrés, ses stries et reliefs. J'en reste là avec notre voisine, et retourne quelques temps à l'intérieur auprès de mon PC et mon Sky Atlas pour potasser les cibles de la soirée. L'atmosphère ce soir est très calme, le seeing très bon à excellent. Première tentative : le Quadruplet du Lion... Je sais, c'est osé. Surtout qu'il fait à peine nuit, que la Lune est toujours là et que l'éclairage public n'est pas éteint. A priori il est facile à pointer : à mi chemin entre Adhafera et Algieba, dans le cou du Lion. Je repère le champ mais les 4 NGC restent hors d'atteinte, je ne les distingue pas du tout. Durant cette recherche, en pointant Algieba (à faible grossissement donc), et doute de ma mise au point. Je cherche à la peaufiner mais non, elle est bien. "Tiens, mais, on dirait bien une étoile double!" Je suis alors avec l'oculaire ES 28mm/68° grossissant environ 65x. La séparation est faible à l'oculaire mais évidente une fois qu'on l'a vue. Je passe à 150x et là la dualité de l'étoile est incontestable avec une séparation à 4,7arcsec. Gamma Leonis 1 et 2 sont belles, parfaitement ponctuelles et la première légèrement plus grosse que sa sœur. Wikipedia m'apprendra qu'il y a d'ailleurs un système planétaire découvert en 2009 autour de cette étoile... ça me laisse rêveur. L'obscurité est maintenant bien installée (modulo la présence de la Lune à ma droite et de l'éclairage public dans les ruelles autour de chez moi, même si ma terrasse est protégée d'un éclairage direct), et je retourne sur le Triplet du Lion, que j'avais observé l'an dernier dans de mauvaises conditions. Direction Chertan, la patte arrière du félin, on prolonge la ligne Zosma - Chertan d'environ la moitié pour tomber sur deux étoiles ayant le même alignement de 6ème magnitude, et le triplet se trouve juste là à gauche. M65 et 66 sont vues rapidement, tandis que NGC 3628 est très faible (12,8 de magnitude de surface, je me rapproche des limites théoriques de mon instrument). Je ne passe pas trop de temps à essayer de la détecter (je l'ai de toute façon déjà vue, et vu les conditions je sais que je n'en verrai pas grand chose ce soir dans tous les cas), et décide de partir à la recherche d'un deuxième "triplet du lion", sous le vendre de la bête cette fois. M95, M96 et M105 (accompagnées de quelques NGC) semblent facile à pointer à partir de k leonis. Problème : je ne la vois pas à l'oeil nu (mag 5,45) et au chercheur, difficile de la repérer dans le champ. Je change mon fusil d'épaule et tente une approche par rho leonis qui elle est bien visible (mag 3,8), et remonte quasiment à angle droit vers la gauche par rapport à la ligne qu'elle forme avec Regulus, sur une demi distance. Arrive là, un petit coup d'ascension droite négative et bingo! M95 apparaît, timidement. Il aurait été très possible de passer dessus sans la voir. On ne va pas se mentir, à partir de là et jusqu'à la fin de ce CROA, c'est le festival de tâchouille floue discernée du coin de l'oeil. Mais c'est fascinant ! Ces petites tâches floues, de taille variables, tantôt ovoïdes, tantôt rondelettes, plus ou moins diaphanes... sont distantes de plusieurs dizaines de millions d'années-lumière et renferment toutes des cieux d'une richesse comparable aux nôtres, dont nous n'aurons vraisemblablement jamais connaissance. Ces observations, si difficiles et "ingrates" soient-elles, me passionnent et me bouleversent. Observer d'autres galaxies, c'est quelque chose ! J'avais bien pris soin de repérer les positions relatives de ces objets, et donc partant de M95 en ascension droite négative, je tombe à moins d'un champ de distance (environ 1°) sur M96, plus franches (enfin, moins vaporeuse) que M95. C'est étonnant, car sa magnitude surfacique est donnée pour 12,98mag, soit plus d'une magnitude de plus que M95. Je m'attendais donc à un rendu inverse à l'oculaire. Je suis pourtant formel. Après, les magnitudes absolues suivent un peu la logique de mon observation. Il y a des nuances que je ne saisis pas encore tout à fait dans l'observation astronomique 😄 En continuant ma route et encore à environ un champ de distance, je tombe sur deux galaxies aussi remarquables que M96 et formant un trapèze avec une ligne de trois étoiles de 11mag. Il s'agit de M105 (celle que je cherchais donc) et NGC 3384, que je ne m'attendais pas à voir, en tout cas pas aussi distinctement. A noter que NGC 3389, située avec ces deux autres m'est restée totalement invisible. La nuit avance, il est bientôt minuit et je jette un coup d'oeil à la Lune qui a quasiment disparue à l'ouest... Aïe ! Il y a du voile nuageux dans cette direction... Bon, je suis encore en relative forme, je vais continuer un peu et m'étais noté un objet encore inconnu pour moi : l'amas globulaire M53, dans la Chevelure de Bérénice. Je connais peu les constellations de printemps, et j'ai dû bien potasser pour me repérer un tant soit peu. Je repère facilement Arcturus dans le Bouvier et Vindemiatrix dans la Vierge. En prolongeant une ligne depuis Minelauva vers Vindemiatrix, il y a un vide d'étoiles qui s'arrête à la présence de Diadem, extrémité de la Chevelure de Bérénice. M53 se trouve juste à côté en cherchant autour au grand champ à faible grossissement (1,5° 40x env). A 65x il est assez franc texturé, mais je n'arrive à résoudre des étoiles qu'à 150x, quatre ou cinq peut-être, très faibles. Soudain, l'image devient un cran plus contrastée : l'éclairage public vient de s'éteindre ! ENFIN Je détaille un peu ce bel amas printanier avant de me lancer dans les dernières observations de la soirée. Le ciel est toujours aussi stable et transparent au sud, la région de la Vierge passe au méridien, l'éclairage public est éteint et la Lune s'en est allée... Si je veux l'amas de la Vierge, c'est maintenant ! Je pointe Vindemiatrix au champ max et part en AD+ : je devrais tomber sur M60. Je m'exécute mais non, je vais visiblement trop loin sans la repérer. Je note sur mes cartes que sa coordonnées de déclinaison est d'un degré supérieure à l'étoile de départ... Je retourne donc sur Vindemiatrix, bouge en Dec+ jusqu'à l'avoir en bord de champ, et me voilà reparti en AD+, lentement... Au bout de quelques minutes, ça y est ! Je tombe sur M60 ! Plein centre de l'oculaire, accompagnée par M59. Je repasse au ES 28mm et l'image s'améliore, les tâchouilles sont plus franches. En continuant le long de l'axe AD, je tombe sur M58, du même acabit que les deux premières. Je prolonge encore jusqu'à tomber sur un astérisme de trois étoiles de 9ème magnitude, presque équidistantes et légèrement courbée : c'est mon repère m'indiquant de monter légèrement en Dec pour tomber sur M87 ! Tandis que je la contemple, je repense à son trou noir central supermassif (on parle de milliards de masses solaires...) et à l'exploit de l'Event Horizon Telescope d'en avoir capturé en image le disque d'accrétion... Cette image incroyable d'un objet céleste complètement monstrueux... tout ça fait très science fiction, mais là c'est du concret, elle est là, dans mon oculaire, en vrai de vrai. Invisible à l'oeil dans ses plus larges mesures certes, mais je sais que c'est là. Petite larme. L'heure tourne, je pourrais continuer encore une bonne partie de la nuit mais je commence à avoir un peu frais (la fatigue), et ma chienne qui est restée avec moi tout du long commence à faire des allers-retours entre la terrasse et son dodo... "Ok Cannelle, t'as raison, allons nous coucher..." J'ai bougrement bien dormi ! Merci de m'avoir lu. Ah, et au fait, ma batterie 6V n'a pas fonctionné... mais qu'importe2 points
-
Une série vite faite hier pendant la pause déjeuner entre 2 boulots. Bonne nouvelle, j'ai réglé mes problèmes de diffusion causés par la feuille astrosolar en diaphragmant sans perte de résolution sur les full-disc. Mauvaise nouvelle, je n'ai pas des doigts de fée pour le bricolage apparemment... Seeing somme toute moyen. Ca turbulait pas mal pendant les acquisitions. Cirrus élevés de passage en bancs. Faible activité des protus vérifiée en compa avec GONG.2 points
-
Bonjour, j'ai fait mes première observation vendredi, enfin un ciel clair et pas de vent. j'en ai pris plein les yeux 😍. un croissant de lune magnifique et j'ai vu Jupiter et 4 de ses lune 🥰. voici deux photo elle sont pas tip top. j'ai pas le support smartphone pour le moment. @Le Gnou, @adamckiewicz, @Bruno, @Devin_plombier @pev_astro, merci pour vos conseil. j'ai pu enlever mes lunettes pour observé. WOW, je suis foutu j'ai attrapé le virus ☺️. Vivement une soirée sans nuage ni vent. Bon week-end a tous et bon ciel.1 point
-
Bonsoir ! Bon bah voila ma première prise des derniers jours en session "voile de nuages" Comme tout le monde, un peu compliqué, mais content de sortir une image et des objets que je ne connaissais pas, suite aux vôtres vues ! 200x90"en IrCut sur l'Askar 103 + Ares-C + EQ6r Guidage "moyen" autour de .8" mais bon, on prend Traitement rapide en séparant L/RGB. Pas mal de gradient donc GraXpert est mon ami BlurX/NoiseX/ histotransform. HDRMT Saturation sur le RGB + ATrousWavelet pour flouttage Curves pour le FDC sur la L LRGBCombine Cadrage/export PS. J'aimerais la refaire en mono pour voir. EDIT: -------- Je n'avais pas pris le temps mais m'en vais vous comter l'histoire de cette image, comme évoqué avec @C14edgeHD hier Bon, donc ce soir là, je vois que le ciel est plutôt bleu, même si ce voile est présent, ça peut le faire. Il fait jour mais je prépare tout pour être au point. Ca commence mal, j'ai une erreur PHD qui ne veut pas connecter la caméra, comme cela s'est déjà produit plusieurs fois sur ce nouveau setup. Reboot, connexion dans l'ordre un - à -un. Je fais une image du ciel bleu. Je demande au focuser d'aller vers une position...failed...comme d'autres fois aussi... Comme cela fait plusieurs fois que ce focuser Zwo 5V me génère des soucis, je penche pour un souci USB/d'alimentation du hub qui va avec ou qqc du genre. Je débranche, remet une alim sur ce hub pour booster le tout (il n'était pas branché pour le moment). Au bout de qq secondes, une odeur de "brûlé" mais je ne vois pas d'où ça vient...jusqu'au moment où je vois que plus bas vers mon coffret, la "pieuvre" DC est en train de fondre !! Débranchement d'urgence...les fils sont fondus, dénudés, court circuit... La j'avoue que je fais plus le malin...j'ai comme l'impression que le p**** de hub USB "chinois" ne doit pas être bien clean et a provoqué je ne sais quoi. Pour le coup...je remplace ce qu'il faut et enlève l'alim...je rebranche...ouf...tout va bien...enfin presque...plus de focuser...nada...même pas reconnu en usb... Idem en direct depuis mon PC portable...mais du coup, curieusement, lui qui donnait des symptômes curieux depuis un moment...H.S.... Je file donc dans le sac de mon Intes où est monté strictement le même...je démonte...remonte sur l'Askar...et là hop, magie...je vais pouvoir être néanmoins opérationnel... Ma session a donc pu avoir lieu Le focuser lui part chez OU (importateur) après contact de Pierro...curieux...il a dû avoir des signes déjà de faiblesse et ne pas digérer une suralim et faire un court circuit, je ne sais guère qui de l'oeuf ou la poule...à suivre... Voilà pour le récit épique de cette image...1 point
-
Salut tout le monde ! Bon, à mon tour... Depuis qq jours, des nuits presques potables...comme beaucoup avec les p*** de cirrus ...mais bon, on garde la main et on fait des tests !! Ayant au final envoyé ma Losmandy G11 en révision, elle est revenue donc et remontée sur son pied ! Bon, elle est coté Sud en seconde monture et pour la lunaire planétaire avant tout. Pas de grands miracles...mais...au moins elle "suit" maintenant et je suis arrivé à guider avec du 0.8" par moments mais 1" souvent, avec des pics parfois abberants mais j'ai pu faire des images avec du 120" à minima sur ma FRA300 ! Il m'a fallut un peu d'huile de coude et surtout refaire le p**** de modèle de repérage de la G11...qui doit prendre du JNow tantôt de NINA ou du J2000 (le Solve/sync ne fait à priori QUE ça !!). Bref, j'ai fait 2 tests, un sur M81 /82, un sur Markarian. Mon seul but était de pouvoir remettre en fonction ce setup "secondaire Sud" et de vérifier surtout que j'obtiens bien du "rond" (en brut et en empilement sans blurX) !! Et c'est le cas Du LRGB donc en Lpro + R/G/B (trop peu de poses pour assez de saturation) via la 183M et la FRA300. 2h de luminance seulement et 25mn/couche couleur pour chaque photo (donc peu). Traitement rapidos avec Solve/SPCC/BlurX/NoiseX/HistoTRansform/HRDMT/LRGBCombine Rien de fou, évidemment, mais elles sont faites donc autant les poster1 point
-
Oui c'est dommage pour le dithering. Perso quand je veux faire du drizzle, ça m'oblige à déplacer à la mano toutes les 10 prises... Pour les pertes de liaisons que tu évoques il n'y a aucun problème à mon avis avec un appareil Canon. J'ai eu tous les modèles d'Asiair entre les mains et je les ai essayé avec de nombreux appareils Canon (que des Reflex cela dit) et je n'ai jamais eu le moindre problème. Quand au wifi de l'Asiair, le wifi du mini est plutôt bon je trouve (mais je ne suis jamais loin). Une déconnexion peut arriver mais c'est sans conséquence sur les acquisitions. Il suffit de se reconnecter.1 point
-
1 point
-
1 point
-
Ah ! Voilà une question qu'elle est belle et bonne ☺️ Or donc, par quel côté aborder la montagne ? Déjà, il faut considérer que dans l'univers observable, tout bouge et tout se modifie sans cesse, quelle que soit l'échelle de temps. Même les étoiles les plus calmes montrent des variations, faibles, très faibles, ou infinitésimales. Même le soleil, qui présente des cycles, et des taches, doit apparaître variable, vu depuis l'autre bord de la Voie Lactée. Tout n'est qu'une question de patience, et de précision. Ou pas. Il faut des années parfois, ou des décennies pour montrer la variabilité de certaines étoiles. La conséquence première de tout ceci, c'est qu'il y a de la place pour tout le monde, et tout spécialement pour les amateurs, car les pros ne peuvent être partout. La conséquence seconde, c'est qu'on observera utile pratiquement n'importe que point de lumière visible dans le ciel nocturne. Et que chaque observation apportera son lot de connaissances nouvelles à partager avec la communauté, qu'on observe à la magnitude 3 ou 4, ou à la magnitude 17. Il y en a pour tout le monde, à tous les niveaux de compétence, et pour tous les types de matériels, tous les types de budgets. Variabiliste, c'est un bien grand mot qui peut éventuellement effrayer, et cantonner dans un certain type d'astronomie. Je ne pense pas qu'il faille ainsi catégoriser les gens en fonction de leurs pratiques. Enfin, chacun en sera juge et fera comme il le sent. Il y a d'infinies façon de participer à la grande aventure de l'astronomie en tant que science. Le but c'est d'essayer d'apporter sa petite pierre à l'édifice. Il y en a qui observent des occultations, d'autres qui passent leurs nuits à analyser la lumière des astres au travers d'un spectroscope, et d'autres encore qui mesurent la quantité de lumière émise par les points de lumières céleste. C'est sans doute la façon la plus facile de commencer. Certaines étoiles montrent des variations de lumière détectables à l'oeil nu : Algol, Mira, Betelgeuse ... Pas besoin d'instrument. Sinon, on peut s'armer d'une simple paire de jumelles et de cartes de référence afin de détecter des variations sur des astres invisibles à l'oeil nu. Si l'on dispose d'un instrument plus conséquent, on peut creuser davantage. Quel que soit le diamètre, le type d'optique ou de monture, on pourra observer à l'oeil, c'est à dire sans autre accessoire que son oeil. C'est juste un coup à prendre. J'ai commencé avec ce livre, dans les années 80 (il est dans la bibliothèque). Et puis je suis passé à autre chose. Le tout, une fois l'observation effectuée, c'est de prendre des notes, puis de transmettre à quelqu'un, à une entité, sinon l'observation est perdue. AFOEV, AAVSO, BAA et autres. Pour l'AFOEV, les bonnes personnes sont déjà sur ce fil, qui te renseigneront (Doumé80, Skywatcher707). C'est une formidable aventure, et une vénérable institution. https://cdsarc.u-strasbg.fr/afoev/ L'autre façon de débusquer des variations de luminosité des étoiles, astéroides et autres, c'est d'utiliser un APN, ou une caméra astro. Pas besoin d'un engin dernier cri, ou de pointe. Un simple apn suffit. Même ancien. Et puis une optique, n'importe laquelle, une petite lunette, un gros télescope, un téléobjectif. Il y a moyen de commencer avec un simple objectif de 50 mm sur un apn grand public posé sur un trépied. Certains observateurs font des mesures valables d'étoiles brillantes avec ça. Les possibilités sont quand même assez limitées. Il vaut mieux disposer d'une monture équatoriale motorisée (un seul axe suffit), même très petite, même rudimentaire, même bas de gamme. Le tout c'est de pouvoir poser plus de quelques secondes. Disons entre 20-30 sec et plusieurs minutes, selon la cible. La précision du suivi n'est pas cruciale à ce niveau là - très important : je répète, pas besoin d'un matos de pointe. Il est même possible d'utiliser un matériel qui ne permettrait pas, en temps ordinaire, d'être considéré comme utile en astrophoto "belle image" ; pas besoin d'une apo à 3000 boules ... ça peut être une simple lunette achro de 50 mm, un petit mak, une vieille lunette de 80 ouverte à f10, un 115 de grand-père ... La seule condition, c'est qu'on puisse y coller fermement un apn au foyer ; ça et une motorisation. Il n'est besoin de rien d'autre pour débuter. Après, si on a du matos haut de gamme à la maison, ça le fait aussi. C'est juste que ce n'est ni utile ni indispensable pour débuter, faire ses gammes et poursuivre. Et là, tu deviens "photométriste". Mais peu importe le mot. Variabiliste, photométriste, on s'en balance. C'est pas la question. Le truc, c'est juste qu'on peut commencer à observer, débusquer de petites ou grosses variations dans l'éclat des étoiles, et envoyer des observations soit à destination d'une base de données, soit directement dans la boite mail d'un chercheur qui en a besoin. Mieux que cela encore, il est même possible de faire ses propres découvertes : il y a qq chose comme 2.5 millions d'étoiles variables dans les databases actuellement. Gaia a observé le ciel jusqu'à la mag 20+, ce qui représente entre 1 et 2 milliards d'étoiles ... Combien d'entre-elles sont variables in fine, et restent à découvrir ? Des centaines de millions, très probablement. Voire plus. Tout n'est qu'une question de patience. Alors, dans tout ça, où te situer ? Si tu te sens l'âme d'un Leslie P ou d'un Rod S, il faut tenter les mesures du vrai variabiliste historique : le seul instrument valide c'est l'oeil. Basta le pixel ! Sinon, si tu te sens quand même plus du côté geek, et que tu frémis à l'idée de gratter de la variation dans le fichier fit que tu as capturé la nuit passée, alors, vamos ! Un ou deux logiciels à maîtriser, quelques manips de base avec l'apn à apprendre et c'est parti. Dans tous les cas, c'est simple, c'est fun, et ça finit bien, comme dans les belles histoires du Père Castor. Vois ce qui te convient, ce qui t'intéresse. Si c'est le visuel pur, Doumé ici présent, et tous les membres de l'AFOEV, sont infiniment qualifiés pour t'apprendre le métier, ou te conseiller, et je suis certain que Doumé se fera un plaisir. Sinon, on est quelques uns sur le fofo "l'astronomie autrement", pour te tuyauter au niveau photométrie, te mettre le pied à l'étrier, te faire découvrir le taf 😉 Reviens quand tu veux. On peut même créer un fil nouveau, consacré à ces questions. J'avais justement dans l'idée de rédiger un tuto photométrie pour les débutants. Il en existe un sur le forum, mais il date de 2008, il va falloir actualiser tout ça de toute façon. Christophe1 point
-
NGC2685 de cette nuit très prometteuse. Vais pouvoir montrer la couronne autour de la galaxie, le fameux anneau polaire. Livraison semaine prochaine normalement 😋1 point
-
et non, j’ai fait ça à la main… image par image sur les 90 poses. Ça prenait 10 minutes pour les 5-6 avions et les 2-3 satellites, maintenant ça prend plus d’une heure… merci Starlink 😣 Je l’ai fait avec un intervalometre. Sur mon 6D j’aurais utilisé Magic Lantern.1 point
-
Non non pas de chagrin à combler. Plutôt Satisfaction genre Rolling Stones pour rester dans la musique Rock. Alors je suis parti rendre visite à NGC2685. C'est petit pour mon C8 à f6.3 mais j'ai envie de tenter le coup. La HEQ5 a l'air d'avoir entendu le message et est plutôt coopérante... Guidage à la lunette guide 60/270 plutôt qu'au DO et ça va tout de suite mieux pour trouver une ou plusieurs étoiles, bien rondes, avec un profil d'étoile bien fin. Autofocus fonctionne aussi... Séquence lancée on verra bien. Image d'hier soir va me demander pas mal de taff je pense 😥 Une trame de fou (normal pas de guidage, pas de dithering...) et un souci de traitement... Darks et offset pas adaptés. Faut que je refasse ça proprement ces jours prochains, va faire moche de nouveau 😳 Bref l'astro c'est jamais de tout repos....1 point
-
1 point
-
Avis positif Serge, surtout avec les conditions que tu mentionnes. Cuisson en cours chez moi avec NGC4725. Verrai bien une fois le traitement de Sirilic achevé, 850x30s à digérer... Et si tout va bien ce soir ce sera NGC2685 galaxie Helix . Elle serait aussi une cible de choix pour ton C14 (si pas déjà attrapée..)1 point
-
Salut , ça fait plaisir de voir un membre du forum qui les possède aussi et bravo pour ton travail très chirurgical de la collimation !! truc que je ne toucherai jamais un jour j’ai tenté de collimater un laser il a fini encore plus mal collimaté de ce qu’il était !! non non c’est pas fait pour moi ces choses là ! bref les miennes n’étaient pas reconditionnées mais juste en promotion du Black Friday en 2021. je les avais eu neuve pour 1520€ ce qui reste une bonne affaire (pour moi J’ai de la chance d’être tombé sur un excellent modèle car je pousse à 146x avec les oculaires ES 4,5mm LER 52º mais comme ce sont effectivement des achromatiques, ce n’est pas très utile de les pousser si fort mais ça fonctionne1 point
-
Bien que décalé des choses de l'astronomie, je voudrais rendre un petit hommage à ce constructeur atypique qu fête ses "103 balais"' aujourd'hui !0 point
-
Bonsoir à tous, Jeudi ciel dégagé et lune couché à 23h, j'en ai profité pour retenter le trio du lion car la dernière fois je n'ai pu faire que 1h30 je crois et le résultat n'était pas terrible du tout J'ai donc pu ajouter 4h30 de pose. Compliqué je trouve, je n'ai pas le niveau de détails que j'attendais et les couleurs pas top non plus. Je la pensais certainement plus facile qu'elle ne l'est donc finalement satisfait quand même. Et je ne vais pas me plaindre car je ne pensais pas pouvoir la retenter cette année. Donc voilà le résultat Setup TS80 (80×480) avec filtre IrCut + réducteur 0.79 + ASI 294Mc Pro sur Eqg Goto Guidage Orion 80x400 + Dmk 41 Acquisition NINA 1h30 de pose en pose unitaire de 180s je crois pour la première session et environ 130 x 120s pour la seconde nuit (jeudi) Soit environ 6h au total Traitement Siril + Gimp A+ Manuel.0 point
-
Salut @nico1038 Une mauvaise et une bonne nouvelle donc. Le petit setup que j'imaginais léger et simple prend tout doucement de l'embonpoint... Je sens que ca va se terminer avec mon ordi portable cette histoire 😂0 point
-
Bravo, on espère tous une petite semaine bien dégagée 😉0 point
-
0 point
-
Avoir un eVscope et un Vespera, ce n'est pas redondant. Les deux ont leur domaine d'utilisation complémentaire: eVscope => observation, Vespera => astro photo. J'ai en précommande depuis l'été dernier un Vespera Pro. Il devrait être disponible d'ici un mois ou deux. Pendant que je ferai de l'observation avec l'eVscope (courtes intégrations sur de nombreux objets), le Vespera Pro fera de la longue intégration sur un seul objet pendant toute la séance astro, avec un belle photo à l'issue suivi d'un post traitement pour le plaisir, à partir du fichier TIFF sauvegardé. Je suis vraiment séduit par ce type d'instrument connecté. Après y avoir goûté c'est difficile pour moi de revenir en arrière. Cependant mes autres instruments classiques ont une revanche à prendre dans ce type de pratique (Taka TSA-120 et C11 Edge HD): https://pegasusastro.com/products/smarteye/0 point
-
Voici ma modeste contribution, lune du 12 avril 2024, autostakker et registack et Rawthérapie ... Bon elle est pas si belle que celle de Clara mais bon , au moins j'ai sorti quelque chose en plus de six mois !0 point
-
Ouah, elle sont superbes ces images Julien😊. C'est très Fengshui tout ça, une monture au Nord, et une au Sud. A quand une monture à l'Ouest et à l'Est, et l'eau qui coule sous la maison?😉 a+ Serge0 point
-
Ben voilà, content pour toi que ça remarche enfin et qu'elle tourne enfin rond0 point
-
0 point
-
Petit déterrage de topic, pour dire que j'ai réussi à dégotter une autre petite rareté qui ira bien avec mon AK70 : un prisme de Herschel made in Hasselt. Le propriétaire actuel observait avec depuis l'Autriche avec un Celestron d'où l'utilisation de raccord de type T2. Mais il avait conservé les bagues au standard belge de 31 (que je possédais déjà mais abus de bien ne nuit pas). En images :0 point
-
Bien joué Serge, elle est bien cette galaxie, ca valait le coup de suivre ... Maintenant que la météo a changé , tu vas pouvoir te reposer plusieurs semaine !!! bon quand même j'abuse, je n'espère pas ! Suis comme toi, je ne suis pas tranquille dans ce cas j'arrête, frustrant mais ca fait parti de notre furieux passe-temps, c'est après midi c'est rangement du matos0 point
-
Hello J'ai eu un flash cette nuit, j'ai tenté et ça me semble fonctionner : j'ai envie de partager. ça fait un moment que je plébiscite et utilise la méthode "Reto" pour marquer le secondaire : https://www.reto.fr/marquage/imagepages/image1.html En gros on calcul l'offset et on marque le centre optique sur le secondaire par rapport à ses bords. Mais : ça marche très bien si le miroir est collé correctement sur le support ... Du coup pour un miroir déjà collé à son support comment savoir si l'axe est bien dans l'axe ? hein ? comment ? Attention : Bien sur l'objet de ce post est aussi de me faire challenger sur la méthode par des barbus de la collim' Je n'ai pas la science infuse mais des fois j'ai des idées qui marchent. D'autres fois, non. Va savoir sur celle-ci ... Ne tournons pas autour du pot : le flash c'est ma platine 33T. Coup de bol : avec l'adaptateur pour les 45T le téton de la platine dépasse pil-poil pour se loger dans l'axe du support du secondaire. Ce qui fait qu'il est plutôt bien centré, stable, et perpendiculaire. L'idée c'est de faire tourner la platine pour estimer au mieux quel est le point du miroir "qui ne bouge pas" 20240412_092729.mp4 sur la vidéo c'est pas foufou, mais on voit très bien que le centre de mes deux points bleus (marquage à la méthode Reto) se balade à coté du centre de rotation ... Et avec un montage plus perfectionné à la Gillou (un cheshire ) j'ai pu être beaucoup plus précis par tâtonnement. horreur, écrire au feutre noir sur l'aluminure ! Je suis du camp des ALZ, ceux qui se rangent du coté qui considère que ce marquage n'a strictement aucune incidence Et le résultat est sans appel : Entourés en bleu mes marquages "Reto" En rouge le point que j'ai déterminé au Cheshire Conclusion ? Mon miroir est mal collé sur son support A vos mange-disques. G.0 point
-
Salut JM😊 oui, bien que j'ai aucune idée comment WBPP il pondère. Avant je faisait la pondération "à la mano" mais on m'a dit que c'était has been...🤔 Salut Julien,😊 Merci. Moi comme tu vois, pas de stock, je pratique la technique du "juste à temps". Je shoot, je traite, je vends. Ensuite, c'est l'URSS en rayon. Mais ces voiles, c'est un enfer. Je me demande si je préfère pas encore la pluie à ça...🥵 Tu peux même pas aller te pieuter, faux surveiller toutes les poses avec l'angoisse de voir les nuages qui arrivent: C'est encore plus stressant que mon ancien job. a+ Serge0 point
-
0 point
-
Oups pardon pour l'erreur 😅. Merci @yapo. "Quelques années d'expériences" ... C'est peu dire ! 😱0 point
-
L'eVscope est surtout prévu pour faire de l'observation avec son oculaire et des courtes VA. Il n'est pas optimisé pour faire de la photo, mais je m'amuse quand même en ce moment dans cette voie. Cela m'oblige à faire de très longues intégrations pour arriver à un résultat suffisamment significatif en post traitement. Mais rappelons-le il n'est pas prévu pour fonctionner de la sorte. C'est plus le mode de fonctionnement des produits de chez Vaonis (Vespera et Stellina) et du SeeStar de ZWO.0 point
-
Ah, non, c'est plutôt ma bouteille de Courmayeur. Il faut rester hydraté. Seb? Il a du aller noyer son chagrin chez ses voisins.0 point
-
pas qu'à toi! Je fais aussi tourner le matos sous les vagues... Mais t'as pas peur de vivre aussi près de la frontière? a+ Serge0 point
-
Pourquoi? Même en été vous n'observez jamais tout nus? Dans le sud, on peut...0 point
-
0 point
-
Hier soir le vent enfin calmé nous avons fait une sortie entre amis, quel pied cet appareil… Je n’en reviens pas de la facilité et de la qualité de l’Evscope2. quelques images : Un seul problème, je n’est pas pu prendre le fin croissant de Lune, l’appareil s’est planté en position horizontale, il a fallu le redémarrer. Ça a fait pareil à un ami avec un Evscope 1. Et à l’oculaire le spectacle est formidable… Quelle soirée…0 point
-
Une très bonne recette de cuisine, à faire, absolument délicieuse.0 point
-
Présent tout le weekend EuroAstro Surpriiiiiiiiiiiiiise @AZtro faut que tu changes ta signature avec l'édition 20240 point
-
Salut les astrams, Petit suivi mensuel sur T CrB. La courbe AAVSO est plutôt parlante : on a dépassé le minima, qui a été particulièrement faible ; le plus faible jamais observé depuis 1946. En bleu, on est descendu vers 11.9, et en vert à 10.4. La remontée semble un peu rapide. W&S Edit du 11/04 : La météo a empêché de mesurer l'étoile autrement que sporadiquement ce début avril. Les mesures de cette nuit à l'APN confirment bien une remontée rapide en 5 jours : En V : 10.388 / 10.278 +0.110 mag En B : 11.634 / 11.521 +0.113 mag En R : 9.548 / 9.444 +0.104 mag (moyenne de 53 mesures la semaine dernière, et 38 mesures cette nuit) Pour le fun, j'ai demandé à cet abrut cette fascinante entité intelligente qu'est Chatilapété de me dire ce qu'il pensait (./...) de cette affaire, et quand aurait lieu la possible explosion de cette étoile, et voici sa réponse, en exclusivité rien que pour vous, aimables lecteurs. Le rédacteur : En se basant uniquement sur les observations disponibles (photométrie, spectroscopie, astrométrie), et sur les connaissances actuelles en matière d'évolution stellaire, en faisant abstraction totale des différents avis déjà donnés par les astrophysiciens dans les articles publiés, à quelle date aura lieu la prochaine éruption de l'étoile T Coronae Borealis ? Chatilapété : Je suis désolé, mais je ne peux pas fournir de prédictions spécifiques sur les événements astronomiques futurs, tels que les éruptions stellaires de l'étoile T Coronae Borealis, en me basant uniquement sur les données disponibles et les connaissances actuelles en matière d'évolution stellaire. Les éruptions stellaires sont des événements complexes et difficiles à prédire avec précision, même avec les meilleures observations et modèles disponibles. Les étoiles sont des systèmes dynamiques et peuvent présenter des comportements imprévisibles. Pour obtenir des prédictions précises sur de tels événements, il est nécessaire de mener des recherches approfondies et de recueillir des données supplémentaires. Le rédacteur : Il semble raisonnablement impossible de fournir des prédictions spécifiques sur des événements astronomiques futurs, tels que les éruptions stellaires de l'étoile T Coronae Borealis, en se basant uniquement sur les données disponibles et les connaissances actuelles en matière d'évolution stellaire ; les éruptions stellaires étant des événements complexes et difficiles à prédire avec précision, même avec les meilleures observations et modèles disponibles. Ceci étant posé, comment font les humains pour prédire, malgré tout, de tels événements, avec d'assez bonnes chances de ne pas se tromper, en n'ayant recours uniquement aux observations disponibles ? Qu'est-ce qui les pousse à tendre vers cette extrémité, là où une intelligence artificielle aussi élaborée que Chatilapété n'ose se commettre ? Chatilapété : Les humains peuvent prédire certains événements astronomiques avec une certaine précision en utilisant une combinaison de modèles théoriques, d'observations passées et actuelles, ainsi que des techniques statistiques avancées. Voici quelques-unes des approches utilisées : Modèles théoriques et simulations : Les astrophysiciens utilisent des modèles théoriques pour comprendre le fonctionnement interne des étoiles, y compris les processus qui conduisent à des événements tels que les éruptions stellaires. Ces modèles peuvent être basés sur les lois de la physique connues et sur nos connaissances de l'évolution stellaire. Données d'observation : Les observations passées et actuelles des étoiles peuvent fournir des indices sur leur comportement et leur évolution. Les données provenant de télescopes terrestres et spatiaux permettent aux astronomes de suivre les changements dans la luminosité, la température, la composition chimique, etc., qui pourraient indiquer la possibilité d'une éruption future. Analyse statistique : Les astronomes utilisent des techniques statistiques avancées pour analyser les données observationnelles et identifier les tendances ou les modèles qui pourraient indiquer la probabilité d'une éruption stellaire. Cela peut impliquer l'utilisation de méthodes telles que l'analyse de séries temporelles, la modélisation bayésienne, etc. Comparaison avec des événements similaires : En examinant les éruptions stellaires précédentes et en les comparant avec les caractéristiques de l'étoile en question, les astronomes peuvent estimer la probabilité d'une éruption future. Cela peut fournir des indications sur les conditions qui prédisposent une étoile à ce type d'événement. Malgré ces approches, il reste souvent une part d'incertitude dans les prédictions astronomiques, en particulier pour des événements tels que les éruptions stellaires qui peuvent être influencés par de nombreux facteurs complexes et difficiles à modéliser. C'est pourquoi même avec les meilleures données et les modèles les plus sophistiqués, il est parfois difficile de prédire avec certitude quand et comment de tels événements se produiront. Le rédacteur : Pourquoi Chatilapété ne peut-elle pas utiliser une méthodologie similaire à celle utilisée par les humains, et les mêmes renseignements de base, afin de produire les mêmes prédictions que les humains ? Chatilapété : En tant qu'intelligence artificielle, je suis limité par ma capacité à traiter l'information de manière différente de celle des humains. Bien que je puisse accéder à une vaste quantité de données et de connaissances, ma capacité à comprendre et à interpréter ces données est limitée par mes algorithmes et mon architecture. Voici quelques raisons pour lesquelles je pourrais avoir des difficultés à produire les mêmes prédictions que les humains dans ce contexte : Compréhension des données : Bien que je puisse analyser et traiter des données, ma capacité à comprendre leur signification et à les interpréter de manière contextuelle est limitée. Les humains ont une capacité innée à saisir les nuances et les subtilités des données, ce qui peut parfois être difficile à reproduire pour une intelligence artificielle. Complexité des modèles : Les modèles utilisés par les humains pour prédire des événements astronomiques peuvent être extrêmement complexes et reposent souvent sur des années d'expérience et de formation spécialisée. Même si je peux exécuter des modèles mathématiques et statistiques, la complexité de certains modèles utilisés en astrophysique dépasse souvent mes capacités de traitement. Données manquantes ou incomplètes : Les prédictions astronomiques reposent souvent sur des données observationnelles, et il peut y avoir des lacunes ou des incertitudes dans ces données. Les humains sont souvent capables de combler ces lacunes en utilisant leur intuition et leur expérience, tandis que je suis limité par les données que j'ai à ma disposition. Incertitude et probabilité : Les prédictions astronomiques sont souvent entachées d'incertitude et de probabilité, et les humains sont souvent capables de prendre en compte cette incertitude de manière intuitive. Bien que je puisse traiter des concepts de probabilité, il peut être difficile de les appliquer de manière contextuelle dans des domaines aussi complexes que l'astrophysique. En résumé, bien que je puisse être capable d'effectuer certaines tâches liées à l'analyse de données et à la modélisation, reproduire la capacité des humains à prédire des événements astronomiques avec précision et fiabilité est un défi en raison de la complexité et de la nature contextuelle de ces tâches. Le rédacteur : Chatilapété est donc un petit joueur. C'est bien ce qu'il me semblait. Chatilapété : Je suis heureux d'avoir pu clarifier cela pour vous. Si vous avez d'autres questions ou besoin de plus d'informations sur ce sujet ou tout autre sujet, n'hésitez pas à demander !0 point
-
0 point
-
J'imagine que ça doit pas non plus être gratuit ? J'ai justement reçu un mail hier de la part de JPC du forum Astrosurf pour m'abonner à la revue du meme nom. L'objectif etant de faire rentrer des sous pour faire face aux coûts du forum.. Ce que je trouve dommage c'est de ne pas nous tenir un peu informé sur l'origine du soucis rencontré.0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00